Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
1B 197/2019
Urteil vom 27. Mai 2019
I. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Chaix, Präsident,
Bundesrichter Karlen, Muschietti,
Gerichtsschreiber Forster.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwalt Christian Wyss,
gegen
Staatsanwaltschaft des Kantons Glarus,
Postgasse 29, 8750 Glarus.
Gegenstand
Verlängerung der Untersuchungshaft,
Beschwerde gegen den Beschluss des Obergerichts
des Kantons Glarus vom 28. März 2019
(OG.2019.00024).
Sachverhalt:
A.
Die Staatsanwaltschaft des Kantons Glarus führt eine Strafuntersuchung gegen A.________ wegen Beteiligung (als Mittäter, Gehilfe oder Anstifter) an einem Einbruchdiebstahl in einer Anwaltskanzlei, bei dem die Täterschaft unter anderem zwei Tresore mit darin befindlichem Bargeld erbeutete. Im Kanton Schwyz ist eine separate Untersuchung wegen Veruntreuung gegen den Beschuldigten hängig. Am 11. Februar 2019 wurde er polizeilich verhaftet. Am 13. Februar 2019 beantragte die Staatsanwaltschaft beim Zwangsmassnahmengericht des Kantons Glarus (ZMG) die Anordnung von Untersuchungshaft, vorläufig für die Dauer von drei Monaten. Mit Entscheid vom 15. Februar 2019 wies das ZMG den Haftanordnungsantrag ab und die Staatsanwaltschaft an, den Beschuldigten gleichentags (bis 21.15 Uhr) aus der Polizeihaft zu entlassen.
B.
Am 15. Februar 2019 erhob die Staatsanwaltschaft beim kantonalen Obergericht Beschwerde gegen diesen Entscheid des ZMG. Gleichentags verfügte der Obergerichtsvizepräsident superprovisorisch die vorläufige Weiterdauer der Haft während des Beschwerdeverfahrens. Mit Beschluss vom 22. Februar 2019 hiess das Obergericht des Kantons Glarus die Beschwerde der Staatsanwaltschaft gut, indem es die Haftanordnung gegen den Beschuldigten (einstweilen bis zum 25. März 2019) verfügte. Eine vom Beschuldigten am 12. März 2019 dagegen erhobene Beschwerde wies das Bundesgericht mit Urteil vom 8. April 2019 ab, soweit es darauf eintrat (Verfahren 1B 121/2019).
C.
Mit Eingabe vom 11. März (Posteingang: 13. März) 2019 stellte der Beschuldigte bei der Staatsanwaltschaft ein Haftentlassungsgesuch. Am 18. März 2019 beantragte die Staatsanwaltschaft beim ZMG die Verlängerung der Untersuchungshaft um einen Monat und die Abweisung des Haftentlassungsgesuches. Mit Entscheid vom 21. März 2019 wies das ZMG den Haftverlängerungsantrag ab und die Staatsanwaltschaft an, den Beschuldigten am 22. März 2019 (um 15.00 Uhr) aus der Untersuchungshaft zu entlassen.
D.
Auch gegen den Entscheid des ZMG vom 21. März 2019 erhob die Staatsanwaltschaft (gleichentags) Beschwerde beim kantonalen Obergericht. Am 22. März 2019 verfügte der Obergerichtsvizepräsident superprovisorisch die vorläufige Weiterdauer der Haft während des Beschwerdeverfahrens. Mit Beschluss vom 28. März 2019 hiess das Obergericht des Kantons Glarus auch die zweite Beschwerde der Staatsanwaltschaft gut, indem es die Untersuchungshaft (einstweilen bis zum 22. April 2019) verlängerte.
E.
Auch gegen den Haftverlängerungsentscheid des Obergerichtes vom 28. März 2019 gelangte der Beschuldigte (mit Beschwerde vom 1. Mai 2019) an das Bundesgericht. Er beantragt neben der Aufhebung des angefochtenen Entscheides seine unverzügliche Haftentlassung, eventualiter gegen Ersatzmassnahmen für Haft.
Die Staatsanwaltschaft beantragt mit Stellungnahme vom 10. Mai (Posteingang: 13. Mai) 2019 die Abweisung der Beschwerde, soweit darauf einzutreten sei. Das Obergericht liess sich gleichentags (Posteingang: 14. Mai 2019) vernehmen. Innert der auf 21. Mai 2019 angesetzten Frist ist keine Replik eingegangen.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde richtet sich gegen einen Haftverlängerungsentscheid der kantonalen Beschwerdeinstanz (Art. 222
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 222 Voies de droit - Seul le détenu peut attaquer devant l'autorité de recours les décisions ordonnant une mise en détention provisoire ou une mise en détention pour des motifs de sûreté ou encore la prolongation ou le terme de cette détention. L'art. 233 est réservé. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 227 Demande de prolongation de la détention provisoire - 1 À l'expiration de la durée de la détention provisoire fixée par le tribunal des mesures de contrainte, le ministère public peut demander la prolongation de la détention. Si la durée de la détention n'est pas limitée, la demande doit être présentée dans les trois mois suivant le début de la détention. |
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1 | À l'expiration de la durée de la détention provisoire fixée par le tribunal des mesures de contrainte, le ministère public peut demander la prolongation de la détention. Si la durée de la détention n'est pas limitée, la demande doit être présentée dans les trois mois suivant le début de la détention. |
2 | Le ministère public transmet au tribunal des mesures de contrainte la demande de prolongation écrite et motivée, au plus tard quatre jours avant la fin de la période de détention, et y joint les pièces essentielles du dossier. |
3 | Le tribunal des mesures de contrainte accorde au détenu et à son défenseur le droit de consulter le dossier en sa possession et leur impartit un délai de trois jours pour s'exprimer par écrit sur la demande de prolongation. |
4 | Il peut ordonner une prolongation de la détention provisoire jusqu'à ce qu'il ait statué. |
5 | Le tribunal des mesures de contrainte statue au plus tard dans les cinq jours qui suivent la réception de la réplique ou l'expiration du délai fixé à l'al. 3. Il peut astreindre le ministère public à procéder à certains actes de procédure ou ordonner une mesure de substitution. |
6 | En règle générale, la procédure se déroule par écrit; toutefois, le tribunal des mesures de contrainte peut ordonner une audience; celle-ci se déroule à huis clos. |
7 | La détention provisoire peut être prolongée plusieurs fois, chaque fois de trois mois au plus et, dans des cas exceptionnels, de six mois au plus. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
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1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |
2.
