Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
9C 584/2015
Urteil vom 15. April 2016
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Glanzmann, Präsidentin,
Bundesrichterinnen Pfiffner, Moser-Szeless,
Gerichtsschreiber Furrer.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Rémy Wyssmann,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle des Kantons Solothurn,
Allmendweg 6, 4528 Zuchwil,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente; Revision),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Solothurn
vom 22. Juni 2015.
Sachverhalt:
A.
Der 1968 geborene A.________, angelernter Materialzurichter, zuletzt von 1. Januar 1992 bis 31. Mai 2000 als Bauspengler bei der B.________ AG angestellt gewesen, meldete sich am 10. Februar 1999 unter Hinweis auf einen Verkehrsunfall vom 5. Juni 1998 bei der Invalidenversicherung (IV) zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Solothurn (fortan: IV-Stelle) tätigte erwerbliche und medizinische Abklärungen und sprach A.________ mit Verfügung vom 12. Dezember 2003 mit Wirkung ab 1. Juni 1999 eine ganze Invalidenrente zu (Invaliditätsgrad von 100 %). Der Anspruch auf eine ganze Invalidenrente wurde am 17. August 2006 bestätigt.
Am 25. November 2009 erhielt die IV-Stelle Kenntnis von Observationsunterlagen der C.________ (Haftpflichtversicherer des am Unfall vom 5. Juni 1998 beteiligten Fahrzeuglenkers), woraufhin sie eine Rentenrevision einleitete. Nach Vorliegen eines vom Unfallversicherer veranlassten polydisziplinären Gutachtens der Academy of Swiss Insurance Medicine (asim; Expertise vom 23. Dezember 2011) und Durchführung des Vorbescheidverfahrens setzte die IV-Stelle mit Verfügung vom 7. März 2013 die ganze Invalidenrente per 1. Mai 2013 auf eine Viertelsrente herab. Gleichzeitig entzog sie einer allfälligen Beschwerde die aufschiebende Wirkung. Alsdann setzte sie mit Verfügung vom 6. Mai 2013 die Rentenbetreffnisse in betraglicher Hinsicht fest.
B.
Das Versicherungsgericht des Kantons Solothurn vereinigte die gegen die Verfügungen vom 7. März und 6. Mai 2013 erhobenen Beschwerden und trat mit Entscheid vom 22. Juni 2015 nicht auf die Beschwerde gegen die Verfügung vom 6. Mai 2013 (betragliche Festsetzung der Rentenbetreffnisse) ein, wogegen es die Beschwerde gegen die Verfügung vom 7. März 2013 (Herabsetzung der Invalidenrente) abwies.
C.
A.________ erhebt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten und beantragt, in Aufhebung des angefochtenen Entscheids sei die Sache zur Durchführung eines ergebnisoffenen Beweisverfahrens gemäss BGE 141 V 281 (wohl: an die IV-Stelle) zurückzuweisen, wobei vorgängig berufliche Integrationsmassnahmen durchzuführen seien. Eventualiter seien die gesetzlichen Leistungen nach Massgabe eines Invaliditätsgrades von mindestens 50 % zuzüglich Verzugszins von 5 % seit wann rechtens auszurichten. Ferner sei die Vorinstanz aufzufordern mitzuteilen, in wie vielen Fällen bei knapp 15-jährigem Rentenbezug sie in den letzten zwei Jahren die Versicherten auf den Weg der Selbsteingliederung verwiesen habe. Anschliessend sei ein zweiter Schriftenwechsel anzuordnen und "dem Beschwerdeführer sei das rechtliche Gehör zur eigenen Stellungnahme zu gewähren".
Am 27. August 2015 (Posteingang) reicht A.________ eine weitere Beschwerdeschrift ein.
Erwägungen:
1.
