Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
9C 16/2012
Urteil vom 27. Februar 2012
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter U. Meyer, Präsident,
Bundesrichter Kernen, Bundesrichterin Glanzmann,
Gerichtsschreiberin Bollinger Hammerle.
Verfahrensbeteiligte
E.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Dr. Elisabeth Glättli,
Beschwerdeführer,
gegen
Pensionskasse der UBS, Stauffacherquai 46, 8004 Zürich, vertreten durch Rechtsanwalt
Dr. Kurt C. Schweizer,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Berufliche Vorsorge,
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 31. Oktober 2011.
Sachverhalt:
A.
A.a E.________, geboren 1966, arbeitete zunächst im Baugewerbe, bevor er wegen Beschwerden nach unfallbedingten Knieverletzungen vorübergehend als Monteur tätig und von Januar 1989 bis Mitte 1994 bei der damaligen Schweizerischen Bankgesellschaft (SBG) angestellt war, vorerst als Operator, später als System Controller. Am 8. Februar 1993 erlitt E.________ bei einem Autounfall multiple Prellungen sowie eine Distorsion der Halswirbelsäule (HWS). Wegen der durch die Kniebeschwerden bewirkten Einschränkungen gewährte die damals zuständig gewesene IV-Kommission des Kantons Aargau berufliche Massnahmen, insbesondere Umschulung, zunächst zum Techniker/Wirtschaftsinformatiker (Verfügung vom 16. August 1993). Im Jahre 1996 erlangte E.________ ein Büro- und Handelsdiplom, 1997 bestand er eine schulinterne Technikerprüfung. An der eidgenössischen Berufsprüfung Technischer Kaufmann scheiterte er. Ab April 1998 bezog E.________ Leistungen der Arbeitslosenversicherung, ab Dezember 1998 war er auf der Verwaltung der Gemeinde X.________ angestellt. Am 1. Mai 1999 nahm er eine Tätigkeit als Sachbearbeiter im Spital Z.________ auf (Beschäftigungsgrade: 70 % vom 1. Mai 1999 bis 31. März 2000, 50 % vom 1. April 2000 bis 30. Juni 2001, 60 % vom 1.
Juli bis 31. Oktober 2001; Bestätigung vom 30. April 2002) und wechselte im Oktober 2001 zu einem Logistikunternehmen (Arbeitspensum: 60 %). Nachdem ärztlicherseits ab Mai 2002 eine vollständige Arbeitsunfähigkeit bescheinigt worden war, meldete sich E.________ im Juli 2002 bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich sprach ihm mit Verfügungen vom 11. November 2003 ab 1. Juli bis 30. September 2001 eine halbe Rente, ab 1. Oktober 2001 eine Viertelsrente sowie ab 1. August 2002 eine ganze Rente zu.
A.b In der Folge ersuchte E.________ die Beamtenversicherungskasse des Kantons Zürich (BVK), bei der er während seiner Anstellung auf der Gemeindeverwaltung X.________ berufsvorsorgeversichert gewesen war, um Zusprechung einer Invalidenrente. Diese verneinte ihre Leistungspflicht. Eine hiegegen erhobene Beschwerde des E.________ wies das Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich mit Entscheid vom 27. Oktober 2008 ab, das Bundesgericht bestätigte diesen Entscheid mit Urteil 9C 1017/2008 vom 5. Juni 2009.
A.c Am 18. Dezember 2009 ersuchte E.________ die (heutige) Pensionskasse der UBS um Zusprechung einer Invalidenrente, was diese am 23. Dezember 2009 ablehnte.
B.
Die gegen die Pensionskasse der UBS erhobene Klage des E.________ wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 31. Oktober 2011 ab.
C.
E.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides die Verpflichtung der Pensionskasse zur Erbringung der reglementarisch geschuldeten Invalidenleistungen beantragen.
Erwägungen:
1.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
2.
Streitig und zu prüfen ist, ob der Beschwerdeführer Anspruch auf eine Rente der Beschwerdegegnerin hat.
