Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 411/2020

Urteil vom 26. Oktober 2020

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Wirthlin, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin Polla.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Reto Zanotelli,
Beschwerdeführer,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 13. Mai 2020 (UV.2019.00232).

Sachverhalt:

A.
Der 1983 geborene A.________ war als Supervisor der B.________ AG bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 31. März 2018 rutschte er auf einem Gepäckförderband aus und prallte mit dem Oberkörper gegen ein Geländer, sodass er sich den Bereich zwischen Achsel und Rumpf prellte. Der gleichentags aufgesuchte Dr. med. C.________, Facharzt Allgemeine Innere Medizin, Zentrum D.________, diagnostizierte eine rechtsseitige Thorax- und Schulterkontusion. Anfang Mai 2018 zeigten sich im Bereich der rechten Schulter bildgebend eine aktivierte AC-Gelenksarthrose und eine leichte Bursitis subacromialis/subdeltoidea ohne Hinweise auf einen Sehnenriss (MRI vom 2. Mai 2018). Die Suva erbrachte die gesetzlichen Leistungen in Form von Heilbehandlung und Taggeld, wobei A.________ bis 14. Mai 2018 arbeitsunfähig blieb. Am 21. Dezember 2018 meldete die Arbeitgeberin einen "Rückfall", nachdem der Versicherte aufgrund starker Schmerzen am 5. Dezember 2018 erneut im Zentrum D.________ vorstellig geworden war. Die Behandlung wurde anderntags mit einer Infiltration vorerst abgeschlossen. Mangels Unfallkausalität verneinte die Suva ihre Leistungspflicht im
Zusammenhang mit den im Dezember 2018 geltend gemachten Schulterbeschwerden (Verfügung vom 12. Februar 2019). Sie stützte sich dabei namentlich auf eine Stellungnahme ihres Kreisarztes Dr. med. E.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, vom 25. Januar 2019. Unter Berücksichtigung einer weiteren Beurteilung desselben Kreisarztes vom 10. Mai 2019 hielt sie daran mit Einspracheentscheid vom 21. August 2019 fest.

B.
Die gegen den Einspracheentscheid erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 13. Mai 2020 ab.

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, unter Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids seien ihm die gesetzlichen Leistungen für die ab 15. Mai 2018 fortbestehenden Beschwerden an der rechten Schulter zuzusprechen. Ferner wird um Ersatz der Kosten von Fr. 2000.- für den vor Bundesgericht eingereichten Bericht des Dr. med. F.________, FMH Chirurgie, spez. Traumatologie, Orthopädische Schulterchirurgie, vom 15. Juni 2020 ersucht.
Die Suva reicht eine Beurteilung des Dr. med. E.________ vom 18. August 2020 ein und schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Gesundheit (BAG) enthält sich einer Stellungnahme.

D.
Mit Eingabe vom 9. September 2020 äussert sich A.________ zur Stellungnahme der Suva und zu der damit eingebrachten ärztlichen Beurteilung des Dr. med. E.________. Er legt eine weitere Stellungnahme des Dr. med. F.________ vom 4. September 2020 bei und beantragt die Erstattung ihrer Kosten von Fr. 750.-. Die Suva lässt sich am 17. September 2020 hierzu vernehmen. A.________ reicht eine zusätzliche Eingabe vom 22. September 2020 ein.

Erwägungen:

1.

1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG), doch prüft es, unter Berücksichtigung der allgemeinen Rüge- und Begründungspflicht im Beschwerdeverfahren (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), nur die geltend gemachten Vorbringen, falls allfällige weitere rechtliche Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 141 V 234 E. 1 S. 236; 138 I 274 E. 1.6 S. 280).

1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Bei den vom Beschwerdeführer vor Bundesgericht eingereichten ärztlichen Stellungnahmen des Dr. med. F.________ handelt es sich, da erst nach dem angefochtenen Gerichtsentscheid vom 13. Mai 2020 entstanden, um unzulässige echte Noven (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; BGE 139 III 120 E. 3.1.2 S. 123; SVR 2016 UV Nr. 11 S. 33, 8C 412/2015 E. 4). Diese Berichte und die darauf basierenden Vorbringen des Beschwerdeführers sind daher unbeachtlich, weshalb auch eine Erstattung der entsprechenden Kosten entfällt. Aus dem gleichen Grund ist auch die Beurteilung des Dr. med. E.________ vom 18. August 2020 unbeachtlich.

2.1. Streitig ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie die Ablehnung der Leistungspflicht für die im Dezember 2018 geklagten Schulterbeschwerden des Beschwerdeführers zufolge fehlender Unfallkausalität durch die Suva bestätigt hat.

