Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 523/2018
Urteil vom 23. August 2018
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichterin Jametti,
nebenamtliche Bundesrichterin Wasser-Keller,
Gerichtsschreiber Faga.
Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Bruno Bauer,
Beschwerdeführer,
gegen
Staatsanwaltschaft des Kantons St. Gallen, Schützengasse 1, 9001 St. Gallen,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Strafzumessung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Kantonsgerichts St. Gallen, Strafkammer, vom 6. Februar 2018 (ST.2017.130-SK3).
Sachverhalt:
A.
Das Kreisgericht Werdenberg-Sarganserland sprach X.________ mit Entscheid vom 30. Mai 2017 des bandenmässigen Raubes, des gewerbs- und bandenmässigen Diebstahls, des mehrfachen Hausfriedensbruchs sowie der mehrfachen Sachbeschädigung schuldig. Es verurteilte ihn zu 6 ½ Jahren Freiheitsstrafe, unter Anrechnung von Haft und vorzeitigem Strafvollzug. X.________ wurde zur Bezahlung der von ihm anerkannten Zivilforderungen der Privatkläger verpflichtet und im Übrigen wurden die Privatkläger mit ihren Zivilforderungen auf den Zivilweg verwiesen. Gegen dieses Urteil legte X.________ Berufung ein, mit welcher er eine mildere Bestrafung verlangte. Daraufhin erklärte die Staatsanwaltschaft des Kantons St. Gallen Anschlussberufung, womit sie die Erhöhung der erstinstanzlichen Freiheitsstrafe auf 8 Jahre forderte.
B.
Am 6. Februar 2018 bestätigte das Kantonsgericht St. Gallen den erstinstanzlichen Entscheid in allen Punkten. Es bestrafte X.________ wegen bandenmässigen Raubes, gewerbs- und bandenmässigen Diebstahls, mehrfachen Hausfriedensbruchs und mehrfacher Sachbeschädigung mit einer Freiheitsstrafe von 6 ½ Jahren, woran es 42 Tage Auslieferungshaft, 66 Tage Untersuchungshaft und 692 Tage vorzeitigen Strafvollzug anrechnete. Das Kantonsgericht St. Gallen auferlegte X.________ die Kosten der Untersuchung und des erstinstanzlichen Verfahrens vollumfänglich und die Kosten des Berufungsverfahrens zu drei Fünfteln. Zwei Fünftel überband es dem Staat.
C.
X.________ lässt Beschwerde in Strafsachen führen und beantragt, Ziffer 3 des Entscheids des Kantonsgerichts St. Gallen sei aufzuheben. Er sei zu einer Freiheitsstrafe von maximal 5½ Jahren sowie zu einer Geldstrafe von maximal 180 Tagessätzen zu je 30 Franken zu verurteilen, unter Anrechnung der erstandenen Haft und des vorzeitigen Strafvollzugs. Weiter sei Ziffer 7 des vorinstanzlichen Urteils aufzuheben und die Kosten des Berufungsverfahrens seien ihm zu maximal einem Zweitel aufzuerlegen. Eventualiter sei der angefochtene Entscheid in den erwähnten Punkten aufzuheben und zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Zudem ersucht X.________ vorsorglich um unentgeltliche Rechtspflege.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Strafzumessung. Er rügt zunächst die vorinstanzliche Gesamtstrafenbildung als nicht bundesrechtskonform, weil die Delikte Hausfriedensbruch und Sachbeschädigung, für welche - isoliert betrachtet - keine Freiheitsstrafe, sondern vielmehr eine Geldstrafe auszufällen wäre, in die Bildung der ausgefällten Gesamtfreiheitsstrafe einbezogen worden seien. Das widerspreche den Grundsätzen der Gesamtstrafenbildung gemäss Art. 49
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
Sachbeschädigungen offensichtlich nichts anderes als im Gesamtkontext "unbedeutende" Begleit- bzw. Nebentaten, die entsprechend einzeln zu werten seien. Der Gesamtzusammenhang, in dem diese Delikte stünden, könne für sich genommen nicht dazu führen, dass im Gesamtkontext lediglich geradezu unbedeutende (Neben-) Taten plötzlich mit mehrmonatigen Freiheitsstrafen - anstatt, was schuldangemessen und richtig wäre, mit Geldstrafen - sanktioniert würden. Es sei daher - der Vorinstanz folgend - eine Gesamtfreiheitsstrafe für den Raub sowie die banden- und gewerbsmässigen Diebstähle und eine Gesamtgeldstrafe für die Sachbeschädigungen und Hausfriedensbrüche auszufällen, wobei für letztere eine Geldstrafe von 180 Tagessätzen schuldangemessen sei.
