Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

6B 1056/2020, 6B 1057/2020

Urteil vom 25. August 2021

Strafrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Muschietti,
Bundesrichter Hurni,
Gerichtsschreiberin Lustenberger.

Verfahrensbeteiligte
A.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Jürg Krumm,
Beschwerdeführerin,

gegen

1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Florhofgasse 2, 8090 Zürich,
2. C.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Dr. Vera Delnon,
Beschwerdegegner.

Gegenstand
6B 1056/2020
Einfache Körperverletzung im Sinne von Art. 123 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 123 - 1. Quiconque, intentionnellement, fait subir à une personne une autre atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est puni sur plainte d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
1    Quiconque, intentionnellement, fait subir à une personne une autre atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est puni sur plainte d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
2    L'auteur est poursuivi d'office,
StGB, Notwehr; Willkür,

6B 1057/2020
Beschimpfung, mehrfache Tätlichkeiten, Notwehr; Willkür,

Beschwerden gegen die Urteile des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Strafkammer, vom 11. Juni 2020
(SB 190331 und SB 190332).

Sachverhalt:

A.
A.A.________ und C.________ lernten sich im Mai 2014 über eine Datingplattform kennen und führten ab August 2014 eine Beziehung. Am 15. März 2015 kam der gemeinsame Sohn B.A.________ zur Welt. Im August desselben Jahres trennte sich das Paar und C.________ verliess die gemeinsame Wohnung.

B.
Als Folge einer zunächst verbalen und anschliessend tätlichen Auseinandersetzung erkannte das Bezirkgsgericht Zürich C.________ mit Urteil vom 28. März 2019 (SB 190331) der einfachen Körperverletzung sowie der Sachbeschädigung schuldig und bestrafte ihn mit einer bedingten Geldstrafe von 60 Tagessätzen zu Fr. 300.-- bei einer Probezeit von zwei Jahren, wovon ein Tagessatz durch Haft erstanden war. Ausserdem verpflichtete es ihn zur Bezahlung von Schadenersatz in der Höhe von Fr. 432.-- und einer Genugtuung von Fr. 200.--, je zuzüglich Zins zu 5 % ab 10. Mai 2017. Im Übrigen verwies es die Schadenersatzklage von A.A.________ auf den Zivilweg und wies ihr Genugtuungsbegehren im Mehrbetrag ab.
Ebenfalls mit Urteil vom 28. März 2019 (SB 190332) sprach das Bezirkgsgericht Zürich A.A.________ der Beschimpfung und der mehrfachen Tätlichkeit schuldig. Hierfür sprach es eine bedingte Geldstrafe von 30 Tagessätzen zu Fr. 100.-- bei einer Probezeit von zwei Jahren sowie eine Busse von Fr. 600.-- (Ersatzfreiheitsstrafe sechs Tage) aus.

C.
Nachdem A.A.________ und C.________ je gegen das erstinstanzliche Urteil Berufung erhoben hatten, erklärte das Obergericht des Kantons Zürich den Letztgenannten am 11. Juni 2020 (Urteil SB 190 331) der einfachen Körperverletzung bezüglich Schlag gegen den Kopf und der Sachbeschädigung schuldig. Vom Vorwurf der einfachen Körperverletzung bezüglich Stoss gegen den Oberkörper sprach es ihn frei. Es reduzierte die ausgesprochene bedingte Geldstrafe auf 30 Tagessätze, bestätigte betreffend Schadenersatz das erstinstanzliche Urteil und wies die Genugtuungsforderung von A.A.________ ab. Hinsichtlich der A.A.________ zur Last gelegten Taten bestätigte das Obergericht Zürich mit zusätzlichem Urteil (SB 190 332) ebenfalls vom 11. Juni 2020 das Urteil des Bezirksgerichts Zürich vollumfänglich.

D.
A.A.________ erhebt Beschwerden in Strafsachen. Sie beantragt, die Urteile des Obergerichts des Kantons Zürich seien (teilweise) aufzuheben und C.________ sei wegen einfacher Körperverletzung durch Stoss gegen den Oberkörper schuldig zu sprechen. Sie selbst sei von Schuld und Strafe freizusprechen. Eventualiter seien die Verfahren zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.

