Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

4A 628/2016

Urteil vom 20. Dezember 2016

I. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Kiss, Präsidentin,
Bundesrichterinnen Hohl, Niquille,
Gerichtsschreiber Brugger.

Verfahrensbeteiligte
A.________ AG,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Roland Gfeller
und Rechtsanwältin Dr. Christin Hochheuser Onnen,
Beschwerdeführerin,

gegen

B.________ AG,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Xaver Baumberger,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Forderung,

Beschwerde gegen das Urteil des Handelsgerichts
des Kantons Zürich vom 29. September 2016.

Sachverhalt:

A.
Die A.________ AG (Klägerin, Beschwerdeführerin) schloss mit der B.________ AG (Beklagte, Beschwerdegegnerin) mündlich einen Architektenvertrag ab. Unbestritten ist, dass zwischen den Parteien ein gültiger Vertrag zustande gekommen ist und dass sich die Entschädigung der Klägerin grundsätzlich nach dem tatsächlich erbrachten Zeitaufwand für die in Auftrag gegebenen Arbeiten errechnet. Die Klägerin fordert gestützt auf diesen Vertrag ein Honorar in der Höhe von Fr. 65'997.70 für in den Jahren 2012 und 2013 erbrachte Leistungen betreffend die Umnutzung bzw. den Umbau von zwei Praxisräumen in U.________.

B.
Am 23. März 2015 erhob die Klägerin am Handelsgericht des Kantons Zürich Klage gegen die Beklagte und beantragte, diese sei zu verpflichten, ihr den oben genannten Betrag zuzüglich Zins zu 5 % seit 19. Juli 2014 zu bezahlen. Das Handelsgericht wies mit Urteil vom 29. September 2016 die Klage fast vollständig ab und verpflichtete die Beklagte einzig, den von ihr anerkannten Betrag von Fr. 397.70 zuzüglich Zins von 5 % seit 17. Juni 2014 an die Klägerin zu bezahlen.

C.
Dagegen erhob die Beschwerdeführerin Beschwerde an das Bundesgericht und beantragt, dass das Urteil des Handelsgerichts aufzuheben, die Beschwerde gutzuheissen und die Sache zur Behebung der prozessualen Mängel und zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen sei.
Auf die Einholung von Vernehmlassungen wurde verzichtet.

Erwägungen:

1.

1.1. Das Bundesgericht prüft von Amtes wegen und mit freier Kognition, ob ein Rechtsmittel zulässig ist (Art. 29 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 29 Examen - 1 Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence.
1    Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence.
2    En cas de doute quant à sa propre compétence, il procède à un échange de vues avec l'autorité dont la compétence lui paraît entrer en ligne de compte.
BGG; BGE 139 III 133 E. 1 S. 133 mit Hinweisen).

1.2. Die Beschwerde hat ein Rechtsbegehren zu enthalten (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). Dieses ist unter Berücksichtigung der Beschwerdebegründung nach Treu und Glauben auszulegen (BGE 136 V 131 E. 1.2 S. 136; Urteil 4A 116/2015 vom 9. November 2015 E. 2.2.1, nicht publ. in BGE 141 III 539). Da die Beschwerde in Zivilsachen ein reformatorisches Rechtsmittel ist (Art. 107 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
BGG), ist grundsätzlich ein materieller Antrag erforderlich; Anträge auf Rückweisung der Sache an die Vorinstanz zu neuer Entscheidung oder blosse Aufhebungsanträge genügen nicht und machen die Beschwerde unzulässig (BGE 134 III 379 E. 1.3 S. 383; 133 III 489 E. 3.1; Urteil 4A 637/2015 vom 29. Juni 2016 E. 2, nicht publ. in BGE 142 III 433). Namentlich müssen Rechtsbegehren, die auf einen Geldbetrag lauten, beziffert werden (BGE 134 III 235 E. 2 S. 236 f.; Urteil 4A 116/2015 vom 9. November 2015 E. 2.2.1, nicht publ. in BGE 141 III 539). Ein blosser Rückweisungsantrag reicht ausnahmsweise aus, wenn das Bundesgericht im Falle der Gutheissung nicht selbst in der Sache entscheiden könnte, weil die erforderlichen Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanz fehlen (BGE 136 V 131 E. 1.2 S. 135; 133 III 489 E. 3.1 S. 489 f.; Urteil 4A 637/2015 vom 29. Juni 2016 E. 2, nicht
publ. in BGE 142 III 433).

