Geschäftsnummer:
VD.2022.164 (AG.2023.114)
Instanz:
Appellationsgericht
Entscheiddatum:
08.11.2022
Erstpublikationsdatum:
04.06.2024
Aktualisierungsdatum:
04.06.2024
Titel:
Erteilung der gemeinsamen elterlichen Sorge (VD.2021.167) Erweiterung der Aufgaben und Befugnisse der Beistandschaft und Einschränkung der elterlichen Sorge (VD.2022.164)
Appellationsgericht
des Kantons Basel-Stadt
als Verwaltungsgericht
Dreiergericht
VD.2021.167
VD.2022.164
URTEIL
vom 8. November 2022
Mitwirkende
Dr. Patrizia Schmid (Vorsitz),
lic. iur. Christian Hoenen, Dr. Annatina Wirz
und Gerichtsschreiberin MLaw Marion Wüthrich
Beteiligte
A____ Beschwerdeführerin
Aufenthalt unbekannt
vertreten durch [...], Rechtsanwalt,
[...]
gegen
Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde
Rheinsprung 16/18, 4051 Basel
B____ Beigeladener
[...]
vertreten durch [...],
[...]
C____ Sohn
c/o [...]
vertreten durch [...], Advokatin,
[...]
Gegenstand
Beschwerde gegen die Entscheide der Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde vom 1. Juli 2021 und 24. Juni 2022
betreffend Erteilung der gemeinsamen elterlichen Sorge (VD.2021.167)
betreffend Erweiterung der Aufgaben und Befugnisse der Beistandschaft und Einschränkung der elterlichen Sorge (VD.2022.164)
Sachverhalt
C____, geboren am [...] 2012, ist der Sohn von A____ (nachfolgend: Beschwerdeführerin) und B____ (nachfolgend: Beigeladener). Die Eltern sind nicht miteinander verheiratet. Die Kindsmutter hatte bisher das alleinige Sorgerecht.
Mit Entscheid der Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde Basel-Stadt (nachfolgend: Kindesschutzbehörde) vom 20. August 2019 wurden die zuvor mit superprovisorischem Einzelentscheid vom 12. März 2019 errichteten und mit Einzelentscheid vom 22. März 2019 bestätigten vorsorglichen kindesschutzrechtlichen Massnahmen beibehalten. Das Aufenthaltsbestimmungsrecht der Beschwerdeführerin über ihren Sohn C____ wurde gemäss Art. 310 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 310 - 1 Lorsqu'elle ne peut éviter autrement que le développement de l'enfant ne soit compromis, l'autorité de protection de l'enfant retire l'enfant aux père et mère ou aux tiers chez qui il se trouve et le place de façon appropriée. |
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1 | Lorsqu'elle ne peut éviter autrement que le développement de l'enfant ne soit compromis, l'autorité de protection de l'enfant retire l'enfant aux père et mère ou aux tiers chez qui il se trouve et le place de façon appropriée. |
2 | À la demande des père et mère ou de l'enfant, l'autorité de protection de l'enfant prend les mêmes mesures lorsque les rapports entre eux sont si gravement atteints que le maintien de l'enfant dans la communauté familiale est devenu insupportable et que, selon toute prévision, d'autres moyens seraient inefficaces. |
3 | Lorsqu'un enfant a vécu longtemps chez des parents nourriciers, l'autorité de protection de l'enfant peut interdire aux père et mère de le reprendre s'il existe une menace sérieuse que son développement soit ainsi compromis. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450c - Le recours est suspensif, à moins que l'autorité de protection de l'adulte ou l'instance judiciaire de recours n'en décide autrement. |
Mit Schreiben vom 12. November 2020 wandte sich der Beigeladene an die Kindesschutzbehörde und ersuchte um Erteilung der elterlichen Sorge für C____. Nach erfolgten Abklärungen mit Stellungnahmen des Beistandes, der Beschwerdeführerin und deren Rechtsvertreter übertrug die Kindesschutzbehörde mit Entscheid vom 1. Juli 2021 gemäss Art. 298d Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
Gegen diesen Entscheid richtet sich die von der Beschwerdeführerin am 30. Juli 2021 erhobene und begründete Beschwerde (VD.2021.167), mit welcher sie die Aufhebung «sämtliche[r] Verfügungen beantragt. Ebenfalls gegen den genannten Entscheid richtet sich die von ihrem Rechtsvertreter in ihrem Namen und im Namen von C____ mit Eingabe vom 2. August 2021 erhobene und begründete Beschwerde (VD.2021.167), mit welcher, «auch vorsorglich und superprovisorisch», die Aufhebung der Dispositiv-Ziffern 1 und 4 (Rechtsbegehren 1) sowie die Wiederherstellung der aufschiebenden Wirkung der Beschwerde (Rechtsbegehren 2) beantragt wird. Sodann wird beantragt, die Kontakte zwischen dem Beigeladenen und C____ bis auf weiteres nur begleitet zu erlauben und Berichte der Besuchsbegleitung betreffend jeden Besuch anzufordern (Rechtsbegehren 3) sowie eine kinderpsychologische Begutachtung von C____ und eine familienrechtspsychologische Begutachtung des Beigeladenen durchzuführen (Rechtsbegehren 4). Weiter wird beantragt, die Kindesschutzbehörde anzuweisen, die Anträge vom 9. Dezember 2020 zu behandeln (Rechtsbegehren 5) sowie eine persönliche Anhörung «der Beschwerdeführenden in Anwesenheit des Unterzeichneten» (Rechtsbegehren 6) und einen zweiten Schriftenwechsels nach Zustellung der Stellungnahmen der übrigen Verfahrensbeteiligten (Rechtsbegehren 7) durchzuführen und die unentgeltliche Rechtspflege und Rechtsvertretung durch den Unterzeichneten zu gewähren (Rechtsbegehren 9; recte: 8); alles unter Kosten- und Entschädigungsfolge.
Mit verfahrensleitender Verfügung vom 5. August 2021 wurde das Begehren um Wiederherstellung der aufschiebenden Wirkung beziehungsweise um «superprovisorische und vorsorgliche» Aufhebung des angefochtenen Entscheids abgewiesen, da ein drohender nicht wiedergutzumachender Nachteil weder geltend gemacht worden noch ersichtlich sei.
Ferner gab die Verfahrensleiterin mit Verfügung vom 8. November 2021 der von der bisherigen Kindesvertreterin, Advokatin [...], mit Eingabe vom 9. August 2021 beantragten Entlassung aus dem Mandat statt und setzte als neue Kindesvertreterin von C____, Advokatin [...], ein.
Die Kindesschutzbehörde liess sich mit Eingabe vom 10. Oktober 2021 zu den Beschwerden vernehmen. Der Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin replizierte am 5. Januar 2022. Mit Eingabe vom 9. Februar 2022 nahm die Kindesvertreterin Stellung zum Antrag der Beschwerdeführerin auf persönliche Anhörung des Kindes. Mit verfahrensleitender Verfügung vom 22. Februar 2022 wurde der Antrag auf persönliche Anhörung von C____ abgelehnt sowie auf den Antrag auf eine kinderpsychologische Begutachtung nicht eingetreten.
Am 24. Februar 2022 wandte sich der Beistand von C____ mit einer E-Mail an die Beschwerdeführerin und berichtete von verschiedenen Krisen bei C____ und der womöglich drohenden Verlegung in eine Kinderpsychiatrie. Nach erfolgten Abklärungen sowie der Einholung einer fachärztlichen Zweiteinschätzung und Empfehlung über die Notwendigkeit einer Medikation für C____ beantragte sein Beistand mit Schreiben vom 21. März 2022 bei der Kindesschutzbehörde die Ausweitung der Beistandschaft für C____ um die medizinische Sorge. Der Beigeladene wurde dazu am 6. April 2022 angehört. Am 10. April 2022 erging das auf Begehren der Beschwerdeführerin von der Kindesschutzbehörde in Auftrag gegebene kinderpsychiatrische Aktengutachten zur vorgeschlagenen Pharmakotherapie für C____. Die Kindesvertreterin nahm am 6. Juni 2022 und die Beschwerdeführerin am 14. Juni 2022 schriftlich Stellung.
Mit Entscheid vom 24. Juni 2022 wurden die Kompetenzen des Beistandes gemäss Art. 308 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
Gegen diesen Entscheid richtet sich die vom Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin in ihrem Namen und im Namen von C____ mit Eingabe vom 5. Juli 2022 erhobene und begründete Beschwerde (VD.2022.164), mit welcher, «auch vorsorglich und superprovisorisch», die Aufhebung der Ziffern 1 bis 3 sowie Ziffer 6 des angefochtenen Entscheids (Rechtsbegehren 1) sowie die Wiederherstellung der aufschiebenden Wirkung (Rechtsbegehren 2) beantragt wird. Weiter wird die persönliche Anhörung «beider Beschwerdeführenden» in Anwesenheit des Unterzeichneten (Rechtsbegehren 3), ein zweiter Schriftenwechsel (Rechtsbegehren 4) sowie die unentgeltliche Rechtspflege und Rechtsvertretung durch den Unterzeichneten (Rechtsbegehren 5) beantragt; alles unter Kosten- und Entschädigungsfolge.
Das Begehren um Wiederherstellung der aufschiebenden Wirkung beziehungsweise um «superprovisorische und vorsorgliche» Aufhebung der Ziffern 1 bis 3 sowie Ziffer 6 des angefochtenen Entscheids wurde mit verfahrensleitender Verfügung vom 29. Juli 2022 abgewiesen und der Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin darauf hingewiesen, dass er im vorliegenden Verfahren lediglich die Mutter vertrete und das Kind mit Advokatin [...] eine eigene Vertreterin habe.
Die Kindesschutzbehörde nahm am 31. August 2022 und die Kindesvertreterin mit Eingabe vom 1. September 2022 zur Beschwerde Stellung.
Mit verfahrensleitender Verfügung vom 14. September 2022 wurden die Verfahren VD.2021.167 (Erteilung der gemeinsamen elterlichen Sorge) und VD.2022.164 (Erweiterung der Aufgaben und Befugnisse der Beistandschaft und Einschränkung der elterlichen Sorge) zusammengelegt.
Auf Ersuchen des Rechtsvertreters der Beschwerdeführerin wurde mit verfahrensleitender Verfügung vom 22. September 2022 eine Frist zur Einreichung einer Replik gewährt und darauf hingewiesen, dass er auch anlässlich der Gerichtsverhandlung replizieren könne. In der Folge wurde keine Replik eingereicht.
Anlässlich der Verhandlung vor dem Verwaltungsgericht am 8. November 2022 wurden die Beschwerdeführerin, der Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin, der eingesetzte Beistand, der beigeladene Kindsvater, dessen Beiständin, die Kindesvertreterin sowie eine Vertreterin der Kindesschutzbehörde zur Sache befragt. Anschliessend gelangten der Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin, die Kindesvertreterin und die Vertreterin der Kindesschutzbehörde zum Vortrag. Dabei hielten sie an ihren Anträgen fest. Für sämtliche Ausführungen wird auf das Verhandlungsprotokoll verwiesen. Die weiteren Tatsachen und Einzelheiten der Parteistandpunkte ergeben sich, soweit sie für das vorliegende Urteil von Bedeutung sind, aus den nachfolgenden Erwägungen.