1.1. Zur Eingabe vom 27. August 2015, welche der Post am 26. August 2015 übergeben wurde, ist festzuhalten, dass die Ergänzung der Beschwerde nach Ablauf der gesetzlichen Beschwerdefrist (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 43 Mémoire complémentaire - Le Tribunal fédéral accorde au recourant, à sa demande, un délai approprié pour compléter la motivation de son recours en matière d'entraide pénale internationale: |
|
a | s'il a déclaré recevable ce recours, et |
b | si l'étendue exceptionnelle ou la difficulté particulière de l'affaire le commande. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 43 Mémoire complémentaire - Le Tribunal fédéral accorde au recourant, à sa demande, un délai approprié pour compléter la motivation de son recours en matière d'entraide pénale internationale: |
|
a | s'il a déclaré recevable ce recours, et |
b | si l'étendue exceptionnelle ou la difficulté particulière de l'affaire le commande. |
1.2. Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Da die Streitsache ohne Schriftenwechsel entschieden werden kann, ist der Antrag, es sei ein zweiter Schriftenwechsel durchzuführen, gegenstandslos (Art. 102 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 102 Échange d'écritures - 1 Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer. |
|
1 | Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer. |
2 | L'autorité précédente transmet le dossier de la cause dans le même délai. |
3 | En règle générale, il n'y a pas d'échange ultérieur d'écritures. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 102 Échange d'écritures - 1 Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer. |
|
1 | Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer. |
2 | L'autorité précédente transmet le dossier de la cause dans le même délai. |
3 | En règle générale, il n'y a pas d'échange ultérieur d'écritures. |
3.
Das kantonale Gericht hat die für die Beurteilung der Streitsache massgeblichen materiell- und beweisrechtlichen Grundlagen gemäss Gesetz und Rechtsprechung zutreffend dargelegt, worauf verwiesen wird. Dies betrifft namentlich die Bestimmungen und Grundsätze zum Begriff der Invalidität (Art. 8 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
4.
Die Vorinstanz würdigte die medizinischen Unterlagen und erwog, im Vergleich zu den Befunden zum Zeitpunkt der Rentenzusprechung zeige sich eine deutliche Besserung des Gesundheitszustandes. Die zum damaligen Zeitpunkt bestehende Inklinationshaltung der Halswirbelsäule sei heute nicht mehr rigide, sondern wechselnd ausgeprägt, die Beweglichkeit der Halswirbelsäule deutlich besser. Auch die funktionelle Kompensation der angeborenen Anomalie im Bereich der oberen Halswirbelsäule sei teilweise wiedererlangt worden. Gestützt auf das beweiskräftige asim-Gutachten sei nunmehr von einer ganztägigen Arbeitsfähigkeit in einer adaptierten Tätigkeit mit einer um 20 % verminderten Leistungsfähigkeit auszugehen. Damit habe die IV-Stelle die Rente zu Recht in Revision gezogen. Nach Durchführung des Einkommensvergleichs ermittelte die Vorinstanz einen Invaliditätsgrad von 44 %, womit ein Anspruch auf eine Viertelsrente bestehe. Mit Blick auf die Rentenbezugsdauer von annähernd 14 Jahren, die gute soziale Integration und das hohe Aktivitätsniveau des im Zeitpunkt der Rentenherabsetzung 45-jährigen Beschwerdeführers verneinte das kantonale Gericht die Notwendigkeit, vor der Rentenreduktion befähigende berufliche Massnahmen durchzuführen.
5.
5.1. Der Beschwerdeführer macht zunächst geltend, die Vorinstanz habe Bundesrecht verletzt, indem sie auf die bloss theoretische gutachtliche Einschätzung der Arbeitsfähigkeit abgestellt habe. Die asim-Gutachter hätten diese theoretische Einschätzung damit begründet, dass zuerst der Verlauf der beruflichen Abklärung beobachtet werden müsse, mit anderen Worten die Arbeitsfähigkeit zuerst validiert werden müsse. Im Rahmen einer Abklärung bei der D.________ GmbH - wobei es sich um die vom asim geforderten Abklärung handle - habe sich indes gezeigt, dass der Beschwerdeführer jeweils nur 10 bis 15 Minuten und damit nur noch im geschützten Rahmen eingesetzt werden könne. Mit diesem Bericht hätte sich die Vorinstanz auseinandersetzen müssen.