1.3. Die Beschwerdeführerin beantragt einzig, dass das vorinstanzliche Urteil aufzuheben und die Sache an die Vorinstanz zurückzuweisen sei. Einen materiellen Antrag stellt sie nicht; insbesondere beziffert sie das von ihr geforderte Honorar nicht. Auch aus der nach Treu und Glauben ausgelegten Beschwerdebegründung geht nicht hervor, in welchem Sinn der angefochtene Entscheid abgeändert werden soll, da die Beschwerdeführerin einzig vorbringt, dass das Urteil der Vorinstanz aufgehoben werden müsse, damit "der Weg zu einem fairen Verfahren eröffnet" werde, "an dessen Ende ein gerechtes Urteil gefällt werden" könne.
Sollte das Bundesgericht aber die Rechtsauffassung der Beschwerdeführerin, wonach sie ihre Behauptungen rechtsgenüglich substanziiert habe, als begründet erachten, könnte es keinen Entscheid in der Sache fällen, da die erforderlichen Sachverhaltsfeststellungen fehlen. Vielmehr müsste es die Streitsache zur Durchführung eines Beweisverfahrens an die Vorinstanz zurückweisen. Bei dieser Sachlage genügt der blosse Rückweisungsantrag der Beschwerdeführerin.

1.4. Da auch die übrigen Sachurteilsvoraussetzungen erfüllt sind und zu keinen Bemerkungen Anlass geben, ist unter Vorbehalt einer rechtsgenüglichen Begründung (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) auf die Beschwerde einzutreten.

2.

2.1. Mit Beschwerde in Zivilsachen können Rechtsverletzungen nach Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG gerügt werden. Die Beschwerde ist hinreichend zu begründen, andernfalls wird darauf nicht eingetreten (BGE 134 II 244 E. 2.1). In der Beschwerdeschrift ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). Unerlässlich ist, dass die Beschwerde auf die Begründung des angefochtenen Entscheids eingeht und im Einzelnen aufzeigt, worin eine Verletzung von Bundesrecht liegt. Die beschwerdeführende Partei soll in der Beschwerdeschrift nicht bloss die Rechtsstandpunkte, die sie im kantonalen Verfahren eingenommen hat, erneut bekräftigen, sondern mit ihrer Kritik an den als rechtsfehlerhaft erachteten Erwägungen der Vorinstanz ansetzen (BGE 140 III 86 E. 2 S. 89, 115 E. 2 S. 116).
Eine qualifizierte Rügepflicht gilt hinsichtlich der Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht. Das Bundesgericht prüft eine solche Rüge nur insofern, als sie in der Beschwerde präzise vorgebracht und begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 138 I 171 E. 1.4; 136 I 65 E. 1.3.1). Soweit die Beschwerdeschrift diesen Begründungsanforderungen nicht genügt, so ist darauf nicht einzutreten (BGE 136 I 65 E. 1.3.1). Macht die beschwerdeführende Partei eine Verletzung des Willkürverbots von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV geltend, genügt es nicht, wenn sie einfach behauptet, der angefochtene Entscheid sei willkürlich (BGE 134 II 349 E. 3 S. 352; 133 I 1 E. 5.5). Willkür liegt nicht schon dann vor, wenn eine andere Lösung ebenfalls in Betracht zu ziehen oder gar vorzuziehen wäre, sondern nur, wenn der angefochtene Entscheid offensichtlich unhaltbar ist, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht, eine Norm oder einen unumstrittenen Rechtsgrundsatz krass verletzt oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwiderläuft (BGE 140 III 16 E. 2.1; 139 III 334 E. 3.2.5 S. 339). Dass die von Sachgerichten gezogenen Schlüsse nicht mit der eigenen Darstellung der beschwerdeführenden Partei übereinstimmen,
belegt keine Willkür (BGE 140 III 264 E. 2.3 S. 266 mit Hinweisen). Erforderlich ist zudem, dass der Entscheid nicht nur in der Begründung, sondern auch im Ergebnis willkürlich ist (BGE 140 III 16 E. 2.1 S. 19 mit Hinweisen).

2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Dazu gehören sowohl die Feststellungen über den streitgegenständlichen Lebenssachverhalt als auch jene über den Ablauf des vor- und erstinstanzlichen Verfahrens, also die Feststellungen über den Prozesssachverhalt (BGE 140 III 16 E. 1.3.1 mit Hinweisen). Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz nur berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). "Offensichtlich unrichtig" bedeutet dabei "willkürlich" (BGE 140 III 115 E. 2 S. 117; 135 III 397 E. 1.5). Überdies muss die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein können (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG).