1.2.
1.2.1. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
1.2.2. Hat der Täter durch eine oder mehrere Handlungen die Voraussetzungen für mehrere gleichartige Strafen erfüllt, so verurteilt ihn das Gericht zu der Strafe der schwersten Straftat und erhöht sie angemessen. Es darf jedoch das Höchstmass der angedrohten Strafe nicht um mehr als die Hälfte erhöhen und ist an das gesetzliche Höchstmass der Strafart gebunden (Art. 49 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
Die Bildung einer Gesamtstrafe im Sinne von Art. 49 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
Das Bundesgericht hält in seinem Entscheid 6B 483/2016 vom 30. April 2018 (zur Publikation vorgesehen) unter Hinweis auf den Gesetzgeber auch nach der Änderung des Sanktionenrechts ausdrücklich am Prinzip der Zulässigkeit einer Gesamtstrafe nur bei gleichartigen Strafen unter Anwendung der konkreten Methode fest (E. 3.3.4 und 3.5.4). Weiter bekräftigt das Bundesgericht die Ungleichartigkeit von Freiheitsstrafe und Geldstrafe (E. 3.3.3). Zum methodischen Vorgehen präzisiert das Bundesgericht, dass in einem ersten Schritt die Einzelstrafen für die konkreten Delikte festzulegen sind und anschliessend geprüft werden muss, aus welchen Einzelstrafen Gesamtstrafen zu bilden sind. Im Rahmen der Gesamtstrafenbildung ist auch dem Verhältnis der einzelnen Taten untereinander, ihrem Zusammenhang, ihrer grösseren oder geringeren Selbständigkeit sowie der Gleichheit oder Verschiedenheit der verletzten Rechtsgüter und Begehensweisen Rechnung zu tragen. Dabei gilt der Grundsatz, dass der Gesamtschuldbeitrag des einzelnen Delikts geringer zu veranschlagen ist, wenn Delikte zeitlich, sachlich und situativ in einem engen Zusammenhang stehen (Urteil 6B 483/2016 vom 30. April 2018 E. 3.5.4, 4.1 und 4.3; zur Publikation vorgesehen).
Gleichzeitig bestätigt das Bundesgericht im Urteil 6B 483/2016 grundsätzlich die Zulässigkeit von Ausnahmen von der konkreten Methode im Einzelfall gemäss seiner jüngeren Rechtsprechung (E. 2.4 mit Hinweisen und E. 4.3), so wenn - unter Beachtung des Verhältnismässigkeitsprinzips im Rahmen von Art. 41
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 41 - 1 Le juge peut prononcer une peine privative de liberté à la place d'une peine pécuniaire: |
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1 | Le juge peut prononcer une peine privative de liberté à la place d'une peine pécuniaire: |
a | si une peine privative de liberté paraît justifiée pour détourner l'auteur d'autres crimes ou délits, ou |
b | s'il y a lieu de craindre qu'une peine pécuniaire ne puisse pas être exécutée. |
2 | Il doit motiver le choix de la peine privative de liberté de manière circonstanciée. |
3 | Est réservée la peine privative de liberté prononcée par conversion d'une peine pécuniaire (art. 36). |
1.2.3. Für Strafen von weniger als sechs Monaten ist grundsätzlich eine Geldstrafe auszusprechen (Art. 34 Abs. 1, Art. 40 und 41 Abs. 1 aStGB). Für Strafen von sechs Monaten bis zu einem Jahr sieht das Gesetz die Geldstrafe (Art. 34 aStGB) und die Freiheitsstrafe (Art. 40 aStGB) vor. Gemäss Art. 41 aStGB ist die Geldstrafe im Bereich leichter Kriminalität die Regelsanktion und geht bei Strafen bis zu sechs Monaten freiheitsentziehenden Sanktionen vor. Daran hat der Gesetzgeber im Rahmen der erneuten Revision des Sanktionenrechts entgegen der ursprünglichen Stossrichtung festgehalten (Urteil 6B 483/2016 vom 30. April 2018 E. 3.6 mit Hinweisen, zur Publikation vorgesehen). Die Freiheitsstrafe als eingriffsintensivste Sanktion ist nach der gesetzlichen Konzeption ultima ratio und kann nur verhängt werden, wenn keine andere, mildere Strafe in Betracht kommt (BBl 1999 2043 f.; BGE 138 IV 120 E. 5.2; Urteil 6B 483/2016 vom 30. April 2018 E. 3.3.3 mit Hinweisen, zur Publikation vorgesehen).
