Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
7B 79/2023
Arrêt du 27 février 2024
IIe Cour de droit pénal
Composition
MM. et Mme les Juges fédéraux Abrecht, Président,
Koch et Hofmann,
Greffier: M. Magnin.
Participants à la procédure
A.________,
c/o Association B.________,
recourant,
contre
Ministère public de la République et canton de Genève,
route de Chancy 6B, 1213 Petit-Lancy,
intimé.
Objet
Ordonnance de non-entrée en matière; droit d'être entendu,
recours contre l'arrêt rendu le 14 février 2023 par la Chambre pénale de recours de la Cour de justice de la République et canton de Genève (P/24517/2020 ACPR/115/2023).
Faits:
A.
Le 24 juin 2020, A.________ (ci-après: le plaignant) a déposé plainte contre les policiers qui avaient procédé, le 26 mars 2020, à son évacuation des locaux de la société Thérapea Sàrl - lieu dans lequel il exerçait son activité de médecin indépendant -, puis à son arrestation provisoire. Dans le cadre de l'arrestation, il avait été conduit menotté au poste de police, fouillé, selon lui de manière humiliante, et ses clés avaient été saisies. Il a notamment évoqué les infractions d'appropriation illégitime, de contrainte et d'abus d'autorité.
Par ordonnance du 16 avril 2021, le Ministère public de la République et canton de Genève (ci-après: le Ministère public) a refusé d'entrer en matière sur la plainte. Le 26 avril 2021, le plaignant a demandé au Ministère public de reconsidérer sa décision. Le 30 avril 2021, le Procureur général lui a répondu qu'il n'entendait pas réexaminer l'ordonnance de non-entrée en matière rendue. En dates des 7 et 14 mai 2021, le plaignant a recouru contre l'ordonnance de non-entrée en matière du 16 avril 2021, respectivement contre le refus du Procureur général du 30 avril 2021.
Par arrêt du 3 mars 2022 (ACPR 1), la Chambre pénale de recours de la Cour de justice de la République et canton de Genève
(ci-après: la Chambre pénale de recours) a rejeté le recours portant sur l'ordonnance de non-entrée en matière du 16 avril 2021, mais a annulé la décision du 30 avril 2021, dès lors que le Ministère public ne s'était pas prononcé sur les questions de la fouille du plaignant au poste de police et de l'envoi d'un rapport à l'Office cantonal de la population et des migrations du canton de Genève (ci-après: l'OCPM).
Par ordonnance du 19 septembre 2022, le Ministère public a refusé d'entrer en matière sur les faits restant litigieux.
B.
Le 30 septembre 2022, le plaignant a recouru contre cette ordonnance de non-entrée en matière. Il a indiqué que son adresse était la suivante: "c/o Association B.________, Rue C.________, à D.________". Il a en outre demandé la consultation du dossier.
Par avis du 26 janvier 2023, la direction de la procédure de l'autorité de recours a informé le plaignant que le dossier était à sa disposition pour consultation et l'a invité à bien vouloir prendre rendez-vous, au préalable, d'ici au 3 mars 2023. Cet avis a été envoyé, sous pli recommandé à l'attention du plaignant, d'une part à l'adresse précitée et d'autre part à l'adresse de son ancien avocat E.________. Le pli envoyé à l'adresse "Association B.________, Rue C.________, à D.________" a été retourné à l'expéditeur le 9 février 2023 avec la mention "non réclamé" (cf. dossier cantonal, pièce VIII).
Par arrêt du 14 février 2023 (ACPR/115/2023), notifié au plaignant le 10 mars 2023, la Chambre pénale de recours a rejeté le recours, dans la mesure de sa recevabilité.
C.
C.a. Par acte du 23 mars 2023, A.________ (ci-après: le recourant) forme un recours en matière pénale ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire contre l'arrêt du 14 février 2023 (ACPR/115/2023). Il conclut à son annulation et à ce que l'accès au dossier cantonal lui soit donné. Il demande, au regard de la "prévention générale de la justice genevoise contre sa personne", que ce soit le Tribunal fédéral qui juge sa cause sur le fond, le cas échéant que l'affaire soit attribuée à une autre juge que F.________ pour le cas où la cause devrait être renvoyée à la juridiction cantonale. Il requiert également l'assistance judiciaire pour la procédure devant le Tribunal fédéral. Il sollicite encore la production de dossiers connexes, à savoir le dossier pénal P 1, ainsi qu'un dossier des autorités de prud'hommes genevoises C 1. Sur son recours au Tribunal fédéral, le recourant a à nouveau mentionné l'adresse suivante: "c/o Association B.________, Rue C.________, à D.________".
C.b. Par avis recommandé du 29 mars 2023, le Tribunal fédéral a informé le recourant, en lien avec sa requête d'assistance judiciaire, qu'il ne lui désignait pas d'avocat d'office. Il l'a invité à contacter un avocat et a attiré son attention sur le fait qu'il ne pourrait compléter son recours que dans le respect du délai non prolongeable de trente jours suivant la notification de l'arrêt querellé. Le pli contenant ce courrier a été retourné à l'expéditeur avec la mention "non réclamé".
Par avis recommandé du 8 juin 2023, le Tribunal fédéral a informé le recourant qu'il serait statué ultérieurement sur la question de l'assistance judiciaire. Le pli contenant cet avis a été retourné à l'expéditeur avec la mention "non réclamé".
C.c. Le 21 avril 2023, la Chambre pénale de recours a transmis au Tribunal fédéral une copie de l'arrêt rendu le 20 avril 2023 (ACPR 2), par lequel elle a rejeté le recours déposé le 30 septembre 2022 par le recourant (acte 5). Le pli contenant cet arrêt a été envoyé à l'adresse indiquée par le recourant et a été retourné à l'expéditeur avec la mention "non réclamé" (cf. dossier cantonal, pièce XIII). Il ressort de cet arrêt que, le 2 mars 2023, le recourant avait demandé une prolongation du délai pour consulter le dossier et que, les 13, 15 et 16 mars 2023, il avait à nouveau demandé la consultation du dossier. Dans le cadre de son courrier du 13 mars 2023, il a mentionné la même adresse que celle figurant sur son recours (cf. dossier cantonal, pièce VIII). Selon l'arrêt du 21 avril 2023 (ACPR 2), la Chambre pénale de recours avait en outre indiqué que, par arrêt du 21 mars 2023 (ACPR 3), elle se rétractait concernant l'arrêt du 14 février 2023 (ACPR/115/2023) et qu'elle avait fixé au recourant un délai au 30 mars 2023 pour consulter le dossier de la procédure. Le pli contenant l'arrêt du 21 mars 2023 (ACPR 3) a été envoyé à l'adresse indiquée par le plaignant et a été retourné à l'expéditeur le 25 avril 2023, après une
prolongation du délai de garde, avec la mention "non réclamé" (cf. dossier cantonal, pièce IX).
Le 14 novembre 2023, la Chambre pénale de recours a formulé des observations et a informé le Tribunal fédéral qu'elle avait rendu les arrêts des 21 mars et 20 avril 2023 précités (acte 8).
Le 12 décembre 2023, l'autorité cantonale a produit le dossier de la cause.
Par avis du 29 janvier 2024, adressé sous pli simple et sous pli recommandé, le Tribunal fédéral a communiqué au recourant les observations formulées par la Chambre pénale de recours, ainsi que les actes 5 et 8, et lui a donné la possibilité, dans un délai au 12 février 2024, de s'exprimer à ce sujet. L'envoi a été retourné à l'expéditeur avec la mention "non réclamé".
Considérant en droit:
1.
Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence (art. 29 al. 1