3.
Die Vorinstanz erwog, dass von einem gültigen Architektenvertrag zwischen den Parteien auszugehen sei. Die Beschwerdegegnerin anerkenne die Vereinbarung eines Zeithonorars und pauschal die Höhe des von der Beschwerdeführerin geltend gemachten Stundensatzes [von Fr. 122.75]. Damit habe die Beschwerdeführerin unstrittig einen grundsätzlichen Anspruch auf eine Vergütung der von ihr tatsächlich erbrachten Leistungen nach Zeitaufwand zum genannten Stundenansatz, sofern diese vertraglich vereinbart worden seien. Die Beschwerdeführerin habe infolge der Bestreitungen der Beschwerdegegnerin die von ihr tatsächlich erbrachten und notwendigen Arbeiten sowie ihren Zeitaufwand und dessen Angemessenheit so detailliert darzulegen, dass ein gezieltes Bestreiten durch die Beschwerdegegnerin sowie eine entsprechende Beweisabnahme möglich sei.
Die Vorinstanz kam zum Schluss, dass die Beschwerdeführerin die von ihr tatsächlich erbrachten und notwendigen Arbeiten sowie ihren Zeitaufwand und dessen Angemessenheit nicht rechtsgenüglich substanziiert habe. In einer Eventualbegründung legte die Vorinstanz sodann für gewisse beantragte Beweismittel dar, dass die Beschwerdeführerin damit den Beweis ihres Aufwandes nicht erbringen könnte, selbst wenn rechtsgenügliche Behauptungen angenommen würden.
Die Beschwerdegegnerin habe, so die Vorinstanz zusammenfassend, den Betrag von Fr. 397.70 anerkannt, womit sie verpflichtet sei, der Beschwerdeführerin diesen Betrag samt Verzugszinsen zu bezahlen. Da es der Beschwerdeführerin aber nicht gelungen sei, genügend zu behaupten und zu beweisen, welche für den Umbau notwendigen Arbeiten sie erbracht und welchen angemessenen Zeitaufwand sie dazu benötigt habe, sei die Klage im Übrigen abzuweisen.

4.

4.1.

4.1.1. Dagegen bringt die Beschwerdeführerin vor, sie habe entgegen den Ausführungen der Vorinstanz ihre Behauptungen genügend substanziiert.

