Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
1C 184/2016
Urteil vom 14. November 2016
I. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Fonjallaz, Präsident,
Bundesrichter Merkli, Karlen,
Gerichtsschreiber Uebersax.
Verfahrensbeteiligte
1. A.________,
2. B.________,
Beschwerdeführer,
beide vertreten durch Rechtsanwalt Marc Peyer,
gegen
Gemeinderat Niederhasli,
Dorfstrasse 17, 8155 Niederhasli.
Gegenstand
Baubewilligung,
Beschwerde gegen das Urteil vom 21. Januar 2016 des Verwaltungsgerichts des Kantons Zürich, 1. Abteilung, 1. Kammer.
Sachverhalt:
A.
Am 14. Mai 2013 erteilte der Gemeinderat Niederhasli A.________ und B.________ die nachträgliche baurechtliche Bewilligung für ein eigenmächtig erstelltes Gartenhaus auf dem Grundstück Kat.-Nr. "..." an der X.________strasse in Niederhasli unter Bedingungen und Auflagen.
Am 24. Juni 2013 erhoben A.________ und B.________ Rekurs beim Baurekursgericht des Kantons Zürich und beantragten, der Entscheid des Gemeinderats Niederhasli sei ganz oder teilweise aufzuheben. Am 19. Dezember 2013 wies das Baurekursgericht den Rekurs ab, soweit es darauf eintrat.
B.
Dagegen führten A.________ und B.________ Beschwerde beim Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, wobei sie beantragten, den Entscheid des Baurekursgerichts aufzuheben, soweit dieser bestimmte Teile des baurechtlichen Entscheids des Gemeinderats Niederhasli bestätige; eventuell sei die Sache zur Neubeurteilung an das Baurekursgericht zurückzuweisen. Am 21. Januar 2016 wies das Verwaltungsgericht die Beschwerde ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 22. April 2016 an das Bundesgericht beantragen A.________ und B.________, das Urteil des Verwaltungsgerichts und damit die strittigen Teile des baurechtlichen Entscheids des Gemeinderates aufzuheben; eventuell sei das Urteil des Verwaltungsgerichts aufzuheben und die Sache zur Ergänzung und Neubeurteilung an dieses zurückzuweisen. In prozessualer Hinsicht wurde um Erteilung der aufschiebenden Wirkung ersucht.
Der Gemeinderat Niederhasli schliesst auf Abweisung der Beschwerde und verlangt ausdrücklich die Zusprechung einer Parteientschädigung. Das Verwaltungsgericht stellt Antrag auf Abweisung der Beschwerde, soweit darauf einzutreten sei.
A.________ und B.________ äusserten sich am 6. Juli 2016 nochmals zur Sache.
D.
Mit verfahrensleitender Verfügung vom 24. Mai 2016 erteilte der Präsident der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung des Bundesgerichts der Beschwerde die aufschiebende Wirkung.
Erwägungen:
1.
1.1. Gemäss Art. 82 lit. a
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
1.2. Die Beschwerdeführer waren am vorinstanzlichen Verfahren beteiligt und sind als ursprüngliche Gesuchsteller für eine nachträgliche Baubewilligung sowie als direkte Adressaten des angefochtenen Entscheids gemäss Art. 89 Abs. 1
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
1.3. Nach Art. 105 Abs. 1
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
1.4. Mit der Beschwerde an das Bundesgericht kann, von hier nicht interessierenden weiteren Möglichkeiten abgesehen, nur die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.5. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.
2.1. Die Beschwerdeschrift enthält eine umfassende Darstellung des Sachverhalts. Die Beschwerdeführer beanstanden die tatsächlichen Feststellungen des Verwaltungsgerichts unter verschiedenen Gesichtspunkten. Das Bundesgericht überprüft die vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen nur mit beschränkter Kognition (vgl. vorn E. 1.3).