2.2. Im angefochtenen Entscheid sind die Bestimmungen über die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers bei Unfällen (Art. 6 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
1    Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
2    L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie:
a  les fractures;
b  les déboîtements d'articulations;
c  les déchirures du ménisque;
d  les déchirures de muscles;
e  les élongations de muscles;
f  les déchirures de tendons;
g  les lésions de ligaments;
h  les lésions du tympan.21
3    L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10).
UVG in Verbindung mit Art. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort.
ATSG) korrekt dargelegt. Ebenso richtig wiedergegeben ist das Erfordernis eines natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhangs zwischen dem Unfallereignis und dem eingetretenen Schaden im Allgemeinen (BGE 142 V 435 E. 1 S. 438; 129 V 177 E. 3.1 und 3.2 S. 181) sowie die Ausführungen zum Dahinfallen der Leistungspflicht bei Erreichen des Status quo sine vel ante. Gleiches gilt für die beweisrechtlichen Anforderungen an einen ärztlichen Bericht im Allgemeinen (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; 125 V 351 E. 3a S. 352) und bei Aktenbeurteilungen (Urteil 9C 558/2016 vom 4. November 2016 E. 6.1 mit Hinweis) sowie bei Berichten versicherungsinterner Ärzte im Besonderen (BGE 135 V 465 E. 4.4 S. 469). Darauf wird verwiesen.

3.
Die Vorinstanz erwog, bezüglich der klinischen und bildgebenden Befunde gebe es keinerlei ärztliche Differenzen zu den Beurteilungen des Kreisarztes Dr. med. E.________. Es sei erstellt und unbestritten, dass der Beschwerdeführer anlässlich des Unfalls vom 31. März 2018 keine irgendwie gearteten strukturellen Verletzungen erlitten habe. Bildgebend zeigten sich eine AC-Gelenksarthrose sowie eine Bursitis. Soweit die behandelnden Ärzte Dr. med. C.________ und PD Dr. med. G.________, Klinik H.________, eine traumabedingte Aktivierung der AC-Gelenksarthrose postulierten bzw. eine solche als "durchaus denkbar" ansehen würden, begründeten sie dies einerseits mit der behaupteten Beschwerdefreiheit vor dem Unfall und andererseits mit dem Alter des Beschwerdeführers. Dies laufe auf einen unzulässigen "Post-hoc-ergo-propter-hoc"-Schluss hinaus und das Alter allein sei eine untaugliche Argumentation für eine Unfallkausalität. Dies gelte umso mehr mit Blick auf die schwere körperliche Tätigkeit des Versicherten und die bereits im Mai 2018 in progredienter Form vorhandenen degenerativen Veränderungen. Dr. med. E.________ habe darauf hingewiesen, dass eine progrediente AC-Gelenksarthrose eine häufige Folge schwerer repetitiver Hebe- und
Trageleistungen darstelle. Eine allfällige unfallbedingte, richtunggebende Verschlimmerung sei bildgebend nicht nachgewiesen. Es sei davon auszugehen, dass der Status quo sine vier bis sechs Wochen nach dem Unfall vom 31. März 2018 eingetreten gewesen sei, sodass die im Dezember 2018 vorhandenen Schulterbeschwerden nicht unfallkausal seien.

4.