4.1.2. Die Vorinstanz erwog im Einzelnen, die Beschwerdeführerin beschränke sich in ihren Rechtsschriften weitgehend auf die stichwortartige Auflistung angeblich erbrachter Arbeiten, ohne zu spezifizieren, wer diese wann genau und weshalb ausführte. Auch würden die jeweiligen Arbeitsergebnisse nicht näher individualisiert und teilweise gar nicht genannt, womit eine Überprüfung dieser Leistungen sowie deren Notwendigkeit für den Umbau bzw. ein substanziiertes Bestreiten nicht möglich sei. Einzig bezüglich der Vorprojektphase, Projektphase und Vorbereitungsphase werde wenigstens ansatzweise geschildert, welche Mitarbeiter in die entsprechenden Phasen involviert gewesen seien und in welchen Zeitraum die genannten Phasen fielen. Doch auch diese Ausführungen seien ungenügend. So werde in der Klagebegründung zwar immerhin auf die Baueingabepläne, die Kostenvorschläge sowie das Bauprogramm konkret verwiesen, doch würden diesbezüglich substanziierte Angaben fehlen, welche Person was genau, wann und weshalb tatsächlich machte. In der Replik mangle es dann wieder an jeglicher Individualisierung von Arbeitsergebnissen. Zudem werde nur selektiv bei wenigen Arbeiten erläutert, wer diese zu welcher Zeit ausgeführt habe.
Die einzigen einigermassen konkreten Angaben zu den Leistungen der Beschwerdeführerin könnten dem Zusammenzug der Leistungsnachweise (act. 19/17) entnommen werden, auf welchen die Beschwerdeführerin in der Replik verweise. Dabei handle es sich um eine Tabelle mit den Spalten "Datum", "Mitarbeiter", "Phase", "Arbeit" und "Stunden". Mit anderen Worten sei jeweils aufgelistet, an welchem Datum, welcher Mitarbeiter, in welcher Phase, welche Arbeit, zu wie vielen Stunden erbracht haben soll. Auch wenn es nicht zwingend nötig gewesen wäre, die Stundenliste im Volltext in die Rechtsschrift aufzunehmen, genüge jedoch der pauschale Verweis in der Replik nicht. Es hätten zumindest Erläuterungen und Konkretisierungen zu diesen Leistungsnachweisen in der Rechtsschrift selber erfolgen müssen. Denn die "Arbeiten" gemäss Leistungsnachweis würden sich nicht ohne Weiteres mit den in den Rechtsschriften geschilderten Leistungen in Einklang bringen lassen, womit es diesbezüglich an schlüssigen Vorbringen fehle. Zudem würden weitgehend Verweise auf spezifische Arbeitsergebnisse fehlen. Gewisse Positionen (z.B. "Besprechung", "Detailplanung" etc.) würden gar keine Rückschlüsse auf die konkret erbrachte Leistung zulassen. Schliesslich lege die
Beschwerdeführerin in keiner Weise dar - und es sei auch aus dem Leistungsausweis nicht ersichtlich - dass und warum die angeblich geleisteten Arbeiten für den Umbau notwendig gewesen seien. Die Behauptung, dass keine unnötigen Arbeiten ausgeführt worden seien, würde die Expertise bestätigen, sei viel zu pauschal und genüge vor dem Hintergrund der Bestreitungen der Beschwerdegegnerin nicht. Ein Gutachten sei nur dann einzuholen, wenn substanziierte Behauptungen vorliegen würden, die zu beweisen wären, und sei nicht dazu da, solche zu ersetzen.
Abgesehen von den notwendigen Leistungen hätte die Beschwerdeführerin, da die Beschwerdegegnerin den geltend gemachten Zeitaufwand sowie dessen Angemessenheit bestritten habe, beides substanziiert darzulegen und zu beweisen gehabt. In den Rechtsschriften mache die Beschwerdeführerin jedoch nur marginale Ausführungen zum benötigten Zeitaufwand. Ausführungen dazu, ob der erbrachte Zeitaufwand angemessen gewesen sei, würden gänzlich fehlen. In der Klagebegründung würden immerhin noch konkrete Zahlen genannt werden. Allerdings beschränke sich die Beschwerdeführerin auf das pauschale Nennen des Totals der geleisteten Stunden von C.________, D.________ und E.________ für die Vorprojektphase bzw. für die Projekt- und Vorbereitungsphase für die Ausführung. Sämtliche Vorbringen würden nur das Jahr 2012 betreffen. Zeitwand für im Jahr 2013 geleistete Arbeiten lege die Beschwerdeführerin nicht dar. Zähle man die aufgelisteten Stundenzahlen zusammen ergebe sich ein Resultat von insgesamt 216.25 Stunden, was jedoch weder dem Projekt-Rapport 2012 entspreche (den ebenfalls eingereichten Projekt-Rapport 2013 nenne die Beschwerdeführerin in diesem Zusammenhang nicht als Beweismittel), noch mit dem mit der Replik eingereichten Leistungsnachweis
(act. 19/17) übereinstimme, in welchem von 487.25 Stunden die Rede sei. Dennoch verlange die Beschwerdeführerin mit der Klage (und damit für nur 216.25 Stunden) die eingeklagte Summe. In der Replik nenne die Beschwerdeführerin dann betreffend ihrem Zeitaufwand keine einzige Zahl mehr. Für keine Leistung werde der Zeitaufwand beziffert.
Damit komme die Beschwerdeführerin, so die Vorinstanz weiter, den Substanziierungsanforderungen in ihren Rechtsschriften bei weitem nicht nach. Die einzigen genannten Stundenzahlen in der Klagebegründung seien entweder völlig unvollständig oder würden den eingereichten Beilagen widersprechen. Zudem fehle jegliche Zuordnung zu konkret erbrachten Leistungen, was sowohl für ein substanziiertes Bestreiten als auch für die Beweiserhebung zwingend erforderlich gewesen wäre. Schliesslich würden Ausführungen zur Angemessenheit des geltend gemachten Zeitaufwandes fehlen. Selbst wenn man die Ausführungen der Beschwerdeführerin, dass die Expertise bestätigen werde, dass die erbrachten Leistungen für die Realisierung des Projekts notwendig gewesen und dass keine unnötigen Arbeiten ausgeführt worden seien, auch auf die Angemessenheit des geltend gemachten Zeitaufwandes beziehen wollte, wären diese - wie dargelegt - ungenügend.
Auch diesbezüglich sei zudem der pauschale Verweis der Beschwerdeführerin in der Replik auf den von ihr eingereichten Leistungsnachweis (act. 19/17) unbehelflich. Denn auch hier hätten zumindest die grundlegenden Zeitangaben sowie gewisse Erläuterungen dazu in der Rechtsschrift erfolgen müssen. So würden sich die Arbeiten gemäss Leistungsnachweis nicht ohne Weiteres den von der Beschwerdeführerin, insbesondere in Randziffer 22 der Replik aufgelisteten Leistungen, zuordnen lassen, womit auch die Zuordnung der aufgeführten Stunden nicht möglich sei. Es hätte vielmehr für jede in der Rechtsschrift aufgelistete Leistung entweder dort dargestellt oder zumindest auf konkrete Positionen des Leistungsnachweises exakt verwiesen werden müssen. Auch würden die Arbeitsergebnisse weitgehend nicht individualisiert. Informationen zur Angemessenheit des deklarierten Zeitaufwands seien keine ersichtlich. Die Beschwerdeführerin nenne nicht einmal das Total der aufgewendeten Stunden in den Rechtsschriften selber, obwohl der Zeitaufwand unstrittig neben dem Stundenansatz die entscheidende Grösse zur Berechnung ihres Honoraranspruches sei. Selbst wenn man die 487.25 Arbeitsstunden gemäss Leistungsnachweis mit dem geltend gemachten durchschnittlichen
Stundensatz von Fr. 122.75 multipliziere und die Mehrwertsteuer hinzurechne, ergebe dies nicht den eingeklagten Betrag von Fr. 65'997.70, sondern Fr. 64'594.75 und damit rund Fr. 1'400.-- weniger. Auch diesbezüglich fehle es an schlüssigen Vorbringen. Insgesamt sei die pauschale Integration des Leistungsnachweises in die Replik nicht hinreichend.