Der Beschwerdeführer bestreitet (nochmals) den dringenden Tatverdacht einer Beteiligung an einem Verbrechen oder Vergehen. Er macht erneut geltend, die Angaben einer Gewährsperson, welche drei Beteiligte des Einbruchdiebstahls (beim Abtransport eines Tresors am Tatort) beobachtet und Aussagen zum Fluchtfahrzeug gemacht habe, seien ungenau und stimmten nicht mit der Marke des Fahrzeuges überein, in dem er am 30. Dezember 2018 angehalten worden sei. Zudem habe sich der Tatverdacht nicht weiter erhärtet bzw. sogar entkräftet. Die Gewährsperson habe bei einer Einvernahme vom 27. März 2019 unmissverständlich ausgesagt, sie erkenne ihn, den Beschuldigten, nicht als Mittäter. Soweit sie zuvor (anlässlich einer Foto-Wahlkonfrontation vom 19. März 2019) anderslautende belastende Aussagen gemacht habe, seien diese wirr, widersprüchlich und nicht verwertbar.
2.1. Im Gegensatz zum erkennenden Sachrichter hat das Bundesgericht bei der Überprüfung des allgemeinen Haftgrundes des dringenden Tatverdachtes (Art. 221 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 221 Conditions - 1 La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
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1 | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
a | qu'il se soustraie à la procédure pénale ou à la sanction prévisible en prenant la fuite; |
b | qu'il compromette la recherche de la vérité en exerçant une influence sur des personnes ou en altérant des moyens de preuves; |
c | qu'il compromette sérieusement et de manière imminente la sécurité d'autrui en commettant des crimes ou des délits graves après avoir déjà commis des infractions du même genre. |
1bis | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté peuvent exceptionnellement être ordonnées, aux conditions suivantes: |
a | le prévenu est fortement soupçonné d'avoir porté gravement atteinte à l'intégrité physique, psychique ou sexuelle d'autrui en commettant un crime ou un délit grave; |
b | il y a un danger sérieux et imminent qu'il commette un crime grave du même genre.116 |
2 | La détention peut aussi être ordonnée s'il y a un danger sérieux et imminent qu'une personne passe à l'acte après avoir menacé de commettre un crime grave.117 |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 31 Privation de liberté - 1 Nul ne peut être privé de sa liberté si ce n'est dans les cas prévus par la loi et selon les formes qu'elle prescrit. |
|
1 | Nul ne peut être privé de sa liberté si ce n'est dans les cas prévus par la loi et selon les formes qu'elle prescrit. |
2 | Toute personne qui se voit privée de sa liberté a le droit d'être aussitôt informée, dans une langue qu'elle comprend, des raisons de cette privation et des droits qui sont les siens. Elle doit être mise en état de faire valoir ses droits. Elle a notamment le droit de faire informer ses proches. |
3 | Toute personne qui est mise en détention préventive a le droit d'être aussitôt traduite devant un ou une juge, qui prononce le maintien de la détention ou la libération. Elle a le droit d'être jugée dans un délai raisonnable. |
4 | Toute personne qui se voit privée de sa liberté sans qu'un tribunal l'ait ordonné a le droit, en tout temps, de saisir le tribunal. Celui-ci statue dans les plus brefs délais sur la légalité de cette privation. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 31 Privation de liberté - 1 Nul ne peut être privé de sa liberté si ce n'est dans les cas prévus par la loi et selon les formes qu'elle prescrit. |
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1 | Nul ne peut être privé de sa liberté si ce n'est dans les cas prévus par la loi et selon les formes qu'elle prescrit. |
2 | Toute personne qui se voit privée de sa liberté a le droit d'être aussitôt informée, dans une langue qu'elle comprend, des raisons de cette privation et des droits qui sont les siens. Elle doit être mise en état de faire valoir ses droits. Elle a notamment le droit de faire informer ses proches. |
3 | Toute personne qui est mise en détention préventive a le droit d'être aussitôt traduite devant un ou une juge, qui prononce le maintien de la détention ou la libération. Elle a le droit d'être jugée dans un délai raisonnable. |
4 | Toute personne qui se voit privée de sa liberté sans qu'un tribunal l'ait ordonné a le droit, en tout temps, de saisir le tribunal. Celui-ci statue dans les plus brefs délais sur la légalité de cette privation. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 5 Célérité - 1 Les autorités pénales engagent les procédures pénales sans délai et les mènent à terme sans retard injustifié. |
|
1 | Les autorités pénales engagent les procédures pénales sans délai et les mènent à terme sans retard injustifié. |
2 | Lorsqu'un prévenu est placé en détention, la procédure doit être conduite en priorité. |
erkennenden Strafrichter vorzugreifen. Vorbehalten bleibt allenfalls die Abnahme eines liquiden Alibibeweises (BGE 143 IV 316 E. 3.1 S. 318; 330 E. 2.1 S. 333 f.; je mit Hinweisen). Auch über die gerichtliche Verwertbarkeit von Beweismitteln ist in der Regel noch nicht im Untersuchungsverfahren abschliessend zu entscheiden (BGE 141 IV 289 E. 1 S. 291 f. mit Hinweisen).
Der dringende Tatverdacht muss sich im Verlauf des Strafverfahrens grundsätzlich verdichten (bzw. ausreichend hoch verbleiben). Dabei kommt es nach der Praxis des Bundesgerichtes auch auf die Art und Intensität der bereits vorbestehenden konkreten Verdachtsgründe an (vgl. Urteile 1B 514/2018 vom 3. Dezember 2018 E. 3.2; 1B 176/2018 vom 2. Mai 2018 E. 3.2; 1B 139/2007 vom 17. Dezember 2007 E. 4.3). Zu Beginn der Strafuntersuchung sind die Anforderungen an den dringenden Tatverdacht geringer als in späteren Prozessstadien. Im Laufe des Strafverfahrens ist in der Regel ein zunehmend strengerer Massstab an die Erheblichkeit und Konkretheit des Tatverdachts zu legen. Nach Durchführung der gebotenen Untersuchungshandlungen muss eine Verurteilung als wahrscheinlich erscheinen (BGE 143 IV 316 E. 3.2 S. 318 f. mit Hinweisen).
