Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 586/2008
Urteil vom 15. Januar 2009
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterin Leuzinger, Bundesrichter Frésard,
Gerichtsschreiberin Polla.
Parteien
B.________, Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwalt Daniel Altermatt, Neuarlesheimerstrasse 15, 4143 Dornach,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des
Kantonsgerichts Basel-Landschaft
vom 2. April 2008.
Sachverhalt:
A.
Der 1958 geborene B.________ war seit 1979 als Hilfsarbeiter und zuletzt als Kranführer bei der S.________ AG angestellt und bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 2. Oktober 2002 klemmte er sich beim Entleeren eines Kippsilos die linke Hand ein, wobei er sich schwere offene Weichteiltraumata (Dorsum manus und Palma manus) sowie eine subkapitale Metacarpale-Mehrfragmentfraktur des Metacarpale III zuzog (Operationsbericht der Chirurgischen Poliklinik des Spitals X.________ vom 3. Oktober 2002). Nach Einstellung der vorübergehenden Leistungen (Heilbehandlung per 31. August 2004, Taggeld per 13. April 2004; Schreiben vom 2. September 2004) sprach die SUVA B.________ ab 1. September 2004 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 28 % und eine Integritätsentschädigung für eine Integritätseinbusse von 10 % zu (Verfügung vom 12. Oktober 2004). Mit Entscheid vom 11. April 2005 hiess die SUVA die dagegen erhobene Einsprache teilweise gut und wies die Sache zur Einholung eines handchirurgischen bzw. handorthopädischen Gutachtens an die Vorinstanz zurück. Nachdem der Versicherte durch Dr. med. R.________, Facharzt FMH für Plastisch-rekonstruktive Chirurgie, Schwerpunkt
Handchirurgie und Chirurgie der peripheren Nerven, Klinik Y.________, am 25. August 2005 begutachtet worden war, bestätigte die SUVA einen Invaliditätsgrad von 28 %, erhöhte jedoch die Integritätseinbusse auf 25 % (Verfügung vom 20. November 2006). Daran hielt sie mit Einspracheentscheid vom 16. Juli 2007 fest.
Mit Verfügung vom 4. Juni 2008 sprach die IV-Stelle Basel-Landschaft dem Versicherten sodann ab 1. Oktober 2003 eine Rente der Invalidenversicherung bei einem Invaliditätsgrad von 63 % zu.
B.
Die von B.________ gegen den Einspracheentscheid vom 16. Juli 2007 erhobene Beschwerde hiess das Kantonsgericht Basel-Landschaft mit Entscheid vom 2. April 2008 - soweit es darauf eintrat - insoweit gut, als es den Einspracheentscheid vom 16. Juli 2007 aufhob und dem Versicherten eine Invalidenrente auf der Basis einer Erwerbsunfähigkeit von 34 % zusprach (Dispositiv-Ziffer 1).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt B.________ beantragen, unter Aufhebung von Dispositiv-Ziffer 1 des kantonalen Gerichtsentscheides sei ihm mit Wirkung ab 1. September 2004 eine Invalidenrente auf der Grundlage einer Erwerbsunfähigkeit von 69 % zuzusprechen.
Die SUVA schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Gesundheit hat auf eine Vernehmlassung verzichtet.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Im vorinstanzlichen Entscheid und im Einspracheentscheid werden die Grundsätze über den für die Leistungspflicht des Unfallversicherers vorausgesetzten natürlichen Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und dem eingetretenen Schaden (Krankheit, Invalidität, Tod; BGE 134 V 109 E. 9.5 S. 125; 129 V 177 E. 3.1 S. 181 mit Hinweisen), die erforderliche Adäquanz des Kausalzusammenhangs im Allgemeinen (BGE 129 V 177 E. 3.2 S. 181; 127 V 102 E. 5b/bb S. 103, je mit Hinweisen) und bei psychischen Unfallfolgen (BGE 129 V 177 E. 4.1 S. 183; 115 V 133) zutreffend dargelegt. Gleiches gilt für den im Sozialversicherungsrecht geltenden Untersuchungsgrundsatz (Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
|
1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
3.
