Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

5A 12/2014

Sentenza del 28 ottobre 2014

II Corte di diritto civile

Composizione
Giudici federali von Werdt, Presidente,
Marazzi, Bovey,
Cancelliera Antonini.

Partecipanti al procedimento
A.________,
patrocinato dall'avv. Gabriele Ferrari,
ricorrente,

contro

B.B.________,
patrocinato dall'avv. dott. Massimo Riccardi,
opponente.

Oggetto
azione di paternità e di mantenimento,

ricorso contro la sentenza emanata il 15 novembre 2013 dalla I Camera civile del Tribunale d'appello del
Cantone Ticino.

Fatti:

A.

A.a. Nel marzo 2008, C.B.________ (1968) ha dato alla luce il figlio B.B.________. Così invitata - siccome madre nubile - dalla Commissione tutoria regionale 5 (qui di seguito: CTR), ha indicato A.________ (1961), cittadino italiano domiciliato a X.________, quale padre del neonato. Rimasto infruttuoso ogni tentativo di giungere ad un accordo con quest'ultimo, la CTR ha nominato al minore un curatore nella persona dell'avv. Massimo Riccardi, incaricandolo di accertarne la paternità e di salvaguardarne il diritto al mantenimento.

A.b. Il minore ha allora adito il competente Pretore del Distretto di Lugano in data 5 agosto 2009 affinché fosse accertata la paternità di A.________ e quest'ultimo venisse condannato a versargli un contributo alimentare di fr. 2'040.-- dal luglio 2008 nonché un importo di fr. 6'000.-- per le spese per il parto. Su richiesta di B.B.________, il Pretore ha dapprima ordinato una perizia sul DNA, che ha poi annullato visti gli inutili tentativi del perito di reperire il convenuto per le analisi. Con sentenza 2 settembre 2011, il Pretore ha accolto la petizione, ha accertato la paternità di A.________ e ha condannato quest'ultimo a versare al minore un contributo alimentare mensile indicizzato fino al raggiungimento della maggiore età (fr. 2'040.-- dal 5 agosto 2008 a febbraio 2015; fr. 2'095.-- da marzo 2015 a febbraio 2020; fr. 2'305.-- da marzo 2020 fino alla maggiore età); inoltre, ha posto tassa e ripetibili a carico di A.________.

B.
Contro la decisione pretorile A.________ è insorto con appello 5 ottobre 2011, che il Tribunale di appello del Cantone Ticino ha respinto con la qui impugnata sentenza 15 novembre 2013, confermando la decisione di primo grado e ponendo tassa e spese di giustizia a carico dell'appellante soccombente.

C.
In data 7 gennaio 2014, A.________ (qui di seguito: ricorrente) ha interposto avanti al Tribunale federale ricorso in materia civile contro la pronuncia di appello, chiedendone la riforma nel senso della reiezione dell'azione di B.B.________ (qui di seguito: opponente).
Non sono state chieste determinazioni.

Diritto:

1.
Il presente ricorso è rivolto contro una decisione finale (art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
LTF) pronunciata su ricorso dall'autorità cantonale di ultima istanza (art. 75 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
2 LTF) in una vertenza civile (art. 72 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
cpv. 2 n. 6 LTF) di carattere globalmente non pecuniario (sentenze 5A 609/2011 del 14 maggio 2012 consid. 1.1; 5C.28/2004 del 26 marzo 2004 consid. 1). Il gravame è peraltro tempestivo (art. 46 cpv. 1 lett. c
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
1    Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
a  du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus;
b  du 15 juillet au 15 août inclus;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclus.
2    L'al. 1 ne s'applique pas:
a  aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles;
b  à la poursuite pour effets de change;
c  aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c);
d  à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale;
e  aux marchés publics.20
e 100 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...97
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
LTF) ed emana dalla parte che ha viste respinte le proprie conclusioni d'appello ed è pertanto legittimata a ricorrere (art. 76 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.42
LTF).

2.