Erwägungen:

1.
Die Beschwerden betreffen denselben Lebenssachverhalt, die gleichen Parteien sowie konnexe Rechtsfragen, weshalb sie gestützt auf Art. 71
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 71 - Lorsque la présente loi ne contient pas de dispositions de procédure, les dispositions de la PCF31 sont applicables par analogie.
BGG i.V.m. Art. 24 Abs. 2 lit. b
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 24 - 1 Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires.
1    Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires.
2    Plusieurs personnes peuvent agir comme demandeurs ou être actionnées comme défendeurs par la même demande:
a  s'il existe entre elles, en raison de l'objet litigieux, une communauté de droit ou si leurs droits ou leurs obligations dérivent de la même cause matérielle et juridique. Le juge peut appeler en cause un tiers qui fait partie de la communauté de droit. L'appelé en cause devient partie au procès;
b  si des prétentions de même nature et reposant sur une cause matérielle et juridique essentiellement de même nature forment l'objet du litige et que la compétence du Tribunal fédéral soit donnée à l'égard de chacune d'elles.
3    Le juge peut en tout état de cause ordonner la disjonction, s'il l'estime opportun.
BZP (SR 273) zu vereinigen und gemeinsam zu beurteilen sind (vgl. BGE 133 IV 215 E. 1; Urteile 6B 257/2020 und 6B 298/2020 vom 24. Juni 2021 E. 1).

2.
In ihrer Rolle als Beschuldigte ergibt sich die Beschwerdelegitimation der Beschwerdeführerin ohne Weiteres aus Art. 81 Abs. 1 lit. b Ziff. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
BGG. Als Privatklägerin ist sie zur Beschwerde in Strafsachen grundsätzlich nur berechtigt, wenn sie im kantonalen Verfahren adhäsionsweise Zivilansprüche geltend gemacht hat und der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung dieser Zivilansprüche auswirken kann (Art. 81 Abs. 1 lit. b Ziff. 5
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
BGG; vgl. BGE 143 IV 434 E. 1.2.3). Nachdem die Beschwerdeführerin im kantonalen Verfahren eine Genugtuung verlangt und diese von der Vorinstanz abgewiesen wurde, sind diese Voraussetzungen erfüllt.

3.
Die Vorinstanz erachtet folgenden Sachverhalt als erstellt: Zwecks Übergabe des gemeinsamen, damals zweijährigen Sohnes nach Ausübung des Besuchsrechts wartete der Beschwerdegegner 2 am 10. Mai 2017 auf dem Parkplatz vor deren Wohnung auf die Beschwerdeführerin, wobei er den gemeinsamen Sohn auf dem Arm hielt. Nach ihrem Eintreffen ermahnte er die Beschwerdeführerin, sie solle während den geplanten Ferien gut auf den Sohn aufpassen. Als sie zusammen Richtung Hauseingang marschierten, fragte die Beschwerdeführerin ihn, ob er sich wieder "in den Arsch habe ficken lassen und wie viele Schwänze er wieder gelutscht habe". Vor dem Hauseingang angekommen, versuchte sie ihm den Sohn, der sich an den Vater klammerte und weinte, zu entreissen und kratzte ihn dabei am Arm, was eine Schürfung zur Folge hatte. Als Reaktion darauf versetzte ihr der Beschwerdegegner 2 mit der linken Hand einen Schlag gegen die linke Seite des Kopfes, wodurch sie eine Quetsch-Risswunde und eine Schürfung erlitt. Im Anschluss daran trat die Beschwerdeführerin mehrfach, mindestens vier bis sechsmal, mit den Beinen gegen den Beschwerdegegner 2. Schliesslich stiess dieser sie mit der Hand von sich weg, sodass sie rückwärts stürzte und mit dem Kopf auf eine Mauer
resp. auf den Boden aufschlug. Der Sturz führte zu einer weiteren Quetsch-Risswunde am Hinterkopf und Schürfungen an Ellbogen und Oberarm.