Streitig und zu prüfen ist, ob der Beschwerdeführer ab 1. September 2004 Anspruch auf eine höhere als die ihm durch das kantonale Gericht zugesprochene Invalidenrente aufgrund eines Invaliditätsgrades von 34 % hat. Der Versicherte macht hiezu erstens eine psychische Gesundheitsschädigung geltend, die mit dem Unfall vom 2. Oktober 2002 in einem natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhang stehe. Zweitens bringt er vor, mit Blick auf den Einkommensvergleich sei beim Invalideneinkommen ein maximaler Abzug von 25 % vorzunehmen, was unter der Annahme einer 50%igen Restarbeitsfähigkeit zu einem Invaliditätsgrad von 69 % führe.
3.1
3.1.1 Hinsichtlich der natürlichen Kausalität des psychischen Gesundheitsschadens verneinte die Vorinstanz namentlich gestützt auf das im Rahmen der IV-Anmeldung erstellte psychiatrische Gutachten der Frau Dr. med. H.________, Fachärztin FMH, Psychiatrie und Psychotherapie, vom 23. August 2007, einen natürlichen Kausalzusammenhang zwischen Unfallgeschehen und psychischem Leiden. Die Psychiaterin sei zum Ergebnis gelangt, dem Unfallereignis vom 2. Oktober 2002 käme keine auslösende Funktion zu, vielmehr sei für das psychische Leiden der Erhalt der Kündigung sowie die Erkrankung von Ehefrau und Kinder verantwortlich, wobei keine somatoforme Schmerzstörung vorliege. Daraus zog das kantonale Gericht den Schluss, die vorliegende Schmerzproblematik alleine genüge für die sozialversicherungsrechtliche Leistungsbegründung unter diesen Umständen nicht; ein natürlicher Kausalzusammenhang zwischen Unfall und psychischem Leiden sei daher zu verneinen.
3.1.2 Im Rahmen ihres psychiatrischen Fachgutachtens führte Frau Dr. med. H.________, die mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit eine mittelgradige depressive Episode mit somatischem Syndrom (ICD-10: F32.11) diagnostizierte, aus, mit Erhalt der Kündigung im Mai 2004 sei es, nach 25-jähriger Betriebszugehörigkeit, zu einer depressiven Dekompensation mit massivem Leistungseinbruch gekommen. Die Kündigung habe das Weltbild des Versicherten erschüttert, da er sich damit seiner Rolle als Familienvater und Ernährer beraubt sehe. Weiter kam sie zum Schluss, es handle sich um eine Komorbidität von Schmerzen einerseits, die primär durch eine Gewebeläsion verursacht worden seien und einer depressiven Störung andererseits. Hierbei komme es zu einer wechselseitig verstärkenden und aufrechterhaltenden Wirkung zwischen Schmerzen und depressiver Symptomatik. Beide Symptome bestimmten den Alltag in erheblicher Weise. Der Erkrankung von Ehefrau und zwei Kindern komme symptomverstärkende und aufrechterhaltende Funktion zu; es handle sich um unfallfremde, jedoch unmittelbar zur depressiven Erkrankung gehörende Faktoren. Diese ärztliche Beurteilung lässt jedoch gerade den Schluss zu, dass die depressive Symptomatik durch die Unfallfolgen ausgelöst
wurde und selbst bei einer symptomverstärkenden und aufrechterhaltenden Wirkung der psychosozialen Belastungssituation zumindest teilweise auf den Unfall vom 2. Oktober 2002 zurückzuführen ist, zumal die Kündigung des Arbeitsverhältnisses unbestrittenermassen aufgrund der unfallbedingten, ungenügenden Leistungsfähigkeit erfolgte. Dies genügt für die Bejahung des natürlichen Kausalzusammenhangs (BGE 119 V 335 E. 1 S. 338; 129 V 177 E. 3.1 S. 181 und 402 E. 4.3.1 S. 406).
