Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 133/2023
Urteil vom 22. Juni 2023
III. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Parrino, Präsident,
Bundesrichter Beusch, Bundesrichterin Scherrer Reber,
Gerichtsschreiber Seiler.
Verfahrensbeteiligte
A.________ AG,
vertreten durch Rechtsanwalt Felix Stieger,
Beschwerdeführer,
gegen
Kantonales Steueramt Zürich, Dienstabteilung Recht, Bändliweg 21, 8090 Zürich,
Beschwerdegegner,
Steuerverwaltung des Kantons Zug, Bahnhofstrasse 26, 6300 Zug.
Gegenstand
Staats- und Gemeindesteuern des Kantons Zürich, Steuerperioden 2015-2018,
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Zürich vom 21. Dezember 2022 (SB.2022.00080).
Sachverhalt:
A.
Die A.________ AG wurde am 3. September 2014 mit Sitz in U.________/ZG gegründet. Zweck der Gesellschaft gemäss Eintrag im Handelsregister ist die Erbringung von Dienstleistungen im Bereich der Informationstechnologie (IT), insbesondere die Registrierung von Internetadressen bzw. Domainnamen.
Mit Auflage vom 23. April 2020 verlangte das Steueramt des Kantons Zürich (kantonale Steueramt) im Rahmen der Steuerveranlagung eines im Kanton Zürich steuerpflichtigen Aktionärs von der A.________ AG die Einreichung der Jahresrechnung 2018 zwecks weiterer Abklärungen. Die zuständige Treuhänderin reichte die verlangte Jahresrechnung aufforderungsgemäss ein. Im Anschluss an eine Sitzung vom 27. August 2020 forderte das kantonale Steueramt mit Auflage vom 18. September 2020 weitere Angaben und Unterlagen über die A.________ AG ein.
B.
Nachdem die geforderten Informationen eingegangen waren, beanspruchte das kantonale Steueramt mit Vorentscheid vom 11. Januar 2021 die Steuerhoheit über die A.________ AG ab dem Steuerjahr 2015 zufolge Ausübung der tatsächlichen Verwaltung in V.________/ZH. Die hiergegen erhobenen kantonalen Rechtsmittel blieben erfolglos (Einspracheentscheid des kantonalen Steueramts vom 1. Juni 2021; Entscheid des Steuerrekursgerichts des Kantons Zürich vom 30. August 2022; Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Zürich vom 21. Dezember 2022).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 8. Februar 2023 beantragt die A.________ AG die Aufhebung des Urteils des Verwaltungsgerichts des Kantons Zürich vom 21. Dezember 2022 und die Feststellung, dass dem Kanton Zürich und der Gemeinde V.________ keine Steuerhoheit betreffend die A.________ AG zukomme.
Die Vorinstanz und das kantonale Steueramt beantragen die Abweisung der Beschwerde, soweit darauf einzutreten sei. Die Steuerverwaltung des Kantons Zug und die Eidgenössische Steuerverwaltung verzichten auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde wurde unter Einhaltung der gesetzlichen Frist (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 73 Recours - 1 Les décisions cantonales de dernière instance portant sur une matière réglée dans les titres 2 à 5 et 6, chap. 1, ou sur la remise de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice peuvent faire l'objet d'un recours en matière de droit public devant le Tribunal fédéral conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral254.255 |
|
1 | Les décisions cantonales de dernière instance portant sur une matière réglée dans les titres 2 à 5 et 6, chap. 1, ou sur la remise de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice peuvent faire l'objet d'un recours en matière de droit public devant le Tribunal fédéral conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral254.255 |
2 | Le contribuable, l'administration fiscale cantonale et l'Administration fédérale des contributions ont le droit de recourir. |
3 | ...256 |
1.2. Die Beschwerdeführerin macht in ihrer Beschwerde zwar geltend, im Kanton Zug steuerpflichtig zu sein. Sie stellt jedoch keinen Antrag auf Aufhebung einer Veranlagung dieses Kantons. Auch aus der Begründung ihrer Beschwerde ergibt sich nicht, dass sie im Kanton Zug bereits veranlagt worden wäre. Die Steuerverwaltung des Kantons Zug schweigt hierzu. Demnach ist davon auszugehen, dass sich die Beschwerde nur gegen den Kanton Zürich und seinen Steuerdomizilentscheid richtet (vgl. zur Anfechtung der Veranlagung des anderen Kantons im Steuerdomizilverfahren Urteil 2C 211/2021 / 2C 212/2021 vom 8. Juni 2021 E. 1.2).