2.1 Nach den zutreffenden Erwägungen der Vorinstanz setzt die obligatorische Leistungspflicht der Beschwerdegegnerin den Eintritt einer mit der späteren Invalidität zeitlich wie sachlich eng zusammenhängenden Arbeitsunfähigkeit während des Vorsorgeverhältnisses voraus (Versicherungsprinzip; siehe Art. 23
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 23 Droit aux prestations - Ont droit à des prestations d'invalidité les personnes qui: |
|
a | sont invalides à raison de 40 % au moins au sens de l'AI, et qui étaient assurées lorsqu'est survenue l'incapacité de travail dont la cause est à l'origine de l'invalidité; |
b | à la suite d'une infirmité congénitale, étaient atteintes d'une incapacité de travail comprise entre 20 et 40 % au début de l'activité lucrative et qui étaient assurées lorsque l'incapacité de travail dont la cause est à l'origine de l'invalidité s'est aggravée pour atteindre 40 % au moins; |
c | étant devenues invalides avant leur majorité (art. 8, al. 2, LPGA68), étaient atteintes d'une incapacité de travail comprise entre 20 et 40 % au début de l'activité lucrative et qui étaient assurées lorsque l'incapacité de travail dont la cause est à l'origine de l'invalidité s'est aggravée pour atteindre 40 % au moins. |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 23 Droit aux prestations - Ont droit à des prestations d'invalidité les personnes qui: |
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a | sont invalides à raison de 40 % au moins au sens de l'AI, et qui étaient assurées lorsqu'est survenue l'incapacité de travail dont la cause est à l'origine de l'invalidité; |
b | à la suite d'une infirmité congénitale, étaient atteintes d'une incapacité de travail comprise entre 20 et 40 % au début de l'activité lucrative et qui étaient assurées lorsque l'incapacité de travail dont la cause est à l'origine de l'invalidité s'est aggravée pour atteindre 40 % au moins; |
c | étant devenues invalides avant leur majorité (art. 8, al. 2, LPGA68), étaient atteintes d'une incapacité de travail comprise entre 20 et 40 % au début de l'activité lucrative et qui étaient assurées lorsque l'incapacité de travail dont la cause est à l'origine de l'invalidité s'est aggravée pour atteindre 40 % au moins. |
2.2 Die auf der Würdigung konkreter Umstände beruhende Feststellung des Zeitpunktes des Eintritts der Arbeitsunfähigkeit, deren Ursache zur Invalidität geführt hat (vgl. E. 2.1 hievor), ist tatsächlicher Natur und somit letztinstanzlich nur im gesetzlichen Rahmen von Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.
Die Leistungspflicht der Beschwerdegegnerin hängt davon ab, ob vor der Beendigung des Vorsorgeverhältnisses (unter Berücksichtigung der einmonatigen Nachdeckungsfrist gemäss Art. 10 Abs. 3
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 10 Début et fin de l'assurance obligatoire - 1 L'assurance obligatoire commence en même temps que les rapports de travail; pour les bénéficiaires d'indemnités journalières de l'assurance-chômage, elle commence le jour où ils perçoivent pour la première fois une indemnité de chômage.22 |
|
1 | L'assurance obligatoire commence en même temps que les rapports de travail; pour les bénéficiaires d'indemnités journalières de l'assurance-chômage, elle commence le jour où ils perçoivent pour la première fois une indemnité de chômage.22 |
2 | L'obligation d'être assuré cesse, sous réserve de l'art. 8, al. 3: |
a | à l'âge de référence23 (art. 13); |
b | en cas de dissolution des rapports de travail; |
c | lorsque le salaire minimum n'est plus atteint; |
d | lorsque le droit aux indemnités journalières de l'assurance-chômage s'éteint. |
3 | Durant un mois après la fin des rapports avec l'institution de prévoyance, le salarié demeure assuré auprès de l'ancienne institution de prévoyance pour les risques de décès et d'invalidité.25 Si un rapport de prévoyance existait auparavant, c'est la nouvelle institution de prévoyance qui est compétente.26 |
