Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 292/2018
Urteil vom 15. Januar 2019
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Pfiffner, Präsidentin,
Bundesrichter Meyer, Parrino,
Gerichtsschreiberin Fleischanderl.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Nikolaus Tamm,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle des Kantons Aargau, Bahnhofplatz 3C, 5000 Aarau,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente; Arbeitsunfähigkeit),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau vom 28. Februar 2018 (VBE.2017.576).
Sachverhalt:
A.
Der 1968 geborene A.________ hatte am 5. Dezember 2014 ein Crush-Trauma infolge Teilüberrollung durch eine rückwärtsfahrende Zugskomposition erlitten, woraus u.a. eine Unterschenkelamputation beidseits resultierte. Auf Anmeldung bei der Invalidenversicherung im Januar 2015 hin führte die IV-Stelle des Kantons Aargau zunächst berufliche Abklärungs- und Eingliederungsmassnahmen durch. Nach deren Abschluss befasste sich die IV-Behörde näher mit den medizinischen Verhältnissen, wobei sie u.a. Berichte der Frau Dr. med. B.________, Fachärztin Orthopädische Chirurgie Traumatologie des Bewegungsapparates FMH, Kreisärztin Suva, vom 19./23. Mai 2016, des Dr. med. C.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, Agenturärztlicher Dienst, Suva, vom 24. Mai 2016 und des Zentrums D.________, Zentrum für Suchtmedizin, Zürich, vom 28. August 2015 sowie 12. Dezember 2016beizog. Ferner veranlasste sie ein psychiatrisch-orthopädisch/traumatologisches Gutachten beim Swiss Medical Assessment- and Business-Center (SMAB AG), St. Gallen, vom 8. März 2017 und holte Stellungnahmen ihres Regionalen Ärztlichen Dienstes ([RAD] u.a. vom 7. April 2017) ein. Gestützt darauf wurde ein Invaliditätsgrad von 9 % ermittelt und der Anspruch auf eine
Invalidenrente verneint (Vorbescheid vom 12. April 2017, Verfügung vom 8. Juni 2017).
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde, mit welcher A.________ einen weiteren Bericht des Zentrums D.________ vom 21. Juni 2017 auflegen liess, wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau ab (Entscheid vom 28. Februar 2018).
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, in Aufhebung des angefochtenen Entscheids sei ihm, eventualiter nach Einholung eines Obergutachtens, eine ganze Rente zuzusprechen.
Während die IV-Stelle auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Sozialversicherungen auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.2. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
2.
2.1. Zu prüfen ist, ob Bundesrecht verletzt wurde, indem die Vorinstanz die von Beschwerdegegnerin am 8. Juni 2017 verfügte Leistungsablehnung bestätigt hat.
2.2. Im angefochtenen Entscheid wurden die für die Beurteilung der Streitsache massgebenden Rechtsgrundlagen zutreffend wiedergegeben. Es betrifft dies namentlich die Bestimmungen und Grundsätze zu den Begriffen der Erwerbsunfähigkeit (Art. 7 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
|
1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
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1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
Anzufügen ist, dass es sich bei den gerichtlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit grundsätzlich um eine Tatfrage handelt (BGE 142 V 178 E. 2.4 S. 183 mit Hinweis). Gleiches gilt für die konkrete Beweiswürdigung. Demgegenüber stellen die unvollständige Feststellung rechtserheblicher Tatsachen sowie die Missachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Anforderungen an den Beweiswert ärztlicher Berichte und Gutachten Rechtsfragen dar (vgl. etwa Urteil 9C 303/2018 vom 30. August 2018 E. 1 mit Hinweisen), die das Bundesgericht frei überprüft.
3.
