Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 909/2017
Urteil vom 26. Juni 2018
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Wirthlin,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
A.________, vertreten durch Rechtsanwalt Willi Füchslin,
Beschwerdeführerin,
gegen
IV-Stelle Schwyz, Rubiswilstrasse 8, 6438 Ibach,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Arbeitsunfähigkeit; Invalidenrente; Hilflosenentschädigung),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Schwyz vom 15. November 2017 (I 2017 68 + 70).
Sachverhalt:
A.
Die 1966 geborene A.________ war bis Ende April 2001 Montagemitarbeiterin bei der B.________ AG. Am 7. Mai 2001 meldete sie sich bei der IV-Stelle Schwyz zum Leistungsbezug an. Diese sprach ihr mit Verfügung vom 7. Dezember 2001 ab 1. Mai 2001 eine ganze Invalidenrente und mit Verfügung vom 5. März 2004 ab 1. Januar 2004 eine Hilflosenentschädigung bei leichter Hilflosigkeit zu. Die revisionsweisen Überprüfungen in den Jahren 2007, 2010, 2012 und 2015 ergaben keine Veränderung.
Am 27. April 2016 verfügte die IV-Stelle die sofortige Sistierung der Rente und Hilflosenentschädigung. Dies bestätigte das Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz mit Entscheid vom 18. November 2016. Am 28. November 2016 erstattete der Psychiater Dr. med. C.________ das von der IV-Stelle veranlasste Gutachten. Mit Verfügung vom 6. Juni 2017 hob sie die Invalidenrente und die Hilflosenentschädigung rückwirkend per 1. Januar 2011 auf. Mit Verfügungen vom 8. Juni 2017 forderte sie von der Versicherten folgende Leistungen zurück: 46 Invalidenrenten ab 1. Juli 2012 bis 30. April 2016 von total Fr. 34'620.-; 24 Kinderrenten ab 1. August 2013 bis 31. Juli 2015 von total Fr. 7'231.-; 46 Hilflosenentschädigungen ab 1. Juli 2012 bis 30. April 2016 von total Fr. 21'536.-.
B.
Gegen die Verfügungen vom 6. und 8. Juni 2017 erhob die Versicherte beim Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz Beschwerde. Sie legte u.a. das von ihr veranlasste Gutachten des Dr. med. D.________, FMH Psychiatrie und Psychotherapie sowie Pharmazeutische Medizin, vom 14. August 2017 auf. Die Beschwerde gegen die erstgenannte Verfügung hiess das kantonale Gericht im Sinne der Erwägungen teilweise gut. Es änderte sie dahingehend ab, als es die am 27. April 2016 vorsorglich sistierten Renten und Hilflosenentschädigungen definitiv per 30. April 2016 aufhob. Im Übrigen wies es die Beschwerde ab. Die Beschwerde gegen die Verfügung vom 8. Juni 2017 hiess es insofern gut, als es die Rückforderung ersatzlos strich (Entscheid vom 15. November 2017).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt die Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Entscheides sei festzustellen, dass ihr über Ende April 2016 hinaus eine Invalidenrente und eine Hilflosenentschädigung zustünden; eventuell sei die Sache zu ergänzenden Abklärungen an die Vorinstanz oder an die IV-Stelle zurückzuweisen. Im Übrigen seien ihr, selbst wenn sie nicht obsiegen sollte, die Kosten des Privatgutachtens (Fr. 5'237.75 inklusive Dolmetscher) zu ersetzen.
Ein Schriftenwechsel wurde nicht angeordnet.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
585).
2.