2.1. Il Tribunale federale è tenuto ad applicare d'ufficio il diritto (art. 106 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF). Nondimeno, tenuto conto dell'onere di allegazione e motivazione posto dall'art. 42 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
2 LTF, la cui mancata ottemperanza conduce all'inammissibilità del gravame, il Tribunale federale esamina di regola solo le censure sollevate (DTF 137 III 580 consid. 1.3; 134 III 102 consid. 1.1). Nell'atto di ricorso occorre pertanto spiegare in modo conciso, riferendosi all'oggetto del litigio, in cosa consiste la violazione del diritto e su quali punti il giudizio contestato viene impugnato (DTF 134 II 244 consid. 2.1). Le esigenze di motivazione sono più rigorose quando è fatta valere la violazione di diritti fondamentali. II Tribunale federale esamina queste censure solo se la parte ricorrente le ha debitamente sollevate e motivate, come prescritto dall'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF. Ne discende che l'allegato ricorsuale deve indicare chiaramente i diritti costituzionali che si pretendono violati, precisando altresì in che consista tale violazione (DTF 134 II 244 consid. 2.2; 133 III 393 consid. 6).

2.2. Il Tribunale federale fonda il suo ragionamento giuridico sull'accertamento dei fatti svolto dall'autorità inferiore (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
LTF); può scostarsene o completarlo solo se è stato svolto in violazione del diritto ai sensi dell'art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF o in modo manifestamente inesatto (art. 105 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
LTF). L'accertamento dei fatti contenuto nella sentenza impugnata può essere censurato alle stesse condizioni; occorre inoltre che l'eliminazione dell'asserito vizio possa influire in maniera determinante sull'esito della causa (art. 97 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
LTF). Se rimprovera all'autorità cantonale un accertamento dei fatti manifestamente inesatto - ossia arbitrario (DTF 137 III 268 consid. 1.2 con rinvio; 136 II 304 consid. 2.4 con rinvio) - il ricorrente deve motivare la censura conformemente alle esigenze poste dall'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF (DTF 136 II 304 consid. 2.5).

3.
Fino al 30 giugno 2014, all'autorità di protezione dei minori incombeva la nomina al nascituro o all'infante di un curatore che provvedesse all'accertamento della filiazione paterna, in virtù dell'abrogato art. 309 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC.
Il ricorrente censura la violazione di tale disposto di legge. Egli non mira con ciò ad impugnare la decisione mediante la quale la CTR ha istituito una curatela di paternità in favore dell'opponente (anche perché non ne sarebbe legittimato, v. DTF 121 III 1 consid. 2b e c). La censura è in realtà funzionale alla critica che il ricorrente muove all'azione ex art. 261
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 261 - 1 La mère et l'enfant peuvent intenter action pour que la filiation soit constatée à l'égard du père.
1    La mère et l'enfant peuvent intenter action pour que la filiation soit constatée à l'égard du père.
2    L'action est intentée contre le père ou, s'il est décédé, contre ses descendants ou à leur défaut, dans l'ordre, contre ses père et mère, contre ses frères et soeurs ou contre l'autorité compétente de son dernier domicile.
3    Lorsque le père est décédé, le juge informe l'épouse que l'action a été intentée afin qu'elle puisse sauvegarder ses intérêts.
segg. CC: egli ritiene infatti che non sussisteva alcun obbligo di intervento automatico dell'autorità pubblica nell'accertamento della paternità.

3.1. Il Tribunale di appello ha preliminarmente esaminato opportunità e legalità della nomina di un curatore all'opponente e dell'introduzione dell'azione di paternità, in applicazione dell'ormai abrogato art. 309 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC. Ha rammentato che, trattandosi nel caso di specie di figlio senza capacità di discernimento, l'azione di paternità non avrebbe potuto essere promossa da lui direttamente né dalla madre, benché detentrice dell'autorità parentale. In tali circostanze, la nomina di un curatore si imponeva senza ponderazione di interessi, così come l'agire in giudizio, posto che il preponderante interesse del figlio è di regola quello di avere una madre e un padre. Ne ha concluso che l'agire dell'autorità tutoria così come del curatore erano conformi alla legge, escludendo parimenti un'applicazione anticipata della novella legislativa che avrebbe abrogato l'art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC.

