Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

6B 1028/2022

Urteil vom 15. Februar 2023

Strafrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichterin van de Graaf,
Bundesrichterin Koch,
Gerichtsschreiberin Meier.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Alexander Prechtl,
Beschwerdeführer,

gegen

Staatsanwaltschaft des Kantons St. Gallen, Spisergasse 15, 9001 St. Gallen,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Urkundenfälschung; mehrfache Erschleichung einer falschen Beurkundung; Strafzumessung; Willkür,

Beschwerde gegen den Entscheid des Kantonsgerichts St. Gallen, Strafkammer, vom 5. April 2022
(ST.2020.73-SK3).

Sachverhalt:

A.
Das Kreisgericht St. Gallen sprach A.________ mit Urteil vom 6. März 2020 der mehrfachen Urkundenfälschung betreffend die Aktivierung von nicht vorhandenem Material in der Buchhaltung der B.________ AG und basierend darauf der Erstellung der Jahresrechnung der B.________ AG schuldig. Von den Vorwürfen der mehrfachen Urkundenfälschung betreffend die Erstellung von sieben Rechnungen der anscheinsweisen Ausstellerin C.________ AG, der ungetreuen Geschäftsbesorgung in Bereicherungsabsicht, der Urkundenfälschung betreffend die Erstellung eines inhaltlich unwahren Kapitalerhöhungsberichts sowie der mehrfachen Erschleichung einer falschen Beurkundung sprach es ihn frei. Das Strafverfahren wegen unwahren Angaben über kaufmännisches Gewerbe stellte es ein. Es bestrafte ihn mit einer bedingten Geldstrafe von 240 Tagessätzen zu Fr. 95.--, als Zusatzstrafe zum Urteil des Kreisgerichts St. Gallen vom 14. Mai 2012. A.________ erhob gegen dieses Urteil Berufung und die Staatsanwaltschaft Anschlussberufung.

B.
Das Kantonsgericht St. Gallen sprach A.________ mit Entscheid vom 5. April 2022 der Urkundenfälschung betreffend die Erstellung eines inhaltlich unwahren Kapitalerhöhungsberichts im Sinne von Art. 251 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB und der mehrfachen Erschleichung einer falschen Beurkundung im Sinne von Art. 253
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 253 - Quiconque, en induisant en erreur un fonctionnaire ou un officier public, l'amène à constater faussement dans un titre authentique un fait ayant une portée juridique, notamment à certifier faussement l'authenticité d'une signature ou l'exactitude d'une copie,
StGB schuldig (Ziff. 4). Von den Vorwürfen der mehrfachen Urkundenfälschung betreffend die Erstellung von sieben Rechnungen der anscheinsweisen Ausstellerin C.________ AG im Sinne von Art. 251 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB sowie der ungetreuen Geschäftsbesorgung in Bereicherungsabsicht im Sinne von Art. 158 Ziff. 1 Abs. 3
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
1    Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
2    Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
3    La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte.
StGB sprach es ihn frei (Ziff. 3). Das Strafverfahren wegen unwahren Angaben über kaufmännische Gewerbe im Sinne von Art. 152
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 152 - Quiconque, en qualité de fondateur, titulaire, associé indéfiniment responsable, fondé de pouvoir, membre de l'organe de gestion, du conseil d'administration ou de l'organe de révision ou liquidateur d'une société commerciale, coopérative ou d'une autre entreprise exploitée en la forme commerciale,
StGB und mehrfacher Urkundenfälschung betreffend die Aktivierung von nicht vorhandenem Material in der Buchhaltung der B.________ AG und basierend darauf der Erstellung der Jahresrechnung der B.________ AG im Sinne von Art. 251 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB stellte es ein (Ziff. 2). Es bestrafte ihn mit einer bedingten Geldstrafe von 180 Tagessätzen zu Fr. 170.--, als Zusatzstrafe zum Entscheid des Kantonsgerichts St. Gallen vom 22. November 2012 (Ziff. 5).

C.
A.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen, das Urteil des Kantonsgerichts St. Gallen vom 5. April 2022 sei in Bezug auf die Dispositivziffern 4, 5, 6 und 8 aufzuheben. Er sei vom Vorwurf der Urkundenfälschung und der mehrfachen Erschleichung einer falschen Beurkundung freizusprechen.

Erwägungen:

1.

1.1. Der Beschwerdeführer rügt die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung sowie die Verletzung des Grundsatzes "in dubio pro reo". Die Würdigung des Ablaufs der Kapitalerhöhung sei falsch und willkürlich.

1.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG; vgl. auch Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Offensichtlich unrichtig im Sinne von Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG ist die Sachverhaltsfeststellung, wenn sie willkürlich ist (BGE 147 IV 73 E. 4.1.2; 146 IV 88 E. 1.3.1; 145 IV 154 E. 1.1; je mit Hinweisen). Willkür liegt nach ständiger Rechtsprechung nur vor, wenn die vorinstanzliche Beweiswürdigung schlechterdings unhaltbar ist, das heisst, wenn die Behörde in ihrem Entscheid von Tatsachen ausgeht, die mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch stehen oder auf einem offenkundigen Fehler beruhen. Dass eine andere Lösung ebenfalls möglich erscheint, genügt nicht (BGE 147 IV 73 E. 4.1.2; 145 IV 154 E. 1.1; 143 IV 500 E. 1.1, 241 E. 2.3.1; je mit Hinweisen). Hinsichtlich des Vorbringens, der Sachverhalt sei offensichtlich unrichtig festgestellt worden, gilt das strenge
Rügeprinzip (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Demnach ist anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids klar und detailliert aufzuzeigen, inwiefern die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung willkürlich sein soll (vgl. BGE 147 IV 73 E. 4.1.2; 146 IV 114 E. 2.1). Auf ungenügend begründete Rügen oder allgemeine appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 147 IV 73 E. 4.1.2; 146 IV 88 E. 1.3.1; je mit Hinweisen).
Dem Grundsatz "in dubio pro reo" kommt in seiner Funktion als Beweiswürdigungsregel im Verfahren vor Bundesgericht keine über das Willkürverbot von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV hinausgehende Bedeutung zu (BGE 146 IV 88 E. 1.3.1; 145 IV 154 E. 1.1; je mit Hinweisen).

1.3.