2.2. Bei Beschwerden, die gestützt auf das Recht der persönlichen Freiheit (Art. 10 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 10 Droit à la vie et liberté personnelle - 1 Tout être humain a droit à la vie. La peine de mort est interdite. |
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1 | Tout être humain a droit à la vie. La peine de mort est interdite. |
2 | Tout être humain a droit à la liberté personnelle, notamment à l'intégrité physique et psychique et à la liberté de mouvement. |
3 | La torture et tout autre traitement ou peine cruels, inhumains ou dégradants sont interdits. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 31 Privation de liberté - 1 Nul ne peut être privé de sa liberté si ce n'est dans les cas prévus par la loi et selon les formes qu'elle prescrit. |
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1 | Nul ne peut être privé de sa liberté si ce n'est dans les cas prévus par la loi et selon les formes qu'elle prescrit. |
2 | Toute personne qui se voit privée de sa liberté a le droit d'être aussitôt informée, dans une langue qu'elle comprend, des raisons de cette privation et des droits qui sont les siens. Elle doit être mise en état de faire valoir ses droits. Elle a notamment le droit de faire informer ses proches. |
3 | Toute personne qui est mise en détention préventive a le droit d'être aussitôt traduite devant un ou une juge, qui prononce le maintien de la détention ou la libération. Elle a le droit d'être jugée dans un délai raisonnable. |
4 | Toute personne qui se voit privée de sa liberté sans qu'un tribunal l'ait ordonné a le droit, en tout temps, de saisir le tribunal. Celui-ci statue dans les plus brefs délais sur la légalité de cette privation. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.3. Der Beschwerdeführer bestreitet die Darlegungen der Staatsanwaltschaft und der Vorinstanz nicht, dass er von seiner früheren Arbeitgeberin wegen Veruntreuung von mindestens Fr. 114'000.-- fristlos entlassen und angezeigt worden sei. Um ihr das veruntreute Geld zurückzuerstatten bzw. Wiedergutmachung zu leisten, habe er bei seinen Grosseltern ein Darlehen aufgenommen. Vom betreffenden Bargeldbetrag (Fr. 140'000.--) habe er am 11. bzw. 19. Dezember 2018 (in zwei Tranchen von je Fr. 60'000.--) insgesamt Fr. 120'000.-- an seinen damaligen Anwalt bzw. Verteidiger übergeben. Vor den beiden Geldübergaben habe er (vom Gesamtbetrag von Fr. 140'000.--) jeweils je Fr. 10'000.-- für sich zurückbehalten. Bei der ersten Geldübergabe an seinen Anwalt sei der Beschwerdeführer von einer männlichen Person begleitet gewesen. Der Beschwerdeführer und sein Anwalt hätten vereinbart, dass dieser unverzüglich Vergleichsgespräche mit der ehemaligen Arbeitgeberin aufnehmen werde. Drei Tage nach der zweiten Geldübergabe, in der Nacht vom 22. auf den 23. Dezember 2018, sei eine noch nicht identifizierte Täterschaft in die Kanzlei des Anwaltes eingebrochen. Die Täter hätten unter anderem zwei Tresore abtransportiert, welche Bargeld von ca. Fr. 160'000.-
- enthalten hätten. Dabei seien sie frühmorgens von einer Auskunftsperson beobachtet worden, welche sowohl drei Beteiligte als auch das Fluchtfahrzeug (samt Nummernschild) beschrieben habe.
Eine Woche nach dem Einbruch in die Anwaltskanzlei, am 30. Dezember 2018, sei der Beschwerdeführer bei einer Polizeikontrolle als Beifahrer in einem Fahrzeug angehalten worden. Dieses Fahrzeug, ein sogenannter Mini-Van, stimme in diversen Details mit dem von der Auskunftsperson beschriebenen Fluchtfahrzeug überein. Neben der Abkürzung des immatrikulierenden Kantons habe sie die ersten fünf Ziffern des Nummernschildes genannt. Zur sechsten Ziffer habe die Auskunftsperson ausgesagt, es habe sich um eine "6" oder eine "9" gehandelt. Das Nummernschild des von der Polizei angehaltenen Fahrzeuges sei hinsichtlich der Kantonsbezeichnung und der ersten fünf Ziffern damit identisch; bei der sechsten Ziffer handle es sich um eine "6". Auch die Farbe (weiss) und die Kategorie (Mini-Van) des kontrollierten Fahrzeuges stimmten mit den Angaben der Gewährsperson überein. Auffällig erscheine im Übrigen, dass der Beschwerdeführer behaupte, sich an den Namen der männlichen Person, die ihn am 11. Dezember 2018 bei der ersten Geldübergabe an seinen (kurz darauf bestohlenen) Anwalt begleitet habe, nicht mehr erinnern zu können.
Die Vorinstanz weist sodann darauf hin, dass ein Personenwagen mit einer ähnlich lautenden Nummer (sechste Ziffer "9") entgegen der Argumentation des Beschuldigten als mögliches Fluchtfahrzeug ausser Betracht falle. Der Halter dieses Personenwagens sei am 14. März 2019 polizeilich befragt worden. Insoweit habe sich unterdessen der Verdacht erhärtet, dass es sich beim weissen Mini-Van, in dem der Beschwerdeführer angehalten wurde, um das Tatfahrzeug gehandelt habe. Weiter erwägt das Obergericht, die genannte Auskunftsperson habe seit der ersten vorinstanzlichen Haftprüfung auch direkt belastende Aussagen zur Person des Beschwerdeführers gemacht. Bei einer am 19. März 2019 durchgeführten Foto-Wahlkonfrontation habe sie ihn (aus neun verschiedenen Personen) als Mittäter des Einbruchdiebstahls identifiziert.
2.4. Wie das Bundesgericht bereits in seinem konnexen Urteil 1B 121/2019 vom 8. April 2019 (E. 3, S. 8-11) dargelegt hat, besteht ein dringender Tatverdacht der Beteiligung des Beschwerdeführers am untersuchten Einbruchdiebstahl. Selbst wenn dem Standpunkt des Beschuldigten gefolgt würde, zu diesen bereits festgestellten Verdachtsgründen seien unterdessen keine zusätzlichen belastenden Momente hinzugekommen, liesse dies den allgemeinen Haftgrund nicht dahinfallen. Nach der oben (E. 2.1) dargelegten bundesgerichtlichen Rechtsprechung kann ein dringender Tatverdacht auch bejaht werden, wenn bereits bestehende schwere Verdachtsgründe sich im Verlauf der Strafuntersuchung nicht ausreichend entkräften lassen.