Diese Einwände sind unbegründet. Zum einen ist die vom gutachtlichen Experten vorzunehmende Schätzung der Arbeitsfähigkeit stets eine (medizinisch-) theoretische. Mithin kann entgegen der Beschwerde keine Rede davon sein, mit der Verwendung des Adjektivs "theoretisch" hätten die Gutachter zu erkennen gegeben, "dass sie ihrer eigenen Begutachtung (noch) nicht trauten". Zum anderen haben die Gutachter - auf Ergänzungsfrage des Beschwerdeführers hin - explizit verneint, dass für die Festlegung der Leistungsfähigkeit eine vorgängige Evaluation der funktionellen Leistungsfähigkeit notwendig ist. Dass die attestierte Arbeitsfähigkeit nicht unter einem Vorbehalt erfolgte, erschliesst sich im Übrigen auch aus der medizinischen Gesamtbeurteilung, in welcher die Gutachter festhielten, sie teilten die Selbsteinschätzung des Beschwerdeführers, der sich eine leichte, wechselbelastende Tätigkeit ab sofort zutraue. Der Bericht der D.________ GmbH vom 6. September 2013isterst nach Erlass der Verfügung vom 7. März 2013 erstellt worden und bezieht sich auch auf eine Zeitspanne (12. August bis 6. September 2013) jenseits des zeitlich massgeblichen Sachverhalts (Urteil 9C 392/2014 vom 3. September 2014 E. 2 mit Hinweisen), womit sich die Vorinstanz
nicht damit auseinandersetzen musste. Abgesehen davon hatten die Mitarbeiter der D.________ GmbH offensichtlich keine Kenntnis vom asim-Gutachten vom 23. Dezember 2011. Dies erhellt aus dem Umstand, dass sie die Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers in Tätigkeiten (z.B. Reinigungsarbeiten über der Kinnhöhe) erprobten, welche schlechterdings nicht mit dem gutachtlichen Zumutbarkeitsprofil (u.a. "kein Hantieren über Brusthöhe") vereinbar sind. Solchen im Rahmen medizinisch unzumutbarer Arbeiten gewonnenen Erkenntnissen fehlt es von vornherein an jeglicher Aussagekraft in Bezug auf die Arbeitsfähigkeit in einer adaptierten Tätigkeit.
Zusammenfassend ist die gestützt auf die medizinischen Akten vorinstanzlich festgestellte Arbeitsfähigkeit (vollschichtige Arbeitsfähigkeit in adaptierter Tätigkeit bei einer um 20 % verminderten Leistung) weder offensichtlich unrichtig noch beruht sie auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
5.2. Weiter rügt der Beschwerdeführer, die Vorinstanz habe trotz des diagnostizierten chronischen zervikothorakalen Schmerzsyndroms (M54.13) bei Status nach Beschleunigungstrauma der HWS, welches Leiden in den Anwendungsbereich von BGE 141 V 281 falle, kein ergebnisoffenes strukturiertes Beweisverfahren und keine Indikatorenprüfung durchgeführt.
