Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 67/2022
Urteil vom 24. Oktober 2022
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, als präsidierendes Mitglied,
Bundesrichter Muschietti,
Bundesrichterin van de Graaf,
Gerichtsschreiberin Pasquini.
Verfahrensbeteiligte
1. A.A.________,
2. B.A.________,
3. C.A.________,
alle drei vertreten durch Rechtsanwalt Rolf Müller,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Staatsanwaltschaft See/Oberland, Postfach, 8610 Uster,
2. D.D.________,
3. E.D.________,
4. F.________,
alle drei vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Roland Gfeller,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Nichtanhandnahme (Betrug, Wucher, etc.),
Beschwerde gegen den Beschluss des Obergerichts des Kantons Zürich, III. Strafkammer, vom 25. November 2021 (UE190379-O/U/GRO).
Sachverhalt:
A.
Am 7. März 2019 erstatteten A.A.________, B.A.________ und C.A.________ Strafanzeige gegen D.D.________, E.D.________ und F.________ wegen Betrugs, Wucher und ungetreuer Geschäftsbesorgung im Zusammenhang mit der Umsetzung eines Bauprojekts. Zusammengefasst machen sie geltend, D.D.________, E.D.________ und F.________ hätten sich mittels eines ausgeklügelten Plans, unter Vortäuschung falscher Tatsachen und Ausbeutung einer absichtlich erzeugten Notlage das Bauprojekt angeeignet. Die drei sollen A.A.________, B.A.________ und C.A.________ Finanzierungsprobleme vorgetäuscht und sie so dazu bewogen haben, ihnen ihr Grundstück zum Preis von Fr. 660'000.-- zu überlassen.
Die Staatsanwaltschaft See/Oberland erliess am 18. November 2019 eine Nichtanhandnahmeverfügung.
B.
Das Obergericht des Kantons Zürich wies die von A.A.________, B.A.________ und C.A.________ gegen die Nichtanhandnahmeverfügung erhobene Beschwerde mit Beschluss vom 25. November 2021 ab, soweit es darauf eintrat.
C.
A.A.________, B.A.________ und C.A.________ beantragen mit Beschwerde in Strafsachen, der Beschluss des Obergerichts des Kantons Zürich vom 25. November 2021 sei vollumfänglich aufzuheben, die Sache sei zur Neubeurteilung der Kosten- und Entschädigungsfolgen an die Vorinstanz zurückzuweisen und die Staatsanwaltschaft See/Oberland sei anzuweisen, eine Strafuntersuchung gegen D.D.________, E.D.________ und F.________ zu eröffnen. Eventualiter sei die Sache an die Vorinstanz zur Neubeurteilung zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerdeführer bringen vor, sie hätten sich im Verfahren als Privatkläger konstituiert. Aus den zur Anzeige gebrachten Delikten und aus der Beschwerdebegründung ergibt sich klar, weshalb bzw. welche Zivilansprüche sie gegen die Beschwerdegegner 2-4 geltend machen wollen (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
2.
