Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 706/2009
Urteil vom 30. März 2010
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Bundesrichterin Niquille,
Gerichtsschreiberin Weber Peter.
Verfahrensbeteiligte
V.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Christine Fleisch,
Beschwerdeführerin,
gegen
IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 22. Juni 2009.
Sachverhalt:
A.
Die 1960 geborene V.________ war vom 28. August 1995 bis 30. Juni 2004 bei der W.________ AG als Mitarbeiterin in der Härterei angestellt. Am 1. März 2005 meldete sie sich unter Hinweis auf ein generalisiertes tendomyotisches Schmerzsyndrom, eine Fibromyalgie, ein depressives Zustandsbild sowie eine chronische mikrozytäre Anämie ohne Ursache bei der Invalidenversicherung zum Rentenbezug an. Nach medizinischen und erwerblichen Abklärungen, insbesondere der Einholung eines polydisziplinären Gutachtens beim medizinischen Zentrum X.________ vom 26. September 2006 sprach die IV-Stelle des Kantons Zürich der Versicherten nach Durchführung des Vorbescheidverfahrens gestützt auf einen Invaliditätsgrad von 41 % ab 1. Dezember 2004 eine Viertelsrente zu (Verfügung vom 4. Januar 2008).
B.
Die dagegen, unter Beilage eines psychiatrischen Gutachtens des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ vom 17. Dezember 2007, erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 22. Juni 2009 ab, nachdem die Versicherte zuvor mit Eingabe vom 4. Dezember 2008 ein Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ vom 11. Oktober 2008 einreichen und gestützt darauf den Eventualantrag auf Anordnung eines Obergutachtens zurückziehen liess.
C.
Die Versicherte lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Rechtsbegehren, in Aufhebung des kantonalen Gerichtsentscheides sei ihr mit Wirkung ab 1. Oktober 2004 eine ganze Invalidenrente zuzusprechen. Eventualiter sei ein Obergutachten in Auftrag zu geben und gestützt darauf über den Rentenanspruch neu zu verfügen.
Die IV-Stelle und das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichten auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1 Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
2.
Streitig ist der Anspruch der Versicherten auf eine höhere als die zugesprochene Viertelsrente der Invalidenversicherung und in diesem Zusammenhang die verbliebene Restarbeitsfähigkeit.
2.1 Das kantonale Gericht hat in materiell- und beweisrechtlicher Hinsicht die für die Beurteilung der Streitsache massgeblichen Grundlagen sowie die diesbezügliche Rechtsprechung zutreffend dargelegt. Darauf wird verwiesen.
2.2 Zu betonen bleibt, dass das Gericht die medizinischen Unterlagen nach dem für den Sozialversicherungsprozess gültigen Grundsatz der freien Beweiswürdigung (vgl. Art. 61 lit. c

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
oder des Experten begründet sind. Ausschlaggebend für den Beweiswert ist grundsätzlich somit weder die Herkunft eines Beweismittels noch die Bezeichnung der eingereichten oder in Auftrag gegebenen Stellungnahme als Bericht oder Gutachten (BGE 125 V 351 E. 3 S. 352 ff. mit Hinweisen; vgl. auch BGE 132 V 393 E. 4.1 S. 400). Dennoch erachtet es die Rechtsprechung mit dem Grundsatz der freien Beweiswürdigung als vereinbar, in Bezug auf bestimmte Formen medizinischer Berichte und Gutachten, Richtlinien für die Beweiswürdigung aufzustellen (vgl. BGE 125 V 351 E. 3b S. 352 ff. mit Hinweisen). So ist den von Versicherungsträgern im Verfahren nach Art. 44

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
eingebracht wird, nicht Zweifel an ihrem Beweiswert (BGE 125 V 351 E. 3b/dd S. 353).
2.3 Bei den vorinstanzlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit der versicherten Person handelt es sich grundsätzlich um Entscheidungen über Tatfragen (BGE 132 V 393 E. 3.2 S. 397 ff.). Dagegen ist die Beachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Beweiswürdigungsregeln nach Art. 61 lit. c

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
3.