Dem kann nicht gefolgt werden. Im asim-Gutachten vom 23. Dezember 2011 kam der orthopädische Experte nach Würdigung der Akten und der klinischen Befunde zum Schluss, mit überwiegender Wahrscheinlichkeit seien die stummen Vorzustände der Wirbelsäule ohne funktionelle Beeinträchtigung (Malformation C0 bis C2, Brustkyphose) durch die Folgen des Unfalls vom 5. Juni 1998 dauerhaft verschlechtert worden, indem diese zu einem Verlust ausreichender Kompensationsfähigkeit in der Brustwirbelsäule durch vermehrte und fixierte Kyphose geführt hätten, möglicherweise auch zu einer einseitigen Verschlechterung der Kopfrotation. Die Verschlechterung sei objektivierbar von organischer Grundlage ausgegangen. Unter jahrelanger sehr intensiver Therapie habe sich der Funktionsstand gegenüber 2003 gebessert, indem ein Teil der Fähigkeit, die malformationsbedingte Bewegungseinschränkung am occipito-zervikalen Übergang zu kompensieren, wieder habe aufgebaut werden können. Zu den vom Beschwerdeführer geklagten subjektiven Beschwerden hielt der Experte fest, diese seien mit den objektiven Untersuchungsbefunden und der biomechanischen Analyse ausreichend erklärbar. Damit ist erstellt, dass die funktionellen Einschränkungen somatisch erklärbar sind bzw.
waren, mithin weder im Zeitpunkt der ursprünglichen Rentenzusprechung noch im Zeitpunkt der angefochtenen Revisionsverfügung ein psychosomatisches Leiden in Form einer somatoformen Schmerzstörung, eines "Schleudertraumas" oder einer "Chronic Whiplash Injury" (BGE 136 V 279 E. 3.2.3 S. 283) vorlagen. Entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers gelangt die Rechtsprechung gemäss BGE 141 V 281 daher nicht zur Anwendung.
5.3. Wie bereits vor kantonalem Gericht bringt der Beschwerdeführer des Weiteren vor, den asim-Experten hätten nicht die vollständigen IV-Akten vorgelegen, seine Mitwirkungsrechte gemäss BGE 137 V 210 seien verletzt worden und wichtige Ergänzungsfragen seien unbeantwortet geblieben. Dabei setzt sich der Beschwerdeführer mit den entsprechenden, einlässlich und sorgfältig begründeten Erwägungen des angefochtenen Entscheids mit keinem Wort auseinander. Mit anderen Worten beschränkt er sich darauf, den Feststellungen des kantonalen Gerichts seine eigene (abweichende) Sicht der Dinge gegenüberzustellen, womit er rein appellatorisch Kritik übt. Darauf ist nicht einzugehen (für viele: in BGE 141 V 585 nicht publizierte E. 4.1 des Urteils 8C 590/2015 vom 24. November 2015).
6.
6.1. Zum Valideneinkommen führte die Vorinstanz zunächst aus, es sei davon auszugehen, dass der Beschwerdeführer seine angestammte Tätigkeit (bei der bisherigen Arbeitgeberin) im Gesundheitsfall weitergeführt hätte. D ie vor dem Unfall unmittelbar bevorstehende Beförderung zum Gruppenführer sei von der Verwaltung berücksichtigt worden. Hingegen fehlten konkrete Anhaltspunkte dafür, dass der Beschwerdeführer, welcher eine Hilfsschule besucht und eine Anlehre abgeschlossen habe, als Gesunder die Bauführerschule absolviert hätte und als Bauleiter tätig wäre. In den zwölf Jahren bis zum Unfall sei als Weiterbildung lediglich ein zweitägiger Einführungskurs zum Sarnafil-Verarbeiter dokumentiert. Dagegen wendet der Beschwerdeführer ein, im Bau benötige man kein Studium und keine Diplome um weiterzukommen, entscheidend sei allein die persönliche Leistung. Somit sei von einem Karriereschritt zum Bauführer auszugehen.
Was die Ausführungen des kantonalen Gerichts zur geltend gemachten Validenkarriere als Bauführer betrifft, handelt es sich um eine Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe, welche eine für das Bundesgericht grundsätzlich verbindliche (E. 1.2 hievor) Tatfrage darstellt, soweit sie - wie hier - auf Beweiswürdigung (schulische Laufbahn, Abschluss lediglich einer Anlehre, keine massgeblichen Weiterbildungen während den zwölf Jahren bis zum Unfall) beruht, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung mitberücksichtigt werden (BGE 115 II 440 E. 5b S. 448; Urteil 9C 559/2009 vom 18. Dezember 2009 E. 3, publ. in: SVR 2010 IV Nr. 35 S. 111; je mit Hinweisen). Inwiefern die vorinstanzlichen Annahmen offensichtlich unrichtig sein sollen, legt der Beschwerdeführer nicht dar und ist auch (anderweitig) nicht ersichtlich.