Im vorliegenden Fall kann offen bleiben, ob die unterdessen erfolgten Beweiserhebungen (insbesondere Ermittlungen zu einem etwaigen anderen Tatfahrzeug, Foto-Wahlkonfrontation vom 19. März 2019 mit einer Auskunftsperson, weitere Einvernahmen, untersuchte Mobiltelefon-Standorte usw.) den bereits bestehenden dringenden Tatverdacht einer Beteiligung des Beschwerdeführers am Einbruchdiebstahl noch zusätzlich erhärtet haben. Über das bereits Dargelegte hinaus wird es Sache des erkennenden Strafgerichtes sein, die betreffenden Beweisergebnisse abschliessend zu würdigen. Analoges gilt für die vom Beschuldigten angerufenen Beweisverwertungsverbote. Auch über diese ist nicht bereits im jetzigen Untersuchungsstadium vom Haftrichter zu entscheiden (vgl. BGE 141 IV 289 E. 1 S. 291 f. mit Hinweisen). Schon im konnexen Bundesgerichtsurteil 1B 121/2019 vom 8. April 2019 (E. 3.4 S. 11) wurde im Übrigen darauf hingewiesen, dass dem Beschwerdeführer - über die Beteiligung am untersuchten Einbruchdiebstahl hinaus - auch noch eine Veruntreuung (Art. 138
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 138 - 1. Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui et qui lui a été confiée, |
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1 | Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui et qui lui a été confiée, |
2 | Si l'auteur agit en qualité de membre d'une autorité, de fonctionnaire, de tuteur, de curateur, de gérant de fortunes ou dans l'exercice d'une profession, d'une industrie ou d'un commerce auquel les pouvoirs publics l'ont autorisé, il est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2.5. Dass die Vorinstanz den allgemeinen Haftgrund des dringenden Tatverdachtes eines Verbrechens oder Vergehens weiterhin bejaht, hält vor dem Bundesrecht stand.
2.6. Als unbegründet erweist sich in diesem Zusammenhang auch die Rüge der Verletzung des rechtlichen Gehörs (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.
Der Beschwerdeführer bestreitet auch (nochmals) den Haftgrund der Kollusionsgefahr:
Seit dem Einbruchdiebstahl (Ende Dezember 2018) und seiner Festnahme am 11. Februar 2019 sei eine längere Zeitspanne verstrichen, in der er Kollusionshandlungen längst hätte vornehmen können. Die Planung seitens der Täterschaft habe sich auch auf "das Verhalten und die Kontaktwahrung nach erfolgreicher Tatbegehung" erstreckt. Die für den Einbruchdiebstahl Verantwortlichen hätten sich bereits "Gedanken dazu gemacht, was sie bei einer Festnahme aussagen" würden, "nämlich grundsätzlich nichts". Er habe nach seiner Anhaltung vom 30. Dezember 2018 von sich aus und ohne irgendwelche Vorbehalte klar ausgesagt. Auch sonst habe er sich gegenüber der Untersuchungsbehörde stets kooperativ verhalten. Es liege denn auch in seinem eigenen Interesse, dass die Täterschaft gefasst werde, zumal "ja sein Geld gestohlen" worden sei. Mit der Auswertung von Standortdaten seines Mobiltelefons habe er sich einverstanden erklärt. Hier gebe es nichts mehr zu kolludieren, da die Daten gesichert seien. Er sei den Strafbehörden schon ab dem 24. Dezember 2018 "als mutmasslicher Täter bekannt" gewesen; trotzdem hätten sich die Strafbehörden nicht veranlasst gesehen, ihn umgehend festzunehmen. Es stelle sich die Frage, wieso er "nicht schon am 30. Dezember 2018
bereits festgenommen wurde", wenn doch angeblich Verdunkelungsgefahr vorliege.
Dass am 11. Februar 2019 eine Hausdurchsuchung an seinem Wohnort durchgeführt wurde, und zwar auch wegen des untersuchten Einbruchdiebstahls (nicht bloss wegen der angezeigten Veruntreuung), habe er bereits vorher mit Sicherheit gewusst. Der Aufforderung vom 11. Februar 2019, er solle sich (am nächsten Tag) auf dem Polizeiposten in Glarus melden, habe er noch am selben Abend freiwillig Folge geleistet. "Spätestens mit einer Konfrontationseinvernahme" könne die Kollusionsgefahr "wegbedungen" werden. Beim Hinweis der Vorinstanz, es seien verschiedene Personen am Einbruchdiebstahl beteiligt gewesen, handle es sich um eine unbelegte Vermutung. An den Namen der Person, welche ihn (am 11. Dezember 2018) beim Besuch bei seinem Anwalt begleitete, könne er sich nicht erinnern. Dieser Begleiter habe ohnehin "gar nichts von einer Geldübergabe wissen" können. Dass die Staatsanwaltschaft ihn, den Beschwerdeführer, offenbar indirekt zwingen wolle, den Namen des Begleiters zu nennen, komme einer "Beugehaft" gleich. Dass die Vorinstanz dennoch Kollusionsgefahr bejaht habe, mute zynisch an und verletze unter anderem Artikel 221 Abs. 1 lit. b
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 221 Conditions - 1 La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
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1 | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
a | qu'il se soustraie à la procédure pénale ou à la sanction prévisible en prenant la fuite; |
b | qu'il compromette la recherche de la vérité en exerçant une influence sur des personnes ou en altérant des moyens de preuves; |
c | qu'il compromette sérieusement et de manière imminente la sécurité d'autrui en commettant des crimes ou des délits graves après avoir déjà commis des infractions du même genre. |
1bis | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté peuvent exceptionnellement être ordonnées, aux conditions suivantes: |
a | le prévenu est fortement soupçonné d'avoir porté gravement atteinte à l'intégrité physique, psychique ou sexuelle d'autrui en commettant un crime ou un délit grave; |
b | il y a un danger sérieux et imminent qu'il commette un crime grave du même genre.116 |
2 | La détention peut aussi être ordonnée s'il y a un danger sérieux et imminent qu'une personne passe à l'acte après avoir menacé de commettre un crime grave.117 |
Selbst wenn Kollusionsgefahr bestünde, könne die Untersuchungshaft durch eine Ersatzmassnahme, etwa "das Verbot, mit bestimmten Personen Kontakt zu pflegen", ausreichend abgelöst werden. Auch sei er bereit, zur Überwachung geeigneter Ersatzmassnahmen eine (elektronische) "Fussfessel" zu tragen oder sich regelmässig bei der Polizei zu melden. Die Haftverlängerung sei auch sonst unverhältnismässig. Er habe mit der untersuchten Straftat "nichts zu tun". Trotzdem befinde er sich schon seit mehr als zwei Monaten in Untersuchungshaft. Die Staatsanwaltschaft führe die Untersuchung schleppend und lege entlastende Beweise nicht offen. Den Beweisanträgen der Verteidigung habe sie nicht bzw. nur zögerlich Folge geleistet, was gesetzwidrig sei (Art. 5 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 5 Célérité - 1 Les autorités pénales engagent les procédures pénales sans délai et les mènent à terme sans retard injustifié. |