4.
Die Beschwerdeführerin wendet sich gegen ihre Verurteilung wegen Beschimpfung und mehrfacher Tätlichkeit.

4.1. Von vornherein nicht zu hören ist die Beschwerdeführerin, wenn sie vorbringt, der Grundsatz der freien richterlichen Beweiswürdigung sei verletzt, weil die Vorinstanz die von ihr beim streitigen Vorfall getragene Haarspange nicht als Beweismittel zulasse. Inwiefern die Haarspange als Beweismittel dienen könnte und wie sich dieses auf das Beweisergebnis hätte auswirken können, zeigt die Beschwerdeführerin nicht auf. Mangels hinreichender Begründung (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) wird auf dieses Vorbringen nicht weiter eingegangen.

4.2. Ebenfalls unbeachtlich bleibt die von der Beschwerdeführerin eingereichte Stellungnahme vom 24. August 2020 zu den aktenkundigen Chat-Verläufen. Sollte dieses Dokument als Ergänzung der Beschwerdebegründung betrachtet werden, ist die Beschwerdeführerin darauf hinzuweisen, dass die Begründung in der Beschwerdeschrift selbst enthalten sein muss. Der blosse Verweis auf Ausführungen in anderen Rechtsschriften oder auf die Akten reicht nicht aus (BGE 143 IV 122 E. 3.3 mit Hinweisen). Sofern die Stellungnahme neue Tatsachen enthalten oder ein neues Beweismittel darstellen soll, setzt ihr Vorbringen vor Bundesgericht voraus, dass erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gegeben hat (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG). Die Zulässigkeit der Noveneingabe müsste in der Beschwerde begründet werden (BGE 143 V 19 E. 1.2 mit Hinweis), was die Beschwerdeführerin nicht tut.

4.3.

4.3.1. Die Beschwerdeführerin beruft sich auf Art. 177 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 177 - 1 Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
1    Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
2    Le juge peut renoncer à prononcer une peine si l'injurié provoque directement l'injure par une conduite répréhensible.
3    Si l'injurié riposte immédiatement par une injure ou par des voies de fait, le juge peut renoncer à prononcer une peine contre les deux auteurs ou l'un d'eux.
StGB und stellt sich auf den Standpunkt, die Beschimpfung des Beschwerdegegners 2 habe eine Retorsionshandlung dargestellt. Der Vorgenannte habe durch sein ungebührliches Verhalten Anlass zu den Beschimpfungen gegeben, indem er ihr gedroht habe, ihr den Hals abzuschneiden, wenn sie nicht gut auf das gemeinsame Kind aufpasse. Die gegenteilige Behauptung des Beschwerdegegners 2, sie habe ihn aus dem Nichts heraus beschimpft, sei völlig realitätsfremd.

4.3.2. Hat ein Beschimpfter durch sein ungebührliches Verhalten zur Beschimpfung unmittelbar Anlass gegeben (Provokation), kann der Richter den Täter gemäss Art. 177 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 177 - 1 Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
1    Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
2    Le juge peut renoncer à prononcer une peine si l'injurié provoque directement l'injure par une conduite répréhensible.
3    Si l'injurié riposte immédiatement par une injure ou par des voies de fait, le juge peut renoncer à prononcer une peine contre les deux auteurs ou l'un d'eux.
StGB von Strafe befreien. Nach Art. 177 Abs. 3
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 177 - 1 Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
1    Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
2    Le juge peut renoncer à prononcer une peine si l'injurié provoque directement l'injure par une conduite répréhensible.
3    Si l'injurié riposte immédiatement par une injure ou par des voies de fait, le juge peut renoncer à prononcer une peine contre les deux auteurs ou l'un d'eux.
StGB ist eine Strafbefreiung ebenfalls möglich, wenn eine Beschimpfung unmittelbar mit einer Beschimpfung oder Tätlichkeit erwidert worden ist (Retorsion). Auch eine Tätlichkeit kann Anlass zu einer Retorsion geben (Urteil 6B 324/2014 vom 25. September 2014 E. 1.3.2 mit Hinweisen).