2.2. Die Beschwerdeführer berufen sich unter anderem auf ergänzende Unterlagen, insbesondere auf ein Schreiben des Regierungsrates Ernst Stocker an Werner Ess vom 12. September 2013, wonach sich der Gemeinderat Niederhasli mit Brief vom 4. Juli 2013 gegen eine Umfahrung Niederhasli ausgesprochen und angekündigt habe, bei nächster Gelegenheit die Streichung dieses Vorhabens aus dem regionalen Richtplan zu beantragen und von der erneuten Festsetzung von Baulinien abzusehen. Die Beschwerdeführer behaupten, erst nachträglich im April 2016 vom neu eingereichten Schreiben des Regierungsratsmitglieds Kenntnis erhalten zu haben, weshalb es sich dabei und bei den darin erwähnten Umständen um zulässige unechte Noven handle. In der Sache schliessen sie daraus, es sei davon auszugehen, dass es keine Baulinien mehr gebe, die für ihre Baute massgeblich wären.
Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführer ändern die angerufenen Umstände nichts an der Rechtslage. Der regionale Richtplan wurde noch nicht angepasst und sah im hier massgeblichen Zeitpunkt die Umfahrung Niederhasli in verschiedenen Varianten und mit den entsprechenden Baulinien noch immer vor. Darauf ist abzustellen und nicht auf künftige ungesicherte Rechtsentwicklungen. Es ist ebenfalls nicht ersichtlich, weshalb die Gemeinde die Beschwerdeführer auf den fraglichen Briefwechsel mit dem zuständigen Regierungsrat hätte aufmerksam machen müssen, mit dem eine mögliche künftige, aber noch nicht als definitive Projektvorlage beschlossene Entwicklung diskutiert wurde. Im Übrigen hätte auch dieser Umstand die Rechtslage nicht entscheidend zu verändern vermocht. Entgegen der Darstellung in der Beschwerdeschrift ist aus dem regierungsrätlichen Schreiben vom 12. September 2013 nicht abzuleiten, die Baulinien hätten im Zusammenhang mit der sistierten Umfahrungsstrasse keine Gültigkeit mehr; dem Brief kann einzig entnommen werden, dass im damaligen Zeitpunkt davon ausgegangen werden konnte, die Baulinien müssten bei der Revision des regionalen Richtplanes nicht mehr festgesetzt werden. Damit wurden weder die alten Baulinien aufgehoben
noch war der Verzicht auf die Umfahrung gesichert bzw. endgültig beschlossen. Die Beschwerdeführer können demnach aus den von ihnen eingereichten und als unechte Noven bezeichneten Unterlagen nichts zu ihren Gunsten ableiten. Damit braucht nicht entschieden zu werden, ob es sich dabei um zulässige Noven handelt oder nicht.
2.3. Die Beschwerdeführer sehen sodann eine willkürliche Sachverhaltsfeststellung darin, dass in E. 1.1 des angefochtenen Entscheides festgehalten sei, für das strittige Gartenhaus sei ein Näherbaurecht gewährt worden. Tatsächlich sei ihnen lediglich ein beschränktes Näherbaurecht in Aussicht gestellt worden für den Fall, dass sie bestimmte bauliche Anpassungen vornehmen würden. Dass diese mit erheblichen Kosten verbunden seien, werde verschwiegen. Überdies seien auch weitere Feststellungen zum Näherbaurecht sowie zu den baulichen Verhältnissen des Gartenhauses und zu dessen vorbestandenem Fundament fehlerhaft. Alle diese Umstände seien für die Prüfung der Verhältnismässigkeit des angeordneten Rückbaus massgeblich. Darauf wird allenfalls unter rechtlichen Gesichtspunkten zurückzukommen sein. Inwiefern die entsprechenden Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanz offensichtlich unrichtig sein sollten, ist jedoch nicht ersichtlich, zumal diese in den entsprechenden einschlägigen Erwägungen die fraglichen Punkte konkretisiert und beispielsweise in E. 3.2.2 des angefochtenen Entscheids ausdrücklich wiedergibt, die Gemeinde habe ein Näherbaurecht unter bestimmten Bedingungen in Aussicht gestellt.