2.
2.1. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Die Bindung an den von der Vorinstanz festgestellten Sachverhalt (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
2.3. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
3.
Die Beschwerdeführerin rügt, dass die Vorinstanz die tatsächliche Verwaltung zu Unrecht im Kanton Zürich verortet habe. Zudem habe sie in diesem Zusammenhang den Sachverhalt offensichtlich unrichtig festgestellt.
3.1. Nach Art. 20 Abs. 1
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 20 Assujettissement à raison du rattachement personnel - 1 Les sociétés de capitaux, les sociétés coopératives, les associations, les fondations et les autres personnes morales sont assujetties à l'impôt lorsqu'elles ont leur siège ou leur administration effective dans le canton. Les placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe au sens de l'art. 58 ou 118a LPCC95 sont assimilés aux autres personnes morales.96 Les sociétés d'investissement à capital fixe au sens de l'art. 110 LPCC sont imposées comme des sociétés de capitaux.97 |
|
2 | Les personnes morales, les sociétés commerciales et les communautés de personnes étrangères sont assimilées aux personnes morales suisses dont elles se rapprochent le plus par leur forme juridique ou leurs structures effectives. |
3.2. Die tatsächliche Verwaltung liegt am Ort, wo die Fäden der Geschäftsführung zusammenlaufen, die wesentlichen Unternehmensentscheide fallen, die normalerweise am Sitz sich abspielende Geschäftsführung besorgt wird und die Gesellschaft den wirklichen, tatsächlichen Mittelpunkt ihrer ökonomischen Existenz hat. Die so verstandene tatsächliche Verwaltung einer juristischen Person ist abzugrenzen von der blossen administrativen Verwaltung einerseits und der Tätigkeit der obersten Gesellschaftsorgane andererseits, soweit sie sich auf die Ausübung der Kontrolle über die eigentliche Geschäftsleitung und gewisse Grundsatzentscheide beschränkt (Urteile 2C 211/2019 vom 6. April 2022 E. 4.2.2; 2C 522/2019 vom 20. August 2020 E. 2.1, nicht publ. in: BGE 147 I 325, aber in: StE 2021 A 24.22 Nr. 7; 2C 539/2017 vom 7. Februar 2019 E. 3.1; 2C 627/2017 vom 1. Februar 2019 E. 2.2, je mit Hinweisen). Entscheidend sind letztlich die gesamten Umstände des Einzelfalles (Urteile 2C 522/2019 vom 20. August 2020 E. 2.1, nicht publ. in: BGE 147 I 325, aber in: StE 2021 A 24.22 Nr. 7; 2C 539/2017 vom 7. Februar 2019 E. 3.1 mit Hinweisen). Zu diesen Umständen gehört auch die Mitwirkung der steuerpflichtigen Person im Verfahren. Wirkt die steuerpflichtige
Person entgegen ihrer Mitwirkungspflicht nicht oder nur ungenügend mit, kann die Behörde dies als Indiz zu Lasten der steuerpflichtigen Person würdigen (BGE 148 II 285 E. 3.1.2; Urteile 9C 251/2023 vom 26. Mai 2023 E. 3.2.4; 9C 624/2022 vom 15. März 2023 E. 5.2.3; 2C 211/2021 / 2C 212/2021 vom 8. Juni 2021 E. 5.1.2). Im Steuerdomizilverfahren ist die präsumtiv steuerpflichtige Person zur Mitwirkung verpflichtet, soweit es nicht um ihre Steuerfaktoren, sondern um Tatsachen geht, die ihre subjektive Steuerpflicht im Kanton begründen. Wenn die präsumtiv steuerpflichtige Person in diesen Fragen nicht genügend mitwirkt, kann dies zu ihren Lasten gewürdigt werden (Urteil 2C 211/2021 / 2C 212/2021 vom 8. Juni 2021 E. 5.1.1; MARGRAF/SEILER, Das interkantonale Steuerrecht in den Verfahren der kantonalen Steuerverwaltungen, FStR 2021 S. 207 f.; vgl. auch BGE 60 I 342 E. 2). Bleibt unter Berücksichtigung der gesamten Umstände (einschliesslich der Mitwirkung der steuerpflichtigen Person) ungewiss, wo eine Gesellschaft tatsächlich verwaltet wird, trägt der Kanton die Beweislast, der sich auf die tatsächliche Verwaltung in seinem Gebiet beruft, ist also zu seinem Nachteil davon auszugehen, dass sich die tatsächliche Verwaltung am Sitz der
Gesellschaft abspielt (Urteil 2C 627/2017 vom 1. Februar 2019 E. 2.3.6, in: StE 2019 B 71.31 Nr. 4, StR 74/2019 S. 286).