Erwägungen
1. Formelles
1.1
1.1.1 Gegen Entscheide der KESB kann gemäss Art. 450 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450 - 1 Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
|
1 | Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
2 | Ont qualité pour recourir: |
1 | les personnes parties à la procédure; |
2 | les proches de la personne concernée; |
3 | les personnes qui ont un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée. |
3 | Le recours doit être dûment motivé et interjeté par écrit auprès du juge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314 - 1 Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
|
1 | Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant peut, si elle l'estime utile, exhorter les parents de l'enfant à tenter une médiation. |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant institue une curatelle, elle doit mentionner dans le dispositif de la décision les tâches du curateur et éventuellement les limites apportées à l'exercice de l'autorité parentale. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450 - 1 Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
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1 | Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
2 | Ont qualité pour recourir: |
1 | les personnes parties à la procédure; |
2 | les proches de la personne concernée; |
3 | les personnes qui ont un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée. |
3 | Le recours doit être dûment motivé et interjeté par écrit auprès du juge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314 - 1 Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
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1 | Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant peut, si elle l'estime utile, exhorter les parents de l'enfant à tenter une médiation. |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant institue une curatelle, elle doit mentionner dans le dispositif de la décision les tâches du curateur et éventuellement les limites apportées à l'exercice de l'autorité parentale. |
1.1.2 Gleichzeitig hat die Beschwerdeführerin ihren eigenen Vertreter auch mandatiert, im Namen ihres Sohnes Beschwerde zu erheben. Als Inhaberin der elterlichen Sorge für ihren Sohn kommt der Beschwerdeführerin zwar die Vertretung ihres urteilsunfähigen Sohnes zu. Diese steht ihr aber nur im Umfang ihrer elterlichen Sorge zu. Die Vertetungsmacht erlischt daher bei der Entziehung oder Einschränkung der elterlichen Sorge aufgrund einer Massnahme des Kindesschutzes (Art. 307 ff
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 306 - 1 L'enfant soumis à l'autorité parentale peut, s'il est capable de discernement, agir pour la famille du consentement de ses père et mère; dans ce cas, il n'est pas tenu lui-même, mais il oblige ses père et mère. |
|
1 | L'enfant soumis à l'autorité parentale peut, s'il est capable de discernement, agir pour la famille du consentement de ses père et mère; dans ce cas, il n'est pas tenu lui-même, mais il oblige ses père et mère. |
2 | Si les père et mère sont empêchés d'agir ou si, dans une affaire, leurs intérêts entrent en conflit avec ceux de l'enfant, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur ou prend elle-même les mesures nécessaires.387 |
3 | L'existence d'un conflit d'intérêts entraîne de plein droit la fin des pouvoirs des père et mère pour l'affaire en cause.388 |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 304 - 1 Les père et mère sont, dans les limites de leur autorité parentale, les représentants légaux de leurs enfants à l'égard des tiers. |
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1 | Les père et mère sont, dans les limites de leur autorité parentale, les représentants légaux de leurs enfants à l'égard des tiers. |
2 | Lorsque les père et mère sont tous deux détenteurs de l'autorité parentale, les tiers de bonne foi peuvent présumer que chaque parent agit avec le consentement de l'autre.381 |
3 | Les père et mère ne peuvent procéder à des cautionnements ni créer des fondations ou effectuer des donations au nom de l'enfant, à l'exception des présents d'usage.382 |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 305 - 1 L'enfant capable de discernement soumis à l'autorité parentale peut s'engager par ses propres actes dans les limites prévues par le droit des personnes et exercer ses droits strictement personnels.385 |
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1 | L'enfant capable de discernement soumis à l'autorité parentale peut s'engager par ses propres actes dans les limites prévues par le droit des personnes et exercer ses droits strictement personnels.385 |
2 | L'enfant qui s'oblige est tenu sur ses propres biens, sans égard aux droits d'administration et de jouissance des père et mère. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 306 - 1 L'enfant soumis à l'autorité parentale peut, s'il est capable de discernement, agir pour la famille du consentement de ses père et mère; dans ce cas, il n'est pas tenu lui-même, mais il oblige ses père et mère. |
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1 | L'enfant soumis à l'autorité parentale peut, s'il est capable de discernement, agir pour la famille du consentement de ses père et mère; dans ce cas, il n'est pas tenu lui-même, mais il oblige ses père et mère. |
2 | Si les père et mère sont empêchés d'agir ou si, dans une affaire, leurs intérêts entrent en conflit avec ceux de l'enfant, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur ou prend elle-même les mesures nécessaires.387 |
3 | L'existence d'un conflit d'intérêts entraîne de plein droit la fin des pouvoirs des père et mère pour l'affaire en cause.388 |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450b - 1 Le délai de recours est de 30 jours à compter de la notification de la décision. Ce délai s'applique également aux personnes ayant qualité pour recourir auxquelles la décision ne doit pas être notifiée. |
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1 | Le délai de recours est de 30 jours à compter de la notification de la décision. Ce délai s'applique également aux personnes ayant qualité pour recourir auxquelles la décision ne doit pas être notifiée. |
2 | Dans le domaine du placement à des fins d'assistance, le délai est de dix jours à compter de la notification de la décision. |
3 | Le déni de justice ou le retard injustifié peut faire l'objet d'un recours en tout temps. |
1.2 Die Kognition des Verwaltungsgerichts richtet sich nach Art. 450a Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450a - 1 Le recours peut être formé pour: |
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1 | Le recours peut être formé pour: |
1 | violation du droit; |
2 | constatation fausse ou incomplète des faits pertinents; |
3 | inopportunité de la décision. |
2 | Le déni de justice ou le retard injustifié peuvent également faire l'objet d'un recours. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314 - 1 Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
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1 | Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant peut, si elle l'estime utile, exhorter les parents de l'enfant à tenter une médiation. |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant institue une curatelle, elle doit mentionner dans le dispositif de la décision les tâches du curateur et éventuellement les limites apportées à l'exercice de l'autorité parentale. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450 - 1 Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
|
1 | Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
2 | Ont qualité pour recourir: |
1 | les personnes parties à la procédure; |
2 | les proches de la personne concernée; |
3 | les personnes qui ont un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée. |
3 | Le recours doit être dûment motivé et interjeté par écrit auprès du juge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450f - En outre, si les cantons n'en disposent pas autrement, les dispositions de la procédure civile s'appliquent par analogie. |
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 296 Maxime inquisitoire et maxime d'office - 1 Le tribunal établit les faits d'office. |
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1 | Le tribunal établit les faits d'office. |
2 | Les parties et les tiers doivent se prêter aux examens nécessaires à l'établissement de la filiation et y collaborer, dans la mesure où leur santé n'est pas mise en danger. Les dispositions concernant le droit des parties et des tiers de ne pas collaborer ne sont pas applicables. |
3 | Le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 110 Jugement par une autorité judiciaire - Si, en vertu de la présente loi, les cantons sont tenus d'instituer un tribunal comme autorité cantonale de dernière instance, ils font en sorte que ce tribunal ou une autre autorité judiciaire, statuant en instance précédente, examine librement les faits et applique d'office le droit déterminant. |
1.3 Gemäss Art. 450 Abs. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450 - 1 Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
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1 | Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
2 | Ont qualité pour recourir: |
1 | les personnes parties à la procédure; |
2 | les proches de la personne concernée; |
3 | les personnes qui ont un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée. |
3 | Le recours doit être dûment motivé et interjeté par écrit auprès du juge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 450 - 1 Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
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1 | Les décisions de l'autorité de protection de l'adulte peuvent faire l'objet d'un recours devant le juge compétent. |
2 | Ont qualité pour recourir: |
1 | les personnes parties à la procédure; |
2 | les proches de la personne concernée; |
3 | les personnes qui ont un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée. |
3 | Le recours doit être dûment motivé et interjeté par écrit auprès du juge. |
2. Formelle Rügen
Die Beschwerdeführerin erhebt gegen die beiden angefochtenen Entscheide der Kindesschutzbehörde vom 1. Juli 2021 und 24. Juni 2022 verschiedene formelle Rügen.
2.1 Die Beschwerdeführerin macht geltend, die «relativ kurze[n]» angefochtenen Entscheide seien zu wenig begründet worden (Beschwerde vom 2. August 2021 E. 1; Beschwerde vom 25. Juli 2022 E. 1).
Aus dem Anspruch auf rechtliches Gehör gemäss Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
2.2
2.2.1 Weiter rügt die Beschwerdeführerin, dass vor den Entscheiden der Kindesschutzbehörde keine Anhörung und Befragung des im damaligen Zeitpunkt 9-jährigen beziehungsweise 10-jährigen C____ erfolgt sei (Beschwerde vom 2. August 2021 E. 2; Beschwerde vom 25. Juli 2022 E. 1).
Die Kindesschutzbehörde begründet den Verzicht auf eine Anhörung mit dem Schutz des von einer Autismus-Spektrum-Störung betroffenen Kindes. Sie weist daraufhin, dass gemäss dem Abschlussbericht der Fachstelle Autismus der [...] vom 1. Dezember 2020 das Gerichtsverfahren, welches seine Mutter damals angestrengt hatte, C____ aufgewühlt habe. Er sei bereits im Verfahren um Aufhebung des Aufenthaltsbestimmungsrechts der Mutter zwei Mal von der Kindesschutzbehörde und dem Verwaltungsgericht angehört worden, wobei er klar geäussert habe, weiterhin zu beiden Eltern persönlichen Kontakt haben zu wollen. In diesem Sinn sei davon auszugehen, dass es auch im Interesse von C____ sei, dass seine Eltern über die Belange der elterlichen Sorge gemeinsam entscheiden (VD.2021.167 act. 17 S. 3). Auf diese Ausführungen wird von der Kindesschutzbehörde auch betreffend den Entscheid über die Erweiterung der Aufgaben und Befugnisse des Beistandes verwiesen (vgl. Vernehmlassung VD.2022.164 act. 4 S. 1). Wie der Stellungnahme der Kindesvertreterin im vorinstanzlichen Verfahren zudem entnommen werden kann, leidet C____ bereits heute unter einem massiven Loyalitätskonflikt seinen Eltern gegenüber. Ihn in dieser Angelegenheit nach seinem Willen zu befragen, werde den bestehenden Loyalitätskonflikt nur noch vergrössern und sei damit nicht mit dem Kindswohl vereinbar (vgl. Stellungnahme vom 6. Juni 2022, KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 115). Angesichts dieser Umstände ist C____s Schutz sehr hoch zu gewichten und hat die Kindesschutzbehörde vor Erlass der hier angefochtenen Entscheide zu Recht auf dessen erneute Anhörung verzichtet.
2.2.2 Soweit der Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin vor dem Verwaltungsgericht den Verfahrensantrag stellt, dass eine persönliche Anhörung beider Beschwerdeführenden in Anwesenheit des Unterzeichneten durchzuführen sei (Beschwerde vom 2. August 2021 Antrag 6; Beschwerde vom 25. Juli 2022 Antrag 3), ist der Antrag betreffend die Anhörung des Kindes bereits mit Verfügung der Verfahrensleiterin vom 22. Februar 2022 abgewiesen worden. Darauf wird verwiesen. Im Übrigen nahm die Beschwerdeführerin selbst an der Gerichtsverhandlung teil und sie wurde dort - in Anwesenheit ihres Rechtsvertreters - zur Sache angehört (vgl. Verhandlungsprotokoll).
2.3 Verzichtet wird ferner auf die von der Beschwerdeführerin beantragte Einholung eines familienrechtspsychologischen Gutachtens über den Beigeladenen (Beschwerde vom 2. August 2021). Auch im Bereich des Untersuchungsgrundsatzes besteht kein Anspruch darauf, dass unnötige Beweismittel abgenommen werden oder unnötige Abklärungen erfolgen. Der Untersuchungsgrundsatz verbietet es dem Gericht insbesondere nicht, im Sinne einer vorweggenommenen Beweiswürdigung auf weitere Beweise zu verzichten, wenn es über genügend Grundlagen für eine sachgerechte Entscheidung verfügt (VGE VD.2022.39 vom 6. Mai 2022 E. 1.4; vgl. Schweighauser, in: FamKomm Scheidung, Band II, Anhänge, 4. Auflage 2022, Anhang ZPO Art. 296 N 18 mit Hinweis auf BGer 5A_346/2016 vom 29. Juni 2017 E. 5.2). Entscheidend ist, ob mit Bezug auf die vorliegend zu beurteilende Erteilung der gemeinsamen elterlichen Sorge neue Erkenntnisse aufgrund einer Expertise
oder sonstiger Abklärungen zu erwarten sind (VGE VD.2022.39 vom 6. Mai 2022 E. 1.4, mit Hinweis auf BGer 5A_505/2013 vom 20. August 2013 E. 5.2.2 [betr. Einholung eines kinderpsychologischen Gutachtens]). Dem Gericht kommt hier ein Ermessen zu; dies gilt umso mehr, als mit Bezug auf die Ermittlung des Sachverhalts für die Regelung von Kinderbelangen der Freibeweis gilt (VGE VD.2022.39 vom 6. Mai 2022 E. 1.4; Schweighauser, a.a.O., Anhang ZPO Art. 296 N 15). Vorliegend ist nicht ersichtlich und wird von der Beschwerdeführerin auch nicht geltend gemacht, dass beziehungsweise welche neuen oder zusätzlichen, relevanten Erkenntnisse sich für das vorliegende Verfahren aus einer Begutachtung des Beigeladenen ergeben könnten.