3.1. Das kantonale Gericht erachtete sowohl hinsichtlich des psychischen wie auch somatischen Beschwerdebilds des Versicherten die Schlussfolgerungen des bidisziplinären Gutachtens der SMAB AG vom 8. März 2017 als beweiskräftig. Es erwog insbesondere, die darin enthaltene Feststellung, ab September 2015 habe nachweislich eine ausreichende Anpassung und Adaption an die Unterschenkelprothesenversorgung beidseits bestanden, sei als schlüssig zu werten. Auch wenn im damaligen Zeitpunkt eine weitere Optimierung der Prothesen im Gang gewesen sei, erscheine es nachvollziehbar, dass die Gutachter ab September 2015 eine 100%ige Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers in einer leidensangepassten Tätigkeit (körperlich leicht, vorwiegend sitzend) angenommen hätten. Ebenso leuchte das von den Gutachtern umschriebene - vom Beschwerdeführer nicht bestrittene - Tätigkeitsprofil ein, welches mit demjenigen der Suva-Kreisärztin Frau Dr. med. B.________ in deren Bericht vom 19./23. Mai 2016 übereinstimme. Die Beurteilung des federführenden psychiatrischen Gutachters Dr. med. E.________, wonach der Versicherte ab Januar 2017 wieder vollständig arbeitsfähig gewesen sei, beruhe sodann auf einer sorgfältigen, umfassenden Abklärung und berücksichtige die
geklagten Beschwerden. Der Experte begründe seine Einschätzung in plausibler Weise und setze sich mit den ihm vorgelegten Vorakten, namentlich mit dem psychiatrischen Verlauf nach dem Austritt des Beschwerdeführers aus der Rehaklinik F.________ Mitte Dezember 2015 bzw. ab Mitte 2015 bis Januar 2017, auseinander. Schliesslich stelle die als sonstige Reaktion auf eine schwere Belastung bzw. als rezidivierende leichtgradige depressive Störung diagnostizierte psychische Symptomatik, welche zwischen Mitte 2015 bis Ende 2016 aufgetreten und weder chronifiziert gewesen noch mit Komorbiditäten einhergegangen sei, auch vor dem Hintergrund der mit BGE 143 V 409 und 418 (beide vom 30. November 2017) geänderten Rechtsprechung keine invalidisierende Krankheit dar. Nachdem seit September 2015 in somatischer Hinsicht ebenfalls kein vermindertes Leistungsvermögen mehr vorgelegen habe, sei nicht zu beanstanden, dass die Beschwerdegegnerin ab diesem Zeitpunkt von einer uneingeschränkten Arbeitsfähigkeit des Versicherten ausgegangen sei. An dem von der Verwaltung ermittelten - in Bezug auf die erwerblichen Bemessungsfaktoren überdies unbestritten gebliebenen - Invaliditätsgrad von 9 % sei festzuhalten.
3.2. Der Beschwerdeführer wendet dagegen im Wesentlichen ein, die Beschwerdegegnerin sei ihrer Untersuchungspflicht gemäss Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
4.
Gemäss den Schilderungen des begutachtenden Psychiaters Dr. med. E.________ hatten sich nach dem am 5. Dezember 2014 erlittenen Unfall zunächst bis ca. Mitte 2015 beim Beschwerdeführer noch keine psychischen Beeinträchtigungen und daher auch keine psychiatrisch bedingte Arbeitsunfähigkeit gezeigt. Danach - so der Arzt im Weiteren - habe sich eine ängstlich-depressive Symptomatik entwickelt, deren negative Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit dadurch verstärkt worden seien, dass ungewöhnlicherweise ausschliesslich eine relativ hohe Medikation mit dem Benzodiazepin Seresta durchgeführt worden sei mit sich wiederum daraus ergebenden kognitiven Beeinträchtigungen. Insgesamt erscheine die Einschätzung in der Expertise des Dr. med. C.________ vom 24. Mai 2016 hinsichtlich einer psychiatrisch bedingten vollständigen Arbeitsunfähigkeit allein auf Grund der kognitiven Beeinträchtigungen in der bisherigen Tätigkeit nachvollziehbar. Diese dürfte von Mitte 2015 bis maximal Mitte 2016 vorgelegen haben. Daraufhin hätten sich die psychische Situation und damit das Leistungsvermögen des Versicherten - einhergehend mit der schrittweisen Reduktion des Seresta-Konsums - sukzessive verbessert, bis letzteres sich schliesslich ab Januar 2017 auf 100 %
belaufen habe. Dieser Einschätzung schloss sich der RAD in seiner Stellungnahme vom 7. April 2017 vollumfänglich an.
5.
5.1. Näher zu betrachten ist zunächst der Zeitraum ab Anfang 2017. Diesbezüglich ist Dr. med. E.________, bestätigt durch den RAD und die Vorinstanz, zum Ergebnis gelangt, dass der Beschwerdeführer unter keinen die Arbeitsfähigkeit nennenswert einschränkenden psychischen Störungen (mehr) gelitten hat.
5.2.
5.2.1. Dagegen wird in der Beschwerde zum einen vorgebracht, die Vorinstanz habe hinsichtlich der psychischen Symptomatik kein den Vorgaben gemäss BGE 141 V 281 genügendes strukturiertes Beweisverfahren durchgeführt.