3.1 Die Vorinstanz stellte fest, der Versicherte habe während seiner Anstellung bei der SBG den vollen Lohn erhalten. Es sei zu folgenden vorübergehenden gesundheitlich bedingten Absenzen gekommen: Vom 14. bis 18. Juli 1991 (stationärer Aufenthalt im Spital L.________), vom 16. Oktober bis 8. November 1991 (stationärer Aufenthalt im Spital P.________), vom 20. bis 22. November 1991 sowie vom 16. April bis 3. Mai 1992 (vollständige Arbeitsunfähigkeit), vom 6. bis 9. Mai 1992 (50 %ige Arbeitsunfähigkeit), vom 27. Mai bis 5. Juli 1992 (100 %ige Arbeitsunfähigkeit), vom 8. bis 17. Februar 1993 (infolge eines am 8. Februar 1993 erlittenen Unfalles), vom 2. bis 6. und vom 9. bis 13. August 1993 (50 %ige Arbeitsunfähigkeit [aus unbekannten Gründen]), vom 9. Dezember 1993 bis 16. Januar 1994 (stationärer Aufenthalt im Spital P.________), vom 14. Februar bis 13. Mai 1994 bzw. "bis auf Weiteres" 30 %ige Arbeitsunfähigkeit, vom 2. Juni bis 3. Juli 1994 (Knieoperation). Wegen der lumbalen Rückenbeschwerden sei der Versicherte demnach in den Jahren 1991 bis 1993 während jeweils dreieinhalb bis viereinhalb Wochen arbeitsunfähig gewesen. 1994 habe er trotz ärztlich attestierter Teilarbeitsunfähigkeit abgesehen von der Absenz wegen einer
Knieoperation voll gearbeitet. Wegen der Rückenproblematik sei in der Folge erst anfangs 1998 wieder eine Arbeitsunfähigkeit bescheinigt worden. Wenn der während rund dreier Jahre absolvierte Schulbesuch auch nicht auf eine vollständige Arbeitsfähigkeit während dieser Zeit schliessen lasse, belegten die ärztlichen Atteste jedenfalls keine seit dem Ende des Vorsorgeverhältnisses bei der Beschwerdegegnerin andauernde mindestens 20 %ige Arbeitsunfähigkeit. Die übrigen Akten, namentlich jene der Unfallversicherung, liessen darauf schliessen, dass die häufigen Absenzen (Arztbesuche, Physiotherapie) und die geklagten Beeinträchtigungen zum grössten Teil auf die Knieproblematik zurückzuführen gewesen seien. Es erscheine daher nicht überwiegend wahrscheinlich, dass die der Invalidität zu Grunde liegende Arbeitsunfähigkeit während der Dauer des Vorsorgeschutzes bei der Beschwerdegegnerin eingetreten sei und in der Folge ohne erheblichen Unterbruch angedauert habe.
3.2
Der Beschwerdeführer rügt, die vorinstanzliche Verneinung der vorausgesetzten Arbeitsunfähigkeit während der Dauer des Vorsorgeschutzes bei der Beschwerdegegnerin sei offensichtlich unrichtig. Die Feststellungen, wonach es während seines Anstellungsverhältnisses bei der Beschwerdegegnerin "lediglich vorübergehend zu Absenzen gekommen" sei, sei aktenwidrig und willkürlich. Das kantonale Gericht zähle nur die Klinikaufenthalte auf, lasse aber die Abwesenheiten wegen rückenbedingten Therapien, Behandlungen und medizinischen Untersuchungen ausser Acht, wie auch die sonstigen Leistungseinbussen infolge der Rückenbeschwerden. In den Jahren 1991 bis 1994 habe nie eine mehr als drei Monate dauernde vollständige Arbeitsfähigkeit oder Beschwerdefreiheit bestanden. Die letzte Arbeitsunfähigkeit habe vom 9. Dezember 1993 bis 13. Mai 1994 und damit mehr als sechs Monate gedauert. Demzufolge sei während der Zeit des Vorsorgeschutzes eine massgebliche und erhebliche Einbusse an funktionellem Leistungsvermögen wegen der Rückenbeschwerden eingetreten. Auch ab Mai 1994 habe keine volle Arbeitsfähigkeit bestanden, er sei Anfang Juni 1994 erneut wegen Rückenbeschwerden untersucht worden, vom 20. Juni bis 3. Juli 1994 sei er wegen einer
Kreuzbandrekonstruktion arbeitsunfähig gewesen. Die massgeblichen Einschränkungen in der Zeit des Vorsorgeschutzes bei der Beschwerdegegnerin seien klar auf das Rückenleiden zurückzuführen, auch wenn zusätzlich von Seiten des Knieleidens ebenfalls keine Beschwerdefreiheit bestanden habe. Die Arbeitsausfälle seien mit Ausnahme der erwähnten Kreuzbandoperation im Sommer 1994 ausschliesslich rückenbedingt gewesen. Willkürlich habe die Vorinstanz zudem die Bestätigung des damaligen Vorgesetzten ausser Acht gelassen.