3.3. Die Vorinstanz hat aufgrund einer Reihe von Indizien geschlossen, dass sich die tatsächliche Verwaltung der Beschwerdeführerin im Kanton Zürich befunden habe.
3.3.1. Zunächst hat die Vorinstanz ausgeführt, dass die Beschwerdeführerin über fünf Aktionäre verfüge, wovon drei - B.________ (Beteiligung von 12 %) als Präsidentin, C.________ (Beteiligung von 32 %) und D.________ (Beteiligung von 32 %) - den Verwaltungsrat besetzen. Alle Aktionäre seien in geringen Arbeitspensen für die Beschwerdeführerin tätig. Mit Ausnahme von B.________ arbeiteten alle hauptberuflich für die E.________ Services GmbH, die in den Jahren 2007 bis 2015 ihren Sitz in W.________/ZH und anschliessend bis im Jahr 2020 in V.________ gehabt habe. Diese Gesellschaft stehe hälftig im Eigentum von C.________ und D.________ und biete ebenfalls Dienstleistungen im Bereich der Domainregistrierung an. Sie sei zudem für den täglichen Support der Kunden der Beschwerdeführerin zuständig, wofür sie jährlich mit einer Pauschalgebühr entschädigt werde.
3.3.2. Sodann hat die Vorinstanz darauf hingewiesen, dass die Beschwerdeführerin im Jahr 2018 für die Räumlichkeiten an ihrem Sitz in U.________/ZG einen Aufwand von Fr. 4'000.- verbucht habe, was auffällig wenig sei; weitere Infrastrukturkosten seien nicht ersichtlich gewesen.
3.3.3. Weiter hat die Vorinstanz die Räumlichkeiten der Beschwerdeführerin in U.________ denjenigen der E.________ Services GmbH in V.________ gegenüber gestellt, für die vier der fünf Aktionäre hauptsächlich tätig gewesen seien. Den Arbeitnehmern dieser Gesellschaft hätten zeitweise Arbeitsplätze auf 500 m2 zur Verfügung gestanden, mithin deutlich mehr Platz, als die Beschwerdeführerin in U.________ hatte. Die Beschwerdeführerin habe den Support ihrer Kunden an diese Gesellschaft ausgelagert. Zu diesem Zweck würden die Anrufe der Kunden direkt an die Aktionäre als Mitarbeitende der E.________ Services GmbH weitergeleitet. Eine wesentliche Aufgabe der Beschwerdeführerin scheine also überwiegend in V.________ ausgeübt worden zu sein.
3.3.4. Ferner hat die Vorinstanz berücksichtigt, dass zwei Aktionäre und Verwaltungsratsmitglieder - C.________ und B.________ - gemeinsam mit ihren drei minderjährigen Kindern in U.________ in Nähe der Domiziladresse der Beschwerdeführeirn wohnten, die anderen drei Aktionäre jedoch alle im Kanton Zürich wohnhaft gewesen seien. Die Tätigkeiten, die B.________ gemäss Angaben der Beschwerdeführerin in U.________ ausgeübt habe (administratives "Backoffice", Abklärungen und Entscheide betreffend die Internetwebseite und das Logo der Beschwerdeführerin sowie die Leitung des Zahlungsverkehrs), hat die Vorinstanz nicht als entscheidend für die Bestimmung des Orts der tatsächlichen Verwaltung bewertet. Auch den Unterhalt der Internetwebsite und die "Frontend"-Entwicklung hat sie nicht zu den typischen Aufgaben der Geschäftsleitung gezählt. Der Umstand, dass B.________ diverse Verträge unterzeichnet habe, falle ebenfalls nicht entscheidend ins Gewicht, da nicht bekannt sei, wo und durch wen die Entscheide hinsichtlich des Vertragsabschlusses getroffen würden. Das Vorbringen der Beschwerdeführerin, B.________ und F.________ hätten oftmals geschäftsleitende Entscheidungen am Sitz der Beschwerdeführerin getroffen, während das dritte Mitglied
des Verwaltungsrats, D.________, als Techniker wenig bis gar nicht in die Geschäftsleitung involviert gewesen sei, sei unbewiesen geblieben. Wenig Gewicht hat die Vorinstanz Auszügen aus Chatprotokollen beigemessen, die Geschäftsessen im Kanton Zug belegen sollten, zumal keineswegs ausgeschlossen sei, dass auch im Raum Zürich Geschäftsessen stattgefunden hätten.