Dem ist insoweit beizupflichten, als nunmehr auch leichte bis mittelschwere Depressionen für die Beurteilung der Arbeitsfähigkeit grundsätzlich einem strukturierten Beweisverfahren im Sinne von BGE 141 V 281 zu unterziehen sind (BGE 143 V 418 E. 7.1 S. 428). Der Beschwerdeführer übersieht jedoch, dass sich Dr. med. E.________ mit den entsprechenden Standardindikatoren befasst und sich dazu mit Blick auf die konkret vorliegenden Verhältnisse einlässlich geäussert hat. In seinen Ausführungen beschränkt sich der Versicherte zur Hauptsache auf das allgemeine Zitieren von Passagen aus dem im Jusletter vom 15. Januar 2018 erschienenen Beitrag von Thomas Gächter/Michael E. Meier (Praxisänderung zur Depression und anderen psychischen Leiden), ohne näher auf die sachbezüglichen Erläuterungen des begutachtenden Psychiaters einzugehen. Es gelingt ihm damit nicht, substanziiert aufzuzeigen, inwiefern das kantonale Gericht, indem es auf die entsprechende ärztliche Einschätzung abgestellt hat, Tatsachen offensichtlich unrichtig oder rechtsverletzend festgestellt haben sollte.
5.2.2. Ebenso wenig vermag ferner der Einwand zu verfangen, auf das Gutachten der SMAB AG könne nicht abgestellt werden, weil der psychiatrische Experte es unterlassen habe, sämtliche vorhandenen fremdanamnestischen Angaben, namentlich die Berichte des Zentrums D.________ vom 12. Dezember 2016 sowie 21. Juni 2017, beizuziehen und dazu vertieft Stellung zu nehmen.
5.2.2.1. Praxisgemäss ist im Rahmen einer psychiatrischen Begutachtung die klinische Untersuchung in Kenntnis der Anamnese entscheidend. Eine Fremdanamnese und (schriftliche oder mündliche) Auskünfte der behandelnden Arztpersonen sind häufig wünschenswert, aber nicht zwingend erforderlich. Anfragen beim behandelnden Arzt oder bei der behandelnden Ärztin sind u.a. wertvoll, wenn sie erweiterte Auskünfte über Persönlichkeit und Compliance der zu explorierenden versicherten Person erwarten lassen. Die Notwendigkeit der Einholung solcher Fremdanamnesen ist in erster Linie eine Frage des medizinischen Ermessens (Urteile 9C 273/2018 vom 28. Juni 2018 E. 5.2.2 und 8C 601/2016 vom 29. November 2016 E. 5.2.1 mit Hinweisen). Auch aus den Qualitätsleitlinien für versicherungspsychiatrische Gutachten der Schweizerischen Gesellschaft für Psychiatrie und Psychotherapie ergibt sich in dieser Hinsicht nichts anderes (vgl. die dritte, vollständige überarbeitete und ergänzte Auflage vom 16. Juni 2016; in: SZS 2016 S. 435 ff.; Urteil 8C 794/2017 vom 27. März 2018 E. 4.2.1 mit Hinweisen).
5.2.2.2. Dr. med. E.________ verfügte mit den Berichten des Zentrums D.________ vom 28. August 2015 und 4. Februar 2016 bereits über aussagekräftige Unterlagen der behandelnden Psychiater (samt Angaben zur Persönlichkeitsstruktur und Therapietreue), welche ihn denn auch zum Schluss führten, (weiterer) fremdanamnestischer Auskünfte bedürfe es nicht. Die Vorinstanz hat in ihrem Entscheid u.a. unter Bezugnahme auf den Bericht des Suva-Arztes Dr. med. C.________ vom 24. Mai 2016 zudem eingehend aufgezeigt, weshalb die Berichte des Zentrums D.________ vom 12. Dezember 2016 und 21. Juni 2017 hinsichtlich Diagnostik und Arbeitsfähigkeitsschätzung keine Rückschlüsse auf ein anderes Ergebnis zulassen. Der Beschwerdeführer bringt nichts vor, was diese Feststellungen als bundesrechtswidrig erscheinen liessen. Zu betonen ist schliesslich, dass es mit Blick auf die Divergenz von medizinischem Behandlungs- und Abklärungsauftrag nicht angeht, eine medizinische Administrativ- oder Gerichtsexpertise stets dann in Frage zu stellen und zum Anlass weiterer Abklärungen zu nehmen, wenn die behandelnde Ärzteschaft nachträglich zu unterschiedlichen Einschätzungen gelangt (u.a. Urteil 9C 363/2018 vom 10. Oktober 2018 E. 4.2.3 mit Hinweisen).
