24 Schuldbetreibungs und Konkursrecht. N° 8.

Tagen nach der Ausstellung des Pfandausfallscheines das
Fortsetzungsbegehren hätte gestellt werden müssen, lässt sich aus
dem Gesetz nicht herleiten. In der Tat ist dem Arrestgläubiger keine
besondere kurze Frist gesetzt, binnen welcher er, ähnlich wie die
Anhebung der Betreibung oder die Rechtsöffnung oder die gerichtliche
Beurteilung seiner Forderung, auch die Pfändung der Arrestgegenstände
verlangen müsste, abgesehen von dem durch das Kreisschreiben Nr. 27
vom 1. November 1910 geordneten Falle der provisorischen Teilnahme des
Arrestgläubigers an der nach Ausstellung des Arrestbeiehles vollzogenen
Pfändung der Arrestgegenstände zugunsten eines anderen Gläubigers. Und
eine weitere Abkürzung der ohnehin auf einen Monat begrenzten Frist zur
Stellung des Fortsetzungsbegehrens auf Grund des Pfandausfallscheines
erscheint auch nicht geboten. Demnach erweist sich die Beschwerde der

Rekursgegner als unbegründet.

6. Entscheid vom 24. Februar 1927 i. S. Kübel.

Arrestbefehl auf Grund eines Konkursverl u s t s c h e i n e s : Die
Entscheidung darüber, ob künftiger Lohn als neues Vermögen arrestiert
werden kann, ist dem Gerichte vorbehalten ; inzwischen soll aber das
Betreibungsamt nicht allen Lohn piänden, der dem Schuldner und seiner
Familie nicht un-

umgänglich notwendig ist.

SchKG Art. 265 Abs. 2 und 3, 271 Ziff. 5.

A. Auf Verlangen der Rhätischen Bank erliess die Arrestbehörde St. Gallen
für deren Forderung von 20,473 Fr. 40 Cts. laut Konkursverlustschein
vom 31. Mai 1924 am 15. Oktober 1926 einen Arrestbefehl gegen
John Kibbel, Prokuristen des Sanitätsgeschäftes Hausmann AJ
G. betreffend das pfändhare Lohnbetreffnis des Schuldners bei der
Firma Hausmann A.-G. ...... proOktober 1926 11. ff. Das Betreibungsamt
St. GallenSchuldbetreibungs und Konkursrecht. N° 6. 25

stellte fest, dass der Schuldner einen Monatslohn von 800 Fr. beziehe,
verheiratet sei und ein sechs Monate _ altes Kind habe, und vollzog
gestützt hierauf den Arrest dadurch, dass es die Firma Hausmann
A..-G. anwies, vom Lohn des Schuldners auf die Dauer eines Jahres pro
Monat 400 Fr. abzuziehen. Hiegegen führte der Schuldner Beschwerde mit
dem Antrag, die Arrestlegung entweder als ganz unberechtigt auf null
oder auf einen Bruchteil des arrestierten Betrages zu reduzieren. Zur
Begründung machte er hauptsächlich geltend : Er sei jahrelang lungenkrank
gewesen und auch jetzt noch gefährdet, zumal in dem feuchten Klima
St. Gallens. Den gegenwärtigen Gesundheitszustand könne er nur durch
besondere Aufwendungen bewahren, sowohl für eine sonnige und staubfreie
Wohnung, als auch für besonders nahrhafte Ernährung, als namentlich
für die alljährlich ein oder zweimal notwendig werdenden Aufenthalte an
Höhenoder sonstigen Kurorten mit günstigem Klima, und endlich auch für
ärztliche Beobachtung und Behandlung. Im Beschwerdeverfahren stellte sich
heraus, dass der Schuldner an die Personalkasse der Hausmann A. G. einen
statutarischen Beitrag von 5% zu entrichten hat, anderseits aber in den
letzten Jahren eine Abschlussgratifikation erhalten hat, die 500 Fr. bis
jetzt nicht überschritten hat , : als vom jeweiligen Geschäftsergebnis
beeinflusste freiwillige Leistung der Firma .

Ausserdem erhob der Schuldner gegen die Arrestprosequieruug
Rechtsverschlag mit der Begründung, er sei nicht zu neuem Vermögen
gekommen.

B. Die untere Aufsichtsbehörde hiess die Beschwerde dahin gut, dass
vom Lohn des Schuldners bei der Firma Hausmann A.-G. monatlich 150
Fr. abzuziehen seien. Diesen Entscheid zog die Gläubigerin an die obere
Aufsichtsbehörde weiter. Vor der obern Aufsichtsbehörde trug der Schuldner
auf Bestätigung des Entscheides der untern Aufsichtsbehörde an.