Bei der Wahl der Sanktionsart ist als wichtiges Kriterium die Zweckmässigkeit einer bestimmten Sanktion, ihre Auswirkungen auf den Täter und sein soziales Umfeld sowie ihre präventive Effizienz zu berücksichtigen (BGE 134 IV 97 E. 4.2 mit Hinweisen). Nach dem Prinzip der Verhältnismässigkeit soll bei alternativ zur Verfügung stehenden und hinsichtlich des Schuldausgleichs äquivalenten Sanktionen im Regelfall diejenige gewählt werden, die weniger stark in die persönliche Freiheit des Betroffenen eingreift (BGE 138 IV 120 E. 5.2 mit Hinweis). Hält das Gericht im Rahmen der Gesamtstrafenbildung für einzelne Delikte im konkret zu beurteilenden Fall unter Beachtung des Verhältnismässigkeitsprinzips eine Geldstrafe nicht mehr für schuldadäquat und zweckmässig, hindert Art. 41 Abs. 1 aStGB es nicht daran, auf Einzelfreiheitsstrafen von weniger als sechs Monaten zu erkennen, wenn die daraus zu bildende Gesamtstrafe sechs Monate übersteigt (Urteil 6B 483/2016 vom 30. April 2018 E. 4.3, zur Publikation vorgesehen). Das Gericht hat im Urteil die Wahl der Sanktionsart zu begründen (Art. 50
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
1.3. Die Vorinstanz bildet eine Gesamtstrafe und fällt für sämtliche Delikte eine Freiheitsstrafe aus.
1.3.1. Die Vorinstanz geht vom bandenmässigen Raub als schwerste Tat aus und beurteilt das objektive Tatverschulden des Beschwerdeführers angesichts des konkreten Tatvorgehens, des hohen Deliktsbetrages von Fr. 1'128'180.-, der Wahl des Opfers in einer alleinstehenden, damals 61-jährigen Frau, der langen Dauer des Raubes bzw. der Einwirkung von rund eineinhalb Stunden auf das Opfer und dem Zurücklassen des gefesselten Opfers als mittelschwer, was auch durch das subjektive Tatverschulden nicht relativiert werde. Dem Verschulden entsprechend und unter Berücksichtigung des sehr weiten Strafrahmens von bis zu 20 Jahren setzt die Vorinstanz die Einsatzstrafe auf 4 ½ Jahre fest (Urteil S. 6). Die Einsatzstrafe sei aufgrund der innert neun Monaten begangenen acht gewerbs- und bandenmässigen Diebstähle, bei welchen der Beschwerdeführer sowohl aus bewohnten wie nicht bewohnten Wohnhäusern und Geschäftsliegenschaften hauptsächlich Schmuck, Bargeld und Elektronikgeräte entwendet habe, und angesichts des ebenfalls mittelschweren Verschuldens des Beschwerdeführers in Anwendung des Asperationsprinzips um 18 Monate auf 6 Jahre Freiheitsstrafe zu erhöhen (Urteil S. 8).
1.3.2. Weiter erwägt die Vorinstanz unter Hinweis auf das Urteil des Bundesgerichts 6B 157/2014 vom 26. Januar 2015 E. 3.1, infolge des derart starken sachlichen und zeitlichen Gesamtzusammenhangs zwischen den Diebstählen einerseits und den Hausfriedensbrüchen sowie den Sachbeschädigungen andererseits sei eine Gesamtfreiheitsstrafe auszusprechen, bzw. die hypothetische Freiheitsstrafe zu erhöhen, auch wenn sowohl der Tatbestand des Hausfriedensbruchs (Art. 186
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 186 - Quiconque, d'une manière illicite et contre la volonté de l'ayant droit, pénètre dans une maison, dans une habitation, dans un local fermé faisant partie d'une maison, dans un espace, cour ou jardin clos et attenant à une maison, ou dans un chantier, ou y demeure au mépris de l'injonction de sortir à lui adressée par un ayant droit est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 144 - 1 Quiconque, sans droit, endommage, détruit ou met hors d'usage une chose appartenant à autrui ou frappée d'un droit d'usage ou d'usufruit au bénéfice d'autrui, est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, sans droit, endommage, détruit ou met hors d'usage une chose appartenant à autrui ou frappée d'un droit d'usage ou d'usufruit au bénéfice d'autrui, est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur commet le dommage à la propriété à l'occasion d'un attroupement formé en public, la poursuite a lieu d'office. |
3 | Si l'auteur cause un dommage considérable, il est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. La poursuite a lieu d'office. |
Beim Hausfriedensbruch handle es sich um ein Begleitdelikt zum (Einbruch-) Diebstahl, welches gegenüber dem Wegnahmedelikt eher in den Hintergrund trete. Immerhin sei aber in Anbetracht des gewaltsamen Eindringens mittels Werkzeugen in Wohnhäuser das Sicherheitsgefühl der Bewohner stark beeinträchtigt worden, was objektiv verschuldenserhöhend zu berücksichtigen sei. Angesichts der an den Tag gelegten kriminellen Energie beim Eindringen in Geschäftsliegenschaften, zum Beispiel in das Einkaufszentrum A.________ mittels Abklebens des Bewegungsmelders während der Öffnungszeiten und des gewaltsamen Zugangs via Parkdeck und Verkaufsräumen ausserhalb der Öffnungszeiten, wiege das Verschulden nicht mehr leicht. Der Beschwerdeführer habe die Taten aus finanzieller Motivation heraus begangen, sei eigens für ein bis zwei Tage aus Kroatien in die Schweiz gefahren, um hier Delikte zu begehen. Es handle sich mithin um einen kalkulierenden Kriminaltouristen. Aufgrund des Verschuldens und in Anwendung des Asperationsprinzips sei daher die hypothetische Strafe um 3 Monate zu erhöhen (Urteil S. 8 und 9).