Das kantonale Gericht hat die rechtlichen Grundlagen betreffend die Revision der Invalidenrente und anderer Dauerleistungen (Art. 17
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
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1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 31 Avis obligatoire en cas de modification des circonstances - 1 L'ayant droit, ses proches ou les tiers auxquels une prestation est versée sont tenus de communiquer à l'assureur ou, selon le cas, à l'organe compétent toute modification importante des circonstances déterminantes pour l'octroi d'une prestation. |
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1 | L'ayant droit, ses proches ou les tiers auxquels une prestation est versée sont tenus de communiquer à l'assureur ou, selon le cas, à l'organe compétent toute modification importante des circonstances déterminantes pour l'octroi d'une prestation. |
2 | Toute personne ou institution participant à la mise en oeuvre des assurances sociales a l'obligation d'informer l'assureur si elle apprend que les circonstances déterminantes pour l'octroi de prestations se sont modifiées. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 77 Avis obligatoire - L'ayant droit ou son représentant légal, ainsi que toute personne ou autorité à qui la prestation est payée, doit communiquer immédiatement à l'office AI tout changement important qui peut avoir des répercussions sur le droit aux prestations, en particulier les changements qui concernent l'état de santé, la capacité de gain ou de travail, l'impotence, ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de l'invalidité, le lieu de séjour déterminant pour fixer le montant de l'allocation pour impotent et de la contribution d'assistance, ainsi que la situation personnelle et éventuellement économique de l'assuré. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88bis Effet - 1 L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
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1 | L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
a | si la révision est demandée par l'assuré, dès le mois où cette demande est présentée; |
b | si la révision a lieu d'office, dès le mois pour lequel on l'avait prévue; |
c | s'il est constaté que la décision de l'office AI désavantageant l'assuré était manifestement erronée, dès le mois où ce vice a été découvert.392 |
2 | La diminution ou la suppression de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet:393 |
a | au plus tôt le premier jour du deuxième mois qui suit la notification de la décision; |
b | rétroactivement à la date où elle a cessé de correspondre aux droits de l'assuré, s'il se l'est fait attribuer irrégulièrement ou s'il a manqué, à un moment donné, à l'obligation de renseigner qui lui incombe raisonnablement en vertu de l'art. 77, que la poursuite du versement de la prestation ait eu lieu ou non en raison de l'obtention irrégulière ou de la violation de l'obligation de renseigner. |
3.
Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es die Invalidenrente und die Hilflosenentschädigung per 30. April 2016 revisionsweise aufhob.
Es erwog im Wesentlichen, bei der Rentenzusprache vom 7. Dezember 2001sei die IV-Stelle davon ausgegangen, die Versicherte sei aus psychischen Gründen vollständig arbeitsunfähig gewesen. Grundlage der Zusprache der Hilflosenentschädigung vom 5. März 2004 sei zudem der Abklärungsbericht Hilflosigkeit vom 17. November 2003 gewesen. Das von der IV-Stelle veranlasste Gutachten des Psychiaters Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 sei beweiskräftig. Er sei zum Ergebnis gelangt, dass der Beschwerdeführerin psychischerseits sowohl die frühere Tätigkeit als Hilfsarbeiterin in einer Fabrik wie auch jede andere, dem Ausbildungsstand entsprechende Tätigkeit zumutbar sei. Somit bestünden aus fachärztlicher Sicht ab 27. April 2016 keine medizinischen Befunde, welche die Arbeits- und Erwerbsfähigkeit in für einen Rentenanspruch relevanter Weise beeinträchtigen könnten. Das Parteigutachten des Psychiaters Dr. med. D.________ vom 14. August 2017 vermöge das Gutachten des Dr. med. C.________ nicht in Frage zu stellen. Schliesslich liessen sich in den Unterlagen solche Inkonsistenzen und Diskrepanzen finden, dass auch von einer zusätzlichen Abklärung keine Plausibilierung des Ausmasses der geklagten Einschränkungen zu erwarten wäre. Weiter
führte die Vorinstanz aus, nicht gefolgt werden könne dem Gutachten des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016, soweit er rückwirkend ab 2011 - d.h. seit der Existenz von im Internet veröffentlichten Bildern der Versicherten - vom Fehlen einer Beeinträchtigung der Arbeitsfähigkeit ausgegangen sei. Da echtzeitliche Befunderhebungen in den hier interessierenden Jahren fehlten, erweise es sich als spekulativ, lediglich gestützt auf Internet-Bilder von einer vor Jahren vollständig erlangten Leistungs- und Arbeitsfähigkeit auszugehen. Somit sei die Beschwerde insoweit teilweise gutzuheissen, dass die mit Verfügung vom 27. April 2016 vorsorglich sistierten Renten und Hilflosenentschädigungen per 30. April 2016 aufgehoben würden.
4.
Auf ein nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
5.
5.1. Die Beschwerdeführerin rügt, Dr. med. C.________ sei ihr gegenüber stark voreingenommen und rüde gewesen. Er habe einen recht vorwurfsvollen bis sogar aggressiven Tonfall gehabt (sie sei nicht krank und müsse sich eine Arbeit suchen, sie bekomme keine Invalidenrente etc.). Als sie nach einiger Zeit einen trockenen Mund gehabt und Wasser verlangt habe, habe ihr der Dolmetscher etwas davon geben wollen. Dr. med. C.________ sei dagegen gewesen. Nach etwa 10 Minuten habe er gesagt, sie könne doch etwas Wasser haben, müsse es sich aber selber holen. Die Begutachtung sei ziemlich demütigend gewesen, wozu die Vorinstanz trotz Rüge nichts gesagt habe. Es hätte sich aufgedrängt, den Dolmetscher hierzu zu befragen.