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1 | Les autorités pénales engagent les procédures pénales sans délai et les mènent à terme sans retard injustifié. |
2 | Lorsqu'un prévenu est placé en détention, la procédure doit être conduite en priorité. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
3.1. Neben dem dringenden Tatverdacht verlangt Art. 221 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 221 Conditions - 1 La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
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1 | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
a | qu'il se soustraie à la procédure pénale ou à la sanction prévisible en prenant la fuite; |
b | qu'il compromette la recherche de la vérité en exerçant une influence sur des personnes ou en altérant des moyens de preuves; |
c | qu'il compromette sérieusement et de manière imminente la sécurité d'autrui en commettant des crimes ou des délits graves après avoir déjà commis des infractions du même genre. |
1bis | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté peuvent exceptionnellement être ordonnées, aux conditions suivantes: |
a | le prévenu est fortement soupçonné d'avoir porté gravement atteinte à l'intégrité physique, psychique ou sexuelle d'autrui en commettant un crime ou un délit grave; |
b | il y a un danger sérieux et imminent qu'il commette un crime grave du même genre.116 |
2 | La détention peut aussi être ordonnée s'il y a un danger sérieux et imminent qu'une personne passe à l'acte après avoir menacé de commettre un crime grave.117 |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 221 Conditions - 1 La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
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1 | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
a | qu'il se soustraie à la procédure pénale ou à la sanction prévisible en prenant la fuite; |
b | qu'il compromette la recherche de la vérité en exerçant une influence sur des personnes ou en altérant des moyens de preuves; |
c | qu'il compromette sérieusement et de manière imminente la sécurité d'autrui en commettant des crimes ou des délits graves après avoir déjà commis des infractions du même genre. |
1bis | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté peuvent exceptionnellement être ordonnées, aux conditions suivantes: |
a | le prévenu est fortement soupçonné d'avoir porté gravement atteinte à l'intégrité physique, psychique ou sexuelle d'autrui en commettant un crime ou un délit grave; |
b | il y a un danger sérieux et imminent qu'il commette un crime grave du même genre.116 |
2 | La détention peut aussi être ordonnée s'il y a un danger sérieux et imminent qu'une personne passe à l'acte après avoir menacé de commettre un crime grave.117 |
Das Vorliegen des Haftgrundes ist nach Massgabe der Umstände des jeweiligen Einzelfalles zu prüfen (BGE 137 IV 122 E. 4.2 S. 127 f.; 132 I 21 E. 3.2 S. 23 mit Hinweisen). Konkrete Anhaltspunkte für Kollusionsgefahr können sich gemäss der Rechtsprechung des Bundesgerichtes namentlich ergeben aus dem bisherigen Verhalten des Beschuldigten im Strafprozess, aus seinen persönlichen Merkmalen, aus seiner Stellung und seinen Tatbeiträgen im Rahmen des untersuchten Sachverhaltes sowie aus den persönlichen Beziehungen zwischen ihm und den beteiligten Personen. Bei der Frage, ob im konkreten Fall eine massgebliche Beeinträchtigung des Strafverfahrens wegen Verdunkelung droht, ist auch der Art und Bedeutung der von Beeinflussung bedrohten Aussagen bzw. Beweismittel, der Schwere der untersuchten Straftaten sowie dem Stand des Verfahrens Rechnung zu tragen (BGE 132 I 21 E. 3.2.1 S. 23 f. mit Hinweisen).
Der Haftrichter hat zudem zu prüfen, ob einem gewissen Kollusionsrisiko schon mit geeigneten Ersatzmassnahmen für strafprozessuale Haft ausreichend begegnet werden könnte (Art. 212 Abs. 2 lit. c
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 212 Principes - 1 Le prévenu reste en liberté. Il ne peut être soumis à des mesures de contrainte entraînant une privation de liberté que dans les limites des dispositions du présent code. |
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1 | Le prévenu reste en liberté. Il ne peut être soumis à des mesures de contrainte entraînant une privation de liberté que dans les limites des dispositions du présent code. |
2 | Les mesures de contrainte entraînant une privation de liberté doivent être levées dès que: |
a | les conditions de leur application ne sont plus remplies; |
b | la durée prévue par le présent code ou fixée par un tribunal est expirée; |
c | des mesures de substitution permettent d'atteindre le même but. |
3 | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne doivent pas durer plus longtemps que la peine privative de liberté prévisible. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 237 Dispositions générales - 1 Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
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1 | Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
2 | Font notamment partie des mesures de substitution: |
a | la fourniture de sûretés; |
b | la saisie des documents d'identité et autres documents officiels; |
c | l'assignation à résidence ou l'interdiction de se rendre dans un certain lieu ou un certain immeuble; |
d | l'obligation de se présenter régulièrement à un service administratif; |
e | l'obligation d'avoir un travail régulier; |
f | l'obligation de se soumettre à un traitement médical ou à des contrôles; |
g | l'interdiction d'entretenir des relations avec certaines personnes. |
3 | Pour surveiller l'exécution de ces mesures, le tribunal peut ordonner l'utilisation d'appareils techniques qui peuvent être fixés à la personne sous surveillance. |
4 | Les dispositions sur la détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté s'appliquent par analogie au prononcé des mesures de substitution ainsi qu'au recours contre elles. |
5 | Le tribunal peut en tout temps révoquer les mesures de substitution, en ordonner d'autres ou prononcer la détention provisoire ou la détention pour des motifs de sûreté si des faits nouveaux l'exigent ou si le prévenu ne respecte pas les obligations qui lui ont été imposées. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 237 Dispositions générales - 1 Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
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1 | Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
2 | Font notamment partie des mesures de substitution: |
a | la fourniture de sûretés; |
b | la saisie des documents d'identité et autres documents officiels; |