3. Gemeinsame elterliche Sorge (VD.2021.167)
In der Sache strittig ist zunächst die gestützt auf Art. 298d Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
3.1 Die Vorinstanz hielt in diesem Zusammenhang einleitend fest, dass das für die elterliche Sorge vorausgesetzte rechtliche Kindesverhältnis zwischen dem Beigeladenen und C____ - unabhängig der seitens der Mutter beziehungsweise Grossmutter verneinten biologischen Vaterschaft - infolge Anerkennung gemäss Art. 252 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 252 - 1 À l'égard de la mère, la filiation résulte de la naissance. |
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1 | À l'égard de la mère, la filiation résulte de la naissance. |
2 | À l'égard de l'autre parent, elle est établie par son mariage avec la mère ou, pour autant que cela soit prévu par la loi, par reconnaissance ou par jugement.239 |
3 | La filiation résulte en outre de l'adoption. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 260a - 1 La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
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1 | La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
2 | L'action n'est ouverte à l'auteur de la reconnaissance que s'il l'a faite en croyant qu'un danger grave et imminent le menaçait lui-même, ou l'un de ses proches, dans sa vie, sa santé, son honneur ou ses biens, ou s'il était dans l'erreur concernant sa paternité. |
3 | L'action est intentée contre l'auteur de la reconnaissance et contre l'enfant lorsque ceux-ci ne l'intentent pas eux-mêmes. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 260a - 1 La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
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1 | La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
2 | L'action n'est ouverte à l'auteur de la reconnaissance que s'il l'a faite en croyant qu'un danger grave et imminent le menaçait lui-même, ou l'un de ses proches, dans sa vie, sa santé, son honneur ou ses biens, ou s'il était dans l'erreur concernant sa paternité. |
3 | L'action est intentée contre l'auteur de la reconnaissance et contre l'enfant lorsque ceux-ci ne l'intentent pas eux-mêmes. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
3.2 In der Sache beantragt die Beschwerdeführerin mit ihrer Beschwerde vom 2. August 2021 die Aufhebung der Ziffer 1 des angefochtenen Entscheids vom 1. Juli 2021 und damit die Belassung der alleinigen elterlichen Sorge bei ihr. Sie rügt im Wesentlichen, anstatt C____ anzuhören, würden die Betreuungspersonen der D____ - bei denen es sich nicht um Fachpersonen aus dem Bereich der Kinderpsychologie handle und die ebenfalls keinen Einblick ins Geschehen während der Besuchskontakte und die in diesem Rahmen vom Beigeladenen ausgehenden Manipulationen und Kindeswohlgefährdungen hätten - als genügend kompetent erachtet, um beurteilen zu können, «dass es sich bei den massiven Ausschreitungen und Drohungen seitens des Beigeladenen wohl 'nur' um einen Konflikt auf Elternebene handle, welcher C____ nicht tangiere, [...] da C____ jeweils 'geordnet' in die D____ zurückkehre» (Beschwerde E. 2). Der Beigeladene habe klar und deutlich in den Raum gestellte, er werde C____ so kaputt machen wie er selber es sei. Nebst etlichen Inhalten wie der Beigeladene sie gegenüber der Kindsmutter geäussert habe, komme gerade auch in dieser vorerwähnten Aussage die fehlende Empathie des Beigeladenen gegenüber C____ und dass er letzteren eben nur als Mittel zum Zweck betrachte, zum Ausdruck (Beschwerde E. 3). Der Beistand werde im Sachverhalt des angefochtenen Entscheides dahingehend zitiert, dass C____ in letzter Zeit reagiert habe, wenn er von Besuchen beim Beigeladenen zurückgekommen sei, dass C____ nicht mehr mit der Mutter habe skypen wollen sowie, dass der Beigeladene die Mutter schlecht gemacht habe bei C____ (Beschwerde E. 4). Die vom Beigeladenen gegenüber dem Beistand scheinbar ins Feld geführte, jedoch untaugliche Schutzbehauptung, er werde von der Kindsmutter auch «ständig belästigt», zeige, dass dem Beigeladenen selber jedes Verständnis und die Einsicht fehle betreffend die Schwere der von ihm gemachten Äusserungen und Drohungen (Beschwerde E. 4). Die bundesgerichtliche Rechtsprechung besage klar und deutlich, dass von der Erteilung des gemeinsamen Sorgerechts bei hochkonflikthaften Ex-Partnern abzusehen sei. Erhalte der Beigeladene ebenfalls ein Sorgerecht, wäre klar absehbar, dass er sich mit der von ihm aufs Schwerste verachteten Mutter - welcher er mehrfach intensiv den Tod gewünscht habe - von C____ über «gar nichts» einigen könnte, weil er dies gar nicht wolle (Beschwerde E. 6). Es sei mehr als nur wahrscheinlich, dass der Beigeladene C____ gezielt von seiner Mutter entfremde und ihn gegen diese aufstachle (Beschwerde E. 7). Die Anmerkungen im Sachverhalt des angefochtenen Entscheids über die telefonische Erreichbarkeit des Beigeladenen, welche wohl kaum massgebend sein sollten für das Erlangen der elterlichen Sorge, wirkten angesichts des Vorerwähnten als blanker Hohn. Zudem dürften die im angefochtenen Entscheid in Ziffer 11 des Sachverhaltes zitierten Äusserungen der Bezugsperson von C____ so verstanden werden, dass der Kontakt mit der Kindsmutter sehr gut laufe. Vor diesem Hintergrund bedürfe es erst recht keiner «Pro-Forma-Ansprechperson vor Ort» in der Person des Beigeladenen (Beschwerde E. 5). Solange nicht einmal die Vaterschaft des Beigeladenen feststehe, sondern seitens der Mutter zumindest gegenüber der Kindesschutzbehörde verneint worden sei, dürfe dem Beigeladenen die elterliche Sorge erst recht nicht zugesprochen werden. Vielmehr sei abzuwarten, was auf Klage der Mutter oder des Beistandes hin das Gericht nach einem Vaterschaftstest feststelle (Beschwerde E. 5). Zum Wohle C____s müsse sie darüber informieren, dass es sich beim Beigeladenen nicht um den leiblichen Vater von C____ handle. Dies sei bei der Abwägung nach Art. 298d
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
3.3
3.3.1 Die elterliche Sorge umfasst die Gesamtheit der elterlichen Verantwortlichkeiten und Befugnisse in Bezug auf das Kind, d.h. Bestimmung des Aufenthaltsrechts - welches der Beschwerdeführerin ohnehin bereits mit Entscheid vom 20. August 2019 entzogen worden ist -, Erziehung und gesetzliche Vertretung des Kindes (Art. 301
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301 - 1 Les père et mère déterminent les soins à donner à l'enfant, dirigent son éducation en vue de son bien et prennent les décisions nécessaires, sous réserve de sa propre capacité. |
|
1 | Les père et mère déterminent les soins à donner à l'enfant, dirigent son éducation en vue de son bien et prennent les décisions nécessaires, sous réserve de sa propre capacité. |
1bis | Le parent qui a la charge de l'enfant peut prendre seul: |
1 | les décisions courantes ou urgentes; |
2 | d'autres décisions, si l'autre parent ne peut être atteint moyennant un effort raisonnable.373 |
2 | L'enfant doit obéissance à ses père et mère, qui lui accordent la liberté d'organiser sa vie selon son degré de maturité et tiennent compte autant que possible de son avis pour les affaires importantes. |
3 | L'enfant ne peut quitter la communauté domestique sans l'assentiment de ses père et mère; il ne peut pas non plus leur être enlevé sans cause légitime. |
4 | Les père et mère choisissent le prénom de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 306 - 1 L'enfant soumis à l'autorité parentale peut, s'il est capable de discernement, agir pour la famille du consentement de ses père et mère; dans ce cas, il n'est pas tenu lui-même, mais il oblige ses père et mère. |
|
1 | L'enfant soumis à l'autorité parentale peut, s'il est capable de discernement, agir pour la famille du consentement de ses père et mère; dans ce cas, il n'est pas tenu lui-même, mais il oblige ses père et mère. |
2 | Si les père et mère sont empêchés d'agir ou si, dans une affaire, leurs intérêts entrent en conflit avec ceux de l'enfant, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur ou prend elle-même les mesures nécessaires.387 |
3 | L'existence d'un conflit d'intérêts entraîne de plein droit la fin des pouvoirs des père et mère pour l'affaire en cause.388 |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 318 - 1 Les père et mère administrent les biens de l'enfant aussi longtemps qu'ils ont l'autorité parentale. |
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1 | Les père et mère administrent les biens de l'enfant aussi longtemps qu'ils ont l'autorité parentale. |
2 | En cas de décès de l'un des parents, le parent survivant est tenu de remettre un inventaire des biens de l'enfant à l'autorité de protection de l'enfant.429 |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant le juge opportun au vu du genre ou de l'importance des biens de l'enfant et de la situation personnelle des père et mère, elle ordonne l'établissement d'un inventaire ou la remise périodique de comptes et de rapports.430 |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301 - 1 Les père et mère déterminent les soins à donner à l'enfant, dirigent son éducation en vue de son bien et prennent les décisions nécessaires, sous réserve de sa propre capacité. |
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1 | Les père et mère déterminent les soins à donner à l'enfant, dirigent son éducation en vue de son bien et prennent les décisions nécessaires, sous réserve de sa propre capacité. |
1bis | Le parent qui a la charge de l'enfant peut prendre seul: |
1 | les décisions courantes ou urgentes; |
2 | d'autres décisions, si l'autre parent ne peut être atteint moyennant un effort raisonnable.373 |
2 | L'enfant doit obéissance à ses père et mère, qui lui accordent la liberté d'organiser sa vie selon son degré de maturité et tiennent compte autant que possible de son avis pour les affaires importantes. |
3 | L'enfant ne peut quitter la communauté domestique sans l'assentiment de ses père et mère; il ne peut pas non plus leur être enlevé sans cause légitime. |
4 | Les père et mère choisissent le prénom de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 302 - 1 Les père et mère sont tenus d'élever l'enfant selon leurs facultés et leurs moyens et ils ont le devoir de favoriser et de protéger son développement corporel, intellectuel et moral. |
|
1 | Les père et mère sont tenus d'élever l'enfant selon leurs facultés et leurs moyens et ils ont le devoir de favoriser et de protéger son développement corporel, intellectuel et moral. |
2 | Ils doivent donner à l'enfant, en particulier à celui qui est atteint de déficiences physiques ou mentales, une formation générale et professionnelle appropriée, correspondant autant que possible à ses goûts et à ses aptitudes. |
3 | À cet effet, ils doivent collaborer de façon appropriée avec l'école et, lorsque les circonstances l'exigent, avec les institutions publiques et d'utilité publique de protection de la jeunesse. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301 - 1 Les père et mère déterminent les soins à donner à l'enfant, dirigent son éducation en vue de son bien et prennent les décisions nécessaires, sous réserve de sa propre capacité. |
|
1 | Les père et mère déterminent les soins à donner à l'enfant, dirigent son éducation en vue de son bien et prennent les décisions nécessaires, sous réserve de sa propre capacité. |
1bis | Le parent qui a la charge de l'enfant peut prendre seul: |
1 | les décisions courantes ou urgentes; |
2 | d'autres décisions, si l'autre parent ne peut être atteint moyennant un effort raisonnable.373 |
2 | L'enfant doit obéissance à ses père et mère, qui lui accordent la liberté d'organiser sa vie selon son degré de maturité et tiennent compte autant que possible de son avis pour les affaires importantes. |
3 | L'enfant ne peut quitter la communauté domestique sans l'assentiment de ses père et mère; il ne peut pas non plus leur être enlevé sans cause légitime. |
4 | Les père et mère choisissent le prénom de l'enfant. |
3.3.2 Seit dem 1. Juli 2014 ist Art. 298b Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298b - 1 Lorsqu'un parent refuse de déposer une déclaration commune, l'autre parent peut s'adresser à l'autorité de protection de l'enfant du lieu de domicile de l'enfant. |
|
1 | Lorsqu'un parent refuse de déposer une déclaration commune, l'autre parent peut s'adresser à l'autorité de protection de l'enfant du lieu de domicile de l'enfant. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant institue l'autorité parentale conjointe à moins que le bien de l'enfant ne commande que la mère reste seule détentrice de l'autorité parentale ou que cette dernière soit attribuée exclusivement au père. |
3 | Lorsqu'elle statue sur l'autorité parentale, l'autorité de protection de l'enfant règle également les autres points litigieux. L'action alimentaire, à intenter devant le juge compétent, est réservée; dans ce cas, le juge statue aussi sur l'autorité parentale et sur les autres points concernant le sort des enfants.361 |
3bis | Lorsqu'elle statue sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à la prise en charge de l'enfant, l'autorité de protection de l'enfant tient compte du droit de l'enfant d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses deux parents.362 |
3ter | Lorsque l'autorité parentale est exercée conjointement, l'autorité de protection de l'enfant examine, selon le bien de l'enfant, la possibilité de la garde alternée, si le père, la mère ou l'enfant la demande.363 |
4 | Si la mère est mineure ou sous curatelle de portée générale, l'autorité de protection de l'enfant attribue l'autorité parentale au père ou nomme un tuteur selon le bien de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 260a - 1 La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
|
1 | La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
2 | L'action n'est ouverte à l'auteur de la reconnaissance que s'il l'a faite en croyant qu'un danger grave et imminent le menaçait lui-même, ou l'un de ses proches, dans sa vie, sa santé, son honneur ou ses biens, ou s'il était dans l'erreur concernant sa paternité. |
3 | L'action est intentée contre l'auteur de la reconnaissance et contre l'enfant lorsque ceux-ci ne l'intentent pas eux-mêmes. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 260a - 1 La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
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1 | La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
2 | L'action n'est ouverte à l'auteur de la reconnaissance que s'il l'a faite en croyant qu'un danger grave et imminent le menaçait lui-même, ou l'un de ses proches, dans sa vie, sa santé, son honneur ou ses biens, ou s'il était dans l'erreur concernant sa paternité. |
3 | L'action est intentée contre l'auteur de la reconnaissance et contre l'enfant lorsque ceux-ci ne l'intentent pas eux-mêmes. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 310 - 1 Lorsqu'elle ne peut éviter autrement que le développement de l'enfant ne soit compromis, l'autorité de protection de l'enfant retire l'enfant aux père et mère ou aux tiers chez qui il se trouve et le place de façon appropriée. |
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1 | Lorsqu'elle ne peut éviter autrement que le développement de l'enfant ne soit compromis, l'autorité de protection de l'enfant retire l'enfant aux père et mère ou aux tiers chez qui il se trouve et le place de façon appropriée. |
2 | À la demande des père et mère ou de l'enfant, l'autorité de protection de l'enfant prend les mêmes mesures lorsque les rapports entre eux sont si gravement atteints que le maintien de l'enfant dans la communauté familiale est devenu insupportable et que, selon toute prévision, d'autres moyens seraient inefficaces. |
3 | Lorsqu'un enfant a vécu longtemps chez des parents nourriciers, l'autorité de protection de l'enfant peut interdire aux père et mère de le reprendre s'il existe une menace sérieuse que son développement soit ainsi compromis. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 296 - 1 L'autorité parentale sert le bien de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale sert le bien de l'enfant. |
2 | L'enfant est soumis, pendant sa minorité, à l'autorité parentale conjointe de ses père et mère. |
3 | Les parents mineurs ou sous curatelle de portée générale n'ont pas l'autorité parentale. Celle-ci revient aux parents lorsqu'ils deviennent majeurs. Lorsque la curatelle de portée générale est levée, l'autorité de protection de l'enfant statue sur l'attribution de l'autorité parentale selon le bien de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298 - 1 Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande. |
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1 | Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande. |
2 | Lorsqu'aucun accord entre les parents ne semble envisageable sur ce point, le juge peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant ainsi que sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
2bis | Lorsqu'il statue sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à la prise en charge de l'enfant, le juge tient compte du droit de l'enfant d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses deux parents.357 |
2ter | Lorsque l'autorité parentale est exercée conjointement, le juge examine, selon le bien de l'enfant, la possibilité de la garde alternée, si le père, la mère ou l'enfant la demande.358 |
3 | Il invite l'autorité de protection de l'enfant à nommer un tuteur si aucun des deux parents n'est apte à assumer l'exercice de l'autorité parentale. |
3.4 C____ wurde am [...] 2012 geboren und der Beigeladene beantragte erst mit Schreiben vom 12. November 2020 die gemeinsame elterliche Sorge, weshalb deren Zuteilung nur bei einer wesentlichen Veränderung der Verhältnisse im Sinne von Art. 298d Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
3.4.1 C____ leidet an einer Autismus-Spektrum-Störung im Sinne eines frühkindlichen Autismus (Abschlussbericht UPK vom 1. Dezember 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 222 ff.). Nachdem er im März 2019 zunächst bei einer Pflegefamilie platziert wurde, lebt er seit dem 8. April 2019 in einer Wohngruppe des Schulheims D____, einer für Menschen mit einer Autismus-Spektrum-Störung spezialisierten Einrichtung (vgl. Sachverhalt des früheren Urteils VGE VD.2019.228 vom 15. Dezember 2020). Seit diesem Schuljahr ist er auf dem Stockwerk mit den selbständigeren Kindern (Internatsbericht vom 7. Juli 2022, VD.2022.164 act. 12 S. 1). Vom Beistand wird die D____ als C____s «Nest» bezeichnet (Verhandlungsprotokoll S. 3). Die Wochenenden und einzelne Ferienwochen verbringt C____ regelmässig beim Beigeladenen (vgl. dazu unten E. 3.5.2.3; Stellungnahme Kindesvertreterin, VD.2021.167 act. 25 S. 1). Zweimal pro Monat verbringt er zudem die Wochenenden sowie auch Ferien bei einer Pflegefamilie in Basel, wo er sich gut eingelebt hat und rege am Sozialleben der Familie teilnimmt (VD.2022.164 act. 12 S. 1; VD.2021.167 act. 25 S. 2). Wie den Eingaben und den Ausführungen der Kindesvertreterin anlässlich der Gerichtsverhandlung entnommen werden kann, findet C____ seine Strukturen und sein Leben schön und er möchte keine Änderung. Ihm geht es gut und es ist ihm «wohl, so wie die Situation im Moment ist» (Stellungnahme Kindesvertreterin, VD.2021.167 act. 25 S. 1, 2; Plädoyer Kindesvertreterin, VD.2022.164 act. 16 Ziff. 4).
