Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 606/2016
Urteil vom 13. Dezember 2016
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Ursprung, Bundesrichterin Heine,
Gerichtsschreiberin Durizzo.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Philip Stolkin,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung
(Invalidenrente; Integritätsentschädigung),
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 29. Juni 2016.
Sachverhalt:
A.
A.________, geboren 1955, arbeitete als Prozessoperator bei der B.________ AG und war bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) für die Folgen von Berufs- und Nichtberufsunfällen sowie Berufskrankheiten versichert. Gemäss Unfallmeldung habe er bei der Arbeit in der Nachtschicht am 13. April 2012 ein Fass auf einer Palette gerade rücken wollen, das gekippt sei. Dabei kam es zu einem unvermittelten starken Schmerz in der linken Schulter. Die Ärzte des Spitals C.________, wo er noch in der gleichen Nacht notfallmässig untersucht wurde, diagnostizierten nach bildgebenden Abklärungen eine Ruptur der langen Bicepssehne und verordneten Schmerzmedikamente und Physiotherapie. Nachdem keine Besserung eintrat, konsultierte A.________ Dr. med. D.________, Facharzt FMH für Chirurgie, welcher am 9. November 2012 operierte (offene Revision des Biceps mit subpectoraler Tenodese, Bursektomie, Acromioplastik). Die Beschwerden hielten in der Folge jedoch an. Die SUVA liess den Versicherten in der Klinik E.________ untersuchen, wo eine Rotatorenmanschettenruptur diagnostiziert wurde (Bericht vom 20. Januar 2014). Nach der kreisärztlichen Untersuchung vom 16. April 2014 erachtete Dr. med. F.________ die Rotatorenmanschettenverletzung
als nicht unfallbedingt, zum einen weil nach dem Ereignis vom 13. April 2012 keine entsprechenden Befunde erhoben worden seien und zum anderen weil der Unfallhergang nicht zu einer solchen Verletzung habe führen können. Unter Berücksichtigung allein der Unfallfolgen, also des Abrisses der langen Bicepssehne, bestehe für leichte bis mittelschwere Tätigkeiten (mit Heben und Tragen von Gewichten von 20 bis 25 Kilogramm bis Lendenhöhe, über Schulterhöhe bis zehn Kilogramm) wieder eine volle Arbeitsfähigkeit. Ein Arbeitsversuch beim angestammten Arbeitgeber mit leichter Tätigkeit scheiterte jedoch am 21. Mai 2014. Mit Verfügung vom 21. Juli 2014 und Einspracheentscheid vom 5. März 2015 sprach die SUVA A.________ ab dem 1. September 2014 eine Invalidenrente bei einer Erwerbsunfähigkeit von 21 Prozent zu. Den Anspruch auf eine Integritätsentschädigung lehnte sie mangels Erheblichkeit des Integritätsschadens ab.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 29. Juni 2016 ab.
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Antrag, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides sei ihm eine Rente basierend auf einem Invaliditätsgrad von 100 Prozent zu gewähren, eventualiter sei die Sache zu weiteren Abklärungen an die Vorinstanz zurückzuweisen. Er ersucht um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege.
Das Bundesgericht hat die vorinstanzlichen Akten eingeholt und verzichtet auf einen Schriftenwechsel.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Das kantonale Gericht hat die für den Rentenanspruch und die Integritätsentschädigung massgeblichen Bestimmungen und Grundsätze zutreffend dargelegt. Es wird darauf verwiesen.
3.
Das kantonale Gericht stützte sich bei seiner Beurteilung insbesondere auf die Einschätzung des med. pract. G.________, Facharzt für Chirurgie, SUVA Abteilung Versicherungsmedizin, vom 10. März 2016, welche die SUVA mit ihrer Stellungnahme im vorinstanzlichen Verfahren zu dem vom Versicherten eingereichten Bericht des Dr. med. D.________ vom 29. Januar 2015 abgegeben hatte. Bei der Bestimmung der zumutbaren Restarbeitsfähigkeit berücksichtigte es allein die Beeinträchtigungen, welche durch die Schädigung der Bicepssehne verursacht wurden. Mit der SUVA ging es von einem Valideneinkommen von 79'300 Franken aus, welches unbeanstandet geblieben war. Das Invalideneinkommen hatte die SUVA anhand ihrer Dokumentation über Arbeitsplätze (DAP) bemessen (BGE 129 V 472; 139 V 592) und auf 62'613 Franken festgesetzt. Das kantonale Gericht zog zum Vergleich den Tabellenlohn der Lohnstrukturerhebung des Bundesamts für Statistik (LSE) 2012 nach Tabelle TA1 für einfache Tätigkeiten körperlicher oder handwerklicher Art (Kompetenzniveau 1) im Bereich verarbeitendes Gewerbe und Herstellung von Waren (Ziffern 10 bis 33) heran und ermittelte für das Jahr 2014 einen Lohn von 68'055 Franken. Der DAP-Lohn sei damit nicht zu beanstanden. Das kantonale
Gericht bestätigte deshalb den von der SUVA berechneten Invaliditätsgrad von 21 Prozent.