3.1 Das kantonale Gericht gelangte nach Würdigung der medizinischen Akten zum Schluss, dass die Beschwerdeführerin aufgrund ihrer psychischen Beeinträchtigung in einer leichten Tätigkeit mit Tragen und Heben von Lasten bis 15 kg sowie in rückenergonomisch günstigen und wechselbelastenden Positionen seit Dezember 2003 zu 70 % arbeitsfähig ist. Aus somatischer insbesondere rheumatologischer Sicht sah es keine weitergehende Einschränkung in der Arbeitsfähigkeit gegeben. Es stützte sich dabei auf das polydisziplinäre Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ vom 26. September 2006, basierend auf einem rheumatologischen und psychiatrischen Konsilium, dem es vollen Beweiswert zuerkannte. Die hievon abweichenden psychiatrischen Beurteilungen des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ vom 28. August 2004 und vom 17. Dezember 2007 vermöchten die Einschätzung der Gutachter des medizinischen Zentrums X.________ nicht derart zu erschüttern, dass davon abzuweichen wäre.
3.2 Demgegenüber vertritt die Beschwerdeführerin die Auffassung, dem Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ vom 26. September 2006 bzw. dem psychiatrischen Teilgutachten der Frau Dr. med. L.________, Fachärztin für Psychiatrie, vom 29. August 2006 könne keine volle Beweiskraft zuerkannt werden, da es hinsichtlich des Beweiswertes eines Arztberichtes entscheidende Kriterien offensichtlich nicht erfülle, was eine Rechtsverletzung bedeute. Es gäbe konkrete Indizien, die gegen dessen Zuverlässigkeit sprechen würden. Insbesondere erweise sich die Begründung der Diagnose einer reaktiven Depression, derzeit leichtgradige Episode nach Auszug der ältesten Tochter und einem Verdacht auf eine Abhängigkeit, gestützt auf die übrigen medizinischen Expertisen als nicht nachvollziehbar. Zudem gehe Dr. med. L.________ entgegen der Vorinstanz in keiner Art und Weise darauf ein, weshalb auf die Beurteilung des Psychiaters Dr. med. B.________ im Gutachten des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ vom 28. August 2004, wo von einer psychisch bedingten Arbeitsunfähigkeit von 50-60 % ausgegangen wurde, nicht abgestellt werden könne. Sie habe die psychiatrische Exploration ohne Übersetzerin durchgeführt, was zu Fehlern in der
Diagnosestellung und in der Arbeitsunfähigkeitseinschätzung geführt habe. Schliesslich bemängelt die Beschwerdeführerin, dass die Vorinstanz auf das Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ vom 11. Oktober 2008 nicht abgestellt hat, ohne sich damit auseinanderzusetzen.
4.
Im Rahmen der Würdigung der medizinischen Akten ist die Vorinstanz auf das Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ vom 11. Oktober 2008 nicht weiter eingegangen mit der Begründung, es handle sich dabei lediglich um eine Parteimeinung, warum nicht auf das Gutachten abzustellen sei. Das Gericht sei in keiner Weise an diese von einer Partei eingebrachte Meinung gebunden. Bei diesem Gutachten steche zudem ins Auge, dass darin die (angeblichen) Mängel im MEDAS-Gutachten sehr ausführlich aufgelistet, solche im Gutachten des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ demgegenüber nur sehr summarisch festgehalten würden.
Zwar ist dem kantonalen Gericht darin beizupflichten, dass die Beurteilung der Frage, ob ein ärztliches Gutachten den rechtsprechungsgemässen Anforderungen entspricht und auf welche Beurteilung bei voneinander abweichenden Expertisen abzustellen ist, Aufgabe des Gerichts bildet und nicht durch eine medizinische Fachperson vorzunehmen ist. Allerdings hat sich die Vorinstanz im Rahmen einer rechtskonformen Beweiswürdigung umfassend und sorgfältig mit den relevanten medizinischen Unterlagen auseinanderzusetzen und nachvollziehbar zu begründen, weshalb es auf die eine und nicht auf die andere medizinische These abstellt. Indem sich die Vorinstanz mit dem von Seiten der Beschwerdeführerin eingereichten Bericht des medizinischen Instituts Y.________ in keiner Weise befasst hat und nicht dargetan hat, weshalb die Kritik der Gutachter des medizinischen Instituts Y.________ die Beweistauglichkeit der Einschätzungen der Experten des medizinischen Zentrums X.________ nicht zu erschüttern vermag, hat es den Grundsatz der freien Beweiswürdigung und mithin Bundesrecht verletzt (vgl. E. 2.2 hievor). Das Bundesgericht ist daher insoweit an die Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanz nicht gebunden (Art. 105

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 2 Indépendance - 1 Dans l'exercice de ses attributions judiciaires, le Tribunal fédéral est indépendant et n'est soumis qu'à la loi. |
|
1 | Dans l'exercice de ses attributions judiciaires, le Tribunal fédéral est indépendant et n'est soumis qu'à la loi. |
2 | Ses arrêts ne peuvent être annulés ou modifiés que par lui-même et conformément aux dispositions de la loi. |
5.