In Bezug auf die Sachbeschädigungen erwägt die Vorinstanz zum Verschulden, der Beschwerdeführer und sein Komplize seien mit roher Gewalt vorgegangen und hätten jeweils erheblichen Sachschaden von zwischen Fr. 750.- und Fr. 6'150.- bewirkt, womit sie fehlenden Respekt vor fremdem Eigentum offenbart hätten. Auch hier liege kein leichtes Verschulden mehr vor. Subjektiv werde das Tatverschulden nicht relativiert, weshalb eine Straferhöhung der hypothetischen Strafe um 3 Monate angezeigt sei (Urteil S. 10).
1.4. Die Vorinstanz begründet die Strafzumessung ausführlich und überzeugend. Es ist nicht ersichtlich, dass sie sich von sachfremden Kriterien hätte leiten lassen, dass sie relevante Kriterien ausser Acht gelassen oder das ihr zustehende Ermessen überschritten bzw. willkürlich ausgeübt hätte.
1.4.1. Auch methodisch geht die Vorinstanz korrekt vor, indem sie ausgehend vom Strafrahmen für das schwerste Delikt, vorliegend dem bandenmässigen Raub, die Einsatzstrafe innerhalb des ordentlichen Strafrahmens festsetzt und diese unter Einbezug gleichartiger Strafen der anderen Straftaten in Anwendung des Asperationsprinzips angemessen erhöht. Zu Recht kritisiert der Beschwerdeführer denn auch weder die Bildung der hypothetischen Gesamtfreiheitsstrafe aus der Einsatzstrafe von 4 ½ Jahren für den bandenmässigen Raub und der Erhöhung der Einsatzstrafe um 18 Monate für den gewerbs- und bandenmässigen Diebstahl, noch das Strafmass der sorgfältig und detailliert begründeten hypothetischen Gesamtfreiheitsstrafe.
Bezüglich der Erhöhung dieser (von der Verteidigung unangefochtenen) hypothetischen Gesamtfreiheitsstrafe um die weiteren Delikte (Hausfriedensbruch und Sachbeschädigung) begründet die Vorinstanz nicht nur nachvollziehbar, aus welchen Gründen sie die Erhöhung der Einsatzstrafe für schuldangemessen hält, sondern auch, dass eine Geldstrafe nicht in Betracht komme und eine Gesamtfreiheitsstrafe auszusprechen sei, da ein starker sachlicher und zeitlicher Gesamtzusammenhang zwischen den Diebstählen einerseits und den Hausfriedensbrüchen sowie den Sachbeschädigungen andererseits bestehe (Urteil S. 8 f.).
