Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 448/2014
Urteil vom 29. Dezember 2014
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Ursprung, Bundesrichter Frésard,
Gerichtsschreiber Krähenbühl.
Verfahrensbeteiligte
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdeführerin,
gegen
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Adrian Fiechter,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente; Einkommensvergleich),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 5. Mai 2014.
Sachverhalt:
A.
Der am 31. Dezember 1951 geborene A.________ stürzte am 31. Juli 1998 beim Wasserskifahren und zog sich dabei eine Distorsion des rechten Schultergelenkes zu. Am 7. August 1998 kam es beim Heben einer Kiste aus dem Auto zu einer erneuten Verletzung der rechten Schulter. Wegen zunehmender rechtsseitiger Schulterbeschwerden erfolgte am 16. April 2010 eine Rückfallmeldung zu den 1998 erlittenen Unfällen. Die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), welche im Zusammenhang mit diesen beiden Unfällen seinerzeit für Heilungskosten aufgekommen war und Taggelder ausgerichtet hatte, anerkannte einen Rückfall zum Unfall vom 7. August 1998 und sprach mit Verfügung vom 18. Juni 2011 zunächst rückwirkend ab 1. März 2011 eine Invalidenrente aufgrund einer 10%igen Beeinträchtigung des Leistungsvermögens sowie eine Entschädigung von Fr. 9'720.- für eine Integritätseinbusse von ebenfalls 10 % zu. Dies bestätigte sie mit Einspracheentscheid vom 13. September 2011. Als A.________ hiegegen beim Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen hatte Beschwerde erheben lassen, kam sie lite pendente darauf zurück, worauf das Gericht das Verfahren abschrieb. Die SUVA verneinte nach zusätzlichen medizinischen und erwerblichen Abklärungen mit Verfügung
vom 31. Januar 2013 jeglichen Rentenanspruch; gleichzeitig forderte sie für die Zeit ab 1. März 2011 bereits ausgerichtete Rentenbetreffnisse im Gesamtbetrag von Fr. 8'006.30 als unrechtmässig bezogen zurück. Daran hielt sie mit Einspracheentscheid vom 21. März 2013 fest.
B.
Das kantonale Versicherungsgericht hiess die dagegen erhobene Beschwerde mit Entscheid vom 5. Mai 2014 dahingehend gut, dass es den angefochtenen Einspracheentscheid vom 21. März 2013, soweit in diesem ein Rentenanspruch verneint worden war, mit der Feststellung aufhob, bei einem Invaliditätsgrad von 53,8 % bestehe ab 1. März 2011 ein Rentenanspruch. Zur Bestimmung des versicherten Verdienstes und zur Berechnung der einzelnen Rentenzahlungen wies es die Sache an die SUVA zurück. In seinen Erwägungen hielt es fest, dass mit der Anerkennung eines Rentenanspruches die Rückforderung von Fr. 8'006.30 hinfällig werde.
C.
Die SUVA lässt beschwerdeweise die Aufhebung des kantonalen Entscheids beantragen.
A.________ schliesst - anwaltlich vertreten - auf Abweisung der Beschwerde. Das vorinstanzliche Gericht sieht von einer materiellen Stellungnahme zur Sache ab. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Im kantonalen Rechtsmittelverfahren hatte der heutige Beschwerdegegner die Zusprache einer mindestens 10%igen Invalidenrente beantragt, was er damit begründete, dass er einen höheren als den vom Unfallversicherer ermittelten Invaliditätsgrad von lediglich 6,45 % aufweise. Die Vorinstanz ihrerseits ermittelte einen Invaliditätsgrad von 53,8 %, womit sie dem Rentenbegehren im nunmehr von der SUVA angefochtenen Entscheid insoweit entsprechen konnte, als sie die Sache nach grundsätzlicher Bejahung eines Rentenanspruches an den Versicherer zurückwies, damit dieser die für die betragliche Bestimmung der geschuldeten Leistungen erforderlichen Grundlagen, namentlich die Höhe des versicherten Verdienstes, kläre, um anschliessend über den geschuldeten Rentenbetrag neu verfügen zu können.