4.1.3. Die dagegen vorgebrachten Ausführungen der Beschwerdeführerin gehen fehl:
Zunächst ist es nicht zielführend, bloss zu behaupten, sie habe ein Gutachten offeriert, ohne sich mit den vorinstanzlichen Erwägungen auseinanderzusetzen, wonach ein solcher Beweisantrag eine rechtsgenügliche Substanziierung nicht zu ersetzen vermöge. Darauf ist nicht einzutreten (vgl. Erwägung 2.1). Gleiches gilt, wenn die Beschwerdeführerin bloss weitere Beweisanträge aufzählt und der Vorinstanz vorwirft, sie hätte "zunächst die offerierten Beweise abnehmen" müssen. Auch damit lässt sie den berechtigten Vorhalt der Vorinstanz, dass Beweisanträge eine rechtsgenügliche Substanziierung nicht ersetzen können, unberührt.
Sodann kommt die Beschwerdeführerin den Rügeanforderungen nicht nach (vgl. Erwägung 2.1), indem sie bloss vorbringt, der Widerspruch zwischen den Stundenzahlen in der Klagebegründung und den eingereichten Beilagen von Fr. 1'400.-- sei "nicht derart gravierend", dass ihr "daraus ein Strick gedreht werden" dürfe, ohne sich diesbezüglich mit den Ausführungen der Vorinstanz rechtsgenüglich auseinanderzusetzen, geschweige denn hinreichend aufzuzeigen, inwiefern die Vorinstanz hier Bundesrecht verletzt haben sollte.
Ebenso ungenügend ist es, wenn die Beschwerdeführerin lediglich entgegen der Auffassung der Vorinstanz behauptet, dass sie bezüglich der Vorprojekt-, Projekt- und Vorbereitungsphase ihrer Substanziierungspflicht nachgekommen sei und anschliessend verschiedene Beweisofferten aufzählt, auf welche sie in den vorinstanzlichen Rechtsschriften verwiesen habe. Vielmehr hätte sie mit präzisen Aktenhinweisen aufzeigen müssen, dass sie entgegen der Auffassung der Vorinstanz in ihren Rechtsschriften substanziiert behauptet habe, welche ihrer Mitarbeiter welche Arbeiten wann ausgeführt haben und weshalb diese für den Umbau notwendig gewesen waren. Dem kommt die Beschwerdeführerin nicht hinreichend nach, sodass auch darauf nicht einzutreten ist.
Schliesslich ist es nicht genügend, wenn die Beschwerdeführerin bloss entgegen den Erwägungen der Vorinstanz behauptet, dass sie mit dem mit der Replik eingereichten Leistungsnachweis ihrer Substanziierungspflicht nachgekommen sei, ohne hinreichend auf die Erwägung der Vorinstanz einzugehen, dass der reine Verweis auf den Leistungsnachweis nicht genüge und zumindest Erläuterungen und Konkretisierungen zu diesem Leistungsnachweis in der Rechtsschrift selbst hätten erfolgen müssen. Auch darauf ist nicht einzutreten.

