Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 18/2017
Urteil vom 17. Mai 2017
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichter Oberholzer,
Bundesrichterin Jametti,
Gerichtsschreiberin Siegenthaler.
Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Federico M. Rutschi,
Beschwerdeführer,
gegen
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Florhofgasse 2, 8090 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Anklagegrundsatz, Willkür, Weisung (mehrfache Ausnützung der Notlage, Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, II. Strafkammer, vom 29. November 2016.
Sachverhalt:
A.
Gemäss Anklage vom 9. Januar 2014 soll sich X.________ der mehrfachen Ausnützung der Notlage gemäss Art. 193
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
B.
Das Bezirksgericht Zürich sprach X.________ am 22. Mai 2014 vom Vorwurf der mehrfachen Ausnützung der Notlage im Sinne von Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Auf Berufung der Staatsanwaltschaft (A.________ zog die ihre nach Erhalt des begründeten Urteils zurück) sprach das Obergericht des Kantons Zürich X.________ am 29. November 2016 der mehrfachen Ausnützung der Notlage gemäss Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
C.
X.________ führt Beschwerde in Strafsachen mit dem Antrag, das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich vom 29. November 2016 sei aufzuheben und jenes des Bezirksgerichts Zürich vom 22. Mai 2014 zu bestätigen. Sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wies das Bundesgericht am 26. Januar 2017 ab.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer rügt eine Verletzung des Anklageprinzips. Die Vorinstanz habe auf Antrag der Beschwerdegegnerin ein psychiatrisches Gutachten über den geistigen Zustand der Geschädigten erstellen lassen. Insbesondere gestützt auf dieses Gutachten habe ihn die Vorinstanz schliesslich der mehrfachen Ausnützung der Notlage im Sinne von Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Beschwerdeführer manipuliert gefühlt, und sowohl die Zwangs- als auch die Notlage sei ihm bewusst bzw. für ihn zumindest erkennbar gewesen.
Die Anklageschrift gehe demnach davon aus, dass er die aufgrund der Medikamentenabgabe und -dosierung angeblich existierende Notlage oder Abhängigkeit der Geschädigten ausgenützt habe, um gegen ihren Willen seine sexuellen Bedürfnisse auszuleben. Im eingeklagten Sachverhalt sei jedoch nirgends erwähnt, dass er die Geschädigte infolge der Psychotherapie und eines durch diese bedingten Machtgefälles für sexuelle Handlungen ausgenützt habe. Gleich verhalte es sich bezüglich der Angst. Die Anklageschrift erwähne nirgends, dass die Geschädigte wegen eines Machtverhältnisses infolge der Therapie Angst vor ihm gehabt habe und deswegen von ihm abhängig gewesen sei. Vielmehr soll sie gemäss eingeklagtem Sachverhalt den Sex zugelassen haben, weil sie Angst vor ihm "in seiner Funktion als Psychiater" gehabt und im Weigerungsfall eine Benachteiligung bei der Medikamentenabgabe befürchtet habe. Ebenso wenig werde eingeklagt, dass die Geschädigte wegen einer Persönlichkeitsstörung oder einer psychiatrischen Erkrankung, geschweige denn infolge der von der Gutachterin festgestellten abhängigen Persönlichkeitsstörung vom Beschwerdeführer sexuell ausgenützt worden sei. In der Anklageschrift werde äusserst vage davon gesprochen, dass die Geschädigte
psychisch labil gewesen sei und sich von ihm manipuliert gefühlt habe. Diese allgemeinen Begriffe seien in ihrer Vagheit nichtssagend und stellten keinen sachverhaltsmässigen genügenden Bezug zum Tatbestand der Abhängigkeit im Sinne von Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Eine Anklage müsse den Sachverhalt so umschreiben, dass aufgrund des eingeklagten Sachverhalts festgestellt werden könne, ob dieser den Tatbestand von Art. 193
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
1.2. Nach dem Anklagegrundsatz bestimmt die Anklageschrift den Gegenstand des Gerichtsverfahrens (Umgrenzungsfunktion; Art. 9
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 9 Maxime d'accusation - 1 Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
|
1 | Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
2 | Sont réservées la procédure de l'ordonnance pénale et la procédure pénale en matière de contraventions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 325 Contenu de l'acte d'accusation - 1 L'acte d'accusation désigne: |