4.3.3. In der Beschwerdeschrift ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). Unerlässlich ist, dass auf die Begründung des angefochtenen Entscheids eingegangen und im Einzelnen aufgezeigt wird, worin eine vom Bundesgericht überprüfbare Rechtsverletzung liegt (Urteil 6B 282/2021 vom 23. Juni 2021 E. 2.2).
Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie willkürlich ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Willkür im Sinne von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV liegt nach ständiger Rechtsprechung vor, wenn die Sachverhaltsfeststellung eindeutig und augenfällig unzutreffend ist und der angefochtene Entscheid auf einer schlechterdings unhaltbaren oder widersprüchlichen Beweiswürdigung beruht, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht, eine Norm oder einen unumstrittenen Rechtsgrundsatz krass verletzt oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwiderläuft. Die Willkürrüge muss in der Beschwerde explizit vorgebracht und substanziiert begründet werden. Auf ungenügend begründete Rügen oder bloss allgemein gehaltene appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid tritt das Bundesgericht nicht ein (vgl. BGE 147 IV 73 E. 4.1.2; 146 IV 88 E. 1.3.1; 143 IV 500 E. 1.1; je mit Hinweisen).

4.3.4. Die Vorinstanz beruft sich zunächst auf die ihrer Ansicht nach authentischen, konstanten und glaubhaften Aussagen des Beschwerdegegners 2, wonach Beschimpfungen wie "Schwanzlutscher" oder "Arschficker" seitens der Beschwerdeführerin seit der Trennung in grosser Zahl und regelmässig vorgekommen seien. Dass sie geradezu besessen vom Thema einer angeblichen Homosexualität des Beschwerdegegners 2 gewesen sei, zeige sich an den zahl- und umfangreichen Chat-Verläufen. Aus diesen ergäben sich zudem wiederholt abrupte Stimmungswechsel der Beschwerdeführerin zwischen Verzweiflung und Hoffnungslosigkeit einerseits und geradezu leidenschaftlichen Beziehungs- und Familienwünschen andererseits. Sie selbst habe ausserdem eingeräumt, den Beschwerdegegner 2 wegen der vermuteten Homosexualität sowohl in der Vergangenheit wie auch beim streitigen Vorfall beschimpft zu haben, wenn auch nicht mit den angeklagten Worten. Die Vorinstanz hält im Anschluss fest, dass der Beschwerdegegner 2 keinerlei ersichtlichen Anlass für die Beschimpfungen gegeben habe. Beleidigungen wie jene beim besagten Vorfall seien vielmehr eine regelmässige Begleiterscheinung bei den Kindesübergaben gewesen. Dafür, dass der Beschwerdegegner 2 der Beschwerdeführerin mit
"Halsabschneiden" gedroht habe, fehle es an jeglichem nachvollziehbaren Anlass. Sein Hinweis, sie solle gut auf B.A.________ aufpassen, habe sich nach seinen plausiblen Angaben auf die bevorstehenden Ferien am Meer bezogen, was verständlich sei. Die Beschwerdeführerin habe auf diesbezügliche Nachfrage selbst angegeben, er habe damit wohl gemeint, dass B.A.________ gut essen, schlafen und einen ausgeglichenen Rhythmus haben solle.