3.4.2 Zu seiner Mutter hat C____ seit seiner Platzierung kaum persönlichen Kontakt. Zwischen Dezember 2019 und März 2020 besuchte die Beschwerdeführerin ihren Sohn insgesamt vier Mal (vgl. VGE VD.2019.228 vom 15. Dezember 2020 E. 3.7). Zum Zeitpunkt der seither stattgefundenen Begegnungen werden in der Verhandlung vor dem Verwaltungsgericht unterschiedliche Angaben gemacht. Während gemäss der Beschwerdeführerin der letzte Besuchskontakt vor «bald zwei Jahre[n]» stattgefunden haben soll, gibt der Beistand an, dass C____ die Beschwerdeführerin zuletzt vor knapp einem Jahr, an Weihnachten, gesehen habe (Verhandlungsprotokoll S. 5, 6). Dieser persönliche Kontakt bei den Grosseltern mütterlicherseits im Dezember 2021, wo C____ auch seine Schwester kennenlernte, ergibt sich auch aus den Akten (Stellungnahme Kindesvertreterin, VD.2021.167 act. 25 S. 1; E-Mail Beistand vom 16. September 2022 zu Weihnachtsplanung, VD.2022.164 act. 10 S. 32; Aktennotiz vom 23. Februar 2022, VD.2022.164 act. 10 S. 298). Abgesehen von diesem einen Besuch beschränken sich die Kontakte zwischen C____ und der Beschwerdeführerin auf Skype-Gespräche. Diese finden regelmässig zweimal wöchentlich statt. C____s kleine Schwester ist bei den Gesprächen teilweise bei der Mutter dabei (Internatsbericht, VD.2022.164 S. 1; Stellungnahme Kindesvertreterin, VD.2021.167 act. 25 S. 1).
3.4.3 Wie ihrer handschriftlichen Beschwerdeeingabe entnommen werden kann und die Beschwerdeführerin anlässlich der Gerichtverhandlung bestätigte, hat sie sich in einem - den Behörden weiterhin unbekannten - Land ein «relativ gutes und schönes Leben» aufgebaut, dort «eine Firma» gegründet und bestreitet damit ihren Unterhalt (VD.2021.167 act. 5 S. 2; Verhandlungsprotokoll S. 11). Zwar scheint die Beschwerdeführerin zwischenzeitlich eine Rückkehr in die Schweiz in Erwägung gezogen zu haben. Als die Kindesschutzbehörde von der Beschwerdeführerin konkrete Angaben über ihren geplanten Wohnort in der Schweiz, ihre Lebenssituation und ihre finanzielle Situation verlangte sowie über die Voraussetzungen des Beziehungsaufbaus zu C____ bei ihrer Heimkehr informierte, verfolgte die Beschwerdeführerin ihre Rückkehrabsichten nicht mehr weiter (vgl. E-Mail vom 23. Juni 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 110). Den Feststellungen der Kindesschutzbehörde folgend, gibt es über diese Absichtsbekundungen hinaus keine konkreten Anzeichen, die auf eine baldige Rückkehr der Beschwerdeführerin in die Schweiz schliessen lassen. In der Gerichtsverhandlung auf ihre Pläne angesprochen, gab die Beschwerdeführerin denn auch an, C____ zu sich holen zu wollen und sich «sicher nicht wieder in der Schweiz an[zu]melden» (Verhandlungsprotokoll S. 8, 11).
3.4.4 Die so veränderten Verhältnisse rechtfertigen grundsätzlich eine Neuregelung der elterlichen Sorge.
3.5 Zu prüfen ist, ob wegen dieser wesentlichen Änderung der Verhältnisse zur Wahrung des Kindeswohls die Erteilung der gemeinsamen elterlichen Sorge nötig ist.
3.5.1
3.5.1.1 Die Beschwerdeführerin beruft sich zunächst darauf, dass der Kontakt mit ihr «sehr gut laufe» (Beschwerde E. 5). Auf die Skype-Gespräche mit C____ scheint dies mittlerweile seit längerem tatsächlich zuzutreffen (vgl. auch das frühere Urteil VGE VD.2019.228 vom 15. Dezember 2020 E. 3.7). Dies ist erfreulich und wurde auch von der Vorinstanz nicht übersehen (Sachverhalts angefochtener Entscheid Ziff. 11). Physischen Kontakt mit C____ hatte die Beschwerdeführerin jedoch zuletzt an Weihnachten vor einem Jahr und sie erscheint insbesondere im Kontakt mit den Behörden unberechenbar (vgl. oben E. 3.4.2; Verhandlungsprotokoll S. 7, 14). Die Beschwerdeführerin kündigte in den letzten zwei Jahren, meist sehr kurzfristig, immer wieder Besuche an, reiste dann aber doch nicht in die Schweiz (Verhandlungsprotokoll S. 7). Der Kontakt mit C____s Beistand erfolgt seit mindestens einem Jahr nur noch über E-Mail (Verhandlungsprotokoll S. 7). Die Beschwerdeführerin begründet dies damit, dass in der Vergangenheit teilweise «Sachen» telefonisch vereinbart worden seien, an die man sich nicht gehalten habe (Verhandlungsprotokoll S. 8). Dennoch beteuert sie, immer erreichbar zu sein (Verhandlungsprotokoll S. 8). Die Beschwerdeführerin meldete sich jedoch regelmässig nicht mehr, sobald die Kindesschutzbehörde oder C____s Beistand im Zusammenhang mit der Planung eines Treffens von Mutter und Kind in der Schweiz für diese Zeit Kontaktdaten verlangten oder sie nach C____s Impfausweis gefragt wurde (Verhandlungsprotokoll S. 7, 11; E-Mail der KESB vom 23. Juni 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 110; E-Mail Beistand vom 16. Juli 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 78). Nachdem C____ mit seiner Mutter seit fast einem Jahr keinen persönlichen Kontakt hatte, ist dem Beistand und der Kindesschutzbehörde zuzustimmen, dass es für das Kindeswohl wichtig ist, wenn die Beschwerdeführerin und C____ sich erst schrittweise wieder im Alltag erleben und der Beziehungsaufbau langsam erfolgt (Verhandlungsprotokoll S. 8 f.; E-Mail der KESB vom 23. Juni 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 110). Dabei ist nachvollziehbar, dass der Beistand wissen muss, wo sich die Beschwerdeführerin mit C____ während ihres Besuchs in der Schweiz aufhält und dass während dieser Zeit Kontaktdaten von ihr benötigt werden (Verhandlungsprotokoll S. 7). Die Beschwerdeführerin teilte an der Gerichtsverhandlung mit, dass sie ihre nicht angekündigte Anwesenheit für die Gerichtsverhandlung in der Schweiz nun nutzen möchte, um C____ zu besuchen (vgl. Verhandlungsprotokoll 10, 17). Dies ist zu begrüssen und die Kindesschutzbehörde und der Beistand signalisierten anlässlich der Gerichtsverhandlung auch ihre Bereitschaft, diesen Kontakt möglich zu machen (Verhandlungsprotokoll S. 17). Dennoch offenbart dieses Vorgehen erneut die Unberechenbarkeit der Beschwerdeführerin und ihre fehlende Bereitschaft, mit den Behörden zu kommunizieren sowie ihr Handeln mit diesen zu koordinieren. Ohne sich mit dem Beistand, der Kindesschutzbehörde und wohl auch der D____ abzusprechen, hat sie C____ bereits einen Ausflug in die [...] versprochen und weckt bei ihm Erwartungen (Verhandlungsprotokoll S. 10, 17). Dabei scheint sie C____s Enttäuschung - sollte das Treffen so kurzfristig doch nicht stattfinden können - zumindest in Kauf zu nehmen. Dies geschieht nicht zum ersten Mal und zeigt wenig Einfühlungsvermögen in Bezug auf C____s Situation. Bei einem Telefonat im Oktober 2021 teilte die Beschwerdeführerin C____ mit, dass sie ihn noch gleichentags abholen werde. C____ war danach unsicher und zeigte auffälliges Verhalten, sodass die Beschwerdeführerin von C____s Beistand darauf hingewiesen werden musste, C____ nicht mit derartigen Versprechungen zu belasten (E- Mail vom 1. Oktober 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 10).
3.5.1.2 Soweit die Beschwerdeführerin in ihrer Beschwerde und an der Gerichtsverhandlung geltend macht, dass C____ Angst habe, mit ihr zu skypen, da der Beigeladene C____ unter Androhung von «Backpfeifen» verbiete, mit ihr zu sprechen (Beschwerde E. 4; Verhandlungsprotokoll S. 18 f.), wird diese Behauptung von der Kindesvertreterin nicht bestätigt. C____ habe dies in den Gesprächen mit ihr nicht geäussert. Er sei traurig, dass er keinen Kontakt mit seiner Mutter habe und sie nicht sehen könne. Die Skype-Kontakte seien jedoch teilweise zu einem für ihn schwierigen Zeitpunkt gewesen. Die anderen Kinder hätten draussen gespielt und er müsse in ein kleines Kämmerlein, um zu skypen. Der Entscheid «spielen oder das Mami sehen», sei ein klassisches Kinderproblem. Es mache ihn «hibbelig». Diese zeitlichen Schwierigkeiten ergeben sich auch bereits aus der E-Mail von C____s Betreuungsperson in der D____ an die Beschwerdeführerin vom 10. März 2021. Darin wird ausdrücklich festgehalten, dass C____ versichert habe, selber entschieden zu haben, nur noch fünf Minuten mit seiner Mutter zu skypen, da er befürchte, zu viel von der Mittagspause mit den anderen Kindern zu verpassen (KESB Akten VD.2021.167 act. 19 S. 136). Nachdem die Zeiten für das Skypen von der D____ angepasst wurden, war C____ wieder sehr motiviert dabei (E-Mail vom 26. März 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 131 f.; Aktennotiz vom 26. März 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 130). Zurzeit findet der Kontakt mit der Mutter mehr über Telefongespräche statt, die spontaner stattfinden können. Das mache C____ nach Angaben der Kindesvertreterin zwar nicht so gerne, ihm wäre skypen lieber, jedoch müsse dafür noch das geeignete Zeitfenster gefunden werden (Verhandlungsprotokoll S. 18 f.).
3.5.2
3.5.2.1 Mit der Vorinstanz ist zunächst zu berücksichtigen, dass das für die elterliche Sorge vorausgesetzte rechtliche Kindesverhältnis zwischen dem Beigeladene und C____ - unabhängig der seitens der Mutter verneinten biologischen Vaterschaft - infolge Anerkennung gemäss Art. 252 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 252 - 1 À l'égard de la mère, la filiation résulte de la naissance. |
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1 | À l'égard de la mère, la filiation résulte de la naissance. |
2 | À l'égard de l'autre parent, elle est établie par son mariage avec la mère ou, pour autant que cela soit prévu par la loi, par reconnaissance ou par jugement.239 |
3 | La filiation résulte en outre de l'adoption. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 260 - 1 Lorsque le rapport de filiation existe seulement avec la mère, le père peut reconnaître l'enfant. |
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1 | Lorsque le rapport de filiation existe seulement avec la mère, le père peut reconnaître l'enfant. |
2 | Le consentement du représentant légal est nécessaire si l'auteur de la reconnaissance est mineur ou s'il est sous curatelle de portée générale ou encore si l'autorité de protection de l'adulte en a décidé ainsi.261 |
3 | La reconnaissance a lieu par déclaration devant l'officier de l'état civil ou par testament ou, lorsqu'une action en constatation de paternité est pendante, devant le juge. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 260a - 1 La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
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1 | La reconnaissance peut être attaquée en justice par tout intéressé, en particulier par la mère, par l'enfant et, s'il est décédé, par ses descendants, ainsi que par la commune d'origine ou la commune de domicile de l'auteur de la reconnaissance. |
2 | L'action n'est ouverte à l'auteur de la reconnaissance que s'il l'a faite en croyant qu'un danger grave et imminent le menaçait lui-même, ou l'un de ses proches, dans sa vie, sa santé, son honneur ou ses biens, ou s'il était dans l'erreur concernant sa paternité. |
3 | L'action est intentée contre l'auteur de la reconnaissance et contre l'enfant lorsque ceux-ci ne l'intentent pas eux-mêmes. |
3.5.2.2 Seit dem 1. Februar 2020 lebt der Beigeladene im Kanton [...], wo er eine 2-Zimmerwohnung bewohnt. Seit dem 11. August 2021 geht er einer regelmässigen Arbeit als Küchenmitarbeiter in einer Institution auf dem zweiten Arbeitsmarkt nach (VD.2021.167 act. 15; Aktennotiz Tel. mit Beiständin des Beigeladenen, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 21). Der Beigeladene ist verbeiständet (Ernennungsurkunde VD.2021.167 act. 16). Wie den Akten entnommen werden kann, verzögerte sich die Übernahme der Vertretungsbeistandschaft von der KESB Basel-Stadt sehr und der Beigeladene wurde während fast einem Jahre aus der Ferne und seit der Pensionierung seines Beistandes im Februar 2020 von mehreren Stellvertretern betreut (VD.2021.167 act. 15; Aktennotiz Tel. mit Beiständin des Beigeladenen, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 21). Mittlerweile wurde mit Entscheid der Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde Mittelbünden (nachfolgend: Erwachsenenschutzbehörde) vom 6. Mai 2021 für den Beigeladenen eine Vertretungsbeistandschaft mit [...] als Berufsbeiständin errichtet (vgl. Ernennungsurkunde, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 28). Nachdem C____s Beistand im Mai 2021 berichtet hat, dass es dem Beigeladenen ohne Beistand in [...] nicht gut gehe und «es im Moment nicht so gut laufe» (Aktennotiz vom 11. Mai 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 118), geht es ihm nach Angaben seiner Beiständin heute wieder gut (Verhandlungsprotokoll S. 15 f.).
