Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 492/2009
Urteil vom 21. Dezember 2009
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Bundesrichterin Niquille,
Gerichtsschreiber Jancar.
Parteien
B.________, vertreten durch
Rechtsanwalt Dr. iur. Christian Schürer, Beschwerdeführerin,
gegen
Schweizerische National-Versicherungs-Gesellschaft, Steinengraben 41, 4051 Basel, handelnd durch Schweizerische National-Versicherungs-Gesellschaft, Rechtsdienst, Wuhrmattstrasse 21, 4103 Bottmingen, und diese vertreten durch
Adovkat Dr. Matthias Schnyder,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Schwyz
vom 21. April 2009.
Sachverhalt:
A.
Die 1979 geborene B.________ war seit 1. September 1998 bei der Firma X.________ AG, als Assistentin in der Anlageberatung angestellt und damit bei der Schweizerischen National-Versicherungsgesellschaft (nachfolgend National), obligatorisch unfallversichert. Am 18. April 2003 stürzte sie beim Inline-Skaten. Das Spital Y.________, wo sie vom 19. April bis 12. Mai 2003 hospitalisiert war, diagnostizierte eine Jochbein- und Orbitalbodenfraktur links (ICD-10: S02.9) sowie eine Commotio cerebelli (ICD-10: S06.0; nach Synkope unklarer Ätiologie; konsekutiv ataktisches Gangbild); die Jochbeinfraktur wurde am 22. April 2003 operativ behandelt (Bericht vom 9. Mai 2003). Die National erbrachte die gesetzlichen Leistungen (Heilbehandlung und Taggeld). Im Sommer 2005 absolvierte die Versicherte einen fünfwöchigen Sprachaufenthalt in Spanien. Die National holte diverse Arztberichte sowie ein neurologisches und ein psychiatrisches Gutachten des Instituts V.________ vom 19. Dezember bzw. 22. Dezember 2005 ein. Am 30. September 2005 teilte die Versicherte der National mit, sie habe ihre Stelle bei der Firma X.________ AG per 31. Dezember 2005 in der Absicht gekündigt, im Januar 2006 eine seit längerer Zeit geplante Auszeit (Auslandreise von etwa
einem Jahr) anzutreten. Diese Reise führte sie durch. Mit Verfügung vom 24. November 2006 stellte die National alle Versicherungsleistungen auf den 31. Dezember 2005 ein, da die gesundheitlichen Beschwerden der Versicherten nicht mehr mit dem Unfall vom 18. April 2003 zusammenhingen. Es bestehe keine unfallbedingte dauernde Schädigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Integrität und keine Einschränkung der Arbeits- oder Erwerbstätigkeit. Die dagegen erhobene Einsprache wies sie ab, wobei sie die adäquate Kausalität zwischen dem Unfall und den Beschwerden der Versicherten nach der sogenannten Schleudertrauma-Praxis verneinte (Entscheid vom 15. September 2008).
B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz im Sinne der Erwägungen ab (Entscheid vom 21. April 2009).
C.
Mit Beschwerde beantragt die Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Entscheides sei die National zu verpflichten, eine stationäre polydisziplinäre medizinische Begutachtung zu veranlassen und nach deren Abschluss neu über ihre Leistungsansprüche zu verfügen; eventuell seien ihr zu Lasten der National über den 31. Dezember 2005 hinaus die gesetzlichen Versicherungsleistungen nach UVG, namentlich eine Invalidenrente und eine Integritätsentschädigung, zuzuerkennen.