4.3.5. Mit diesen Überlegungen setzt sich die Beschwerdeführerin nicht vertieft auseinander. Sie stellt der Vorinstanz einzig ihre Sicht der Dinge - nämlich, dass ihre Aussagen betreffend "Halsabschneiden" glaubwürdiger seien als diejenigen des Beschwerdegegners 2 - gegenüber. Den vor Bundesgericht geltenden Begründungsanforderungen ist damit nicht Genüge getan. Soweit auf die Beschwerde überhaupt eingetreten werden kann, sind die Ausführungen der Vorinstanz als schlüssig und nachvollziehbar zu bezeichnen. Insbesondere geht die Vorinstanz nicht davon aus, dass die Beschwerdeführerin den Beschwerdegegner 2 aus dem Nichts heraus beleidigte, sondern dass sie sich offenbar durch seinen Hinweis, sie solle in den Ferien gut auf den gemeinsamen Sohn aufpassen, provoziert fühlte. Dagegen hat der Beschwerdegegner 2, bevor er beschimpft wurde, gemäss willkürfreien Feststellungen der Vorinstanz kein ungebührliches Verhalten an den Tag gelegt und sind von ihm weder Tätlichkeiten noch Beschimpfungen ausgegangen. Insgesamt verneint die Vorinstanz das Vorliegen einer Provokation resp. einer Retorsion somit zu Recht. Der Vollständigkeit halber sei darauf hingewiesen, dass es sich bei diesen beiden Konstrukten um fakultative Strafbefreiungsgründe
handelt. Ein Freispruch, wie von der Beschwerdeführerin beantragt, liesse sich somit nicht mit dem Gesetz vereinbaren und eine Strafbefreiung bliebe selbst bei Vorliegen solcher Gründe im Ermessen des Gerichts (BGE 109 IV 39 E. 4b; Urteile 6B 640/2008 vom 12. Februar 2009 E. 2.1; 6B 146/2007 vom 24. August 2007 E. 5, nicht publ. in: BGE 133 IV 293).

4.4. Betreffend Schuldspruch wegen mehrfacher Tätlichkeit beruft sich die Beschwerdeführerin auf Notwehr. Mit ihren Ausführungen kommt sie den Vorgaben für Rechtsschriften gemäss Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG aber wiederum nicht nach. Zu grossen Teilen erschöpft sich die Beschwerdebegründung in theoretischen Ausführungen zum Notwehrrecht, ohne dass auf den konkreten Fall resp. die vorinstanzliche Entscheidbegründung Bezug genommen wird. Davon abgesehen bringt die Beschwerdeführerin einzig vor, sie sei vom Beschwerdegegner 2, der sich in hochexplosiver Stimmung befunden habe, rechtswidrig angegriffen worden. Ihre Abwehr - zunächst mit den Armen und den Beinen, die sie keilförmig zwischen den Beinen des Beschwerdegegners 2 platziert habe, und als das nichts genützt habe, mit leichten Tritten - sei verhältnismässig gewesen. Aus diesen Ausführungen geht aber insbesondere nicht hervor, welcher Art von Angriff sie ausgesetzt gewesen sein will. Der Angriff wird nur abstrakt umschrieben. Selbst wenn man gestützt auf den vorinstanzlich festgestellten Sachverhalt annehmen wollte, mit dem von ihr bezeichneten Angriff sei der erlittene Schlag gegen den Kopf gemeint, fehlt es an einer hinreichenden Auseinandersetzung mit den vorinstanzlichen Erwägungen.
Die Beschwerdeführerin müsste fundiert darlegen, weshalb sich der Beschwerdegegner 2 beim Schlag gegen ihren Kopf entgegen den Feststellungen der Vorinstanz nicht in einer Notwehrsituation (bedingt durch ihren tätlichen und mit Kratzen verbundenen Versuch, ihm den Sohn zu entreissen) befunden haben soll und weshalb ihre wiederholten Fusstritte eine verhältnismässige Verteidigung dagegen darstellen sollen. Ihr Vorbringen, das versuchte Entreissen des Kindes sei nicht mit einer körperlichen Attacke gleichzusetzen, reicht hierfür nicht aus und blendet insbesondere die beim Beschwerdegegner 2 aufgetretenen Schürfungen aus. Mangels hinreichender Begründung wird auch in diesem Punkt nicht auf die Beschwerde eingetreten.
Davon abgesehen erachtet die Vorinstanz den Tatbestand der Tätlichkeit nicht nur wegen der Fusstritte, sondern auch aufgrund der erwähnten, von der Beschwerdeführerin am Arm des Beschwerdegegners 2 verursachten Kratzern als erfüllt. Sie bestreitet diese nicht und behauptet nicht explizit, hierbei auch in Notwehr gehandelt zu haben, weshalb ein (gänzlicher) Freispruch vom Vorwurf der Tätlichkeit ohnehin nicht in Betracht kommen würde.

5.
Die Vorinstanz sprach den Beschwerdegegner 2 unter Annahme rechtfertigender Notwehr vom Vorwurf der einfachen Körperverletzung, begangen durch einen Stoss gegen den Oberkörper der Beschwerdeführerin, frei.