c | l'assignation à résidence ou l'interdiction de se rendre dans un certain lieu ou un certain immeuble; |
d | l'obligation de se présenter régulièrement à un service administratif; |
e | l'obligation d'avoir un travail régulier; |
f | l'obligation de se soumettre à un traitement médical ou à des contrôles; |
g | l'interdiction d'entretenir des relations avec certaines personnes. |
3 | Pour surveiller l'exécution de ces mesures, le tribunal peut ordonner l'utilisation d'appareils techniques qui peuvent être fixés à la personne sous surveillance. |
4 | Les dispositions sur la détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté s'appliquent par analogie au prononcé des mesures de substitution ainsi qu'au recours contre elles. |
5 | Le tribunal peut en tout temps révoquer les mesures de substitution, en ordonner d'autres ou prononcer la détention provisoire ou la détention pour des motifs de sûreté si des faits nouveaux l'exigent ou si le prévenu ne respecte pas les obligations qui lui ont été imposées. |
3.2. In seinem konnexen Urteil 1B 121/2019 vom 8. April 2019 hat das Bundesgericht zur Verdunkelungsgefahr Folgendes erwogen:
Die relativ komplexe Strafuntersuchung sei noch nicht abgeschlossen. Es seien mehrere Verbrechen und Vergehen aufzuklären, darunter der Einbruchdiebstahl in einer Anwaltskanzlei, bei dem zwei Tresore mit Bargeld und anwaltlichen Unterlagen abtransportiert wurden. Nach den bisherigen Ermittlungsergebnissen sei von mehreren Tätern und Mitbeteiligten auszugehen, darunter drei noch unbekannte Personen, die am Tatort beobachtet worden sind. Abzuklären sei sodann die Identität eines "Bekannten" des Beschwerdeführers, der diesen zu einer Besprechung mit seinem Anwalt begleitet hatte, sowie die allfällige Involvierung des am 30. Dezember 2018 angehaltenen Fahrers des Mini-Vans. Die Rollenverteilung unter den Verdächtigen und ihre jeweiligen Tatbeiträge seien sorgfältig zu untersuchen. Zu diesem Zweck habe die Staatsanwaltschaft unter anderem weitere Befragungen durchzuführen, die sichergestellten Spuren den eruierten Verdächtigen zuzuordnen sowie die Telefonanschlüsse der Beteiligten zu ermitteln und mit den jeweiligen Kontaktaufnahmen über die Kommunikationsgeräte des Beschwerdeführers abzugleichen. Diesbezüglich seien (Anfang April 2019) noch diverse Beweiserhebungen in mehreren Kantonen hängig gewesen. Mit einigen der involvierten
Personen sei der Beschwerdeführer (nach eigenen Aussagen) zumindest "bekannt". Da er dringend verdächtig sei, am Einbruchdiebstahl beteiligt gewesen zu sein, drohe auch eine Kollusion mit den noch nicht identifizierten Haupttätern des untersuchten Verbrechens.
Das Obergericht habe daher kein Bundesrecht verletzt, indem es (Ende Februar 2019) zur Auffassung gelangte, es bestünden ausreichend konkrete Anhaltspunkte für eine erhebliche Verdunkelungsgefahr. Daran vermöchten auch die Einwände des Beschwerdeführers nichts zu ändern, wenn überhaupt, habe er schon vor seiner Verhaftung kolludieren können, Täter eines Einbruchdiebstahls dieser Art wüssten jeweils bereits, was sie bei einer Festnahme aussagen würden, "nämlich grundsätzlich nichts", er sei "stets kooperativ" gewesen und habe der telefonischen Vorladung auf den Polizeiposten (am 11. Februar 2019) freiwillig Folge geleistet, oder er kenne den Fahrer des Mini-Vans "nicht gut" und habe nichts mit diesem zu besprechen. Bei dieser Sachlage musste das Bundesgericht auch nicht prüfen, ob neben der Verdunkelungsgefahr noch zusätzliche besondere Haftgründe (etwa Fluchtgefahr, Art. 221 Abs. 1 lit. a
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 221 Conditions - 1 La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
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1 | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté ne peuvent être ordonnées que lorsque le prévenu est fortement soupçonné d'avoir commis un crime ou un délit et qu'il y a sérieusement lieu de craindre: |
a | qu'il se soustraie à la procédure pénale ou à la sanction prévisible en prenant la fuite; |
b | qu'il compromette la recherche de la vérité en exerçant une influence sur des personnes ou en altérant des moyens de preuves; |
c | qu'il compromette sérieusement et de manière imminente la sécurité d'autrui en commettant des crimes ou des délits graves après avoir déjà commis des infractions du même genre. |
1bis | La détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté peuvent exceptionnellement être ordonnées, aux conditions suivantes: |
a | le prévenu est fortement soupçonné d'avoir porté gravement atteinte à l'intégrité physique, psychique ou sexuelle d'autrui en commettant un crime ou un délit grave; |
b | il y a un danger sérieux et imminent qu'il commette un crime grave du même genre.116 |
2 | La détention peut aussi être ordonnée s'il y a un danger sérieux et imminent qu'une personne passe à l'acte après avoir menacé de commettre un crime grave.117 |
3.3. An den entscheiderheblichen Fakten des vorliegenden Haftfalles hat sich seither nichts Wesentliches geändert:
Die Vorinstanz erwägt, dem Beschwerdeführer sei erst anlässlich seiner Festnahme am Abend des 11. Februar 2019 eröffnet worden, dass gegen ihn nicht nur wegen der früheren Strafanzeige betreffend Veruntreuung ermittelt werde, sondern auch wegen des Einbruchdiebstahls in die Anwaltskanzlei. Insofern habe für ihn vorher noch keine spezifische Veranlassung bestanden, Verdunkelungshandlungen vorzunehmen. Unterdessen sei der am 30. Dezember 2018 angehaltene Fahrer des mutmasslichen Tatfahrzeuges als beschuldigte Person einvernommen worden. Zudem habe eine Auskunftsperson den Beschwerdeführer als einen der Mittäter am Einbruchdiebstahl vom 22./23. Dezember 2018 identifiziert. Die Identitäten der anderen Mittäter, welche die Auskunftsperson beobachtet habe, seien noch unbekannt. Es bestehe derzeit weiterhin die konkrete Gefahr, dass der Beschwerdeführer auf die mitbeschuldigte Person und die noch nicht identifizierten Mittäter kolludierend einwirken könnte. Ausserdem sei immer noch unklar, wer Kenntnis von dem vom Beschwerdeführer bei dessen Anwalt deponierten Bargeld in der Höhe von Fr. 120'000.-- gehabt habe. Die Identität des Mannes, der den Beschwerdeführer anlässlich des ersten Termins beim Anwalt begleitete, sei nicht bekannt. Der
Beschwerdeführer habe im Haftverlängerungsverfahren behauptet, er könne sich nicht an den Namen seines Begleiters erinnern. Es bestehe (nach Ansicht des Obergerichtes) die Gefahr, dass der Beschuldigte auch auf diese noch unbekannte Person kolludierend einwirken könnte (vgl. angefochtener Entscheid, E. 3.3, S. 15 f.).