Die National schliesst auf Beschwerdeabweisung, während das Bundesamt für Gesundheit auf eine Vernehmlassung verzichtet.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1 Die Vorinstanz hat die Grundlagen über den Anspruch auf Leistungen der obligatorischen Unfallversicherung im Allgemeinen (Art. 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 10 Traitement médical - 1 L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir: |
|
1 | L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir: |
a | au traitement ambulatoire dispensé par le médecin, le dentiste ou, sur prescription de ces derniers, par le personnel paramédical ainsi que par le chiropraticien, de même qu'au traitement ambulatoire dispensé dans un hôpital; |
b | aux médicaments et analyses ordonnés par le médecin ou le dentiste; |
c | au traitement, à la nourriture et au logement dans la division commune d'un hôpital; |
d | aux cures complémentaires et aux cures de bain prescrites par le médecin; |
e | aux moyens et appareils servant à la guérison. |
2 | L'assuré peut choisir librement son médecin, son dentiste, son chiropraticien, sa pharmacie et l'hôpital ou l'établissement de cure dans lequel il veut se faire soigner.31 |
3 | Le Conseil fédéral peut définir les prestations obligatoirement à la charge de l'assurance et limiter la couverture des frais de traitement à l'étranger. Il peut fixer les conditions que l'assuré doit remplir pour avoir droit à l'aide et aux soins à domicile.32 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 16 Droit - 1 L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
|
1 | L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
2 | Le droit à l'indemnité journalière naît le troisième jour qui suit celui de l'accident. Il s'éteint dès que l'assuré a recouvré sa pleine capacité de travail, dès qu'une rente est versée ou dès que l'assuré décède. |
3 | L'indemnité journalière de l'assurance-accidents n'est pas allouée s'il existe un droit à une indemnité journalière de l'assurance-invalidité ou à une allocation de maternité, d'allocation à l'autre parent, de prise en charge ou d'adoption selon la loi du 25 septembre 1952 sur les allocations pour perte de gain37.38 |
4 | L'indemnité journalière est versée aux personnes au chômage nonobstant les délais d'attente (art. 18, al. 1, LACI39) ou les jours de suspension (art. 30 LACI).40 |
5 | Les personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, qui reçoivent une rente conformément à l'art. 22bis, al. 5, LAI41 en relation avec l'art. 28 LAI n'ont pas droit à une indemnité journalière.42 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
|
1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
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1 | Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
2 | L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67 |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 11 Rechutes et séquelles tardives - Les prestations d'assurance sont également versées en cas de rechutes et de séquelles tardives; les bénéficiaires de rentes d'invalidité doivent toutefois remplir les conditions posées à l'art. 21 de la loi. |
BGE 134 V 109 E. 9.5 S. 125) sowie den Beweiswert von Arztberichten (BGE 134 V 231 f. E. 5.1). Darauf wird verwiesen.
2.2 Die Adäquanz als rechtliche Eingrenzung der sich aus dem natürlichen Kausalzusammenhang ergebenden Haftung des Unfallversicherers spielt bei organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen praktisch keine Rolle, da sich hier die adäquate und natürliche Kausalität weitgehend decken (BGE 134 V 109 E. 2 S. 112). Von organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen kann erst dann gesprochen werden, wenn die erhobenen Befunde mit apparativen/bildgebenden Abklärungen bestätigt werden und die hiebei angewendeten Untersuchungsmethoden wissenschaftlich auf breiter Basis anerkannt sind (BGE 134 V 231 f. E. 5.1, 109 E. 9 S. 122; SVR 2009 UV Nr. 30 S. 105 E. 2.1 [8C 413/2008]).
3.
Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen auch im Rahmen von Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Der angefochtene Entscheid datiert vom 21. April 2009. Die Versicherte reicht neu einen Bericht des Spitals Y.________ vom 30. Dezember 2008 und ein Schreiben ihrer Mutter vom 12. März 2009 ein. Die Versicherte legt indessen nicht dar, dass ihr die vorinstanzliche Beibringung dieser vor Fällung des kantonalen Entscheides erstatteten Berichte trotz hinreichender Sorgfalt prozessual unmöglich und objektiv unzumutbar war. Sie können mithin nicht berücksichtigt werden (vgl. Urteil 8C 756/2009 E. 3).
4.
