Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 528/2022
Urteil vom 17. November 2022
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichter Maillard, Abrecht,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Michael Grimmer,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Rechtsabteilung, Fluhmattstrasse 1, 6002 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang; Fallabschluss; Heilbehandlung; Taggeld),
Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 25. Mai 2022 (UV.2021.00039).
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1986 geborene A.________ arbeitete als Maler bei der B.________ AG und war dadurch bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch unfallversichert. Am 22. Juni 2018 stürzte er von einem Gerüst und verletzte sich u.a. an der linken Hand. Die Suva kam für die Heilbehandlung und das Taggeld auf. Am 7. September 2018 wurde A.________ in der Chirurgie C.________, am linken Handgelenk operiert, wobei eine frische scapholunäre Bandruptur diagnostiziert wurde. Am 30. Oktober 2018 erfolgte in der Chirurgie C.________ eine weitere Handgelenksoperation links (Spickdraht-Entfernung). Mit Schreiben vom 10. Januar 2020 stellte die Suva die Heilkosten und die Taggelder per 29. Februar 2020 ein, wogegen der Versicherte mündlich opponierte. Mit Verfügung vom 24. Januar 2020 verneinte sie die Ansprüche auf Invalidenrente und/oder Integritätsentschädigung, da aus den Unfallfolgen an der linken Hand weder eine Erwerbseinbusse noch ein erheblicher Integritätsschaden resultierten. Diese Verfügung erwuchs unangefochten in Rechtskraft.
A.b. Am 26. Mai 2020 wurde A.________ in der Klinik D.________ erneut an der linken Hand operiert. Mit Verfügung vom 10. August 2020, bestätigt mit Einspracheentscheid vom 7. Januar 2021, verneinte die Suva einen Leistungsanspruch mangels eines Kausalzusammenhangs zwischen dem Unfall vom 22. Juni 2018 und den weiter geklagten Handbeschwerden.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde des A.________ wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 25. Mai 2022 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt A.________, in Aufhebung des kantonalen Urteils sei die Suva zu verpflichten, ihm die gesetzlichen Leistungen zu erbringen, wobei insbesondere die Heilbehandlungskosten betreffend die Operation vom 26. Mai 2020 in der Klinik D.________ samt Vor- und Nachbehandlung und ab 1. März 2020 Taggelder zu erbringen seien. Eventuell sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1. Streitig ist, ob die vorinstanzlich bestätigte Leistungseinstellung per Ende Februar 2020 vor Bundesrecht standhält.
2.2. Die Vorinstanz hat die rechtlichen Grundlagen und die Rechtsprechung betreffend den für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers erforderlichen natürlichen Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und dem Gesundheitsschaden (BGE 134 V 109 E. 2.1, 129 V 177 E. 3.1 f.), die Ansprüche auf Heilbehandlung (Art. 10 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 10 Traitement médical - 1 L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir: |
|
1 | L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir: |
a | au traitement ambulatoire dispensé par le médecin, le dentiste ou, sur prescription de ces derniers, par le personnel paramédical ainsi que par le chiropraticien, de même qu'au traitement ambulatoire dispensé dans un hôpital; |
b | aux médicaments et analyses ordonnés par le médecin ou le dentiste; |
c | au traitement, à la nourriture et au logement dans la division commune d'un hôpital; |
d | aux cures complémentaires et aux cures de bain prescrites par le médecin; |
e | aux moyens et appareils servant à la guérison. |
2 | L'assuré peut choisir librement son médecin, son dentiste, son chiropraticien, sa pharmacie et l'hôpital ou l'établissement de cure dans lequel il veut se faire soigner.31 |
3 | Le Conseil fédéral peut définir les prestations obligatoirement à la charge de l'assurance et limiter la couverture des frais de traitement à l'étranger. Il peut fixer les conditions que l'assuré doit remplir pour avoir droit à l'aide et aux soins à domicile.32 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 16 Droit - 1 L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
|
1 | L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
2 | Le droit à l'indemnité journalière naît le troisième jour qui suit celui de l'accident. Il s'éteint dès que l'assuré a recouvré sa pleine capacité de travail, dès qu'une rente est versée ou dès que l'assuré décède. |
3 | L'indemnité journalière de l'assurance-accidents n'est pas allouée s'il existe un droit à une indemnité journalière de l'assurance-invalidité ou à une allocation de maternité, d'allocation à l'autre parent, de prise en charge ou d'adoption selon la loi du 25 septembre 1952 sur les allocations pour perte de gain37.38 |
4 | L'indemnité journalière est versée aux personnes au chômage nonobstant les délais d'attente (art. 18, al. 1, LACI39) ou les jours de suspension (art. 30 LACI).40 |
5 | Les personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, qui reçoivent une rente conformément à l'art. 22bis, al. 5, LAI41 en relation avec l'art. 28 LAI n'ont pas droit à une indemnité journalière.42 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 11 Rechutes et séquelles tardives - Les prestations d'assurance sont également versées en cas de rechutes et de séquelles tardives; les bénéficiaires de rentes d'invalidité doivent toutefois remplir les conditions posées à l'art. 21 de la loi. |
3.
