Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
1C 703/2020
Urteil vom 13. Oktober 2022
I. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Chaix, präsidierendes Mitglied,
Bundesrichterin Jametti,
Bundesrichter Merz,
Gerichtsschreiber Hahn.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführerin,
gegen
B.________ AG,
Beschwerdegegnerin,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Stefan Eichenberger,
Bau- und Gastgewerbeinspektorat Basel-Stadt, Münsterplatz 11, 4051 Basel.
Gegenstand
Neubau Antennenanlage für Mobilkommunikation mit Technik-Container,
Beschwerde gegen das Urteil vom 14. Oktober 2020
des Appellationsgerichts des Kantons Basel-Stadt als Verwaltungsgericht, Dreiergericht (VD.2019.136, VD.2019.137, VD.2019.141, VD.2019.142, VD.2019.147, VD.2019.148).
Sachverhalt:
A.
Mit Baugesuch vom 14. Februar 2018 ersuchte die B.________ AG das Bau- und Gastgewerbeinspektorat des Kantons Basel-Stadt um Bewilligung der Errichtung einer Mobilfunkanlage auf der Liegenschaft P.________gasse in der Stadt Q.________. Während der Auflagefrist gingen verschiedene Einsprachen ein, unter anderem jene von A.________.
Mit Bauentscheid vom 1. Februar 2019 erteilte das Bau- und Gastgewerbeinspektorat der B.________ AG die Baubewilligung unter Auflagen und Nebenbestimmungen. Die Einsprachen wurden mit separatem Entscheid vom gleichen Tag abgewiesen. Die dagegen erhobenen Rekurse, darunter auch jener von A.________, wies die Baurekurskommission des Kantons Basel-Stadt mit Entscheid vom 29. Mai 2019 ab. Gegen den Rekursentscheid erhob u.a. A.________ Beschwerde an das Appellationsgericht, als Verwaltungsgericht, des Kantons Basel-Stadt. Nach der Durchführung eines Augenscheins und einer mündlichen Verhandlung wies dieses die Beschwerden mit Urteil vom 14. Oktober 2020 ab.
B.
Mit Eingabe vom 14. Dezember 2020 führt A.________ Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten an das Bundesgericht mit dem Antrag, das Urteil des Appellationsgerichts vom 14. Oktober 2020 sei aufzuheben. In prozessualer Hinsicht sei der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu erteilen.
Die B.________ AG und das Bau- und Gastgewerbeinspektorat schliessen auf Abweisung der Beschwerde. Die Vorinstanz hat auf eine Vernehmlassung verzichtet. Mit Stellungnahme vom 14. Juni 2021 teilt das zur Vernehmlassung eingeladene Bundesamt für Umwelt (BAFU) mit, dass der angefochtene Entscheid seines Erachtens mit der Umweltschutzgesetzgebung des Bundes in Übereinstimmung stehe. Das Bundesamt für Kultur (BAK) hat sich mit Stellungnahme vom 17. August 2022 vernehmen lassen. A.________ hält mit Eingabe vom 12. Oktober 2021 an ihren Anträgen fest und äussert sich zu den eingegangenen Stellungnahmen.
C.
Mit verfahrensleitender Verfügung vom 22. Januar 2021 wies der Präsident der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung des Bundesgerichts das Gesuch um Erteilung der aufschiebenden Wirkung ab.
Erwägungen:
1.
Gegen den angefochtenen, kantonal letztinstanzlichen Endentscheid im Bereich des Baurechts steht die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten offen (vgl. Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
Die übrigen Sachurteilsvoraussetzungen geben zu keinen Bemerkungen Anlass. Auf die Beschwerde ist grundsätzlich einzutreten.
2.
2.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann geltend gemacht werden, der angefochtene Entscheid verletze Bundesrecht, Völkerrecht oder kantonale verfassungsmässige Rechte (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil weiter den von der Vorinstanz festgestellten Sachverhalt zugrunde (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Die Beschwerdeführerin rügt verschiedentlich eine offensichtlich unrichtige bzw. willkürliche vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung. Die hinreichend begründeten und potenziell entscheidwesentlichen Sachverhaltsrügen werden nachfolgend im geeigneten Sachzusammenhang behandelt.