5.2.3.
5.2.3.1. Der Beschwerdeführer rügt im Weiteren, das Gutachten der SMAB AG beleuchte die vorhandene Schmerzsymptomatik nur ungenügend, und beruft sich auf zu berücksichtigende bio-psycho-soziale Komponenten.
5.2.3.2. Dem ist entgegenzuhalten, dass in der Medizin heute zwar vorherrschend von einem umfassenden bio-psycho-sozialen Krankheitsbegriff ausgegangen wird. Die Einführung der chronischen Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Faktoren im Jahr 2009 wurde dementsprechend als grosser Schritt in Richtung eines solchen Krankheitsverständnisses gewertet. Dieser Krankheitsbegriff ist rechtlich hingegen - und diesen Umstand übersieht der Beschwerdeführer mit seinem Begründungsansatz - im Rahmen der Arbeitsunfähigkeit nach Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
5.3. Es sind somit keine Gründe ersichtlich, weshalb, was die Zeit ab 2017 anbelangt, von der gutachterlichen Einschätzung, der die Vorinstanz zu Recht uneingeschränkte Beweiskraft beigemessen hat, abzuweichen wäre. Da unbestrittenermassen aus somatischer Sicht leidensangepasst ebenfalls keine Arbeitsunfähigkeit mehr bestand und die erwerblichen Bemessungsfaktoren unbeanstandet geblieben sind, bleibt es demnach - mangels offenkundiger Fehlerhaftigkeit (vgl. E. 1.2 hiervor) - bei der vorinstanzlichen Feststellung eines rentenausschliessenden Invaliditätsgrads von 9 %.
6.
6.1. In Bezug auf den vorangegangenen Zeitraum stuften die beteiligten Ärzte den Versicherten von etwa Mitte 2015 bis Mitte 2016 übereinstimmend als nicht einsatzfähig ein. Erst ab diesem Zeitpunkt bescheinigte Dr. med. E.________ eine sich primär als Folge der Absetzung des Medikaments Seresta langsam normalisierende und ab 2017 weitgehend intakte psychische Verfassung.
6.2. Im angefochtenen Entscheid wurde diesbezüglich festgehalten, die als sonstige Reaktion auf schwere Belastung bzw. rezidivierende leichtgradige depressive Störung diagnostizierte psychische Symptomatik, die zwischen Mitte 2015 bis Ende 2016 bestanden habe, stelle, da weder chronifiziert aufgetreten noch mit Komorbiditäten einhergegangen, keine invalidisierende Krankheit dar, weshalb sich ein strukturiertes Beweisverfahren nach Massgabe von BGE 141 V 281 rechtsprechungsgemäss von Vornherein erübrige.
6.2.1. Aus Gründen der Verhältnismässigkeit kann dort von einem strukturierten Beweisverfahren abgesehen werden, wo es nicht nötig oder auch gar nicht geeignet ist. Daher bleibt es entbehrlich, wenn im Rahmen beweiswertiger fachärztlicher Berichte eine Arbeitsunfähigkeit in nachvollziehbar begründeter Weise verneint wird und allfälligen gegenteiligen Einschätzungen mangels fachärztlicher Qualifikation oder aus anderen Gründen kein Beweiswert beigemessen werden kann (BGE 143 V 418 E. 7.1 S. 428). Namentlich in Fällen, bei denen nach bestehender Aktenlage überwiegend wahrscheinlich von einer bloss leichtgradigen depressiven Störung auszugehen ist, die ihrerseits nicht schon als chronifiziert gelten kann und auch nicht mit Komorbiditäten einhergeht, bedarf es in aller Regel keiner Weiterungen in Form eines strukturierten Beweisverfahrens (BGE 143 V 409 E. 4.5.3 S. 417; Urteil 8C 415/2018 vom 12. Dezember 2018 E. 4.2).
Die bei Beschwerdebildern wie dem vorliegenden neuerdings grundsätzlich ebenfalls regelmässig vorzunehmende Indikatorenprüfung dient dazu, eine im Rahmen einer psychischen Diagnose attestierte Arbeitsunfähigkeit zu validieren (vgl. etwa Urteil 8C 241/2018 vom 25. September 2018 E. 7.5.1). Darauf verzichtet werden kann nach dem Dargelegten ausnahmsweise in Fällen, in denen im Rahmen beweiswertiger fachärztlicher Berichte eine Arbeitsunfähigkeit glaubhaft verneint wird und allfälligen gegenteiligen Einschätzungen mangels fachärztlicher Qualifikation oder aus anderen Gründen kein Beweiswert beigemessen werden kann. Eine derartige Konstellation ist hier aber gerade nicht gegeben.