3.1. Umstritten und zu prüfen ist, ob beim Beschwerdeführer an der linken Hand ein unfallbedingtes komplexes regionales Schmerzsyndrom (complex regional pain syndrome, CRPS) vorlag.
3.2. Die Ätiologie und Pathogenese des CRPS (auch Algodystrophie oder Morbus Sudeck genannt) sind unklar (SVR 2021 UV Nr. 9 S. 48, 8C 416/2019 E. 5; SVR 2010 UV Nr. 18 S. 69, 8C 384/2009 E. 4.2.1). Es ist als neurologisch-orthopädisch-traumatologische Erkrankung indessen praxisgemäss als organischer beziehungsweise körperlicher Gesundheitsschaden zu qualifizieren (Urteil 8C 673/2009 vom 22. März 2010 E. 5.1 mit Hinweisen). Dabei ist jedoch erforderlich, dass anhand echtzeitlich erhobener medizinischer Befunde der Schluss gezogen werden kann, die betroffene Person habe innerhalb der Latenzzeit von sechs bis acht Wochen nach dem Unfall zumindest teilweise an den für ein CRPS typischen Symptomen gelitten (SVR 2021 UV Nr. 9 S. 48, 8C 416/2019 E. 5.2.3; Urteil 8C 270/2022 vom 12. Oktober 2022 E. 4.2.1 mit Hinweisen).
4.
Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, Dr. med. E.________, Allgemeinmedizin FMH, habe im Bericht vom 12. April 2021 ein CRPS diagnostiziert, das als Folge der Handgelenksdistorsion mit Bandruptur und der dadurch notwendigen Operation vom 5. (richtig 7.) September 2018 und der darauf folgenden Operationen Ursache der Funktionsstörung der linken Hand sei. Objektive trophische Störungen seien laut Dr. med. E.________ erstmals am 8. Februar 2019 aktenkundig geworden. Laut ihm sei es zwei Monate nach der zweiten Operation vom 30. Oktober 2018 zu einer Schmerzzunahme gekommen. Im Bericht vom 6. September 2021 habe er erneut für das Vorligen eines CRPS plädiert. Indessen sei - so die Vorinstanz weiter - aufgrund der echtzeitlich erhobenen medizinischen Befunde nicht erstellt, dass der Beschwerdeführer innert der erforderlichen Latenzzeit zumindest teilweise an den für ein CRPS typischen Symptomen gelitten habe, was selbst Dr. med. E.________ eingeräumt habe. Der Kreisarzt Dr. med. F.________, Arzt für Allgemeinmedizin, habe im Bericht vom 14. Juli 2021 das Vorliegen eines CRPS verneint. Da die Unfallkausalität der nach dem Fallabschluss erfolgten Operation vom 26. Mai 2020 nicht erstellt sei (vgl. E. 8 hiernach), gelte dies auch für ein
allfällig daraus resultierendes CRPS.
