Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

8C 85/2015

Urteil vom 28. Oktober 2015

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Frésard, Bundesrichterin Heine,
Gerichtsschreiberin Berger Götz.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Fürsprecher Henrik P. Uherkovich,
Beschwerdeführer,

gegen

Zürich Versicherungs-Gesellschaft AG, Postfach, 8085 Zürich Versicherung,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Valideneinkommen),

Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Schwyz vom 4. Dezember 2014.

Sachverhalt:

A.
A.________, geboren 1956, war seit 1. Oktober 2002 als Anästhesiearzt für das Spital B.________ tätig und in dieser Eigenschaft bei der Zürich Versicherungs-Gesellschaft AG (nachfolgend: Zürich) gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 11. Oktober 2002 erlitt er einen Selbstunfall mit dem Auto, bei dem er sich unter anderem mehrere Wirbelfrakturen zuzog. Die Zürich kam für die Heilbehandlung auf und richtete Taggelder aus. Im November 2002 nahm er seine Erwerbstätigkeit wieder voll auf. Am 17. Januar 2007 meldete er sich unter Hinweis auf starke, progrediente Schmerzen im ganzen Wirbelsäulenbereich (zervikal, thorakal, lumbal), reduzierte Beweglichkeit und Starre der Halswirbelsäule, heftige Kopfschmerzen, Ischialgie, Behinderungen im Bewegungsapparat sowie Nervosität, hervorgerufen durch Schmerzen, und Konzentrationsstörungen bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Das Spital C.________, neuer Arbeitgeber seit 1. Juli 2005, meldete daraufhin der Zürich am 23. Mai 2007 einen Rückfall und verwies auf die Anmeldung bei der Invalidenversicherung. Die Zürich erbrachte erneut Versicherungsleistungen. Per 1. September 2008 nahm A.________ eine selbstständige Erwerbstätigkeit auf (Eröffnung der
Klinik D.________). Die IV-Stelle des Kantons Solothurn sprach ihm mit Verfügung vom 21. Dezember 2011 ab 1. Januar 2007 eine halbe Rente (IV-Grad: 50 % bis 30. März 2008 bzw. 57 % ab 1. April 2008) sowie ab 1. Dezember 2008 eine Viertelsrente (IV-Grad: 49 %) zu. Dieser Verwaltungsakt wurde auf Beschwerde hin vom Versicherungsgericht des Kantons Solothurn (Entscheid vom 17. Januar 2013) und letztinstanzlich vom Bundesgericht (Urteil 9C 160/2013 vom 28. August 2013) bestätigt.

Mit Verfügung vom 27. September 2012 hatte die Zürich in der Zwischenzeit die Leistungen für Heilbehandlung und die Taggeldleistungen per 31. August 2012 eingestellt und ab 1. September 2012 eine Rente, basierend auf einem Erwerbsunfähigkeitsgrad von 26 %, sowie eine Integritätsentschädigung, entsprechend einer Integritätseinbusse von 25 %, zugesprochen. Daran hielt sie auf Einsprache hin fest (Einspracheentscheid vom 12. Februar 2014).

B.
Das Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz wies die gegen den Einspracheentscheid vom 12. Februar 2014 erhobene Beschwerde ab (Entscheid vom 4. Dezember 2014).

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und das Rechtsbegehren stellen, es sei ihm ab 1. September 2012 eine Rente bei einem Erwerbsunfähigkeitsgrad von 49 %, eventualiter bei einem Erwerbsunfähigkeitsgrad von 36 %, auszurichten und es sei ihm eine Integritätsentschädigung, basierend auf einer Integritätseinbusse von 35 %, zuzusprechen.

Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Auf die Durchführung eines Schriftenwechsels wurde verzichtet.

Erwägungen:

1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
. BGG) kann wegen Rechtsverletzungen gemäss den Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG erhoben werden. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder der Unfallversicherung ist das Bundesgericht - anders als in den übrigen Sozialversicherungsbereichen (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
, Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG) - nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG), prüft indessen - unter Beachtung der Begründungspflicht in Beschwerdeverfahren (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) - nur die geltend gemachten Rügen, sofern allfällige weitere rechtliche Mängel nicht geradezu offensichtlich sind; es ist nicht gehalten, wie eine erstinstanzliche Behörde alle sich stellenden rechtlichen Fragen zu prüfen, wenn diese vor Bundesgericht nicht mehr vorgetragen werden (BGE 133 II 249 E. 1.4.1 S. 254).