2.4. Ferner rügen die Beschwerdeführer unterlassene bzw. fehlerhafte Sachverhaltsfeststellungen des Baurekursgerichts, deren Korrektur durch das Verwaltungsgericht unter Annahme einer nachträglichen Heilung unzulässig gewesen sei, was den Anspruch der Beschwerdeführer auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
2.4.1. Nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung kann eine nicht besonders schwerwiegende Verletzung des rechtlichen Gehörs ausnahmsweise als geheilt gelten, wenn die betroffene Person die Möglichkeit erhält, sich vor einer Rechtsmittelinstanz zu äussern, die sowohl den Sachverhalt wie auch die Rechtslage frei überprüfen kann. Unter dieser Voraussetzung ist selbst bei einer schwerwiegenden Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör von einer Heilung des Mangels auszugehen, wenn die Rückweisung der Sache an die Vorinstanz zu einem formalistischen Leerlauf und damit zu unnötigen Verzögerungen führen würde, die mit dem Interesse der betroffenen Partei an einer beförderlichen Beurteilung der Sache nicht zu vereinbaren wären (BGE 137 I 195 E. 2.3.2; 136 V 117 E. 4.2.2.2).
2.4.2. Die Vorinstanz setzte sich eingehend mit der Frage der Heilung des von ihr festgestellten Verfahrensfehlers durch das Baurekursgericht auseinander. Sie hielt in E. 1.4 des angefochtenen Entscheids fest, die Verletzung des rechtlichen Gehörs betreffe die fehlende Auseinandersetzung des Baurekursgerichts mit dem Grundsatz von Treu und Glauben, wobei es sich um eine Rechtsfrage handle, die das Verwaltungsgericht mit der gleich umfassenden Überprüfungsbefugnis wie dessen Vorinstanz prüfe. Angesichts der hinreichend geklärten Sachlage erscheine eine Neubeurteilung durch das Baurekursgericht nicht notwendig und käme einem formalistischen Leerlauf gleich, weshalb der Mangel als geheilt gelten könne.
2.4.3. Auch diesbezüglich legen die Beschwerdeführer nicht nachvollziehbar dar, weshalb die Folgerungen des Verwaltungsgerichts unzutreffend sein sollten. Ein Mangel bei den entsprechenden Sachverhaltsfeststellungen bzw. eine Verletzung von Art. 29 Abs. 2
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
2.5. Die Beschwerdeführer werfen dem Verwaltungsgericht sodann vor, dieses habe zu Unrecht angenommen, es fehle ihnen an Gutgläubigkeit. Die Vorinstanz stützt diese Einschätzung jedoch auf Informationen ab, welche die Beschwerdeführer nachweislich von Gemeindevertretern erhalten haben und mit denen sie auf mögliche rechtliche Probleme bei der Realisierung ihres Bauprojekts hingewiesen wurden. Angesichts dieser ihnen gegenüber geäusserten Vorbehalte ist es nicht unhaltbar, vom Fehlen der Gutgläubigkeit auf Seiten der Beschwerdeführer auszugehen.
2.6. Im Übrigen beruhen die tatsächlichen Feststellungen des Verwaltungsgerichts auf denjenigen des Baurekursgerichts, das einen Referentenaugenschein vor Ort durchgeführt hatte, sowie auf verschiedenen Bildern und Plänen. Sie sind nicht aktenwidrig oder sonst wie willkürlich oder unter schwerwiegenden Verfahrensmängeln zustande gekommen und erweisen sich demnach für das Bundesgericht uneingeschränkt als verbindlich.
3.