3.2. In proposito, il ricorrente eccepisce in sostanza che il diritto del figlio di conoscere la propria discendenza (recte: ascendenza) è di natura strettamente personale, per cui non vi è obbligo di intervento meccanico da parte dell'autorità mediante designazione di un curatore. Spetterebbe infatti al solo figlio decidere se prendere conoscenza o meno delle proprie origini. Non a caso "l'imminente revisione del Codice civile" prevede l'abolizione dell'art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC, atteso che il diritto del figlio di conoscere la propria origine non giustifica l'attribuzione automatica di un curatore al figlio di una madre non sposata. Peraltro, l'azione di paternità inoltrata dal figlio potrebbe costituire nel caso specifico un escamotage per rimediare alla rinuncia della madre a promuovere tale azione.

3.3. Si pone la questione del diritto applicabile.

3.3.1. Le autorità precedenti hanno basato la nomina di un curatore al qui opponente sull'art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC. La revisione del Codice civile sull'autorità parentale, entrata in vigore il 1° luglio 2014, ha abrogato questa disposizione. Contrariamente a quanto prevedevano il disegno di legge del 2011 relativo alla menzionata novella (FF 2011 8061 segg.) ed il relativo Messaggio del Consiglio federale del 16 novembre 2011 (FF 2011 8025 segg., in particolare n. 1.5.4 pag. 8043 e ad art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
pag. 8055), l'art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC non è stato semplicemente e puramente stralciato, bensì - su iniziativa della Commissione degli affari giuridici del Consiglio nazionale, adottata senza discussione dalle due Camere (Bollettino ufficiale [BU] 2012 CN 1656; BU 2013 CS 15) - sostituito da un riformulato cpv. 2 dell'art. 308
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
CC, pure in vigore dal 1° luglio 2014: la rappresentanza del figlio per l'accertamento della paternità figura ora fra i poteri speciali che l'autorità di protezione dei minori può conferire al curatore.

3.3.2. La novella sull'autorità parentale è accompagnata da norme di diritto transitorio che concernono unicamente la possibilità di chiedere l'autorità parentale congiunta (art. 12 cpv. 4 e
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
5 Tit. fin. CC; FF 2011 8056 ad art. 12
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 12 - Quiconque a l'exercice des droits civils est capable d'acquérir et de s'obliger.
Tit. fin.). Per quanto riguarda l'abrogazione dell'art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC e la modifica dell'art. 308 cpv. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
CC, va ammesso che si tratta di questioni relative alla protezione dei minori. A queste si applicano le norme intertemporali generali degli art. 1 a
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
4 Tit. fin. CC completate per analogia dall'art. 14
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
Tit. fin. CC (Ruth E. Reusser, in Basler Kommentar, Erwachsenenschutz, 2012, n. 3 e 10 ad art. 14
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
Tit. fin. CC) : ciò significa, all'atto pratico, che il nuovo diritto trova immediata applicazione, mentre misure precedentemente ordinate rimangono in essere, ma dovranno essere successivamente adattate alle esigenze del caso specifico previo accurato esame (Reusser, op. cit., n. 16 ad art. 14 Tit. fin. per la tutela del vecchio diritto, n. 19 ibid. per la curatela). Ne discende che un'applicazione diretta dei nuovi art. 307
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire.
1    L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire.
2    Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère.
3    Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information.
segg. CC da parte del Tribunale federale a casi già pendenti non entra in linea di conto, già per il fatto che esso è vincolato agli accertamenti di fatto dell'autorità inferiore (sentenza
5A 92/2014 del 23 luglio 2014 consid. 2.1, con riferimento precisamente alla novella sull'autorità parentale; v. pure, per analogia, il diritto intertemporale previsto in occasione dell'introduzione del nuovo diritto del divorzio, art. 7b
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire.
1    L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire.
2    Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère.
3    Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information.
Tit. fin. CC; DTF 126 III 449 consid. 2b/aa; sentenza 5C.43/2000 dell'11 aprile 2000 consid. 1).