5.1.

5.1.1. Zunächst verneint die Vorinstanz entgegen den Behauptungen der Beschwerdeführerin, dass sie nach dem streitigen Stoss bewusstlos geworden und dadurch einen Filmriss erlitten habe. Sie begründet ihre Schlussfolgerung sorgfältig. So habe die Beschwerdeführerin erst einen Filmriss geltend gemacht, als ihr die Diskrepanz in ihren Aussagen zur Anzahl erlittener Schläge vorgehalten worden sei. Ihr Verhalten bei der rund dreistündigen polizeilichen Befragung einige Stunden nach dem Vorfall sei zudem als unauffällig und in jeder Hinsicht adäquat zu bezeichnen. Die Expertinnen des Instituts für Rechtsmedizin (IRM), denen sich die Beschwerdeführerin 2.5 bis 3.5 Stunden nach dem Vorfall präsentiert habe, hätten keine Ohnmacht erwähnt und auch die behandelnde Ärztin im Spital D.________ habe eine solche verneint. Schliesslich habe der Beschwerdegegner 2 dezidiert ausgesagt, die Beschwerdeführerin sei benommen, aber sicher nicht bewusstlos gewesen.

5.1.2. Dagegen bringt die Beschwerdeführerin einzig vor, konstant eine Bewusstlosigkeit geltend gemacht zu haben, während die Aussagen des Beschwerdegegners 2 als verharmlosende Schutzbehauptungen zu werten seien. Dass bei einem heftigen Aufprall mit dem Kopf gegen eine Wand und danach auf den Boden keine Ohnmacht eingetreten sein soll, sei nicht nachvollziehbar. Nur so liessen sich auch die aufgetretenen Erinnerungslücken erklären.
Diese Rügen sind nicht geeignet, Willkür darzutun, sondern erschöpfen sich weitgehend in appellatorischer Kritik am angefochtenen Urteil. Die Vorinstanz erachtet die Angaben des Beschwerdegegners 2 als glaubhaft, weil diese durch weitere Indizien gestützt werden, während dies bei den Aussagen der Beschwerdeführerin nicht der Fall ist. Zudem mag eine Bewusstlosigkeit nach einem Aufprall auf den Kopf im Allgemeinen zwar nicht unwahrscheinlich sein, was aber nichts über den konkreten Zustand der Beschwerdeführerin nach ihrem Sturz aussagt. Schliesslich verneint die Vorinstanz, wie bereits dargelegt, in willkürfreier Weise das Auftreten von Erinnerungslücken resp. einem Filmriss bei der Beschwerdeführerin (siehe E. 5.1.1 hiervor), weshalb sich auch daraus nichts zu einer Ohnmacht herleiten lässt.

5.2. Im Weiteren beanstandet die Beschwerdeführerin die Feststellung der Vorinstanz, wonach sie nur einen und nicht mehrere Schläge eingesteckt habe. Zur Begründung führt sie einzig an, bereits bei der polizeilichen Befragung ausgesagt zu haben, es seien mehrere Schläge (Plural) gewesen. Demgegenüber hält die Vorinstanz fest, die Beschwerdeführerin habe bei der Polizei selbst auf Nachfrage weitere Schläge verneint. Die anschliessende Aggravierung vor der Staatsanwaltschaft und der Erstinstanz scheine bewusst und gezielt. Die Beschwerdeführerin habe ausserdem ausgeführt, lediglich aufgrund der ärztlichen Berichte auf eine Mehrzahl von Schlägen zu schliessen. Träfe dies zu, müssten mehrere Stellen ihres Körpers, namentlich ihr Gesicht, entsprechende Verletzungen aufweisen, was aber aufgrund der Fotos und des IRM-Gutachtens zur körperlichen Untersuchung ausgeschlossen werden könne.
Die von der Beschwerdeführerin zitierte Aussage bei der Polizei "Auch habe ich ein leichtes Druckgefühl im Kopf, was ich auf die Schläge gegen den Kopf zurückführe" lässt diese Ausführungen nicht als schlechterdings unhaltbar erscheinen. Die Beschwerdeführerin setzt sich denn auch mit der vorinstanzlichen Aussagewürdigung und dem Verweis auf das fotografisch dokumentierte Verletzungsbild nicht (weiter) auseinander. Es ist im Ergebnis nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz nur von einem und nicht von mehreren Schlägen ausgeht.