1.4.2. Entgegen den Ausführungen des Beschwerdeführers umfasst der banden- und gewerbsmässige Diebstahl gemäss Art. 139 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 139 - 1. Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, soustrait une chose mobilière appartenant à autrui dans le but de se l'approprier est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, soustrait une chose mobilière appartenant à autrui dans le but de se l'approprier est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Abrogé |
3 | Le vol est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans si son auteur: |
a | en fait métier; |
b | commet l'acte en qualité d'affilié à une bande formée pour commettre des brigandages ou des vols; |
c | se munit d'une arme à feu ou d'une autre arme dangereuse ou cause une explosion pour commettre le vol, ou |
d | montre de toute autre manière, par sa façon d'agir, qu'il est particulièrement dangereux. |
4 | Le vol commis au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivi que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 186 - Quiconque, d'une manière illicite et contre la volonté de l'ayant droit, pénètre dans une maison, dans une habitation, dans un local fermé faisant partie d'une maison, dans un espace, cour ou jardin clos et attenant à une maison, ou dans un chantier, ou y demeure au mépris de l'injonction de sortir à lui adressée par un ayant droit est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 186 - Quiconque, d'une manière illicite et contre la volonté de l'ayant droit, pénètre dans une maison, dans une habitation, dans un local fermé faisant partie d'une maison, dans un espace, cour ou jardin clos et attenant à une maison, ou dans un chantier, ou y demeure au mépris de l'injonction de sortir à lui adressée par un ayant droit est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 186 - Quiconque, d'une manière illicite et contre la volonté de l'ayant droit, pénètre dans une maison, dans une habitation, dans un local fermé faisant partie d'une maison, dans un espace, cour ou jardin clos et attenant à une maison, ou dans un chantier, ou y demeure au mépris de l'injonction de sortir à lui adressée par un ayant droit est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
die Strafe für den Diebstahl abgegolten, denn der Tatbestand des Diebstahls stellt lediglich die Wegnahme fremden Gutes unter Strafe. Ebenso geht die Verübung eines Diebstahls nicht zwingend mit einer Sachbeschädigung einher, weshalb die Vorinstanz zutreffend den erheblichen entstandenen Sachschaden hervorhebt. Entgegen den Ausführungen des Beschwerdeführers handelt es sich bei diesen Delikten somit keineswegs um "unbedeutende" Nebendelikte.
Indem die Vorinstanz den Hausfriedensbruch aber selbst als "Begleitdelikt" zum Einbruchdiebstahl bezeichnet und ausführt, dieses trete gegenüber dem Wegnahmedelikt eher in den Hintergrund, äussert sie sich wie gefordert (auch) zum Verhältnis der einzelnen Taten untereinander und gibt deren Gewichtung Ausdruck. Dass sie dabei sowohl die Hausfriedensbrüche als auch die Sachbeschädigungen trotzdem als eigenständige, jedenfalls verschuldensmässig nicht durch den banden- und gewerbsmässigen Diebstahl abgegoltene Delikte betrachtet, ergibt sich ohne weiteres aus der einlässlichen Begründung für die Strafzumessung betreffend die beiden Tatbestände, für welche sie verschuldensmässig je einzeln und differenziert anhand des objektiven und subjektiven Tatverschuldens Einzelstrafen festlegt. Gleichzeitig trägt die Vorinstanz dem Gesamtschuldbeitrag dieser Delikte Rechnung. Ihre Ausführungen erläutern, dass sie angesichts des starken sachlichen und zeitlichen Gesamtzusammenhangs der Hausfriedensbrüche und der Sachbeschädigungen mit den Diebstählen nur eine Freiheitsstrafe als adäquate Sanktion betrachtet. Mit dieser Wahl der Sanktionsart verletzt die Vorinstanz kein Bundesrecht. Sachbeschädigung und Hausfriedensbruch sind Tatbestände, die dem
Einbruchdiebstahl als Deliktsmuster immanent sind und praktisch immer mit ein und demselben Motiv, aus einem abgeschlossenen Gebäude heraus etwas zu stehlen, begangen werden und demselben Zweck dienen. Die Delikte sind dabei naturgemäss so eng miteinander verknüpft, dass sich das Verschulden nur zum Teil in dem Masse sinnvoll auftrennen lässt, wie es die Vorinstanz tat. Das manifestiert sich denn auch darin, dass die Vorinstanz den Umstand, dass der Beschwerdeführer bei seinen Diebstählen mit einer Konfrontation rechnen musste, beim Diebstahl und nicht etwa beim Hausfriedensbruch verschuldenserhöhend gewichtet, was durchaus sinnvoll und nachvollziehbar erscheint. Wenn die Vorinstanz angesichts des Strafrahmens, der sowohl beim Hausfriedensbruch gemäss Art. 186
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 186 - Quiconque, d'une manière illicite et contre la volonté de l'ayant droit, pénètre dans une maison, dans une habitation, dans un local fermé faisant partie d'une maison, dans un espace, cour ou jardin clos et attenant à une maison, ou dans un chantier, ou y demeure au mépris de l'injonction de sortir à lui adressée par un ayant droit est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 144 - 1 Quiconque, sans droit, endommage, détruit ou met hors d'usage une chose appartenant à autrui ou frappée d'un droit d'usage ou d'usufruit au bénéfice d'autrui, est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, sans droit, endommage, détruit ou met hors d'usage une chose appartenant à autrui ou frappée d'un droit d'usage ou d'usufruit au bénéfice d'autrui, est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur commet le dommage à la propriété à l'occasion d'un attroupement formé en public, la poursuite a lieu d'office. |
3 | Si l'auteur cause un dommage considérable, il est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. La poursuite a lieu d'office. |
denn auch zu Recht vom Beschwerdeführer nicht kritisiert.