2.3. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen vor Bundesgericht nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Die Beschwerdeführerin hat ihrer Vernehmlassung vom 12. Oktober 2021 erstmals Zeitungsartikel beigelegt, die Hinweise auf die geplante Abschaltung des 2G- und 3G-Netzes durch die Mobilfunkanbieter in der Schweiz liefern. Ein weiterer Zeitungsbeitrag thematisiert einen bauästhetischen Einordnungsentscheid der Vorinstanz betreffend eine Mobilfunkantenne in der Stadt Basel aus dem Jahr 2012. Die Beschwerdeführerin zeigt nicht auf, aus welchen Gründen diese erstmals ins Recht gelegten Tatsachen und Beweismittel nach Massgabe von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
3.
Die Beschwerdeführerin beantragt die Durchführung eines Augenscheins durch das Bundesgericht. Da sich der für den vorliegenden Entscheid massgebende Sachverhalt mit hinreichender Klarheit aus den umfangreichen kantonalen Akten sowie dem vorinstanzlichen Augenschein- und Verhandlungsprotokoll ergibt, ist dieser Antrag abzuweisen. Die Beschwerdeführerin legt überdies auch nicht substanziiert dar, inwiefern die Abnahme weiterer Beweise zusätzliche entscheidwesentliche Erkenntnisse liefern könnte.
4.
Die Beschwerdeführerin rügt in verschiedener Hinsicht eine Verletzung der Begründungspflicht durch die Vorinstanz (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Unter dem Aspekt des rechtlichen Gehörs ist es auch nicht zu beanstanden, wenn das Bundesamt für Kultur (BAK) als Bundesbehörde erst im bundesgerichtlichen Verfahren zur Vernehmlassung eingeladen wurde. Der Beschwerdeführerin erwuchs dadurch kein Rechtsnachteil, konnte sie sich doch, wie die übrigen Verfahrensbeteiligten auch, umfassend zur Stellungnahme des BAK äussern.
5.
Das umstrittene Bauvorhaben betrifft die Installation einer Mobilfunkanlage auf der in der Zone 4 liegenden Wohnliegenschaft an der P.________gasse in Q.________. Das Gebäude befindet sich im Eigentum (Finanzvermögen) des Kantons Basel-Stadt. Die Mobilfunkanlage ist auf dem Flachdach der bestehenden Wohnliegenschaft vorgesehen, wobei sie an einem von allen Gebäudeseiten zurückversetzten Liftaufbau angebracht werden soll. Die Mobilfunkantenne soll den bestehenden Liftaufbau von 2.25 m um rund 6 m überragen.
5.1. In der Sache macht die Beschwerdeführerin in einer ersten Rüge geltend, das Bauvorhaben widerspreche der Immobilienstrategie für das Finanzvermögen des Kantons Basel-Stadt vom 15. Mai 2007 (nachfolgend: Immobilienstrategie). Nach deren Anhang Ad. Ziff. 2.4 seien Wohnliegenschaften im Finanzvermögen des Kantons von einer Bewilligungsmöglichkeit für die Neuerstellung von Mobilfunkanlagen ausgenommen. Angesichts des klaren Gesetzeswortlauts und der Tatsache, dass die Bestimmung im Rahmen der letzten Revision der Immobilienstrategie vom 23. Mai 2017 unverändert beibehalten worden sei, verfalle die Vorinstanz in Willkür, wenn sie das auf einer im Finanzvermögen des Kantons liegenden Wohnliegenschaft geplante Bauvorhaben dennoch als bewilligungsfähig beurteile.
5.2. Gemäss der ständigen Praxis des Bundesgerichts ist ein Entscheid willkürlich, wenn er offensichtlich unhaltbar ist, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht, eine Norm oder einen unumstrittenen Rechtsgrundsatz krass verletzt oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwiderläuft. Das Bundesgericht hebt einen Entscheid jedoch nur auf, wenn nicht bloss die Begründung, sondern auch das Ergebnis unhaltbar ist; dass eine andere Lösung ebenfalls als vertretbar oder gar zutreffender erscheint, genügt nicht (BGE 144 I 170 E. 7.3; 141 I 70 E. 2.2; Urteil 1C 93/2020 vom 19. Juni 2020 E. 4.1, je mit Hinweisen).