4.1.4. Nach dem Gesagten ist auf die Rüge der Beschwerdeführerin, sie habe ihre Behauptungen rechtsgenügend substanziiert, nicht einzutreten. Dass die Vorinstanz die Anforderungen an die Substanziierung verkannt hätte (vgl. dazu Urteil 4A 552/2015 vom 25. Mai 2016 E. 2.6 und 3.4 mit Hinweisen), macht die Beschwerdeführerin nicht geltend. Damit trägt bereits die Hauptbegründung der Vorinstanz, sodass auf die vorinstanzliche Eventualbegründung nicht eingegangen zu werden braucht, wonach selbst bei Annahme von rechtsgenüglichen Behauptungen die Beschwerdeführerin den Beweis ihres Aufwandes nicht erbringen könnte.

4.2.

4.2.1. Die Beschwerdeführerin bringt sodann vor, die Vorinstanz habe es an der nach dem ersten Schriftenwechsel durchgeführten Vergleichsverhandlung unterlassen, sie auf allfällige Mängel bzw. Unklarheiten in der Argumentation aufmerksam zu machen. Die Vorinstanz habe keine Substanziierungshinweise erteilt. Hätte die Vorinstanz sie auf die genannten Punkte aufmerksam gemacht, hätte sie in der Replik ausführliche Angaben dazu gemacht. Indem die Vorinstanz jedoch ohne jegliche Vorwarnung ihre Forderung mangels hinreichender Substanziierung abgewiesen habe und sie "direkt ins Messer" habe laufen lassen, habe sie Art. 52
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 52 Respect des règles de la bonne foi - Quiconque participe à la procédure doit se conformer aux règles de la bonne foi.
ZPO, Art. 55
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
ZPO und Art. 56
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 56 Interpellation par le tribunal - Le tribunal interpelle les parties lorsque leurs actes ou déclarations sont peu clairs, contradictoires, imprécis ou manifestement incomplets et leur donne l'occasion de les clarifier et de les compléter.
ZPO verletzt. Das willkürliche Ergebnis des von der Vorinstanz eingeschlagenen Verfahrens impliziere sodann ein willkürliches Vorgehen bei der Prozessführung, was Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV verletze. Schliesslich habe die Vorinstanz ihren Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV verletzt.

4.2.2. Indem die Beschwerdeführerin einzig behauptet, dass das Verhalten der Vorinstanz willkürlich und unverhältnismässig sei sowie jeglichem Gerechtigkeitsempfinden widerspreche oder unbelegt behauptet, dass die Vorinstanz bei anderen Prozessen anders handle, genügt sie den strengen Anforderungen an eine Willkürrüge nach Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV nicht (Erwägung 2.1). Gleiches gilt, wenn sie lediglich in zwei Fussnoten in ihrer Beschwerdeschrift behauptet, dass ihr Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV verletzt sei, ohne dies weiter zu begründen. Darauf ist nicht einzutreten.