1.3.1. Die Anklage wirft dem Beschwerdeführer im Wesentlichen vor, am 8. März 2010 habe er als Mitglied der Geschäftsleitung und als einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsrat der B.________ AG einen Kapitalerhöhungsbericht für die Kapitalerhöhung der B.________ AG von Fr. 100'000.-- auf Fr. 2'000'000.-- durch Verrechnungsliberierung verfasst. Im Kapitalerhöhungsbericht habe er festgehalten, die zur Verrechnung anstehende Forderung der B.________ Holding AG im Betrag von Fr. 1'900'000.-- existiere tatsächlich und sei vollständig für die Verrechnung geeignet, erfüllbar und fällig. Die Forderung habe er im Einzelnen aufgeführt : Überweisung/Übertrag von Fr. 250'000.-- am 20. Januar 2010, Fr. 800'000.-- am 24. Januar 2010, Fr. 150'000.-- am 27. Januar 2010 und Fr. 700'000.-- am 29. Januar 2010. Als Beleg habe er das Kontoblatt Nr. xxx der B.________ AG, Geschäftsjahr 2009/2010, und einen Auszug aus dem D.________-Konto yyy der B.________ AG verwendet. Die Beträge habe er tatsächlich auf das D.________konto der B.________ AG überweisen lassen. Jedoch habe er bereits am 1. Februar 2010 den zur Kapitalerhöhung verwendete Betrag von Fr. 800'000.-- zu Lasten der B.________ AG der B.________ Holding AG zurückvergütet. Deshalb habe sich
dieser bei Abfassung des Kapitalerhöhungsberichts vom 8. März 2010 nicht mehr auf dem Konto der B.________ AG befunden.
Am 8. März 2010 habe der Beschwerdeführer den Notar und Rechtsanwalt E.________ die öffentliche Urkunde über den "Beschluss Generalversammlung über ordentliche Kapitalerhöhung und Statutenänderung" sowie über den "Beschluss Verwaltungsrat über Durchführung von Kapitalerhöhung und Statutenänderung" der B.________ AG errichten lassen. Darin werde unter anderem die Erhöhung des Aktienkapitals um Fr. 1'900'000.-- durch Verrechnungsliberierung zu 100 % als gedeckt attestiert. Dass der Beschwerdeführer namens der B.________ AG bereits am 1. Februar 2010 Fr. 800'000.-- wieder an die B.________ Holding AG überwiesen habe, sei der Urkundsperson E.________ nicht bekannt gewesen. Zudem habe der Beschwerdeführer durch E.________ die Statutenänderung der B.________ AG inkl. des erhöhten Aktienkapitals beurkunden lassen. Auf der Grundlage der auf diese Weise erschlichenen öffentlichen Urkunden habe der Beschwerdeführer die Kapitalerhöhung beim Handelsregisteramt des Ka ntons Zürich zur Eintragung in das Handelsregister angemeldet.

1.3.2. Die Vorinstanz erachtet den Anklagesachverhalt als erstellt.

1.4.

1.4.1. Der Beschwerdeführer beschränkt sich im Wesentlichen darauf, seine Sicht der Dinge darzutun. Überdies macht er nicht geltend, die Vorinstanz setze sich mit seinen Rü gen nicht auseinander (vgl. Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG).

1.4.2. Der Vorinstanz kann nicht vorgeworfen werden, sie würdige die Kapitalerhöhung der B.________ AG als in sich geschlossenen Vorgang und erwähne berechnend nie, dass die Kapitalerhöhung der B.________ AG im ausdrücklichen Willen aller Beteiligten erfolgt sowie deren Grundlage das Generalversammlungsprotokoll vom 18. Januar 2010 sei. Gegenstand der Anklage ist der Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010, der Bestand bzw. die Höhe der für die Liberierung der Kapitalerhöhung der B.________ AG zu verrechnenden Forderung so wie die Funktion des Beschwerdeführers in diesem Zusammenhang. Das Gericht ist an den in der Anklage umschriebenen Sachverhalt gebunden (Art. 350 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 350 Latitude dans l'appréciation de l'accusation; fondements du jugement - 1 Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public.
1    Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public.
2    Il prend en compte les preuves administrées durant la procédure préliminaire et lors des débats.
StPO). Sodann stehen die Vorbringen des Beschwerdeführers in einem Widerspruch. Einerseits stellt er sich auf den Standpunkt, die Kapitalerhöhungen der B.________ AG und der F.________ AG seien zeitgleich erfolgt. Andererseits macht er geltend, die Zahlung vom 1. Februar 2010 der B.________ AG an die B.________ Holding AG sei zum Zweck der Kapitalerhöhung bei der F.________ AG erfolgt. Der für die Kapitalerhöhung der B.________ AG verwendete Betrag in der Höhe von Fr. 800'000.-- wurde zum Zweck der Kapitalerhöhung der F.________ AG am 1.
Februar 2010 an die B.________ Holding AG gezahlt und war folglich bei der Kapitalerhöhung der B.________ AG nicht mehr vorhanden, sondern für die Kapitalerhöhung der F.________ AG eingesetzt. Somit ist der Schluss der Vorinstanz nicht unhaltbar, de facto habe der Beschwerdeführer den Betrag von Fr. 800'000.-- letztlich für zwei Kapitalerhöhungen verwendet. Offen bleiben kann vorliegend, ob die Kapitalerhöhung der B.________ AG effektiv am 26. Februar 2010 oder am 8. März 2010 beurkundet wurde und sich aus zwei Vorgängen zusammensetzt. Der Bestand bzw. die Höhe der für die Liberierung der Kapitalerhöhung der B.________ AG zu verrechnenden Forderung beurteilt sich vorliegend im Zusammenhang mit der Zahlung vom 1. Februar 2010.