3.3.5. Schliesslich hat die Vorinstanz die ihrer Ansicht nach mangelhafte Mitwirkung der Beschwerdeführerin gewürdigt. Das kantonale Steueramt habe die Beschwerdeführerin aufgefordert, beweiskräftige Unterlagen über ihre Buchhaltung einzureichen, die Tätigkeit des Verwaltungsrats C.________ zu substanziieren und Nachweise über das Arbeitsverhältnis von D.________ beizubringen. Dieser Aufforderung sei die Beschwerdeführerin nicht nachgekommen und habe sich stattdessen darauf berufen, im Steuerhoheitsverfahren nicht zur Mitwirkung verpflichtet zu sein. Auf eine Befragung von B.________, welche die Beschwerdeführerin beantragt hatte, habe verzichtet werden können, weil sie als Verwaltungsratspräsidentin ein offensichtliches Interesse daran hatte, zugunsten der Beschwerdeführerin auszusagen, und ihre Aussagen daher mittels schriftlicher Nachweise hätten überprüft werden müssen. Die Beschwerdeführerin habe es jedoch ausdrücklich abgelehnt, weitere Unterlagen einzureichen, obschon diese zweckdienlich schienen und die betreffende Auflage verhältnismässig gewesen sei. Zusammen mit den übrigen Indizien rechtfertige diese mangelhafte Mitwirkung die Annahme, dass sich die tatsächliche Verwaltung nicht am Sitz in U.________, sondern in
V.________ abgespielt habe.
3.4. Die Beschwerdeführerin beanstandet die Würdigung der Vorinstanz in verschiedener Hinsicht. Sie macht geltend, dass ihre Räumlichkeiten in U.________ den fünf Mitarbeitern (und Aktionären) genügend Platz geboten hätten und die dafür bezahlte Miete zwar tief gewesen sei, in U.________ Domiziladressen jedoch bereits ab Fr. 49.- angeboten würden. Der telefonische Kundensupport, den die Beschwerdeführerin an die E.________ Services GmbH ausgelagert habe, erfolge nicht durch die vier Aktionäre der Beschwerdeführerin, die bei der E.________ Services GmbH Kaderfunktionen innehätten. Vielmehr beschäftige die E.________ Services GmbH dafür ein Support-Team. Die Umstände, dass mit B.________ und C.________ zwei von drei Verwaltungsratsmitgliedern in U.________ gewohnt hätten und D.________ monatlich zweimal nach U.________ gekommen sei, müssten so gewürdigt werden, dass die massgebenden Entscheide der Geschäftsleitung in U.________ getroffen würden.Zudem habe die Vorinstanz die Tätigkeiten von B.________ nicht richtig bewertet. Diese hätten nämlich den Aufbau der Self-Service Plattform, also der Internet-Vertriebsplattform und damit des Herzstücks der Beschwerdeführerin, umfasst, was wie die Unterzeichnung und Verhandlung von Verträgen
eine operative und geschäftsführende Tätigkeit darstelle. Schliesslich dürfe der Beschwerdeführerin auch nicht zum Nachteil gereichen, dass nur wenige schriftliche Unterlagen vorhanden seien, da dies für internetbasierte Unternehmen typisch sei.