4.2.3. Ist das Vorbringen einer Partei unklar, widersprüchlich, unbestimmt oder offensichtlich unvollständig, so gibt ihr das Gericht durch entsprechende Fragen Gelegenheit zur Klarstellung und zur Ergänzung (Art. 56
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 56 Interpellation par le tribunal - Le tribunal interpelle les parties lorsque leurs actes ou déclarations sont peu clairs, contradictoires, imprécis ou manifestement incomplets et leur donne l'occasion de les clarifier et de les compléter.
ZPO). Nach der Verhandlungsmaxime tragen grundsätzlich die Parteien die Verantwortung für die Beibringung des Tatsachenfundaments. Der Zweckgedanke der allgemeinen gerichtlichen Fragepflicht nach Art. 56
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 56 Interpellation par le tribunal - Le tribunal interpelle les parties lorsque leurs actes ou déclarations sont peu clairs, contradictoires, imprécis ou manifestement incomplets et leur donne l'occasion de les clarifier et de les compléter.
ZPO besteht darin, dass eine Partei nicht wegen Unbeholfenheit ihres Rechts verlustig gehen soll, indem der Richter bei klaren Mängeln der Parteivorbringen helfend eingreifen soll. Die Ausübung der gerichtlichen Fragepflicht darf keine Partei einseitig bevorzugen und nicht zu einer Verletzung des Grundsatzes der Gleichbehandlung der Parteien führen. Vor allem dient die gerichtliche Fragepflicht nicht dazu, prozessuale Nachlässigkeiten der Parteien auszugleichen (Urteile 4A 78/2014 vom 23. September 2014 E. 3.3.3; 4A 375/2015 vom 26. Januar 2016 E. 7.1 nicht publ. in BGE 142 III 102; je mit Hinweisen). Wie weit das Gericht eingreifen soll, hängt von den Umständen des Einzelfalls ab, namentlich von der Unbeholfenheit der betroffenen Partei. Bei anwaltlich vertretenen Parteien hat die richterliche Fragepflicht nur eine
sehr eingeschränkte Tragweite (Urteile 4A 336/2014 vom 18. Dezember 2014 E. 7.6; 4A 375/2015 vom 26. Januar 2016 E. 7.1 nicht publ. in BGE 142 III 102; je mit Hinweisen).

4.2.4. Die Beschwerdeführerin war im Verfahren vor der Vorinstanz von Anfang an anwaltlich vertreten. Die ebenfalls anwaltlich vertretene Beschwerdegegnerin machte die Beschwerdeführerin bereits in der Klageantwort auf die ungenügende Substanziierung ihrer Behauptungen aufmerksam, indem sie unter anderem erklärte, dass die Beschwerdeführerin mit ihren Ausführungen "sehr vage und unbestimmt" bleibe, dass es ihr nicht möglich sei, die Behauptungen zu verifizieren, weshalb diese mit Nichtwissen bestritten würden und dass die Beschwerdeführerin mit ihren pauschalen Ausführungen zu den effektiv geleisteten Stunden ihrer Substanziierungspflicht nicht nachgekommen sei. Wenn die Beschwerdeführerin es trotz Hinweises der Beschwerdegegnerin unterliess, ihre Forderung rechtsgenüglich zu substanziieren, wozu in der Replik Gelegenheit bestanden hätte, hat sie dies ihrer eigenen Nachlässigkeit zuzuschreiben (vgl. Urteil 4A 57/2014 vom 8. Mai 2014 E. 1.3.3 mit Hinweisen). Es ist nicht Sache des Gerichts, im Rahmen der gerichtlichen Fragepflicht prozessuale Nachlässigkeiten der Parteien auszugleichen. Für die Vorinstanz bestand nach dem Gesagten kein Grund, die Beschwerdeführerin auf die mangelhafte Substanziierung hinzuweisen. Die Rüge einer
Verletzung von Art. 56
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 56 Interpellation par le tribunal - Le tribunal interpelle les parties lorsque leurs actes ou déclarations sont peu clairs, contradictoires, imprécis ou manifestement incomplets et leur donne l'occasion de les clarifier et de les compléter.
ZPO ist daher unbegründet.
Inwiefern das Verhalten der Vorinstanz gegen den Grundsatz von Treu und Glauben nach Art. 52
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 52 Respect des règles de la bonne foi - Quiconque participe à la procédure doit se conformer aux règles de la bonne foi.
ZPO oder gegen Art. 55
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
ZPO verstossen würde, legt die Beschwerdeführerin schliesslich nicht hinreichend dar und ist auch nicht erkennbar. Auch diese Rügen gehen fehl.

4.3. Nach dem Gesagten kann auf die Beschwerde grösstenteils nicht eingetreten werden. Im Übrigen ist sie abzuweisen. Bei diesem Ausgang des Verfahrens wird die Beschwerdeführerin kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Der Beschwerdegegnerin, der aus dem bundesgerichtlichen Verfahren kein Aufwand erwachsen ist, ist keine Parteientschädigung zuzusprechen (Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Handelsgericht des Kantons Zürich schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 20. Dezember 2016

Im Namen der I. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Kiss

Der Gerichtsschreiber: Brugger