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1 | L'acte d'accusation désigne: |
a | le lieu et la date de son établissement; |
b | le ministère public qui en est l'auteur; |
c | le tribunal auquel il s'adresse; |
d | les noms du prévenu et de son défenseur; |
e | le nom du lésé; |
f | le plus brièvement possible, mais avec précision, les actes reprochés au prévenu, le lieu, la date et l'heure de leur commission ainsi que leurs conséquences et le mode de procéder de l'auteur; |
g | les infractions réalisées et les dispositions légales applicables de l'avis du ministère public. |
2 | Le ministère public peut présenter un acte d'accusation alternatif ou, pour le cas où ses conclusions principales seraient rejetées, un acte d'accusation subsidiaire. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
2 | Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense. |
3 | Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 350 Latitude dans l'appréciation de l'accusation; fondements du jugement - 1 Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
|
1 | Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
2 | Il prend en compte les preuves administrées durant la procédure préliminaire et lors des débats. |
kann. Sie darf nicht Gefahr laufen, erst an der Gerichtsverhandlung mit neuen Anschuldigungen konfrontiert zu werden (vgl. BGE 103 Ia 6 E. 1b; Urteile 6B 492/2015 vom 2. Dezember 2015 E. 2.2, nicht publiziert in: BGE 141 IV 437; 6B 1151/2015 vom 21. Dezember 2016 E. 2.2; je mit Hinweisen). Solange für die beschuldigte Person klar ist, welcher Sachverhalt ihr vorgeworfen wird, kann auch eine fehlerhafte und unpräzise Anklage nicht dazu führen, dass es zu keinem Schuldspruch kommen darf. Die nähere Begründung der Anklage erfolgt an Schranken; es ist Sache des Gerichts, den Sachverhalt verbindlich festzustellen (Urteil 6B 894/2016 vom 14. März 2017 E. 1.1.1 mit Hinweisen).
1.3. Eine Verletzung des Anklagegrundsatzes liegt nicht vor. Zwar bejaht die Vorinstanz eine Abhängigkeit der Geschädigten vom Beschwerdeführer einerseits aufgrund der von der Gutachterin diagnostizierten ausgeprägten abhängigen Persönlichkeitsstörung, andererseits infolge der intensiven, langjährigen psychotherapeutischen Behandlung, während die Anklage vom 9. Januar 2014 die betreffende Abhängigkeit hauptsächlich im Zusammenhang mit der Medikamentenabgabe begründet. Dass die Anklageschrift weder die fragliche Persönlichkeitsstörung noch die Psychotherapie an sich als Grund für die Abhängigkeit der Geschädigten vom Beschwerdeführer ausdrücklich erwähnt, schadet entgegen seiner Auffassung indes nicht.
Der Anklage ist klar zu entnehmen, dass dem Beschwerdeführer vorgeworfen wird, ein zwischen ihm und der Geschädigten bestehendes Abhängigkeitsverhältnis ausgenützt zu haben, um gegen ihren Willen seine sexuellen Bedürfnisse zu befriedigen. Dabei nennt die Anklageschrift nebst der seiner Verantwortung unterliegenden Medikamentenabgabe auch seine Funktion als Psychiater der Geschädigten sowie deren psychische Labilität als wesentliche Elemente, die zur Duldung des ungewollten sexuellen Verhältnisses geführt hätten. Wohl kann die erwähnte psychische Labilität nicht als Umschreibung der inzwischen attestierten abhängigen Persönlichkeitsstörung gelesen werden, doch ist sie immerhin ein deutlicher Hinweis darauf, dass die konkrete psychische Verfassung der Geschädigten für die Beurteilung ihrer Abhängigkeit vom Beschwerdeführer eine bedeutende Rolle spielt. Insgesamt umschreibt die Anklageschrift vom 9. Januar 2014 die tatbestandliche Abhängigkeit der Geschädigten vom Beschwerdeführer ausreichend. Auch wenn sie diese primär in den Zusammenhang mit der Medikamentenabgabe stellt, nennt sie doch verschiedene Faktoren, die zum Abhängigkeitsverhältnis geführt haben sollen. Für den Beschwerdeführer war ohne Weiteres ersichtlich, dass in
diesem Kontext auch seine Funktion als Psychiater der Geschädigten sowie deren psychische Verfassung als wichtige Elemente angesehen wurden. Verbindlich festzustellen, aufgrund welcher Aspekte genau und in welcher konkreten Ausprägung eine Abhängigkeit der Geschädigten von ihm letztlich tatsächlich bestand, war als Teil der Sachverhaltsfeststellung Aufgabe des Gerichts. Dass die Vorinstanz bei der Begründung des Abhängigkeitsverhältnisses schliesslich andere Faktoren ins Zentrum rückt, als dies die Anklage noch getan hat, stellt deshalb keine unerlaubte Abweichung vom angeklagten Sachverhalt dar.