3.3.3. Nel prosieguo dell'esame del presente ricorso, il Tribunale federale continuerà dunque ad applicare l'art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC, quantunque nel frattempo abrogato, e ad esaminare in questa prospettiva la sentenza impugnata. In tal senso è parimenti respinta la censura (sempre che fosse intesa come tale) contro la mancata applicazione anticipata della novella sull'autorità parentale.

3.4. Nel merito, le obiezioni del ricorrente contro l'applicazione dell'ormai abrogato art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC nel caso concreto (supra consid. 3.2) non convincono.

3.4.1. In primo luogo, non si fondano su giurisprudenza o dottrina, bensì riflettono unicamente la sua opinione personale. Inoltre, quest'ultima è espressa in termini generici ed astratti, senza alcun riferimento al caso concreto: quand'anche si dovesse ammettere, come il ricorrente pretende, che autorità tutoria e curatore non abbiano alcun dovere assoluto di intervenire, egli non spiega perché nel caso qui in discussione essi dovessero astenersi da un qualsiasi intervento.

3.4.2. In secondo luogo, la tesi dei Giudici cantonali, secondo la quale il figlio ha di regola un interesse preponderante ad avere una madre e un padre, è sostenuta da unanime dottrina e giurisprudenza - debitamente citata nella sentenza impugnata. L'avversa tesi ricorsuale - peraltro confutata in dettaglio nella sentenza impugnata, la cui motivazione non viene per nulla discussa in sede federale - è motivata in modo azzardato, per non dire temerario: il diritto strettamente personale di conoscere la propria ascendenza non implica che il figlio non possa avvalersi di persone che lo rappresentano in un'età in cui non è capace di agire ai sensi degli art. 17
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 17 - Les personnes incapables de discernement, les mineurs et les personnes sous curatelle de portée générale n'ont pas l'exercice des droits civils.
segg. CC. Portata alle estreme conseguenze, la tesi ricorsuale significherebbe che il minore non può agire fintanto che abbia raggiunto la maggiore età, ciò che priverebbe di ogni senso l'abrogato art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC rispettivamente il nuovo art. 308 cpv. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
1    Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401
2    Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402
3    L'autorité parentale peut être limitée en conséquence.
CC che lo sostituisce, ed è apertamente in contrasto con l'art. 261 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 261 - 1 La mère et l'enfant peuvent intenter action pour que la filiation soit constatée à l'égard du père.
1    La mère et l'enfant peuvent intenter action pour que la filiation soit constatée à l'égard du père.
2    L'action est intentée contre le père ou, s'il est décédé, contre ses descendants ou à leur défaut, dans l'ordre, contre ses père et mère, contre ses frères et soeurs ou contre l'autorité compétente de son dernier domicile.
3    Lorsque le père est décédé, le juge informe l'épouse que l'action a été intentée afin qu'elle puisse sauvegarder ses intérêts.
CC e l'art. 263 cpv. 1 n
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 263 - 1 L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1    L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1  par la mère, une année après la naissance;
2  par l'enfant, une année après qu'il a atteint l'âge de la majorité.
2    S'il existe déjà un rapport de filiation avec un autre homme, l'action peut en tout cas être intentée dans l'année qui suit la dissolution de ce rapport.
3    L'action peut être intentée après l'expiration du délai lorsque de justes motifs rendent le retard excusable.
. 2 CC (Tuor/Schnyder/Schmid/Rumo-Jungo, Das Schweizerische Zivilgesetzbuch, 13a ed. 2009, n. 37 pag. 432 seg.; Ingeborg Schwenzer, in Basler Kommentar, Zivilgesetzbuch I, 4a ed. 2010, n. 2 ad art. 263
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 263 - 1 L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1    L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1  par la mère, une année après la naissance;
2  par l'enfant, une année après qu'il a atteint l'âge de la majorité.
2    S'il existe déjà un rapport de filiation avec un autre homme, l'action peut en tout cas être intentée dans l'année qui suit la dissolution de ce rapport.
3    L'action peut être intentée après l'expiration du délai lorsque de justes motifs rendent le retard excusable.
CC e, più esplicitamente, n. 5 ad
art. 256c
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 256c - 1 Le mari doit intenter action au plus tard un an après qu'il a connu la naissance et le fait qu'il n'est pas le père ou qu'un tiers a cohabité avec la mère à l'époque de la conception, mais en tout cas dans les cinq ans depuis la naissance.
1    Le mari doit intenter action au plus tard un an après qu'il a connu la naissance et le fait qu'il n'est pas le père ou qu'un tiers a cohabité avec la mère à l'époque de la conception, mais en tout cas dans les cinq ans depuis la naissance.
2    L'action de l'enfant doit être intentée au plus tard une année après qu'il a atteint l'âge de la majorité.
3    L'action peut être intentée après l'expiration du délai lorsque de justes motifs rendent le retard excusable.
CC). Peraltro, il ricorrente nemmeno tenta di esporre perché nel suo caso si dovrebbe prescindere dall'obbligo di nomina di un curatore rispettivamente, per quest'ultimo, dall'obbligo di agire in giustizia per accertamento della paternità.