Die Beschwerdeführer beanstanden einen Verstoss gegen die Begründungspflicht und damit gegen ihren Anspruch auf rechtliches Gehör, weil das Verwaltungsgericht in widersprüchlicher Weise in E. 3.4 seines Entscheids teilweise auf das Urteil des Baurekursgerichts verwiesen habe. Der Verweis sei zu allgemein ausgefallen und deshalb widersprüchlich, weil die Vorinstanz einzelne Schlüsse, die sich gerade in den Passagen befinden, auf die sie verweise, als unrichtig beurteile und korrigiere. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführer geht aber aus dem angefochtenen Entscheid mit genügender Deutlichkeit hervor, in welchem Sinne das Verwaltungsgericht auf den Entscheid des Baurekursgerichts verweist und inwiefern es diesen korrigiert bzw. anpasst. Die Beschwerdeführer waren auch ohne weiteres in der Lage, das Urteil des Verwaltungsgerichts angemessen anzufechten. Damit liegt keine Gehörsverletzung vor. Analoges gilt für die Rüge, die Vorinstanz habe gegen ihre Begründungspflicht und das rechtliche Gehör der Beschwerdeführer bei der Annahme fehlender Gutgläubigkeit derselben verstossen. Dass sie vom Fehlen einer solchen ausgehen durfte, wurde bereits dargelegt (vgl. vorne E. 2.5); worin insofern eine Gehörsverletzung liegen sollte, ist
nicht ersichtlich.
4.
4.1. Die Beschwerdeführer rügen weiter, das Verwaltungsgericht habe gegen den Grundsatz von Treu und Glauben nach Art. 9
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
4.2. Gemäss Art. 9
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
4.3. Auch mit dieser Rechtsfrage setzte sich bereits die Vorinstanz in E. 2 des angefochtenen Entscheids eingehend auseinander. Zutreffend hielt sie fest, dass allfällige Aussagen des früheren Gemeindepräsidenten und des Abteilungsleiters Bau und Umwelt der Gemeinde keine genügende Vertrauensgrundlage bilden konnten, da diese dafür zwar federführend, aber nicht entscheidberechtigt gewesen waren und es sich bei den von ihnen getätigten Äusserungen damit nicht um vom zuständigen Gemeindeorgan ausgesprochene verbindliche Zusicherungen handeln konnte. Das war für die Beschwerdeführer ohne weiteres ersichtlich. Die Behauptung, sie hätten davon ausgehen dürfen, in einer Landgemeinde könnten mündliche bzw. per Handschlag abgewickelte Landgeschäfte als verbindlich erachtet werden, ist nicht glaubwürdig. Daran ändert nichts, dass ein möglicher Landabtausch und das weitere Vorgehen allenfalls in einem Plan fixiert wurden. Analoges gilt für die Aussage eines Baukommissionsmitglieds, die Gemeinde werde sich nicht dagegen wenden, wenn das Gartenhaus zur Sanierung der Mist- und Jauchegrube aufgestellt werde. Aus solchen singulären Aussagen einzelner Gemeindevertreter, die nicht oder jedenfalls nicht allein für einen Baubewilligungsentscheid
zuständig sind, lassen sich keine verbindlichen Zusicherungen für die Rechtmässigkeit von Bauten ableiten, die eine Berufung auf den Vertrauensgrundsatz ermöglichen.
4.4. Der angefochtene Entscheid verletzt mithin den Grundsatz von Treu und Glauben nicht.
5.