5.2. Gestützt auf den Grundsatz von Treu und Glauben und das Verbot des Rechtsmissbrauchs (Art. 5 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
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1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
6.
6.1. Die Beschwerdeführerin bringt weiter im Wesentlichen vor, das Gutachten des Dr. med. C.________ enthalte keine auf die Entwicklung ihres Gesundheitszustandes zwischen Dezember 2001 und April 2016 fokussierten Aussagen. Er habe bloss gemutmasst, dass spätestens ab Beginn der bildlichen Dokumentation von Alltags- und Urlaubsaktitivitäten im Internet die Persistenz psychischer Beeinträchtigungen nicht mehr plausibel sei. Die Vorinstanz habe es zu Recht abgelehnt, gestützt auf Internet-Bilder von einer seit 2011 vollständig erlangten Leistungs- und Arbeitsfähigkeit auszugehen. Anderseits berufe sie sich selber aber für die angebliche Verbesserung der Arbeitsfähigkeit ab April 2016 auf Internet-Bilder, indem sie auf das massgeblich von ihnen beeinflusste C.________-Gutachten abgestellt habe. Eine Sachverhaltsabklärung gestützt auf das Internet, insbesondere soziale Netzwerke wie Facebook oder Instagram, sei ein Eingriff in Art. 10 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 10 Droit à la vie et liberté personnelle - 1 Tout être humain a droit à la vie. La peine de mort est interdite. |
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1 | Tout être humain a droit à la vie. La peine de mort est interdite. |
2 | Tout être humain a droit à la liberté personnelle, notamment à l'intégrité physique et psychique et à la liberté de mouvement. |
3 | La torture et tout autre traitement ou peine cruels, inhumains ou dégradants sont interdits. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 13 Protection de la sphère privée - 1 Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile, de sa correspondance et des relations qu'elle établit par la poste et les télécommunications. |
|
1 | Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile, de sa correspondance et des relations qu'elle établit par la poste et les télécommunications. |
2 | Toute personne a le droit d'être protégée contre l'emploi abusif des données qui la concernent. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 36 Restriction des droits fondamentaux - 1 Toute restriction d'un droit fondamental doit être fondée sur une base légale. Les restrictions graves doivent être prévues par une loi. Les cas de danger sérieux, direct et imminent sont réservés. |
|
1 | Toute restriction d'un droit fondamental doit être fondée sur une base légale. Les restrictions graves doivent être prévues par une loi. Les cas de danger sérieux, direct et imminent sont réservés. |
2 | Toute restriction d'un droit fondamental doit être justifiée par un intérêt public ou par la protection d'un droit fondamental d'autrui. |
3 | Toute restriction d'un droit fondamental doit être proportionnée au but visé. |
4 | L'essence des droits fondamentaux est inviolable. |
6.2. Die Fotos betreffend die Beschwerdeführerin, auf welche sich der Gutachter Dr. med. C.________ bezog, wurden von der IV-Stelle, Abteilung zur Bekämpfung des Versicherungsmissbrauchs (BVM), zusammengetragen. Sie stammen aus dem Facebook-Profil der Beschwerdeführerin. Praxisgemäss kann die Auswertung von öffentlich zugänglichen Einträgen in Facebook nicht als Verletzung der Privatsphäre qualifiziert werden (Urteil 8C 192/2017 vom 25. August 2017 E. 5.4.3.2). Eine rechtswidrige Sachverhaltsabklärung liegt diesbezüglich somit nicht vor.
7.
7.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, die auf Social-Media-Profilen dargestellten Informationen seien kurze, aus dem Kontext gegriffene Sequenzen, die für sich alleine nichts über die Realität, z.B. über den Gesundheitszustand der betreffenden Person, aussagen könnten. Zudem würden soziale Netzwerke oft absichtlich nicht dazu verwendet, die Wahrheit zu verbreiten, sondern dazu, sich so erfolgreich, gesund, glücklich etc. wie möglich zu inszenieren. Gestützt hierauf könne man keine Arbeitsfähigkeit ableiten. Ihr gesamtes Umfeld könne bestätigen, dass es ihr nicht besser gehe. Sie könne nie allein zu Hause gelassen werden. Sie sei nicht aktiv und gehe nicht gerne auf Reisen. Sie und ihr Ehemann seien nur einmal in den Ferien gewesen, und zwar im April 2016 7 Tage in Ägypten. Dies sei ein Geschenk ihrer Kinder zu ihrem 50. Geburtstag gewesen. Wenn sie sich im Ausland aufhalte, dann nur bei ihren Eltern in Mazedonien, die sie beaufsichtigten. Dies geschehe vor allem zur Entlastung ihres Ehemannes, der mit ihrer Krankheit völlig überfordert sei. Auf den Fotos seien praktisch nur Familienmitglieder zu sehen. Zudem sei auf den Bildern nicht einmal immer die Beschwerdeführerin abgebildet, was Dr. med. C.________ offenbar nicht
bewusst gewesen sei. Z.B. handle es sich bei der Frau mit einem Kind auf einem Autoscooter um ihre Schwester, die ihr sehr ähnle.