3.5.2.3 Der Beigeladene hat seit der Platzierung von C____ eine persönliche Beziehung zu seinem Sohn aufgebaut und pflegt diese kontinuierlich und regelmässig. Er konnte sich dabei gut auf ein schrittweises Vorgehen, zunächst stundenweise am Platzierungsort, später mit ausgeweitetem Bewegungsradius und ausgedehnteren Zeiten, einlassen (Stellungnahme Beistand vom 25. November 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 233). Mittlerweile verbringt C____ in der Regel jedes zweite Wochenende beim Beigeladenen an dessen Wohnort im Kanton [...]. Zudem telefonieren sie zwei bis drei Mal pro Woche miteinander (Verhandlungsprotokoll S. 5). C____ freue sich stets auf die Besuche und kehre «geordnet und zufrieden» zurück (Stellungnahme Beistand vom 25. November 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 233). Auch auf die Beiständin des Beigeladenen, die C____ dreimal im [...] getroffen hat, machte C____ immer einen ruhigen und glücklichen Eindruck (Verhandlungsprotokoll, S. 16). Von C____s Beistand wird der Beigeladene als zuverlässig und pünktlich sowie liebevoll und interessiert im Umgang mit C____ beschrieben (Stellungnahme Beistand vom 25. November 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 233). Er kooperiert mit den beteiligten Personen und ist für den Beistand, die Kindesschutzbehörde und die D____ telefonisch stets erreichbar. Absprachen, insbesondere auch mit der Bezugsperson aus C____s Wohngruppe, funktionieren unkompliziert und zuverlässig (Verhandlungsprotokoll S. 13; Stellungnahme Beistand vom 25. November 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 233). Eine Zusammenarbeit besteht nach Angaben von C____s Beistand nur mit dem Beigeladenen, der bei Standortgesprächen in der D____ teilnimmt und auch im Alltag den Austausch sucht. Der Beigeladene sei die «familiäre Konstanz», die C____ habe (Verhandlungsprotokoll S. 13). Seine Anliegen thematisiert der Beigeladene, ohne zu drängen. Trotz seines Wunsches, C____ zu sich in den Kanton [...] zu holen, anerkennt er den besonderen Unterstützungsbedarf seines Sohnes (Stellungnahme Beistand vom 25. November 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 233 f.; Verhandlungsprotokoll S. 13).
3.5.2.4 Wie C____s Beistand anlässlich der Verhandlung ausführte, bestehen weiterhin keine Hinweise auf den von der Beschwerdeführerin geltend gemachten Alkohol- oder Drogenmissbrauch des Beigeladenen. Es ist davon auszugehen, dass andernfalls C____s Bezugspersonen von der D____, die täglich mit ihm zusammen sind und ihn nach den Besuchen beim Beigeladenen eng begleiten, etwas Gegenteiliges aufgefallen wäre und dies dem Beistand oder der Kindesschutzbehörde gemeldet hätten (Beschwerde E. 7; Verhandlungsprotokoll S. 15 Aktennotiz vom 11. Mai 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 118). Wenn der Rechtsvertreter schliesslich aus der Verbeiständung des Beigeladenen auf dessen Überforderung mit der Erziehung von C____ schliesst, betreffen diese Vorhalte die Erziehungsfähigkeit. Vorliegend geht es aber um die elterliche Sorge beziehungsweise darum, ob es dem Kindeswohl entspricht, wenn wichtige Entscheide C____ betreffend von den Eltern gemeinsam getroffen werden oder nicht. Im Übrigen kann die Erziehungsfähigkeit bei Bedarf mit Massnahmen unterstützt werden, wie von der Kindesvertreterin zu Recht eingewendet wurde (Verhandlungsprotokoll S. 16). C____s Beistand betont denn auch, dass ein Elternteil nicht perfekt sein, aber «irgendwie in Kooperation stehen» müsse (Verhandlungsprotokoll S. 13).
3.5.3 Der Kindesschutzbehörde wurden am 3. Februar 2021 durch den Lebenspartner von C____s Grossmutter Sprach- und WhatsApp-Nachrichten des Beigeladenen übermittelt. Inhaltlich geht es in den Sprachnachrichten im Wesentlichen darum, dass der Beigeladene die Beschwerdeführerin schwer beleidigt, beschuldigt, bedroht, ihr den Tod wünscht, sie beschimpft und sich über sie lustig macht. Auch bei den WhatsApp-Textnachrichten handelt es sich um Bedrohungen, Beschimpfungen, Anschuldigungen und Beleidigungen. Aufgrund der Datumsangaben ist ersichtlich, dass er ihr zeitweise 10 bis 15 Nachrichten pro Tag geschrieben hat (Aktennotiz, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 184; Beschwerde E. 6). Mit der Vorinstanz sind diese Nachrichten als klare Grenzüberschreitung zu werten (Vernehmlassung, VD.2021.167 act. 17 S. 3). Die Kindesschutzbehörde stellte sie deshalb auch C____s Beistand zu, der gegenüber dem Beigeladenen umgehend klarstellte, dass dieses Verhalten nicht toleriert werde und er damit die Beziehung zu C____ gefährde. Die Aufforderung von C____s Beistand, mit den inadäquaten Nachrichten an die Beschwerdeführerin abzusehen, hat der Beigeladene akzeptieren können (Aktennotiz vom 11. Mai 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 118). Es erscheint zudem wahrscheinlich, dass die Nachrichten zumindest teilweise in Zusammenhang mit der zwischenzeitlich fehlenden Unterstützung des Beigeladenen durch einen Beistand im Kanton [...] standen (vgl. oben E. 3.5.2.2). Von Seiten der Kindesschutzbehörde wurden zudem Erkundigungen bei der zuständigen Betreuungsperson von C____ in der D____ eingeholt, um abzuklären, ob C____s Wohlbefinden durch die Streitereien der Eltern tangiert sei. Es wurde bestätigt, dass es C____ nach wie vor sehr gut gehe und der Konflikt vorwiegend auf Elternebene ausgetragen werde (Vernehmlassung, VD.2021.167 act. 17 S. 3, Aktennotiz vom 11. Mai 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 118; E-Mail vom 26. März 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 131 f.; Aktennotiz vom 26. März 2021, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 130). Nichts anderes ergibt sich auch aus der Stellungnahme der Kindesvertreterin. Sie bestätigt, dass C____ der Konflikt der Eltern teilweise durchaus bewusst ist und ihn dies beschäftige. Die Bezugspersonen der D____ seien jedoch in der Lage zu bemerken, wenn C____ in seiner psychischen Gesundheit beeinträchtigt werde (act. 25 S. 2, 3). Abgesehen von diesen inadäquaten Nachrichten des Beigeladenen an die Beschwerdeführerin scheint der zuvor sehr vehement geführte Elternkonflikt durch die Abwesenheit der Beschwerdeführerin deutlich in den Hintergrund getreten zu sein (vgl. den früheren Entscheid VD.2019.67 vom 14. August 2019 E. 4.2; Stellungnahme Beistand vom 25. November 2020, KESB-Akten act. 19 S. 233). An der Verhandlung vor dem Verwaltungsgericht wurde von der Beschwerdeführerin angegeben, mit dem Beigeladenen seit fast zwei Jahren keinen Kontakt mehr zu haben (Verhandlungsprotokoll S. 12). Im Übrigen haben die Eltern nach Angaben der Betreuungsperson in der D____ zumindest in Bezug auf die gesundheitliche Betreuung von C____ die gleiche Haltung. Beide sind der Ansicht, dass C____ nur mit homöopathischen Mitteln behandelt werden soll und sind gegen eine Impfung von C____ (Stellungnahme Kindesvertreterin act. 25 S. 2; Verhandlungsprotokoll S. 16).
3.5.4 Zusammenfassend rechtfertigen die hiervor dargelegten Umstände die Erteilung der gemeinsamen elterlichen Sorge.
Wie von der Vorinstanz zutreffend festgestellt, hält sich die Beschwerdeführerin - als bisher alleinige Inhaberin der elterlichen Sorge - seit über 2,5 Jahren mit unbekanntem Aufenthaltsort im Ausland auf, ist für die involvierten Fachpersonen sehr schwer und fast nur über E-Mail zu erreichen, in der Zusammenarbeit mit dem Beistand unberechenbar und wenig zuverlässig und stellt häufig Forderungen und Fragen, reagiert dann aber selbst nicht mehr auf die Antworten. Mit C____ pflegt sie nur telefonisch oder über Skype regelmässigen und lediglich an wenigen Tagen im Jahr - zuletzt an Weihnachten 2021 - persönlichen Kontakt (angefochtener Entscheid Rz. 19, Vernehmlassung S. 1, Verhandlungsprotokoll S. 22). Entgegen den Ausführungen ihres Rechtsvertreters hat die Beschwerdeführerin mit diesen Skype-Kontakten ihre regelmässige Präsenz nicht bewiesen (Verhandlungsprotokoll S. 24). Eine baldige Veränderung in der Lebenssituation der Beschwerdeführerin ist nicht ersichtlich. Eine Rückkehr in die Schweiz schliesst sie mittlerweile gänzlich aus und möchte C____ stattdessen zu sich ins Ausland - wobei sie immer noch nicht sagen will, wo das ist - holen (Vernehmlassung act. 17 S. 2; Verhandlungsprotokoll, S. 8, 11). Den Erwägungen der Vorinstanz weiter folgend, pflegt der Beigeladene dagegen kontinuierlich persönlich Kontakt zu C____, zeigte sich mit einem aus Rücksicht auf C____ schrittweisen Ausbau des Besuchsrechts einverstanden, nimmt ihn regelmässig an Wochenenden und Ferien zu sich, hält sich unkompliziert und zuverlässig an Abmachungen, ist stets gut erreichbar, nimmt an Standortgesprächen teil und steht in regem Austausch mit C____s Beistand und den Bezugspersonen der D____ sowie der Pflegefamilie (angefochtener Entscheid Rz. 19, Vernehmlassung S. 2, Verhandlungsprotokoll S. 5, 22, Stellungnahme des Beistandes vom 25. November 2020 VD.2021.167 act. 19 S. 233). Auch nach Ansicht des behandelnden Psychiaters von C____, Dr. med. E____, Facharzt für Kinder- und Jugendpsychiatrie, «dürfte der Vater der reale Elternteil sein, die Mutter auf Dauer 'virtuell' und 'utopisch' bleiben» (E-Mail vom 15. Mai 2022, KESB Akten VD.2022.164 act. 10 S. 138). Der Beigeladene kennt die persönlichen Belange und Befindlichkeiten von C____ mittlerweile besser und ist viel näher an dessen Lebensrealität als die Mutter (angefochtener Entscheid Rz. 19; Vernehmlassung S. 2). Von einer «Pro-Forma-Ansprechperson vor Ort», wie die Beschwerdeführerin geltend machen will, kann dabei keine Rede sein (Beschwerde E. 5). Aufgrund dieser Nähe des Beigeladenen zu C____ ist es zu dessen Wohl daher sinnvoll, dass der Beigeladene in allen Belangen, die C____ betreffen, miteinbezogen wird und bei den wesentlichen Entscheidungen in Bezug auf C____s Leben, zumindest mitentscheiden kann. Steht die elterliche Sorge auch dem Beigeladene zu, hat C____ wenigstens einen sorgeberechtigten Elternteil vor Ort, der rasch Entscheidungen treffen kann. Unter Berücksichtigung der gesamten Umstände kann das Kindeswohl durch die gemeinsame elterliche Sorge besser gewahrt werden, als wenn diese alleine der Beschwerdeführerin zukommt.
Die Vorinstanz berücksichtigte weiter zu Recht, dass die Eltern bisweilen erhebliche Schwierigkeiten haben, miteinander zu kommunizieren und sich gegenseitig beleidigen (angefochtener Entscheid Rz. 21; Vernehmlassung, VD.2021.167 act. 17 S. 2). Dieser Konflikt auf Elternebene, welcher insbesondere mit der Trennung einhergegangen ist, wirkt sich aber nicht derart negativ auf das Kindeswohl aus, dass vom Grundsatz der gemeinsamen elterlichen Sorge abgewichen werden müsste (vgl. oben E. 3.3.2 und E. 3.5.3; angefochtener Entscheid Rz. 21; vgl. Cantieni/Vetterli, a.a.O., Art. 298
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298 - 1 Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande. |
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1 | Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande. |
2 | Lorsqu'aucun accord entre les parents ne semble envisageable sur ce point, le juge peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant ainsi que sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
2bis | Lorsqu'il statue sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à la prise en charge de l'enfant, le juge tient compte du droit de l'enfant d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses deux parents.357 |
2ter | Lorsque l'autorité parentale est exercée conjointement, le juge examine, selon le bien de l'enfant, la possibilité de la garde alternée, si le père, la mère ou l'enfant la demande.358 |
3 | Il invite l'autorité de protection de l'enfant à nommer un tuteur si aucun des deux parents n'est apte à assumer l'exercice de l'autorité parentale. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298 - 1 Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande. |
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1 | Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande. |
2 | Lorsqu'aucun accord entre les parents ne semble envisageable sur ce point, le juge peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant ainsi que sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
2bis | Lorsqu'il statue sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à la prise en charge de l'enfant, le juge tient compte du droit de l'enfant d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses deux parents.357 |
2ter | Lorsque l'autorité parentale est exercée conjointement, le juge examine, selon le bien de l'enfant, la possibilité de la garde alternée, si le père, la mère ou l'enfant la demande.358 |
3 | Il invite l'autorité de protection de l'enfant à nommer un tuteur si aucun des deux parents n'est apte à assumer l'exercice de l'autorité parentale. |
Anzumerken bleibt, dass für eine sinnvolle Ausübung des Sorgerechts in der Regel auch der persönliche Kontakt zum Kind unabdingbar ist (vgl. BGE 142 III 197 E. 3.5). Sollte sich herausstellen, dass das Kindeswohl - die einzige Maxime für die Sorgerechtszuteilung - bei gemeinsamer elterlicher Sorge insbesondere aufgrund des fehlenden physischen Kontakts von Mutter und Kind erheblich beeinträchtigt wird, führt dies nicht unweigerlich dazu, dass das Sorgerecht wieder alleine auf die Beschwerdeführerin übergeht. Denkbar wäre durchaus auch eine daraus resultierende Zuteilung des Alleinsorgerechts an den Beigeladenen (vgl. VGE VD.2020.43 vom 6. Dezember 2021 E. 3.4.6, wo aufgrund fehlendem Kontakt der Mutter mit dem Kind die elterliche Sorge dem Vater alleine zugeteilt wurde).