1.2. Dieser vorinstanzliche Rückweisungsentscheid stellt formell einen selbstständig eröffneten Zwischenentscheid im Sinne von Art. 93 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
|
1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
rechtlichen Angelegenheiten ans Bundesgericht zulässig ist (Urteil 9C 684/2007 vom 27. Dezember 2007 E. 1.1 mit Hinweisen, publiziert in: SVR 2008 IV Nr. 39 S. 131; vgl. Art. 93 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
2.
2.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
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a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Im Rahmen der Rechtsanwendung von Amtes wegen prüft das Bundesgericht frei, ob der vorinstanzliche Entscheid von einem richtigen Verständnis der Rechtsbegriffe ausgeht und auf der korrekten Subsumtion des Sachverhalts unter die einschlägigen Rechtsnormen beruht (Urteil 8C 648/2013 vom 18. Februar 2014 E. 1 mit Hinweis; ULRICH MEYER, Basler Kommentar zum Bundesgerichtsgesetz, 2. Aufl., Basel 2011, N. 4 zu Art. 97
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
2.3. Die für die materielle Beurteilung des umstrittenen Invaliditätsgrades und damit des Rentenanspruches massgebenden gesetzlichen Bestimmungen (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
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1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
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1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
|
1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 20 Montant - 1 La rente d'invalidité s'élève à 80 % du gain assuré, en cas d'invalidité totale; si l'invalidité n'est que partielle, la rente est diminuée en conséquence. |
|
1 | La rente d'invalidité s'élève à 80 % du gain assuré, en cas d'invalidité totale; si l'invalidité n'est que partielle, la rente est diminuée en conséquence. |
2 | Si l'assuré a droit à une rente de l'assurance-invalidité ou à une rente de l'assurance-vieillesse et survivants, une rente complémentaire lui est allouée; celle-ci correspond, en dérogation à l'art. 69 LPGA55, à la différence entre 90 % du gain assuré et la rente de l'assurance-invalidité ou de l'assurance-vieillesse et survivants, mais au plus au montant prévu pour l'invalidité totale ou partielle.56 La rente complémentaire est fixée lorsqu'elle est en concours pour la première fois avec une rente de l'assurance-invalidité ou de l'assurance-vieillesse et survivants. Elle est adaptée lorsque la rente de l'assurance-vieillesse et survivants est modifiée à la suite d'un ajournement ou d'un versement anticipé, ou lorsque les parts de rente de l'assurance-invalidité ou de l'assurance-vieillesse et survivants accordées pour les membres de la famille sont modifiées.57 |
2bis | L'al. 2 est applicable également lorsque l'assuré a droit à une rente de même nature servie par une assurance sociale étrangère.58 |
2ter | Lorsque l'assuré atteint l'âge de référence, la rente d'invalidité visée à l'al. 1 et la rente complémentaire visée à l'al. 2, allocations de renchérissement comprises, sont réduites comme suit, en dérogation à l'art. 69 LPGA, pour chaque année entière comprise entre le jour où il a eu 45 ans et le jour où l'accident est survenu: |
a | pour un taux d'invalidité de 40 % ou plus: de 2 points de pourcentage, mais de 40 % au plus; |
b | pour un taux d'invalidité inférieur à 40 %: de 1 point de pourcentage, mais de 20 % au plus.59 |
2quater | Pour les conséquences des rechutes et séquelles tardives, les réductions prévues à l'al. 2ter s'appliquent également si l'accident est survenu avant que l'assuré ait atteint l'âge de 45 ans, pour autant que l'incapacité de travail liée aux rechutes ou aux séquelles tardives soit intervenue après que l'assuré a atteint l'âge de 60 ans.60 |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées, notamment sur le calcul des rentes complémentaires dans les cas spéciaux. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
3.