1.4.3. Die Vorinstanz befasst sich mit der Argumentation des Beschwerdeführers, die Überweisung vom 1. Februar 2010 sei keine Rückzahlung der Forderung gewesen, sondern zum Zweck der Kapitalerhöhung bei der F.________ AG erfolgt, wobei die B.________ AG die Beteiligung an der F.________ AG erhalten habe. Sie gelangt zum Schluss, aufgrund der Zahlung am 1. Februar 2010 von Fr. 800'000.-- habe dieser Betrag der B.________ AG im Zeitpunkt der Abfassung des Kapitalerhöhungsberichts gefehlt. Die Vorinstanz bringt gegen die Argumentation des Beschwerdeführers zunächst vor, die Beteiligung der B.________ AG an der F.________ AG sei erst per 31. Dezember 2010 eingebucht worden. Dem hält der Beschwerdeführer pauschal entgegen, dass der Zeitpunkt der Einbuchung der F.________ AG Beteiligung vorliegen d keine Relevanz habe. Angesichts des Zeitpunkts der Kapitalerhöhung im Frühjahr 2010 und in Anbetracht, dass die Zahlung vom 1. Februar 2010 auch im entsprechenden Zeitpunkt verbucht wurde sowie das Kontoblatt Nr. xxx der B.________ AG, Geschäftsjahr 2009/2010, als Beleg verwendet wurde, ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz auch den Zeitpunkt der Einbuchung der F.________ AG Beteiligung per 31. Dezember 2010 mit in ihre Beurteilung
einbezieht und zum Schluss gelangt, dieses Aktivum sei der B.________ AG im Zeitpunkt der Kapitalerhöhung nicht zur Verfügung gestanden. Davon abzugrenzen und vorliegend nicht Verfahrensgegenstand sind die Rechnungslegungspraxis sowie die Bilanzwahrheit. Dem Beschwerdeführer wird auch nicht grundsätzlich der Vorwurf gemacht, er sei nicht für das Rechnungswesen der B.________-Gruppe zuständig bzw. nicht berechtigt gewesen, Zahlungen und Buchungen für diese vorzunehmen. Überdies bringt er vor, die Forderung der B.________ AG gegenüber der B.________ Holding AG in der Höhe von Fr. 800'000.-- habe nichts mit der Einbuchung des Aktienkapitals der F.________ AG zu tun. Dadurch gesteht er selbst ein, dass die Zahlung vom 1. Februar 2010 und die Beteiligung der F.________ AG in keinem Leistungs-Gegenleistungs-Verhältnis standen. In rechtlicher Hinsicht sei diese Zahlung gemäss dem Beschwerdeführer ein Surrogat, eine werthaltige Forderung. Eine Veränderung der Gesellschaftsverhältnisse ergibt sich nicht lediglich aufgrund der Zahlung vom 1. Februar 2010 von der B.________ AG an die B.________ Holding AG. Ebenso wenig ergibt sich einzig aus einer gemeinsamen Beschlussfassung über die Kapitalerhöhung die Art und Weise deren Umsetzung. Laut
dem Beschwerdeführer sei diese werthaltige Forderung in der Folge mit der Beteiligung an der F.________ AG getilgt worden. Er habe seine Verantwortung als einzelzeichnungsberechtigter Leiter Recht und Finanzen wahrgenommen, indem er das Forderungssurrogat in Bezug auf die fraglichen Fr. 800'000.-- mittels Übertragung der Beteiligung an der F.________ AG in das Anlagevermögen der B.________ AG mit einem werthaltigen Vermögenswert ersetzt habe. Er habe in dieser Eigenschaft in Eigenkompetenz darüber entscheiden dürfen. Dabei macht er weder geltend noch ist ersichtlich, dass über diese werthaltige Forderung und die Beteiligung an der F.________ AG (als Leistungs-Gegenleistungs-Verhältnis) oder über die Zahlung vom 1. Februar 2010 (als Rückzahlung oder als neues Geschäft mit neuem Rechtsgrund) eine Vereinbarung zwischen den beiden Gesellschaften, B.________ AG und B.________ Holding AG, getroffen wurde. Dass die Vorinstanz unter Berücksichtigung der Gesamtumstände auf eine Rückzahlung schliesst, ist nicht unhaltbar, zumal der Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG im Zeitpunkt der Zahlung vom 1. Februar 2010 weder verfasst noch durch eine Urkundsperson amtlich beglaubigt worden war und damit die Verrechnung noch nicht erklärt
worden war (vgl. Art. 124 Abs. 1
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 124 - 1 La compensation n'a lieu qu'autant que le débiteur fait connaître au créancier son intention de l'invoquer.
1    La compensation n'a lieu qu'autant que le débiteur fait connaître au créancier son intention de l'invoquer.
2    Les deux dettes sont alors réputées éteintes, jusqu'à concurrence du montant de la plus faible, depuis le moment où elles pouvaient être compensées.
3    Sont réservés les usages particuliers du commerce en matière de compte courant.
OR in der bis 31. Dezember 2010 in Kraft gestandenen Fassung; aktuell gültige Fassung unverändert). Selbst wenn die B.________ AG mit der Rückzahlung von Fr. 800'000.-- an die Muttergesellschaft eine Forderung gegenüber letzterer erhalten hätte, was im Übrigen nicht festgestellt worden war und auch nicht ersichtlich ist, ändert dies nichts daran, dass im Zeitpunkt der Beurkundung des Kapitalerhöhungsberichts die Verrechnungsforderung nicht wie beurkundet Fr. 1'900'000.--, sondern um Fr. 800'000.-- reduziert Fr. 1'100'000.-- betragen hatte, der Kapitalerhöhungsbericht daher inhaltlich falsch war. Zudem argumentiert die Vorinstanz damit, dass der Beschwerdeführer im Kapitalerhöhungsbericht der F.________ AG vom 26. Februar 2010 bestätigt habe, dass die zur Verrechnung stehende Forderung im Betrag von Fr. 900'000.-- tatsächlich bestehe und vollständig für die Verrechnung der Liberierungsschuld geeignet sei. Für sie erscheint in Anbetracht des Grundsatzes "dealing at arm's length" in berechtigter Weise als relevant und nicht als nachvollziehbar, weshalb die B.________ AG mit einer Zahlung von Fr. 800'000.-- eine Beteiligung an 900'000 Namenaktien zu einem Nennwert von je Fr. 1.--, somit in der Höhe von
Fr. 900'000.--, erhalten haben soll. Nichts an dieser vorinstanzlichen Erwägung zu ändern vermag, da ss zwischen den Gesellschaftern der B.________-Gruppe Kontokorrentverhältnisse bestanden hätten, diese anlässlich der Unterzeichnung der Rahmenvereinbarung vom 14. Juli 2011 von allen Beteiligten vollumfänglich anerkannt und weder durch die Untersuchung noch durch die Vorinstanz inhaltlich kritisiert oder gar als falsch dargestellt worden seien. Weiter erachtet die Vorinstanz die Argumentation der Verteidigung auch aufgrund der Vereinbarung zur gegenseitigen Bereinigung der Forderungen zwischen der B.________ Holding AG, der F.________ AG, der G.________ AG und der B.________ AG vom 29. Juli 2011 als nicht zutreffend. Darin werde festgehalten: "Die Übertragung von Fr. 900'000.-- an der F.________ AG per 31. Dezember 2010 von der B.________ Holding AG an die B.________ AG wird rückgängig gemacht. Das Konto zzz der B.________ AG Beteiligung F.________ AG wird zu diesem Zweck rückwirkend per 31. Dezember 2010 aufgelöst und die Aktien werden auf die B.________ Holding AG zurückübertragen bzw. es wird festgestellt, dass nie eine Aktienübertragung stattfand. Durch diesen Vorgang und den Kontokorrentverkehr 2011 erhöht sich die
Kontokorrentforderung der B.________ AG gegenüber der B.________ Holding AG auf Fr. 1'106'818.-- (Wert, per 20. Juli 2011) ". Entsprechend sei das Konto zzz der B.________ AG "Beteiligung F.________ AG" rückwirkend per 31. Dezember 2010 aufgelöst worden. Version 1 der Jahresrechnung der B.________ AG enthalte somit fälschlicherweise nicht existentes Anlagevermögen, welches ab Version 2, die ebenfalls vom Beschwerdeführer erstellt worden sei, fehle. Der Beschwerdeführer kritisiert, die "Vereinbarung zur gegenseitigen Bereinigung der Forderungen" vom 20. Juli 2011 stehe in einem klaren Unterordnungsverhältnis zum "Rahmenvertrag über die Aufteilung der B.________-Gruppe" vom 14. Juli 2011. Dies ergebe sich direkt aus dem Rahmenvertrag. In dessen Ziffer 3 lit. a stehe: "Die Übertragung von Fr. 900'000.-- Beteiligung an der F.________ AG per 31. Dezember 2010 von der B.________ Holding AG an die B.________ AG werde rückgängig gemacht. Das Konto zzz der B.________ AG Beteiligung F.________ AG werde zu diesem Zweck rückwirkend per 31. Dezember 2010 aufgelöst und die Aktien werden auf die B.________ Holding AG zurückübertragen". Diese Formulierung zeige, dass die Beteiligung an der F.________ AG bestanden habe. Version 2 der
Jahresrechnung der B.________ AG führt anstelle der Beteiligung an der F.________ AG keinen entsprechenden Gegenwert auf. Vielmehr ist deren Wert im Vergleich zur Version 1 der Jahresrechnung der B.________ AG vermindert. Dies untermauert den Schluss der Vorinstanz, und zwar selbst unter der Annahme, dass die Beteiligung an der F.________ AG tatsächlich bestanden hat, zumal die Beteiligung diesfalls ohne Gegenleistung auf die B.________ Holding AG zurückübertragen wurde. Überdies deutet gemäss der Vorinstanz ebenso der Aktionärbindungsvertrag vom 22. Dezember 2009 darauf hin, dass keine Beteiligung der B.________ AG an der F.________ AG bestanden haben könne. Darin sei vereinbart worden, dass alle Tochtergesellschaften zu 100 % im Eigentum des Mutterkonzerns B.________ Holding AG stünden. Hierbei ist dem Beschwerdeführer beizupflichten, wonach der Aktionärbindungsvertrag vom 22. Dezember 2009 eine von diesem Zeitpunkt an zukünftige Änderung der Gesellschaftsverhältnisse nicht ausschliesst.