3.4.3. Incomprensibile è infine il richiamo del ricorrente al diritto delle genti: perché in virtù dell'art. 7 cpv. 1 della Convenzione di New York sui diritti del fanciullo (RS 0.107) o dell'art. 8
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
1    Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
2    Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui.
CEDU si debba tassativamente escludere l'intervento di un curatore, non è proprio dato di capire. Il richiamo a quanto asseritamente illustrato in sede di appello non è di suffragio alcuno al ricorrente, ritenuto che le censure vanno motivate nel ricorso e non tramite rinvii ad altri allegati o documenti (DTF 140 III 115 consid. 2; 133 II 396 consid. 3.2).

3.5. Nella ridotta misura in cui sono debitamente motivate, le censure rivolte contro l'applicazione dell'ormai abrogato art. 309
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 309
CC da parte dell'autorità precedente si appalesano infondate.

4.
Se un rapporto di filiazione esiste soltanto nei confronti della madre ed il padre non riconosce il figlio (art. 260 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 260 - 1 Lorsque le rapport de filiation existe seulement avec la mère, le père peut reconnaître l'enfant.
1    Lorsque le rapport de filiation existe seulement avec la mère, le père peut reconnaître l'enfant.
2    Le consentement du représentant légal est nécessaire si l'auteur de la reconnaissance est mineur ou s'il est sous curatelle de portée générale ou encore si l'autorité de protection de l'adulte en a décidé ainsi.270
3    La reconnaissance a lieu par déclaration devant l'officier de l'état civil ou par testament ou, lorsqu'une action en constatation de paternité est pendante, devant le juge.
CC), tanto la madre quanto il figlio possono proporre l'azione di accertamento della filiazione paterna (art. 261 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 261 - 1 La mère et l'enfant peuvent intenter action pour que la filiation soit constatée à l'égard du père.
1    La mère et l'enfant peuvent intenter action pour que la filiation soit constatée à l'égard du père.
2    L'action est intentée contre le père ou, s'il est décédé, contre ses descendants ou à leur défaut, dans l'ordre, contre ses père et mère, contre ses frères et soeurs ou contre l'autorité compétente de son dernier domicile.
3    Lorsque le père est décédé, le juge informe l'épouse que l'action a été intentée afin qu'elle puisse sauvegarder ses intérêts.
CC). La paternità è presunta quando il convenuto ha avuto concubito con la madre nel tempo dal trecentesimo al centottantesimo giorno prima della nascita (art. 262 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 262 - 1 La paternité est présumée lorsque, entre le trois centième et le cent quatre-vingtième jour avant la naissance de l'enfant, le défendeur a cohabité avec la mère.
1    La paternité est présumée lorsque, entre le trois centième et le cent quatre-vingtième jour avant la naissance de l'enfant, le défendeur a cohabité avec la mère.
2    La paternité est également présumée lorsque l'enfant a été conçu avant le trois centième jour ou après le cent quatre-vingtième jour avant la naissance et que le défendeur a cohabité avec la mère à l'époque de la conception.
3    La présomption cesse lorsque le défendeur prouve que sa paternité est exclue ou moins vraisemblable que celle d'un tiers.
CC). La presunzione cade se il convenuto dimostra che la sua paternità è esclusa o meno verosimile di quella altrui (art. 262 cpv. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 262 - 1 La paternité est présumée lorsque, entre le trois centième et le cent quatre-vingtième jour avant la naissance de l'enfant, le défendeur a cohabité avec la mère.