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 29 Prüfung - 1 Das Bundesgericht prüft seine Zuständigkeit von Amtes wegen. |
|
1 | Das Bundesgericht prüft seine Zuständigkeit von Amtes wegen. |
2 | Bestehen Zweifel, ob das Bundesgericht oder eine andere Behörde zuständig ist, so führt das Gericht mit dieser Behörde einen Meinungsaustausch. |
1.1. Le présent recours - déposé en temps utile - est dirigé contre une décision finale (art. 90

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 90 Endentscheide - Die Beschwerde ist zulässig gegen Entscheide, die das Verfahren abschliessen. |

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 80 Vorinstanzen - 1 Die Beschwerde ist zulässig gegen Entscheide letzter kantonaler Instanzen und gegen Entscheide der Beschwerdekammer und der Berufungskammer des Bundesstrafgerichts.49 |
|
1 | Die Beschwerde ist zulässig gegen Entscheide letzter kantonaler Instanzen und gegen Entscheide der Beschwerdekammer und der Berufungskammer des Bundesstrafgerichts.49 |
2 | Die Kantone setzen als letzte kantonale Instanzen obere Gerichte ein. Diese entscheiden als Rechtsmittelinstanzen. Ausgenommen sind die Fälle, in denen nach der Strafprozessordnung (StPO)50 ein oberes Gericht oder ein Zwangsmassnahmengericht als einzige kantonale Instanz entscheidet.51 |