2.1. Die Beschwerdeführer wenden sich gegen die Nichtanhandnahme und rügen, die Vorinstanz verletze den Grundsatz "in dubio pro duriore", das Willkürverbot und ihren Anspruch auf rechtliches Gehör. Im Wesentlichen machen sie geltend, die Vorinstanz nehme zu Unrecht an, in der Rechnung der G.________ GmbH seien auch alte Aufwände verrechnet worden, obwohl sich diese Rechnung einzig auf das aktuelle Projekt beziehe. Die vorinstanzliche Schlussfolgerung, diese Rechnung sei verhältnismässig, sei deshalb willkürlich. Zudem stelle die Vorinstanz auf Medianwerte ab, ohne den wahren Wert der verkauften Parzelle zu berechnen und ohne dabei den Einzelfall zu berücksichtigen. Aufgrund des fehlenden fachlichen Verständnisses der Beschwerdeführer, der Vertrauensposition der Beschwerdegegner und wegen ihres treuewidrigen Verhaltens und der Durchsetzung von stark überhöhten sowie hypothekarisch abgesicherten Darlehensschulden sei es soweit gekommen, dass sie ihr Grundstück geteilt hätten und die nördliche Parzelle für einen massiv unter dem Marktwert liegenden Preis verkauft hätten, den die Beschwerdegegner mit Verrechnungsforderungen hätten tilgen können. Indem die Vorinstanz im Grunde genommen einzig darauf hinweise, dass aufgrund der
gegenteiligen Parteidarstellungen kein Tatsachenfundament vorhanden sei, verkenne sie, dass es die Aufgabe der Strafbehörden sei, den Sachverhalt zu ermitteln. Da trotz offenkundigem Tatverdacht keine Untersuchung eröffnet worden sei, liege eine Verletzung von Art. 309 Abs. 1 lit. a
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 309 Ouverture - 1 Le ministère public ouvre une instruction: |
|
1 | Le ministère public ouvre une instruction: |
a | lorsqu'il ressort du rapport de police, des dénonciations ou de ses propres constatations des soupçons suffisants laissant présumer qu'une infraction a été commise; |
b | lorsqu'il ordonne des mesures de contrainte; |
c | lorsqu'il est informé par la police conformément à l'art. 307, al. 1. |
2 | Il peut renvoyer à la police, pour complément d'enquête, les rapports et les dénonciations qui n'établissent pas clairement les soupçons retenus. |
3 | Le ministère public ouvre l'instruction par une ordonnance dans laquelle il désigne le prévenu et l'infraction qui lui est imputée. L'ordonnance n'a pas à être motivée ni notifiée. Elle n'est pas sujette à recours. |
4 | Le ministère public renonce à ouvrir une instruction lorsqu'il rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière ou une ordonnance pénale. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 310 Ordonnance de non-entrée en matière - 1 Le ministère public rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière s'il ressort de la dénonciation ou du rapport de police: |
|
1 | Le ministère public rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière s'il ressort de la dénonciation ou du rapport de police: |
a | que les éléments constitutifs de l'infraction ou les conditions à l'ouverture de l'action pénale ne sont manifestement pas réunis; |
b | qu'il existe des empêchements de procéder; |
c | que les conditions mentionnées à l'art. 8 imposent de renoncer à l'ouverture d'une poursuite pénale. |
2 | Au surplus, les dispositions sur le classement de la procédure sont applicables. |
2.2. Zunächst hält die Vorinstanz fest, die Beschwerdeführer hätten das fragliche Grundstück im Jahre 2006 für Fr. 1'380'000.-- erworben. Es habe sich in ihrem Miteigentum befunden. Die Beschwerdeführer hätten seit Längerem geplant, dort einen Neubau mit rund 10 Wohnungen und/oder Gewerbeeinheiten errichten zu lassen. Für die Umsetzung des Bauvorhabens hätten sie im Jahr 2015 den Beschwerdegegner 4, Geschäftsführer und Präsident des Verwaltungsrates mit Einzelunterschrift der H.________ AG, die im Versicherungs-, Immobilien- und Treuhandgeschäft tätig sei, beauftragt. Der Beschwerdegegner 4 bzw. die H.________ AG sei für das Unternehmen der Beschwerdeführer treuhänderisch tätig gewesen, wobei es sich beim Beschwerdegegner 4 um einen Freund und langjährigen Vertrauten der Beschwerdeführer gehandelt habe. Diese hätten der H.________ AG mit Vertrag vom 20. Mai 2015 ein Verkaufs- und Verwaltungsmandat erteilt und ihr eine Generalvollmacht ausgestellt. Das Mandat habe grundsätzlich sämtliche Aufgaben rund um das geplante Bauvorhaben beinhaltet (Beschluss S. 5 f. E. II.1). In einem weiteren Schritt auf dem Weg zur Umsetzung des Bauvorhabens hätten die Beschwerdeführer (als Grundeigentümer des Grundstücks) und der Beschwerdegegner 4 (als
Verwalter und Verkäufer des Projekts) mit der G.________ GmbH, handelnd durch die Beschwerdegegner 2 und 3, am 20. Juli 2015 eine Bauträger- und Verwaltungsgesellschaft, d.h. ein Baukonsortium, gegründet. Die G.________ GmbH habe die Architekturleistungen und die Bauführung übernommen (Beschluss S. 6 E. II.1). In der Folge hätten die Beschwerdegegner 2-4 von den Beschwerdeführern den nördlichen Teil der Parzelle für einen Bruttopreis in der Höhe von Fr. 800'000.-- erworben. Die Beschwerdegegner 2-4 hätten das Projekt mit 10 Stockwerkeigentumseinheiten auf ihrer Parzelle schliesslich umgesetzt. Sämtliche Einheiten gehörten (von einer bereits verkauften Einheit abgesehen) der G.________ GmbH und der H.________ AG, die per 27. Mai 2019 als Gesamteigentümer im Grundbuch eingetragen gewesen seien (Beschluss S. 6 f. E. II.2).