5.3. Soweit hier interessierend lautet Ad. Ziff. 2.4 des Anhangs der Immobilienstrategie wie folgt:
--..] Die Notwendigkeit für die Neuerstellung oder die Anpassung der Sendeleistung bereits bestehender Mobilfunkanlagen und -antennen wird kritisch geprüft. An neuen Standorten ist eine Bewilligung möglich für Anlagen mit einer gesamten Sendeleistung (ERP) unter 6 Watt und für Funknetze mit für den Kanton strategischem Charakter. Von dieser Bewilligungsmöglichkeit ausgenommen sind Wohnliegenschaften [...]"
5.4. Unter den Verfahrensbeteiligten besteht zu Recht Einigkeit, dass es sich bei der Immobilienstrategie des Kantons Basel-Stadt um eine Verwaltungsverordnung handelt. Im Gegensatz zu Rechtsverordnungen statuieren Verwaltungsverordnungen keine neuen Rechte und Pflichten für Private, sind aber insofern von Bedeutung, als sie Gewähr für eine einheitliche und rechtsgleiche Verwaltungspraxis - insbesondere im Ermessensbereich der Behörde - bieten (Urteil 1C 121/2019 vom 23. Juli 2019 E. 3.2, vgl. auch HÄFELIN/MÜLLER/UHLMANN, Allgemeines Verwaltungsrecht, 8. Aufl. 2020, Rz. 83 ff.; TSCHANNEN/ZIMMERLI/MÜLLER, Allgemeines Verwaltungsrecht, 4. Aufl. 2014, § 41 Rz. 16). Zwar ist das Bundesgericht wie andere rechtsanwendende Behörden nicht an Verwaltungsverordnungen gebunden (BGE 144 III 353 E. 2.2; 142 II 182 E. 2.3.1; Urteil 1C 121/2019 vom 23. Juli 2019 E. 3.2). Von einer rechtmässigen Verwaltungsverordnung ist jedoch nicht ohne triftigen Grund abzuweichen, wenn deren generell-abstrakter Gehalt eine dem individuell-konkreten Fall angepasste und gerecht werdende Auslegung der massgebenden Rechtssätze zulässt, welche diese überzeugend konkretisiert (Urteile 2C 544/2020 vom 29. April 2021 E. 5.5.1; 1C 121/2019 vom 23. Juli 2019 E. 3.2).
5.5. Die massgebende Gesetzesbestimmung für die Beurteilung der Frage, ob die streitbetroffene Liegenschaft als Standort für den Bau einer Mobilfunkanlage in Frage kommen kann, ist gemäss den unbestritten gebliebenen Ausführungen der Vorinstanz § 19c des Umweltschutzgesetzes des Kantons Basel-Stadt vom 13. März 1991 (USG/BS; SG 780.100). Danach wirkt der Kanton im Rahmen seiner Möglichkeiten auf eine optimale Koordination der Mobilfunkstandorte hin mit dem Ziel, die Immissionen durch nichtionisierende Strahlung im Sinne des vorsorglichen Gesundheitsschutzes möglichst gering zu halten.