3.5. Die Darstellung der Beschwerdeführerin ist für sich genommen nicht unplausibel. Einzuräumen ist insbesondere, dass es einige Schwierigkeiten bereitet, den geografischen Mittelpunkt der ökonomischen Existenz einer Gesellschaft zu bestimmen, deren zweckgemässe Tätigkeit in der Erbringung digitaler, weitgehend automatisierter Dienstleistungen besteht. Wenn die Vorinstanz jedoch aufgrund einer Reihe von Indizien zum Schluss gelangt ist, dass die wesentlichen Geschäftsentscheide in V.________ gefällt worden und dort die Fäden der Geschäftsführung zusammen gelaufen seien, so beruht dieser Schluss auf einer Beweiswürdigung, die das Bundesgericht nur auf offensichtliche Unrichtigkeit überprüfen kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Soweit die hiergegen gerichteten Vorbringen der Beschwerdeführerin vor Bundesgericht nicht ohnehin neu sind und aus diesem Grund nicht gehört werden können (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Kunden nicht selbst telefonisch betreuen, ist aufgrund ihrer Rollen bei der E.________ Services GmbH davon auszugehen, dass sie diese Tätigkeit kontrollieren können. Während die Auslagerung von Geschäftsleitungsfunktionen an unabhängige Dritte schwer vorstellbar ist, können Tätigkeiten von nahe stehenden Personen - wie hier der Aktionäre der Beschwerdeführerin und der E.________ Services GmbH - für die Frage des Orts der tatsächlichen Verwaltung als relevant oder zumindest als Indiz betrachtet werden (vgl. Urteile 2C 888/2019 vom 5. Januar 2021 E. 6.3.2; 2P.135/2001 vom 6. November 2001 E. 3b, in: StE 2002 A 24.22 Nr. 4). Ohnehin war die Auslagerung des telefonischen Kundendienstes aber nur eines von mehreren Indizien für die Annahme, dass die wesentlichen Geschäftsentscheidungen in V.________ getroffen würden. Entgegen der Beschwerdeführerin war es auch zulässig, dass die Vorinstanz in ihrer Würdigung der gesamten Umstände auch die mangelhafte Mitwirkung der Beschwerdeführerin berücksichtigt hat. Nicht gefolgt werden kann der Beschwerdeführerin überdies, wenn sie meint, ihre Mitwirkungspflicht gar nicht verletzt zu haben, setzt sie sich doch damit in Widerspruch zu den diesbezüglich für das Bundesgericht verbindlichen
Feststellungen der Vorinstanz (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.6. Ebenfalls nicht zu beanstanden ist schliesslich, dass die kantonalen Instanzen es abgelehnt haben, die Verwaltungspräsidentin der Beschwerdeführerin zu befragen, zumal sie aufgrund des voraussichtlich geringen Beweiswerts dieser Aussage davon ausgegangen sind, dass sie die Annahme der tatsächlichen Verwaltung im Kanton Zürich nicht werde widerlegen können. In eine solche antizipierte Beweiswürdigung greift das Bundesgericht nur ein, wenn sie willkürlich ist (BGE 147 IV 534 E. 2.5.1; 144 II 427 E. 3.1.3; 138 III 374 E. 4.3.2). Dies ist hier nicht der Fall.
4.
4.1. Nach dem Gesagten ist mit der Vorinstanz davon auszugehen, dass sich die tatsächliche Verwaltung und damit das interkantonale Hauptsteuerdomizil der Beschwerdeführerin in den Jahren 2015 bis 2018 in V.________ im Kanton Zürich befunden hat.
4.2. Die Beschwerdeführerin kritisiert, dass die Vorinstanz auch für die Jahre ab 2019 die Veranlagungszuständigkeit dem Kanton Zürich zugewiesen habe, obschon es immer nur um das Steuerjahr 2018 gegangen sei. Die Unterinstanz hatte die Veranlagungszuständigkeit für das Steuerjahr 2019 (und spätere Jahre) offen gelassen, zumal die geführte Untersuchung lediglich die Steuerjahre 2015 bis und mit 2018 betreffe und der diesbezügliche Sachverhalt ab 2019 nicht abgeklärt worden sei (vgl. Entscheid des Steuerrekursgerichts vom 30. August 2022 E. 3d). Die Vorinstanz scheint der Unterinstanz in diesem Punkt zu widersprechen und die eigene Würdigung auch für die Folgejahre für verbindlich zu halten, "bis die Beschwerdeführerin einen Gegenbeweis über eine in U.________ (ZG) gelegene tatsächliche Verwaltung erbracht hat" (vgl. angefochtenes Urteil E. 4). Aus dem Dispositiv des angefochtenen Urteils ergibt sich jedoch keine Abweichung vom Urteil der Unterinstanz.