Ferner stellt die Vorinstanz fest, in der Strafanzeige würden die Beschwerdeführer den Beschwerdegegnern 2-4 vorwerfen, diese hätten sich das Bauvorhaben mittels betrügerischer Machenschaften angeeignet. Die Beschwerdegegner 2-4 seien dabei wie folgt vorgegangen: Nach der Gründung des Baukonsortiums hätten sie über die G.________ GmbH eine stark überhöhte Rechnung vom 19. November 2015 im Betrag von Fr. 383'634.-- gestellt und die Beschwerdeführer dadurch gezielt in eine finanzielle Notlage gedrängt. Da diese den Betrag nicht hätten aufbringen können, was der Beschwerdegegner 4 als ihr langjähriger Vertrauter gewusst habe, seien sie gezwungen gewesen, die Forderung in ein Darlehen zu Gunsten der G.________ GmbH umzuwandeln. Weiter hätten sie für den geschuldeten Betrag als Sicherheit auf ihrem Grundstück ein Grundpfand (in der zweiten Pfandstelle) errichten müssen. Wenig später habe ihnen der Beschwerdegegner 4 mitgeteilt, dass die G.________ GmbH für dringliche Aufwendungen im Zusammenhang mit dem Bauprojekt weitere Fr. 200'000.-- benötige. Auch dieses Geld hätten die Beschwerdeführer nicht aufbringen können. Auf Empfehlung des Beschwerdegegners 4 hätten sie daher bei einer ihnen unbekannten Unternehmung ein Darlehen im Umfang
von Fr. 200'000.-- aufgenommen. Dieses sei ebenfalls mit einem auf ihrem Grundstück lastenden Grundpfand abgesichert worden. Es sei unklar, wohin die Fr. 200'000.-- geflossen seien. Die zuständige Baukommission habe das Baugesuch der geplanten Liegenschaft bereits am 6. Juli 2015 bewilligt. Die Umsetzung des Projekts sei lediglich noch davon abhängig gewesen, dass die Beschwerdeführer einen Baukredit erhalten würden. Der Beschwerdegegner 4 habe jedoch vorgegeben, dass er es nicht schaffe, eine Finanzierung durch eine Bank für sie aufzutreiben. Letztlich hätten sich die Beschwerdeführer gezwungen gesehen, das ursprüngliche Grundstück zu parzellieren und die nördliche Parzelle auf die Beschwerdegegner 2-4 zu übertragen. Diese hätten die Finanzierung des Projekts mit allen Mitteln verhindert und vor jeder machbaren Lösung abgeraten, die eine direkte Beteiligung der Beschwerdeführer vorgesehen habe (Beschluss S. 7 f. E. II.3). Es sei arglistig, auf dem gekauften Grundstück das zunächst an die Beschwerdeführer verkaufte Projekt zu verwirklichen, ohne es zurückzukaufen und ohne ihnen die Schulden (aus der Planung, Projektierung etc. im Umfang von ca. Fr. 590'000.--) zu erlassen (Beschluss S. 8 f. E. II.3).