Zu den Bestandteilen des Valideneinkommens erwog die Vorinstanz, auf den Spesenentschädigungen von Fr. 3'740.- pro Jahr (Fr. 17.- pro Tag bei 220 Arbeitstagen) seien gemäss Auskunft der B.________ AG vom 15. September 2014 keine Sozialversicherungsbeiträge abgerechnet worden. Weil zum Valideneinkommen nur jene Zahlungen des Arbeitgebers zählten, auf welchen die paritätischen Beiträge erhoben worden seien, könnten die Spesenzahlungen nicht berücksichtigt werden. Der Beschwerdeführer moniert, es könne nicht von Belang sein, dass auf den Spesenentschädigungen keine Sozialversicherungsbeiträge abgerechnet worden seien, zumal es sich auch um versteckten Lohn handeln könnte. Hievon sei auch der Unfallversicherer ausgegangen, habe dieser die Spesen doch beim Valideneinkommen berücksichtigt.
Ob es sich bei der Spesenentschädigung (gemäss Ziff. 3.1 GAV: "Mittagszulage") von Fr. 17.- pro Arbeitstag resp. Fr. 3'740.- pro Jahr um eine Abgeltung für Verpflegungskosten, somit entsprechend Art. 9 Abs. 2
SR 831.101 Règlement du 31 octobre 1947 sur l'assurance-vieillesse et survivants (RAVS) RAVS Art. 9 Frais généraux - 1 Les frais généraux sont les dépenses résultant pour le salarié de l'exécution de ses travaux.75 Le dédommagement pour frais encourus n'est pas compris dans le salaire déterminant.76 |
|
1 | Les frais généraux sont les dépenses résultant pour le salarié de l'exécution de ses travaux.75 Le dédommagement pour frais encourus n'est pas compris dans le salaire déterminant.76 |
2 | Ne font pas partie des frais généraux les indemnités accordées régulièrement pour le déplacement du domicile au lieu de travail habituel et pour les repas courants pris au domicile ou au lieu de travail habituel; ces indemnités font en principe partie du salaire déterminant. |
3 | ...77 |
6.2. Betreffend Invalideneinkommen rügt der Beschwerdeführer einzig, die Höhe des Abzugs vom Tabellenlohn - welcher von der Vorinstanz aufgrund der Unmöglichkeit von Schwerarbeit gewährt und auf 10 % festgesetzt wurde - sei zu tief ausgefallen. Nicht berücksichtigt worden seien der vermehrte Pausenbedarf, das deutlich höhere Risiko krankheits- und therapiebedingter Absenzen, das Teilzeitpensum, ein überdurchschnittliches Entgegenkommen eines potenziellen Arbeitgebers und die Unmöglichkeit, ein Fahrzeug lenken zu können.