Was den zeitlichen Zusammenhang betreffe, habe die Vorinstanz im Entscheid vom 27. Oktober 2008 (betreffend Ansprüche gegenüber der BVK) eine Arbeitsfähigkeit klar verneint; auch das Bundesgericht habe diesbezüglich eine Unterbrechung des zeitlichen Zusammenhangs durch die 100 %ige Vermittlungsfähigkeit verneint und festgehalten, die invalidisierenden Rückenbeschwerden seien 1991 eingetreten, seither leide der Versicherte dauernd an Rückenschmerzen. Im angefochtenen Entscheid werde aber nicht näher begründet, weshalb zwar nicht auf eine vollständige Arbeitsfähigkeit, aber auch nicht auf einer 20 %ige Arbeitsunfähigkeit zu schliessen sei. Die diesbezüglichen Feststellungen der Vorinstanz seien willkürlich. Weder die Ausbildungszeit, welche mit einer Erwerbstätigkeit nicht verglichen werden könne, noch die von der Arbeitslosenversicherung anerkannte volle Vermittlungsfähigkeit vermöchten den zeitlichen Zusammenhang zu unterbrechen. Es müsse daher als erwiesen betrachtet werden, dass eine dauerhafte Eingliederung nach dem Ende des Arbeitsverhältnisses bei der SBG im Sommer 1994 nicht möglich gewesen sei.
Der sachliche Zusammenhang zwischen den damaligen Rückenbeschwerden und der nun eingetretenen Invalidität sei ebenfalls zu bejahen. Seit dem Jahre 1999 habe er seine Tätigkeit wegen der Rückenbeschwerden reduziert und nie mehr als 60 % gearbeitet, es sei auch die Rückenproblematik gewesen, welche ab Mai 2002 zu einer vollständigen Arbeitsunfähigkeit geführt habe und nicht die Kniebeschwerden (für welche nie eine Rente gesprochen worden sei), auch nicht die psychischen Beschwerden, welche höchstens zusätzlich zur Rückenproblematik eine Invalidisierung bewirkten.
4.
Entscheidend ist, ob die vorinstanzliche Feststellung, wonach die 1990 aufgetretenen Rückenbeschwerden keine anspruchsrelevante, mit der späteren Invalidität in hinreichend engem sachlichen und zeitlichen Zusammenhang stehende Arbeitsunfähigkeit bewirkte, vertretbar ist oder ob sie als mangelhaft im Sinne von Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
5.