4.
4.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, die Schädigungen an der Rotatorenmanschette seien durch den erlittenen Unfall verursacht worden, und beruft sich auf die Stellungnahme seines behandelnden Arztes Dr. med. D.________ vom 29. Januar 2015, welcher diesbezüglich den Einschätzungen der SUVA-Kreisärzte widerspricht. Darauf könne mit Rücksicht auf den Grundsatz der Waffengleichheit beziehungsweise das Anstellungsverhältnis der SUVA-Ärzte nicht abgestellt werden.
4.2. Den Berichten versicherungsinterner medizinischer Fachpersonen hat die Rechtsprechung stets Beweiswert zuerkannt, sofern keine auch nur geringen Zweifel an ihrer Zuverlässigkeit bestehen (BGE 139 V 225 E. 5.2 S. 229; 135 V 465 E. 4.4 S. 469 f.; 125 V 351 E. 3b/ee S. 353 f). Nach den vorinstanzlichen Erwägungen hat med. pract. G.________ die Stellungnahme des behandelnden Arztes Dr. med. D.________ nachvollziehbar widerlegt und bestanden keine auch nur geringen Zweifel an dieser internen Beurteilung der SUVA.
Dabei war für das kantonale Gericht namentlich ausschlaggebend, dass die bildgebenden Abklärungen, welche im Anschluss an den Unfall veranlasst wurden, keine Rupturen an der Rotatorenmanschette zeigten und auch anlässlich der von Dr. med. D.________ am 9. November 2012 durchgeführten Arthroskopie keine solchen Schädigungen entdeckt worden seien.
Als massgeblich erachtete es die Vorinstanz auch, dass med. pract. G.________ seine Schlussfolgerungen mit Hinweis auf die Lehre begründete. So verwies der SUVA-Arzt insbesondere darauf, dass die Sonographie, wie sie im Spital C.________ unmittelbar nach dem Unfall durchgeführt worden war, eine sichere Methode in der Primärdiagnostik einer Läsion der Rotatorenmanschette darstelle, und dass damals eine degenerativ veränderte, aber intakte Rotatorenmanschette festgestellt worden sei. Als typisches Zeichen einer akuten traumatischen Verletzung der Rotatorenmanschette gelte nach der Lehre zur Begutachtung von Läsionen der Rotatorenmanschette beziehungsweise zur orthopädisch-unfallchirurgischen Begutachtung eine Pseudoparalyse ("drop-arm-sign"), welche Dr. med. D.________ bei seiner Erstkonsultation am 8. Mai 2012 nicht habe feststellen können. Eine übermässige Spannung an den Muskeln der Rotatorenmanschette, die zu Sehnenrissen (an den Sehnen des musculus teres minor, infraspinatus, supraspinatus und subscapularis) führen könne, sei nach der Lehre nur für einige wenige Mechanismen bestätigt, zum Beispiel für einen Sturz auf den nach hinten ausgestreckten Arm für eine Schulterluxation. Dr. med. D.________ hingegen führte nicht weiter
aus, weshalb die Partialruptur der Supraspinatussehne gelenkseitg praktisch immer posttraumatischer Natur sei. Während nach Dr. med. D.________ die Verfettung ersten Grades der Muskulatur mit höchster Wahrscheinlichkeit gegen eine degenerative Rupturentstehung spreche, führte der SUVA-Arzt wiederum unter Hinweis auf die Lehre zur Begutachtung solcher Schädigungen aus, dass es für die Beurteilung der Kausalität nicht wesentlich sei, ob zu einem späteren Zeitpunkt eine Muskelverfettung vorlag; die vermehrte Einlagerung von Fettzellen in den Muskel sei Ausdruck eines verminderten Gebrauchs. Dr. med. D.________ verwies im Übrigen auf die Beurteilung durch Prof. Dr. med. H.________, Klinik E.________, in dessen Stellungnahme vom 20. Januar 2014 sich jedoch keine Angaben zur Kausalität fanden.