3.1. Dass der heutige Beschwerdegegner eine Beeinträchtigung der Arbeitsfähigkeit aufweist, welche auf mindestens einen der beiden im Jahre 1998 erlittenen Unfälle zurückzuführen, mithin unfallkausal ist, wird auch von der Beschwerdeführerin nicht in Frage gestellt. Deren Kreisärzte, die Chirurgen Dres. med. B.________ und C.________, erachteten laut Bericht über die Abschlussuntersuchung vom 7. September 2010 aber dennoch einen ganztägigen Einsatz bei körperlich leichten bis höchstens mittelschweren Tätigkeiten als zumutbar; einschränkend sei zu beachten, dass Gewichte nur körpernah und bis Hüfthöhe gehoben oder getragen werden sollten und Tätigkeiten über Schulterniveau ebenso wenig möglich seien wie Arbeiten, die axiales Stossen erfordern; mit diesen Einschränkungen sei eine entsprechende Tätigkeit ganztags möglich. Das kantonale Gericht hat diese ärztliche Beurteilung des verbliebenen Leistungsvermögens im angefochtenen Entscheid ebenfalls angeführt, ohne dass es irgend welche Zweifel an deren Zuverlässigkeit geäussert hätte.
3.2. Die nach dem vom Beschwerdegegner ergriffenen Rechtsmittel gegen den Einspracheentscheid vom 13. September 2011 und nach Aufhebung desselben von der Beschwerdeführerin erneut angeordnete kreisärztliche Untersuchung vom 28. März 2012 bei Dr. med. D.________, Facharzt für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates FMH, förderte keine wesentliche Veränderung der schon von den Dres. med. B.________ und C.________ bei der kreisärztlichen Untersuchung vom 7. September 2010 hinsichtlich der Funktionalität der rechten Schulter erhobenen Befunde zutage. Das damalige Zumutbarkeitsprofil konnte weiterhin unverändert Geltung beanspruchen, sprach Dr. med. D.________ doch von einer lediglich leichten Befundverschlechterung ohne wesentliches Ausmass auf die Schulterfunktionalität und beschrieb denn auch das Leistungsprofil praktisch gleich wie schon die Dres. med. B.________ und C.________ weniger als zwei Jahre zuvor.
3.3. Dennoch ist das kantonale Gericht zum Schluss gelangt, dass das Salär, welches der Beschwerdegegner mit seiner bloss noch 50%igen Teilzeitarbeit als Chauffeur bei der E.________ AG aktuell erzielt, mit dem in den Einkommensvergleich nach Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
4.
4.1. Das kantonale Gericht hat sich bei der Festsetzung des Invalideneinkommens (E. 3.3 hievor) von der Überlegung leiten lassen, dass der Beschwerdegegner, welcher seit dem 1. Juni 1978 in der E.________ AG gearbeitet hatte und diese Anstellung trotz unfallbedingter Behinderung behalten konnte, obschon er nach seinen Unfällen im Jahre 1998 nur noch für leichte körperliche Arbeiten einsetzbar war, dort - ohne einen Soziallohn zu beziehen - optimal eingegliedert sei. Diese Auffassung misst dem Umstand keine Bedeutung bei, dass mit dem auf bloss noch 50 % reduzierten Arbeitspensum nur die Tätigkeit als Chauffeur ausgeübt werden kann und die früher zusätzlich wahrgenommene Funktion als Lagerist aufgegeben worden ist. Laut einer von der Vorinstanz am 20. März 2014 telefonisch eingeholten Auskunft der Arbeitgeberfirma fällt dort eine Erhöhung des Pensums auf - wie früher - insgesamt wiederum 100 % aus gesundheitlichen Gründen nicht mehr in Betracht.
4.2. Wie die Beschwerdeführerin in ihrer Rechtsschrift richtig ausführt, kann bei der Bestimmung des Invalideneinkommens von den mit der aktuell ausgeübten Arbeit effektiv erzielten Einkünften nur ausgegangen werden, wenn ein besonders stabiles Arbeitsverhältnis eine Bezugnahme auf den allgemeinen Arbeitsmarkt praktisch erübrigt, wenn mit der ausgeübten Arbeit die verbliebene Arbeitsfähigkeit in zumutbarer Weise voll ausgeschöpft wird und wenn das erzielte Einkommen aus der Arbeitsleistung als angemessen und nicht als Soziallohn erscheint. Diese auch von der Vorinstanz erkannten, kumulativ erforderlichen Voraussetzungen mögen insoweit erfüllt sein, als der Beschwerdegegner für seine Chauffeurtätigkeit keinen Soziallohn erhält. Ein besonders stabiles Arbeitsverhältnis, welches angesichts der jahrzehntelangen Beschäftigung am selben Ort früher zweifellos gegeben war, dürfte mit der Reduktion des Arbeitspensums auf 50 % allerdings dahingefallen sein und auch - darin vor allem ist der Beschwerdeführerin beizupflichten - von voller Ausschöpfung des verbliebenen Leistungsvermögens kann mit einer bloss 50%igen Arbeitstätigkeit bei einer ärztlicherseits festgestellten ganztägigen Einsatzmöglichkeit nicht gesprochen werden.