5.
Der Beurteilung des Dr. med. F.________ kommt der Beweiswert versicherungsinterner ärztlicher Feststellungen zu. Falls auch auch nur geringe Zweifel an deren Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit bestehen, sind ergänzende Abklärungen vorzunehmen (BGE 145 V 97 E. 8.5; Urteil 8C 282/2022 vom 8. September 2022 E. 5.2).
6.
6. Der Beschwerdeführer legt einen Bericht des Dr. med. G.________, Leitender Arzt Handchirurgie, Spital H.________, vom 14. Juli 2022 auf. Hierbei handelt es sich, da erst nach dem angefochtenen Urteil vom 25. Mai 2022 entstanden, um ein unzulässiges echtes Novum (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
6. Der Beschwerdeführer macht weiter im Wesentlichen geltend, Dr. med. E.________ habe in den Berichten vom 12. April und 6. September 2021 aufgezeigt, dass auch prognostisch stets ausreichende Hinweise für das Bestehen eines CRPS bestanden hätten. Doch seien die Behandler diesen Umständen nicht bzw. nicht genügend nachgegangen. Zwei Wochen nach der zweiten Operation vom 30. Oktober 2018 sei es zu einer Schmerzzunahme gekommen, wovon auch die Vorinstanz ausgegangen sei. Damit sei die von der Vorinstanz geforderte Latenzzeit eingehalten gewesen. Laut Dr. med. E.________ seien die modifizierten Budapest-Kriterien für ein CRPS erfüllt und dieses sei Folge des Unfalls vom 22. Juni 2018 und der darauf folgenden operativen Eingriffe. Auch Dr. I.________, habe im Bericht vom 6. Mai 2021 ein CRPS an der linken Hand/am linken Handgelenk als Folge des Unfalls vom 22. Juni 2018 bestätigt.
6.3.
6.1.1. Dr. med. F.________ hat im Rahmen seines Berichts vom 14. Juli 2021 den Beschwerdeführer am 24. Juni 2021 eingehend untersucht und das Vorliegen eines CRPS verneint. Er hat seinem Bericht Fotos des Oberkörpers und beider Hände des Beschwerdeführers beigelegt.
6.1.2. Weiter hat Dr. med. F.________ am 14. Juli 2021 aufgrund der Berichte des Spitals J.________ vom 22. Juni 2018 und des Dr. med. K.________, Facharzt FMH für Handchirurgie und Allgemeinchirurgie, vom 5. September und 10. Oktober 2018 sowie der neurologischen Berichte des Spitals J.________ vom 6. März 2019 und der Klinik L.________ vom 16. Oktober 2019 aufgezeigt, dass sich auch mit Blick auf die zu beachtende Latenzzeit in der massgeblichen posttraumatischen und postoperativen Frühphase retrospektiv kein CRPS diagnostizieren lasse.
In der Stellungnahme hierzu vom 6. September 2021 hat Dr. med. E.________ diese von Dr. med. F.________ ins Feld geführten Arztberichte und den von ihm daraus gezogenen Schluss, wonach der Beschwerdeführer innerhalb der zu beachtenden Latenzzeit nicht (zumindest teilweise) an den für ein CRPS typischen Symptomen gelitten hat, nicht in Frage gestellt. In diesem Lichte bestehen keine auch nur geringen Zweifel an der Einschätzung des Dr. med. F.________. Hieran nichts zu ändern vermag die Argumentation des Beschwerdeführers, es bestünden diverse Arztberichte, die stets Hinweise für das Bestehen eines CRPS belegt hätten.
6.1.3. Nach dem Gesagten ist es nicht bundesrechtswidrig, wenn die Vorinstanz das Vorliegen eines CRPS verneint hat.
7.
Strittig ist weiter, ob der Fallabschluss per Ende Februar 2020 im Zusammenhang mit den Handgelenksbeschwerden links zu Recht erfolgte.