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 78 Grundsatz - 1 Das Bundesgericht beurteilt Beschwerden gegen Entscheide in Strafsachen. |
|
1 | Das Bundesgericht beurteilt Beschwerden gegen Entscheide in Strafsachen. |
2 | Der Beschwerde in Strafsachen unterliegen auch Entscheide über: |
a | Zivilansprüche, wenn diese zusammen mit der Strafsache zu behandeln sind; |
b | den Vollzug von Strafen und Massnahmen. |

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 113 Grundsatz - Das Bundesgericht beurteilt Verfassungsbeschwerden gegen Entscheide letzter kantonaler Instanzen, soweit keine Beschwerde nach den Artikeln 72-89 zulässig ist. |
1.2.
1.2.1. Selon l'art. 81 al. 1 let. a

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197456 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.57 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |

SR 220 Erste Abteilung: Allgemeine Bestimmungen Erster Titel: Die Entstehung der Obligationen Erster Abschnitt: Die Entstehung durch Vertrag OR Art. 41 - 1 Wer einem andern widerrechtlich Schaden zufügt, sei es mit Absicht, sei es aus Fahrlässigkeit, wird ihm zum Ersatze verpflichtet. |
|
1 | Wer einem andern widerrechtlich Schaden zufügt, sei es mit Absicht, sei es aus Fahrlässigkeit, wird ihm zum Ersatze verpflichtet. |
2 | Ebenso ist zum Ersatze verpflichtet, wer einem andern in einer gegen die guten Sitten verstossenden Weise absichtlich Schaden zufügt. |
1.2.2. En l'espèce, les faits restant litigieux, sur lesquels le Ministère public a refusé d'entrer en matière par ordonnance du 19 septembre 2022, sont reprochés à des policiers genevois, à savoir des fonctionnaires au sens de l'art. 18 al. 1 LPol/GE (loi cantonale genevoise du 9 septembre 2014 sur la police; RS/GE F 1 05), pour des actes effectués dans le cadre de leurs fonctions. Or, conformément à l'art. 2

SR 220 Erste Abteilung: Allgemeine Bestimmungen Erster Titel: Die Entstehung der Obligationen Erster Abschnitt: Die Entstehung durch Vertrag OR Art. 41 - 1 Wer einem andern widerrechtlich Schaden zufügt, sei es mit Absicht, sei es aus Fahrlässigkeit, wird ihm zum Ersatze verpflichtet. |
|
1 | Wer einem andern widerrechtlich Schaden zufügt, sei es mit Absicht, sei es aus Fahrlässigkeit, wird ihm zum Ersatze verpflichtet. |
2 | Ebenso ist zum Ersatze verpflichtet, wer einem andern in einer gegen die guten Sitten verstossenden Weise absichtlich Schaden zufügt. |

SR 220 Erste Abteilung: Allgemeine Bestimmungen Erster Titel: Die Entstehung der Obligationen Erster Abschnitt: Die Entstehung durch Vertrag OR Art. 61 - 1 Über die Pflicht von öffentlichen Beamten oder Angestellten, den Schaden, den sie in Ausübung ihrer amtlichen Verrichtungen verursachen, zu ersetzen oder Genugtuung zu leisten, können der Bund und die Kantone auf dem Wege der Gesetzgebung abweichende Bestimmungen aufstellen. |
|
1 | Über die Pflicht von öffentlichen Beamten oder Angestellten, den Schaden, den sie in Ausübung ihrer amtlichen Verrichtungen verursachen, zu ersetzen oder Genugtuung zu leisten, können der Bund und die Kantone auf dem Wege der Gesetzgebung abweichende Bestimmungen aufstellen. |
2 | Für gewerbliche Verrichtungen von öffentlichen Beamten oder Angestellten können jedoch die Bestimmungen dieses Abschnittes durch kantonale Gesetze nicht geändert werden. |
d'agents de l'Etat ne constituent pas des prétentions civiles au sens de l'art. 81 al. 1 let. a