5.3. Schliesslich rügt die Beschwerdeführerin eine bundesrechtswidrige Anwendung des Notwehrrechts.

5.3.1. Die Vorinstanz erachtet den Stoss gegen den Oberkörper der Beschwerdeführerin als durch Notwehr gerechtfertigt, da diese mit Fusstritten gegen den Beschwerdegegner 2 vorgegangen sei und ihn zwischen den Beinen habe treffen wollen. Er sei in berechtigter Sorge gewesen, dass er das Gleichgewicht verlieren und sein Sohn auf den Boden fallen könnte. Ausserdem habe er fürchten müssen, durch die Tritte verletzt zu werden. Angesichts der Vehemenz ihrer Attacke sei der Stoss gegen den Oberkörper der Beschwerdeführerin nicht unangemessen. Für den darauffolgenden Sturz auf den Boden treffe sie im Übrigen ein nicht unerhebliches Selbstverschulden, denn beim Austeilen mehrerer Tritte habe sie teilweise auf einem Bein stehen müssen, wodurch ihr Gleichgewicht beeinträchtigt gewesen sei.

5.3.2. Nach Ansicht der Beschwerdeführerin habe bei ihr, nicht beim Beschwerdegegner 2 eine Notwehrsituation vorgelegen. Er habe sie mehrfach gegen den Kopf geschlagen und sie habe sich in Not gewehrt, indem sie ihr Bein als Keil eingesetzt habe, um Abstand zu gewinnen. Als das nicht geholfen und sie weitere Schläge auf den Kopf erhalten habe, habe sie mit der Spitze ihrer Füsse zuerst andeutungsweise auf den Oberschenkel des Beschwerdegegners 2 und später stärker geschlagen. Es sei überdies bundesrechtswidrig, ihr ein Selbstverschulden am anschliessenden Sturz anzulasten.

5.3.3. Wird jemand ohne Recht angegriffen oder unmittelbar mit einem Angriff bedroht, so ist der Angegriffene und jeder andere berechtigt, den Angriff in einer den Umständen angemessenen Weise abzuwehren (sog. rechtfertigende Notwehr, Art. 15
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 15 - Quiconque, de manière contraire au droit, est attaqué ou menacé d'une attaque imminente a le droit de repousser l'attaque par des moyens proportionnés aux circonstances; le même droit appartient aux tiers.
StGB). Bei der Notwehr ist zwischen rechtfertigender Situation (Notwehrlage: unmittelbarer Angriff ohne Recht) und gerechtfertigter Handlung (Notwehrhandlung: angemessene Verteidigung) zu unterscheiden (Urteil 6B 303/2018 vom 2. November 2018 E. 2.3 mit Hinweisen). Es liegt kein rechtswidriger Angriff vor, wenn bereits dieser durch Notwehr gerechtfertigt ist.

5.3.4. Wie unter E. 5.2 hiervor dargelegt, geht die Vorinstanz willkürfrei von einem Schlag des Beschwerdegegners 2 aus. Mit ihrer Behauptung, sie habe sich mit den Beinen gegen anhaltende Schläge verteidigen müssen, ist die Beschwerdeführerin folglich nicht zu hören. Davon abgesehen trägt sie keine Argumente dafür vor, weshalb ihre wiederholten Fusstritte eine angemessene Abwehr gegen den einen Schlag des Beschwerdegegners 2 darstellen sollten. Wenn die Vorinstanz ihr das Notwehrrecht abspricht, ihre Fusstritte als rechtswidrigen Angriff wertet (zum Schuldspruch wegen mehrfacher Tätlichkeiten siehe E. 4.4 hiervor) und deshalb dem Beschwerdegegner 2 seinerseits ein Notwehrrecht zuerkennt, verletzt sie kein Bundesrecht.