7.1. Ob im Hinblick auf die Prüfung des Fallabschlusses nach Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 10 Traitement médical - 1 L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir: |
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1 | L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir: |
a | au traitement ambulatoire dispensé par le médecin, le dentiste ou, sur prescription de ces derniers, par le personnel paramédical ainsi que par le chiropraticien, de même qu'au traitement ambulatoire dispensé dans un hôpital; |
b | aux médicaments et analyses ordonnés par le médecin ou le dentiste; |
c | au traitement, à la nourriture et au logement dans la division commune d'un hôpital; |
d | aux cures complémentaires et aux cures de bain prescrites par le médecin; |
e | aux moyens et appareils servant à la guérison. |
2 | L'assuré peut choisir librement son médecin, son dentiste, son chiropraticien, sa pharmacie et l'hôpital ou l'établissement de cure dans lequel il veut se faire soigner.31 |
3 | Le Conseil fédéral peut définir les prestations obligatoirement à la charge de l'assurance et limiter la couverture des frais de traitement à l'étranger. Il peut fixer les conditions que l'assuré doit remplir pour avoir droit à l'aide et aux soins à domicile.32 |
5.1).
7.2. Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, der Beschwerdeführer habe die nicht in Verfügungsform erfolgte Mitteilung des Fallabschlusses vom 10. Januar 2020 per Ende Februar 2020 nicht akzeptiert. Folglich sei der Leistungsanspruch nicht unter dem Aspekt eines Rückfalls, sondern unter jenem des Grundfalls zu prüfen. Daran ändere auch die unangefochten in Rechtskraft erwachsene Verfügung vom 24. Januar 2020 nichts, da die Frage des Fallabschlusses in Anbetracht der Verneinung des Leistungsanspruchs nicht thematisiert worden sei und somit nicht Verfügungsgegenstand gebildet habe. Am 21. Oktober 2019 sei vom behandelnden Handchirurgen von der Klinik L.________ festgehalten worden, es bestehe keine Behandlungsoption mehr. Die Behandlung sei dort abgeschlossen worden. Als Therapieoption sei noch die Möglichkeit einer Infiltration genannt worden, dies jedoch als symptomatische Therapie. Vor diesem Hintergrund überzeuge die Beurteilung des Kreisarztes Dr. med. F.________ vom 16. Dezember 2019, wonach keine namhafte Besserung mehr zu erwarten gewesen sei. Diese Auffassung sei in den Akten breit abgestützt.
7.3.
7.3.1. Der Beschwerdeführer wendet im Wesentlichen ein, die prognostische Betrachtungsweise könne bei der Beurteilung der Richtigkeit des Fallabschlusses dann nicht greifen, wenn die behandelnden Ärzte den medizinischen Endzustand offensichtlich unrichtig festgestellt hätten. Dass bei ihm ein behandlungsbedürftiges CRPS bestanden habe, habe sich leider erst im Nachhinein herausgestellt, weshalb er die Verfügung vom 24. Januar 2020 nicht angefochten und später bei der Suva ein Revisionsgesuch gestellt habe. Er beruft sich auf die Berichte des Dr. med. E.________ vom 12. April und 6. September 2021 sowie der Dr. I.________ vom 6. Mai 2021. Gestützt auf diese Berichte sei erstellt, dass von der weiteren Behandlung des CRPS noch eine wesentliche Besserung seines Gesundheitszustandes erwartet werden könne.
7.3.2. Der Beschwerdeführer bringt erstmals vor Bundesgericht vor, er habe bei der Suva betreffend die Verfügung vom 24. Januar 2020 ein Revisionsgesuch eingereicht. Falls dieses in den Akten nicht ausgewiesene Revisionsgesuch vor dem angefochtenen Urteil bei der Suva eingereicht wurde, handelt es sich um ein unechtes, andernfalls um ein echtes Novum. Was zutrifft, ist nicht ersichtlich, kann letztlich aber offen bleiben, da der Beschwerdeführer nicht hinreichend begründet, weshalb dieses Novum ausnahmsweise zulässig sein sollte (BGE 143 V 19 E. 1.2; Urteil 8C 542/2021 vom 26. Januar 2022 E. 8.2.2).