1    La paternité est présumée lorsque, entre le trois centième et le cent quatre-vingtième jour avant la naissance de l'enfant, le défendeur a cohabité avec la mère.
2    La paternité est également présumée lorsque l'enfant a été conçu avant le trois centième jour ou après le cent quatre-vingtième jour avant la naissance et que le défendeur a cohabité avec la mère à l'époque de la conception.
3    La présomption cesse lorsque le défendeur prouve que sa paternité est exclue ou moins vraisemblable que celle d'un tiers.
CC). L'azione può essere proposta prima o dopo il parto, ma al più tardi dalla madre entro un anno dalla nascita (art. 263 cpv. 1 n
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 263 - 1 L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1    L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1  par la mère, une année après la naissance;
2  par l'enfant, une année après qu'il a atteint l'âge de la majorité.
2    S'il existe déjà un rapport de filiation avec un autre homme, l'action peut en tout cas être intentée dans l'année qui suit la dissolution de ce rapport.
3    L'action peut être intentée après l'expiration du délai lorsque de justes motifs rendent le retard excusable.
. 1 CC) o dal figlio entro un anno dalla raggiunta maggiore età (art. 263 cpv. 1 n
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 263 - 1 L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1    L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1  par la mère, une année après la naissance;
2  par l'enfant, une année après qu'il a atteint l'âge de la majorité.
2    S'il existe déjà un rapport de filiation avec un autre homme, l'action peut en tout cas être intentée dans l'année qui suit la dissolution de ce rapport.
3    L'action peut être intentée après l'expiration du délai lorsque de justes motifs rendent le retard excusable.
. 2 CC); scaduti questi termini, l'azione è ammessa se il ritardo è scusato da gravi motivi (art. 263 cpv. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 263 - 1 L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1    L'action peut être intentée avant ou après la naissance de l'enfant, mais au plus tard:
1  par la mère, une année après la naissance;
2  par l'enfant, une année après qu'il a atteint l'âge de la majorité.
2    S'il existe déjà un rapport de filiation avec un autre homme, l'action peut en tout cas être intentée dans l'année qui suit la dissolution de ce rapport.
3    L'action peut être intentée après l'expiration du délai lorsque de justes motifs rendent le retard excusable.
CC).

4.1. Nel merito, il Tribunale di appello ha ritenuto provata la paternità del ricorrente sulla scorta degli indizi addotti dall'opponente (testimonianza della madre circa la relazione con il ricorrente da fine 2006 a fine 2007, documentazione attestante il pernottamento di entrambi in un'unica camera d'albergo durante il periodo critico, scambio di messaggi SMS fra il ricorrente e la madre). Ha riconosciuto che non era stata condotta una perizia sul DNA, ma ha sottolineato che ciò era stato deciso dal Pretore dopo aver preso atto che il ricorrente aveva rifiutato di sottoporvisi, e non era frutto di una rinuncia dell'opponente; tale perizia, peraltro, era divenuta superflua dopo l'audizione della madre. Ha infine tenuto conto del versamento di fr. 22'000.-- da parte del ricorrente alla madre dell'opponente per il mantenimento del bambino, accertato dal Pretore e rimasto incontestato in appello.