Insgesamt gelangte das kantonale Gericht zum Schluss, dass die Beurteilung des med. pract. G.________ den erhöhten Anforderungen, die an versicherungsinterne Arztberichte gestellt werden, genüge (BGE 135 V 465 E. 4.5 S. 470) und dass gestützt darauf mit überwiegender Wahrscheinlichkeit von einem relevanten Vorschaden beziehungsweise einem altersentsprechenden Verschleissleiden und nicht von einer unfallbedingten Schädigung auszugehen sei.
4.3. Der Beschwerdeführer will die Einschätzung des med. pract. G.________ unter Hinweis darauf entkräften, dass es sich dabei um einen Aktenbericht handle. Dies allein spricht nicht grundsätzlich gegen den Beweiswert der Einschätzung des med. pract. G.________ (SZS 2008 S. 393, I 1094/06 E. 3.1.1 in fine; Urteil U 260/04 vom 12. Oktober 2005 E. 5b mit Hinweis auf Urteil 10/87 vom 29. April 1988 E. 5b, nicht publ. in: BGE 114 V 109, aber in: RKUV 1988 Nr. U 56 S. 366), zumal nicht die bildgebend erhobenen Befunde streitig waren, sondern die Frage nach der Unfallkausalität dieser Schädigungen, welche med. pract. G.________ gestützt auf die medizinische Lehre geklärt hat. Inwiefern sich aus der Rechtsprechung zur Zulässigkeit eines psychiatrischen Aktengutachtens im Strafverfahren (BGE 127 I 54) zu Gunsten des Beschwerdeführers etwas anderes ableiten liesse, wird nicht näher ausgeführt.
Nach der Rechtsprechung ist schliesslich eine schweizerische Ausbildung beziehungsweise der FMH-Facharzttitel nicht Bedingung für die Eignung einer Ärztin oder eines Arztes als Gutachtensperson in einer bestimmten medizinischen Disziplin; eine Fachausbildung kann auch im Ausland erworben werden (BGE 137 V 210 E. 3.3.2 S. 246; Urteile 8C 997/2010 vom 10. August 2011 E. 2.4; 8C 253/2010 vom 15. September 2010 E. 5.2; 9C 270/2008 vom 12. August 2008 E. 3.3; 2 S. 13 Ziff. 41).
Der Beschwerdeführer bringt damit insgesamt nichts vor, was zu einer anderen Beurteilung der Unfallkausalität führen müsste, und die anbegehrten weiteren Abklärungen sind nicht angezeigt. Mit dem kantonalen Gericht ist auf die nachvollziehbar begründeten und mit Hinweisen auf die Lehre belegten Angaben des med. pract. G.________ abzustellen.
5.
Der Versicherte hat seit dem Unfall keine Erwerbstätigkeit mehr aufgenommen. Nach der Rechtsprechung ist ihm deshalb ein hypothetisches Invalideneinkommen anzurechnen, das gestützt auf die LSE-Tabellenlöhne oder auf die DAP-Zahlen der SUVA zu ermitteln ist (BGE 142 V 178 E. 2.5.7 S. 188; 139 V 592 E. 2.3 S. 593 f.; 135 V 297 E. 5.2 S. 301). Der Beschwerdeführer rügt, es sei damit nicht zu beweisen, dass er einen entsprechenden Lohn verdienen könnte, weil die entsprechenden Stellen gar nicht offen seien und es sich bei der LSE um eine Fiktion handle. Seiner Ansicht nach ist auf ein Einkommen nach (nicht näher genannten) gesamtarbeitsvertraglichen Vorgaben abzustellen, und er macht einen Lohn von höchstens 2'700 bis 3'500 Franken geltend. Er begründet jedoch nicht näher, weshalb er nur noch eine deutlich schlechter bezahlte Tätigkeit auszuüben vermöchte als von SUVA und Vorinstanz angenommen. Es bestehen keine Anhaltspunkte dafür und wird auch beschwerdeweise nicht ausgeführt, dass die von der SUVA ausgesuchten DAP-Verweistätigkeiten den Beschwerden des Versicherten nicht angepasst wären oder inwiefern er aus anderen Gründen nicht in der Lage wäre, den daraus ermittelten Durchschnittslohn zu erzielen. Gleiches gilt hinsichtlich des
von der Vorinstanz berücksichtigten statistischen Einkommens, mit welchem sie den DAP-Lohn verifiziert hat (vgl. in BGE 133 V 545 nicht publizierte E. 5.1 des Urteils 9C 237/2007 vom 24. August 2007; Urteil I 289/01 vom 19. Oktober 2001 E. 3c). Es kann deshalb mit SUVA und Vorinstanz auf die DAP-Blätter abgestellt werden. Der Einkommensvergleich wird im Übrigen nicht beanstandet und gibt keinen Anlass zu Weiterungen.