3.2 Zu prüfen bleibt die Adäquanz des Kausalzusammenhangs nach den für Unfälle mit psychischen Folgeschäden aufgestellten Regeln (BGE 115 V 133).
Die im Einspracheentscheid vom 16. Juli 2007 vorgenommene Einordnung des Ereignisses vom 2. Oktober 2002 in den Bereich der mittelschweren Unfälle ist nicht zu beanstanden. Damit muss entweder ein einzelnes der relevanten Kriterien (besonders dramatische Begleitumstände oder besondere Eindrücklichkeit des Unfalls; Schwere oder besondere Art der erlittenen Verletzung; ungewöhnlich lange Dauer der ärztlichen Behandlung; Dauerbeschwerden; ärztliche Fehlbehandlung, welche die Unfallfolgen erheblich verschlimmert; schwieriger Heilungsverlauf und erhebliche Komplikationen; Grad und Dauer der physisch bedingten Arbeitsunfähigkeit; BGE 115 V 133 E. 6c/aa f. S. 140 f.) besonders ausgeprägt gegeben oder die Kriterien insgesamt in gehäufter oder auffallender Weise erfüllt sein.
3.3 Der Unfall ereignete sich entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers weder unter dramatischen Begleitumständen noch war er im Rahmen der Rechtsprechung besonders eindrücklich. Überdies erlitt er beim Unfall keine besonders schweren Verletzungen, die erfahrungsgemäss geeignet wären, eine psychische Fehlentwicklung auszulösen (vgl. Urteile U 339/05 vom 27. März 2007 E. 5.4 und U 134/03 vom 12. Januar 2004 E. 2.2). Was die Dauer der ärztlichen Behandlung betrifft, war diese hinsichtlich der somatischen Beschwerden nicht besonders lang. Daran ändert auch der Umstand nichts, dass knapp sechs Monate nach dem Unfall am 28. März 2003 aufgrund der gebildeten Tendoadhäsionen am linken Handrücken eine (problemlos verlaufene) Adhäsiolyse notwendig wurde (Zwischenbericht der Frau Dr. med. A.________, Oberärztin Handchirurgie am Spital X.________, vom 30. April 2003); insgesamt ist die ärztliche Behandlung nicht als überlang zu werten. Am 24. September 2003 fand in der handchirurgischen Sprechstunde am Spital X.________ eine Endkontrolle statt, wobei die bis anhin durchgeführte Ergotherapie schon im Juni 2003 beendet worden war. Bereits am 1. Juli 2003 stellte der SUVA-Kreisarzt Dr. med. W.________ ein schönes kosmetisches und funktionelles
Resultat fest (Berichte vom 1. Juli 2003 und 23. Januar 2004). Bezüglich der geklagten Dauerschmerzen ist angesichts der andauernden, erheblichen neuralen Schmerzen (kreisärztliche Untersuchung vom 23. Januar 2004), die gemäss handchirurgischem Gutachten des Dr. med. R.________ vom 25. August 2005, als Algie diffusante beschrieben wurden, dieses Kriterium zu bejahen, allerdings liegt es nicht besonders ausgeprägt vor. Von einer ärztlichen Fehlbehandlung, welche die Unfallfolgen erheblich verschlimmert hat, kann ebenso wenig gesprochen werden, wie von einem schwierigen Heilungsverlauf und erheblichen Komplikationen. Es bedarf hiezu besonderer Gründe, welche die Heilung beeinträchtigt haben (Urteile U 79/05 vom 10. Februar 2006, U 343/02 vom 25. Oktober 2002 und U 313/01 vom 7. August 2002). Solche Gründe sind hier nicht bereits deshalb gegeben, weil am 28. März 2003 eine Adhäsiolyse der Strecksehnen notwendig wurde. In den Akten findet sich denn auch kein Hinweis auf andere medizinische Vorkehren, die einer wesentlichen Verbesserung des somatischen Zustands dienen sollten. Es sind auch keine weiteren oder erheblichen Komplikationen im Rahmen der physischen Verletzungen aufgetreten. Grad und Dauer der physisch bedingten
Arbeitsunfähigkeit sind ebenfalls nicht derart ausgeprägt vorhanden, als dass sie als ungewöhnlich lang zu bezeichnen sind. Seit dem 13. Juni 2003 war der Versicherte wieder zu 50 % arbeitsfähig (Zeugnis des Dr. med. von K.________, Assistenzarzt, Hand- und periphere Nervenchirurgie, Spital X.________, vom 30. Juni 2003). Knapp zwei Jahre nach dem Unfall war der Beschwerdeführer in einer leichten manuellen Tätigkeit in möglichst temperierter Umgebung und ohne Kraftgriff oder Repetitivität der linken Hand und ohne Anforderung an die Geschicklichkeit, auf festem Boden ganztags (mit einer um 20 % reduzierten Leistung) als einsatzfähig zu betrachten (vgl. kreisärztliche Einschätzung des Dr. med. W.________ vom 23. Januar 2004).