5.1 Nach Lage der Akten klagte der Beschwerdeführer erstmals im Dezember 1990 über zunehmend ausstrahlende lumbale Schmerzen (Eintrag in der Krankengeschichte vom 15. Juli 1991); die Ärzte diagnostizierten ein chronisches lumbospondylogenes Syndrom bei Chondrose L4/5 mit computertomographisch nachgewiesener medialer Diskushernie L4/5 und rezidivierenden ISG-Blockaden rechts (Schreiben der Klinik S.________ vom 12. August 1992). Vom 16. Oktober bis 8. November 1991 fand eine stationäre Behandlung im Spital P.________ statt (Schreiben der Klinik S.________ vom 13. November 1991). Während den folgenden drei Jahren führte das Schmerzsyndrom zu tageweisen Arbeitsausfällen (Bericht des Dr. med. B.________ vom 21. Oktober 1992) und war unter wiederholter ambulanter Physiotherapie und medikamentöser Behandlung von wechselnder Intensität (Austrittsbericht des Spitals P.________ vom 18. Januar 1994). Der Versicherte selbst gab an, er sei durch die bis dahin "nicht stabilisierten" Knieprobleme beeinträchtigt (Schreiben vom 13. April 1993). Vom 9. Dezember 1993 bis 13. Januar 1994 fand (mit Unterbruch vom 24. Dezember 1993 bis 3. Januar 1994) eine stationäre Behandlung im Spital P.________ statt (vgl. den bereits zitierten Austrittsbericht
vom 18. Januar 1994). Danach waren die Rückenschmerzen infolge der Trainingstherapie "deutlich regredient" und nahmen (erst) - bei vermehrter schulischer Belastung bzw. dem deswegen vernachlässigten Training (vgl. Verlaufsprotokoll; Angaben im Erstgespräch vom 3. Juli 1998) - Ende 1997 wieder deutlich zu. Diesen Verlauf bestätigte der Beschwerdeführer im Übrigen auch im Verfahren gegen die BVK, wo er vorbrachte, nach dem Unfall im Jahre 1984 während Jahren beschwerdefrei gewesen zu sein; erst im Jahre sei es 1998 - vorübergehend - wieder zu einer vollständigen Arbeitsunfähigkeit gekommen (vgl. Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 27. Oktober 2008). Hinsichtlich der nachfolgenden Zeitspanne sah das Bundesgericht im Urteil 9C 1017/2008 - unter dem Blickwinkel von Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
5.2 Es steht somit fest, dass die Rückenbeschwerden während des Anstellungsverhältnisses bei der SBG, nebst der Knieproblematik, zu wiederholten Arbeitsausfällen führten, namentlich aufgrund stationärer Behandlungen. Auch erscheint plausibel, dass der Versicherte zusätzlich wegen ambulanter Therapien und Arztbesuchen stundenweise nicht arbeiten sowie gewisse rückenbelastende Arbeiten nicht ausführen konnte. Nicht relevant für eine leistungsbegründende, arbeitsrechtlich in Erscheinung getretene Arbeitsunfähigkeit ist - entgegen den Vorbringen in der Beschwerde - die fehlende Beschwerdefreiheit und der Umstand, dass eine ärztliche Behandlung erfolgte.
5.3
5.3.1 Selbst wenn eine rückenbedingte mindestens 20%ige Arbeitsunfähigkeit vor Beendigung des Arbeitsverhältnisses mit der SBG bzw. der 30-tägigen Nachdeckungsfrist arbeitsrechtlich in Erscheinung getreten wäre - was offen bleiben kann -, verstösst die vorinstanzliche Beweiswürdigung, wie nachfolgend gezeigt wird, nicht gegen Bundesrecht, welche das kantonale Gericht zum Schluss führte, nach Beendigung des Vorsorgeschutzes bei der Beschwerdegegnerin fehle es an einer dauerhaften rückenbedingten Arbeitsunfähigkeit von mindestens 20 %.
5.3.2 Nach dem Ausscheiden des Versicherten aus der SBG verlief die Rückenproblematik wechselhaft und war zumindest zeitweilig deutlich regredient mit längeren beschwerdefreien Intervallen. Erschwerend für die Beurteilung der Folgezeit ist, dass der Versicherte zwischen 1994 und 1998 keine neue Arbeitsstelle antrat, sondern Umschulungen absolvierte. Zum einen stellt der Schulbesuch andere Anforderungen an die (körperliche) Belastbarkeit als eine Arbeitstätigkeit, zum anderen traten die Limitierungen nicht - durch Lohneinbusse - arbeitsrechtlich in Erscheinung. Fest steht, dass sich die Absenzen des Beschwerdeführers während seiner Umschulungen in Grenzen hielten. So führte der Schulleiter der Schule V.________ am 15. Januar 1995 aus, der Versicherte habe im ersten Semester "das volle Programm" der Handelsklasse absolviert, das lange Sitzen habe ihm "manchmal" Schmerzen beschert. Gemäss Zeugnis der Handelsschule V.________ waren im 1. Semester des Schuljahres 1996 24 Halbtage an Absenzen zu verzeichnen, im 2. Semester 12 Halbtage. Daraus kann - wie soeben dargelegt - nicht ohne Weiteres auf eine mindestens 80 %ige Arbeitsfähigkeit geschlossen werden. Gleiches gilt für die von der Arbeitslosenversicherung zeitweilig anerkannte volle
Vermittlungsfähigkeit. Wenn der Versicherte aber bis zur - erneuten - aktenkundigen Exazerbation der Rückenproblematik Ende 1997 ohne stark gehäufte Absenzen die Schulen besuchen konnte, spricht dies immerhin - übereinstimmend mit seinen eigenen Schilderungen (E. 5.1 hievor) - gegen eine deutliche Limitierung durch die Rückenbeschwerden.