3.4. Zu allfälligen Ersatzmassnahmen für Untersuchungshaft hat das Bundesgericht in seinem Urteil 1B 121/2019 vom 8. April 2019 Folgendes erwogen:
Auch die Ansicht des Obergerichtes, der festgestellten Kollusionsgefahr könne im aktuellen Untersuchungsstadium mit blossen Ersatzmassnahmen für Haft nicht ausreichend begegnet werden, halte vor dem Bundesrecht stand. Der Beschwerdeführer habe nicht nachvollziehbar dargelegt, inwiefern er mit dem von ihm genannten Kontaktverbot oder mit (von ihm damals nicht näher spezifizierten) "technischen Geräten" wirksam daran gehindert werden könnte, Beweismittel zu beseitigen oder mit mutmasslichen Komplizen zu kolludieren. Ein Kontaktverbot zulasten des Beschuldigten könne laut Gesetz nur gegenüber "bestimmten Personen" angeordnet werden (Art. 237 Abs. 2 lit. g
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 237 Dispositions générales - 1 Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
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1 | Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
2 | Font notamment partie des mesures de substitution: |
a | la fourniture de sûretés; |
b | la saisie des documents d'identité et autres documents officiels; |
c | l'assignation à résidence ou l'interdiction de se rendre dans un certain lieu ou un certain immeuble; |
d | l'obligation de se présenter régulièrement à un service administratif; |
e | l'obligation d'avoir un travail régulier; |
f | l'obligation de se soumettre à un traitement médical ou à des contrôles; |
g | l'interdiction d'entretenir des relations avec certaines personnes. |
3 | Pour surveiller l'exécution de ces mesures, le tribunal peut ordonner l'utilisation d'appareils techniques qui peuvent être fixés à la personne sous surveillance. |
4 | Les dispositions sur la détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté s'appliquent par analogie au prononcé des mesures de substitution ainsi qu'au recours contre elles. |
5 | Le tribunal peut en tout temps révoquer les mesures de substitution, en ordonner d'autres ou prononcer la détention provisoire ou la détention pour des motifs de sûreté si des faits nouveaux l'exigent ou si le prévenu ne respecte pas les obligations qui lui ont été imposées. |
Die übrigen Vorbringen des Beschwerdeführers, wonach die noch ausstehenden Beweiserhebungen zur Aufklärung der untersuchten Verbrechen und Vergehen auch ohne Untersuchungshaft durchgeführt werden könnten, weshalb sich diese als unnötig und "unverhältnismässig" erweise, gingen über das im Urteil 1B 121/2019 bereits Erörterte inhaltlich nicht hinaus. Das Obergericht habe dem (zeitlichen) Gesichtspunkt der Verhältnismässigkeit auch mit einer angemessenen Befristung der Untersuchungshaft Rechnung getragen sowie mit dem Hinweis, dass die Staatsanwaltschaft während der befristeten Haftdauer "laufend zu überprüfen" habe, "ob nach wie vor Haftgründe bestehen" (Urteil 1B 121/2019, E. 4.4 S. 15).
3.5. Auch in diesem Zusammenhang legt der Beschwerdeführer keine neuen Fakten dar, die eine Haftentlassung gegen Ersatzmassnahmen derzeit als geboten erscheinen liessen. Mit den oben genannten Erwägungen im bundesgerichtlichen Urteil 1B 121/2019 vom 8. April 2019 setzt er sich nicht nachvollziehbar auseinander. Ebenso wenig legt er dar, inwiefern der Einsatz einer "elektronischen Fussfessel" ihn wirksam daran hindern könnte, Besuche von Mitbeteiligten zu empfangen oder mit ihnen zu telefonieren.
Die Vorinstanz erwägt, im aktuellen Untersuchungsstadium sei nach wie vor nicht ersichtlich, inwiefern ein Kontaktverbot sowie der Einsatz von technischen Geräten den Beschwerdeführer wirksam davon abhalten könnten, mit mutmasslichen Mittätern in Kontakt zu treten und entsprechende Kollusionshandlungen vorzunehmen. Andere geeignete Ersatzmassnahmen seien nicht erkennbar. Insofern erweise sich die derzeitige Haftfortdauer als verhältnismässig (im Sinne von Art. 197 Abs. 1 lit. c
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes: |
|
1 | Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes: |
a | elles sont prévues par la loi; |
b | des soupçons suffisants laissent présumer une infraction; |
c | les buts poursuivis ne peuvent pas être atteints par des mesures moins sévères; |
d | elles apparaissent justifiées au regard de la gravité de l'infraction. |
2 | Les mesures de contrainte qui portent atteinte aux droits fondamentaux des personnes qui n'ont pas le statut de prévenu sont appliquées avec une retenue particulière. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 237 Dispositions générales - 1 Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
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1 | Le tribunal compétent ordonne une ou plusieurs mesures moins sévères en lieu et place de la détention provisoire ou de la détention pour des motifs de sûreté si ces mesures permettent d'atteindre le même but que la détention. |
2 | Font notamment partie des mesures de substitution: |
a | la fourniture de sûretés; |
b | la saisie des documents d'identité et autres documents officiels; |
c | l'assignation à résidence ou l'interdiction de se rendre dans un certain lieu ou un certain immeuble; |
d | l'obligation de se présenter régulièrement à un service administratif; |
e | l'obligation d'avoir un travail régulier; |
f | l'obligation de se soumettre à un traitement médical ou à des contrôles; |
g | l'interdiction d'entretenir des relations avec certaines personnes. |
3 | Pour surveiller l'exécution de ces mesures, le tribunal peut ordonner l'utilisation d'appareils techniques qui peuvent être fixés à la personne sous surveillance. |