1.4.4. Zusammengefasst ist der Schluss der Vorinstanz nicht unhaltbar, wonach aufgrund der Zahlung am 1. Februar 2010 von Fr. 800'000.-- an die B.________ Holding AG dieser Betrag der B.________ AG im Zeitpunkt der Abfassung des Kapitalerhöhungsberichts für deren Liberierung gefehlt habe. Insgesamt vermag der Beschwerdeführer keine willkürliche Sachverhaltsfeststellung und keine Verletzung des Grundsatzes "in dubio pro reo" darzulegen.

2.

2.1. Der Beschwerdeführer wendet sich gegen den Schuldspruch im Sinne von Art. 251
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB. Konkret moniert er in objektiver Hinsicht, der Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010 sei nicht unwahr gewesen. Auch der subjektive Tatbestand sei nicht erfüllt.

2.2.

2.2.1. Gemäss Art. 251 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB macht sich unter anderem strafbar, wer in der Absicht, jemanden am Vermögen oder an anderen Rechten zu schädigen oder sich oder einem anderen einen unrechtmässigen Vorteil zu verschaffen, eine Urkunde fälscht oder verfälscht.
Die Falschbeurkundung betrifft die Errichtung einer echten, aber unwahren Urkunde, bei der der wirkliche und der in der Urkunde enthaltene Sachverhalt nicht übereinstimmen. Sie erfordert eine qualifizierte schriftliche Lüge. Eine solche nimmt die Rechtsprechung an, wenn dem Schriftstück eine erhöhte Glaubwürdigkeit zukommt und der Adressat ihm daher ein besonderes Vertrauen entgegenbringt. Dies ist der Fall, wenn allgemeingültige objektive Garantien die Wahrheit der Erklärung gegenüber Dritten gewährleisten, die gerade den Inhalt bestimmter Schriftstücke näher festlegen (BGE 146 IV 258 E. 1.1; 144 IV 13 E. 2.2.2; je mit Hinweisen). Eine objektive Garantie für die Wahrheit kann sich unter anderem aus einer garantieähnlichen Stellung des Ausstellers ergeben bzw. wenn dieser in einem besonderen Vertrauensverhältnis zum Empfänger steht (BGE 144 IV 13 E. 2.2.3 mit Hinweisen).
Art. 251 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB verlangt in subjektiver Hinsicht ein Handeln in der Absicht, jemanden am Vermögen oder an anderen Rechten zu schädigen oder sich oder einem anderen einen unrechtmässigen Vorteil zu verschaffen. Im Hinblick auf die Unwahrheit, die Täuschung und Schädigungs- resp. Vorteilsverschaffungsabsicht genügt Eventualvorsatz (vgl. Art. 12 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement.
1    Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement.
2    Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait.
3    Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle.
StGB; BGE 135 IV 12 E. 2.2; 102 IV 191 E. 4). Nach ständiger bundesgerichtlicher Rechtsprechung ist Eventualvorsatz gegeben, wenn der Täter den Eintritt des Erfolgs für möglich hält, aber dennoch handelt, weil er den Erfolg für den Fall seines Eintritts in Kauf nimmt, sich mit ihm abfindet, mag er ihm auch unerwünscht sein. Die innere Einstellung des Täters und seine Beweggründe sind anhand äusserlich feststellbarer Indizien und Erfahrungsregeln zu beurteilen. Zu den äusseren Umständen, aus denen der Schluss gezogen werden kann, der Täter habe den Erfolg in Kauf genommen, zählt auch die Grösse des dem Täter bekannten Erfolgsrisikos und die Schwere der Sorgfaltspflichtverletzung. Je wahrscheinlicher die Verwirklichung des Erfolgs erscheint und je schwerer die Sorgfaltspflichtverletzung wiegt, desto eher darf gefolgert werden, der Täter habe die Tatbestandsverwirklichung in Kauf
genommen. Das Gericht darf vom Wissen des Täters auf den Willen schliessen, wenn sich dem Täter der Eintritt des Erfolgs als so wahrscheinlich aufdrängte, dass die Bereitschaft, ihn als Folge hinzunehmen, vernünftigerweise nur als Inkaufnahme des Erfolgs ausgelegt werden kann (BGE 137 IV 1 E. 4.2.3; 134 IV 26 E. 3.2.2; 133 IV 9 E. 4.1; 133 IV 222 E. 5.3).
Bei der Falschbeurkundung will der Täter mit der Täuschung beim Adressaten einen Irrtum über die Wahrheit der Urkunde hervorrufen; Letzter soll damit zu einem rechtserheblichen Verhalten veranlasst werden. Die Täuschung ist Mittel zum eigentlichen Zweck der Falschbeurkundung (Urteil 6B 1236/2018 vom 28. September 2020 E. 1.6.1 mit Hinweis).