2.
2.1. Der Beschwerdeführer rügt im Weiteren, die Vorinstanz habe strafmindernde Umstände ausser Acht gelassen bzw. diese zumindest in Missachtung von Art. 47
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
2.2. Das Gericht hat in der Begründung gemäss Art. 50
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
2.3.
2.3.1. Zur Begründung verweist der Beschwerdeführer zunächst auf sein Entschuldigungsschreiben an das Opfer des Raubes, worin er in ehrlicher und aufrichtiger Weise seine schwierigen Umstände dargelegt und um Entschuldigung für die begangene Tat gebeten habe. Dieses offene, ernste und aufrichtige Schreiben sei von der Privatklägerin ausdrücklich akzeptiert worden, denn diese habe dem Verteidiger geschrieben, dass sie sich mit der Sache abgefunden und sich mit dem Beschuldigten "versöhnt" habe. Das Schreiben müsse als Ausdruck von Reue und Bedauern im Sinne von Art. 48 lit. d
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 48 - Le juge atténue la peine: |
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a | si l'auteur a agi: |
a1 | en cédant à un mobile honorable; |
a2 | dans une détresse profonde; |
a3 | sous l'effet d'une menace grave; |
a4 | sous l'ascendant d'une personne à laquelle il devait obéissance ou de laquelle il dépendait; |
b | si l'auteur a été induit en tentation grave par la conduite de la victime; |
c | si l'auteur a agi en proie à une émotion violente que les circonstances rendaient excusable ou s'il a agi dans un état de profond désarroi; |
d | si l'auteur a manifesté par des actes un repentir sincère, notamment s'il a réparé le dommage autant qu'on pouvait l'attendre de lui; |
e | si l'intérêt à punir a sensiblement diminué en raison du temps écoulé depuis l'infraction et que l'auteur s'est bien comporté dans l'intervalle. |
Weiter macht der Beschwerdeführer geltend, es sei nicht erklärbar, wieso sein Geständnis in keiner Weise zu seinen Gunsten berücksichtigt worden sei, auch wenn er - zugegebenermassen - seine Taten nicht von Anfang an gestanden habe, jedenfalls aber auch nicht erst in einem Zeitpunkt, da die Beweislage schon erdrückend gewesen sei. Vielmehr habe er seine Taten freiwillig und von sich aus gestanden und zusätzlich Aussagen zu tatbeteiligten Personen gemacht, was die Strafverfolgung erleichtert habe. Angesichts des mittlerweile lange andauernden Wohlverhaltens nach der Tat erscheine - ausgehend von der vorinstanzlichen hypothetischen Gesamtfreiheitsstrafe von 6 Jahren für den Raub sowie die gewerbs- und bandenmässigen Diebstähle - eine Strafminderung von mindestens 6 Monaten für das Geständnis, die generelle Kooperationsbereitschaft, das Wohlverhalten seit der Tat und die gegenüber dem Opfer zum Ausdruck gebrachte Reue des Beschwerdeführers angebracht.
2.3.2. Das Gericht mildert die Strafe, wenn der Täter aufrichtige Reue betätigt, namentlich den Schaden, soweit es ihm zuzumuten war, ersetzt hat (Art. 48 lit. d
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 48 - Le juge atténue la peine: |
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a | si l'auteur a agi: |
a1 | en cédant à un mobile honorable; |
a2 | dans une détresse profonde; |
a3 | sous l'effet d'une menace grave; |
a4 | sous l'ascendant d'une personne à laquelle il devait obéissance ou de laquelle il dépendait; |
b | si l'auteur a été induit en tentation grave par la conduite de la victime; |
c | si l'auteur a agi en proie à une émotion violente que les circonstances rendaient excusable ou s'il a agi dans un état de profond désarroi; |
d | si l'auteur a manifesté par des actes un repentir sincère, notamment s'il a réparé le dommage autant qu'on pouvait l'attendre de lui; |
e | si l'intérêt à punir a sensiblement diminué en raison du temps écoulé depuis l'infraction et que l'auteur s'est bien comporté dans l'intervalle. |
Ein Geständnis kann bei der Beurteilung des Nachtatverhaltens zugunsten des Täters berücksichtigt werden, wenn es auf Einsicht in das begangene Unrecht oder auf Reue schliessen lässt oder der Täter zur Tataufdeckung über seinen eigenen Tatanteil hinaus beiträgt (BGE 121 IV 202 E. 2d/cc). Hat ein Geständnis die Strafverfolgung nicht erleichtert oder ist die beschuldigte Person nur aufgrund einer erdrückenden Beweislage oder gar erst nach Ausfällung des erstinstanzlichen Urteils geständig geworden, ist eine Strafminderung nicht angebracht (Urteile 6B 312/2016 vom 23. Juni 2016 E. 1.3.2; 6B 759/2014 vom 24. November 2014 E. 3.2; 6B 582/2013 vom 20. Februar 2014 E. 3.4; je mit Hinweisen).