4.3. Damit sind die Voraussetzungen nicht gegeben, um das Invalideneinkommen nach Massgabe des aktuell in der früheren Arbeitgeberfirma mit einem noch 50%igen Arbeitspensum als Chauffeur erzielten Verdienstes zu bestimmen. Daran vermag auch das relativ hohe Alter des Beschwerdegegners nichts zu ändern.
4.3.1. Das trotz gesundheitlicher Beeinträchtigung zumutbarerweise erzielbare Einkommen ist in aller Regel bezogen auf einen ausgeglichenen Arbeitsmarkt zu ermitteln, wobei an die Konkretisierung von Arbeitsgelegenheiten und Verdienstaussichten keine übermässigen Anforderungen zu stellen sind. Dem fortgeschrittenen Alter eines Leistungsansprechers - obschon an sich ein invaliditätsfremder Aspekt - trägt die Rechtsprechung dabei im Rahmen der Invaliditätsbemessung Rechnung, indem dieses als Kriterium anerkannt wird, welches zusammen mit weiteren persönlichen und beruflichen Gegebenheiten dazu führen kann, dass die verbliebene Arbeitsfähigkeit als auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt realistischerweise nicht mehr nachgefragt gilt und deren Verwertung trotz Selbsteingliederungspflicht als nicht mehr zumutbar erscheint. Fehlt es (ganz oder teilweise) an einer wirtschaftlich verwertbaren Restarbeitsfähigkeit, liegt eine Erwerbsunfähigkeit vor, welche je nach deren Ausmass Anspruch auf eine Invalidenrente zu begründen vermag. Der Einfluss des Lebensalters auf die Möglichkeit, das verbliebene Leistungsvermögen auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt zu verwerten, lässt sich dabei nicht nach einer allgemeinen Regel bemessen, sondern hängt von
den Umständen des Einzelfalles ab. Massgebend können Art und Beschaffenheit des Gesundheitsschadens und seiner Folgen, der absehbare Umstellungs- und Einarbeitungsaufwand und in diesem Zusammenhang auch die Persönlichkeitsstruktur der betroffenen Person, deren Begabungen und Fertigkeiten, ihre Ausbildung, ihr beruflicher Werdegang oder die Anwendbarkeit von Berufserfahrung aus dem bisherigen angestammten Tätigkeitsbereich sein (BGE 138 V 457 E. 3.1 459 f. mit Hinweisen). Nicht zuletzt hängt die Möglichkeit, die verbliebene Arbeitsfähigkeit auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt zu verwerten, auch davon ab, welcher Zeitraum der versicherten Person für die Ausübung einer neuen beruflichen Tätigkeit und für einen allfälligen Berufswechsel voraussichtlich noch zur Verfügung steht.
4.3.2. Wie das Bundesgericht in BGE 138 V 457 erkannt hat, ist als massgeblicher Stichtag für die Beantwortung der Frage nach der Verwertbarkeit der Restarbeitsfähigkeit derjenige Zeitpunkt zu betrachten, in welchem aus medizinischer Sicht die Zumutbarkeit einer zumindest teilweisen Erwerbstätigkeit feststeht (BGE 138 V 457 E. 3.3 S. 461 f.).