2.2.2. Urkunden sind unter anderem Schriften, die bestimmt und geeignet sind, eine Tatsache von rechtlicher Bedeutung zu beweisen (Art. 110 Abs. 4
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 110 - 1 Les proches d'une personne sont son conjoint, son partenaire enregistré, ses parents en ligne directe, ses frères et soeurs germains, consanguins ou utérins ainsi que ses parents, frères et soeurs et enfants adoptifs.154
1    Les proches d'une personne sont son conjoint, son partenaire enregistré, ses parents en ligne directe, ses frères et soeurs germains, consanguins ou utérins ainsi que ses parents, frères et soeurs et enfants adoptifs.154
2    Les familiers d'une personne sont ceux qui font ménage commun avec elle.
3    Par fonctionnaires, on entend les fonctionnaires et les employés d'une administration publique et de la justice ainsi que les personnes qui occupent une fonction publique à titre provisoire, ou qui sont employés à titre provisoire par une administration publique ou la justice ou encore qui exercent une fonction publique temporaire.
3bis    Lorsqu'une disposition fait référence à la notion de chose, elle s'applique également aux animaux.155
4    Sont des titres tous les écrits destinés et propres à prouver un fait ayant une portée juridique et tous les signes destinés à prouver un tel fait. L'enregistrement sur des supports de données et sur des supports-images est assimilé à un écrit s'il a la même destination.
5    Sont des titres authentiques tous les titres émanant des membres d'une autorité, de fonctionnaires ou d'officiers publics agissant dans l'exercice de leurs fonctions. Sont exceptés les titres émanant de l'administration des entreprises économiques et des monopoles de l'État ou d'autres corporations ou établissements de droit public qui ont trait à des affaires de droit civil.
6    Le jour est compté à raison de vingt-quatre heures consécutives. Le mois et l'année sont comptés de quantième à quantième.
7    La détention avant jugement est toute détention ordonnée au cours d'un procès pénal pour les besoins de l'instruction, pour des motifs de sûreté ou en vue de l'extradition.
StGB). Nach der Rechtsprechung sind diejenigen Tatsachen rechtlich erheblich, welche allein oder in Verbindung mit anderen Tatsachen die Entstehung, Erhaltung, Feststellung, Veränderung, Übertragung oder Aufhebung eines Rechts oder einer Pflicht bewirken (BGE 113 IV 77 E. 3a; Urteil 6B 134/2014 vom 16. Juni 2014 E. 3.5 mit Hinweis).

2.3. Die Vorinstanz führt zusammengefasst aus, der Kapitalerhöhungsbericht sei eine Urkunde und bilde ein taugliches Tatobjekt einer Urkundenfälschung. Der durch den Beschwerdeführer erstellte sowie unterzeichnete Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010sei im Ergebnis unwahr gewesen. Der Beschwerdeführer habe bezüglich der Falschbeurkundung mit Wissen und Willen gehandelt. Zudem sei auch Schädigungs- oder Vorteilsabsicht im Sinne einer Eventualabsicht zu bejahen. Es seien dieselben Fr. 800'000.-- letztlich für zwei Kapitalerhöhungen verwendet worden und hätten in der Folge bei der B.________ AG gefehlt. Ein entsprechender Schaden, der nicht vorausgesetzt sei, sei schliesslich eingetreten.

2.4.

2.4.1. In tatsächlicher Hinsicht ist erstellt, dass der Beschwerdeführer den Kapitalerhöhungsbericht (i.S.v. Art. 652e
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 652e - Le conseil d'administration rend compte dans un rapport écrit:
1  de la nature et de l'état des apports en nature et du bien-fondé de leur évaluation;
2  de l'existence de la dette et de la réalisation des conditions nécessaires à sa compensation;
3  de la libre disponibilité des fonds propres convertis;
4  de l'application de la décision de l'assemblée générale, en particulier quant à la limitation ou à la suppression du droit de souscription préférentiel et quant au sort des droits de souscription préférentiels non exercés ou supprimés;
5  des motifs et du bien-fondé des avantages particuliers accordés à certains actionnaires ou à d'autres personnes.
OR in der bis 31. Dezember 2010 in Kraft gestandenen Fassung; aktuell gültige Fassung unverändert) der B.________ AG vom 8. März 2010 verfasste und unterzeichnete. Darin wies er eine für die Liberierung der Kapitalerhöhung der B.________ AG zu verrechnende Forderung der B.________ Holding AG gegenüber der B.________ AG in der Höhe von Fr. 1'900'000.-- aus und erklärte diese für die Verrechnung vollständig als geeignet, erfüllbar und fällig (vgl. Art. 652e Ziff. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 652e - Le conseil d'administration rend compte dans un rapport écrit:
1  de la nature et de l'état des apports en nature et du bien-fondé de leur évaluation;
2  de l'existence de la dette et de la réalisation des conditions nécessaires à sa compensation;
3  de la libre disponibilité des fonds propres convertis;
4  de l'application de la décision de l'assemblée générale, en particulier quant à la limitation ou à la suppression du droit de souscription préférentiel et quant au sort des droits de souscription préférentiels non exercés ou supprimés;
5  des motifs et du bien-fondé des avantages particuliers accordés à certains actionnaires ou à d'autres personnes.
OR in der bis 31. Dezember 2010 in Kraft gestandenen Fassung; aktuell gültige Fassung unverändert). Durch die Zahlung vom 1. Februar 2010 reduzierte sich diese Forderung von Fr. 1'900'000.-- um diesen rückvergüteten Betrag (vgl. oben E. 1.4.3 und E. 1.4.4). Somit ist der Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010 hinsichtlich der für die Liberierung zu verrechnenden Forderung unwahr. In Bezug auf die im Kapitalerhöhungsbericht genannte, für die Liberierung zu verrechnende Forderung handelt es sich um eine rechtserhebliche Tatsache. Der objektive Tatbestand ist erfüllt.