2.3.3. Die Vorinstanz legt die persönlichen Verhältnisse des Beschwerdeführers im Einzelnen dar und bewertet diese sowie den Umstand, dass er keine Vorstrafen aufweist, zutreffend als neutral. Hinsichtlich des Nachtatverhaltens vermag die Vorinstanz keine Einsicht und Reue festzustellen. Für das während des Strafverfahrens verfasste Entschuldigungsschreiben an das Opfer des Raubes sei keine Strafreduktion angezeigt. Auch die an Schranken gezeigte Reue des Beschwerdeführers beziehe sich in erster Linie auf die strafvollzugsbedingte Trennung von seiner Frau und seinen Kindern (Urteil S. 10 - 12). Inwiefern das Entschuldigungsschreiben einer besonderen und freiwilligen Anstrengung entspricht, die der Beschwerdeführer unter Inkaufnahme von persönlichen Einschränkungen erbrachte und daher als Betätigung aufrichtiger Reue gewertet werden kann, legt er nicht dar. Auch setzt er sich mit der Begründung der Vorinstanz nicht auseinander. Insbesondere behauptet er nicht, er habe den Schaden soweit zumutbar ersetzt. Indem die Vorinstanz das Verhalten des Beschwerdeführers noch als zu geringe persönliche Einschränkung respektive als nicht besondere Anstrengung erachtet und deshalb keine Strafmilderung gestützt auf Art. 48 lit. d
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 48 - Le juge atténue la peine: |
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a | si l'auteur a agi: |
a1 | en cédant à un mobile honorable; |
a2 | dans une détresse profonde; |
a3 | sous l'effet d'une menace grave; |
a4 | sous l'ascendant d'une personne à laquelle il devait obéissance ou de laquelle il dépendait; |
b | si l'auteur a été induit en tentation grave par la conduite de la victime; |
c | si l'auteur a agi en proie à une émotion violente que les circonstances rendaient excusable ou s'il a agi dans un état de profond désarroi; |
d | si l'auteur a manifesté par des actes un repentir sincère, notamment s'il a réparé le dommage autant qu'on pouvait l'attendre de lui; |
e | si l'intérêt à punir a sensiblement diminué en raison du temps écoulé depuis l'infraction et que l'auteur s'est bien comporté dans l'intervalle. |
verletzt sie kein Bundesrecht.
Das Vorliegen eines relevanten Geständnisses verneint die Vorinstanz, da der Beschwerdeführer von sich aus keine Straftaten offengelegt habe, sich seine Beteuerungen, nun seien alle Delikte bekannt, im Nachhinein als wahrheitswidrig herausgestellt hätten, er aber auch nicht in einem Masse Aussagen zu tatbeteiligten Personen gemacht habe, welches nach einer Reduktion der Strafe verlange (Urteil S. 11 f.). Schliesslich erwägt sie, ein Wohlverhalten nach der Tat führe in der Regel nicht zu einer Reduktion der Strafe. Aufgrund aller ausgeführten Strafzumessungsgründe hält die Vorinstanz gesamthaft eine Freiheitsstrafe von 6 ½ Jahren für angemessen (Urteil S. 12). Mit der vorinstanzlichen Begründung setzt sich der Beschwerdeführer nicht auseinander. Die Vorinstanz begründet im Rahmen des ihr zustehenden Ermessens nachvollziehbar, weshalb der Beschwerdeführer entgegen seiner eigenen Auffassung nicht geständig war. Seine diesbezüglichen Vorbringen erschöpfen sich weitestgehend in appellatorischer Kritik am angefochtenen Urteil und vermögen dieses nicht als bundesrechtswidrig erscheinen zu lassen. Insbesondere ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz dem Wohlverhalten seit der Tat nicht strafmindernd Rechnung trägt, wird doch dies
gemäss bundesgerichtlicher Rechtsprechung allgemein vorausgesetzt (Urteil 6B 291/2017 vom 16. Januar 2018 E. 2.2.4). Auch eine Strafmilderung nach Art. 48 lit. e
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 48 - Le juge atténue la peine: |
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a | si l'auteur a agi: |
a1 | en cédant à un mobile honorable; |
a2 | dans une détresse profonde; |
a3 | sous l'effet d'une menace grave; |
a4 | sous l'ascendant d'une personne à laquelle il devait obéissance ou de laquelle il dépendait; |
b | si l'auteur a été induit en tentation grave par la conduite de la victime; |
c | si l'auteur a agi en proie à une émotion violente que les circonstances rendaient excusable ou s'il a agi dans un état de profond désarroi; |
d | si l'auteur a manifesté par des actes un repentir sincère, notamment s'il a réparé le dommage autant qu'on pouvait l'attendre de lui; |