4.1. Was der Beschwerdeführer dagegen einwendet, verfängt nicht. Die Vorinstanz gelangte nach eingehender Würdigung der medizinischen Aktenlage mit überzeugender Begründung zum Ergebnis, dass die Darlegungen der behandelnden Ärzte, insbesondere diejenigen des PD Dr. med. G.________, keine auch nur geringen Zweifel an der versicherungsinternen Beurteilung des Kreisarztes Dr. med. E.________ zu begründen vermögen. Nicht stichhaltig ist namentlich der Einwand des Beschwerdeführers, das kantonale Gericht sei unzutreffenderweise von einer im Mai 2018 bildgebend festgestellten AC-Gelenksarthrose und fehlenden strukturellen Verletzungen ausgegangen. Der MRI-Befund vom 2. Mai 2018 ergab gemäss Dr. med. I.________, Fachärztin FMH für Radiologie und Neuroradiologie, u.a. ein leichtes Knochenmarksödem und Osteophyten des AC-Gelenks, ein leichtes Kapselödem des AC-Gelenks und eine Spur von Flüssigkeit in der Bursa subacromialis/subdeltoidea sowie intakte CC-Ligamente. Sie beurteilte den Befund als aktivierte AC-Gelenksarthrose und leichte Bursitis subacromialis/subdeltoidea ohne Anhalt für eine Rotatorenmanschettenruptur oder Ruptur der langen Bizepssehne. Ihre Einschätzung wurde von keinem der involvierten Ärzte in Frage gestellt. PD Dr.
med. G.________ hielt seinerseits im Sprechstundenbericht vom 31. Mai 2019 den bildgebenden Nachweis einer deutlichen Signalalteration im Bereich des rechten AC-Gelenks und einer subacromialen Bursitis anlässlich der ersten MRI-Untersuchung fest. Im Einklang mit Dr. med. E.________ vertrat der erstbehandelnde Dr. med. C.________ im Bericht vom 1. April 2019 die Ansicht, dass die AC-Gelenksarthrose keine unfallkausale Pathologie darstelle, allerdings könne die Aktivierung einer Arthrose traumabedingt sein.
Nicht auszumachen ist die dem kantonalen Gericht in diesem Zusammenhang in der Beschwerde vorgeworfene Verletzung des rechtlichen Gehörs (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV). Zwar trifft es zu, dass es nicht näher auf die im Schreiben vom 30. Oktober 2019 geäusserte Meinung des PD Dr. med. G.________ einging, wonach es unzulässig sei, die Signalveränderungen im MRI des AC-Gelenks als pathognomonisch für eine beginnende AC-Gelenksarthrose zu bezeichnen (kreisärztliche Beurteilung vom 10. Oktober 2019). Das kantonale Gericht war jedoch nicht gehalten, sich mit jedem einzelnen Parteistandpunkt einlässlich auseinanderzusetzen und diesen zu widerlegen, sondern es reicht, wenn es sich auf die wesentlichen Punkte beschränkt und dem Entscheid insgesamt entnommen werden kann, von welchen Überlegungen sich das Gericht hat leiten lassen (BGE 136 I 184 E. 2.2.1 S. 188; 229 E. 5.2 S. 236). Diesen Anforderungen der Rechtsprechung genügt der vorinstanzliche Entscheid ohne Weiteres. Den Ausführungen des PD Dr. med. G.________ vom 30. Oktober 2019 lässt sich überdies nicht entnehmen, weshalb die kreisärztliche Einschätzung des zeitnah durchgeführten MRI des rechten Schultergelenks als pathognomonisch für eine beginnende AC-Gelenksarthrose unzulässig sein soll,
dies umso weniger, als sie sich im Übrigen mit derjenigen von Dr. med. I.________ deckt.
Fehl geht damit auch die Behauptung des Beschwerdeführers, das MRI vom 2. Mai 2018 habe dannzumal erst einen einzigen Osteophyten am AC-Gelenk gezeigt, sodass die Feststellung der Vorinstanz von im Mai 2018 bestehenden degenerativen Veränderungen in fortgeschrittener Form widerlegt sei. Unabhängig von der Frage, ob der MRI-Befund vom Mai 2018 eine beginnende oder eine fortgeschrittene AC-Gelenksarthrose zeigt, legte Dr. med. E.________ schlüssig dar, dass das gemeldete Ereignis diese Pathologien nicht innert eines Monats herbeiführen könne (ärztliche Beurteilungen vom 10. Mai und 10. Oktober 2019). So führte er am 10. Mai 2019 übereinstimmend mit der übrigen Aktenlage aus, dass bildgebend 30 Tage nach dem Ereignis keine Pathologie habe dargestellt werden können, die auf eine direkte oder indirekte Prellung oder Zerrung einer Struktur des Schultergelenks hingewiesen habe. Es seien keine Traumafolgen der Muskulatur, der Sehnen, des Unterhautbindegewebes oder der Knochen als Hinweis auf das Ereignis festgestellt worden.