Auch die Verteidigungsrechte des Beschwerdeführers und sein Anspruch auf rechtliches Gehör wurden nicht verletzt. Der Anklage vom 9. Januar 2014 konnte er von Anfang an genügend präzise entnehmen, was genau ihm vorgeworfen wird. Vom darin wiedergegebenen Sachverhalt weicht die Vorinstanz nicht derart ab, dass er sich auf einmal mit neuen Vorwürfen konfrontiert gesehen hätte. Die zusätzlichen Sachverhaltsabklärungen der Vorinstanz zum Abhängigkeitsverhältnis blieben für den Beschwerdeführer stets nachvollziehbar, und die Ergebnisse wurden ihm rechtzeitig mitgeteilt, damit er dazu Stellung nehmen konnte. Dass die Vorinstanz das Tatbestandselement der Abhängigkeit schliesslich mit anderen Schwerpunkten begründet als noch die Anklageschrift vom 9. Januar 2014, kann ihn deshalb auch nicht völlig überrascht haben. Immerhin hat die Vorinstanz ein Gutachten über die psychische Verfassung der Geschädigten erstellen lassen und dieses auch ihm zur Stellungnahme zugestellt. In der Folge war für den Beschwerdeführer frühzeitig erkennbar, wie die vorinstanzliche Begründung des Abhängigkeitsverhältnisses lauten könnte. Entsprechend blieb ihm genügend Zeit, seine Verteidigungsstrategie anzupassen. Die Vorbereitung seiner Verteidigung war ihm
somit ohne Einschränkungen möglich, und das rechtliche Gehör wurde ihm stets gewährt.
2.
2.1. Der Beschwerdeführer rügt eine willkürliche Feststellung des Sachverhalts.
2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.3. Mangels Entscheidrelevanz ist auf das Vorbringen des Beschwerdeführers nicht einzugehen, wonach die Vorinstanz unzutreffend feststelle, dass es sich aufgrund der Behandlungsdauer, des Inhalts und der Häufigkeit der Gespräche um eine intensive psychiatrische und psychotherapeutische Behandlung gehandelt habe (Beschwerde, Rz. 9 und 14). Ob die Therapie intensiv war oder nicht, ist vorliegend nicht von Bedeutung. Zwar reicht allein das Bestehen einer psychotherapeutischen Behandlung nicht aus zur Begründung eines besonderen Vertrauens- und Abhängigkeitsverhältnisses und muss ein solches in jedem Einzelfall geprüft und nachgewiesen werden, wobei verschiedene Faktoren von Bedeutung sein können (vgl. BGE 131 IV 114 E. 1 S. 117 i.f. mit Hinweis). Dem psychiatrischen Gutachten ist allerdings zu entnehmen, dass die Geschädigte aufgrund ihrer schwer ausgeprägten abhängigen Persönlichkeitsstörung, ihrer Suchterkrankung und der spezifischen Beziehungskonstellation, die aus der psychiatrisch-psychopharmakologischen und psychotherapeutischen Behandlungssituation erwachsen sei, deutlich eingeschränkt gewesen sei in ihrer Fähigkeit, sich vom Beschwerdeführer zu lösen bzw. sich seinem Ansinnen zu widersetzen, ihn weiterhin zu sexuellen
Handlungen zu treffen. Der Gutachterin zufolge wäre die Geschädigte dazu lediglich in der Lage gewesen, wenn kein psychiatrisch-psychotherapeutisches Behandlungsverhältnis vorgelegen hätte (vgl. Urteil, S. 26 f.). Demnach genügte hier, dass überhaupt ein solches Behandlungsverhältnis bestand, um ein Abhängigkeitsverhältnis im Sinne von Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2.4. Nicht einzutreten ist auch auf die Ausführungen des Beschwerdeführers zur vorinstanzlichen Aussagewürdigung (Beschwerde, Rz. 10). Diese sind rein appellatorischer Natur und geben lediglich seine eigene Beweiswürdigung bzw. seine Sicht der Dinge wieder. Damit lässt sich keine Willkür begründen.
2.5. Ebenso wenig ist auf seine Argumentation einzugehen, wonach die Geschädigte im Zusammenhang mit der Medikamentenabgabe und -dosierung nicht auf ihn angewiesen gewesen sei (Beschwerde, Rz. 11 und 13). Da bereits das erstinstanzliche Gericht eine Abhängigkeit in dieser Hinsicht verneint hat und die Vorinstanz das tatbestandsrelevante Abhängigkeitsverhältnis ebenfalls nicht in diesem Sinn begründet, fehlt dem Vorbringen die Entscheidrelevanz.
2.6. Soweit sich der Beschwerdeführer gegen das psychiatrische Gutachten wendet, verweist er hauptsächlich auf seine der Vorinstanz am 30. Oktober 2016 zugestellte Kritik (Beschwerde, Rz. 12). Damit ist er nicht zu hören. Die Begründung der Beschwerde muss in der Beschwerdeschrift selbst enthalten sein, und der blosse Verweis auf Ausführungen in anderen Rechtsschriften oder auf die Akten reicht nicht aus (BGE 138 IV 47 E. 2.8.1; 133 II 396 E. 3.2; je mit Hinweisen).