4.1 Der Neurologe Dr. med. H.________, Institut V.________, stellte in der Expertise vom 19. Dezember 2005 folgende Diagnosen: Leichte Nacken- und Schulterschmerzen rechtsbetont (zervikozephales Syndrom (ICD-10: M54.2); leichter Lagerungsschwindel, Verdacht auf benignen paroxysmalen Lagerungsschwindel (ICD-10: H81.1); vasovagale Synkopen (ICD-10: R55); sporadische Anisokorie; M. Behçet. Beim Unfall vom 18. April 2003 habe die Versicherte eine traumatische Hirnverletzung sowie eine Jochbein- und Orbitabodenfraktur links erlitten. Medizinisch objektivierbare unfallbedingte organische Beschwerden seien die Zeichen des zervikocephalen Syndroms, nämlich Verspannungen des M. trapezius, pars horizontalis (beidseitig leicht bis mässig); des M. trapezius, pars descendens (rechtsbetont verspannt); des M. supraspinatus (beidseitig leicht verspannt); und des M. sterno-cleido-mastoideus (beidseitig leicht verspannt). Es bestehe eine zeitliche Kontinuität zwischen dem Unfall und dem Auftreten der Nacken-, Schulter- und Kopfschmerzen, die jedoch nicht echtzeitlich dokumentiert sei, sondern sich aus den Anamnesen ableite. Erstmals dokumentiert seien die Nacken- und Kopfschmerzen während ihrem Aufenthalt in der Klinik W.________ einige Wochen nach
dem Unfall. Im Bericht des Spitals Y.________ vom 28. Juli 2005 seien tägliche Kopf- und Nackenschmerzen seit dem Unfall vom April 2003 aufgeführt. Andere Beschwerden, die in einem Kausalzusammenhang mit dem Unfall stünden, lägen nicht vor. Die zervikozephalen Beschwerden beruhten höchstens zu einem kleinen Teil auf Unfallfolgen; eine numerische Angabe sei schwierig, liege aber deutlich unter 50 %. Wahrscheinlich hätten die psychophysischen Belastungen nach dem Unfall eine vorübergehende Verschlimmerung des M. Behçet bewirkt. Ob der Unfall eine vorübergehende oder dauerhafte Verschlimmerung des M. Behçet bedingt habe, was aus der Notwendigkeit abgelesen werden könne, das Medikament Dapsone immer einnehmen zu müssen, lasse sich noch nicht entscheiden. Die Krankheit M. Behçet verlaufe allerdings zyklisch, so dass ein Absetzen des Medikaments und damit das Erreichen des Status quo ante erwartet werden könne. Eine Verschlechterung des Zustands sei aber auch möglich. Sie wäre der Eigendynamik der Krankheit zuzuschreiben. Eine unfallbedingte richtunggebende Verschlimmerung des M. Behçet wäre eine Hypothese, die nur einem möglichen Zusammenhang mit dem Unfall entspräche. Zum Zeitpunkt der Untersuchung sei der Status quo ante nicht
erreicht gewesen. Die Versicherte weile im Jahre 2006 für ein Jahr im Ausland. Zum Zeitpunkt ihrer Abreise gehe er davon aus, dass die Schulter-, Nacken- und Kopfschmerzen nicht mehr mit dem Grad der Wahrscheinlichkeit als Unfallfolge geltend gemacht werden könnten. Bezüglich des M. Behçet müsse der weitere Verlauf - wie oben erklärt - noch abgewartet werden. Bezüglich der Nacken-, Schulter- und Kopfschmerzen könne davon ausgegangen werden, dass der Status quo sine mit dem Datum der Abreise der Versicherten im Januar 2006 erreicht worden sei. Mit Ausnahme der gegenwärtigen Behandlung des M. Behçet könne die Behandlung zum Datum der Abreise ins Ausland abgeschlossen werden. Falls sich eine Verschlechterung der Symptome und Befunde des M. Behçet einstellen würde, sei dies keine wahrscheinliche Unfallfolge. Somatische Restbeschwerden, die mindestens mit dem Grad der Wahrscheinlichkeit unfallbedingt seien, würden nicht zurückbleiben. Falls die Versicherte ihre Auslandreise durchführe, seien unfallbedingt keine medizinischen Behandlungen erforderlich. Mit unfallbedingten Rückfällen der somatischen Beschwerden müsse nicht gerechnet werden. Es bestehe keine unfallbedingte Einschränkung der Arbeitsfähigkeit infolge des M. Behçet. Die
Versicherte sei ab der Abreise ins Ausland im Januar 2006 in ihrer angestammten Tätigkeit als Bankangestellte und in anderen Tätigkeiten mit vergleichbarem Anforderungsprofil somatisch voll arbeitsfähig. Ein Integritätsschaden, den er auf 5 % schätze, bestehe, falls ein Absetzen des Dapsone ohne Verstärkung der Krankheitssymptome (des M. Behçet) nicht möglich sei; dieser Verlauf sei zwar wenig wahrscheinlich, könne aber noch nicht als erwiesen betrachtet werden. Ein anderer somatischer unfallbedingter Integritätsschaden liege ab dem Zeitpunkt der Abreise der Versicherten ins Ausland nicht mit dem Grad der Wahrscheinlichkeit vor.
4.2 Der Psychiater Dr. med. R._______, Institut V.________, gab im Gutachten vom 22. Dezember 2005 zur Frage der Unfallkausalität an, eine psychische Störung mit Krankheitswert sei eher unwahrscheinlich. Es bestehe keine Evidenz für eine Arbeitsunfähigkeit. Dabei stütze er sich in erster Linie darauf, dass in seiner Untersuchung und derjenigen des Dr. med. H.________ bedeutsame Hirnleistungsmän-gel nicht festgestellt worden seien. Der Bericht über den Tagesablauf der Versicherten spreche ebenso für die These, dass sie grundsätzlich leistungsfähig sei, wie der Umstand, dass sie inzwischen die Anstrengungen einer Weltreise auf sich genommen habe, was unter anderem seelische Belastbarkeit voraussetze bzw. erfordere. Trotz des Vorbehalts, dass in Bezug auf die zuletzt ausgeübte Tätigkeit mangels konkreten Wissens über die objektiven Anforderungen eine Aussage zur Arbeitsfähigkeit nur schwer möglich sei, bleibe er bei seiner allgemeinen Einschätzung, dass der Versicherten zum Zeitpunkt seiner Untersuchung am 2. Dezember 2005 in Beachtung ihres nicht offenkundig eingeschränkten Hirnleistungsvermögens eine Arbeit im Bankwesen vollumfänglich zumutbar gewesen sei.