5.6. Die Vorinstanz hielt fest, bei § 19c USG/BS handle es sich um eine allgemein gehaltene und konkretisierungsbedürftige Gesetzesbestimmung. Zur Ergründung ihres Regelungsgehalts erwog die Vorinstanz deshalb, § 19c USG/BS sei im Rahmen der Volksabstimmung vom 13. Juni 2011 mit der Gutheissung des Gegenvorschlags zur kantonalen Initiative "gegen den Mobilfunkantennen-Wildwuchs" angenommen worden. Zur Umsetzung dieser Gesetzesänderung habe der Regierungsrat am 18. Dezember 2012 beschlossen, dass es den Mobilfunkbetreibern ab Anfang 2013 im Grundsatz möglich sein soll, sämtliche Liegenschaften des Kantons Basel-Stadt und der Einwohnergemeinde Basel-Stadt als Standorte für Mobilfunkanlagen zu nutzen. Das sogenannte "Moratorium", welches eine Nutzung der kantonseigenen Liegenschaften für die Installation von Mobilfunkanlagen nur sehr beschränkt erlaubt habe, sei deshalb aufgehoben worden, um das nunmehr gesetzlich verankerte Ziel einer besseren Koordination der Mobilfunkstandorte zur Verbesserung des Gesundheitsschutzes im Sinne von § 19c USG/BS leichter erreichen zu können. Nach der Auffassung des Regierungsrats sei diese Massnahme insbesondere deshalb angezeigt gewesen, weil aus Sicht des Immissions- bzw. Gesundheitsschutzes ein
feinmaschiges Netz mit mehreren Antennen mit geringerer Leistung pro Basisstation einem grobmaschigen Netz mit hoher Sendeleistung vorzuziehen sei. Mit dem zur Verfügung stellen seiner Liegenschaften für die Installation von Mobilfunkantennen könne der Kanton somit seinen Beitrag zur Optimierung des Mobilfunknetzes leisten (vgl. Bericht des Regierungsrats zur Initiative "gegen den Mobilfunkantennen-Wildwuchs" und zur "Mobilfunk-Policy Basel-Stadt" vom 11. Februar 2009 S. 16 f. und S. 29).
In Anbetracht der Entstehungsgeschichte und der Gesetzesmaterialien - so die Vorinstanz - sei § 19c USG/BS dergestalt auszulegen, dass auch die Liegenschaften im Eigentum des Kantons als mögliche Standorte für die Installation von Mobilfunkanlagen zur Verfügung stünden. Dementsprechend erkläre auch Ziff. 1 der Regelung des Regierungsrats für Mobilfunksendeanlagen auf Liegenschaften der Einwohnergemeinde der Stadt Basel und des Kantons Basel-Stadt vom 18. Dezember 2012 (nachfolgend: Regelung für Mobilfunksendeanlagen) grundsätzlich sämtliche Liegenschaften im Finanz- und Verwaltungsvermögen des Kantons sowie der Einwohnergemeinde Basel-Stadt zu möglichen Mobilfunkstandorten. Angesichts dieser bei der Einführung von § 19c USG/BS verfolgten klaren Regelungsabsicht des Kantons stelle die anderslautende Vorgabe gemäss Anhang ad. Ziff. 2.4 der Immobilienstrategie, wonach Wohnliegenschaften im Finanzvermögen des Kantons von einer Bewilligungsmöglichkeit für die Neuerstellung von Mobilfunkanlagen ausgenommen seien, keine taugliche Konkretisierung der hier massgebenden Gesetzesgrundlage dar. Folglich sei die Immobilienstrategie für die kantonalen Baubewilligungsbehörden nicht bindend und könne die Beschwerdeführerin aus ihr keine Rechte zu
ihren Gunsten ableiten, auch wenn der Wortlaut von Anhang ad. Ziff. 2.4 im Rahmen der letzten Revision vom 23. Mai 2017 unverändert beibehalten worden sei.