Damit gilt es nachfolgend zu prüfen, ob die Sachverhaltsfeststellung des kantonalen Gerichts zutreffend ist, wobei insbesondere das Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ in rechtmässiger Weise in diese Beurteilung einzubeziehen ist.
5.1 Im Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ wird in psychiatrischer Hinsicht gestützt auf die konsiliarische Teilexpertise der Frau Dr. med. L.________, Fachärztin für Psychiatrie, vom 18. September 2006 von der Diagnose einer reaktiven Depression, derzeitig leichtgradige Episode nach Auszug der ältesten Tochter (ICD-10 F 32.00) mit/bei Verdacht auf abhängige Persönlichkeitszüge (ICD-10 F60.7) ausgegangen und festgestellt, dass darauf basierend eine Einschränkung in der Arbeitsfähigkeit von 30 % bestehe. Wie die Beschwerdeführerin zu Recht bemängelt, geht die Psychiaterin in keiner Art und Weise darauf ein, weshalb auf die abweichende Beurteilung des Dr. med. Dr. phil. B.________, Facharzt FMH für Psychiatrie und Psychotherapie des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ vom 28. August 2004, welche im Rahmen einer interdisziplinären Abklärung des Zentrums A.________ vom 19./20. Juli 2004 (Bericht vom 13. Oktober 2004) erfolgte, nicht abgestellt werden kann. Dieser ging von einer psychisch bedingten Arbeitsunfähigkeit von 50-60 % aus. Im Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ wird in der zusammenfassenden Beurteilung der Arbeitsfähigkeit zwar Bezug zum Gutachten des Dr. B.________ genommen (S. 16)
und aufgrund der damaligen psychopathologischen Symptome eine 50%ige Arbeitsunfähigkeit attestiert, wie auch der RAD in seiner Stellungnahme vom 4. August 2007 erwähnt. Zudem wird festgestellt, dass 2005 eine vorübergehende Therapie im Sozialpsychiatrischen Zentrum erfolgt ist. Zur Zusatzfrage (unter Punkt 8 S. 19) betreffend Würdigung der vorhandenen Arztberichte, insbesondere bei Diskrepanzen in der Beurteilung der Arbeitsfähigkeit, wird ausgeführt, man könne sich mit der Beurteilung des psychiatrischen Gutachters 2004 zum aktuellen Zeitpunkt weder bezüglich der Diagnose noch bezüglich der Arbeitsfähigkeit einverstanden erklären. Eine entsprechende Begründung fehlt allerdings. Eine diesbezügliche Würdigung der medizinischen Akten ist nicht erfolgt, was insbesondere aufgrund der Diskrepanzen in der Beurteilung der Arbeitsfähigkeit erforderlich gewesen wäre. Entgegen der Vorinstanz lässt sich dies nicht damit rechtfertigen, dass im Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ die eigene Diagnosestellung und Beurteilung der Arbeitsfähigkeit ausführlich begründet werden und eine vertiefte Auseinandersetzung mit dem Gutachten des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ nur erschwert möglich sei. Mit der
Beschwerdeführerin ist aufgrund des Gutachtens des medizinischen Zentrums X.________ nicht erkennbar, ob sich der psychische Zustand in der Zwischenzeit so tiefgreifend verändert hat, dass die konträre Beurteilung zu erklären wäre, oder sich die ursprüngliche Diagnose im Nachhinein als nicht mehr haltbar erweist, was allerdings ebenfalls zu erläutern wäre. Indem die Gutachter des medizinischen Zentrums X.________ ihre abweichende Beurteilung, insbesondere Diagnosestellung, mit keinem Wort begründen, erweist sich die Expertise als nicht nachvollziehbar, was einer erhöhten Beweiskraft (vgl. E. 2.2 hievor) entgegensteht. Wie die Beschwerdeführerin weiter zu Recht vorträgt, ist die Begründung der Diagnose einer reaktiven Depression, derzeit leichtgradige Episode nach Auszug der ältesten Tochter und einem Verdacht auf eine Abhängigkeit, mit Blick auf die übrigen medizinischen Expertisen nicht nachvollziehbar. Weder in der persönlichen Anamnese noch bei der Darstellung des aktuellen Leidens noch anlässlich der Besprechung beim Rheumatologen erwähnte die Beschwerdeführerin den Auszug der Tochter als traumatisierend oder erschütternd. Im zweiten Gutachten des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ vom 17. Dezember 2007