26 Schuldhetreibungsund Konkursrecht. N° 6.

Durch Entscheid vom 30. Dezember 1926 hat die obere Aufsichtsbehörde
des Kantons St. Gallen den Rekurs des Gläubigers gutgeheissen und die
Beschwerde des Schuldners abgewiesen.

C. Gegen diesen Entscheid hat der Schuldner den Rekurs an das
Bundesgericht eingelegt mit den Anträgen auf Aufhebung des Arrestes,
eventuell Bestätigung des Entscheides der unteren Aufsichtsbehörde.

Die Schuldbefreibungsund Konkurskammer zieht

in Erwägung :

Gemäss Art. 265 Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 265 - 1 En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
1    En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
2    L'acte de défaut de biens permet de requérir le séquestre et il produit les effets juridiques mentionnés aux art. 149, al. 4, et 149a. Toutefois une nouvelle poursuite ne peut être requise sur la base de cet acte que si le débiteur revient à meilleure fortune. Sont également considérées comme meilleure fortune les valeurs dont le débiteur dispose économiquement.468
3    ...469
und 3
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 265 - 1 En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
1    En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
2    L'acte de défaut de biens permet de requérir le séquestre et il produit les effets juridiques mentionnés aux art. 149, al. 4, et 149a. Toutefois une nouvelle poursuite ne peut être requise sur la base de cet acte que si le débiteur revient à meilleure fortune. Sont également considérées comme meilleure fortune les valeurs dont le débiteur dispose économiquement.468
3    ...469
SchKG kann auf Grund des
Konkursverlustscheines eine neue Betreibung nur dann angehoben werden,
wenn der Schuldner zu neuem Vermögen gekommen ist-; bestreitet der
Schuldner, dass er zu neuem Vermögen gekommen sei, so entscheidet darüber
das Gericht. Diese Bestreitung erfolgt durch Rechtsverschlag, bewirkt
also die Einstellung der Betreibung und steht daher jeder eigentlichen
Zwangsvollstreckungsmassnahme entgegen, bis vom Gericht fests gestellt
worden ist, dass und inwieweit der Schuldner zu neuem Vermögen gekommen
ist. Wenn jedoch der Gläubiger, der einen Konkursverlustschein erhalten
hat, von der ihm durch Art. 265 Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 265 - 1 En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
1    En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
2    L'acte de défaut de biens permet de requérir le séquestre et il produit les effets juridiques mentionnés aux art. 149, al. 4, et 149a. Toutefois une nouvelle poursuite ne peut être requise sur la base de cet acte que si le débiteur revient à meilleure fortune. Sont également considérées comme meilleure fortune les valeurs dont le débiteur dispose économiquement.468
3    ...469
Satz 1, 149 Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 149 - 1 Le créancier qui a participé à la saisie et n'a pas été désintéressé intégralement reçoit un acte de défaut de biens pour le montant impayé. Le débiteur reçoit une copie de l'acte de défaut de biens.292
1    Le créancier qui a participé à la saisie et n'a pas été désintéressé intégralement reçoit un acte de défaut de biens pour le montant impayé. Le débiteur reçoit une copie de l'acte de défaut de biens.292
1bis    L'office des poursuites délivre l'acte de défaut de biens dès que le montant de la perte est établi.293
2    Cet acte vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82 et confère les droits mentionnés aux art. 271, ch. 5, et 285.
3    Le créancier est dispensé du commandement de payer, s'il continue la poursuite dans les six mois de la réception de l'acte de défaut de biens.
4    Il ne peut réclamer au débiteur des intérêts pour la créance constatée par acte de défaut de biens. Les cautions, coobligés ou autres garants qui ont dû en payer depuis ne peuvent en exiger le remboursement.
5    ...294
und 271
Ziff. 5
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 271 - 1 Le créancier d'une dette échue et non garantie par gage peut requérir le séquestre des biens du débiteur qui se trouvent en Suisse:479
1    Le créancier d'une dette échue et non garantie par gage peut requérir le séquestre des biens du débiteur qui se trouvent en Suisse:479
1  lorsque le débiteur n'a pas de domicile fixe;
2  lorsque le débiteur, dans l'intention de se soustraire à ses obligations, fait disparaître ses biens, s'enfuit ou prépare sa fuite;
3  lorsque le débiteur est de passage ou rentre dans la catégorie des personnes qui fréquentent les foires et les marchés, si la créance est immédiatement exigible en raison de sa nature;
4  lorsque le débiteur n'habite pas en Suisse et qu'il n'y a pas d'autre cas de séquestre, pour autant que la créance ait un lien suffisant avec la Suisse ou qu'elle se fonde sur une reconnaissance de dette au sens de l'art. 82, al. 1;
5  lorsque le créancier possède contre le débiteur un acte de défaut de biens provisoire ou définitif;
6  lorsque le créancier possède contre le débiteur un titre de mainlevée définitive.
2    Dans les cas énoncés aux ch. 1 et 2, le séquestre peut être requis pour une dette non échue; il rend la créance exigible à l'égard du débiteur.
3    Dans les cas énoncés à l'al. 1, ch. 6, qui concernent un jugement rendu dans un État étranger auquel s'applique la Convention du 30 octobre 2007 concernant la compétence judiciaire, la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière civile et commerciale484, le juge statue aussi sur la constatation de la force exécutoire.485
SchKG verliehenen Befugnis Gebrauch macht und einen Arrest
herausnimmt, so vermag der Schuldner dadurch, dass er bestreitet, zu neuem
Vermögen gekommen zu sein, weder den Arrestvollzug abzuwenden, noch die
nachträgliche Aufhebung oder allfällig Einschränkung der Beschlagnahme zu
erwirken, bevor die auf Feststellung des Vorhandenseins neuen Vermögens
abzielende Klage rechtskräftig abgewiesen worden sein wird, sei es
gänzlich oder doch bezüglich eines Teiles der in Betreibung gesetzten
Forderung. Insbesondere ist es dem Gericht, welches über diese Klage
zu entscheiden hat, oder seinem Vorsitzenden (oder der vom kantonalen
Prozessrecht als zuständigSchuldbetreibungs und Konkursrecht. N° 6. 27