4.3.2.1. Aufgrund der überzeugend begründeten und von Dr. med. D.________ bestätigten Ansicht der Dres. med. B.________ und C.________ im Abschlussgutachten vom 7. September 2010 könnte davon ausgegangen werden, dass der Beschwerdegegner aus medizinischer Sicht mit den in E. 3.1 hievor genannten Einschränkungen in jenem Zeitpunkt schon für leichte bis mittelschwere körperliche Tätigkeiten ganztags einsatzfähig gewesen wäre. Damals war er knapp 59 Jahre alt, sodass angesichts der voraussichtlich noch mehr als fünfjährigen Aktivitätsdauer bis zur ordentlichen Pensionierung nicht gesagt werden kann, die vollständige Verwertung der verbliebenen Arbeitsfähigkeit auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt wäre altersbedingt nicht mehr zumutbar gewesen. Nach der Rechtsprechung (Urteil des Eidgenössischen Versicherungsgerichts U 106/89 vom 13. August 1990 E. 4, publiziert in: RKUV 1990 Nr. U 115 S. 389) liegt ein "vorgerücktes Alter" - wie es in Art. 28 Abs. 4
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide. |
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1 | Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide. |
2 | Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération. |
3 | Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64 |
4 | Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser. |
Rechnung getragen werden kann. Da es dem Beschwerdegegner nach der medizinischen Aktenlage zumutbar gewesen wäre, eine angepasste Tätigkeit noch vollzeitlich auszuüben, er seine bisherige Stelle aber dennoch teilweise aufgegeben hat, wäre er im Hinblick auf seine Schadenminderungspflicht gehalten gewesen, auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt eine neue Beschäftigung zu suchen. Dabei realisierbare Einkünfte hätte er sich im Rahmen eines Einkommensvergleichs nach Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
4.3.2.2. Im Ergebnis zu keiner anderen Betrachtungsweise führt der Umstand, dass sich die Beschwerdeführerin nach erhobener Beschwerde gegen den Einspracheentscheid vom 13. September 2011 zu weiteren medizinischen Abklärungen veranlasst gesehen und deshalb die zusätzliche Expertise des Kreisarztes Dr. med. D.________ vom 28. März 2012 eingeholt hat. Diese konnte lediglich bestätigen, dass an der früheren Beurteilung der Leistungsfähigkeit durch die Dres. med. B.________ und C.________ nach wie vor festzuhalten sei (vgl. E. 3.2 hievor). Spätestens zu dieser Zeit war nicht mehr anzunehmen, dass der Beschwerdegegner, welcher damals nicht - wie von der Vorinstanz angenommen - 62 Jahre alt, sondern erst seit knapp 3 Monaten über 60-jährig war, was an der untersten Grenze des vergleichsweise beizuziehenden "vorgerückten Alters" im Sinne von Art. 28 Abs. 4
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide. |
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1 | Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide. |
2 | Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération. |
3 | Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64 |
4 | Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser. |
vom Beschwerdegegner behauptete Altersschwäche und Altersgebrechlichkeit ist ärztlicherseits jedenfalls nicht als das Leistungsvermögen beeinträchtigend ausgewiesen und die Beschwerdeführerin weist zu Recht darauf hin, dass dieser ihr gegenüber anlässlich einer persönlichen Befragung am 9. Juni 2010 erklärt hatte, abgesehen von den Schmerzen an der rechten Schulter keine das Leistungsvermögen schmälernde leidensbedingte Beeinträchtigungen aufzuweisen und an keinen weiteren unfall- oder krankheitsbedingten Gesundheitsschäden zu leiden.
4.4. Der Beschwerdeführerin ist demnach darin beizupflichten, dass das Alter des Beschwerdegegners im spätestens massgebenden Zeitpunkt der Untersuchung bei Dr. med. D.________ resp. der Berichterstattung darüber am 28. März 2012 keinen Grund darstellt, um das ihm zumutbare Leistungsvermögen bei der Invaliditätsbemessung tiefer anzusetzen als es ärztlicherseits eingeschätzt worden ist. Damit trifft aber auch ihr Einwand zu, dass die verbliebene Restarbeitsfähigkeit mit der bloss noch 50 % eines Vollpensums ausmachenden Tätigkeit als Chauffeur nicht voll ausgeschöpft wird und daher mit diesem Einsatz in der früheren Arbeitgeberfirma nicht von optimaler Eingliederung gesprochen werden kann. Die vorinstanzliche Beurteilung des Invalideneinkommens hält daher einer bundesgerichtlichen Überprüfung nicht stand, sondern bedarf einer Berichtigung zufolge rechtswidriger Subsumption (vgl. E. 2.2 hievor) und auch fehlerhafter Sachverhaltsfeststellung, wobei Letztere nicht - wovon der Beschwerdegegner in seiner Vernehmlassung vom 25. August 2014 und in der Ergänzung dazu vom 12. September 2014 fälschlicherweise auszugehen scheint - offensichtlich sein müsste, geht es doch um geldwerte Leistungen der Unfallversicherung (vgl. E. 2.1 hievor).