2.4.2. Die Vorinstanz bejaht auch den subjektiven Tatbestand zu Recht. Der Beschwerdeführer war Mitglied der Geschäftsleitung und einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsrat der B.________ AG. Daneben hatte er die Funktion des Finanzchefs der B.________-Gruppe inne und war für die Leitung aller Rechnungswesen der B.________-Gruppe zuständig. Er veranlasste die Zahlungen, insbesondere auch jene, welche der für die Liberierung der Kapitalerhöhung der B.________ AG zu verrechnenden Forderung zugrunde lagen, sowie jene am 1. Februar 2010. Ebenso verfasste er den Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010. Dabei wusste er einerseits um die Zahlungen, insbesondere jene vom 1. Februar 2010, und damit auch, dass sich nicht mehr der für die Liberierung zu verrechnende Betrag auf dem Konto der B.________ AG befand. Andererseits hatte er Kenntnis von der Kapitalerhöhung der F.________ AG und löste er die Zahlung vom 1. Februar 2010 zum Zweck deren Liberierung aus. Dass die zu verrechnende Forderung im Zeitpunkt des Verfassens des Kapitalerhöhungsberichts der B.________ AG vom 8. März 2010 aufgrund der Zahlung vom 1. Februar 2010 reduziert war, der Beschwerdeführer die im Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März
2010 zu verrechnende Forderung dennoch in der Höhe von Fr. 1'900'000.-- auswies, um deren Kapitalerhöhung wie auch jene der F.________ AG durchführen zu können und dadurch einen unrechtmässigen Vorteil zu verschaffen, nahm er in Anbetracht seiner Funktionen sowie dem entsprechenden Wissen zumindest in Kauf. Da die Urkundenfälschung nach Art. 251 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
StGB als abstraktes Gefährdungsdelikt ausgestaltet ist (BGE 129 IV 53 E. 3.2) und der Tatbestand keine Schädigung oder konkrete Gefährdung von Drittinteressen voraussetzt, erübrigt es sich, auf entsprechende Vorbringen und Ausführungen einzugehen.

3.

3.1. Der Beschwerdeführer beanstandet den Schuldspruch im Sinne von Art. 253
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 253 - Quiconque, en induisant en erreur un fonctionnaire ou un officier public, l'amène à constater faussement dans un titre authentique un fait ayant une portée juridique, notamment à certifier faussement l'authenticité d'une signature ou l'exactitude d'une copie,
StGB. Er macht geltend, der Kapitalerhöhungsbericht vom 8. März 2010 sei nicht unwahr gewesen. Zudem habe weder eine Täuschungsabsicht noch eine mehrfache Tatbegehung vorgelegen.

3.2.

3.2.1. Der Erschleichung einer falschen Beurkundung im Sinne von Art. 253 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 253 - Quiconque, en induisant en erreur un fonctionnaire ou un officier public, l'amène à constater faussement dans un titre authentique un fait ayant une portée juridique, notamment à certifier faussement l'authenticité d'une signature ou l'exactitude d'une copie,
StGB macht sich strafbar, wer durch Täuschung bewirkt, dass ein Beamter oder eine Person öffentlichen Glaubens eine rechtlich erhebliche Tatsache unrichtig beurkundet, namentlich eine falsche Unterschrift oder eine unrichtige Abschrift beglaubigt.
Die Bestimmung regelt einen Spezialfall der mittelbaren Falschbeurkundung. Die Tathandlung besteht im Bewirken einer inhaltlich unwahren Beurkundung durch Täuschung, wobei die Täuschung den Vorsatz der Urkundsperson ausschliesst. Die Täuschung braucht nicht arglistig zu sein (Urteile 6B 289/2022 vom 24. August 2022 E. 3.2; 6B 134/2014 vom 16. Juni 2014 E. 3.2 mit Hinweis). Der Handelsregisterführer darf von der inhaltlichen Richtigkeit der ihm eingereichten Erklärungen und Belege ausgehen und hat nur im Zweifelsfall eine beschränkte Nachprüfungspflicht (BGE 123 IV 132 E. 3b/aa; 120 IV 199 E. 3c; Urteil 6B 1362/2020 vom 20. Juni 2022 E. 17.4.1).

3.2.2. Mit Urteil 6S.632/1999 hielt der Kassationshof fest, indem der Beschwerdeführer die von ihm hergestellte unwahre Urkunde zunächst dem Notariat und in der Folge dem Handelsregisteramt vorgelegt habe, habe er sie nicht lediglich im Sinne von Art. 251 Ziff. 1 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
1    Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite,
2    Abrogé
(a) StGB "gebraucht" (vgl. Urteil, a.a.O., vom 24. August 2001 E. 2c). Weder die Falschbeurkundung im Sinne von Art. 251 Ziff. 1 aStGB durch Erstellen inhaltlich unwahrer Dokumente noch die Erschleichung einer falschen Beurkundung im Sinne von Art. 253 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 253 - Quiconque, en induisant en erreur un fonctionnaire ou un officier public, l'amène à constater faussement dans un titre authentique un fait ayant une portée juridique, notamment à certifier faussement l'authenticité d'une signature ou l'exactitude d'une copie,
StGB durch das amtliche Beglaubigen lassen der inhaltlich unwahren Dokumente beim Notariat seien als blosse straflose Vortat zur anschliessenden Erschleichung einer falschen Beurkundung durch die Anmeldung der Aktienkapitalerhöhung beim Handelsregisteramt zu qualifizieren. Bei der Beglaubigung sei ein anderer Beamter getäuscht worden (vgl. Urteil, a.a.O., vom 24. August 2001 E. 2d/bb).