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197456 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.57 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
|
1 | Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
1bis | Wurde in einer Zivilsache das Verfahren vor der Vorinstanz in englischer Sprache geführt, so können Rechtsschriften in dieser Sprache abgefasst werden.14 |
2 | In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 15 16 |
3 | Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen. |
4 | Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201617 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement: |
a | das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen; |
b | die Art und Weise der Übermittlung; |
c | die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.18 |
5 | Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt. |
6 | Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden. |
7 | Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig. |

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197456 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.57 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |
Il s'ensuit notamment qu'il n'y a pas lieu de donner suite aux conclusions du recourant tendant à ce que la cause soit gardée à juger par le Tribunal fédéral, le cas échéant renvoyée à l'autorité cantonale pour nouveau jugement, et tendant à la production de dossiers connexes.
1.3. Indépendamment des conditions posées par l'art. 81 al. 1

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197456 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.57 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |
En l'espèce, le recourant invoque une violation de son droit d'être entendu et prend à cet égard une conclusion tendant à l'annulation de l'arrêt du 14 février 2023 (ACPR/115/2023). Il reproche à la cour cantonale d'avoir rendu l'arrêt précité avant qu'il ait pu consulter le dossier, alors même que cette autorité lui avait fixé un délai jusqu'au 3 mars 2023 pour ce faire. Le recourant est donc habilité, dans cette mesure, à s'en plaindre devant le Tribunal fédéral.
1.4. L'arrêt rendu le 20 avril 2023 (ACPR 2) et les faits qu'il contient constituent des faits nouveaux recevables au regard de
l'art. 99 al. 1

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 99 - 1 Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt. |
|
1 | Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt. |
2 | Neue Begehren sind unzulässig. |
2.
2.1. Le recourant invoque une violation de son droit d'être entendu et du principe de la bonne foi. Il expose que la cour cantonale lui a fixé un délai au 3 mars 2023 pour consulter le dossier de la cause, mais qu'elle a toutefois rendu son arrêt le 14 février 2023, à savoir avant l'échéance de ce délai, et qu'il n'avait, à cette date, pas encore exercé son droit d'accès au dossier.
2.2.
2.2.1. Le droit d'être entendu garanti par l'art. 29 al. 2

SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29 Allgemeine Verfahrensgarantien - 1 Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
|
1 | Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
2 | Die Parteien haben Anspruch auf rechtliches Gehör. |
3 | Jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, hat Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand. |
consid. 3.2; arrêt 1C 388/2022 du 28 avril 2023 consid. 3.1). Le droit d'être entendu est une garantie de nature formelle, dont la violation entraîne en principe l'annulation de la décision attaquée, indépendamment des chances de succès du recours sur le fond (ATF 144 IV 302 consid. 3.1 et les références citées).
2.2.2. Aux termes de l'art. 5 al. 3

SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 5 Grundsätze rechtsstaatlichen Handelns - 1 Grundlage und Schranke staatlichen Handelns ist das Recht. |
|
1 | Grundlage und Schranke staatlichen Handelns ist das Recht. |
2 | Staatliches Handeln muss im öffentlichen Interesse liegen und verhältnismässig sein. |
3 | Staatliche Organe und Private handeln nach Treu und Glauben. |
4 | Bund und Kantone beachten das Völkerrecht. |

SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 9 Schutz vor Willkür und Wahrung von Treu und Glauben - Jede Person hat Anspruch darauf, von den staatlichen Organen ohne Willkür und nach Treu und Glauben behandelt zu werden. |
consid. 8.3.1 et les références citées; arrêt 6B 1246/2022 du
11 octobre 2023 consid. 7.1). On déduit en particulier du principe de la bonne foi l'interdiction des comportements contradictoires, celui-ci concernant en particulier les autorités pénales (arrêt 6B 1067/2018 du 23 novembre 2018 consid. 1.1 et l'arrêt cité).
2.3. En l'espèce, par avis du 26 janvier 2023, la direction de la procédure de l'autorité cantonale a informé le recourant qu'il avait la possibilité de consulter le dossier et qu'il devait au préalable prendre rendez-vous d'ici au 3 mars 2023. Elle lui a dès lors fixé un délai jusqu'à cette date pour venir consulter le dossier. Le pli contenant l'avis du
26 janvier 2023 qui a été envoyé à l'adresse que le recourant avait communiquée ayant été retourné à la cour cantonale avec la mention "non réclamé", cette dernière n'a pas attendu l'échéance du délai précité et a rendu l'arrêt querellé le 14 février 2023 (ACPR/115/2023). Cependant, le 26 janvier 2023, elle avait également adressé son avis à l'ancien avocat du recourant. Or, cet avocat lui a, selon les explications figurant dans son recours au Tribunal fédéral, signifié l'existence du délai au 3 mars 2023. Le 2 mars 2023, le recourant s'est alors présenté au greffe de la Chambre pénale de recours et a demandé une prolongation du délai précité (cf. dossier cantonal, pièce VIII).
Il résulte des éléments qui précèdent que l'autorité cantonale a, d'une part, contrevenu au principe de la bonne foi et n'a, d'autre part, pas respecté le droit d'être entendu du recourant. La cour cantonale a en effet adopté un comportement contradictoire à l'égard du recourant, puisqu'elle lui a fixé un délai pour consulter le dossier, mais a rendu son arrêt avant l'échéance de celui-ci. En agissant ainsi, elle a privé le recourant de l'accès au dossier, alors que celui-ci l'avait expressément demandé à l'appui de son recours cantonal. Cela ne conduit toutefois pas pour autant à l'admission du recours, pour les motifs exposés
ci-après.
3.
3.1. Selon l'art. 81 al. 1

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
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1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197456 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.57 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |
Le recourant doit avoir un intérêt actuel et pratique au recours
(ATF 144 IV 81 consid. 2.3.1; 140 IV 74 consid. 1.3.1), respectivement à l'examen des grief soulevés (arrêt 7B 171/2023 du 6 novembre 2023 consid. 2.1 et les arrêts cités). Cet intérêt doit exister tant au moment du dépôt du recours qu'à celui où l'arrêt est rendu (ATF 142 I 135 consid. 1.3.1; 139 I 206 consid. 1.1; arrêt 7B 171/2023 du 6 novembre 2023 consid. 2.1 et l'arrêt cité). Un intérêt général ou de fait est insuffisant (ATF 147 IV 2 consid. 1.3). La simple perspective d'un intérêt juridique futur ne suffit pas non plus (ATF 144 IV 81 consid. 2.3.1). L'intérêt actuel est déterminé en fonction du but poursuivi par le recours et des conséquences, ainsi que de la portée d'une éventuelle admission de celui-ci (ATF 131 I 153 consid. 1.2; 118 Ia 488 consid. 2a). Il fait défaut en particulier lorsque la décision attaquée a été exécutée ou est devenue sans objet (ATF 125 II 86 consid. 5b) ou encore lorsque l'admission du recours ne permettrait pas la réparation du préjudice subi (ATF 127 III 41 consid. 2b; arrêt 7B 171/2023 du 6 novembre 2023 consid. 2.1 et l'arrêt cité). Par souci d'économie de procédure, cette exigence vise à garantir que le Tribunal fédéral se prononce sur des questions concrètes et non pas théoriques (ATF 140
IV 74
consid. 1.3.1; arrêt 7B 171/2023 du 6 novembre 2023 consid. 2.1 et l'arrêt cité).
Le Tribunal fédéral n'entre pas en matière sur le recours et le déclare irrecevable lorsque l'intérêt au recours fait défaut au moment du dépôt de celui-ci; en revanche, si cet intérêt disparaît en cours de procédure, le recours est déclaré sans objet et la cause est rayée du rôle
(ATF 142 I 135 consid. 1.3.1; arrêts 7B 171/2023 du 6 novembre 2023 consid. 2.1; 7B 317/2023 du 21 septembre 2023 consid. 2).
3.2. Le 21 mars 2023, la juridiction cantonale a rendu un arrêt
(ACPR 3), par lequel elle a indiqué qu'elle annulait l'arrêt du 14 février 2023 (ACPR/115/2023) et a imparti un délai au recourant pour consulter le dossier. Ensuite, le 20 avril 2023, elle a rendu un nouvel arrêt (ACPR 2) portant sur le même objet que l'arrêt présentement querellé (ACPR/115/2023). Cependant, le recourant n'a pas contesté par un recours au Tribunal fédéral les arrêts des 21 mars et 20 avril 2023 (ACPR 3 et ACPR 2), qui ne forment pas l'objet du présent litige et dont la cour de céans n'a pas la possibilité d'examiner le bien-fondé et la validité. Or, par les arrêts précités, et en donnant au recourant la possibilité de consulter le dossier, l'autorité cantonale a, comme on l'a vu, réparé la violation du droit d'être entendu de l'intéressé, si bien que celui-ci n'a plus d'intérêt actuel et pratique à l'examen de son recours au Tribunal fédéral, respectivement à l'annulation de l'arrêt querellé. Ainsi, le recours doit être déclaré sans objet et la cause rayée du rôle.
3.3. Enfin, au vu des éléments qui précèdent, la conclusion du recourant tendant à ce qu'en cas de renvoi, la cause soit attribuée à un autre juge que celui qui a rendu l'arrêt du 14 février 2023 (ACPR/115/2023) tombe à faux. En tout état de cause, il n'appartient pas au Tribunal fédéral de se prononcer en tant qu'instance unique sur une problématique de récusation.
4.
Vu les motifs qui précèdent (cf. consid. 2.3 supra), il ne sera pas perçu de frais judiciaires (art. 66 al. 4