Der von ihm vorgebrachte Umstand, dass der Geschädigten in einem Austrittsbericht einer Psychiatrischen Klinik aus dem Jahr 2002 keine abhängige Persönlichkeitsstörung diagnostiziert worden sei, lässt allein noch keine Zweifel an der Plausibilität des aktuellen psychiatrischen Gutachtens aufkommen und begründet folglich auch keine Willkür in der vorinstanzlichen Beweiswürdigung, die sich darauf stützt.
2.7. Die Vorbringen des Beschwerdeführers erweisen sich als haltlos, soweit sie den Begründungsanforderungen überhaupt genügen.
3.
Soweit der Beschwerdeführer (sinngemäss) eine Verletzung von Art. 193 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 193 - Quiconque, profitant de la détresse où se trouve la victime ou d'un lien de dépendance fondé sur des rapports de travail ou d'un lien de dépendance de toute autre nature, détermine celle-ci à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
4.
4.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, die Weisung der Vorinstanz, er dürfe während seiner Probezeit keine weiblichen Patienten behandeln, sei unzumutbar und unverhältnismässig. Da sie faktisch einem Berufsverbot gleichkomme und ihn als Ernährer seiner Familie daran hindere, Geld zu verdienen, verletze sie Art. 5 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 13 Protection de la sphère privée - 1 Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile, de sa correspondance et des relations qu'elle établit par la poste et les télécommunications. |
|
1 | Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile, de sa correspondance et des relations qu'elle établit par la poste et les télécommunications. |
2 | Toute personne a le droit d'être protégée contre l'emploi abusif des données qui la concernent. |
4.2. Im Falle einer bedingt ausgesprochenen Strafe kann das Gericht für die Dauer der Probezeit Bewährungshilfen anordnen und Weisungen erteilen (Art. 44 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 44 - 1 Si le juge suspend totalement ou partiellement l'exécution d'une peine, il impartit au condamné un délai d'épreuve de deux à cinq ans. |
|
1 | Si le juge suspend totalement ou partiellement l'exécution d'une peine, il impartit au condamné un délai d'épreuve de deux à cinq ans. |
2 | Le juge peut ordonner une assistance de probation et imposer des règles de conduite pour la durée du délai d'épreuve. |
3 | Le juge explique au condamné la portée et les conséquences du sursis ou du sursis partiel à l'exécution de la peine. |
4 | Le délai d'épreuve commence à courir à la notification du jugement exécutoire.38 |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 94 - 1 Les règles de conduite que le juge ou l'autorité d'exécution peuvent imposer à la personne condamnée pour la durée du délai d'épreuve portent en particulier sur son activité professionnelle, son lieu de séjour, la conduite de véhicules à moteur, la réparation du dommage ainsi que les soins médicaux et psychologiques. |
|
1 | Les règles de conduite que le juge ou l'autorité d'exécution peuvent imposer à la personne condamnée pour la durée du délai d'épreuve portent en particulier sur son activité professionnelle, son lieu de séjour, la conduite de véhicules à moteur, la réparation du dommage ainsi que les soins médicaux et psychologiques. |
2 | En cas d'infraction contre l'intégrité sexuelle, la personne condamnée peut être obligée de suivre un programme de prévention. |
4.3. Die Vorinstanz begründet die Weisung damit (Urteil, S. 36), dass der Beschwerdeführer im Zusammenhang mit seiner Berufstätigkeit straffällig geworden sei und als Psychiater die Abhängigkeit einer Patientin mehrfach für sexuelle Handlungen ausgenützt habe. Daher erscheine es angemessen, dem Antrag der Staatsanwaltschaft auf Erteilung der Weisung zu entsprechen, während der Probezeit nicht als Psychiater mit weiblicher Klientel tätig zu sein.
4.4. Die Vorinstanz überschreitet das ihr zustehende Ermessen nicht, wenn sie dem Beschwerdeführer die erwähnte Weisung erteilt. Insbesondere ist nicht ersichtlich, inwiefern diese auf ein Berufsverbot hinauslaufen soll, zumal es ausreichend männliche Klientel geben dürfte, die dem Beschwerdeführer zugeteilt werden kann. Angesichts der Schwere des durch ihn begangenen Delikts und seiner grossen beruflichen Verantwortung erscheint eine Einschränkung der von ihm genannten Grundrechte als verhältnismässig und durch ein öffentliches Interesse bzw. den Schutz von Grundrechten Dritter gerechtfertigt.
5.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Die Kosten sind dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, II. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 17. Mai 2017
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Die Gerichtsschreiberin: Siegenthaler