4.2. Il ricorrente eccepisce essenzialmente una violazione dell'onere allegatorio (art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
CC) e un apprezzamento arbitrario delle prove, anche laddove lamenta una violazione dell'art. 262 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 262 - 1 La paternité est présumée lorsque, entre le trois centième et le cent quatre-vingtième jour avant la naissance de l'enfant, le défendeur a cohabité avec la mère.
1    La paternité est présumée lorsque, entre le trois centième et le cent quatre-vingtième jour avant la naissance de l'enfant, le défendeur a cohabité avec la mère.
2    La paternité est également présumée lorsque l'enfant a été conçu avant le trois centième jour ou après le cent quatre-vingtième jour avant la naissance et que le défendeur a cohabité avec la mère à l'époque de la conception.
3    La présomption cesse lorsque le défendeur prouve que sa paternité est exclue ou moins vraisemblable que celle d'un tiers.
CC. Ribadisce che fu l'opponente a rinunciare alla perizia sul DNA, e che a fronte di una tale rinuncia il giudice non doveva neppure valutare il restante, discutibile materiale probatorio. Gli indizi presi in considerazione non sarebbero sufficienti a dimostrare il concubito, il fatto di aver condiviso una stanza d'albergo non implicando una relazione fra i due. Né è lecito dedurre alcunché dal rifiuto del ricorrente di sottoporsi alla perizia sul DNA, facendo difetto altri indizi a favore di una presunzione di paternità. Il ricorrente ritiene infine lesivi del divieto d'arbitrio i contributi di mantenimento fissati a suo carico.

4.3. Il richiamo alle regole sulla messa a carico dell'onere allegatorio giusta l'art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
CC è inconferente: se il giudice si convince che un'affermazione è stata provata (o smentita) sulla scorta di un apprezzamento delle prove assunte, ogni discussione vertente sulla messa a carico dell'onere della prova diviene senza oggetto (DTF 137 III 268 consid. 3; 137 III 226 consid. 4.3; 118 II 147 consid. 3a). L'apprezzamento delle prove nella sentenza impugnata può in tal caso essere rivisto unicamente nell'ottica dell'arbitrio nell'accertamento dei fatti.

4.4. Nell'ambito dell'accertamento dei fatti e dell'apprezzamento delle prove è violato il divieto d'arbitrio qualora il giudice abbia manifestamente frainteso il senso e la portata di un mezzo di prova, se egli abbia trascurato senza fondati motivi un mezzo di prova rilevante per il giudizio, infine se abbia tratto delle conclusioni insostenibili in base ai fatti accertati. L'apprezzamento delle prove criticato deve far apparire la sentenza impugnata arbitraria non solo nella sua motivazione ma anche nel suo risultato. Con particolare riferimento all'apprezzamento di prove indiziarie è data una violazione del divieto d'arbitrio non già quando le conclusioni alle quali è giunto il tribunale non corrispondono a quelle del ricorrente, bensì unicamente qualora l'apprezzamento si riveli manifestamente insostenibile, in chiaro contrasto con la situazione di fatto oppure crassamente contrario al comune senso della giustizia (DTF 135 II 356 consid. 4.2.1; sentenze 5A 306/2010 del 9 agosto 2010 consid. 4.2 con ulteriori rinvii; 5A 115/2013 dell'11 settembre 2013 consid. 3.2.1, in sic! 2/2014 pag. 99), ciò che il ricorrente deve convenientemente motivare, pena l'inammissibilità del suo gravame (o almeno della relativa censura: DTF 134 II
244
consid. 2.2; sulla distinzione v. Florence Aubry Girardin, in Commentaire de la LTF, 2a ed. 2014, n. 25 ad art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF).

Le critiche ricorsuali sono in gran parte appellatorie, e almeno parzialmente temerarie.