3.6
3.6.1 Was die Kindesschutzbehörde zum Antrag der Beschwerdeführerin auf Begleitung der Kontakte zwischen C____ und dem Beigeladenen (Rechtsbegehren Ziff. 3) erwogen hat, ist ebenfalls nicht zu beanstanden. Es ist weiterhin davon auszugehen, dass der Beigeladene in der Lage ist, die Besuche von C____ kindgerecht zu gestalten und er ihn nicht durch abwertende Aussagen gegenüber der Beschwerdeführerin zu beeinflussen versucht. Die Bezugspersonen in der D____, als ausgebildete Heil- und Sozialpädagogen, wären in der Lage zu bemerken, wenn die Besuche beim Beigeladenen C____ in einer negativen Art und Weise beeinträchtigen würden (Vernehmlassung act. 17 S. 3). Auch die Kindesvertreterin weist zu Recht darauf hin, dass durch ein begleitetes Besuchsrecht die Kontakte zum Beigeladenen in Form und Dauer, wie sie jetzt gehandhabt und von C____ geschätzt werden, deutlich eingeschränkt würden. Ohne Kindeswohlgefährdung gibt es dazu keinen Anlass (Stellungnahme act. 25 S. 3).
3.6.2 Zu den Anträgen der Beschwerdeführerin vom 9. Dezember 2020 betreffend den Vorwurf von teils kindeswohlgefährdender Verhaltensweisen des Beigeladenen hat die Kindesschutzbehörde mit ihrer Vernehmlassung im vorliegenden Verfahren ergänzend Stellung genommen (Rechtsbegehren Ziff. 5; KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 213 f.; Vernehmlassung, VD.2021.167 act. 17 S. 2 f.). Im Übrigen wird auf die vorstehenden Ausführungen verwiesen (vgl. oben E. 3.5.2).
4. Erweiterung Aufgaben und Befugnisse der Beistandschaft (VD.2022.164)
Weiter richtet sich die Beschwerde der Kindsmutter gegen die Erweiterung der Aufgaben und Befugnisse des Beistandes gemäss Art. 308 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
4.1 Die Kindesschutzbehörde erwog, aus den Schilderungen von C____s behandelndem Psychiater sowie des Beistands werde klar, dass C____ sich schon seit einigen Monaten in einer seelischen Notlage befinde und dass insbesondere während und unmittelbar nach seinen für ihn unkontrollierbaren Wutausbrüchen der Leidensdruck hoch sei. Die involvierten Betreuungspersonen hätten bereits erwägen müssen, C____ zur Krisenintervention in eine kinderpsychiatrische Klinik zu verlegen, weil sie sich zunehmend nicht mehr in der Lage gesehen hätten, C____s Sicherheit sowie die Sicherheit der anderen Kinder und Betreuenden zu gewährleisten. Gemäss C____s behandelndem Psychiater seien die pädagogisch, therapeutischen Möglichkeiten in dieser Situation ausgeschöpft, hingegen bestehe eine hohe Wahrscheinlichkeit, dass C____ eine psychopharmakologische Behandlung helfen könnte, seine Emotionen besser zu kontrollieren (angefochtener Entscheid vom 24. Juni 2022 Rz. 17). Dem Heim, Psychiater und Beistand sei es nicht möglich gewesen, die Eltern dafür zu gewinnen, einen Medikationsversuch zu starten. Beide Eltern schienen nicht in der Lage zu sein, die aktuelle Not von C____ zu sehen. Die Beschwerdeführerin habe den Wunsch geäussert, dass eine ärztliche Zweitmeinung eingeholt werde. Diesem nachvollziehbaren Bedürfnis sei die Kindesschutzbehörde nachgekommen, eine Reaktion der Beschwerdeführerin sei aber ausgeblieben. Der Beigeladene habe der Kindesschutzbehörde schliesslich trotz Vorbehalten seine Zustimmung für eine dreimonatige Medikamentenabgabe erteilt (angefochtener Entscheid vom 24. Juni 2022 Rz. 18). Insgesamt habe dieser Ablauf gezeigt, dass ein rasches Tätigwerden im Sinne von C____ in der vorliegenden Elternkonstellation sehr schwierig sei. Beiden Eltern falle es schwer, unabhängig von ihren eigenen Befindlichkeiten und Animositäten, rasch zum Wohl von C____ zu reagieren. Darüber hinaus scheine es, dass gewisse konkrete Fragestellungen, wie beispielsweise welches von mehreren geeigneten Medikamenten C____ verabreicht werden solle, die kognitiven Möglichkeiten der Eltern oder aber deren Wille, auf die konkrete Fragestellung innert nützlicher Frist zu antworten, übersteigen würden (angefochtener Entscheid vom 24. Juni 2022 Rz. 19).
Vorliegend sei aufgrund der zunehmenden Eskalationen - zuletzt C____s Messerangriff auf eine Betreuerin und ein Kind - davon auszugehen, dass sich vermehrt medizinische Fragen stellten, die ein rasches, geeignetes Handeln und Entscheiden der Inhaber der elterlichen Sorge erfordern würden. Da dies von den Eltern nicht geleistet werden könne, solle dem Beistand die Kompetenz erteilt werden, C____ im Zusammenhang mit gesundheitlichen Fragen gegenüber Ärztinnen und Ärzten, Krankenkassen, Spitälern etc. zu vertreten und insbesondere die Entscheidung zu treffen, ob und mit welchen Medikamenten der Versuch einer pharmakologischen Unterstützung für C____ gestartet werde. Die elterliche Sorge solle den Eltern in diesem Teilbereich eingeschränkt werden, sodass dem Beistand die exklusive Handlungsmacht zukomme. Selbstverständlich werde der Beistand vor einem medizinischen Entscheid die Meinungen der Eltern weiterhin abholen und bestmöglich berücksichtigen. Zusätzlich erhalte der Beistand den Auftrag, der Kindesschutzbehörde bis spätestens 28. Oktober 2022 schriftlich über den Verlauf der Medikation, die bereits eingetretenen Veränderungen und allfällige Anpassungen zu berichten (angefochtener Entscheid vom 24. Juni 2022 Rz. 20). Da in den letzten Wochen eine Steigerung des Leidensdrucks von C____ sowie der Betreuungseinrichtung zu beobachten gewesen sei, die darin gegipfelt habe, dass die D____ eine Beendigung der Platzierung von C____ in Erwägung habe ziehen müssen, solle mit der Medikation sogleich begonnen werden können. Darüber hinaus nehme die Einstellung der richtigen Dosierung und das Wirksamwerden der Medikamente einige Zeit in Anspruch, sodass nicht sofort mit einer Beruhigung der Situation gerechnet werden könne (angefochtener Entscheid vom 24. Juni 2022 Rz. 22).
4.2 Die Beschwerdeführerin wendet dagegen im Wesentlichen ein, es bestehe ein klarer Zusammenhang zwischen den Aktivitäten von C____ im Rahmen seiner unbegleiteten Besuchsaufenthalte beim Beigeladenen und des «offenbar verfahreninitiierenden Ereignisses» (Aggressionsausbruch von C____, scheinbar mit einem Messer; Beschwerde E. 3 S. 3). Das problematische Verhalten von C____ sei Folge des für sein Alter völlig ungeeigneten, völlig unangemessenen und schädlichen Medienkonsums, dem er beim Beigeladenen ausgesetzt werde. Wie die Verantwortlichen bereits informiert worden seien, bekomme C____ beim Beigeladenen offenbar unüberwacht Inhalte aus dem Internet und dem Fernsehen zu Gesicht (Beschwerde E. 3 S. 4 f.). Von verschiedenen Involvierten werde zwanghaft versucht, am Bild festzuhalten, dass die Beschwerdeführerin die Ursache allen Übels sei, wohingegen der vermeintliche Vater, dessen Vaterschaft nicht nachgewiesen sei, als umgänglich und besorgt um seinen Sohn, jedoch lediglich etwas unsicher beschrieben werde. Handfeste Äusserungen der Kindesmutter und ihres Vertreters (inkl. Beweismittel) würden dabei von vornherein in parteiischer Art nicht beachtet, weil sie dem gewünschten Bild nicht entsprächen. Die Konsequenzen dieser «Sicht mit Scheuklappen» trage einzig und allein C____. Allfällig zunehmende Aggressionen in eben diesem Umfeld seien als Hilfeschrei zu werten, dass dringend und zwingend mehr professionelle Sachverhaltsermittlungen, vor allem bezüglich der Besuchskontakte, angezeigt seien (Beschwerde E. 3 S. 5). Auf eine Medikation sei - wenn überhaupt - erst als allerletztes Mittel zurückzugreifen und nicht bevor etliche weitere nötige und mögliche Ansatzpunkte versucht worden seien (Verhältnismässigkeits- und Subsidiaritätsprinzip).
C____ habe bei seiner Mutter keine Aggressionsproblematik gezeigt, sie könne ihm auch den nötigen Halt und Struktur für sein Alter geben und er leide unter dem mangelnden Kontakt zu seiner Mutter. Es sei daher durchaus wahrscheinlich, dass sich durch ausgedehnte Ferien mit der Mutter die Problematik deutlich entschärft hätte - soweit sie aktuell überhaupt noch akut sei, was zwar suggeriert werde, jedoch nicht belegt sei. Dem Fazit in der Stellungnahme von Dr. med. F____ wonach die vorgeschlagene Medikation nötig, verhältnismässig und alternativlos sei, könne somit eindeutig nicht gefolgt werden (Beschwerde E. 3 S. 6). Seitens Dr. med. E____ und Dr. med. F____ würden alternative Therapiemodelle bei Autismus-Spektrums-Störungen nicht wirklich zu Sprache kommen. Diese gelte es aber zweifellos in der Evaluation einzubeziehen, was hiermit beantragt werde. Mitunter wäre auch die Einholung einer hiermit ebenfalls beantragten darauf fokussierten Drittmeinung angezeigt (Beschwerde E. 3 S. 6 f.). Der Antrag des Beistandes ziele auch in völlig unverhältnismässiger Weise darauf, einen zentralen Punkt des elterlichen Sorgerechts an sich zu reissen, obschon hierfür keine Gründe vorlägen. Die Mutter und der Beigeladene hätten namentlich betreffend die medizinischen Behandlungen von C____ keine Konflikte, welche das Agieren einer Drittperson allenfalls hätte angezeigt erscheinen lassen (Beschwerde E. 3 S. 7). Angesichts des vom Beistand und anderen ins Spiel gebrachten Defizites an persönlichem Kontakt zu seiner Mutter, welcher wohl zur Aggressionsthematik bei C____ beitrage, sei um die seelische Situation von C____ zu stabilisieren ein Time-Out von mindestens zwei aufeinanderfolgenden Wochen Ferien von C____ mit seiner Mutter mehr als nötig und dringend (Beschwerde E. 3 S. 7 und E. 4 S. 8 f.). Schliesslich moniert die Beschwerdeführerin, dass die Mittel der Ermahnungen und Weisungen an die Eltern gemäss Art. 307 Abs. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
4.3 Gemäss Art. 308 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
4.4
4.4.1 Aus den Akten ergibt sich, dass C____ an einer Autismus-Spektrum-Störung im Sinne eines frühkindlichen Autismus leidet. Weiter wurde das Vorliegen einer Entwicklungsverzögerung, vermutlich mit zumindest leichter Intelligenzminderung fachärztlich bestätigt und eine aggressive Verhaltensstörung gilt diagnostisch als gesichert. Bisher nicht validiert werden konnte die von Dr. med. E____ im Bericht vom 11. März 2022 als Verdachtsdiagnose aufgeführte manisch-depressive Störung (Abschlussbericht UPK vom 1. Dezember 2020, KESB-Akten VD.2021.167 act. 19 S. 222 ff.; Bericht Dr. med. E____ vom 11. März 2022, KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 241 ff.; Aktengutachten Dr. med. F____ vom 10. April 2022, KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 191 ff.).
4.4.2 Ende Februar 2022 fand in der D____ eine Sitzung mit C____s Beistand, seiner Lehrerin, seiner Heilpädagogin, der Kinderärztin dem Kinderpsychiater, C____s Bezugsperson und der Gruppenleitung statt. Mit E-Mail vom 24. Februar 2022 informierte der Beistand die Beschwerdeführerin darüber, dass C____ aufgrund seiner familiären Situation massiv unter Anspannung stehe und es zu verschiedenen Krisen gekommen sei. Bei weiteren derartigen Vorkommnissen müsse C____ womöglich in eine Kinderpsychiatrie verlegt werden. Um dies zu verhindern, werde von Dr. med. E____ eine medikamentöse Unterstützung vorgeschlagen. Medikamente könnten zwar C____s Probleme nicht beseitigen, dazu seien überwiegend nur die Eltern in der Lage. Medikamente können C____ aber etwas entlasten. Aufgrund der Dringlichkeit der Massnahme wurde die Beschwerdeführerin gebeten, ihren Entscheid möglichst noch am gleichen Tag mitzuteilen (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 290). Die Beschwerdeführerin verlangte daraufhin mit E-Mail vom 28. Februar 2022 eine ärztliche Zweitmeinung betreffend die Indikation einer psychopharmakologischen Behandlung (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 286). C____s Psychiater nahm am 11. März 2022 ausführlich zu der von ihm vorgeschlagenen Medikation Stellung und wies darauf hin, dass die Gefährlichkeit der letzten Ausbrüche ein rasches Vorgehen erforderlich mache (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 256 ff.).