Zusammengefasst erwägt die Vorinstanz, es lägen keine ausreichenden Verdachtsgründe für ein strafrechtliches Verhalten der Beschwerdegegner 2-4 vor. Allfällige Ansprüche aus der Auflösung des ursprünglichen Baukonsortiums müssten auf zivilrechtlichem Weg geltend gemacht werden. Es könne grundsätzlich auf die Ausführungen in der Nichtanhandnahmeverfügung verwiesen werden, die lediglich mit einigen Erwägungen zu ergänzen seien (Beschluss S. 11 E. 6.1).
2.3.
2.3.1. Gemäss Art. 309 Abs. 1 lit. a
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 309 Ouverture - 1 Le ministère public ouvre une instruction: |
|
1 | Le ministère public ouvre une instruction: |
a | lorsqu'il ressort du rapport de police, des dénonciations ou de ses propres constatations des soupçons suffisants laissant présumer qu'une infraction a été commise; |
b | lorsqu'il ordonne des mesures de contrainte; |
c | lorsqu'il est informé par la police conformément à l'art. 307, al. 1. |
2 | Il peut renvoyer à la police, pour complément d'enquête, les rapports et les dénonciations qui n'établissent pas clairement les soupçons retenus. |
3 | Le ministère public ouvre l'instruction par une ordonnance dans laquelle il désigne le prévenu et l'infraction qui lui est imputée. L'ordonnance n'a pas à être motivée ni notifiée. Elle n'est pas sujette à recours. |
4 | Le ministère public renonce à ouvrir une instruction lorsqu'il rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière ou une ordonnance pénale. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 310 Ordonnance de non-entrée en matière - 1 Le ministère public rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière s'il ressort de la dénonciation ou du rapport de police: |
|
1 | Le ministère public rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière s'il ressort de la dénonciation ou du rapport de police: |
a | que les éléments constitutifs de l'infraction ou les conditions à l'ouverture de l'action pénale ne sont manifestement pas réunis; |
b | qu'il existe des empêchements de procéder; |
c | que les conditions mentionnées à l'art. 8 imposent de renoncer à l'ouverture d'une poursuite pénale. |
2 | Au surplus, les dispositions sur le classement de la procédure sont applicables. |
Ein Strafverfahren kann mithin in sachverhaltsmässig und rechtlich klaren Fällen gemäss Art. 310 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 310 Ordonnance de non-entrée en matière - 1 Le ministère public rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière s'il ressort de la dénonciation ou du rapport de police: |
|
1 | Le ministère public rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière s'il ressort de la dénonciation ou du rapport de police: |
a | que les éléments constitutifs de l'infraction ou les conditions à l'ouverture de l'action pénale ne sont manifestement pas réunis; |
b | qu'il existe des empêchements de procéder; |
c | que les conditions mentionnées à l'art. 8 imposent de renoncer à l'ouverture d'une poursuite pénale. |
2 | Au surplus, les dispositions sur le classement de la procédure sont applicables. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 309 Ouverture - 1 Le ministère public ouvre une instruction: |
|
1 | Le ministère public ouvre une instruction: |
a | lorsqu'il ressort du rapport de police, des dénonciations ou de ses propres constatations des soupçons suffisants laissant présumer qu'une infraction a été commise; |
b | lorsqu'il ordonne des mesures de contrainte; |
c | lorsqu'il est informé par la police conformément à l'art. 307, al. 1. |
2 | Il peut renvoyer à la police, pour complément d'enquête, les rapports et les dénonciations qui n'établissent pas clairement les soupçons retenus. |
3 | Le ministère public ouvre l'instruction par une ordonnance dans laquelle il désigne le prévenu et l'infraction qui lui est imputée. L'ordonnance n'a pas à être motivée ni notifiée. Elle n'est pas sujette à recours. |
4 | Le ministère public renonce à ouvrir une instruction lorsqu'il rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière ou une ordonnance pénale. |
vom 19. Oktober 2020 E. 2.3.2; je mit Hinweisen). Der Grundsatz "in dubio pro duriore" gelangt erst dann zur Anwendung, wenn gestützt auf die Aktenlage zweifelhaft ist, ob ein hinreichender Tatverdacht erhärtet ist, der eine Anklage rechtfertigt bzw. eine Verurteilung wahrscheinlich macht (Urteil 6B 834/2019 vom 11. Dezember 2019 E. 3.3.1 mit Hinweis). Im Zweifelsfall, wenn die Nichtanhandnahmegründe nicht mit absoluter Sicherheit gegeben sind, muss das Verfahren eröffnet werden (vgl. BGE 143 IV 241 E. 2.2; 138 IV 86 E. 4.1; 137 IV 219 E. 7 und 285 E. 2.3). Die Strafverfolgungsbehörde und die Beschwerdeinstanz verfügen in diesem Rahmen über einen gewissen Ermessensspielraum, in den das Bundesgericht nur mit Zurückhaltung eingreift (BGE 137 IV 122 E. 3.2).