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 66 Erhebung und Verteilung der Gerichtskosten - 1 Die Gerichtskosten werden in der Regel der unterliegenden Partei auferlegt. Wenn die Umstände es rechtfertigen, kann das Bundesgericht die Kosten anders verteilen oder darauf verzichten, Kosten zu erheben. |
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1 | Die Gerichtskosten werden in der Regel der unterliegenden Partei auferlegt. Wenn die Umstände es rechtfertigen, kann das Bundesgericht die Kosten anders verteilen oder darauf verzichten, Kosten zu erheben. |
2 | Wird ein Fall durch Abstandserklärung oder Vergleich erledigt, so kann auf die Erhebung von Gerichtskosten ganz oder teilweise verzichtet werden. |
3 | Unnötige Kosten hat zu bezahlen, wer sie verursacht. |
4 | Dem Bund, den Kantonen und den Gemeinden sowie mit öffentlich-rechtlichen Aufgaben betrauten Organisationen dürfen in der Regel keine Gerichtskosten auferlegt werden, wenn sie in ihrem amtlichen Wirkungskreis, ohne dass es sich um ihr Vermögensinteresse handelt, das Bundesgericht in Anspruch nehmen oder wenn gegen ihre Entscheide in solchen Angelegenheiten Beschwerde geführt worden ist. |
5 | Mehrere Personen haben die ihnen gemeinsam auferlegten Gerichtskosten, wenn nichts anderes bestimmt ist, zu gleichen Teilen und unter solidarischer Haftung zu tragen. |
al. 1

SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 68 Parteientschädigung - 1 Das Bundesgericht bestimmt im Urteil, ob und in welchem Mass die Kosten der obsiegenden Partei von der unterliegenden zu ersetzen sind. |
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1 | Das Bundesgericht bestimmt im Urteil, ob und in welchem Mass die Kosten der obsiegenden Partei von der unterliegenden zu ersetzen sind. |
2 | Die unterliegende Partei wird in der Regel verpflichtet, der obsiegenden Partei nach Massgabe des Tarifs des Bundesgerichts alle durch den Rechtsstreit verursachten notwendigen Kosten zu ersetzen. |
3 | Bund, Kantonen und Gemeinden sowie mit öffentlich-rechtlichen Aufgaben betrauten Organisationen wird in der Regel keine Parteientschädigung zugesprochen, wenn sie in ihrem amtlichen Wirkungskreis obsiegen. |
4 | Artikel 66 Absätze 3 und 5 ist sinngemäss anwendbar. |
5 | Der Entscheid der Vorinstanz über die Parteientschädigung wird vom Bundesgericht je nach Ausgang des Verfahrens bestätigt, aufgehoben oder geändert. Dabei kann das Gericht die Entschädigung nach Massgabe des anwendbaren eidgenössischen oder kantonalen Tarifs selbst festsetzen oder die Festsetzung der Vorinstanz übertragen. |
Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce:
1.
Le recours constitutionnel subsidiaire est irrecevable.
2.
Le recours en matière pénale est sans objet et la cause 7B 79/2023 est rayée du rôle.
3.
La demande d'assistance judiciaire est sans objet.
4.
Il n'est pas perçu de frais judiciaires.
5.
Le présent arrêt est communiqué aux parties et à la Chambre pénale de recours de la Cour de justice de la République et canton de Genève.
Lausanne, le 27 février 2024
Au nom de la IIe Cour de droit pénal
du Tribunal fédéral suisse
Le Président: Abrecht
Le Greffier: Magnin