5.3.3 Grosses Gewicht kommt bei der vorliegenden Konstellation der echtzeitlichen medizinisch-theoretischen Arbeitsfähigkeitseinschätzung zu. Diesbezüglich finden sich in den Akten namentlich folgende Beurteilungen: Am 26. Januar 1994 hielt Dr. med. B.________ zuhanden der Unfallversicherung fest, beim Versicherten bestehe ein Status nach Kniebinnenläsion/Chondropathie und eine mediale Diskushernie L4/L5. Nach Abschluss der stationären Behandlung habe sich die Rückenproblematik stabilisiert, es bestünden noch Restbeschwerden im Bereich des Knies und des Beins, die sich nicht klar einer Ischialgie zuordnen liessen. Derzeit werde mit gutem Erfolg eine Akupunkturbehandlung durchgeführt; es bestehe keine Arbeitsunfähigkeit. Gemäss Zeugnis des Dr. med. N.________ vom 11. Februar 1993 (recte wohl: 1994) und der Ärzte an der Klinik S.________ vom 27. April 1994 bestand eine 50 %ige Arbeitsfähigkeit vom 17. Januar bis 13. Februar 1994 sowie eine 30 %ige Arbeitsunfähigkeit ab 14. Februar 1994 bis 13. Mai 1994. Dr. med. U.________, Allgemeine Medizin FMH, schliesslich hielt am 20. Oktober 1997 fest, betreffend das linke Knie sei der Versicherte beschwerdefrei, ebenso hinsichtlich eines sturzbedingten linksseitigen lumboradikulären
Reizsyndroms, das vom 20. bis 27. Juni 1997 eine vollständige Arbeitsunfähigkeit bewirkt habe. Die Wiederaufnahme der Arbeit zu 100 % sei am 28. Juni 1997 erfolgt. Eine mindestens 20 %ige Arbeitsunfähigkeit ohne wesentlichen Unterbruch kann den ärztlichen Beurteilungen damit nicht entnommen werden.
5.3.4 Zusammenfassend litt der Versicherte seit 1990 in wechselnder Intensität an Rückenschmerzen, ohne dass eine dauerhafte Arbeitsunfähigkeit zwischen 1994 und Ende 1997 durch echtzeitliche Aufzeichnungen überwiegend wahrscheinlich dargetan wäre. Auch in der Beschwerde wird nichts vorgebracht, was eine andere Beurteilung wahrscheinlicher erscheinen liesse. Der Versicherte beruft sich bezüglich seiner Beschwerden während der Umschulungszeit auf Arztberichte aus den Jahren 2002 und 2003, welche - retrospektiv - fehlende Beschwerdefreiheit attestierten. Dass keine Beschwerdefreiheit bestand, ist unbestritten, kann aber - wie dargelegt - nicht mit einer mindestens 20 %igen rückenbedingten Arbeitsunfähigkeit gleichgesetzt werden. Die Vorinstanz hat somit kein Bundesrecht verletzt, wenn sie den zeitlichen Zusammenhang verneinte zwischen den Rückenbeschwerden und der später (aufgrund einer somatoformen Schmerzstörung und einer Depression) von der Invalidenversicherung anerkannten Invalidität. Ob ein sachlicher Konnex zwischen den Rückenbeschwerden und der späteren Invalidität bestand, kann offen bleiben.
6.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 27. Februar 2012
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Meyer
Die Gerichtsschreiberin: Bollinger Hammerle