4 | Les dispositions sur la détention provisoire et la détention pour des motifs de sûreté s'appliquent par analogie au prononcé des mesures de substitution ainsi qu'au recours contre elles. |
5 | Le tribunal peut en tout temps révoquer les mesures de substitution, en ordonner d'autres ou prononcer la détention provisoire ou la détention pour des motifs de sûreté si des faits nouveaux l'exigent ou si le prévenu ne respecte pas les obligations qui lui ont été imposées. |
Zur Dauer der Haftverlängerung und den noch ausstehenden Untersuchungshandlungen legt die Vorinstanz Folgendes dar:
Die Staatsanwaltschaft habe die Verlängerung der Untersuchungshaft um einen Monat beantragt. Der Beschwerdeführer befinde sich seit ca. sechs Wochen in strafprozessualer Haft. In der vorliegenden konnexen Strafsache seien die Strafbehörden mehrerer Kantone involviert. Es stünden weitere Untersuchungsmassnahmen an, zumal die Identitäten der Begleitperson beim Anwaltsbesuch sowie der direkten Mittäter des Einbruchdiebstahls noch ungeklärt seien. Die bisherigen Aussagen der Auskunftsperson, welche die Täterschaft beobachtet habe, seien zu verifizieren, und es seien weitere Konfrontationseinvernahmen durchzuführen, insbesondere zwischen dem Beschwerdeführer und dem unterdessen mitbeschuldigten Fahrer des Mini-Vans. Auch seien Standortdaten von Mobiltelefonen zu ermitteln und Kommunikationsgeräte auszuwerten. Anschliessend seien dem Beschwerdeführer die entsprechenden Untersuchungsergebnisse zu eröffnen. Angesichts des noch frühen Verfahrensstadiums bestehe für das Obergericht kein Anlass, der Staatsanwaltschaft konkrete Untersuchungshandlungen im Dispositiv des Haftverlängerungsentscheides aufzutragen. Allerdings sei die Untersuchung, die nicht mehr ganz am Anfang stehe, "beförderlich" zu führen. Derzeit rechtfertige sich die von der
Staatsanwaltschaft beantragte Haftverlängerung um einen Monat, einstweilen bis 22. April 2019 (vgl. angefochtener Entscheid, E. 5, S. 17 f.).
3.6. Die Rüge, die Vorinstanz habe mit diesen Erwägungen ihre Begründungspflicht verletzt und "keinerlei Ausführungen" zur Frage der "Verhältnismässigkeit" der Haftverlängerung gemacht, ist sachlich nicht nachvollziehbar und offensichtlich unbegründet.
3.7. Eher beiläufig macht der Beschwerdeführer - im Rahmen seiner Vorbringen zum allgemeinen Haftgrund des dringenden Tatverdachtes - auch noch geltend, die Staatsanwaltschaft habe die Strafuntersuchung nicht ausreichend vorangetrieben und damit das Beschleunigungsgebot in Haftsachen (Art. 5 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 5 Célérité - 1 Les autorités pénales engagent les procédures pénales sans délai et les mènent à terme sans retard injustifié. |
|
1 | Les autorités pénales engagent les procédures pénales sans délai et les mènent à terme sans retard injustifié. |
2 | Lorsqu'un prévenu est placé en détention, la procédure doit être conduite en priorité. |
Die Vorbringen des Beschwerdeführers lassen keine besonders schwer wiegenden bzw. häufigen Versäumnisse der Untersuchungsleitung (im Sinne der einschlägigen bundesgerichtlichen Rechtsprechung) erkennen, welche ausnahmsweise eine sofortige Haftentlassung des Beschuldigten von Bundesrechts wegen als geboten erscheinen liessen (vgl. BGE 137 IV 92 E. 3.1 S. 96; 136 I 274 E. 2.3 S. 278; 133 I 168 E. 4.1 S. 170 f.; 270 E. 3.4.2 S. 281; je mit Hinweisen). Aus den vorliegenden Akten ergibt sich, dass die Staatsanwaltschaft die sich aufdrängenden Beweiserhebungen in einem vertretbaren zeitlichen Rahmen angeordnet hat und die kantonalen Strafbehörden auf eine weiterhin zügige Untersuchungsführung hinwirken. Dass die Staatsanwaltschaft nicht sämtlichen Beweisanträgen des Beschwerdeführers sofort Folge geleistet hat, kann ihr nicht als schwerer Verfahrensfehler angelastet werden. Er befindet sich seit dem 11. Februar 2019 in strafprozessualer Haft. Damit ist die bisherige Haftdauer auch noch nicht grosse Nähe der Freiheitsstrafe gerückt, mit welcher er im Falle einer strafrechtlichen Verurteilung zu rechnen hat (vgl. BGE 143 IV 168 E. 5.1 S. 173; 139 IV 270 E. 3.1 S. 275; 133 I 168 E. 4.1 S. 170; 270 E. 3.4.2 S. 281; je mit Hinweisen).
3.8. Die weiteren Vorbringen (in der 22 Seiten umfassenden Beschwerdeschrift) haben, soweit sie den Gegenstand des angefochtenen Haftverlängerungsentscheides betreffen, keine über das bereits Dargelegte hinausgehende selbstständige Bedeutung.
4.
Die Beschwerde ist abzuweisen.
Die am 1. Mai 2019 eingereichte Beschwerdeschrift repetiert über weite Strecken Standpunkte, die im konnexen Bundesgerichtsurteil 1B 121/2019 vom 8. April 2019 bereits (ausdrücklich oder sinngemäss) verworfen wurden. Die Beschwerde erweist sich als zum Vornherein aussichtslos, weshalb das Gesuch des Beschwerdeführers um unentgeltliche Prozessführung und Rechtsverbeiständung abzuweisen ist (Art. 64
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Das vorliegende Urteil ist auch dem Zwangsmassnahmengericht des Kantons Glarus schriftlich mitzuteilen. Dieses wird eingeladen, der einschlägigen Praxis des kantonalen Obergerichtes und des Bundesgerichtes in Haftsachen Rechnung zu tragen.
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.
3.
Es werden keine Gerichtskosten erhoben.
4.
Dieses Urteil wird dem Beschwerdeführer sowie der Staatsanwaltschaft, dem Zwangsmassnahmengericht und dem Obergericht des Kantons Glarus schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 27. Mai 2019
Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Chaix
Der Gerichtsschreiber: Forster