2.3.2. Das Bundesgericht prüft im Rahmen einer Beschwerde gegen die Nichtanhandnahme nicht wie beispielsweise bei einem Schuldspruch, ob die vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen willkürlich sind (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.4. Die Beschwerde erweist sich als unbegründet, soweit darauf überhaupt eingetreten werden kann. Die Vorinstanz gelangt mit überzeugenden Gründen zum Schluss, es liege in strafrechtlicher Hinsicht ein klarer Sachverhalt vor und die angezeigten Straftaten (Betrug, Wucher, ungetreue Geschäftsbesorgung, etc.) seien eindeutig nicht gegeben. Was die Beschwerdeführer dagegen vorbringen, vermag nichts an diesem Ergebnis zu ändern. Insbesondere zeigen sie nicht auf, inwiefern der vorinstanzliche Schluss, es liege ein klarer Fall vor, unhaltbar sein soll. Namentlich ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz feststellt, die Rechnung der G.________ GmbH vom 19. November 2015 erscheine nicht von Vornherein als unverhältnismässig. Mit den Beschwerdeführern ist festzuhalten, dass die fragliche Rechnung nicht ganz klar und schwer nachvollziehbar ist (Rechnung der G.________ GmbH vom 19. November 2015, vorinstanzliche Akten act. 15/2/9). Zwar kann im Grundsatz der Argumentation der Beschwerdeführer und ihren Berechnungen, wonach sich das Total dieser Rechnung von Fr. 383'634.-- auf das neue Projekt beziehe (Beschwerde S. 8 f.; Rechnung der G.________ GmbH vom 19. November 2015, vorinstanzliche Akten act. 15/2/9), durchaus gefolgt werden.
Allerdings kann in diesem Zusammenhang nicht unerwähnt bleiben, dass zwischen den Beschwerdeführern und der G.________ GmbH schon seit mehreren Jahren eine Vertragsbeziehung hinsichtlich Bauprojekte an nämlicher Örtlichkeiten bestand und dass damit zusammenhängende Leistungen erbracht wurden, was die Beschwerdeführer denn auch nicht in Abrede stellen. Mithin muss ebenso einbezogen werden, dass auf der fraglichen Rechnung nach der vorerwähnten Aufstellung zum neuen Bauvorhaben auch Nachträge mit einem "Total Vorgängerprojekt gemäss Vertrag" von insgesamt Fr. 224'000.--, Kosten für die Abänderung in der Höhe von Fr. 45'000.-- und Kosten für das Abparzellierungsprojekt in der Höhe von Fr. 2'250.-- aufgeführt sind, wobei unklar ist, ob bzw. inwiefern diese Beträge in dem den Beschwerdeführern in Rechnung gestellten Total von Fr. 383'634.-- enthalten sind oder nicht (Rechnung der G.________ GmbH vom 19. November 2015, vorinstanzliche Akten act. 15/2/9). Im Ergebnis ist es somit nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz festhält, vor dem Hintergrund der seit Jahren bestehenden Vertragsbeziehungen zwischen den Parteien und der damit im Zusammenhang erbrachten Leistungen erscheine der in Rechnung gestellte Betrag nicht von Vornherein als