Hinsichtlich der Höhe des Abzugs vom Tabellenlohn kann vor Bundesgericht lediglich gerügt werden, die Vorinstanz habe das ihr eingeräumte Ermessen rechtsfehlerhaft ausgeübt, d.h. dieses missbraucht, über- oder unterschritten (BGE 137 V 71 E. 5.1 S. 72 f. mit Hinweis). Eine solche rechtsfehlerhafte Ermessensausübung vermag der Beschwerdeführer nicht aufzuzeigen: Wie die Vorinstanz zutreffend ausgeführt hat, wurde dem erhöhten Pausenbedarf mit dem um 20 % verminderten Rendement bereits hinreichend Rechnung getragen und darf entsprechend nicht zusätzlich mit einem Abzug und damit doppelt berücksichtigt werden (Urteil 8C 97/2014 vom 16. Juli 2014 E. 4.2 mit Hinweisen). Soweit in diesem Kontext - abweichend von der Einschätzung der asim-Gutachter bzw. den darauf basierenden Erwägungen des kantonalen Gerichts - geltend gemacht wird, bereits nach 10 bis 15 Minuten benötige der Beschwerdeführer eine Pause, stellt dies appellatorische Kritik an der gerichtlich festgestellten Arbeitsfähigkeit dar, welche nicht zu hören ist. Ebenfalls nicht einzugehen ist auf das erstmals vor Bundesgericht ins Feld geführte Argument, es bestehe ein deutlich höheres Risiko für krankheitsbedingte Absenzen, handelt es sich doch um ein unzulässiges neues
(tatsächliches) Vorbringen (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
7.
Schliesslich trägt der Beschwerdeführer vor, entgegen Beschwerdegegnerin und Vorinstanz hätten ihm vor der Rentenreduktion Eingliederungsmassnahmen gewährt werden müssen, da er Anhaltspunkte dafür dargelegt habe, dass ihm eine Selbsteingliederung nicht möglich sei. Auch die asim-Gutachter hätten Eingliederungsmassnahmen empfohlen, wobei entgegen der Vorinstanz nicht von bloss allgemeinem Eingliederungsbedarf gesprochen werden könne. Weil davon auszugehen sei, dass die Vorinstanz die Selbsteingliederungsfähigkeit im Sinne einer unumstösslichen Regelung immer bejahe, wenn die versicherte Person keinen 15-jährigen Rentenbezug aufweise oder 55 Jahre alt sei, obschon das Bundesgericht Ausnahmen von dieser Praxis zulasse, sei das kantonale Gericht hierzu zu befragen.
Der Beweisantrag, die Vorinstanz sei zu befragen, in wie vielen Fällen bei knapp 15-jährigem Rentenbezug sie in den letzten zwei Jahren die Versicherten auf den Weg der Selbsteingliederung verwiesen habe, zielt am Prozessthema vorbei. Hier geht es nicht darum, die Praxis der Vorinstanz zur Eingliederungsfrage bei Rentenrevisionen zu überprüfen, sondern einzig um die Rechtmässigkeit des angefochtenen Entscheids. Weil die zu beweisende Tatsache für den vorliegenden Fall unerheblich ist, ist der Antrag in antizipierter Beweiswürdigung (BGE 124 V 90 E. 4b S. 94; 122 V 157 E. 1d S. 162) abzuweisen. Sodann kann der Beschwerdeführer aus dem asim-Gutachten vom 23. Dezember 2011 nichts zu seinen Gunsten ableiten. Er erschöpft sich darin, einzelne Textpassagen dieses Gutachtens wiederzugeben, ohne konkret und substanziiert aufzuzeigen, inwiefern die Vorinstanz die Beweise willkürlich gewürdigt haben soll, indem sie auf einen bloss allgemeinen - in concreto unerheblichen (Urteil 9C 572/2012 vom 18. Oktober 2012 E. 2.3.2) - Eingliederungsbedarf schloss, wie er bei Rentenaufhebungen regelmässig gegeben ist. Damit kommt er seiner Begründungspflicht (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Unmöglichkeit der Selbsteingliederung, hat die Vorinstanz entgegengehalten, massgebend sei einzig die wirtschaftliche Verwertbarkeit der Restarbeitsfähigkeit auf dem hypothetischen ausgeglichenen Arbeitsmarkt. Dass die Stellenbemühungen des Beschwerdeführers bislang erfolglos geblieben seien, sei daher nicht entscheidend. Dem ist nichts beizufügen.
8.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Verfahrenskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Solothurn und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 15. April 2016
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Glanzmann
Der Gerichtsschreiber: Furrer