6.
Der Beschwerdeführer macht einen gesetzlichen Anspruch auf eine Integritätsentschädigung geltend und rügt, dass sich SUVA und Vorinstanz geweigert hätten, eine solche Entschädigung zu bemessen, weil die SUVA-Tabelle 1 (Integritätsschaden bei Funktionsstörungen an den oberen Extremitäten) keine seiner Verletzung entsprechende Schädigung aufführe.
Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen über die Anspruchsvoraussetzungen und die Höhe der Integritätsentschädigung (Art. 24
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
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1 | Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
2 | L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 25 Montant - 1 L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est allouée sous forme de prestation en capital. Elle ne doit pas excéder le montant maximum du gain annuel assuré à l'époque de l'accident et elle est échelonnée selon la gravité de l'atteinte à l'intégrité. |
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1 | L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est allouée sous forme de prestation en capital. Elle ne doit pas excéder le montant maximum du gain annuel assuré à l'époque de l'accident et elle est échelonnée selon la gravité de l'atteinte à l'intégrité. |
2 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur le calcul de l'indemnité. |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 36 - 1 Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87 |
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1 | Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87 |
2 | L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est calculée selon les directives figurant à l'annexe 3. |
3 | En cas de concours de plusieurs atteintes à l'intégrité physique, mentale ou psychique, dues à un ou plusieurs accidents, l'indemnité pour atteinte à l'intégrité est fixée d'après l'ensemble du dommage.88 L'indemnité totale ne peut dépasser le montant maximum du gain annuel assuré. Il est tenu compte, dans le taux d'indemnisation, des indemnités déjà reçues en vertu de la loi. |
4 | Il sera équitablement tenu compte des aggravations prévisibles de l'atteinte à l'intégrité. Une révision n'est possible qu'en cas exceptionnel, si l'aggravation est importante et n'était pas prévisible.89 |
5 | L'assuré qui, dans le cadre d'une maladie professionnelle, développe un mésothéliome ou d'autres tumeurs dont l'évolution est tout aussi défavorable en termes de survie a droit à une indemnité pour atteinte à l'intégrité physique dès l'apparition de la maladie.90 |
Das kantonale Gericht hat erwogen, dass beim Beschwerdeführer allein eine gewisse Schwäche des Bicepssehnenmuskels als Unfallfolge zu berücksichtigen sei, welche nach ärztlicher Einschätzung nicht zu einer Integritätsentschädigung berechtige. Mit Blick auf die in Anhang 3 zur UVV und in der SUVA-Tabelle 1 aufgeführten Schädigungen sei der unfallbedingte Zustand am linken Schultergelenk am ehesten mit einer leichten Form einer Periarthrosis humeroscapularis zu vergleichen, mit welcher jedoch die Erheblichkeitsgrenze für eine Entschädigung nicht erreicht sei. Mit dieser überzeugenden Begründung setzt sich der Beschwerdeführer nicht auseinander. Seinem Einwand der Rechtsverweigerung kann deshalb nicht gefolgt werden und die beantragten weiteren Abklärungen erübrigen sich.
7.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Dem Beschwerdeführer wird die unentgeltliche Rechtspflege gewährt und Rechtsanwalt Philip Stolkin wird als unentgeltlicher Anwalt bestellt.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt, indes vorläufig auf die Bundesgerichtskasse genommen.
4.
Dem Rechtsvertreter des Beschwerdeführers wird aus der Bundesgerichtskasse eine Entschädigung von Fr. 2'800.- ausgerichtet.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 13. Dezember 2016
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Durizzo