3.3. Die Vorinstanz erwägt, am 8. März 2010 habe der Beschwerdeführer (als alleiniger Verwaltungsrat der B.________ AG) dem Notar und Rechtsanwalt E.________ den unwahren Kapitalerhöhungsbericht vorgelegt und diesen die öffentliche Urkunde über den "Beschluss Generalversammlung über ordentliche Kapitalerhöhung und Statutenänderung" sowie über den "Beschluss Verwaltungsrat über Durchführung von Kapitalerhöhung und Statutenänderung" errichten lassen. Dass es sich um unwahre Angaben im Kapitalerhöhungsbericht gehandelt habe, sei der Urkundsperson E.________ nicht bekannt gewesen. Auch könne nicht davon ausgegangen werden, dass ihm dies hätte bekannt sein müssen. Zudem habe der Beschwerdeführer durch E.________ die Statuenänderung der B.________ AG vom 8. März 2010 inkl. des erhöhten Aktienkapitals beurkunden lassen. Auf der Grundlage der auf diese Weise erschlichenen öffentlichen Urkunde habe der Beschwerdeführer am 8. März 2010 die Aktienkapitalerhöhung beim Handelsregisteramt angemeldet bzw. die Kapitalerhöhung im Umfang von Fr. 1'900'000.-- vom Handelsregisterführer des Kantons Zürich im Handelsregister eintragen lassen. Der Beschwerdeführer habe direktvorsätzlich und in Täuschungsabsicht gehandelt, habe er doch eine materiell
unrichtige Eintragung erwirken wollen, was ihm schlussendlich auch gelungen sei.

3.4.

3.4.1. Wie bereits festgehalten, ist der Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010unwahr (vgl. oben E. 2.4.1). Sodann ist in tatsächlicher Hinsicht Folgendes erstellt: Der Beschwerdeführer legte diesen unwahren Kapitalerhöhungsbericht dem Notar E.________ vor. Dadurch erwirkte er die amtliche Beglaubigung des Beschlusses " Generalversammlung über ordentliche Kapitalerhö hung und Statutenänderung" sowie des Beschlusses "Verwaltungsrat über Durchführung von Kapitalerhöhung und Statutenänderung" und in der Folge gestützt auf diese öffentlichen Urkunden die Eintragung der Kapitalerhöhung der B.________ AG beim Handelsregister des Kantons Zürich. Die Urkundsperson E.________ wusste nicht, dass der Kapitalerhöhungsbericht der B.________ AG vom 8. März 2010 unwahr war. Der Beschwerdeführer täuschte sowohl ihn als auch das Handelsregisteramt über die Höhe der für die Liberierung der Kapitalerhöhung der B.________ AG zu verrechnenden Forderung und damit deren vollständige Liberierung. Damit erfüllte der Beschwerdeführer den objektiven und subjektiven Tatbestand von Art. 253 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 253 - Quiconque, en induisant en erreur un fonctionnaire ou un officier public, l'amène à constater faussement dans un titre authentique un fait ayant une portée juridique, notamment à certifier faussement l'authenticité d'une signature ou l'exactitude d'une copie,
StGB.

3.4.2. Weshalb es sich entgegen der Rechtsprechung des Kassationshofs (vgl. oben E. 3.2.2) vorliegend bei der Handelsregisteranmeldung/-eintragung nunmehr lediglich um einen späteren Gebrauch und somit eine mitbestrafte Nachtat handeln soll, legt der Beschwerdeführer nicht dar und ist auch nicht ersichtlich. Die von ihm zitierte Quelle unterscheidet weder zwischen verschiedenen Beamten - konkret mithin auch nicht zwischen dem Notariat und dem Handelsregisteramt - noch geht sie auf die genannte Rechtsprechung des Kassationshofs ein. An der Rechtsprechung des Kassationshofs ist festzuhalten. Die Vorinstanz sprach den Beschwerdeführer zu Recht wegen mehrfacher Erschleichung einer Falschbeurkundung schuldig.

4.

4.1. Der Beschwerdeführer kritisiert die Strafzumessung.

4.2.

4.2.1. Gemäss Art. 47 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir.
1    Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir.
2    La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures.
StGB misst das Gericht die Strafe nach dem Verschulden des Täters zu. Es berücksichtigt das Vorleben, die persönlichen Verhältnisse sowie die Wirkung der Strafe auf das Leben des Täters. Die Bewertung des Verschuldens richtet sich gemäss Art. 47 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir.
1    Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir.
2    La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures.
StGB nach der Schwere der Verletzung oder der Gefährdung des betroffenen Rechtsguts, nach der Verwerflichkeit des Handelns, den Beweggründen und Zielen des Täters sowie danach, wie weit der Täter nach den inneren und äusseren Umständen in der Lage war, die Gefährdung oder Verletzung zu vermeiden.
Hat der Täter durch eine oder mehrere Handlungen die Voraussetzungen für mehrere gleichartige Strafen erfüllt, so verurteilt ihn das Gericht zu der Strafe der schwersten Straftat und erhöht sie angemessen (Art. 49 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine.
1    Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine.
2    Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement.
3    Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts.
StGB). Hat das Gericht eine Tat zu beurteilen, die der Täter begangen hat, bevor er wegen einer andern Tat verurteilt worden ist, so bestimmt es die Zusatzstrafe in der Weise, dass der Täter nicht schwerer bestraft wird, als wenn die strafbaren Handlungen gleichzeitig beurteilt worden wären (Art. 49 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine.
1    Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine.
2    Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement.
3    Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts.
StGB).

4.2.2. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir.
1    Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir.
2    La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures.
. StGB und der Gesamtstrafenbildung nach Art. 49 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine.
1    Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine.
2    Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement.
3    Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts.
StGB in Anwendung des Asperationsprinzips wiederholt dargelegt (BGE 144 IV 313 E. 1.1; 144 IV 217 E. 3; 141 IV 61 E. 6.1.2; je mit Hinweisen). Darauf kann verwiesen werden. Dem Sachgericht steht bei der Gewichtung der verschiedenen Strafzumessungsfaktoren ein erheblicher Ermessensspielraum zu. Das Bundesgericht greift auf Beschwerde hin in die Strafzumessung nur ein, wenn die Vorinstanz den gesetzlichen Strafrahmen über- oder unterschritten hat, wenn sie von rechtlich nicht massgebenden Kriterien ausgegangen ist oder wesentliche Gesichtspunkte ausser Acht gelassen bzw. in Überschreitung oder Missbrauch ihres Ermessens falsch gewichtet hat (BGE 144 IV 313 E. 1.2; 136 IV 55 E. 5.6; je mit Hinweisen).

4.3.

4.3.1. Die Vorinstanz führt aus, die vorliegend zu beurteilenden Taten seien vor dem Entscheid des Kreisgerichts St. Gallen vom 14. Mai 2012, mit welchem der Beschwerdeführer wegen Beschimpfung zu einer bedingten Geldstrafe verurteilt worden sei, begangen worden. Es lägen im Ersturteil und in Bezug auf die vorliegend zu beurteilenden Delikte gleichartige Strafen vor. Folglich bestehe retrospektive Konkurrenz und sei eine Zusatzstrafe zum Entscheid des Kreisgerichts St. Gallen vom 14. Mai 2012 auszufällen.