5.
5.1 Die Versicherte macht geltend, die Vorinstanz habe den Untersuchungsgrundsatz (Art. 61 lit. c
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 61 Force de chose jugée - Les arrêts du Tribunal fédéral acquièrent force de chose jugée le jour où ils sont prononcés. |
5.2 Führen die von Amtes wegen vorzunehmenden Abklärungen die Verwaltung oder das Gericht bei pflichtgemässer Beweiswürdigung zur Überzeugung, ein bestimmter Sachverhalt sei als überwiegend wahrscheinlich zu betrachten und es könnten weitere Beweismassnahmen an diesem feststehenden Ergebnis nichts mehr ändern, so ist auf die Abnahme weiterer Beweise zu verzichten (antizipierte Beweiswürdigung; BGE 134 I 140 E. 5.3 S. 148). Ein solches Vorgehen verstösst weder gegen den Untersuchungsgrundsatz noch gegen den Anspruch auf rechtliches Gehör des Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
6.
6.1 Die Versicherte wendet ein, die Vorinstanz komme zum Schluss, es hätten Ende 2005 keine organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen bestanden. Ob dies richtig sei, werde im Rahmen der Begutachtung zu beurteilen sein. Nicht ärztlich abgeklärt sei bisher namentlich die Frage der Unfallkausalität der nach dem Unfall von der O._______ am 7. Juli 2005 diagnostizierten Diskusprotrusion/Diskushernie (vgl. E. 6.3.1 hienach). Es stelle sich die Frage, ob die Diskusprotrusion/ Diskushernie durch die Ataxie verursacht worden sei, deretwegen sie während langer Zeit eine körperliche Fehlhaltung (Neigung nach hinten etc.) aufgewiesen habe. Gegebenenfalls sei zu beurteilen, wie sich die Diskusprotrusion/Diskushernie auf ihre Arbeits- und Erwerbsfähigkeit auswirke.
Die Vorinstanz verneinte unter Berufung auf das Gutachten des Instituts V.________ (E. 4. hievor) die Frage der Unfallkausalität der Diskusprotrusion und Diskushernie der Versicherten.
6.2 Es ist im Lichte der allgemeinen Begründungspflicht der Beschwerde (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
6.3
6.3.1 Es steht fest, dass die Versicherte nach dem Unfall vom 18. April 2003 an einer ataktischen Gangstörung litt (vgl. Berichte des Spitals Y.________ vom 9. Mai 2003 und der Klinik W.________ vom 10. Juni 2003). Im Bericht vom 9. Juni 2004 diagnostizierte das Spital Y.________ unter anderem ein Panvertebral-Syndrom mit Wirbelsäulenfehlform/-haltung und ausgeprägter Haltungsinsuffizienz bei Dekonditionierung.
Dr. med. T.________, O._______, legte im Bericht vom 7. Juli 2005 aufgrund einer MRI der Halswirbelsäule (HWS) und der Lendenwirbelsäule (LWS) sowie der Iliosakralgelenke (ISG) dar, in der Etage HWK6/7 lasse sich eine kleine, links medio-laterale Diskusprotrusion nachweisen. Ansonsten liege eine altersentsprechend unauffällige Darstellung der HWS vor. Sämtliche Neuroforamina seien frei. Das zervikale Myelon sei partiell pulsartionsartefakt überlagert, ansonsten aber unauffällig. Die Bandscheibe LWK5/SWK1 sei dehydriert und geringgradig höhengemindert. Es lasse sich eine kleine mediale Diskushernie nachweisen. Der Duralsack werde hierdurch komprimiert. Das Diskusmaterial enthalte eine enge Lagebeziehung zur abgehenden Wurzel S1 beidseits. Die übrigen Bandscheibenetagen der LWS seien unauffällig. Es liege eine symmetrisch unauffällige Darstellung der ISG vor.