sind die Gutachter zum Schluss gelangt, dass aufgrund der Art und dem Schweregrad der aktuellen Beeinträchtigung von einer depressiven Entwicklung im Sinne einer chronifizierten, protrahierten F4-Anpassungsstörung (multikonditionale Prägung mit persönlichkeitsbedingter Fehlverarbeitung) oder einer eigentlichen F3-depressiven Episode ausgegangen werden könne. Sie haben die Diagnose zum einen auf die psychiatrische Befunderhebung, zum andern aber auch auf die psychiatrischen Testungen MADRS (mittel- bis schwergradige depressive Alteration) und HAMD (schwergradige Störung) abgestützt und sind in der Folge von einer medizinisch-theoretischen Arbeitsunfähigkeit von 70-80 % ausgegangen. Zudem haben sie geschlossen, dass bereits kriterienlogisch die Diagnose einer "depressiven Episode reaktiver Genese nach Auszug der Tochter" (Bericht von Frau Dr. med. L.________ des medizinischen Zentrums X.________) nicht durchzuhalten sei, würde es sich doch dabei um eine erlebnisreaktive affektpathologische Störung handeln, welche per se als F4-Anpassungsstörung zu klassifizieren wäre. Demgegenüber werde ein reaktives Geschehen (Auszug der Tochter) seitens der Versicherten deutlich verneint, so dass keine klaren psychosozialen Faktoren für eine
reaktive Pathologie eruierbar seien. Die diesbezügliche Argumentation der Vorinstanz, wonach die Beschwerdeführerin den besagten Auszug im 2. Gutachten des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ nicht mehr als ein sehr einschneidendes Erlebnis geschildert hat, da sie nach dem zwischenzeitlich ergangenen negativen Vorbescheid der IV-Stelle gewusst haben dürfte, dass sich diese Aussage für sie bei der Beurteilung durch das medizinische Zentrum X.________ negativ ausgewirkt habe, vermag aufgrund der übrigen medizinischen Akten, worin dieses Ereignis nirgends als derart gravierend in Erscheinung tritt, nicht ohne weiteres zu überzeugen. Zudem wird auch von den Psychiatern im Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ nachvollziehbar dargelegt, es sei aus psychiatrischer Sicht kaum wahrscheinlich, dass eine leichte reaktive Depression einseitig und monokausal auf den Auszug der Tochter zurückzuführen ist. Sollte laut Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ dieser Zusammenhang tatsächlich im Vordergrund stehen, müsste gemäss ICD 10 die Diagnose einer Anpassungsstörung mit einer längeren depressiven Reaktion gestellt werden, was aber nach dem zeitlichen Verlauf der Störung nicht möglich sei.
Definitionsgemäss dauerten Anpassungsstörungen selten länger als zwei Jahre.
5.2 Zusammenfassend gilt festzustellen, dass sich das Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ mit Blick auf die psychiatrische Beurteilung als nicht schlüssig erweist und mithin den rechtsprechungsgemässen Anforderungen (BGE 125 V 351 E. 3a S. 352, vgl. E. 2.2) nicht zu genügen vermag. Zudem ergeben sich aus den weiteren medizinischen Akten Indizien, die dagegen sprechen. Indem sich das kantonale Gericht bei der Beurteilung der Restarbeitsfähigkeit der Versicherten auf das Gutachten des medizinischen Zentrums X.________ vom 26. September 2006 abgestützt hat, hat es mithin Bundesrecht verletzt.