6.
Zusammenfassend halten sowohl die Verurteilung der Beschwerdeführerin wegen Beschimpfung und mehrfacher Tätlichkeit wie auch der Freispruch des Beschwerdegegners 2 vom Vorwurf der einfachen Körperverletzung durch Stoss gegen den Oberkörper vor Bundesrecht stand. Die Beschwerden werden abgewiesen, soweit darauf eingetreten werden kann. Ausgangsgemäss wird die Beschwerdeführerin für die beiden Verfahren kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Der Beschwerdegegner 2 wurde nicht zur Vernehmlassung aufgefordert, weshalb ihm vor Bundesgericht keine entschädigungswürdigen Nachteile entstanden sind.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Verfahren 6B 1056/2020 und 6B 1057/2020 werden vereinigt.

2.
Die Beschwerden werden abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

3.
Die Gerichtskosten von Fr. 6'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 25. August 2021

Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari

Die Gerichtsschreiberin: Lustenberger
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 6B_1056/2020
Date : 25 août 2021
Publié : 10 septembre 2021
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Infractions
Objet : Einfache Körperverletzung im Sinne von Art. 123 Ziff. 1 StGB, Notwehr; Willkür (6B_1056/2020); Beschimpfung, mehrfache Tätlichkeiten, Notwehr; Willkür (6B_1057/2020)


Répertoire des lois
CP: 15 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 15 - Quiconque, de manière contraire au droit, est attaqué ou menacé d'une attaque imminente a le droit de repousser l'attaque par des moyens proportionnés aux circonstances; le même droit appartient aux tiers.
123 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 123 - 1. Quiconque, intentionnellement, fait subir à une personne une autre atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est puni sur plainte d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
1    Quiconque, intentionnellement, fait subir à une personne une autre atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est puni sur plainte d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
2    L'auteur est poursuivi d'office,
177
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 177 - 1 Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
1    Quiconque, de toute autre manière, attaque autrui dans son honneur par la parole, l'écriture, l'image, le geste ou par des voies de fait, est, sur plainte, puni d'une peine pécuniaire de 90 jours-amende au plus.
2    Le juge peut renoncer à prononcer une peine si l'injurié provoque directement l'injure par une conduite répréhensible.
3    Si l'injurié riposte immédiatement par une injure ou par des voies de fait, le juge peut renoncer à prononcer une peine contre les deux auteurs ou l'un d'eux.
Cst: 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
71 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 71 - Lorsque la présente loi ne contient pas de dispositions de procédure, les dispositions de la PCF31 sont applicables par analogie.
81 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
PCF: 24
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 24 - 1 Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires.
1    Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires.
2    Plusieurs personnes peuvent agir comme demandeurs ou être actionnées comme défendeurs par la même demande:
a  s'il existe entre elles, en raison de l'objet litigieux, une communauté de droit ou si leurs droits ou leurs obligations dérivent de la même cause matérielle et juridique. Le juge peut appeler en cause un tiers qui fait partie de la communauté de droit. L'appelé en cause devient partie au procès;
b  si des prétentions de même nature et reposant sur une cause matérielle et juridique essentiellement de même nature forment l'objet du litige et que la compétence du Tribunal fédéral soit donnée à l'égard de chacune d'elles.
3    Le juge peut en tout état de cause ordonner la disjonction, s'il l'estime opportun.
Répertoire ATF
109-IV-39 • 133-IV-215 • 133-IV-293 • 143-IV-122 • 143-IV-434 • 143-IV-500 • 143-V-19 • 146-IV-88 • 147-IV-73
Weitere Urteile ab 2000
6B_1056/2020 • 6B_1057/2020 • 6B_146/2007 • 6B_257/2020 • 6B_282/2021 • 6B_298/2020 • 6B_303/2018 • 6B_324/2014 • 6B_640/2008
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
intimé • autorité inférieure • injure • tribunal fédéral • légitime défense • lésion corporelle simple • état de fait • chute • langue • peine pécuniaire • vacances • acquittement • condamnation • nombre • violation du droit • acte de recours • recours en matière pénale • tort moral • dommages-intérêts • provocation
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