5.7. Was die Beschwerdeführerin gegen diese vorinstanzliche Beurteilung vorbringt, ist nicht geeignet, die von der Vorinstanz vorgenommene Auslegung und Anwendung des massgebenden kantonalen Rechts als willkürlich erscheinen zu lassen. § 19c USG/BS verlangt, dass der Kanton im Rahmen seiner Möglichkeiten auf eine optimale Koordination der Mobilfunkstandorte hinwirkt, damit die Immissionen durch nichtionisierende Strahlung im Sinne des vorsorglichen Gesundheitsschutzes möglichst gering gehalten wird. Es erweist sich bereits angesichts des Wortlauts der Bestimmung nicht als unhaltbar, wenn die Vorinstanz darauf schloss, das vom Gesetzgeber vorgegebene Ziel einer optimalen Koordination des kantonalen Mobilfunknetzes bedinge, dass der Kanton grundsätzlich auch die in seinem Finanz- und Verwaltungsvermögen stehenden Liegenschaften für die Installation von Mobilfunkanlagen zur Verfügung stelle. Mit Blick auf die unbestritten gebliebenen vorinstanzlichen Erwägungen zur Entstehungsgeschichte von § 19c USG/BS erscheint es vielmehr folgerichtig zu sein, dass der Kanton zur Umsetzung der Vorgaben von § 19c USG/BS sein früheres Moratorium betreffend den Bau von Mobilfunkantennen auf den kantonseigenen Liegenschaften aufhob, um dadurch mehr
potentielle Standorte für Mobilfunkantennen zu schaffen. Dies gilt umso mehr, als der Regierungsrat im Rahmen seines Berichts zur Initiative "gegen den Mobilfunkantennen-Wildwuchs" vom 10. Februar 2009 (vgl. vorne E. 5.6) betonte, aus Sicht des Immissions- und Gesundheitsschutzes sei ein feinmaschiges Netz mit mehreren Antennen mit geringerer Sendeleistung pro Basisstation einem grobmaschigen Netz mit wenigen leistungsstarken Antennen vorzuziehen.
Wie die Vorinstanz plausibel darlegt, steht die Regelung in Anhang Ad. Ziff. 2.4 der Immobilienstrategie diesen Vorgaben von § 19c USG/BS diametral entgegen, da sie die kantonseigenen Wohnliegenschaften als Standorte für Mobilfunkantennen ausnimmt, was die Optimierung des Mobilfunknetzes erschwert. Es trifft zwar zu, dass diese Bestimmung, wie von der Beschwerdeführerin vorgebracht, anlässlich der letzten Revision der Immobilienstrategie vom 23. Mai 2017 unverändert beibehalten wurde. Unabhängig davon steht sie nach dem Dargelegten jedoch nicht in Einklang mit § 19c USG/BS und kann sie folglich nicht als überzeugende Konkretisierung der hier massgebenden gesetzlichen Vorgaben betrachtet werden. Nachdem es sich bei der Immobilienstrategie um eine Verwaltungsverordnung handelt, hält es damit vor Bundesrecht stand, wenn die Vorinstanz deren Anhang bei der Beurteilung der Bewilligungsfähigkeit der geplanten Mobilfunkanlage nicht berücksichtigte. Die Beschwerde erweist sich insoweit als unbegründet.
5.8. Die Beschwerdeführerin macht weiter geltend, unter Hinweis auf die Regelung in Anhang Ad. Ziff. 2.4 der Immobilienstrategie hätten die kantonalen Behörden in einem vergleichbaren Fall in der Stadt Basel die Erteilung einer Baubewilligung für die Installation einer Mobilfunkantenne verweigert. Die Nichtanwendung der Immobilienstrategie auf die vorliegend strittige Anlage sei daher rechtswidrig. Da die kantonalen Behörden nach den vorstehenden Erwägungen die Immobilienstrategie bei der Beurteilung der Bewilligungsfähigkeit der hier strittigen Mobilfunkantenne nicht berücksichtigten, verlangt die Beschwerdeführerin mit ihrer Rüge eine Gleichbehandlung im Unrecht. Ein Anspruch darauf ist vorliegend jedoch bereits deshalb ausgeschlossen, weil die Beschwerdeführerin mit der Anrufung eines einzigen Referenzfalls keine ständige gesetzeswidrige Behördenpraxis nachweisen kann (vgl. zum Grundsatz der Gleichbehandlung im Unrecht statt vieler: BGE 146 I 105 E. 5.3.1). Demnach war die Vorinstanz auch nicht gehalten, die Akten dieses früheren Baubewilligungsverfahrens zu edieren, um zu überprüfen, ob dieser Fall mit den vorliegend gegebenen Umständen im Wesentlichen übereinstimmt. Entgegen den insoweit ohnehin nicht näher substanziierten
Rügen der Beschwerdeführerin ist darin weder eine unvollständige Sachverhaltsfeststellung noch eine Verletzung des rechtlichen Gehörs zu sehen (vgl. zur antizipierten Beweiswürdigung BGE 141 I 60 E. 3.3; 136 I 229 E. 5.3).