4.3.2. Ausgangspunkt für die Strafzumessung bilde die Urkundenfälschung, welche zwar wie die Erschleichung einer falschen Beurkundung mit Freiheitsstrafe bis zu fünf Jahren oder Geldstrafe bestraft werde, aber vorliegend am schwersten wiege.
Tatbestandsmässig und objektiv verschuldensbegründend sei, dass der Beschwerdeführer als einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsrat der B.________ AG einen inhaltlich unwahren Kapitalerhöhungsbericht erstellt und unterzeichnet habe. Darin habe er wahrheitswidrig bestätigt, dass die zur Verrechnung anstehende Forderung tatsächlich existiere, vollständig geeignet, erfüllbar und fällig sei, obwohl er zu diesem Zeitpunkt Fr. 800'000.-- an die B.________ Holding AG zurücküberwiesen habe. Dadurch sei ihm eine fingierte Kapitalerhöhung im Umfang von Fr. 800'000.-- gelungen. Als Treuhänder habe er ein besonderes Vertrauen genossen, was er ebenso ausgenutzt habe, wie seine Funktion als einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsrat. Selbst für das Finanzinstitut D.________ seien die von ihm getätigten Transaktionen nicht logisch gewesen, weshalb es zu Alertmeldungen gekommen sei. Für Dritte seien die von ihm getätigten Geldverschiebungen umso weniger durchschaubar gewesen. Das Vorgehen des Beschwerdeführers sei hinterhältig und durchtrieben gewesen. Er habe die Urkundenfälschung direktvorsätzlich begangen. Insgesamt erweise sich das Verschulden (noch) als leicht. Es rechtfertige sich eine Einsatzstrafe von 14 Monaten bzw. 420
Strafeinheiten.

4.3.3. Straferhöhend wertet die Vorinstanz die mehrfache Erschleichung einer falschen Beurkundung. Der Beschwerdeführer habe den Tatbestand mehrfach erfüllt. Er habe den inhaltlich unwahren Kapitalerhöhungsbericht dem Notar und Rechtsanwalt E.________ vorgelegt und diesen die entsprechende öffentliche Urkunde errichten lassen. Auf der Grundlage der auf diese Weise erschlichenen öffentlichen Urkunden habe der Beschwerdeführer die Kapitalerhöhung von Fr. 1'900'000.-- im Handelsregister des Kantons Zürich eintragen lassen. Der involvierte, nicht gedeckte Aktienkapitalbetrag sei mit Fr. 800'000.-- hoch. Ein solches Aktienkapital verschaffe ein höheres Haftungssubstrat und wirke sich direkt auf das Aussenverhältnis einer Handelsgesellschaft aus. Der Beschwerdeführer habe direktvorsätzlich gehandelt. Insgesamt rechtfertige sich eine (asperierte) Straferhöhung von insgesamt vier Monaten bzw. 120 Strafeinheiten.

4.3.4. Den Lebenslauf des Beschwerdeführers wertet die Vorinstanz als nicht strafzumessungsrelevant. Der langen Verfahrensdauer von zehn Jahren trägt sie mit einer Strafreduktion von zwölf Monaten bzw. 360 Strafeinheiten Rechnung.

4.3.5. In Würdigung aller massgeblichen Strafzumessungsgründe erweist sich für die Vorinstanz eine Strafe von sechs Monaten bzw. 180 Strafeinheiten als angemessen.

4.4.

4.4.1. Der Beschwerdeführer hat die strafbaren Handlungen vor Inkrafttreten des teilrevidierten Sanktionenrechts begangen. Die Vorinstanz wendet das alte Recht an, weil das neue Recht nicht milder sei. Dies stellt der Beschwerdeführer zu Recht nicht in Frage (vgl. Art. 2 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 2 - 1 Est jugé d'après le présent code quiconque commet un crime ou un délit après l'entrée en vigueur de ce code.
1    Est jugé d'après le présent code quiconque commet un crime ou un délit après l'entrée en vigueur de ce code.
2    Le présent code est aussi applicable aux crimes et aux délits commis avant la date de son entrée en vigueur si l'auteur n'est mis en jugement qu'après cette date et si le présent code lui est plus favorable que la loi en vigueur au moment de l'infraction.
StGB).

4.4.2. Den Rügen des Beschwerdeführers gegen die Strafzumessung ist nicht zu folgen. Angesichts dessen, dass der Beschwerdeführer die Zahlung vom 1. Februar 2010 in seiner Funktion als Finanzchef und Leiter aller Rechnungswesen der B.________-Gruppe veranlasste, wusste er beim Verfassen des Kapitalerhöhungsberichts der B.________ AG vom 8. März 2010 auch in seiner Funktion als einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsrat davon. Vor diesem Hintergrund berücksichtigt die Vorinstanz berechtigterweise beide Funktionen des Beschwerdeführers und misst dabei seiner beruflichen Tätigkeit, auch in Anbetracht seiner Eigenkompetenz, verständlicherweise besonderes Vertrauen bei. Sodann führt der Beschwerdeführer zwar zutreffend aus, jede Finanzintermediärin sei gehalten, ungewöhnliche Transaktionsvolumina zu hinterfragen und die wirtschaftliche Berechtigung daran abzuklären. Hingegen hielt die D.________ gemäss den für das Bundesgericht verbindlichen, vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen (vgl. Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG) fest, die Transaktionen seien für Aktienkapitalerhöhungen ungewöhnlich gewesen. Dies zieht die Vorinstanz nachvollziehbar mit in ihre Beurteilung ein, zumal die Kapitalerhöhungen durch Verrechnungsliberierung erfolgten. Nicht
zuzustimmen ist weiter der Argumentation des Beschwerdeführers betreffend das von der Vorinstanz als hinterhältig und durchtrieben qualifizierte Vorgehen, wonach er nur die Generalversammlungsbeschlüsse umgesetzt habe. Wie bereits ausgeführt (vgl. oben E. 1.4.3) ergibt sich einzig aus einer gemeinsamen Beschlussfassung über die Kapitalerhöhung nicht die Art und Weise deren Umsetzung. Die Vorinstanz asperiert auch zu Recht die mehrfache Tatbegehung. Überdies begründet die Vorinstanz überzeugend, weshalb sie den Betrag in der Höhe von Fr. 800'000.-- als verschuldenshöhend gewichtet. Zusammengefasst verletzt die vorinstanzliche Strafzumessung kein Bundesrecht.

5.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Ausgang des Verfahrens hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten zu t ragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht St. Gallen, Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 15. Februar 2023

Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari

Die Gerichtsschreiberin: Meier