Nachdem die Kriterien weder gehäuft noch ein Einzelnes davon in besonders ausgeprägter Weise gegeben sind, ist der adäquate Kausalzusammenhang der psychischen Leiden zu verneinen.
4.
Die sich aus dem Unfall vom 2. Oktober 2002 ergebende Leistungspflicht der SUVA beurteilt sich somit einzig nach den gesundheitlichen Folgen somatischer Art.
4.1 Gestützt auf die gesamte medizinische Aktenlage hielt das kantonale Gericht mit umfassender Begründung, wovon abzuweichen kein Anlass besteht und worauf verwiesen wird, fest, dass dem Versicherten eine angepasste Tätigkeit, bei der die Arbeit einhändig mit der rechten Hand und mit sporadischem Einsatz mit Halten durch die linke Hand ausgeführt wird (Gutachten des Dr. med. R.________ vom 23. September 2005 und Schreiben vom 27. September 2006) ganztägig, jedoch mit um 20 % reduzierter Leistung, zumutbar ist. Dies ist auch letztinstanzlich unbestritten geblieben.
4.2 Zu prüfen bleiben die erwerblichen Auswirkungen der festgestellten Einschränkung der Arbeitsfähigkeit. Zur Bestimmung des Invalideneinkommens für das Jahr 2004 (unbestrittener Zeitpunkt des Rentenbeginns) stellte die Vorinstanz auf den LSE-Tabellenlohn gemäss Tabelle TA1 für mit einfachen und repetitiven Tätigkeiten (Anforderungsniveau 4) im privaten Sektor beschäftigte Männer ab (basierend auf 40 Wochenarbeitsstunden; inklusive 13. Monatslohn) und ermittelte unter Berücksichtigung einer 80%igen Arbeitsfähigkeit und der statistischen betriebsüblichen wöchentlichen Arbeitszeit "Total" im Jahre 2004 von 41,6 Stunden (vgl. Die Volkswirtschaft, Heft 12-2006 S. 83 Tabelle B9.2) einen Betrag von Fr. 45'806.-.
Der Beschwerdeführer beanstandet den Ausgangswert von Fr. 45'806.- zu Recht nicht. Allein aufgrund der Schwere der Beeinträchtigung sei jedoch ein leidensbedingter Abzug in maximal zulässiger Höhe von 25 % (BGE 129 V 472 E. 4 mit Hinweisen; AHI 2002 S. 67 ff. E. 4) vorzunehmen.