7.2. Diese Einwände sind unbehelflich. Dr. med. C.________ standen Dutzende Facebook-Bilder betreffend die Aktivitäten der Versicherten zur Verfügung. Soweit sie nur ein Bild nennt, auf dem sie mit ihrer Schwester verwechselt worden sei, ist dies nicht entscheidrelevant.
Im Weiteren hat die Vorinstanz richtig erkannt, dass die Berücksichtigung dieser Bilder durch Dr. med. C.________ im Gutachten vom 28. November 2016 nur ein Teilfaktor seiner Beurteilung war. Er hat weiter die Vorakten berücksichtigt, die Versicherte umfassend untersucht, die von ihr geklagten Beschwerden berücksichtigt, Laboruntersuchungen vorgenommen und mit ihr den TOMM-Test (Test of Memory Malingering) zur Untersuchung allfälliger Simulation bzw. Aggravation von Gedächtnisstörungen durchgeführt. Zudem holte er Auskünfte beim Sozialpsychiatrischen Dienst (SPD) und beim Hausarzt der Versicherten, med. pract. E.________, Facharzt für Allgemeinmedizin FMH, ein.
7.3. Hinsichtlich der gerügten Leistungseinstellung per 30. April 2016 (vgl. E. 6.1. hiervor) berücksichtigte die Vorinstanz, dass med. pract. E.________ aufgrund der Blutentnahme vom 29. April 2016 bei der Versicherten keinen nachweisbaren Medikamentenspiegel vorfand und sie im April 2016 fähig war, mit ihrem Mann Ferien in Ägypten zu verbringen. Dies erscheint nicht als offensichtlich unrichtig, zumal Dr. med. C.________ darlegte, die Nichteinnahme der vom Hausarzt verordneten psychiatrischen Medikamente setze ihre Glaubwürdigkeit deutlich herab. Praxisgemäss lässt denn auch ein fehlender Medikamentenspiegel hinsichtlich verordneter Arzneimittel auf eine mangelnde Compliance und damit einen fehlenden Leidensdruck schliessen (BGE 140 V 260 E. 3.3.3 S. 266; Urteil 8C 924/2014 vom 2. April 2015 E. 4.2).
7.4. Die Beschwerdeführerin bringt weiter vor, am Rande sei erwähnt, dass sowieso drei Monate länger (bis Juli 2016) IV-Leistungen hätten gewährt werden müssen, selbst wenn man zu Unrecht von einer gesundheitlichen Verbesserung im April 2016 ausginge (Art. 88a
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
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1 | Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
2 | Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie. |
8.
Der von der Versicherten angerufene Dr. med. D.________ legte im Gutachten vom 14. August 2017 unter anderem dar, aufgrund der Aktenlage und in Anbetracht des gegenwärtigen Befundes könne er keine abschliessende Diagnose benennen. Die Alltagsführung der Versicherten sei erheblich beeinträchtigt und allein schon deshalb könne völlig losgelöst von der Diagnose von Arbeitsfähigkeit im Moment keine Rede sein. Das Gutachten des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 könne er nicht abschliessend widerlegen. Anderseits überzeuge es ihn aber nicht.
Die Annahme eines Gesundheitsschadens im Sinne von IVG und ATSG setzt grundsätzlich voraus, dass im psychiatrischen Gutachten eine Diagnose gestellt werden kann. Diese muss zudem lege artis auf die Vorgaben eines anerkannten Klassifikationssystems abgestützt sein (BGE 130 V 396; Urteil 9C 393/2017 vom 20. September 2017 E. 5.3.1). Bereits in diesem Lichte vermag das Gutachten des Dr. med. D.________ vom 14. August 2017 dasjenige des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 sowie die vorinstanzliche Beurteilung nicht in Frage zu stellen. Zudem hat die Vorinstanz einlässlich und überzeugend weitere Gründe aufgezeigt, die gegen das erstgenannte Gutachten sprechen.
9.
Die Versicherte beruft sich auf Berichte des SPD vom 6. Juli und 15. September 2016 sowie 11. Mai 2017, wo sie behandelt wurde.