6.
6.1. Die Beschwerdeführerin macht weiter geltend, sie sei in ihrem Vertrauen auf den Fortbestand der auf der Internetseite von Immobilien Basel-Stadt publizierten Immobilienstrategie und der darin enthaltenen Regelung, wonach auf Wohnliegenschaften im Finanzvermögen des Kantons Basel-Stadt keine Mobilfunkantennen zulässig seien, zu schützen.
6.2. Der Grundsatz von Treu und Glauben (Art. 5 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
E. 5.2.1; 141 I 161 E. 3.1).
6.3. Vorliegend beruft sich die Beschwerdeführerin nicht auf eine ihr erteilte Zusicherung oder behördliche Auskunft, sondern auf die Immobilienstrategie, welche auf der Webseite von Immobilien Basel-Stadt publiziert ist. Dabei handelt es sich - wie sie selbst ausführt - um eine im Internet öffentlich zugängliche Publikation, die sich nicht spezifisch an sie, sondern an eine unbestimmte Anzahl von Personen richtet. Insofern fehlt es bereits an einem individuellen Vertrauenstatbestand. Zudem erscheint es wenig glaubhaft, wenn die Beschwerdeführerin geltend macht, sie hätte von den in den Jahren 2011 - 2018 getätigten Renovationsarbeiten an ihrer Liegenschaft abgesehen, wenn sie gewusst hätte, dass in ihrer Nachbarschaft eine Mobilfunkantenne errichtet werden könne. Einerseits betraf das gemäss den unbestrittenen Ausführungen der Vorinstanz zeitweise geltende Mobilfunkantennen-Moratorium nur die Installation von entsprechenden Anlagen auf den Liegenschaften des Kantons. Dem Bau einer vergleichbaren Mobilfunkantenne auf einer der in der Nachbarschaft gelegenen privaten Liegenschaft stand damit grundsätzlich nichts entgegen. Andererseits musste die Beschwerdeführerin, wie die Vorinstanz nachvollziehbar ausführte, aufgrund der
Äusserungen des Regierungsrats im Vorfeld und im Nachgang der Volksabstimmung über die Initiative "gegen den Mobilfunkantennen-Wildwuchs" und dem damit verbundenen Inkrafttreten von § 19c USG/BS damit rechnen, dass die Installation von Antennen inskünftig auch auf den Liegenschaften des Kantons möglich sein wird. Die Beschwerdeführerin kann daher aus dem Grundsatz von Treu und Glauben (Art. 5 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
7.
7.1. Zu prüfen ist weiter, ob die Baubewilligung für die geplante Mobilfunkantenne die bundes- und kantonalrechtlichen Vorgaben des Orts- und Denkmalschutzes verletzt. Die Beschwerdeführerin macht insoweit geltend, das Bauvorhaben stelle einen unzulässigen Eingriff in das im Bundesinventar der schützenswerten Ortsbilder der Schweiz (ISOS) aufgelistete Ortsbild der Stadt Basel dar. Weiter rügt sie einen Verstoss gegen § 19 des Gesetzes über den Denkmalschutz des Kantons Basel-Stadt vom 20. März 1980 (DSchG/BS; SG 497.100).