unverhältnismässig (Beschluss S. 11 E. 6.1; Nichtanhandnahmeverfügung S. 5). Im Weiteren weist die Vorinstanz zu Recht darauf hin, dass der Tatbestand des Betrugs eine arglistige Täuschung voraussetzt. Falls aus Sicht der Beschwerdeführer die Vermutung bestanden habe, dass auf der fraglichen Rechnung Kosten aufgeführt seien, die nicht geschuldet gewesen seien, sei zu berücksichtigen, dass es ihnen freigestanden hätte, bei der G.________ GmbH Erläuterungen anzufordern, die Aufschluss über das Zustandekommen des Rechnungsbetrags gegeben hätten. Entsprechende Abklärungen seien den Beschwerdeführern denn auch zuzumuten gewesen und hätten bei Bedarf weitere Erkenntnisse gebracht. Es sei davon auszugehen, dass sie mit den hiesigen Gepflogenheiten im Geschäftsverkehr durchaus vertraut seien, zumal sie seit dem Jahr 2002 ein Familienunternehmen führten, welches je nach Saison in mehreren Geschäftszweigen bis zu 30 Mitarbeitende beschäftige (Beschluss S. 5 E. II.1, S. 12 E. 6.2b und S. 13 E. 6.2c). Was die Beschwerdeführer hiegegen einwenden, geht nicht über eine appellatorische Kritik hinaus. Auch auf die Ausführungen der Beschwerdeführer zu den weiteren angeblich (unrechtmässig) eingeforderten Fr. 200'000.-- (z.B. Beschwerde S. 11 und S.
15 f.) kann nicht eingetreten werden, da sie sich nicht einmal ansatzweise mit den diesbezüglichen Erwägungen im angefochtenen Entscheid auseinandersetzen (Beschluss S. 11 f. E. 6.2a). Diesen ist im Übrigen nichts hinzuzufügen. Ausserdem legen die Beschwerdeführer auch nicht hinreichend dar, inwiefern der Schluss der Vorinstanz, es bestünden keine Anhaltspunkte dafür, dass die Beschwerdegegner als Teil eines betrügerischen Plans die Finanzierung des Bauprojekts hätten scheitern lassen bzw. diese ihnen nicht wirklich hätten helfen wollen (Beschluss S. 11 E. 6.1 und S. 13 E. 6.2c; Nichtanhandnahmeverfügung S. 5 f.), zu beanstanden sein soll. So erschöpft sich der diesbezügliche Einwand der Beschwerdeführer, es könne mit Sicherheit ausgeschlossen werden, dass eine Bank ein solches Projekt alleine wegen eines Betreibungsregisterauszugs nicht finanziere (Beschwerde S. 12), in einer blossen appellatorischen Vermutung. Schliesslich vermögen die Beschwerdeführer mit ihren Berechnungen betreffend Wertsteigerung und ihrem unzutreffenden Hinweis, die ihnen in Rechnung gestellten Kosten für das Bauprojekt in der Höhe von rund Fr. 390'000.-- seien auf den Grundstückswert aufzurechnen, nicht darzutun, dass der Schluss der Vorinstanz, aufgrund
des Medianpreises könne ausgeschlossen werden, dass der effektive Verkaufspreis der nördlichen Parzelle in einem strafrechtlich relevanten Missverhältnis zum üblichen Marktpreis gestanden haben könnte (Beschluss S. 14 f. E. 6.2d), offensichtlich unhaltbar sein soll.
Insgesamt bestätigt die Vorinstanz die Nichtanhandnahmeverfügung der Staatsanwaltschaft somit zu Recht.
3.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Die Beschwerdeführer tragen die Kosten des Verfahrens solidarisch (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden den Beschwerdeführern unter solidarischer Haftbarkeit auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, III. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 24. Oktober 2022
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Das präsidierende Mitglied: Denys
Die Gerichtsschreiberin: Pasquini