5.
5.1. Übt eine versicherte Person nach Eintritt eines unfallbedingten Gesundheitsschadens keine oder jedenfalls keine ihr an sich zumutbare neue Erwerbstätigkeit aus, so dass bei der Bestimmung des Invalideneinkommens nicht von dem mit der aktuellen erwerblichen Betätigung erzielten Verdienst ausgegangen werden kann, sind nach der Rechtsprechung bei der Invaliditätsbemessung entweder Tabellenlöhne gemäss den vom Bundesamt für Statistik periodisch herausgegebenen Lohnstrukturerhebungen (LSE) oder die Zahlen der SUVA-internen Dokumentation von Arbeitsplätzen (DAP) heranzuziehen (BGE 139 V 592 E. 2.3 S. 593 f. mit Hinweis). Die Beschwerdeführerin hat sich für die zweite Variante entschieden und den Einkommensvergleich nach Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
5.2. Die von ihr beigebrachten Unterlagen aus ihrer DAP genügen den in BGE 129 V 472 aufgestellten Erfordernissen an eine Invaliditätsbemessung gestützt auf die DAP in jeder Hinsicht. So hat die Beschwerdeführerin nebst fünf DAP-Blättern mit ihrer Ansicht nach für den Beschwerdegegner trotz Behinderung geeigneten Stellen namentlich hinreichende Auskünfte über die Gesamtzahl in Frage kommender dokumentierter Arbeitsplätze aufgelegt, welchen die dort jeweils zu erwartenden Höchst- und Tiefstlöhne sowie auch die dabei durchschnittlich erzielte Entlöhnung entnommen werden können. Das angewandte Auswahlermessen und die Repräsentativität der ausgewählten DAP-Blätter sind damit hinreichend überprüfbar. Auch konnten in der - wie in BGE 129 V 472 E. 4.2.2 S. 480 vorgesehen - gegen die Verfügung vom 31. Januar 2013 gerichteten Einsprache keine begründeten Einwände gegen die als für den Beschwerdegegner geeignet vorgesehenen fünf Arbeitsplätze aus der DAP erhoben werden.
5.3. Der an den ausgewählten fünf DAP-Blättern erzielbare Lohn beläuft sich (aufgerundet) auf durchschnittlich Fr. 53'737.- im Jahr ([Fr. 55'200.- + Fr. 53'950.- + Fr.53'870.- + Fr. 53'014.- + Fr. 52'650.- = Fr. 268'864.-] / 5 = Fr. 53'736.80) resp. bei einer Herabsetzung um 7,2 % zufolge Parallelisierung noch auf Fr. 49'868.-. Verglichen mit dem laut Beschwerdeführerin ohne Gesundheitsschädigung mutmasslich erreichten Jahreslohn (Valideneinkommen) von Fr. 53'300.- ergibt sich - unabhängig davon, ob sich eine Parallelisierung der Vergleichseinkommen überhaupt rechtfertigen lässt oder davon abgesehen wird - ein Invaliditätsgrad von weniger als 10 %. Dies vermag ebenso wenig einen Rentenanspruch auszulösen wie ein Vergleich mit dem von der Vorinstanz auf Fr. 52'794.- festgesetzten mutmasslichen Einkommen ohne Invalidität (vgl. Art. 18 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
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1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
richtig aufzeigt - die umstrittene Berücksichtigung des von der Arbeitgeberin des Beschwerdegegners nachträglich geltend gemachten Spesenanteils am Validenlohn. Weitere Ausführungen erübrigen sich auch dazu.
6.
Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten (Art. 65 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen. Der Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 5. Mai 2014 wird aufgehoben und der Einspracheentscheid der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) vom 21. März 2013 bestätigt.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdegegner auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 29. Dezember 2014
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Leuzinger
Der Gerichtsschreiber: Krähenbühl