4.4.1. Che le risultanze dell'istruttoria non forniscano indizi sufficienti a dimostrare l'asserito concubito fra il ricorrente e la madre dell'opponente, è mera opinione personale, come pure la convinzione che l'apprezzamento dei messaggi SMS fra i medesimi sia "inconcepibile e processualmente irrito". Il Tribunale di appello è giunto alla conclusione opposta, che le assolute e generiche asserzioni ricorsuali non fanno apparire arbitraria.
Più in dettaglio, l'affermazione che fu l'opponente a rinunciare alla perizia sul DNA è stata esplicitamente smentita dal Tribunale di appello: tale accertamento non può evidentemente essere sovvertito semplicemente con l'affermazione del contrario. In ogni caso, contrariamente a quanto afferma il ricorrente, persino la rinuncia ad un mezzo di prova non porterebbe inevitabilmente ad un accertamento dei fatti sfavorevole per la parte che rinuncia, tanto meno quando altre prove sono state assunte.
Cosa il ricorrente abbia potuto pensare, dopo che il Pretore aveva annullato la richiesta di perizia sul DNA, rispettivamente a quali rischi egli abbia ritenuto di essere esposto, è questione del tutto irrilevante, posto che l'apprezzamento delle prove è nelle sole mani del tribunale.
Infine, per quanto riguarda le deduzioni tratte dal Tribunale di appello dal fatto di aver trascorso, il ricorrente e la madre dell'opponente, numerose notti nella medesima camera d'albergo, non si può condividere l'affermazione ricorsuale secondo la quale tale fatto non implichi una relazione fra i due. Al contrario: che dette circostanze siano atte ad alimentare una fondata presunzione di concubito, è ammesso da tempo immemorabile (v., per una fattispecie simile, DTF 43 II 562 consid. 1, con rinvio alla violenta suspicio fornicationis delle Decretales di Gregorio IX [C. 12 X de praesumptionibus 2.23]; v. poi, per una donna che ammette di aver intrattenuto relazioni intime nel periodo critico, DTF 98 Ia 140 consid. 3a; per un uomo ed una donna rinvenuti nel medesimo locale v. Pandectes françaises, vol. III, 1888, voce adulterio, in particolare n. 238 a 241 [relativi al reato di adulterio in flagranti ]).

4.4.2. A proposito della fissazione dei contributi di mantenimento a suo carico, il ricorrente respinge l'opinione del Tribunale di appello, secondo la quale egli non sarebbe abilitato a criticare la decisione pretorile avendo rifiutato di esibire qualsivoglia documento, giustificandosi con il fatto che non esisteva alcun incarto svizzero relativo alla sua situazione economica. La giustificazione, oltre che incomprensibile, è francamente temeraria.
Il ricorrente rimprovera poi la mancata verifica dei documenti prodotti in causa dalla madre dell'opponente, peraltro - secondo lui - base insufficiente per stabilire l'entità del contributo di mantenimento. Anche qui, ritenuto che il ricorrente ha scientemente deciso di non fornire alcuna informazione utile ai giudici, la sua critica appare temeraria nella sostanza.
Temeraria è pure la sua critica nei confronti della deduzione del Tribunale di appello, che dall'elencazione degli importanti clienti ha dedotto una sua posizione al vertice dell'azienda. Certo il ragionamento è proposto in termini abbreviati, ma l'idea è chiara: se è vero che i viaggi in Asia fatti dal ricorrente in compagnia della madre dell'opponente erano trasferte di lavoro pagate da una delle ditte riconducibili a lui, allora egli - secondo l'esperienza generale della vita e il normale andamento delle cose - deve rivestire una funzione al vertice dell'azienda, poiché spese di quel genere non sono sostenute a favore di un dipendente di livello inferiore. Una tale deduzione, a valere quale elemento di giudizio utile per fissare il contributo di mantenimento a favore del minore, non ha nulla di arbitrario.
È, infine, superfluo sottolineare che l'apodittica affermazione di non essere il padre dell'opponente non può costituire serio argomento di censura dei contributi fissati.

4.4.3. In conclusione, le censure di arbitrio nell'accertamento dei fatti e nell'apprezzamento delle prove si rivelano infondate nella ridotta misura in cui siano ammissibili.

5.
Ne discende che il ricorso va respinto nella misura della sua ammissibilità. La tassa di giustizia, fissata tenendo conto anche della condotta processuale del ricorrente (art. 65 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés25.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
LTF; Bernard Corboz, in Commentaire de la LTF, 2a ed 2014, n. 19 ad art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés25.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
LTF), è posta a carico di quest'ultimo (art. 66 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
LTF). Non sono dovute ripetibili all'opponente, che non è stato chiamato a determinarsi e non è dunque incorso in spese della sede federale (art. 68 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
2 LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:

1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.

2.
Le spese giudiziarie di fr. 3'000.-- sono poste a carico del ricorrente.

3.
Comunicazione ai patrocinatori delle parti e alla I Camera civile del Tribunale d'appello del Cantone Ticino.

Losanna, 28 ottobre 2014

In nome della II Corte di diritto civile
del Tribunale federale svizzero

Il Presidente: von Werdt

La Cancelliera: Antonini