Entgegen der Beschwerdeführerin kann allerdings auch nicht ohne weiteres auf das Gutachten des medizinischen und psychiatrischen Instituts Z.________ vom 17. Dezember 2007 abgestellt werden. Vorab fehlt es darin an einer schlüssigen Aussage zur Frage der verbleibenden Restarbeitsfähigkeit. So wird einerseits von einer zumutbaren Berufstätigkeit im Umfang von 50 % resp. von mindestens 50 % (Gutachten S. 9) gesprochen, während andernorts der "Grad der Behinderung" resp. die Arbeitsunfähigkeit bei 50-60 % veranschlagt wird (Gutachten S. 3 und 10). Zu beachten ist auch der verwendete Krankheitsbegriff. Das in der Medizin verbreitete bio-psycho-soziale Krankheitsmodell ist weiter gefasst als der massgebende sozialversicherungsrechtliche Begriff der gesundheitlichen Beeinträchtigung (SVR 2008 IV Nr. 62 S. 203, 9C 830/2007 E. 4.2; 2008 IV Nr. 6 S. 14, I 629/06 E. 5.4; 2007 IV Nr. 33 S. 117, I 738/05 E. 5.2; Urteil 9C 603/2009 vom 2. Februar 2010 E. 4.2). Verschiedene Aussagen des Dr. B.________ zeigen, dass er sich auch von psychosozialen und soziokulturellen Faktoren leiten liess. Zwar führt der Experte dann bei der Bewertung der Leistungsfähigkeit aus, invalidenversicherungsfremde Faktoren wie Alter, finanzielle Situation, familiäre
Situation etc. blieben ausgeklammert (Gutachten S. 8 und 11). Es lässt sich aber aufgrund der Begründung im Gutachten nicht nachvollziehen, wo konkret diese Abgrenzung getroffen worden sein soll.
Die Expertise des medizinischen Instituts Y.________ vom 11. Oktober 2008 sodann - eine Aktenbegutachtung ohne eigene psychiatrische Exploration - schliesst auf eine anhaltende somatoforme Schmerzstörung. Damit wird neu eine dritte, von den Vorgutachten abweichende Diagnose postuliert. Gemäss Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ sollen sodann die Voraussetzungen für die Anerkennung der Störung durch die Invalidenversicherung gemäss gängiger Rechtsprechung erfüllt sein (Expertise S. 7). Damit wird offensichtlich auf BGE 130 V 352 und die seither ergangenen Entscheide Bezug genommen. Danach gilt eine anhaltende somatoforme Schmerzstörung nur ausnahmsweise, unter bestimmten Voraussetzungen, als mit zumutbarer Willensanstrengung nicht überwindbar und demzufolge als invalidisierend. In der Expertise des medizinischen Instituts Y.________ wird nicht begründet, weshalb diese Voraussetzungen hier erfüllt sein sollen und dies erscheint auch fraglich. Beispielsweise ist nicht ersichtlich, inwiefern das im Vordergrund stehende Kriterium einer psychischen Komorbidität von erheblicher Schwere, Intensität, Ausprägung und Dauer (BGE 130 V 352 E. 2.2.3 S. 354; vgl. auch BGE 131 V 49 E. 1.2 S. 50) gegeben sein soll. Gleiches gilt etwa
für die weiteren Kriterien der chronischen, körperlichen Begleiterkrankungen und des sozialen Rückzugs in allen Belangen. Insgesamt wirft auch das Gutachten des medizinischen Instituts Y.________ selber Fragen auf.
Damit bedarf es einer erneuten Abklärung der psychisch bedingten Beeinträchtigung der Arbeits- bzw. Erwerbsfähigkeit. Die Sache ist an die Verwaltung zurückzuweisen, damit sie nach Einholung eines differenzierten psychiatrischen Gutachtens, das sich auch mit den unterschiedlichen bisherigen psychiatrischen Auffassungen auseinandersetzt, über den Leistungsanspruch neu verfüge.
6.
Das Verfahren ist kostenpflichtig. Die unterliegende IV-Stelle hat die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen. Der Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 22. Juni 2009 und die Verfügung der IV-Stelle des Kantons Zürich vom 4. Januar 2008 werden aufgehoben. Die Sache wird an die IV-Stelle des Kantons Zürich zurückgewiesen, damit sie, nach erfolgter Abklärung im Sinne der Erwägungen, über den Rentenanspruch neu verfüge.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdegegnerin hat die Beschwerdeführerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'800.- zu entschädigen.
4.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Gerichtskosten und der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich zurückgewiesen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich, der Ausgleichskasse Zürcher Arbeitgeber und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 30. März 2010
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Die Gerichtsschreiberin:
Ursprung Weber Peter