7.2. Gemäss Art. 3 Abs. 1
SR 451 Loi fédérale du 1er juillet 1966 sur la protection de la nature et du paysage (LPN) LPN Art. 3 - 1 Les autorités, services, instituts et établissements fédéraux ainsi que les cantons doivent, dans l'accomplissement des tâches de la Confédération, prendre soin de ménager l'aspect caractéristique du paysage et des localités, les sites évocateurs du passé, les curiosités naturelles et les monuments historiques et, lorsque l'intérêt général prévaut, d'en préserver l'intégrité.17 |
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1 | Les autorités, services, instituts et établissements fédéraux ainsi que les cantons doivent, dans l'accomplissement des tâches de la Confédération, prendre soin de ménager l'aspect caractéristique du paysage et des localités, les sites évocateurs du passé, les curiosités naturelles et les monuments historiques et, lorsque l'intérêt général prévaut, d'en préserver l'intégrité.17 |
2 | Ils s'acquittent de ce devoir: |
a | en construisant et en entretenant de manière appropriée leurs propres bâtiments et installations ou en renonçant à construire (art. 2, let. a); |
b | en attachant des charges ou des conditions aux autorisations et aux concessions, ou en refusant celles-ci (art. 2, let. b); |
c | en n'allouant des subventions que sous conditions ou en refusant d'en allouer (art. 2, let. c). |
3 | Ce devoir existe quelle que soit l'importance de l'objet au sens de l'art. 4. Une mesure ne doit cependant pas aller au-delà de ce qu'exige la protection de l'objet et de ses environs. |
4 | ...18 |
SR 451 Loi fédérale du 1er juillet 1966 sur la protection de la nature et du paysage (LPN) LPN Art. 2 - 1 Par accomplissement d'une tâche de la Confédération au sens de l'art. 24sexies, al. 2, de la constitution12, il faut entendre notamment:13 |
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1 | Par accomplissement d'une tâche de la Confédération au sens de l'art. 24sexies, al. 2, de la constitution12, il faut entendre notamment:13 |
a | l'élaboration de projets, la construction et la modification d'ouvrages et d'installations par la Confédération, ses instituts et ses établissements, par exemple les bâtiments et les installations de l'administration fédérale, les routes nationales, les bâtiments et installations des Chemins de fer fédéraux; |
b | l'octroi de concessions et d'autorisations, par exemple pour la construction et l'exploitation d'installations de transport et de communications (y compris l'approbation des plans), d'ouvrages et d'installations servant au transport d'énergie, de liquides ou de gaz, ou à la transmission de messages, ainsi que l'octroi d'autorisation de défrichements; |
c | l'allocation de subventions pour des mesures de planification, pour des installations et des ouvrages, tels que les améliorations foncières, l'assainissement de bâtiments agricoles, les corrections de cours d'eau, les installations de protection des eaux et les installations de communications. |
2 | Les décisions des autorités cantonales concernant les projets qui, selon toute vraisemblance, ne seront réalisés qu'avec les subventions visées à l'al. 1, let. c, sont assimilées à l'accomplissement de tâches de la Confédération.15 |
SR 451 Loi fédérale du 1er juillet 1966 sur la protection de la nature et du paysage (LPN) LPN Art. 3 - 1 Les autorités, services, instituts et établissements fédéraux ainsi que les cantons doivent, dans l'accomplissement des tâches de la Confédération, prendre soin de ménager l'aspect caractéristique du paysage et des localités, les sites évocateurs du passé, les curiosités naturelles et les monuments historiques et, lorsque l'intérêt général prévaut, d'en préserver l'intégrité.17 |
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1 | Les autorités, services, instituts et établissements fédéraux ainsi que les cantons doivent, dans l'accomplissement des tâches de la Confédération, prendre soin de ménager l'aspect caractéristique du paysage et des localités, les sites évocateurs du passé, les curiosités naturelles et les monuments historiques et, lorsque l'intérêt général prévaut, d'en préserver l'intégrité.17 |
2 | Ils s'acquittent de ce devoir: |
a | en construisant et en entretenant de manière appropriée leurs propres bâtiments et installations ou en renonçant à construire (art. 2, let. a); |
b | en attachant des charges ou des conditions aux autorisations et aux concessions, ou en refusant celles-ci (art. 2, let. b); |
c | en n'allouant des subventions que sous conditions ou en refusant d'en allouer (art. 2, let. c). |
3 | Ce devoir existe quelle que soit l'importance de l'objet au sens de l'art. 4. Une mesure ne doit cependant pas aller au-delà de ce qu'exige la protection de l'objet et de ses environs. |
4 | ...18 |
Nach § 19 Abs. 1 DSchG/BS dürfen eingetragene Baudenkmäler durch bauliche Veränderungen in ihrer Umgebung nicht beeinträchtigt werden. Als Umgebung gilt der nähere Sichtbereich des Denkmals.