2.

2.1. Im angefochtenen Entscheid werden die für die streitgegenständliche Beurteilung einschlägigen Rechtsgrundlagen zutreffend wiedergegeben. Hervorzuheben sind die Bestimmungen und Grundsätze zum Anspruch auf Leistungen der Unfallversicherung im Allgemeinen (Art. 6 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
1    Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
2    L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie:
a  les fractures;
b  les déboîtements d'articulations;
c  les déchirures du ménisque;
d  les déchirures de muscles;
e  les élongations de muscles;
f  les déchirures de tendons;
g  les lésions de ligaments;
h  les lésions du tympan.21
3    L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10).
UVG in Verbindung mit Art. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort.
ATSG), zu den einzelnen Leistungsarten im Speziellen (namentlich Art. 18 ff
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
1    Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
2    Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA.
. UVG in Verbindung mit Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
und 8
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG [Invalidenrente] und Art. 24 f
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66
1    Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66
2    L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67
. UVG in Verbindung mit Art. 36
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 36 - 1 Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87
1    Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87
2    L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est calculée selon les directives figurant à l'annexe 3.
3    En cas de concours de plusieurs atteintes à l'intégrité physique, mentale ou psychique, dues à un ou plusieurs accidents, l'indemnité pour atteinte à l'intégrité est fixée d'après l'ensemble du dommage.88 L'indemnité totale ne peut dépasser le montant maximum du gain annuel assuré. Il est tenu compte, dans le taux d'indemnisation, des indemnités déjà reçues en vertu de la loi.
4    Il sera équitablement tenu compte des aggravations prévisibles de l'atteinte à l'intégrité. Une révision n'est possible qu'en cas exceptionnel, si l'aggravation est importante et n'était pas prévisible.89
5    L'assuré qui, dans le cadre d'une maladie professionnelle, développe un mésothéliome ou d'autres tumeurs dont l'évolution est tout aussi défavorable en termes de survie a droit à une indemnité pour atteinte à l'intégrité physique dès l'apparition de la maladie.90
UVV [Integritätsentschädigung]), zum Begriff der Invalidität (Art. 8
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG) und zur Ermittlung des Invaliditätsgrads nach der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG; BGE 128 V 29 E. 1 S. 30 ). Darauf wird verwiesen.

2.2. Die Invaliditätsschätzung der Invalidenversicherung entfaltet gegenüber dem Unfallversicherer rechtsprechungsgemäss keine Bindungswirkung (BGE 133 V 549; 131 V 362).

3.
Es war schon im vorinstanzlichen Verfahren unbestritten, dass der Beschwerdeführer an bleibenden Unfallfolgen leidet und deshalb in seiner angestammten Tätigkeit als Anästhesist in einem Akutspital nicht mehr uneingeschränkt einsetzbar ist. Nicht mehr angefochten ist letztinstanzlich auch das Invalideneinkommen, welches von Verwaltung und Vorinstanz, ausgehend von einem zumutbaren Ganztagespensum in einer Verweistätigkeit (z.B. als Versicherungsmediziner), gestützt auf die Zahlen der Schweizerischen Lohnstrukturerhebung des Bundesamtes für Statistik (LSE) 2008, Tabelle TA11, männliche Angestellte mit universitärem Hochschulabschluss, Anforderungsprofil 1-2, auf Fr. 187'499.- festgesetzt wurde. Streitig ist hingegen das Valideneinkommen, welches gemäss Ansicht des Beschwerdeführers auf Fr. 360'687.- zu beziffern ist, entsprechend dem (auf das Jahr 2011 aufindexierten) Einkommen im Unfalljahr 2002. Uneinigkeit besteht schliesslich auch bezüglich der Höhe der Integritätseinbusse.

4.