5.1. In der Sache behaupten die Beschwerdeführer nicht, der angefochtene Entscheid verstosse gegen das Raumplanungsrecht des Bundes oder wende das einschlägige kantonale Baurecht willkürlich an. Sie rügen im Wesentlichen einzig einen Verstoss gegen den allgemeinen rechtsstaatlichen Verhältnismässigkeitsgrundsatz nach Art. 5 Abs. 2
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 26 Garantie de la propriété - 1 La propriété est garantie. |
|
1 | La propriété est garantie. |
2 | Une pleine indemnité est due en cas d'expropriation ou de restriction de la propriété qui équivaut à une expropriation. |
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 36 Restriction des droits fondamentaux - 1 Toute restriction d'un droit fondamental doit être fondée sur une base légale. Les restrictions graves doivent être prévues par une loi. Les cas de danger sérieux, direct et imminent sont réservés. |
|
1 | Toute restriction d'un droit fondamental doit être fondée sur une base légale. Les restrictions graves doivent être prévues par une loi. Les cas de danger sérieux, direct et imminent sont réservés. |
2 | Toute restriction d'un droit fondamental doit être justifiée par un intérêt public ou par la protection d'un droit fondamental d'autrui. |
3 | Toute restriction d'un droit fondamental doit être proportionnée au but visé. |
4 | L'essence des droits fondamentaux est inviolable. |
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
|
1 | Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
2 | Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique. |
3 | L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale. |
4 | La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées. |
5.2. Das Verwaltungsgericht ging mit dem Baurekursgericht davon aus, dass die von der Gemeinde in der Baubewilligung ausgesprochenen Auflagen und Bedingungen rechtmässig seien. Soweit sie widersprüchlich seien, habe bereits das Baurekursgericht in seinem Entscheid Klarheit geschaffen.
5.3. Das Verwaltungsgericht prüfte durchaus, ob die den Beschwerdeführern gemachten baulichen Auflagen verhältnismässig waren, obwohl es diesen den guten Glauben grundsätzlich absprach. Der Hinweis auf das bundesgerichtliche Urteil 1C 415/2014 vom 1. Oktober 2015 vermag den Beschwerdeführern daher nicht zu helfen.
5.4. Mit der Vorinstanz erscheinen die den Beschwerdeführern gemachten Auflagen und Bedingungen aufgrund der Ausführungen des Baurekursgerichts klar und verständlich. Diese werden durch die Erwägungen im angefochtenen Entscheid zusätzlich verdeutlicht. Die Beschwerdeführer stellen im Wesentlichen einzig die Eignung der von ihnen verlangten baulichen Änderungen am Gartenhaus in Frage und verweisen auf die anfallenden Kosten. Insbesondere würde nach ihrer Auffassung die Holzkonstruktion durch die verlangten Anpassungen Schaden erleiden und die Statik sowie die Sicherheit der Baute würden dadurch beeinträchtigt. Dazu hatten die Beschwerdeführer vor dem Verwaltungsgericht ein Schreiben der Holzbauunternehmung eingereicht, die das Gartenhaus erstellt hatte, wonach der verlangte Rückbau "nicht sinnvoll" sei, was heisse, "die gesamte Konstruktion müsste abgeändert werden". Gestützt darauf konnte die Vorinstanz willkürfrei schliessen, das Gartenhaus lasse sich durchaus im verlangten Sinne anpassen, wenn auch nicht ohne Aufwand. Weshalb es Bundesrecht verletzen sollte, den Aufwand für den verfügten Rückbau den Beschwerdeführern aufzuerlegen, die das Gartenhaus ohne Baubewilligung erstellt hatten, wird von diesen nicht nachvollziehbar
aufgezeigt und ist auch nicht ersichtlich. Namentlich gibt es keine genügenden Anhaltspunkte für die Unverhältnismässigkeit bzw. Unzumutbarkeit der verlangten Anpassungen. Überdies mag es zwar zutreffen, dass die anfallenden Kosten durchaus mitberücksichtigt werden können. Es würde aber den Beschwerdeführern, die den Rechtsverstoss begangen haben, obliegen, unverhältnismässige, überhöhte Kosten zu belegen oder zumindest glaubhaft zu machen, soweit ihnen das möglich und zumutbar erscheint. Solche lediglich zu behaupten und im Übrigen auf den Untersuchungsgrundsatz zu verweisen und das Verwaltungsgericht anzuhalten, es müsse die Kosten von Amtes wegen durch eine Expertise ermitteln, genügt nicht. Die Beschwerdeführer zeigen denn auch nicht auf, mit welchen Summen zu rechnen wäre und weshalb solche gemessen an ihrem Fehlverhalten unverhältnismässig sein sollten. Sie hätten durchaus Zeit gehabt und es wäre ihnen zumutbar gewesen, dem Verwaltungsgericht wenigstens eine vorläufige Schätzung der behaupteten Kosten, wenn nicht sogar einen eigentlichen Kostenvoranschlag für den vom Baurekursgericht verlangten Rückbau einzureichen.