4.3 Ist über die ärztliche Bezeichnung des massgebenden Pensums hinaus zusätzlichen Einschränkungen - wie vermindertes Rendement pro Zeiteinheit wegen verlangsamter Arbeitsweise, Bedarf nach ausserordentlichen Pausen - Rechnung zu tragen oder ist die funktionelle Einschränkung ihrer besonderen Natur nach nicht ohne weiteres mit den Anforderungen vereinbar, vermag dieser Umstand grundsätzlich einen leidensbedingten Abzug zu begründen (Urteil 9C 119/2008 vom 16. Juli 2008). Zu beachten ist jedoch, dass allfällige bereits in der Beurteilung der medizinischen Arbeitsfähigkeit enthaltene gesundheitliche Einschränkungen nicht zusätzlich in die Bemessung des leidensbedingten Abzuges einfliessen und so zu einer doppelten Anrechnung desselben Gesichtspunktes führen. Mit der von der Vorinstanz anerkannten Pensenbeschränkung von 20 Prozent und der entsprechenden Reduktion des hypothetischen Invalideneinkommens sind die ärztlicherseits attestierten gesundheitlichen Einschränkungen und der vermehrte Pausenbedarf ausreichend berücksichtigt. Eine weitergehende Anrechnung beim leidensbedingten Abzug käme - entgegen dem Einwand des Beschwerdeführers - einer unzulässigen doppelten Berücksichtigung derselben Einschränkung gleich. Ebenso wenig
vermögen die weiter geltend gemachten Kriterien "Nationalität" und "Dienstjahre" einen Abzug vom statistischen Tabellenlohn zu begründen. Die Ausländereigenschaft (Mazedonier) ist zu vernachlässigen, da er seit langem in der Schweiz erwerbstätig war und die Niederlassungsbewilligung C besitzt. Diese wirkt sich bei Männern im Anforderungsniveau 4 gegenüber dem entsprechenden, nicht nach dem Merkmal der Nationalität differenzierenden, hier massgebenden Totalwert tendenziell lohnerhöhend aus (LSE 2004 S. 69 TA12; BGE 126 V 75 E. 5a/cc S. 79). Im Weiteren trifft zwar zu, dass der seit 1979 für die gleiche Arbeitgeberin tätig gewesene Versicherte den bisher allenfalls lohnrelevanten Vorteil der bisherigen Dienstjahre verliert. Diesbezüglich ist jedoch zu berücksichtigen, dass sich das Anfangseinkommen in einer neuen Firma in der Regel nicht isoliert nach der Anzahl Dienstjahre bestimmt. Zudem ist eine lange Dienstdauer beim gleichen Arbeitgeber auf dem hypothetischen ausgeglichenen Arbeitsmarkt durchaus positiv zu werten, indem die durch die langjährige Betriebstreue ausgewiesene Zuverlässigkeit und Tüchtigkeit sich bei einem anderen Arbeitgeber im Anfangslohn niederschlägt. Vor allem aber nimmt jedoch die Bedeutung der Dienstjahre im
privaten Sektor ab, je niedriger das Anforderungsprofil ist (BGE 126 V 75 E. 5a/cc S. 79; Urteil 8C 223/2007 vom 2. November 2007 E. 6.2.2), weshalb dem Merkmal der Dienstjahre auch keine relevante Bedeutung zukommt. Schliesslich ist nicht erkennbar, inwiefern allenfalls weitere praxisgemäss zu berücksichtigenden Kriterien wie "Alter" und "Beschäftigungsgrad" (BGE 126 V 75 E. 5 S. 80 mit Hinweisen) im Lichte der hierfür erforderlichen Gesamtbetrachtung vorliegend zu Lohneinbussen führen sollten.
4.4 Gegen das vorinstanzlich gestützt auf die Angaben (vom 3. und 5. Februar 2004) der S.________ AG auf Fr. 69'164.- festgesetzte Valideneinkommen für das Jahr 2004 wird zu Recht nichts eingewendet. Mittels der Einkommensvergleichsmethode (Einkommen, welches der Versicherte ohne Gesundheitsschädigung hätte erzielen können [Valideneinkommen]: Fr. 69'164.-; Einkommen, das er trotz Gesundheitsschädigung zumutbarerweise noch zu erzielen vermöchte [Invalideneinkommen]: Fr. 45'806.-) gelangte die Vorinstanz zu einem Invaliditätsgrad von 34 %, was nach dem Gesagten zu bestätigen ist.
5.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend trägt der Beschwerdeführer die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht Basel-Landschaft, Abteilung Sozialversicherungsrecht, und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 15. Januar 2009
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Die Gerichtsschreiberin:
Ursprung Polla