bezeichneten anderen Behörde) versagt, schon während der Dauer des
Prozesses durch vorläufige Verfügung den Arrest aufzuheben oder
einzuschränken, da dies einen unzulässigen Übergriff der kantonalen
Justizhoheit in den Bereich der eidgenössischen Zwangsvollstreckungshoheit
darstellen würde (BGE 51 III S. 195 ff.). Sind es präsente Vermögenswerte,
die mit Arrest belegt wurden, so wird die Entscheidung darüber, ob der
Schuldner zu neuem Vermögen gekommen sei, im wesentlichen davon abhängen,
ob den arrestierten (und allfällig sonstigen noch ausfindig gemachten
pfändbaren) Vermögensgegenständen des Schuldners neue Verbindlichkeiten in
ungefähr gleichhohem Betrage gegenüberstehen Beschlägt jedoch der Arrest
wie hier Lohnforderungen, welche der Schuldner voraussichtlich durch
künftige Dientsleistungen in Erfüllung eines eingegangenen Dienstvertrages
erst zu erwerben imstande sein wird, so wird das Prozessgericht in erster
Linie zu entscheiden haben, ob und allfällig inwieweit das laufende
Erwerbseinkommen des Schuldners aus Dienstleistung als neues Vermögen
desselben angesprochen werden kann. Hiebei steht von vorneherein soviel
fest, dass das Prozessgericht nicht alles Diensteinkommen, welches nach
dem Ermessen des Betreibungsbeamten dem Schuldner und seiner Familie
nicht unumgänglich notwendig ist, wird als neues Vermögen bezeichnen
können. Denn durch eine solche Entscheidung würde der Schuldner der
Zwangsvollstreckung der Konkursverlustscheingläubiger in gleicher Weise
preisgegeben wie der Zwangsvollstreckung für erst seit dem Konkurs neu
entstandene Forderungen, als ob die Beschränkung des Art. 265 Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 265 - 1 En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
1    En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
2    L'acte de défaut de biens permet de requérir le séquestre et il produit les effets juridiques mentionnés aux art. 149, al. 4, et 149a. Toutefois une nouvelle poursuite ne peut être requise sur la base de cet acte que si le débiteur revient à meilleure fortune. Sont également considérées comme meilleure fortune les valeurs dont le débiteur dispose économiquement.468
3    ...469

SchKG gar nicht bestünde, wonach auf Grund der Konkursverlustscheine
neue Betreibungen nur dann angehoben werden können, wenn der Schuldner zu
neuem Vermögen gekommen ist. Lässt sich aber mit Sicherheit voraussehen,
dass nicht der ganze Lohnbetrag, welcher mit Arrest belegt