Dr. med. A.________, FMH Neurochirurgie, führte am 25. Januar 2005 eine Facettengelenksblockade von C4-C7 und eine ISG-Infiltration rechts, am 8. Februar 2005 eine Facettengelenksblockade von C1-C3 und am 28. Juni 2005 eine Epideuralanästhesie zervikal und lumbal durch (Bericht vom 31. Juli 2005). Am 13. Dezember 2005 nahm er eine Facettengelenksblockade C4-C7 und ISG rechts vor (Bericht vom 31. Juli 2005).
6.3.2 Es entspricht medizinischer Erfahrungstatsache, dass praktisch alle Diskushernien bei Vorliegen degenerativer Bandscheibenveränderungen entstehen und ein Unfall nur ausnahmsweise, unter besonderen Voraussetzungen, als eigentliche Ursache in Betracht fällt. Eine Diskushernie kann als weitgehend unfallbedingt betrachtet werden, wenn der Unfall von besonderer Schwere und geeignet war, eine Schädigung der Bandscheibe herbeizuführen, und die Symptome der Diskushernie - vertebrales oder radikuläres Syndrom - unverzüglich und mit sofortiger Arbeitsunfähigkeit aufgetreten sind. Ein Unfall ist somit nur in Ausnahmefällen geeignet, eine Bandscheibenverletzung hervorzurufen, zumal eine gesunde Bandscheibe derart widerstandsfähig ist, dass unter Gewalteinwirkung eher die Wirbelknochen brechen, als dass die Bandscheibe verletzt würde. Bezüglich der Verschlimmerung eines vorbestehenden Gesundheitsschadens gelten dieselben Kriterien. Die Dauer, während der eine vorbestehende Wirbelsäulenerkrankung durch einen Unfall - bei Fehlen unfallbedingter Wirbelkörperfrakturen oder struktureller Läsionen an der Wirbelsäule - im Sinne einer vorübergehenden Verschlimmerung beeinflusst wird, beträgt nach unfallmedizinischer Erfahrung sechs bis neun
Monate, längstens jedoch ein Jahr. Diskusprotrusionen sind nach medizinischer Lehrmeinung in der Regel Folge eines degenerativen Prozesses (Urteil 8C 735/2009 vom 2. November 2009 E. 5.1 und 5.3.2 mit Hinweis).
Unfallbedingte Fehlbelastungen können später im Sinne indirekter Unfallfolgen zu Rückenbeschwerden führen (RKUV 2003 Nr. U 487 S. 337 E. 5.2.2 [U 38/01]; Urteil 8C 514/2008 vom 31. März 2009 E. 5.4.2).
6.3.3 Vorab ist festzuhalten, dass die vom Gutachter Dr. med. H.________ am 19. Dezember 2005 beschriebenen zervikozephalen Muskelverspannungen (E. 4.1 hievor) nicht als klar ausgewiesenes organisches Substrat der Beschwerden qualifiziert werden können (SVR 2008 UV Nr. 2 S. 3 E. 5.2 mit Hinweisen [U 328/06]).
6.3.4 Der Gutachter Dr. med. H.________ hat gestützt auf die Röntgen der HWS vom 20. April und 13. Mai 2004 sowie das MRI der HWS und LWS vom 7. Juli 2005 zu Recht dargelegt, dass keine Hinweise für eine traumatische Schädigung der HWS oder LWS vorliegen. Diese Einschätzung wird gestützt durch den Bericht des Spitals Y.________ vom 9. Mai 2003 betreffend die Hospitalisation der Versicherten vom 19. April bis 12. Mai 2005, worin Symptome einer unfallbedingten Diskushernie, die unverzüglich auftreten (vgl. E. 6.3.2 hievor), nicht festgestellt wurden. Erst im Bericht der Klinik W.________ vom 2. Juni 2003 wurde eine Dysfunktion der oberen HWS (C1-C3) beschrieben, mithin nicht im Bereich der später festgestellten Diskushernie bzw. -protrusion (vgl. E. 6.3.1 hievor). Es ist auch nicht ersichtlich, inwiefern der mittelschwere, an der Grenze zu den leichten Ereignissen liegende Unfall vom 18. April 2003 (vgl. E. 10 hienach) geeignet gewesen sein soll, die Bandscheibe dauerhaft zu schädigen (siehe auch Urteil 8C 735/2009 E. 5.3.1).
Für die Annahme, dass die Diskusprotrusion HWK6/7 und die Diskushernie LWK5/SWK1 überwiegend wahrscheinlich auf unfallbedingte Fehlbelastungen der Versicherten zurückzuführen sind und damit eine indirekte Unfallfolge bilden (vgl. E. 6.3.1 und 6.3.2 in fine hievor), bestehen keine Anhaltspunkte. Diesbezüglich erübrigt sich der Beizug der IV-Akten, da die Versicherte nicht auf ärztliche IV-Unterlagen verweist, die einen gegenteiligen Schluss zuliessen. Da von weiteren medizinischen Abklärungen keine neuen Erkenntnisse zu erwarten sind, ist darauf zu verzichten (vgl. E. 5.2 hievor).
7.
7.1 Die Versicherte wendet ein, die Vorinstanz habe die Adäquanzprüfung und den Fallabschluss zu Unrecht per 31. Dezember 2005 vorgenommen. Denn es seien die Verhältnisse bis zum Zeitpunkt des Einsprachentscheides vom 15. September 2008 zu berücksichtigen. Das vorinstanzliche Vorgehen führe zu willkürlichen und verfassungswidrigen Ergebnissen, wenn es die Unfallversicherer in der Hand hätten, für die Adäquanzprüfung relevante Fakten vom Tisch zu wischen, indem sie für den Fallabschluss einfach einen weit zurückliegenden Zeitpunkt bestimmen könnten.
7.2 Der Unfallversicherer hat den Fall - unter Einstellung der vorübergehenden Leistungen und Prüfung des Anspruchs auf eine Invalidenrente und eine Integritätsentschädigung - in dem Zeitpunkt abzuschliessen, in welchem von der Fortsetzung der ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes der versicherten Person mehr erwartet werden kann (BGE 134 V 109 E. 4 S. 113 ff.). Die Möglichkeit einer namhaften Besserung ist prognostisch und nicht aufgrund retrospektiver Feststellungen zu beurteilen. Der Abschluss des Falles durch den Unfallversicherer setzt zudem lediglich voraus, dass von weiteren medizinischen Massnahmen keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann, nicht aber, dass eine ärztliche Behandlung nicht länger erforderlich ist (Urteil 8C 432/2009 vom 2. November 2009 E. 3.2 mit Hinweis).
Der Zeitpunkt des Fallabschlusses ist mithin nur in diesem klaren Rahmen möglich und kann vom Unfallversicherer nicht willkürlich festgelegt werden. Die Einwände der Beschwerdeführerin sind somit nicht stichhaltig.
8.
In den Gutachten des Instituts V.________ vom 19. und 22. Dezember 2005 (E. 4 hievor) wurde dargelegt, die Versicherte sei in der angestammten Tätigkeit grundsätzlich wieder voll arbeitsfähig. Diese Feststellung ist nicht zu beanstanden angesichts der auch von den Gutachtern angeführten Tatsache, dass sie ab Januar 2006 in der Lage war, die Anstrengungen einer einjährigen Weltreise auf sich zu nehmen. Nicht stichhaltig ist das Vorbringen der Versicherten, ihr Hausarzt Dr. med. W.________, FMH Innere Medizin, habe ihr die Weltreise im Zeugnis vom 27. September 2005 empfohlen, da sie bei Aufenthalten in wärmeren Regionen gesundheitliche Fortschritte erzielt habe. Unbehelflich ist auch ihr Hinweis auf die Einschränkungen, die sie während dieser Weltreise habe in Kauf nehmen müssen. Denn es ist nicht nachvollziehbar, dass sie an den von ihr beschriebenen Beschwerden gelitten haben soll und gleichzeitig eine einjährige Weltreise unternehmen konnte (vgl. auch Urteil 8C 806/2007 vom 7. August 2008 E. 9.3).
Gestützt auf diese Aktenlage kann mithin nicht gesagt werden, dass bei Fallabschluss am 31. Dezember 2005 von der Fortsetzung der ärztlichen Behandlung mit überwiegender Wahrscheinlichkeit eine namhafte, ins Gewicht fallende Besserung des Gesundheitszustandes bzw. eine Steigerung der Arbeitsfähigkeit der Versicherten erwartet werden konnte. Dies hat die Versicherte selbst damit zum Ausdruck gebracht, dass sie im Januar 2006 die einjährige Weltreise antrat und damit auf eine planmässige ärztliche Behandlung verzichtete. Sie räumt ein, dass sie während dieser Weltreise ärztlich nicht behandelt wurde. Somit ist der Fallabschluss am 31. Dezember 2005 unter gleichzeitiger Prüfung der adäquaten Kausalität zwischen dem Unfall und den anhaltenden, organisch objektiv nicht ausgewiesenen Beschwerden der Versicherten nicht zu beanstanden, zumal aufgrund der Weltreise nicht anzunehmen ist und auch nicht geltend gemacht wird, dass damals IV-Eingliederungsmassnahmen gelaufen oder geplant gewesen seien (BGE 134 V 109 E. 4. S. 113 f.; Urteil 8C 217/2008 vom 20. März 2009 E. 8). Diesbezüglich erübrigen sich weitere Abklärungen oder der Beizug der IV-Akten, da hievon keine neuen Ergebnisse zu erwarten sind (vgl. E. 5.2 hievor).
9.
Die Vorinstanz hat die Adäquanzprüfung nach der Schleudertrauma-Praxis (BGE 134 V 109) durchgeführt, was unbestritten und nicht zu beanstanden ist, zumal im Bericht des Spitals Y.________ vom 9. Mai 2003 auch eine Commotio cerebelli, eine schleudertraumaähnliche Verletzung, als Folge des Unfalls vom 18. April 2003 diagnostiziert wurde. Zu prüfen ist, ob sie die adäquate Kausalität für die Zeit ab 1. Januar 2006 zu Recht verneint hat.
10.
Unbestritten und nicht zu beanstanden ist die vorinstanzliche Feststellung, dass der Unfall der Versicherten vom 18. April 2003 aufgrund des augenfälligen Geschehensablaufs mit den sich dabei entwickelnden Kräften (SVR 2008 UV Nr. 8 S. 26 E. 5.3.1 [U 2/07]) als mittelschwer im Grenzbereich zu den leichten Ereignissen zu qualifizieren ist. Die adäquate Kausalität wäre somit zu bejahen, wenn die zu berücksichtigenden sieben Kriterien in gehäufter Weise erfüllt wären oder eines davon in besonders ausgeprägter Weise vorläge (vgl. BGE 117 V 359 E. 6b S. 367 f.; Urteil 8C 177/2009 vom 12. August 2009 E. 7.2 mit Hinweis).
11.
Die Versicherte beruft sich einzig auf vier Adäquanzkriterien, nämlich diejenigen der fortgesetzt spezifischen, belastenden ärztlichen Behandlung, der erheblichen Beschwerden, des schwierigen Heilungsverlaufs und der erheblichen Komplikationen sowie der erheblichen Arbeitsunfähigkeit trotz ausgewiesener Anstrengungen. Demnach sind nur diese Kriterien zu prüfen (vgl. auch Urteil 8C 364/2008 E. 10).
11.1 Hinsichtlich des Kriteriums der fortgesetzt spezifischen, belastenden ärztlichen Behandlung (BGE 134 V 109 E. 10.2.3 S. 128) bis zum Fallabschluss auf den 31. Dezember 2005 ist festzuhalten, dass die Versicherte vom 19. April bis 12. Mai 2003 im Spital Y.________ hospitalisiert war, wo am 22. April 2003 die Jochbeinfraktur operativ behandelt wurde. Die Vorinstanz hat erwogen, diese Operation sei komplikationslos gewesen. Danach seien zwei stationäre Rehabilitationen (vom 15. [recte 12.] Mai bis 6. Juni 2003 in der Klinik W.________ und vom 12. Mai bis 5. Juni 2004 im Spital Y.________), Physiotherapie, MMT und Massage erfolgt. Gestützt auf die gesamte Aktenlage, selbst unter Berücksichtigung der Behandlung bei Dr. med. A.________ (E. 6.3.1 hievor), ist die vorinstanzliche Feststellung, dass das Kriterium nicht erfüllt ist, nicht zu beanstanden. Zu berücksichtigen ist auch, dass die Versicherte während des fünfwöchigen Sprachaufenthalts in Spanien im Sommer 2005 ärztlich nicht behandelt wurde, sondern lediglich die rezeptierten Medikamente nicht ganz absetzte. Ergänzend sei angefügt, dass Abklärungsmassnahmen und blosse ärztliche Kontrollen nicht zu berücksichtigen sind (Urteil 8C 427/2008 vom 2. Juni 2009 E. 6.5). Die
Versicherte bringt keine substanziierten Einwände vor. Unbehelflich ist ihre Berufung auf den Sachverhalt bis zum Zeitpunkt des Einspracheentscheides vom 15. September 2008 (vgl. E. 7 f. hievor) und auf den Umstand, dass die Behandlungen nicht zu einer bleibenden Verbesserung des Gesundheitszustandes geführt hätten.
11.2 Die Erheblichkeit von ohne wesentlichen Unterbruch bestehenden unfallbedingten gesundheitlichen Beschwerden beurteilt sich nach den glaubhaften Schmerzen und nach der Beeinträchtigung, welche die Versicherte bis zum Fallabschluss auf den 31. Dezember 2005 im Lebensalltag erfahren hat (BGE 134 V 109 E. 10.2.4 S. 128). Die Vorinstanz hat richtig erkannt, dass dieses Kriterium nicht ausgeprägt erfüllt ist, was unbestritten ist. Zu berücksichtigen ist denn auch, dass die Versicherte in der Lage war, im Sommer 2005 den fünfwöchigen Sprachaufenthalt in Spanien zu absolvieren, der von ihr vorgängig auch zu organisieren war.
11.3 Aus der blossen Dauer der ärztlichen Behandlung und der geklagten Beschwerden darf nicht auf einen schwierigen Heilungsverlauf oder erhebliche Komplikationen geschlossen werden. Es bedarf hiezu besonderer Gründe, welche die Genesung bis zum Fallabschluss beeinträchtigt oder verzögert haben (BGE 134 V 109 E. 10.2.6 S. 129; SVR 2007 UV Nr. 25 S. 81 E. 8.5 [U 479/05]). Der Umstand, dass trotz verschiedener Therapien keine Beschwerdefreiheit erreicht werden konnte, reicht für die Bejahung des Kriteriums nicht aus (Urteile 8C 735/2009 E. 7.6). Die Vorinstanz hat richtig erkannt, dass das Kriterium weder auffallend noch besonders ausgeprägt erfüllt ist, was die Versicherte nicht bestreitet.
11.4 Zu prüfen ist schliesslich das Kriterium der erheblichen Arbeitsunfähigkeit trotz ausgewiesener ernsthafter Anstrengungen zwecks deren Überwindung bis zum Fallabschluss (BGE 134 V 109 E. 10.2.7 S. 129 f.; Urteil 8C 427/2009 vom 29. Oktober 2009 E. 4.7). Nach dem Unfall war die Versicherte knapp drei Monate zu 100 %, ab 8. Juli 2003 zu 50 % arbeitsunfähig. Wegen starken Rückenschmerzen wurde ihr vom 22. Januar bis 10. Februar 2004 eine 100 %ige Arbeitsunfähigkeit attestiert. Danach war die Wiederaufnahme der Arbeit zu 50 % vorgesehen. Nach der Hospitalisation im Spital Y.________ (12. Mai bis 5. Juni 2004) attestierten die dortigen Ärzte ab 7. Juni 2004 eine 50 %ige Arbeitsunfähigkeit. Gemäss dem Bericht des Dr. med. W.________ vom 1. Dezember 2005 war die Versicherte seitens des Unfalls mit erfreulichem Verlauf ab 1. Juni 2005 zu 60 % arbeitsfähig, ab 9. November 2005 aus psychischen Gründen zu 100 % arbeitsunfähig. Die Vorinstanz hat richtig erkannt, dass die Versicherte bis zum Fallabschluss immer wieder Arbeitsversuche unternommen, diese teilweise aber habe abbrechen müssen. Der vorinstanzlichen Schlussfolgerung, dass das Kriterium nicht besonders ausgeprägt oder auffallend vorliegt, ist insgesamt beizupflichten, zumal die
Versicherte gestützt auf die Gutachten des Instituts V.________ vom 19. und 22. Dezember 2005 und die Aktenlage in der angestammten Tätigkeit wieder voll arbeitsfähig war (vgl. E. 4 und 8 hievor). Sie macht keine substanziierten Einwendungen, die einen gegenteiligen Schluss zuliessen.
11.5 Nach dem Gesagten sind höchstens drei Kriterien (E. 11.2-11.4) erfüllt, aber nicht besonders ausgeprägt. Eine Gesamtwürdigung der Kriterien und des Unfalls vom 18. April 2003 ergibt, dass diesem für den über den 31. Dezember 2005 hinaus anhaltenden Gesundheitsschaden der Versicherten keine massgebende Bedeutung mehr zukommt, weshalb die adäquate Kausalität und damit die Leistungspflicht der SUVA zu verneinen ist (vgl. Urteil 8C 735/2009 E. 7.8). Bezüglich der Adäquanzfrage erübrigen sich weitere Abklärungen oder der Beizug der vollständigen IV-Akten, da hievon keine neuen Erkenntnisse zu erwarten sind (vgl. E. 5.2 hievor). Sämtliche Einwendungen der Versicherten vermögen hieran nichts zu ändern.
12.
Nichts zu ihren Gunsten ableiten kann die Versicherte schliesslich aus dem Umstand, dass die Vorinstanz die Beschwerde "im Sinne der Erwägungen" abgewiesen hat.
13.
Die unterliegende Beschwerdeführerin trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Schwyz I. Kammer und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 21. Dezember 2009
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Der Gerichtsschreiber:
Ursprung Jancar