6.2.2. Für die Beantwortung der Frage, ob im Zeitraum von Mitte 2015 bis Ende 2016 eine invalidenversicherungsrechtlich relevante depressive Störung vorgelegen hat, wäre es deshalb prinzipiell erforderlich, ein den Grundsätzen von BGE 141 V 281 Rechnung tragendes strukturiertes Beweisverfahren durchzuführen. Eine Rückweisung der Sache an das kantonale Gericht zur Vornahme eines solchen erübrigt sich indessen. Wie im vorinstanzlichen Entscheid vor dem Hintergrund der medizinischen Aktenlage zutreffend festgestellt wurde, litt der Versicherte in der betreffenden Zeitspanne fraglos unter psychischen Beschwerden, die psychiatrischerseits über längere Zeit zur Verabreichung des Medikaments Seresta führten. Aus diesem (hohen) Benzodiazepinkonsum resultierten wiederum - unstreitig - kognitive Beeinträchtigungen, welche die Arbeitsfähigkeit in den Jahren 2015 und 2016 erheblich verminderten. Es kann somit ohne Weiteres davon ausgegangen werden, dass für diesen Zeitraum ein invalidisierender Gesundheitsschaden vorgelegen hat, der einen Rentenanspruch zu begründen vermag. Da der Beschwerdeführer sich unmittelbar nach dem am 5. Dezember 2014 erlittenen Unfall zunächst bereits infolge längerer Hospitalisation und körperlicher
Rekonvaleszenzphase ausserstande sah, einer Arbeitstätigkeit nachzugehen, verunmöglichte zwischen Mitte 2015 bis Mitte 2016 die regelmässige Einnahme von Seresta mit den damit verbundenen Nebenwirkungen jeglichen beruflichen Einsatz. Ab Juli 2016 konnte sodann einhergehend mit der schrittweisen Reduktion des Medikamentenkonsums nach und nach eine Steigerung der Arbeitsfähigkeit bewirkt werden (so etwa die Stellungnahme des RAD vom 7. April 2017), bis diese sich Anfang 2017 wieder auf 100 % belief.
Der Versicherte hat sich im Januar 2015 bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug angemeldet. Das Wartejahr nach Art. 28 Abs. 1 lit. b
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 29 Naissance du droit et versement de la rente - 1 Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré. |
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1 | Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré. |
2 | Le droit ne prend pas naissance tant que l'assuré peut faire valoir son droit à une indemnité journalière au sens de l'art. 22. |
3 | La rente est versée dès le début du mois au cours duquel le droit prend naissance. |
4 | Les rentes correspondant à un taux d'invalidité inférieur à 50 % ne sont versées qu'aux assurés qui ont leur domicile et leur résidence habituelle (art. 13 LPGA) en Suisse. Cette condition doit également être remplie par les proches pour lesquels une prestation est réclamée. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
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1 | Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
2 | Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie. |
7.
Der Beschwerdeführer obsiegt insoweit, als ihm für die Zeit vom 1. Dezember 2015 bis 31. März 2017 eine ganze Rente zusteht. Nicht stattgegeben wird seinem Antrag demgegenüber bezüglich eines Anrechts auf Rentenleistungen ab diesem Zeitpunkt bis zum Verfügungserlass vom 8. Juni 2017. Es rechtfertigt sich daher, die Gerichtskosten und Parteientschädigungen nach Massgabe eines je hälftigen Obsiegens und Unterliegens der Parteien zu verlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Der Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau vom 28. Februar 2018 und die Verfügung der IV-Stelle des Kantons Aargau vom 8. Juni 2017 werden mit der Feststellung aufgehoben, dass dem Beschwerdeführer für den Zeitraum vom 1. Dezember 2015 bis 31. März 2017 eine ganze Invalidenrente zusteht. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden je zur Hälfte den Parteien auferlegt.
3.
Die Beschwerdegegnerin hat den Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 1'400.- zu entschädigen.
4.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Kosten und der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Versicherungsgericht des Kantons Aargau zurückgewiesen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau, der Pensionskasse G.________ und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 15. Januar 2019
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Pfiffner
Die Gerichtsschreiberin: Fleischanderl