28 Schuldbetreihungsund Konkursrecht. N° 6.

worden ist, wird der Pfändung unterworfen werden, bezw. dass der
Verlustscheingläubiger bloss mit Rücksicht auf das Lohneinkommen des
Schuldners nicht imsiUmfang der ganzen arrestierten Lohnsumme wird
zur Konkursbetreibung zugelassen werden, wenn der Schuldner wiederum
im Handelsregister eingetragen sein sollte, so rechtfertigt es sich
nicht, den Arrest, der doch nicht Selbstzweck, sondern nur eine künftige
Zwangsvollstreckung zu sichern bestimmt ist, im vollen Umfang aufrecht
zu erhalten. Ja er hätte richtigerweise von der Arrest-behörde gar
nicht im Umfang des ganzen pfändbaren , d. b. des nach dem Ermessen des
Be-treibungsbeamten dem Schuldner und seiner Familie nicht unumgänglich
notwendigen Lohnbetreffnisses anbefohlen und von dem der Arrestbehörde
nicht schlechthin untergeordneten Betreibungsamt auch nicht in diesem
Umfange vollzogen werden sollen, sofern letzterem bekannt war, dass
der Arrestgrund aus einem Konkursverlustschein hergeleitet werde, was
freilich aus dem Arrestbefehl selbst nicht ersichtlich ist. Zuzugeben
ist, dass sowohl die Arrestbehörde als die Betreibungsé behörden durch
eine solche Einschränkung des Arrestes der Entscheidung des Gerichtes
vorgreifen, welches über die Frage zu entscheiden berufen ist, ob der
Schuldner zu neuem Vermögen gekommen sei. Allein est ist kein anderer
Weg ersichtlich, der ermöglichen würde zu verhindern, dass ein Schuldner
einzig wegen der gegen ihn bestehenden Konkursverlustscheine mit dem
Existenzminimum verlieh nehmen müsste. Wie gerade der vorliegende Fall
zeigt, kann eine weitgehende Einschränkung der Lebenshaltung auch schon
während kürzerer Zeit für die Gesundheit und Arbeitskraft des Schuldners
verhängnisvoll werden, und es liegt daher ein zureiehender Grund dafür
vor, den Schuldner durch eine den ordentlichen Zuständigkeitshereich der
Betreibungsbehörden überschreitende Massnahme vor einer solchen mit der
Zwangsvollstreckungsheschränkung des Art. 265
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 265 - 1 En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
1    En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
2    L'acte de défaut de biens permet de requérir le séquestre et il produit les effets juridiques mentionnés aux art. 149, al. 4, et 149a. Toutefois une nouvelle poursuite ne peut être requise sur la base de cet acte que si le débiteur revient à meilleure fortune. Sont également considérées comme meilleure fortune les valeurs dont le débiteur dispose économiquement.468
3    ...469


Schuldbetreibungs und Konkursrecht. N° 6. 29

Abs. 2 Satz 2 SchKG unvereinbaren Einschränkung zu bewahren,.sei
es auch nur vorübergehend während der Zeit, welche der Prozess über
die Frage nach dem neuen Vermögen des Schuldners in Anspruch nimmt,
d. h. bis das zur Entscheidung hierüber berufene Gericht ihm seinen
Schutz angedeihen lassen kann. Auf diese Weise wird auch eher vermieden
werden können, dass Konkursverlustscheinglänbiger die Arrestierung
künftigen Lohnes ihres Schuldners lediglich als Pressionsmittel zu
benützen versuchen. Eigentlichen Konflikten mit dem Prozessgericht
werden Arrestund Betreibungsbehörden dadurch vorbeugen können, dass sie
zwar erheblich mehr, als dem Schuldner und seiner Familie unumgänglich
notwendig ist, von der Arrestierung ausnehmen, diese aber doch nicht
auf eigentlich grosse Einkommen beschränken, damit dem Prozessgericht
immer noch ein genügend weiter Spielraum vorbehalten ist, um künftigen
Lohn dem Verlustscheingläubiger zu reservieren, insofern und insoweit
es denselben als neues Vermögen im Sinne der angeführten Vorschrift
erachten sollte. Dass der Entscheid der unteren Aufsichtsbehörde diesem
Gebote Rechnung trägt, ergibt sich, ohne dass die ihm zu Grunde liegenden
Berechnungen im einzelnen nachgeprüft zu werden brauchen, wie es sich
denn überhaupt nur um eine summarische cogm'iio prima facie handeln
kann. Eine weitergehende Gntheissung seiner Beschwerde hat übrigens der
Rekurrent vor der Vorinstanz selbst nicht mehr verlangt.