7.4. Abgesehen davon, dass das Vorliegen eines CRPS nicht erstellt ist (vgl. E. 6 hiervor), gilt bei der Beurteilung der Rechtmässigkeit des Fallabschlusses - wie gesagt - die prospektive Betrachtungsweise (siehe E. 7.1 hiervor). Folglich sind die vom Beschwerdeführer ins Feld geführten, nach dem Fallabschluss per Ende Februar 2020 erstellten Berichte des Dr. med. E.________ vom 12. April und 6. September 2021 sowie der Dr. I.________ vom 6. Mai 2021 nicht rechtsrelevant (vgl. auch Urteil 8C 299/2022 vom 5. September 2022 E. 5.1 mit Hinweisen).
Der Kreisarzt Dr. med. F.________ zeigte in der Aktenbeurteilung vom 16. Dezember 2019 schlüssig auf, weshalb von weiteren therapeutischen Massnahmen keine namhafte Besserung des unfallbedingten Gesundheitszustands des Beschwerdeführers mehr zu erwarten gewesen sei. Er hatte hierbei Kenntnis der wesentlichen Vorakten. Der Beschwerdeführer bringt keine Einwände vor, die auch nur geringe Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit dieser Stellungnahme aufkommen liessen (vgl. E. 5 hiervor). Folglich ist es nicht bundesrechtswidrig, wenn die Vorinstanz den Fallabschluss der Suva per Ende Februar 2020 bestätigte.
8.
Strittig ist schliesslich, ob die Suva im Rahmen eines Rückfalls oder von Spätfolgen leistungspflichtig ist.
8.1. Bei einem Rückfall handelt es sich um das Wiederaufflackern einer vermeintlich geheilten Gesundheitsbeeinträchtigung, so dass es zu ärztlicher Behandlung, möglicherweise sogar zu (weiterer) Arbeitsunfähigkeit kommt; von Spätfolgen spricht man, wenn ein scheinbar geheiltes Leiden im Verlaufe längerer Zeit organische oder psychische Veränderungen bewirkt, die zu einem anders gearteten Leidensbild führen können. Rückfälle und Spätfolgen stellen besondere revisionsrechtliche Tatbestände dar. Diesem Umstand ist auch dann Rechnung zu tragen, wenn zu einem früheren Zeitpunkt ein Leistungsanspruch verneint wurde. Unter diesen Titeln kann daher nicht eine uneingeschränkte neuerliche Prüfung vorgenommen werden. Vielmehr ist von der rechtskräftigen Beurteilung auszugehen, und die Anerkennung eines Rückfalls oder von Spätfolgen setzt eine nachträgliche Änderung der anspruchsrelevanten Verhältnisse voraus (BGE 144 V 245 E. 6.1 f. mit Hinweisen).
8.2.
8.2.1. Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, ein Rückfall könnte in der Operation der linken Hand vom 26. Mai 2020 zu sehen sein. Dr. med. F.________ habe in der Stellungnahme vom 26. Mai 2020 die Unfallkausalität der geklagten Beschwerden verneint. Nachdem Dr. med. M.________, Handchirurgie FMH, anlässlich der Operation vom 26. Mai 2020 kein Neurom gefunden habe, habe sie sich im Bericht vom 9. Juni 2020 bezüglich der Operationsindikation auf die bildgebend festgestellten Mehrbelegung entlang der distalen Radiusgelenksfläche unterhalb der Narbe bezogen. Diese Mehrbelegung sei jedoch von der Radiologin Dr. med. N.________, im Bericht vom 11. Mai 2020 als lokale Überlastung oder beginnende Degeneration eingeordnet worden. Dies weise - so die Vorinstanz weiter - nicht auf eine Unfallkausalität hin. Dies gelte um so mehr, als Dr. med. M.________ im Bericht vom 11. Februar 2021 eingeräumt habe, die Ursache der Schmerzproblematik nicht zu kennen. Mithin sei nicht nachgewiesen, dass die Operation vom 26. Mai 2020 und damit auch die anschliessend eingetretene Arbeitsunfähigkeit eine Folge des Unfalls vom 22. Juni 2018 gewesen sei. Somit bestehe diesbezüglich kein Leistungsanspruch. Hinzu komme, dass für die Anerkennung eines Rückfalls
ein Wiederaufflackern einer Gesundheitsbeeinträchtigung respektive der Symptome voraussetze. Vorliegend sei indessen bei einer konstanten Restsymptomatik operiert worden, mithin nicht im Rahmen eines Rückfalls.