Dem ist entgegenzuhalten, dass es die unterschiedliche Natur von Behandlungsauftrag der therapeutisch tätigen (Fach-) Person einerseits und Begutachtungsauftrag des amtlich bestellten fachmedizinischen Experten anderseits (BGE 124 I 170 E. 4 S. 175) nicht zulässt, ein Administrativ- oder Gerichtsgutachten stets in Frage zu stellen und zum Anlass weiterer Abklärungen zu nehmen, wenn die behandelnden Arztpersonen bzw. Therapiekräfte zu anderslautenden Einschätzungen gelangen. Vorbehalten bleiben Fälle, in denen sich eine abweichende Beurteilung aufdrängt, weil diese wichtige - und nicht rein subjektiver Interpretation entspringende - Aspekte benennen, die bei der Begutachtung unerkannt oder ungewürdigt geblieben sind (Urteil 8C 874/2017 vom 23. Mai 2018 E. 5.2.2). Die Beschwerdeführerin legt nicht substanziiert dar und es ist auch nicht ersichtlich, dass aus den besagten Berichten des SPD Gesichtspunkte hervorgingen, die nicht auch im Rahmen des Gutachtens des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 berücksichtigt worden wären.
Zudem legte der SPD am 11. Mai 2017 dar, aufgrund der Ergebnisse des von Dr. med. C.________ durchgeführten TOMM-Tests sei eine teilweise Simulation oder zumindest Aggravation der Beschwerden der Versicherten als wahrscheinlich möglich einzustufen, aber nicht zu 100 % zu beweisen. Auch in diesem Lichte vermag der SPD das Gutachten des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 nicht zu entkräften, zumal im Sozialversicherungsrecht kein Sicherheitsbeweis verlangt wird, sondern der Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit gilt (vgl. E. 2 hiervor). Hieran ändert nichts, dass der SPD auch ausführte, das Testergebnis dürfe nicht dazu benutzt werden, der Versicherten jegliche Symptome einer psychotischen oder schizophrenen Erkrankung abzusprechen. Denn behandelnde Arztpersonen sagen mitunter im Hinblick auf ihre auftragsrechtliche Vertrauensstellung im Zweifelsfall eher zu Gunsten ihrer Patienten aus (BGE 135 V 465 E. 4.5 S. 470 f.).
10.
Die Beschwerdeführerin macht geltend, Dr. med. C.________ habe sich im Gutachten vom 28. November 2016 nicht zur Hilflosigkeit geäussert. Die Vorinstanz gehe wie selbstverständlich davon aus, dass mit einer angeblichen Verbesserung der Arbeitsfähigkeit auch keine Hilflosigkeit mehr bestehe. Dies sei offensichtlich unrichtig, da im Haushaltsabklärungsbericht vom 29. April 2015 etwas anderes festgehalten worden sei. Dieser Einwand ist unbehelflich. Denn steht nach dem Gesagten gestützt auf das Gutachten des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 fest, dass ihre Arbeitsfähigkeit in keiner Weise mehr eingeschränkt ist, ist nicht ohne Weiteres ersichtlich und wird auch nicht substanziiert geltend gemacht, inwiefern sie weiterhin hilfsbedürftig sein sollte.
11.
Zusammenfassend stellte die Vorinstanz gestützt auf das Administrativgutachten des Dr. med. C.________ vom 28. November 2016 zu Recht eine relevante Verbesserung des Gesundheitszustandes der Beschwerdeführerin fest, die ihre Ansprüche auf Invalidenrente und Hilflosenentschädigung wegfallen lässt. Dass sich die Vorinstanz dabei in unauflösbare Widersprüche verstrickt hätte, trifft entgegen der Beschwerdeführerin nicht zu.
Die vorinstanzliche Beurteilung erweist sich im Ergebnis - worauf es einzig ankommt - weder in tatsächlicher Hinsicht als offensichtlich unrichtig oder unvollständig noch anderweitig als bundesrechtswidrig (vgl. nicht publ. E. 6.3 des Urteils BGE 141 V 25, veröffentlicht in: SVR 2015 KV Nr. 8 S. 29, 9C 535/2014; Urteil 8C 733/2017 vom 29. März 2018 E. 4.4). Von willkürlicher Beweiswürdigung der Vorinstanz kann ebenfalls keine Rede sein. Da von weiteren Abklärungen keine entscheidrelevanten Ergebnisse zu erwarten sind, durfte die Vorinstanz darauf verzichten. Dies verstösst weder gegen den Untersuchungsgrundsatz (Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
12.
Die unterliegende Versicherte trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
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a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz, Kammer I, und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 26. Juni 2018
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Jancar