e | si l'intérêt à punir a sensiblement diminué en raison du temps écoulé depuis l'infraction et que l'auteur s'est bien comporté dans l'intervalle. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 97 - 1 L'action pénale se prescrit: |
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1 | L'action pénale se prescrit: |
a | par 30 ans si la peine maximale encourue est une peine privative de liberté à vie; |
b | par quinze ans si la peine maximale encourue est une peine privative de liberté de plus de trois ans; |
c | par dix ans si la peine maximale encourue est une peine privative de liberté de trois ans; |
d | par sept ans si la peine maximale encourue est une autre peine.139 |
2 | En cas d'actes d'ordre sexuel avec des enfants (art. 187) et en cas d'infractions au sens des art. 111, 113, 122, 124, 182, 189 à 191, 193, 193a, 195 et 197, al. 3, dirigées contre un enfant de moins de 16 ans, la prescription de l'action pénale court en tout cas jusqu'au jour où la victime a 25 ans.140 |
3 | La prescription ne court plus si, avant son échéance, un jugement de première instance a été rendu. |
4 | La prescription de l'action pénale en cas d'actes d'ordre sexuel avec des enfants (art. 187) et des mineurs dépendants (art. 188), et en cas d'infractions au sens des art. 111 à 113, 122, 182, 189 à 191 et 195 dirigées contre un enfant de moins de 16 ans commis avant l'entrée en vigueur de la modification du 5 octobre 2001141 est fixée selon les al. 1 à 3 si elle n'est pas encore échue à cette date.142 |
Insgesamt hat die Vorinstanz somit sämtliche relevanten Aspekte berücksichtigt, ohne das ihr zustehende Ermessen zu überschreiten.
3.
3.1. Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Kostenverteilung der Vorinstanz.
3.2. Zur Begründung führt er aus, es sei kein Grund ersichtlich, weshalb er 3/5 der Kosten des Berufungsverfahrens zu tragen habe, obwohl die Staatsanwaltschaft ihrerseits mit ihrer Anschlussberufung vollumfänglich unterlegen sei. Er sei statt dessen maximal zur Hälfte der Gerichtskosten zu verurteilen.
Dieser Argumentation kann nicht gefolgt werden. Die Vorinstanz verlegt die Kosten des Berufungsverfahrens zu Recht gestützt auf Art. 428 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 428 Frais dans la procédure de recours - 1 Les frais de la procédure de recours sont mis à la charge des parties dans la mesure où elles ont obtenu gain de cause ou succombé. La partie dont le recours est irrecevable ou qui retire le recours est également considérée avoir succombé. |
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1 | Les frais de la procédure de recours sont mis à la charge des parties dans la mesure où elles ont obtenu gain de cause ou succombé. La partie dont le recours est irrecevable ou qui retire le recours est également considérée avoir succombé. |
2 | Lorsqu'une partie qui interjette un recours obtient une décision qui lui est plus favorable, les frais de la procédure peuvent être mis à sa charge dans les cas suivants: |
a | les conditions qui lui ont permis d'obtenir gain de cause n'ont été réalisées que dans la procédure de recours; |
b | la modification de la décision est de peu d'importance. |
3 | Si l'autorité de recours rend elle-même une nouvelle décision, elle se prononce également sur les frais fixés par l'autorité inférieure. |
4 | S'ils annulent une décision et renvoient la cause pour une nouvelle décision à l'autorité inférieure, la Confédération ou le canton supportent les frais de la procédure de recours et, selon l'appréciation de l'autorité de recours, les frais de la procédure devant l'autorité inférieure. |
5 | Lorsqu'une demande de révision est admise, l'autorité pénale appelée à connaître ensuite de l'affaire fixe les frais de la première procédure selon son pouvoir d'appréciation. |
halben Fünftel im Vergleich zu der vom Beschwerdeführer beantragten hälftigen Kostenverteilung ihr Ermessen überschritten haben soll.
4.
Die Beschwerde ist abzuweisen. Das rein vorsorglich gestellte Gesuch des Beschwerdeführers um unentgeltliche Rechtspflege (act. 10) ist infolge rechtzeitiger Leistung des Prozesskostenvorschusses gegenstandslos geworden. Die Gerichtskosten sind ausgangsgemäss dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'200.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht St. Gallen, Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 23. August 2018
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Der Gerichtsschreiber: Faga