5.5. Die Beschwerdeführer beanstanden weiter, die Vorinstanz habe die öffentlichen Interessen sowie diejenigen der Nachbarschaft an der Sanierung der Mist- und Jauchegrube ungenügend berücksichtigt. Dieser Einwand geht an der Sache vorbei. Die fragliche Sanierung bzw. die Erstellung des Gartenhauses als solche wird von den Vorinstanzen nicht grundsätzlich in Frage gestellt. Sie wurde im Gegenteil bewilligt. Der Rückbau bezieht sich einzig darauf, dass sich Teile des Gartenhauses nicht nur zu nahe an der Grundstücksgrenze befinden, sondern diese teilweise sogar überragen. Darin liegt auch der Unterschied zur bisher von den Gemeindebehörden geduldeten Mist- und Jauchegrube, die zwar möglicherweise die Grenzabstände ebenfalls nicht einhielt, was aber nicht mit einer vorkragenden Dachkonstruktion eines Gartenhauses vergleichbar ist. Die Beschwerdeführer können sich daher für ihre Baute entgegen ihrer Auffassung nicht auf eine jahrelange Duldung des Unterschreitens des Grenzabstandes berufen. Im Übrigen zeigen die Beschwerdeführer nicht auf, inwiefern andere Nachbarn als die Gemeinde selbst von der strittigen Baute betroffen sein sollten. Sie machen im Gegenteil sogar geltend, die Gemeinde sei die "einzig minimal betroffene Person des
geringfügigen Regelverstosses". Damit anerkennen sie implizite das grundsätzliche öffentliche Interesse der Gemeinde am verfügten Rückbau sowie den Regelverstoss. Weder erscheint dieser so geringfügig noch das Interesse der Gemeinde so minimal, dass der verlangte Rückbau unverhältnismässig wäre.
5.6. Schliesslich mag es zwar zutreffen, wie die Beschwerdeführer behaupten, dass nicht von vornherein ausgeschlossen erscheint, die Rechtmässigkeit der Baute über einen Landabtausch mit Umzonung oder lediglich eine Umzonung für die betroffenen Grundstücke zu erwirken. Die Gemeinde war dazu aber nicht verpflichtet, zumal ein solcher Vorgang unter Umständen kompliziert sein kann und dabei noch andere Interessen zu berücksichtigen wären. Die Beschwerdeführer tun überdies nicht dar, inwiefern andere von der Gemeinde bewilligte bzw. durchgeführte Landabtäusche mit ihrem Fall vergleichbar sein sollten. Der von ihnen behauptete Verstoss gegen den Grundsatz der Rechtsgleichheit nach Art. 8 Abs. 1
![](media/link.gif)
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
|
1 | Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
2 | Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique. |
3 | L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale. |
4 | La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées. |
Beschwerdeführern insofern entgegen gekommen.
5.7. Im Ergebnis ist der angefochtene Entscheid weder unverhältnismässig noch rechtsungleich.
6.
Die Beschwerde erweist sich als unbegründet und ist abzuweisen.
Bei diesem Verfahrensausgang werden die unterliegenden Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren unter Solidarhaft kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés25. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
![](media/link.gif)
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden den Beschwerdeführern unter Solidarhaft auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Beschwerdeführern, dem Gemeinderat Niederhasli und dem Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 1. Abteilung, 1. Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 14. November 2016
Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Fonjallaz
Der Gerichtsschreiber: Uebersax