Demnach erkennt die Schaldbetr.und Konkurskammcr :

Der Rekurs wird dahin teilweise begründet erklärt, dass der Entscheid
der oberen Aufsichtsbehörde des Kantons St. Gallen vom 30. Dezember
1926 aufgehoben und derjenige der unteren Aufsichtsbehörde des Bezirkes
St. Gallen vom 25. November 1926 udederhergestellt wird. '
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 53 III 24
Date : 24 février 1927
Publié : 31 décembre 1927
Source : Tribunal fédéral
Statut : 53 III 24
Domaine : ATF - Droit des poursuites et de la faillite
Objet : 24 Schuldbetreibungs und Konkursrecht. N° 8. Tagen nach der Ausstellung des Pfandausfallscheines


Répertoire des lois
LP: 149 
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 149 - 1 Le créancier qui a participé à la saisie et n'a pas été désintéressé intégralement reçoit un acte de défaut de biens pour le montant impayé. Le débiteur reçoit une copie de l'acte de défaut de biens.292
1    Le créancier qui a participé à la saisie et n'a pas été désintéressé intégralement reçoit un acte de défaut de biens pour le montant impayé. Le débiteur reçoit une copie de l'acte de défaut de biens.292
1bis    L'office des poursuites délivre l'acte de défaut de biens dès que le montant de la perte est établi.293
2    Cet acte vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82 et confère les droits mentionnés aux art. 271, ch. 5, et 285.
3    Le créancier est dispensé du commandement de payer, s'il continue la poursuite dans les six mois de la réception de l'acte de défaut de biens.
4    Il ne peut réclamer au débiteur des intérêts pour la créance constatée par acte de défaut de biens. Les cautions, coobligés ou autres garants qui ont dû en payer depuis ne peuvent en exiger le remboursement.
5    ...294
265 
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 265 - 1 En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
1    En procédant à la distribution, l'administration remet à chaque créancier qui n'a pas été payé intégralement, un acte de défaut de biens pour le montant impayé. L'acte mentionne si le failli a reconnu ou contesté la créance. Dans le premier cas, il vaut comme reconnaissance de dette dans le sens de l'art. 82.
2    L'acte de défaut de biens permet de requérir le séquestre et il produit les effets juridiques mentionnés aux art. 149, al. 4, et 149a. Toutefois une nouvelle poursuite ne peut être requise sur la base de cet acte que si le débiteur revient à meilleure fortune. Sont également considérées comme meilleure fortune les valeurs dont le débiteur dispose économiquement.468
3    ...469
271
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 271 - 1 Le créancier d'une dette échue et non garantie par gage peut requérir le séquestre des biens du débiteur qui se trouvent en Suisse:479
1    Le créancier d'une dette échue et non garantie par gage peut requérir le séquestre des biens du débiteur qui se trouvent en Suisse:479
1  lorsque le débiteur n'a pas de domicile fixe;
2  lorsque le débiteur, dans l'intention de se soustraire à ses obligations, fait disparaître ses biens, s'enfuit ou prépare sa fuite;
3  lorsque le débiteur est de passage ou rentre dans la catégorie des personnes qui fréquentent les foires et les marchés, si la créance est immédiatement exigible en raison de sa nature;
4  lorsque le débiteur n'habite pas en Suisse et qu'il n'y a pas d'autre cas de séquestre, pour autant que la créance ait un lien suffisant avec la Suisse ou qu'elle se fonde sur une reconnaissance de dette au sens de l'art. 82, al. 1;
5  lorsque le créancier possède contre le débiteur un acte de défaut de biens provisoire ou définitif;
6  lorsque le créancier possède contre le débiteur un titre de mainlevée définitive.
2    Dans les cas énoncés aux ch. 1 et 2, le séquestre peut être requis pour une dette non échue; il rend la créance exigible à l'égard du débiteur.
3    Dans les cas énoncés à l'al. 1, ch. 6, qui concernent un jugement rendu dans un État étranger auquel s'applique la Convention du 30 octobre 2007 concernant la compétence judiciaire, la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière civile et commerciale484, le juge statue aussi sur la constatation de la force exécutoire.485
Répertoire ATF
51-III-189
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
débiteur • homme au foyer • autorité inférieure de surveillance • mois • famille • exécution forcée • salaire • office des poursuites • ordonnance de séquestre • autorité supérieure de surveillance • salaire futur • droit des poursuites et faillites • durée • pouvoir d'appréciation • certificat d'insuffisance de gage • question • réquisition de continuer la poursuite • délai • quote-part • état de santé
... Les montrer tous