8.2.2. Der Beschwerdeführer wendet im Wesentlichen ein, Dr. med. N.________ habe am 11. Mai 2020 ausgeführt, die Mehrbelegung "dürfte" einer lokalen Überbelastung/beginnenden Degeneration entsprechen. Diese Formulierung weise lediglich auf eine Möglichkeit hin. Dass die Beschwerden auf einen krankhaften (Vor-) Zustand zurückzuführen wären, lasse sich aus diesem Bericht somit nicht folgern. Dr. med. N.________ spreche zudem ziemlich genau zwei Jahre nach dem Unfall von einer beginnenden Degeneration, was auf eine unfallbedingte Veränderung hindeute. Dr. med. M.________ habe im Bericht vom 9. Juni 2020 die Handgelenksbeschwerden aufgrund eines Spect-CT im Bereich der distalen Radiusgelenksfläche unterhalb der Operationsnarbe lokalisiert, was auch früheren echtzeitlichen Arztberichten entspreche. Dr. med. M.________ votiere eindeutig für die Unfallkausalität seiner Beschwerden.
8.3.
8.3.1. Aus der Feststellung der Dr. med. N.________ vom 11. Mai 2020, die Mehrbelegung "dürfte" einen lokalen Überbelastung/beginnenden Degeneration entsprechen, lässt sich entgegen dem Beschwerdeführer eine Unfallkausalität gerade nicht belegen. Andererseits ist ihre Formulierung aber auch zu vage, um daraus allein auf eine krankhafte Ursache zu schliessen.
8.3.2. Dr. med. M.________ hielt im Bericht vom 11. Februar 2021 fest, sie wisse weiterhin nicht ganz genau, was das Schmerzproblem des Beschwerdeführers seit der auswärtigen Erstoperation (vom 7. September 2018) sei. Die Vorinstanz schloss zu Recht, dass im Lichte dieser Aussage der Dr. med. M.________ nicht erwiesen sei, die von ihr durchgeführte Operation vom 26. Mai 2020 und die anschliessende Arbeitsunfähigkeit seien Folge des Unfalls vom 22. Juni 2018.
Beizupflichten ist der Vorinstanz im Weiteren, dass allein aufgrund der vorübergehenden Verbesserung der Schmerzen nach dieser Operation nicht erstellt ist, dass damit eine Unfallfolge behoben wurde. Irrelevant bleibt in diesem Zusammenhang auch die Frage, in welchem Umfang der Beschwerdeführer nach dieser Operation bzw. ab Oktober 2020 arbeits (un) fähig war.
8.3.3. Insgesamt ist es nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz der Stellungnahme des Dr. med. F.________ vom 26. Mai 2020 folgte, wonach die vom Beschwerdeführer geklagten Beschwerden und die gleichentags erfolgte Operation nicht unfallkausal gewesen seien. Die Einwände des Beschwerdeführers vermögen an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit dieser Einschätzung keine auch nur geringen Zweifel aufkommen zu lassen (vgl. E. 5 hiervor).
9.
Zusammenfassend ist es nicht bundesrechtswidrig, wenn die Vorinstanz die Leistungseinstellung der Suva per Ende Februar 2020 bestätigte.
10.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 17. November 2022
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Wirthlin
Der Gerichtsschreiber: Jancar