Nachdem die Beschwerdeführerin sich am 16. März 2022 «bis dem Gericht sämtliche Gutachten und Berichte Vorliegen [würden]» erneut gegen jede Art von medikamentöser Behandlung ausgesprochen hatte (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 233), stellte C____s Beistand mit Schreiben vom 21. März 2022 den Antrag auf Ausweitung der Beistandschaft um die medizinische Sorge (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S 226 ff.). Darin wurde ausgeführt, C____ sei seit nunmehr zweieinhalb Jahren im Schulheim D____ platziert und fühle sich dort wohl. Es sei ein Ort, an dem er seinen speziellen Bedürfnissen entsprechend, sehr individuell und zugewandt betreut werde. Seit circa drei bis vier Monaten hätten zunehmend Wutausbrüche und starke Stimmungsschwankungen von C____ beobachtet werden können. Nach seiner Ansicht als Beistand und der seiner Bezugspersonen sei C____s familiäre Situation ursächlich. C____ würde seine Mutter seit zweieinhalb Jahren vorwiegend telefonisch per Skype oder während kurzen Besuchen bei seinen Grosseltern mütterlicherseits sehen. Mit zunehmendem Alter sei er daran zu realisieren, dass sich an dieser Situation vermutlich auch nichts ändern werde. Letzte Weihnachten habe C____ erstmals seine kleine Schwester persönlich kennengelernt und dabei erfahren, dass diese bei der Mutter wohne. Die Grosseltern hätten zudem an Weihnachten den Kontakt zu C____ abgebrochen, da sie ihn als undankbar und frech erlebt hätten. Zugleich habe C____ erfahren, dass sein Vater ihn gerne nach [...] umplatzieren wolle, was C____ zwar einerseits gut fände, gleichzeitig bei ihm aber einen Loyalitätskonflikt bezüglich der Eltern ausgelöst habe. C____ sei demnach seit einigen Monaten mit verschiedenen Konflikten und Erkenntnissen konfrontiert, die ihn traurig und wütend machten. Am 14. Februar 2022 habe C____ wieder eine heftige Krise erlebt. In einer Stresssituation habe er versucht, ein Mädchen aus seiner Wohngruppe mit einem scharfen Messer anzugreifen. Eine Mitarbeiterin und das Mädchen mussten sich in der oberen Wohngruppe einschliessen, um sich vor ihm zu schützen. Der Grund für diese Krise sei unklar, laut C____s Aussage habe ihn das Mädchen beleidigt. Auch nachdem ihm das Messer durch einen Mitarbeiter abgenommen worden sei, habe er sich nicht beruhigen können. Der Notfallpsychiater habe C____ schliesslich durch Zureden langsam beruhigen können. Vom Kinderpsychiater und den Mitarbeitenden vor Ort sei C____s Zustand als äusserst kritisch beschrieben worden. Er habe nur sehr schwer aus diesem Erregungszustand herausgeholt werden können. Es komme mehrmals pro Woche zu heftigen Krisen mit C____, sodass die dortigen Mitarbeitenden beziehungsweise die Wohngruppe an ihre Grenzen kämen. Bereits habe abgewogen werden müssen, ob nicht eine stationäre Krisenintervention in der Kinderpsychiatrie sinnvoll sein könnte. Der behandelnde Psychiater gehe davon aus, dass eine möglichst gering gehaltene Medikation C____ in der Regulierung seiner Emotionen unterstützen könne. C____ sei durch seine Diagnose und Entwicklungsverzögerung nur schwer in der Lage, einen konstruktiven Umgang mit seinen Gefühlen zu finden. Er scheine klar darunter zu leiden. Er zeige sich nie stolz oder zufrieden nach einer Eskalation, sondern eher beschämt. Die Eltern seien umfassend über die Situation informiert worden. Die Beschwerdeführerin habe die Anfrage betreffend Medikation jedoch scheinbar als weiteren Angriff seitens der Behörden und des Kinder- und Jugenddienstes (KJD) gegen sich interpretiert. Es gelinge ihr nicht, ihr Kind in der Thematik zu sehen. Sie würde auch nach wie vor das Bereitstellen des Impfausweises verweigern, ohne dazu Stellung zu beziehen. Er habe nicht den Eindruck, dass sie in der Lage sei, C____s Situation emotional und intellektuell zu erfassen. Die von Dr. med. E____ empfohlene Medikation lehne sie ab. Der Beigeladene habe sich ebenfalls gegen eine Medikation ausgesprochen, könne aber «ein Stück weit» nachvollziehen, dass zukünftige Krisen in der D____ nicht mehr handhabbar werden könnten und dann massive Auswirkungen auf C____ hätten, bis hin zu einem Platzierungsabbruch. Der Beigeladene habe mitunter geäussert, nicht zu wissen, was er tun solle und mit der Fragestellung überfordert gewirkt. Daher beantrage er seine Befugnisse als Beistand auf die medizinische Sorge für C____ zu erweitern.
4.4.3 Im Aktengutachten vom 10. April 2022 nahm Dr. med. F____, Facharzt für Kinder- und Jugendpsychiatrie und -psychotherapie, im Sinne einer Zweitmeinung Stellung zur Frage, ob die von Herrn Dr. med. E____ empfohlene Medikation indiziert sei, ob die Medikation verhältnismässig und für ein Kind in dem Alter mit der Diagnose eines frühkindlichen Autismus geeignet sei oder ob es aus fachärztlicher Sicht eine alternative Behandlung mit einem ähnlich zu erwartenden Resultat gäbe. Insgesamt lasse sich die von der Kindesschutzbehörde gestellte Frage nach der Indikation der von Dr. med. E____ vorgeschlagenen Medikation dahingehend beantworten, dass einzig Risperidon eine offizielle Zulassung durch Swissmedic innehabe. Risperidon sei gemäss Compendium unter anderem zur symptomatischen Behandlung von Störungen des Sozialverhaltens, oppositionellem Trotzverhalten oder anderen sozial störenden Verhalten bei Kindern, Jugendlichen und Erwachsenen mit unterdurchschnittlicher intellektueller Leistungsfähigkeit oder mentaler Retardierung, welche destruktive Verhaltensweisen, wie z.B. Aggressivität, Impulsivität und Selbstverletzung zeigten, geeignet sowie zur symptomatischen Behandlung bei autistischen Störungen mit Symptomen, die sich vor allem auf Hyperaktivität und Irritabilität (inkl. Aggression, selbstverletzendes Verhalten, Ängstlichkeit und repetitives Verhalten) erstreckten. Das von Dr. med. E____ vorgeschlagene Lamotrigin/Lamictal® und die Valproinsäure/Orfiril® würden gemäss Compendium einzig die Epilepsie als Indikator nennen. Der Evidenzgrad, der die wissenschaftliche Aussagefähigkeit klinischer Studien zu einer bestimmten Behandlung abbilde, sei für die Behandlung aggressiven Verhalten und Reizbarkeit bei Autismus-Spektrum-Störungen für Risperidon mit I (R-RCT) ausgesprochen hoch. Für die praktische Anwendung bedeute dies, dass es sich um eine gesicherte Empfehlung, eine verlässliche, akzeptable, sichere und wirksame Behandlungsmethode handle. Die von Dr. med. E____ angeregte Behandlung mit Antiepileptika entspreche einer klinischen Erfahrung. Die Empfehlung sei aus klinisch-psychiatrischer Sicht nachvollziehbar, insbesondere auch mit Blick auf das von Dr. med. E____ dargestellte Monitoring von Nebenwirkungen und bei der von ihm als Verdachtsdiagnose dargestellten manisch-depressiven Erkrankung. Zusammenfassend kommt Dr. med. F____ zum Schluss, dass die Behandlungsvorschläge von Dr. med. E____ aus fachärztlicher Sicht nachvollziehbar und gut begründet seien. Durch das Vorliegen von eindeutig beschriebenen aggressiven Symptomen, unter welchen C____ offenbar auch selbst leide (Scham etc.) und aufgrund der mehrfach bestätigten Diagnose einer Autismus-Spektrum-Störung sei die Indikation erstellt. Nehme man die offenbar sehr begrenzte Beeinflussbarkeit der Verhaltensstörung durch pädagogische und therapeutische Massnahmen als gegeben an, so sei aus ärztlicher Sicht (eigentlich innerhalb von zwei bis drei Monaten nach Beginn der Symptomatik) eine Indikation für eine psychopharmakotherapeutische Behandlung klar gegeben. Im vorliegenden Fall sei die Wahrscheinlichkeit, dass C____ im Sinne eines Rückgangs der aggressiven Impulse und Handlungen von einer Medikation profitiere, der klinischen Erfahrung und der Studienlage entsprechend, zumindest für die Substanz Risperidon hoch. Die Behandlung von C____s disruptiv-aggressiver Verhaltensstörung mit Risperidon in niedriger bis mittlerer Dosierung (0.5-2 mg pro Tag) sei indiziert und absolut verhältnismässig. Eine Behandlung mit Antiepileptika wäre aus fachärztlicher Sicht als individueller Heilversuch/Off-Label-Medikation vertretbar, insbesondere als Second- oder Third-line-Behandlungsversuch, wenn beispielsweise eine Risperidon-Medikation und auch ein Behandlungsversuch mit Aripriprazol nicht zum Erfolg führe oder von C____ nicht vertragen werde.
4.4.4 Obwohl C____ zunehmend verhaltensauffällig war und sein Psychiater aufgrund der Gefährlichkeit der letzten Ausbrüche von C____ bereits im März 2022 ein rasches Vorgehen als erforderlich erachtete (vgl. oben E. 4.4.2; KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 256 ff.), war ein rasches Tätigwerden in der vorliegenden Elternkonstellation nicht möglich. Im Juni 2022 stand angesichts der immer stärker werdenden Ausbrüche mit Selbst- und Fremdgefährdung eine Überweisung von C____ in eine stationäre kinderpsychiatrische Einrichtung kurz bevor (vgl. E-Mail D____ vom 17. Juni 2022, E-Mail Dr. med. E____ vom 18. Juni 2022, E-Mail Beistand vom 22. Juni 2022, KESB-Akten act. 10 S. 120-123). Das Einverständnis zunächst beider Eltern und später der Mutter zur Medikation von C____ war in dem nach Einschätzung der Ärzte relevanten Zeitpunkt nicht vorhanden. Die Beschwerdeführerin informierte immer wieder, dass sie mit einer Impfung von C____ oder «irgendwelche[n] medikamentöse[n] Behandlungen» nicht einverstanden sei (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 267, 253 f., 246, 233) und bestätigte diese Haltung auch nach Vorliegen der Zweitmeinung von Dr. med. F____ (E-Mail vom 14. Mai 2022, KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 130; Eingabe vom 14. Juni 2022, KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 101). In dieser Zeit reagierte die Beschwerdeführerin weder auf Termineinladungen per E-Mail noch auf Telefonversuche. Keine der bisherigen bekannten Telefonnummern schien in Betrieb zu sein (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 206 f., 204, 160). Am 19. April 2022 wurde ihr die aufgrund ihres Antrags eingeholte ärztliche Zweitmeinung zur Einsicht zugestellt. Darauf reagierte die Beschwerdeführerin nicht (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 177, 154, 142). Ihre diversen E-Mail-Nachrichten an den Beistand ab dem 10. Mai 2022 thematisieren lediglich die Abklärung von Besuchsmöglichkeiten in der D____ (KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 152). Der Beigeladene zeigte sich ebenfalls skeptisch und äusserte die Befürchtung, dass C____ von den Medikamenten abhängig werden könnte. Am 6. April 2022 stimmte er einer vorübergehenden Medikation jedoch zu und bestätigte seine Erlaubnis am 15. Mai 2022 gegenüber C____s Psychiater erneut (VD.2022.164 act. 10 S. 211, 138).