4.2. Soweit die Vorinstanz unter Hinweis auf die Rechtsprechung argumentiert, es entspreche einer medizinischen Erfahrungstatsache, dass traumatische Verschlimmerungen eines klinisch stummen degenerativen Vorzustandes regelmässig spätestens nach einem Jahr als abgeschlossen zu betrachten seien (Urteil 8C 571/2015 vom 14. Oktober 2015 E. 2.2.3 mit weiteren Hinweisen; vgl. auch Urteile 8C 42/2017 vom 16. Februar 2017 E. 4.3 und 8C 408/2019 vom 26. August 2019 E. 3.3) und eine diesbezügliche allfällige richtunggebende Verschlimmerung röntgenologisch ausgewiesen und sich von der altersüblichen Progression abheben müsse (8C 174/2008 8. August 2008 E. 4.2), übersieht sie, dass sich diese medizinische Erfahrungstatsache auf Fälle bezieht, bei denen die Wirbelsäule betroffen ist. In diesem Punkt ist dem Beschwerdeführer zu folgen. Diese Erfahrungstatsache ist nicht ohne Weiteres auf einen degenerativen Vorzustand an der Schulter übertragbar, was im Ergebnis aber ohne Einfluss auf die Beurteilung bleibt.
Mit Blick auf die Frage, ob die AC-Gelenksarthrose eine richtunggebende Verschlimmerung durch das gemeldete Ereignis erfahren hat, vermag der Beschwerdeführer weder aus den Ausführungen des PD Dr. med. G.________ noch aus denjenigen des Dr. med. K.________, Assistenzarzt Orthopädie an der Klinik H.________, vom 17. September 2019 etwas für sich abzuleiten. Namentlich wird darin nicht schlüssig aufgezeigt, weshalb die kreisärztliche Annahme eines regelhaften Abklingens einer aktivierten Arthrose im Rahmen des natürlichen Reparaturmechanismus innert dreier Monate im vorliegenden Fall anzuzweifeln und von einer kontusionsbedingten richtunggebenden Verschlimmerung der Schulterbeschwerden auszugehen wäre. Dies gelingt umso weniger, als Dr. med. E.________ eine innert vier bis sechs Wochen nach dem Ereignis abgeklungene Prellung annahm und die postulierte traumabedingte Aktivierung der Arthrose als bloss mögliche Folge der Prellung ansah. Soweit zur Begründung der Traumagenese "bei massiver richtungsweisender Verschlechterung des Vorzustandes" auf die vorgängig vollständig asymptomatische Schulter verwiesen wurde, erwog die Vorinstanz zutreffend, dass sich die Ärzte damit von der unzulässigen Beweismaxime "post hoc, ergo propter hoc"
(BGE 119 V 335 E. 2b/bb S. 341 f. und SVR 2020 UV Nr. 15 S. 56, 8C 471/2019 E. 5.2 mit Hinweis) leiten liessen, woraus beweisrechtlich kein natürlicher Kausalzusammenhang abzuleiten ist. Ebenso wenig reicht mit der Vorinstanz angesichts seiner schweren beruflichen Tätigkeit der Hinweis auf das Alter des Beschwerdeführers aus, um eine natürliche Kausalität zwischen der erlittenen Kontusion und den im Dezember 2018 geltend gemachten Schulterbeschwerden zu begründen.

4.3. Zusammenfassend vermögen die Berichte der behandelnden Ärzte keine auch nur geringen Zweifel an der Schlüssigkeit und Zuverlässigkeit der versicherungsinternen Beurteilung des Dr. med. E.________ zu begründen. Das kantonale Gericht durfte daher auf seine Aktenbeurteilung abstellen, ohne Bundesrecht zu verletzen.

5.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 26. Oktober 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Die Gerichtsschreiberin: Polla
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 8C_411/2020
Date : 26 octobre 2020
Publié : 10 novembre 2020
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-accidents
Objet : Unfallversicherung (Kausalzusammenhang)


Répertoire des lois
Cst: 29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
LAA: 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
1    Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
2    L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie:
a  les fractures;
b  les déboîtements d'articulations;
c  les déchirures du ménisque;
d  les déchirures de muscles;
e  les élongations de muscles;
f  les déchirures de tendons;
g  les lésions de ligaments;
h  les lésions du tympan.21
3    L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10).
LPGA: 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
65 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
96 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
119-V-335 • 125-V-351 • 129-V-177 • 134-V-231 • 135-V-465 • 136-I-184 • 138-I-274 • 139-III-120 • 141-V-234 • 142-V-435
Weitere Urteile ab 2000
8C_174/2008 • 8C_408/2019 • 8C_411/2020 • 8C_412/2015 • 8C_42/2017 • 8C_471/2019 • 8C_571/2015 • 9C_558/2016
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • tribunal fédéral • aa • bursite • début • état antérieur • arthrose • question • activation • frais judiciaires • office fédéral de la santé publique • décision • recours en matière de droit public • état de fait • décision sur opposition • mois • doute • directeur • chirurgie • rejet de la demande • causalité naturelle • violation du droit • condition • effet • autorisation ou approbation • preuve • motivation de la décision • motivation de la demande • exactitude • médecine interne • pré • d'office • point essentiel • prestation en argent • maladie professionnelle • dommage • intéressé • jour • douleur • lien de causalité • avocat • remboursement de frais
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