4.1. Dem von der Unfallversicherung im Einspracheentscheid ermittelten Valideneinkommen von Fr. 253'011.- (teuerungsangepasst für das Jahr 2011) liegt der Durchschnitt der in den letzten sechs Jahren vor dem Unfall erzielten Verdienste von Fr. 213'559.- zugrunde, wobei das ausserordentlich hohe Einkommen im Unfalljahr 2002 voll berücksichtigt wurde (1997: Fr. 161'531.-; 1998: Fr. 169'964.-; 1999: Fr. 196'141.-; 2000: Fr. 196'670.-; 2001: 226'678.-; 2002: Fr. 330'371.-). Die Vorinstanz bestätigt die Richtigkeit dieser Bemessung des Valideneinkommens und des aus dem Vergleich mit dem Invalideneinkommen von Fr. 187'499.- resultierenden Erwerbsunfähigkeitsgrades von 26 %. Dabei lässt sie sich auch vom Gedanken leiten, dass in ähnlichen Tätigkeitsbereichen vergleichbare Jahreslöhne resultieren. So nennt sie zum Vergleich den durchschnittlichen Jahreslohn von Fr. 201'530.- (per 2011) für Spitalärzte (aller Fachrichtungen) in leitender Tätigkeit ohne Zusatzeinkommen aus privatärztlicher Tätigkeit und für Fachärzte für Anästhesie in freier Praxistätigkeit von Fr. 269'012.- (per 2011). Die Unfallversicherung hatte im Beschwerdeverfahren vor kantonalem Gericht ausserdem auf das Einkommen von Fachärzten gemäss Richtlohntabelle des Kantons
Zürich verwiesen, wonach der Jahresverdienst eines Facharztes mit mindestens sechsjähriger Erfahrung als Oberarzt und Habilitation oder in der Funktion als stellvertretender Chefarzt bei Fr. 197'390.- (per 2014) und derjenige eines Arztes mit zwei Facharzttiteln oder mit Habilitation bei sehr hoher Komplexität des zu führenden Bereichs bei Fr. 211'679.- (per 2014) lag.

4.2. Für die Ermittlung des Valideneinkommens ist entscheidend, was die versicherte Person im Zeitpunkt des Rentenbeginns nach dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit als Gesunde tatsächlich verdient hätte. Dabei wird in der Regel am zuletzt erzielten, der Teuerung und der realen Einkommensentwicklung angepassten Verdienst angeknüpft, da es empirischer Erfahrung entspricht, dass die bisherige Tätigkeit ohne Gesundheitsschaden fortgesetzt worden wäre. Ausnahmen müssen mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erstellt sein (BGE 135 V 58 E. 3.1 S. 59; 134 V 322 E. 4.1 S. 325). Ist der zuletzt bezogene Lohn überdurchschnittlich hoch, ist er nur dann als Valideneinkommen heranzuziehen, wenn mit überwiegender Wahrscheinlichkeit feststeht, dass er weiterhin erzielt worden wäre (SVR 2011 IV Nr. 55 S. 163, 8C 671/2010 E. 4.5.1; 2009 IV Nr. 58 S. 181, 9C 5/2009 E. 2.3; Urteil 8C 362/2014 vom 25. Juni 2014 E. 5.2.3).

4.3. Das kantonale Gericht setzt sich im angefochtenen Entscheid mit dem bereits vorinstanzlich erhobenen Einwand des Versicherten gegen die Höhe des Valideneinkommens eingehend auseinander. Es unterzieht das Einkommen und die bis zum Unfallereignis ausgeübten Erwerbstätigkeiten einer umfassenden Analyse und weist namentlich darauf hin, dass der Beschwerdeführer bis im Frühjahr 2001 ein Vollpensum als Oberarzt oder in leitender Funktion an einem Spital ausgeübt und entsprechend für ein Vollpensum entlöhnt worden war. Das Einkommen habe sich dabei im Laufe der Jahre kontinuierlich erhöht. Erst im Unfalljahr sei ein sprunghafter Anstieg des Einkommens um ungefähr 50 % erfolgt, weil der Versicherte in jenem Jahr in verschiedenen Kliniken in verschiedenen Regionen der Schweiz unterschiedliche Teilerwerbstätigkeiten in einem Gesamtpensum von weit über 100 % ausgeübt habe. So sei er unter anderem in der Klinik E.________, tätig gewesen, wo offenbar ein flexibles Pensum zwischen 50 und 100 % vereinbart worden sei. Daneben habe er in vier weiteren Kliniken jeweils tageweise gearbeitet, was dazu geführt habe, dass er bis zu 30 Tage im Monat im Einsatz gewesen sei. Gegenüber den medizinischen Gutachtern habe er denn auch festgehalten, dass
er teilweise "24 Stunden täglich an 365 Tagen" in Bereitschaft gewesen sei. Es ist mit der Vorinstanz einig zu gehen, dass der Versicherte diese Mehrfachbeschäftigungen weit über ein Vollpensum hinaus nicht über längere Zeit hätte aufrecht erhalten können, nicht zuletzt, weil er bei seiner Tätigkeit als Anästhesist eine grosse Verantwortung zu tragen hat, welche er in völlig übermüdetem Zustand gar nicht mehr zuverlässig wahrnehmen könnte. Daher kann das im Jahr 2002 erzielte Einkommen für die Bemessung des Valideneinkommens nicht allein massgebend sein. Die Durchschnittsberechnung der Beschwerdegegnerin anhand der Verdienste in den Jahren 1997 bis 2002 ist nicht zu beanstanden. Der Beschwerdeführer übersieht nämlich, dass die überdurchschnittlichen Löhne der Jahre 2001 (bereits im Laufe dieses Jahres war er zeitweise für drei Kliniken gleichzeitig im Einsatz und erzielte dadurch eine überproportionale Lohnsteigerung) und 2002 in dieser Berechnung vollumfänglich Berücksichtigung fanden. Damit wird das Valideneinkommen nicht einfach auf der Grundlage einer Vollzeitbeschäftigung als Spitalarzt festgelegt und der Teuerung angepasst, sondern es wird gleichzeitig auch dem Umstand Rechnung getragen, dass der Versicherte, wie er sich
selber beschreibt, als "extrem fleissiger" und "dynamisch-unternehmerischer Typus" ohne Unfall im Vergleich zu anderen Spitalärzten (welche die durchschnittlichen Arbeitszeiten der Gesamtheit der Erwerbstätigen in der Schweiz ebenfalls schon massiv überschreiten) ein extensives Arbeitspensum beibehalten hätte. Entgegen seiner Ansicht kann angesichts der bereits sehr lukrativen Entlöhnung im Jahr 2002 nicht davon ausgegangen werden, dass er dieses Lohnniveau auch längerfristig hätte sichern können, indem er den Beschäftigungsgrad reduziert und sich auf Tätigkeiten in weniger Spitälern mit höheren Verdienstansätzen konzentriert hätte.

Der Versicherte kann zudem keine Anhaltspunkte nennen, welche im Zeitpunkt des Unfallereignisses konkret darauf hingewiesen hätten, dass er sich ohne unfallbedingte Einschränkungen als Anästhesist selbstständig gemacht hätte. Wie er im Übrigen selber ausführt, stand dem damals auch der Umstand entgegen, dass er seine medizinischen Studien in Kroatien absolviert hatte und vor seiner Einbürgerung im Jahr 2008 gar keine entsprechende Berufsausübungsbewilligung in der Schweiz hätte beantragen können. Vom Unfallzeitpunkt her betrachtet ist damit eine Karriere als Spitalarzt mit 100 % übersteigendem Pensum als überwiegend wahrscheinlich zu werten. Das von Verwaltung und Vorinstanz errechnete Valideneinkommen von Fr. 253'011.- entspricht einer solchen Beschäftigung, nachdem Spitalärzte in leitender Funktion ohne Zusatzeinkommen im Jahr 2011 einen durchschnittlichen Jahresverdienst von lediglich Fr. 201'530.- erzielten. Der Einwand des Beschwerdeführers, die Vorinstanz könne den massgebenden Lohn auch gleich "würfeln", wenn sie sinngemäss zum Schluss komme, das von der Beschwerdegegnerin ermittelte Valideneinkommen liege nicht weit weg vom Durchschnittslohn in seiner ehemaligen Beschäftigung in einem Vollpensum in der Klinik F.________,
oder von Fachärzten Anästhesie in freier Praxistätigkeit sowie von Spitalärzten mit leitender Funktion, führt ins Leere. Das kantonale Gericht geht klar davon aus, dass der Versicherte ohne unfallbedingte Einschränkungen überwiegend wahrscheinlich als Spitalarzt tätig geblieben wäre und bestätigt das für diese Funktion von der Beschwerdegegnerin errechnete Valideneinkommen. Die von der Vorinstanz diskutierten Löhne als Anästhesist in verschiedenen Funktionen dienen lediglich der Überprüfung der Angemessenheit des im Einspracheentscheid ermittelten Valideneinkommens, ohne dass sie damit die überwiegende Wahrscheinlichkeit einer Berufskarriere als Spitalarzt in Frage stellen würde. An der überwiegenden Wahrscheinlichkeit einer Karriere als Spitalarzt ändert nichts, dass sich der Beschwerdeführer nach Erlangung des Schweizer Bürgerrechts als Leiter der von ihm gegründeten Klinik im Jahr 2008 in eine "Quasi-Selbstständigkeit" begeben hatte und in dieser Funktion nur noch einen Bruchteil des Lohnes eines Spitalarztes verdiente.

4.4. Nach dem Gesagten und da der Unfallversicherer an die Invaliditätsschätzung der Invalidenversicherung nicht gebunden ist (vgl. E. 2.2 hiervor), durfte er die Invaliditätsbemessung gestützt auf ein Valideneinkommen von Fr. 253'011.- vornehmen. Im Übrigen wurde das hypothetische Einkommen im Gesundheitsfall im invalidenversicherungsrechtlichen Rechtsmittelverfahren weder vom Versicherungsgericht des Kantons Solothurn noch vom Bundesgericht (Urteil 9C 160/2013 vom 28. August 2013) diskutiert.

5.
Zu prüfen bleibt der Anspruch auf Integritätsentschädigung, welcher vom Unfallversicherer, bestätigt im angefochtenen Gerichtsentscheid, auf der Basis einer 25%igen Integritätseinbusse bemessen wurde.
In eingehender Würdigung der medizinischen Aktenlage, namentlich gestützt auf die Einschätzungen des Dr. med. G.________, Spezialarzt FMH für Orthopädische Chirurgie, insbesondere Wirbelsäulen-Chirurgie, vom 22. Februar 2007, 13. Juni 2008 und 23. Juni 2009 ist das kantonale Gericht zum überzeugenden Schluss gelangt, dass mit Blick auf die bleibenden Beeinträchtigungen im Bereich der Wirbelsäule gestützt auf Tabelle 7 "Integritätsschaden bei Wirbelsäulenaffektionen" eine Integritätsentschädigung auf der Basis einer Integritätseinbusse von 25 % den Unfallfolgen vollumfänglich Rechnung trägt. Gemäss angefochtenem Gerichtsentscheid sind die überwiegend belastungsabhängigen Beschwerden im Bereich der HWS und der BWS, welche eine volle Arbeitstätigkeit in einer körperlich leichten Beschäftigung erlauben, in die Schmerzfunktionsstufe ++ (geringe Dauerschmerzen, bei Belastung verstärkt, auch in Ruhe) einzureihen. Der Versicherte vermag gegen diese rechtsfehlerfreie Einschätzung keine stichhaltigen Argumente vorzubringen. Soweit er angibt, täglich Schmerzmittel in hoher Dosierung einzunehmen, lässt sich daraus nicht schon ableiten, es sei von der Schmerzfunktionsstufe +++ (+/- starke Dauerschmerzen, Zusatzbelastung nicht möglich, auch
nachts und in Ruhe) auszugehen. Aus seiner Behauptung, eine Zusatzbelastung sei nicht mehr möglich, kann ebenfalls kein anderer Schluss gezogen werden, nachdem im von der Invalidenversicherung eingeholten Gutachten des Instituts H.________ vom 4. Januar 2010, welches er zum Beweis anführt, nicht nach unfallbedingten und krankhaften Einschränkungen differenziert wird und dennoch von einer 100%igen Arbeitsfähigkeit als Anästhesist "im engeren Sinn", d.h. ohne wesentliche Beteiligung an Lagerung und Transfer von Patienten und ohne stundenlanges Verharren in der gleichen Körperposition, ausgegangen wird. Die Beschwerde ist daher auch in diesem Punkt abzuweisen.

6.
Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten (Art. 65 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
und Abs. 4 lit. a BGG) vom Beschwerdeführer als unterliegender Partei zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).
Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 28. Oktober 2015

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Leuzinger

Die Gerichtsschreiberin: Berger Götz