4.4.5 Aus den von der Kindesschutzbehörde kurz vor der Verhandlung eingereichten Unterlagen und den neueren Akten (Wahrnehmungsbericht Betreuungsperson D____ vom 31. August 2022, KESB-Akten VD.2022.164 act. 10 S. 56; Bericht KJD vom 7. November 2022, Bericht Dr. med. E____ vom 31. August 2022, Internatsbericht Schuljahr 2021/2022 D____ vom 7. Juli 2022 [VD.2022.164 act. 12]) sowie den Ausführungen an der Gerichtsverhandlung ergibt sich, dass die eingeleiteten Massnahmen bereits zu einer Verbesserung geführt haben. C____ profitiert von der seit dem 28. Juni 2022 erfolgenden Medikation mit Risperidon 0,5 mg morgens (zuzüglich dem Einsatz als Reserve bei Erregung von nochmals bis zu 3x/24h 0,5mg). Insgesamt ist ein Rückgang der aggressiven Impulse und Handlungen zu verzeichnen. C____ wird von allen Beteiligten als ruhiger beschrieben, «besser ansprechbar, nicht mehr so explosiv, kann seine 'Ticks' kontrollieren bzw. seine Gefühle besser reflektieren, ist präsenter und kann sich besser regulieren. Krisen kann er bewusster steuern, weniger aggressiv, weniger angespannt, Gewalt steht nicht mehr im Vordergrund, nimmt seine aufmerksamer intensiver wahr». Drei Mal musste in der ersten Schulwoche in der Schule je eine einzige zusätzliche Dosis Risperidon abgegeben werden, getriggert wurden die Krisen durch andere Schüler, die Abgabe der zusätzlichen Medikamentendosis half, dass er sich innert etwa 10 Minuten beruhigte. Ab der zweiten Schulwoche gab es keinerlei Probleme mehr. Auf der Gruppe wurde die Reservemedikation nie nötig (act. 12. S. 2). Dr. med. E____ relativiert die Wirkung der Medikation jedoch insofern, als sechs der acht Beobachtungswochen in den Ferien lagen, während denen C____ ohnehin immer viel entspannter sei. Ferner könnten die Eskalationen in der ersten Schulwoche mit den zum Teil neuen Personen im Klassenzimmer zusammenhängen und C____ selbst scheine älter, vernünftiger und williger geworden zu sein (act. 12 S. 2). Dennoch hat gemäss Dr. med. E____ die offenbar recht kleine Dosis Risperidon viel erreicht, und zwar nicht nur direkt wegen der Medikamentenwirkung, sondern weil es für C____ und auch für die Umgebung sehr entlastend sei, zu wissen, dass man etwas dagegen machen und C____ helfen könne (E-Mail Dr. med. E____ vom 14. September 2022, KESB Akten VD.2022.164 act. 10 S. 33). Auch von der Kindesvertreterin wird an der Verhandlung die Ruhe von C____ im Oktober 2022 beschrieben, die ihr im Vergleich zum ersten Gespräch im Februar 2022 aufgefallen ist (Verhandlungsprotokoll S. 4). C____ selbst möchte die Medikamente vorläufig weiternehmen (Verhandlungsprotokoll S. 4). Dabei ist C____ offenbar der Ansicht, dass er selbst entschieden hat, das Medikament zu testen und zu sehen, ob es ihm damit anders, besser oder schlechter geht. Er sei erstaunt gewesen zu hören, dass hierzu weitere Erwachsene auch mitbestimmen wollten (Plädoyer Kindesvertreterin, act. 16 S. 3).
4.4.6 Aus den vorliegenden Akten, insbesondere aus den ärztlichen Unterlagen, ergibt sich ohne Weiteres der hohe Leidensdruck von C____. Er litt ganz offensichtlich während seinen unkontrollierten Impulsdurchbrüchen und schämte sich im Nachhinein. Den zutreffenden Ausführungen der Vorinstanz folgend stellt die D____ für C____ einen Glücksfall dar. Dort lebt er in einem sehr schönen, ruhigen und ländlichen Umfeld, umgeben von Tieren. Die Fach- und Betreuungspersonen erscheinen gemäss der Kindesschutzbehörde als ausserordentlich engagiert und C____ wohlgesinnt. Zudem kann er Teile seiner Freizeit bei einer Pflegefamilie verbringen, wo er sich geborgen fühlt und die ihn auch in schwierigen Momenten mit viel Gelassenheit und Fürsorge auffängt. Durch C____s aggressive Handlungen stand der Erhalt dieses hervorragenden Settings auf dem Spiel. Eine Krisenintervention mit einer Verlegung in eine kinderpsychiatrische Klinik gilt es zu seinem Wohl zu verhindern. Ein längerer stationärer Aufenthalt in einer Kinderpsychiatrie ginge mit einem Abbruch der Beziehungen zu seinen Bezugspersonen auf der D____ einher und hätte den Verlust seines vertrauten Wohnplatzes in der D____ bedeuten können. Für Kinder mit einer Autismus-Spektrum-Störungen stellt ein Wechsel der Wohnumgebung und des persönlichen Umfelds eine besonders schwere Belastung dar (Vernehmlassung KESB, act. 4 S. 2 f.). Sein Wohl war daher insoweit gefährdet, als aufgrund der fehlenden Erreichbarkeit der Eltern und deren ablehnenden Haltung allopathischen Medikamenten gegenüber nicht sicher gewährleistet war, dass mit der nach Ansicht der Fachärzteschaft notwendigen psychopharmakologischen Behandlungen begonnen werden kann. Die Vorinstanz ist unter diesen Umständen zu Recht davon ausgegangen, dass angesichts der Haltung der Eltern, die wiederholt im Gespräch mit dem Beigeladenen und den E-Mails der Beschwerdeführerin zum Ausdruck gekommen ist, die erforderliche Medikation von C____ nicht sichergestellt war und dass ungewiss erscheint, inwiefern die Eltern weitere medizinische Entscheidungen im Interesse des Kindes treffen können, ohne C____ einem zusätzlichen Risiko im Falle von Verweigerungen auszusetzen. Dies ist auch aktuell noch der Fall, ist doch die Haltung der Eltern zur Medikation mit nicht homöopathischen Mitteln nach wie vor ablehnend (Beschwerde E. 3 S. 6; Verhandlungsprotokoll Plädoyer Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin S. 21). Trotz des nun vorhandenen Behandlungskonzepts und der begonnenen medikamentösen Behandlung scheint die erfreulicherweise eingetretene Verbesserung nach wie vor fragil. Aufgrund von C____s Diagnosen und der unverändert schwierigen familiären Konstellation kann es jederzeit wieder zu Situationen mit Selbst- oder Fremdgefährdung kommen, die in medizinischen Fragen ein rasches Entscheiden und Handeln erfordern. Insoweit ist das Wohl von C____ per se gefährdet.
4.5 Es ist unter den gegebenen Umständen nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz die elterliche Sorge hinsichtlich der dem Beistand im Zusammenhang mit medizinischen Fragen übertragenen Befugnisse gestützt auf Art. 308 Abs. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
|
1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
4.6 Was die Beschwerdeführerin dagegen vorbringt, ist nicht geeignet, diese Einschätzung zu widerlegen.
Die Beschwerdeführerin hält die nach ihrer Ansicht nicht kindgerecht gestalteten unbegleiteten Kontakte beim Beigeladenen als ursächlich für das Auftreten der aggressiven Symptome bei (Beschwerde E.3 S. 4 f.). Dabei ignoriert sie, wie auch die Vorinstanz zutreffend festgehalten hat, die mittlerweile als gesichert geltende Diagnosen einer Autismus-Spektrum-Störung und einer aggressiven Verhaltensstörung sowie zwei fachärztliche Einschätzungen, die aufgrund der Akuität der Symptomatik mit Selbst- und Fremdgefährdung eine medikamentöse Behandlung als «indiziert und absolut verhältnismässig» erachten (Stellungnahme Dr. med. E____ vom 11. März 2022, KESB-Akten VD.20222.164 act. 10 S. 242; Gutachten Dr. med. F____ vom 10. April 2022, KESB-Akten VD.20222.164 act. 10 S. 194 f., 200). Wie die Vorinstanz richtig befand, ist ausserdem mitnichten davon auszugehen, dass es der D____ oder Dr. med. E____ darum geht, C____ medikamentös ruhigzustellen, um das Heimpersonal zu schonen. Eine Medikation bietet vielmehr die realistische Hoffnung, dass C____ sein Verhalten, welches ihn, andere und letztlich auch seinen Aufenthalt in der D____ gefährdet, mittels adäquater Medikation besser steuern und regulieren kann (Vernehmlassung act. 4 S. 2; Gutachten Dr. med. F____ vom 10. April 2022, KESB-Akten VD.20222.164 act. 10 S. 200).
Die Beschwerdeführerin vertritt weiter die Ansicht, es hätten alternative Möglichkeiten bestanden, konnte jedoch auch an der Gerichtsverhandlung kein klares Konzept aufzeigen (Verhandlungsprotokoll Plädoyer S. 20). Sie geht offenbar davon aus, dass sich durch ein von ihr nicht näher beschriebenes Time-out, im Sinne von mindestens zwei Wochen Ferien bei ihr, die akute Gefährdung von C____, in eine kinderpsychiatrische Institution verlegt zu werden, «deutlich entschärft hätte» (Beschwerde E. 3 S. 6). Angesichts der fachärztlich mehrfach bestätigten Diagnosen und der in den Akten dokumentierten fehlenden Bereitschaft der Beschwerdeführerin, seit nunmehr 2,5 Jahren einen regelmässigen persönlichen Kontakt mit ihrem Kind zu pflegen, ist dieser Vorschlag nicht nachvollziehbar und als Alternative nicht geeignet. Abermals und eindrücklich belegt die Beschwerdeführerin damit ihr Unvermögen, C____s Gefährdung zu erkennen und zu dessen Wohl zu handeln. Aktenwidrig ist auch ihre Behauptung, alternative Therapiemodell würden nicht zur Sprache kommen (Beschwerde E. 3 S. 6 f.). Dr. med. F____ setzt sich in seinem auf Wunsch der Beschwerdeführerin als Zweitmeinung eingeholten Gutachten ausführlich auch mit möglichen Alternativen zur medikamentösen Therapie auseinander. Gemäss der klaren Aussage des Gutachters ist die Frage nach dem Vorhandensein von alternativen Behandlungsmassnahmen jedoch «klar mit 'nein'» zu beantworten, wenn davon ausgegangen wird, dass die von Dr. med. E____ beschriebenen und im Telefonat mit der D____ von C____s Lehrperson dargestellten Massnahmen (z.B. pädagogische Interventionen wie Halten oder Reizabschirmung) konsequent eingesetzt und durchgeführt werden. Insgesamt sind in Ergänzung zu den bereits angewendeten Behandlungsverfahren (Verhaltenstherapie, Pädagogik, Heilpädagogik, Milieutherapie) auf Basis der wissenschaftlichen Leitlinien keine alternativen Behandlungsmethoden mit vergleichbarer Wirksamkeit wie die medikamentöse Behandlung für das bei C____ bestehende Störungsbild vorhanden (Gutachten Dr. med. F____ vom 10. April 2022, KESB-Akten VD.20222.164 act. 10 S. 203). Entgegen der Behauptung der Beschwerdeführerin hat die Kindesschutzbehörde auch nicht ohne Grund zentrale Punkte des Sorgerechts «an sich gerissen» (Beschwerde E. 3 S. 7). Vielmehr erhellt, dass die Kindesschutzbehörde ihr Möglichstes tut, den Eltern das gemeinsame Sorgerecht - wo erforderlich, mit Alleinzuweisung spezifischer Entscheidungsbefugnisse an den Beistand - trotz der erwähnten Vorbehalte belassen zu können. Der Beistand wird vor einem medizinischen Entscheid die Meinungen beider Eltern weiterhin abholen und bestmöglich berücksichtigen (angefochtener Entscheid Rz. 20).
Schliesslich waren angesichts der gesamten Umstände und insbesondere angesichts der Dringlichkeit Weisungen an die Eltern im Sinne von Art. 307 Abs. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
|
1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
4.7 Zusammenfassend bedarf es im Sinne der Subsidiarität und unter grundsätzlicher Beibehaltung der gemeinsamen elterlichen Sorge einer Alleinzuweisung der Entscheidungsbefugnis in medizinischen Belangen an den Beistand. Die Vorinstanz hat daher zu Recht die Aufgaben und Befugnisse der Beistandschaft gemäss Art. 308 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.392 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.393 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
5. Entscheid und Kosten
Gemäss den vorstehenden Erwägungen sind die Beschwerden abzuweisen. Bei diesem Ausgang des Verfahrens trägt die Beschwerdeführerin die Gerichtskosten mit einer Gebühr von CHF 2'000.-, einschliesslich Auslagen. Ihr Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege für das verwaltungsgerichtliche Beschwerdeverfahren wird abgewiesen, da auch in der Beschwerde und anlässlich der Verhandlung ihre Bedürftigkeit nicht belegt wurde. Vielmehr gab die verheiratete Beschwerdeführerin an, sich ein «relativ gutes und schönes Leben» aufgebaut zu haben und trug Umstände wie ihre Arbeitstätigkeit und Gründung «einer Firma» vor, welche eine Bedürftigkeit zu widerlegen scheinen (vgl. oben E. 3.4.3 sowie das früher ergangene Urteil VGE VD.2019.228 vom 15. Dezember 2020 E. 7). Der Kindesvertreterin, [...], wird zufolge Bewilligung der unentgeltlichen Rechtspflege ein Honorar gemäss Honorarnote von CHF 5'590.40 (act. 15), zuzüglich 3,5 Stunden à CHF 200.- für die Gerichtsverhandlung von CHF 700.- und 7,7 % MWST von CHF 484.40 aus der Gerichtskasse ausgerichtet.
Demgemäss erkennt das Verwaltungsgericht (Dreiergericht):
://: Die Beschwerden werden abgewiesen.
Das Gesuch der Beschwerdeführerin um unentgeltliche Rechtspflege für das verwaltungsgerichtliche Beschwerdeverfahren wird abgewiesen.
Die Beschwerdeführerin trägt die Gerichtskosten des verwaltungsgerichtlichen Beschwerdeverfahren mit einer Gebühr von CHF 2'000.-, einschliesslich Auslagen.
Der Kindesvertreterin, [...], wird zufolge Bewilligung der unentgeltlichen Rechtspflege ein Honorar, einschliesslich Auslagen, gemäss Honorarnote von CHF 5'590.40, zuzüglich 3,5 Stunden à CHF 200.- für die Gerichtsverhandlung von CHF 700.- und 7,7 % MWST von CHF 484.40 aus der Gerichtskasse ausgerichtet.
Mitteilung an:
- Beschwerdeführerin
- Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde
- Beigeladener
- Sohn (über Kindesvertreterin)
- Kindesvertreterin
- Beistand des Kindes, [...] (KJD)
APPELLATIONSGERICHT BASEL-STADT
Die Gerichtsschreiberin
MLaw Marion Wüthrich
Rechtsmittelbelehrung
Gegen diesen Entscheid kann unter den Voraussetzungen von Art. 72 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière civile: |
a | les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions: |
b1 | sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile, |
b2 | sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies, |
b3 | sur le changement de nom, |
b4 | en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage, |
b5 | en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux, |
b6 | les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte, |
b7 | ... |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Ob an Stelle der Beschwerde in Zivilsachen ein anderes Rechtsmittel in Frage kommt (z.B. die subsidiäre Verfassungsbeschwerde an das Bundesgericht gemäss Art. 113
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |