Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Abteilung IV
D-6006/2006/wif
spn/lec/mal
{T 0/2}

Urteil vom 18. März 2008

Besetzung
Richterin Nina Spälti Giannakitsas (Vorsitz), Richter François Badoud, Richter Thomas Wespi,
Gerichtsschreiber Lorenz Mauerhofer.

Partei
A._______, geboren _______, Türkei,
vertreten durch Ismet Bardakci, Fürsprecher,
_______,
Gesuchstellerin,

gegen

Bundesamt für Migration (BFM),
Quellenweg 6, 3003 Bern,
Vorinstanz.

Gegenstand
Gesuch um Wiederaufnahme des Beschwerdeverfahrens / N _______.

Sachverhalt:
A.
Das am 15. Mai 2006 in der Schweiz gestellte Asylgesuch der Gesuchstellerin wurde mit Verfügung des BFM vom 30. Juni 2006 abgewiesen und die Wegweisung der Gesuchstellerin aus der Schweiz sowie der Wegweisungsvollzug angeordnet.
B.
Gegen diese Verfügung erhob die Gesuchstellerin am 27. Juli 2006 vor der Schweizerischen Asylrekurskommission (ARK) Beschwerde und beantragte, die vorinstanzliche Verfügung sei aufzuheben, die Flüchtlingseigenschaft sei festzustellen und ihr sei Asyl zu gewähren, eventualiter sei die Unzumutbarkeit beziehungsweise Unzulässigkeit des Wegweisungsvollzuges festzustellen und die vorläufige Aufnahme in der Schweiz anzuordnen. In formeller Hinsicht wurde um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege im Sinne von Art. 65 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111
1    Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111
2    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112
3    Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4.
4    Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés.
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116
des Verwaltungsverfahrensgesetzes vom 20. Dezember 1968 [VwVG, SR 172.021] sowie um Verzicht auf die Erhebung eines Kostenvorschusses ersucht.
C.
Mit Zwischenverfügung vom 7. August 2006 wies die zuständige Instruktionsrichterin die Gesuche um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege im Sinne von Art. 65 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111
1    Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111
2    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112
3    Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4.
4    Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés.
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116
VwVG sowie um Verzicht auf die Erhebung eines Kostenvorschusses ab und setzte der Gesuchstellerin zur Leistung eines Kostenvorschusses in Höhe von Fr. 600.-- Frist bis zum 22. August 2006. Dieser wurde am 18. August 2006 von der Gesuchstellerin einbezahlt.
D.
Mit Eingabe vom 22. August 2006 wurde seitens des damaligen Rechtsvertreters der Gesuchstellerin darum ersucht, wiedererwägungsweise auf die Zwischenverfügung vom 7. August 2006 zurückzukommen.
E.
Am 22. August 2006 verheiratete sich die Gesuchstellerin mit einem in der Schweiz lebenden Landsmann, der im Besitz einer Aufenthaltsbewilligung B ist.
F.
Am 29. August 2006 erklärte sie schriftlich den Rückzug des Asylgesuches vom 15. Mai 2006. Das Beschwerdeverfahren wurde daraufhin im einzelrichterlichen Verfahren mit Beschluss vom 30. August 2006 als durch Rückzug gegenstandslos geworden abgeschrieben.
G.
Auf ein Gesuch des Ehemannes der Gesuchstellerin um Familienzusammenführung vom 30. August 2006 wurde mit Verfügung _______ [der zuständigen kantonalen Behörde X.] vom 19. September 2006 nicht eingetreten.
H.
Mit Eingabe vom 3. Oktober 2006 ersuchte die Beschwerdeführerin durch ihren am gleichen Tag mandatierten Rechtsvertreter um Wiederaufnahme des Beschwerdeverfahrens. Zur Begründung führte sie aus, der Rückzug sei irrtümlich erfolgt.
I.
Mit Verfügung vom 16. Oktober 2006 wies die zuständige Instruktionsrichterin aufgrund der laufenden Ausreisefrist die Vollzugsbehörde an, den Vollzug der Wegweisung einstweilen auszusetzen, und verzichtete auf die Erhebung eines Kostenvorschusses.
J.
Mit Schreiben vom 19. Oktober 2006 wurde die zuständige Sachbearbeiterin _______ [der kantonalen Behörde Y.] um Stellungnahme zu den Vorbringen der Gesuchstellerin ersucht.
K.
Eine entsprechende Stellungnahme wurde am 23. Oktober 2006 zuhanden der ARK eingereicht. Diese Stellungnahme wurde der Gesuchstellerin unter Ansetzung einer Frist zur allfälligen Replik am 25. Oktober 2006 zur Kenntnis gebracht.
L.
Mit einem am 9. November 2006 zu den Akten gereichten Schreiben nahm die Gesuchstellerin ihrerseits Stellung zu den Ausführungen _______ [der kantonalen Behörde Y.] und reichte in diesem Zusammenhang ein Schreiben ihres Ehemannes vom 6. November 2006, das Schreiben einer Bekannten vom 7. November 2006 (inklusive deutsche Übersetzung und Zustellkuvert), ein Schreiben des Arbeitgebers des Ehemannes vom 7. November 2006, ein Faxschreiben der Z._______ vom 27. April 2006 sowie ein Bestätigungsschreiben vom 7. November 2006 zu den Akten.
Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:
1.
1.1 Gemäss Art. 31
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20.
des Verwaltungsgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005 (VGG, SR 173.32) beurteilt das Bundesverwaltungsgericht Beschwerden gegen Verfügungen nach Art. 5. Das BFM gehört zu den Behörden nach Art. 33
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale;
b  du Conseil fédéral concernant:
b1  la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26,
b10  la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44;
b2  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27,
b3  le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29,
b4  l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31,
b4bis  l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens,
b5  la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34,
b6  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36,
b7  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38,
b8  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40,
b9  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42;
c  du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
cbis  du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
dquinquies  de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées;
e  des établissements et des entreprises de la Confédération;
f  des commissions fédérales;
g  des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises;
h  des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées;
i  d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral.
VGG und ist daher eine Vorinstanz des Bundesverwaltungsgerichts. Eine das Sachgebiet betreffende Ausnahme im Sinne von Art. 32
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 32 Exceptions
1    Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit jugée par un tribunal;
b  les décisions concernant le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et les votations populaires;
c  les décisions relatives à la composante «prestation» du salaire du personnel de la Confédération, dans la mesure où elles ne concernent pas l'égalité des sexes;
d  ...
e  les décisions dans le domaine de l'énergie nucléaire concernant:
e1  l'autorisation générale des installations nucléaires;
e2  l'approbation du programme de gestion des déchets;
e3  la fermeture de dépôts en profondeur;
e4  la preuve de l'évacuation des déchets.
f  les décisions relatives à l'octroi ou l'extension de concessions d'infrastructures ferroviaires;
g  les décisions rendues par l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
h  les décisions relatives à l'octroi de concessions pour des maisons de jeu;
i  les décisions relatives à l'octroi, à la modification ou au renouvellement de la concession octroyée à la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR);
j  les décisions relatives au droit aux contributions d'une haute école ou d'une autre institution du domaine des hautes écoles.
2    Le recours est également irrecevable contre:
a  les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'une opposition ou d'un recours devant une autorité précédente au sens de l'art. 33, let. c à f;
b  les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'un recours devant une autorité cantonale.
VGG liegt nicht vor. Das Bundesverwaltungsgericht ist daher zuständig für die Beurteilung von Beschwerden gegen Verfügungen des BFM und entscheidet im Asylbereich endgültig (Art. 105
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 105 Recours contre les décisions du SEM - Le recours contre les décisions du SEM est régi par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral360.
des Asylgesetzes vom 26. Juni 1998 [AsylG, SR 142.31]; Art. 83 Bst. d Ziff. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
des Bundesgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005 [BGG, SR 173.110]). Das Bundesverwaltungsgericht ist als letzte Instanz im Asylbereich zweifelsfrei zuständig für die Beurteilung von entsprechenden Gesuchen um Wiederaufnahme des Verfahrens, wenn das Beschwerdeverfahren durch Beschluss abgeschrieben wurde (vgl. Alfred Kölz/Isabelle Häner, Verwaltungsverfahren und Verwaltungsrechtspflege des Bundes, 2. Aufl., Zürich 1998, Rz. 484).
1.2 Nach der Dispositionsmaxime steht es der Asyl suchenden Person frei, das Asylgesuch oder eine Beschwerde zurückzuziehen. Ein Rückzug ist grundsätzlich unwiderruflich und bedingungsfeindlich. Auch wenn der Rückzug als Ausübung eines Gestaltungsrechts nicht beliebig widerrufen werden kann, wird die Ungültigkeit eines solchen Rechtsaktes aufgrund eines Willensmangels praxisgemäss nicht zum Vornherein ausgeschlossen, sondern es gelangen die vertragsrechtlichen Grundsätze des Obligationenrechts sinngemäss zur Anwendung. Vorauszusetzen ist allerdings, dass einerseits für die sich auf Willensmängel berufende Partei schwerwiegende Nachteile auf dem Spiel stehen und andererseits die Rechtssicherheit nicht in unannehmbarer Weise beeinträchtigt wird (vgl. Alfred Kölz/Isabelle Häner, Verwaltungsverfahren und Verwaltungsrechtspflege des Bundes, 2. Aufl., Zürich 1998, Rz. 683). Vorliegend stehen für die Beschwerdeführerin schwerwiegende Nachteile auf dem Spiel, bleibt doch ihre Flüchtlingseigenschaft auf Beschwerdeebene ungeprüft, und die Rechtssicherheit wäre mit einer Verfahrenswiederaufnahme nicht in unannehmbarer Weise beeinträchtigt.
2.
2.1 Zur Begründung des Gesuches um Wiederaufnahme des Beschwerdeverfahrens machte die Gesuchstellerin im Wesentlichen geltend, von _______ [der kantonalen Behörde Y.] für den 29. August 2006 vorgeladen worden zu sein, wo man sie die in den Akten befindliche vorformulierte Rückzugserklärung habe unterzeichnen lassen. Sie sei sich bei der Unterzeichnung des Schriftstücks nicht im Klaren über dessen Bedeutung gewesen und habe insbesondere nicht gewusst, dass es sich dabei um eine Rückzugserklärung gehandelt habe, da sie weder deutsch spreche noch verstehe. Vielmehr sei sie davon ausgegangen, dass es sich bei der Unterzeichnung des Schriftstückes um Formalitäten betreffend eines Kantonswechsels zu ihrem im Kanton X._______ lebenden Ehemann handeln würde. Obwohl der daraufhin ergangene Abschreibungsbeschluss der ARK vom 30. August 2006 der Gesuchstellerin von ihrem damaligen Rechtsvertreter am 8. September 2006 zugestellt worden sei, habe die Beschwerdeführerin erst gegen Mitte September, nach der Übersetzung des Beschlusses vom Rückzug ihres Asylgesuches und vom Abschluss des Beschwerdeverfahrens Kenntnis nehmen können. Da der Rechtsvertreter tagelang nicht erreichbar gewesen und nun in den Ferien sei, habe die Beschwerdeführerin mit ihm nicht über den irrtümlich erfolgten Rückzug ihres Asylgesuches sprechen können und daher den nunmehr unterzeichnenden Anwalt mit der Wahrung ihrer Interessen beauftragt. Aufgrund dieses Irrtums sei die Rückzugserklärung für unbeachtlich zu erklären und das Beschwerdeverfahren fortzusetzen. Die Rückzugserklärung erweise sich aber auch aus einem anderen Grund als unbeachtlich. Die Beschwerdeführerin sei im Beschwerdeverfahren anwaltlich vertreten gewesen. Weder die Vorinstanz noch _______ [die kantonale Behörde Y.] habe den Rechtsvertreter der Gesuchstellerin über den Termin vom 29. August 2006 und die anstehende Frage des Rückzuges des Asylgesuches orientiert. Für die weitere Begründung wird auf die Akten verwiesen.
2.2 In ihrer Stellungnahme hat die zuständige kantonale Sachbearbeiterin zum Hergang im Wesentlichen festgehalten, die Gesuchstellerin sei weder schriftlich auf das Amt vorgeladen noch zum Rückzug des Asylgesuches aufgefordert worden. Vielmehr habe eine Betreuerin des Durchgangszentrums _______ sie - wie dies die übliche Vorgehensweise sei - telefonisch über die Heirat der Gesuchstellerin informiert. Daraufhin habe sie der Gesuchstellerin durch die Betreuerin ausrichten lassen, dass die Gesuchstellerin zwecks Eintragung der Ehe in die Statistik und Ablage des Ehescheins in das Dossier auf dem Amt vorbeikommen solle. Noch in derselben Woche sei die Gesuchstellerin gemeinsam mit ihrem Ehemann auf dem Amt erschienen. Der Ehemann habe sie sogleich darauf angesprochen, dass die Gesuchstellerin "fertig Asyl" wolle, da sie nun mit ihm verheiratet sei und zu ihm ziehe. Auf ihr Anraten hin, abzuwarten wie sich die ARK entscheiden würde, habe der Ehemann geantwortet, dass dies nicht nötig sei und die Gesuchstellerin ihr Asylgesuch definitiv zurückziehen wolle. Auch als sie den Ehemann über die Folgen eines entsprechenden Rückzuges aufgeklärt habe, habe dieser sich nicht davon abbringen lassen und auf einem Rückzug des Asylgesuches bestanden, weshalb sie in der Folge das Formular vorbereitet habe. Unverständlich sei das Vorbringen der Gesuchstellerin, sie habe nicht gewusst, was sie unterzeichne, da der Ehemann sehr gut deutsch gesprochen habe und sie den Eindruck gehabt habe, der Ehemann lasse die Gesuchstellerin nicht im Ungewissen darüber, was sie unterschreibe. Im Hinblick auf das Vorbringen der Gesuchstellerin, sie habe geglaubt, ihre Unterschrift betreffe Formalitäten einen Kantonswechsel betreffend, sei festzustellen, dass sie den Ehemann der Gesuchstellerin über den Kantonswechsel ausführlich aufgeklärt und das genaue Vorgehen erläutert habe. In diesem Zusammenhang habe sie die Eheleute auch auf die Eventualitäten aufmerksam gemacht, die passieren könnten, wenn _______ [die kantonale Behörde X.] sich nicht bereit erkläre, den Familiennachzug zu bewilligen.
2.3 Die Gesuchstellerin ihrerseits replizierte im Wesentlichen, das Durchgangszentrum _______ habe ihr am 25. August 2006, als sie sich bei ihrem Ehemann aufgehalten habe, telefonisch mitgeteilt, dass sie von _______ [der kantonalen Behörde X.] vorgeladen worden sei und sich in der nächsten Woche zwischen 9 und 10 Uhr melden solle. Eine Freundin habe diesen Anruf für sie entgegen genommen und als Dolmetscherin fungiert. Das entsprechende Bestätigungsschreiben sei den Akten beigelegt worden. Das Durchgangszentrum _______ habe auf telefonische Anfrage des Rechtsvertreters die telefonische Vorladung bestätigt und als übliche Vorgehensweise bezeichnet. In einem telefonischen Gespräch mit der zuständigen Mitarbeiterin _______ [der kantonalen Behörde Y.] habe diese erklärt, sie habe einem Herrn, der am Handy der Gesuchstellerin gewesen sei, mitgeteilt, worum es sich bei der Erklärung handle. Dieser wiederum habe als Übersetzer für die Gesuchstellerin fungiert. Die Gesuchstellerin ihrerseits habe diese Vorgehensweise nicht bestätigen können. Entgegen der Ausführungen _______ [der kantonalen Behörde Y.] verfüge der Ehemann der Gesuchstellerin lediglich über rudimentäre Deutschkenntnisse und sei bei ärztlichen und behördlichen Terminen seinerseits auf Hilfeleistungen durch Übersetzer angewiesen, was die zu den Akten gereichten Schreiben belegen würden. Die Gesuchstellerin und ihr Ehemann hätten die von _______ [der kantonalen Behörde Y.] geltend gemachten Darlegungen mithin gar nicht verstehen können. Die _______ [kantonalen Behörde Y.] hätte mithin einen Übersetzer oder eine Übersetzerin beiziehen und den Rechtsvertreter der Gesuchstellerin beiladen müssen.
3.
3.1 Wie bereits ausgeführt, kann eine urteils- und prozessfähige Person ihr Asylgesuch beziehungsweise ihre Beschwerde zu jedem Zeitpunkt im Asylverfahren zurückzuziehen oder auf das ihr gewährte Asyl später verzichten (zur Einschränkung bei urteilsfähigen Minderjährigen vgl. die immer noch Gültigkeit entfaltende Rechtsprechung in Entscheidungen und Mitteilungen der Schweizerischen Asylrekurskommission [EMARK] 1999 Nr. 25). Eine eigenhändige Rückzugserklärung der Partei ist grundsätzlich auch rechtsgültig, wenn die gesuchstellende Person im Asylverfahren einen Rechtsvertreter bestimmt hat, selbst wenn dieser von der Rückzugserklärung der Mandantin oder des Mandanten keine Kenntnis hat. Dies gilt jedoch nur dann uneingeschränkt, wenn die Partei aus eigenem Entschluss auf die Weiterführung des Asylverfahrens verzichtet hat. Wird die Partei von der Behörde schriftlich aufgefordert, eine Erklärung abzugeben, ob sie ihr Gesuch oder Rechtsmittel aufrecht erhalten oder zurückziehen wolle (beispielsweise aufgrund einer veränderten Situation im Heimatstaat, einer teilweisen Wiedererwägung des negativen Entscheides oder nach Erlangung eines Aufenthaltstitels aus anderen Gründen), ist die Rückzugsanfrage von der Behörde deshalb ausschliesslich an den bestellten Rechtsvertreter der Partei zu richten. Gleiches hat zu gelten, wenn die Behörde die Partei zu einem Termin vorlädt, in welchem in irgendeiner Weise der Verfahrensgegenstand und nicht bloss administrative oder technische Fragen (wie beispielsweise die Unterbringung oder Vollzugsmodalitäten) erörtert werden sollen. Eine solche Vorladung zu einem solchen Termin ist dem Rechtsvertreter daher immer zuzustellen beziehungsweise ist dieser zumindest vom Termin rechtzeitig in Kenntnis zu setzen (vgl. EMARK 2002 Nr. 5 S. 4).
3.2 Im Hinblick auf die Frage der Rechtsgültigkeit des schriftlich erklärten Beschwerde- bzw. Asylgesuchsrückzuges ist vorliegend zunächst von Relevanz, ob und gegebenenfalls welche Art von Vorladung der Gesuchstellerin gegenüber erfolgt ist und ob diese an den zum damaligen Zeitpunkt bevollmächtigten Rechtsvertreter hätte ergehen müssen.
3.2.1 In Bezug auf diese Frage ergibt sich aus den Akten, namentlich den eingereichten Stellungnahmen, eine im Ergebnis einheitliche Darstellung der Umstände. Sowohl seitens der Gesuchstellerin als auch der zuständigen kantonalen Mitarbeiterin wurde ausgeführt, dass eine schriftliche Einladung oder Vorladung der Gesuchstellerin gegenüber nicht erfolgt ist, sondern die Gesuchstellerin vielmehr durch telefonische Übermittlung davon in Kenntnis gesetzt wurde, dass sie sich aufgrund der erfolgten Eheschliessung und zum Zwecke des Eintrages dieser Ehe in ihre kantonalen Akten auf der zuständigen Behörde einfinden solle. Eine genaue zeitliche Vereinbarung sei dabei nicht erfolgt. Nichts anderes ergibt sich auch aus dem eingereichten Schreiben einer Kollegin der Gesuchstellerin vom 7. November 2006. Aus diesem ergibt sich nämlich, dass die Gesuchstellerin sich auf der kantonalen Behörde einfinden sollte, um Formalitäten betreffend die erfolgte Heirat und einen allfälligen Kantonswechsel zu erledigen, wobei eine feste Terminabsprache dabei nicht stattgefunden habe.
3.2.2 Aufgrund der Ausführungen ist davon auszugehen, dass eine Vorladung im formellen Sinn nicht erfolgt ist und Gegenstand des Erscheinens die Klärung administrativer Fragen bildete. Auch aus den nachfolgenden Erwägungen ergibt sich, dass die Mitarbeiterin der kantonalen Behörde die Beschwerdeführerin nicht vorgeladen haben dürfte, um sie zum Rückzug der Beschwerde zu bewegen oder sie einen solchen ohne weitere Erklärungen unterschreiben zu lassen. Es war mithin nicht angezeigt, den von der Gesuchstellerin zum damaligen Zeitpunkt bevollmächtigten Rechtsvertreter vorzuladen.
3.3 Im Weiteren ist zu prüfen, ob die Ausführungen der Gesuchstellerin zu den Umständen, unter denen sie die Rückzugserklärung unterzeichnet haben will, die Annahme eines wesentlichen Willensmangels zu begründen vermögen. Da sich die Gesuchstellerin bei der Begründung ihres Gesuches auf das Bestehen eines Grundlagenirrtums im Sinne von Art. 24 Abs. 1 Ziff. 4 des Bundesgesetzes vom 30. März 1911 betreffend die Ergänzung des Schweizerischen Zivilgesetzbuches (Fünfter Teil: Obligationenrecht, [OR, SR 220]) zum Zeitpunkt der Rückzugserklärung beruft, sind grundsätzlich die einschlägigen vertragsrechtlichen Grundsätze des OR zu beachten (vgl. EMARK 1993 Nrn. 5, 33 und 34 sowie EMARK 1996 Nr. 33). Indes kann lediglich ein wesentlicher Willensmangel zur Wiederaufnahme beziehungsweise Fortsetzung des Beschwerdeverfahrens führen (vgl. EMARK 2002 Nr. 5, 1996 Nr. 33, 1993 Nrn. 5, 33 und 34), wobei bei der Frage nach der Wesentlichkeit des Grundlagenirrtums unter anderem nach subjektiven und objektiven Kriterien - welche kumulativ erfüllt sein müssen - unterschieden wird (vgl. EMARK 1993 Nr. 33).
3.3.1 Weder die Ausführungen in der Gesuchseingabe noch die Vorbringen im Rahmen des gewährten Replikrechts sind jedoch geeignet, einen wesentlichen Grundlagenirrtum der Gesuchstellerin glaubhaft zu machen. Vielmehr gelangt das Bundesverwaltungsgericht nach Prüfung der Akten zu der Überzeugung, dass sich die Gesuchstellerin der Bedeutung der von ihr abgegebenen Erklärung im Wesentlichen bewusst war.
3.3.2 Die Gesuchstellerin und ihr Ehemann - der sie zur Vorsprache auf das Amt begleitet habe - führen aus, gar nicht gewusst zu haben, dass die Gesuchstellerin eine Rückzugserklärung unterschrieben habe, sie seien davon ausgegangen, es handle sich um Formalitäten den Kantonswechsel betreffend. Aufgrund ihrer mangelnden Deutschkenntnisse hätten sie vom Inhalt des Vordrucks nicht Kenntnis nehmen können. Die Gesuchstellerin habe erst Mitte September 2006 durch das Schreiben ihres Rechtsvertreters, welches erst habe übersetzt werden müssen, erkannt, was sie da unterschrieben habe. Der Ehemann der Gesuchstellerin führt mit Stellungnahme vom 6. November 2006 aus, über das laufende Asylverfahren sei anlässlich des Besuches auf der kantonalen Behörde in keiner Weise gesprochen worden. Dies impliziert, dass die kantonale Beamtin der Gesuchstellerin das Rückzugsformular ohne weitere Erklärungen zu Unterschrift vorgelegt haben soll. Dass nämlich auch der Ehemann, der sich seit 1999 in der Schweiz aufhält, selbst ein Asylgesuch durchlaufen hat und hier arbeitstätig ist, trotz entsprechender Erklärungen der kantonalen Beamtin gar nicht gemerkt haben soll, dass vom Asylverfahren die Rede sei, lässt sich auch mit schwachen Deutschkenntnissen nicht erklären. Diese Darstellung vermag nicht zu überzeugen. Es fällt denn auch auf, dass in der Gesuchsbegründung vom 3. Oktober 2006 noch mit keinem Wort erwähnt wurde, dass die Gesuchstellerin sich zum Zeitpunkt der Unterzeichnung der Rückzugserklärung in Begleitung ihres über gewisse Deutschkenntnisse verfügenden Ehemannes befand. Erst nachdem die zuständige Mitarbeiterin _______ [der kantonalen Behörde Y.] diesbezüglich Aussagen gemacht hatte, wird geltend gemacht, die Deutschkenntnisse des Ehemannes seien nur rudimentär. Es wäre aber zu erwarten gewesen, dass dieses doch recht zentrale Sachverhaltselement bereits bei der Darstellung der Sachlage durch die Gesuchstellerin im Gesuch um Wiederaufnahme des Verfahrens seinen Niederschlag hätte finden müssen.
3.3.3 Demgegenüber erscheint die Sachverhaltsdarstellung der kantonalen Beamtin kohärent und realitätsnah. Sie hat nachvollziehbar und in substanziierter Art und Weise zu den Umständen des erklärten Rückzugs Stellung genommen. Es ergeben sich denn auch keinerlei Erklärungen dafür, warum sie die ihr obliegende Amtspflichten verletzt haben sollte, um ein als zum damaligen Zeitpunkt von der Beschwerdeinstanz als aussichtslos beurteiltes Beschwerdeverfahren in ungeregelter Weise zu beenden. Vielmehr stellt sie realistisch und überzeugend dar, dass der Wunsch des Rückzugs mit "fertig Asyl" eben vom Ehemann der Gesuchstellerin geäussert wurde, woraufhin sie das Formular vorbereitete. Den Eindruck, dass entsprechendes zwischen dem Ehemann und der Gesuchstellerin nicht besprochen worden sei, habe die Beamtin nicht gehabt und scheint auch nicht überzeugend.
3.3.4 Es fällt denn auch auf, dass die Gesuchstellerin erst am 3. Oktober 2006 um Wiederaufnahme des Beschwerdeverfahrens ersuchte, nachdem auf das Gesuch des Ehemannes um Familiennachzug _______ [von der kantonalen Behörde X.] mit Verfügung vom 19. September 2006 nicht eingetreten worden war. Die Beschwerdeführerin trug in diesem Zusammenhang zwar vor, erst Mitte September 2006 vom Abschreibungsbeschluss der ARK und so von der Rückzugserklärung Kenntnis genommen zu haben, da ihr damaliger Rechtsanwalt für sie nicht erreichbar gewesen sei und sie den Beschluss erst habe übersetzen lassen müssen. Dies muss jedoch als Schutzbehauptung qualifiziert werden, zumal es sich beim Rechtsvertreter um einen Mitarbeiter der Z._______ handelt, wo jederzeit Ansprechpersonen zur Verfügung stehen dürften.
3.3.5 Insgesamt vermag demnach die Sachverhaltsdarstellung der kantonalen Beamtin mehr zu überzeugen und es ist davon auszugehen, dass der Ehemann der Gesuchstellerin um den Inhalt der von der Gesuchstellerin unterzeichneten Erklärung wusste und auch seine Ehefrau nicht in Unkenntnis darüber liess. Vielmehr ist davon auszugehen, dass die Gesuchstellerin das Asylverfahren abschliessen wollte, weil sie davon ausging, der Kanton, in dem ihr Ehemann über eine Aufenthaltsbewilligung B verfügt, würde auch ihr den Aufenthalt bewilligen. Erst nachdem sich diese Hoffnung zerschlug, bereute sie den Rückzug der Beschwerde. Von einem Willensmangel in dem Sinne, dass die Gesuchstellerin gar nicht wusste, was sie unterschrieb, ist demnach vorliegend nicht auszugehen.
3.3.6 Schliesslich vermag auch der Umstand, dass die Beschwerdeführerin im Zeitpunkt des Rückzugs davon ausging, sie würde durch die kurz zuvor erfolgte Heirat eine kantonale Aufenthaltsbewilligung erlangen, nicht zu einem anderen Ergebnis zu führen. Der subjektive Gesichtspunkt - die Kausalität zwischen Irrtum und Rückzug - dürfte vorliegend erfüllt sein, zog doch die Gesuchstellerin ihre Beschwerde zurück, weil sie davon ausging, über einen anderen Weg zu einem Aufenthaltsrecht zu gelangen. Hingegen mangelt es vorliegend an der objektiven Rechtfertigung. Nachdem der Ehemann nur über eine Aufenthaltsbewilligung B verfügt, musste die Gesuchstellerin mit einem negativen Ausgang des Bewilligungsverfahren rechnen. So habe auch die kantonale Beamtin auf ein entsprechendes Risiko hingewiesen und es wird auch nicht geltend gemacht, die Behörden hätten diesbezüglich andere Auskünfte gegeben, auf die sich die Gesuchstellerin hätte verlassen dürfen. Ausserdem war die Gesuchstellerin im Zeitpunkt des Rückzugs vertreten und hätte sich entsprechend informieren können. Damit erweist sich ein entsprechender Irrtum - im Sinne einer blossen Hoffnung auf eine zukünftige Entwicklung - nicht als wesentlich im Sinne der Praxis (vgl. BGE 109 II 111).
3.4 Zusammenfassend ist damit festzuhalten, dass die kantonale Behörde keine Formvorschriften missachtete, indem sie den Rechtsvertreter nicht vorlud, und sich die Beschwerdeführerin bei der Abgabe ihrer Rückzugserklärung nicht in einem wesentlichen Grundlagenirrtum befunden hat. Das Gesuch um Wiederaufnahme des Verfahrens ist daher abzuweisen.
4. Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Kosten von Fr. 600.-- der Gesuchstellerin aufzuerlegen (vgl. Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG).

(Dispositiv nächste Seite)
Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:
1.
Das Gesuch um Wiederaufnahme des Beschwerdeverfahrens wird abgewiesen.
2.
Die Verfahrenskosten von Fr 600.-- werden der Gesuchstellerin auferlegt. Dieser Betrag ist innert 30 Tagen ab Versand des Urteils zu Gunsten der Gerichtskasse zu überweisen.
3.
Dieses Urteil geht an:
- den Rechtsvertreter der Gesuchstellerin (eingeschrieben; Beilage: Einzahlungsschein)
- die Vorinstanz, Abteilung Aufenthalt und Rückkehrförderung, mit den Akten Ref.-Nr. _______
- _______ [kantonalen Behörde X.]
- _______ [kantonalen Behörde Y.]

Die vorsitzende Richterin: Der Gerichtsschreiber:

Nina Spälti Giannakitsas Lorenz Mauerhofer

Versand:
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : D-6006/2006
Date : 18 mars 2008
Publié : 01 avril 2008
Source : Tribunal administratif fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Asile
Objet : Gesuch um Wiederaufnahme des Beschwerdeverfahrens


Répertoire des lois
LAsi: 105
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 105 Recours contre les décisions du SEM - Le recours contre les décisions du SEM est régi par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral360.
LTAF: 31 
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20.
32 
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 32 Exceptions
1    Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit jugée par un tribunal;
b  les décisions concernant le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et les votations populaires;
c  les décisions relatives à la composante «prestation» du salaire du personnel de la Confédération, dans la mesure où elles ne concernent pas l'égalité des sexes;
d  ...
e  les décisions dans le domaine de l'énergie nucléaire concernant:
e1  l'autorisation générale des installations nucléaires;
e2  l'approbation du programme de gestion des déchets;
e3  la fermeture de dépôts en profondeur;
e4  la preuve de l'évacuation des déchets.
f  les décisions relatives à l'octroi ou l'extension de concessions d'infrastructures ferroviaires;
g  les décisions rendues par l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
h  les décisions relatives à l'octroi de concessions pour des maisons de jeu;
i  les décisions relatives à l'octroi, à la modification ou au renouvellement de la concession octroyée à la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR);
j  les décisions relatives au droit aux contributions d'une haute école ou d'une autre institution du domaine des hautes écoles.
2    Le recours est également irrecevable contre:
a  les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'une opposition ou d'un recours devant une autorité précédente au sens de l'art. 33, let. c à f;
b  les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'un recours devant une autorité cantonale.
33
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale;
b  du Conseil fédéral concernant:
b1  la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26,
b10  la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44;
b2  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27,
b3  le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29,
b4  l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31,
b4bis  l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens,
b5  la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34,
b6  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36,
b7  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38,
b8  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40,
b9  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42;
c  du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
cbis  du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
dquinquies  de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées;
e  des établissements et des entreprises de la Confédération;
f  des commissions fédérales;
g  des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises;
h  des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées;
i  d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral.
LTF: 83
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
PA: 63 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
65
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111
1    Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111
2    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112
3    Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4.
4    Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés.
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116
Répertoire ATF
109-II-105
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité cantonale • connaissance • tribunal administratif fédéral • question • procédure d'asile • téléphone • terme • autorité inférieure • vice du consentement • autorisation de séjour • erreur de base • avance de frais • avocat • erreur • signature • décision • loi sur l'asile • loi fédérale sur le tribunal fédéral • conjoint • hameau
... Les montrer tous
BVGer
D-6006/2006
JICRA
1993/33 • 1996/33 • 1999/25 • 2002/5