4.3. Sofern die Vorinstanz ihr Urteil auch für die Jahre ab 2019 für verbindlich halten sollte, könnte ihr nicht gefolgt werden. Gegenstand des Steuerdomizil- bzw. Steuerhoheitsverfahrens ist die Feststellung der subjektiven Steuerpflicht respektive der kantonalen Veranlagungszuständigkeit für eine oder allenfalls mehrere, aber auf jeden Fall bestimmte Steuerperioden (vgl. MAYHALL-MANNHART/BEUSCH, in: Interkantonales Steuerrecht, Kommentar zum Schweizerischen Steuerrecht, 2. Aufl. 2021, § 40 N. 19). Für die Zukunft respektive für künftige Steuerperioden kann ein Steuerdomizilentscheid von vornherein keine Rechtskraft entfalten, zumal die für die subjektive Steuerpflicht relevanten Tatsachen gar noch nicht feststehen (vgl. Urteil 2C 211/2019 vom 06. April 2022 E. 7.3). Vor diesem Hintergrund sollten die mit dem Steuerdomizilverfahren befassten Behörden die betroffenen Steuerperioden konkret bezeichnen, jedenfalls wenn sich nicht bereits aus den Umständen klar ergibt, welche Steuerperioden erfasst sind. Offene Formulierungen, wie sie die kantonalen Instanzen im vorliegenden Fall verwendet haben ("Steuerperioden ab 2015"), sollten vermieden werden.
4.4. Ungeachtet dieser Unschärfe können im vorliegenden Steuerdomizilverfahren auf jeden Fall nur die Steuerperioden von 2015 bis 2018 betroffen sein, weil sich der Streitgegenstand im Verlauf des Verfahrens nur verengen und nicht erweitern kann (BGE 144 II 359 E. 4.3; 136 II 165 E. 4). Da spätestens die Unterinstanz den Streitgegenstand auf die Jahre 2015 bis 2018 beschränkt und das kantonale Steueramt diesen Entscheid seinerseits nicht angefochten hatte, hatte die Vorinstanz die Veranlagungszuständigkeit für die Steuerperioden ab 2019 nicht zu beurteilen.
4.5. Wenn das angefochtene Urteil nur in Bezug auf die Steuerperioden 2015 bis 2018 Rechtskraft entfalten kann, ist damit aber nicht gesagt, dass die Beschwerdeführerin auch für das Folgejahr erneut einen verfassungsmässigen Anspruch auf die Durchführung eines Steuerdomizilverfahrens hätte und das kantonale Steueramt die Frage der subjektiven Steuerpflicht nicht auch direkt im Rahmen der Veranlagung beantworten dürfte (vgl. dazu BGE 115 Ia 73 E. 3; 62 I 74 E. 3; 60 I 342 E. 2). Ebenso wenig ist ausgeschlossen, dass die kantonalen Behörden und Gerichte die rechtskräftig festgestellten Verhältnisse in den Vorperioden als Indiz heranziehen und daraus Schlüsse für die zu beurteilende Periode ziehen (vgl. dazu etwa Urteil 2C 211/2021 / 2C 212/2021 vom 8. Juni 2021 E. 5.2.3 mit Hinweisen).
5.
Die Beschwerde ist unbegründet, soweit die Steuerperioden 2015 bis 2018 betroffen sind. Da aufgrund der Erwägungen der Vorinstanz nicht restlos klar ist, ob sie ihr Urteil auch für die Folgeperioden für verbindlich hält, eine Rechtskraft für die Folgeperioden aber aus mehreren Gründen ausgeschlossen ist (vgl. oben E. 4.3), ist die Beschwerde im Sinne der Erwägungen abzuweisen. Die Gerichtskosten sind der unterliegenden Beschwerdeführerin aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird im Sinne der Erwägungen abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten, der Steuerverwaltung des Kantons Zug, dem Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 2. Abteilung, und der Eidgenössischen Steuerverwaltung mitgeteilt.
Luzern, 22. Juni 2023
Im Namen der III. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Parrino
Der Gerichtsschreiber: Seiler