7.3. Es ist unbestritten, dass das vordere Wettsteinquartier, in welchem die streitbetroffene Liegenschaft gelegen ist, im ISOS eingetragen ist (vgl. (Art. 5
SR 451 Loi fédérale du 1er juillet 1966 sur la protection de la nature et du paysage (LPN) LPN Art. 5 - 1 Le Conseil fédéral établit, après avoir pris l'avis des cantons, des inventaires d'objets d'importance nationale; il peut se fonder à cet effet sur des inventaires dressés par des institutions d'Etat ou par des organisations oeuvrant en faveur de la protection de la nature, de la protection du paysage ou de la conservation des monuments historiques.20 Les critères qui ont déterminé le choix des objets seront indiqués dans les inventaires. En outre, ceux-ci contiendront au minimum: |
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1 | Le Conseil fédéral établit, après avoir pris l'avis des cantons, des inventaires d'objets d'importance nationale; il peut se fonder à cet effet sur des inventaires dressés par des institutions d'Etat ou par des organisations oeuvrant en faveur de la protection de la nature, de la protection du paysage ou de la conservation des monuments historiques.20 Les critères qui ont déterminé le choix des objets seront indiqués dans les inventaires. En outre, ceux-ci contiendront au minimum: |
a | la description exacte des objets; |
b | les raisons leur conférant une importance nationale; |
c | les dangers qui peuvent les menacer; |
d | les mesures de protection déjà prises; |
e | la protection à assurer; |
f | les propositions d'amélioration. |
2 | Les inventaires ne sont pas exhaustifs. Ils seront régulièrement réexaminés et mis à jour; le Conseil fédéral décide de l'inscription, de la modification ou de la radiation d'objets, après avoir pris l'avis des cantons. Les cantons peuvent, de leur propre chef, proposer un nouvel examen. |
Weiter sind die im Quartier gelegenen Gebäude R.________graben uuu-vvv und P.________ www-xxx in der Schutzzone gemäss § 37 des Bau- und Planungsgesetzes des Kantons Basel-Stadt vom 17. November 1999 (BPG/BS; SG 730.100) und die Liegenschaften P.________ yyy-zzz in der Schonzone gemäss § 38 BPG/BS gelegen. Diese tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz werden von der Beschwerdeführerin nicht bestritten und sind damit auch für das Bundesgericht verbindlich.
7.4. Nicht in Abrede gestellt wird von der Beschwerdeführerin auch, dass nach den Erwägungen der Vorinstanz § 37 und § 38 BPG/BS nur die nach aussen sichtbare historisch oder künstlerisch wertvolle Bausubstanz sowie den entsprechenden Charakter der in der Schutz- bzw. Schonzone gelegenen Gebäude selbst vor Veränderungen schützen, nicht jedoch die unmittelbare Umgebung dieser Objekte, weshalb die Beschwerdeführerin daraus nichts zu ihren Gunsten ableiten könne. Gemäss der Vorinstanz gilt hingegen ein Umgebungsschutz für die im kantonalen Schutzinventar eingetragenen Baudenkmäler. Nach § 19 Abs. 1 DSchG/BS dürften diese nicht durch bauliche Veränderungen in ihrer Umgebung beeinträchtigt werden. Als Umgebung gelte gemäss § 19 Abs. 1 DSchG/BS der nähere Sichtbereich des betroffenen Baudenkmals. Weiter dürfe das Bauvorhaben auch keine negativen Auswirkungen auf die im ISOS genannten Objekte haben.
In Nachachtung dieser Vorgaben erwog die Vorinstanz in Bezug auf die Einordnung des Bauvorhabens in das Ortsbild des vorderen Wettsteinquartiers, die geplante Mobilfunkanlage werde nicht im näheren Sichtbereich der Baudenkmäler Theodorskirche und dem Waisenhaus inkl. Waisenhauskirche errichtet, da sich dazwischen noch die begrünte Theodorsgrabenanlage sowie die Auffahrt der Wettsteinbrücke befänden. Die Bäume in der Theodorsgrabenanlage böten selbst ohne Blätter einen gewissen Sichtschutz, sodass die Antenne von dieser Seite her nicht besonders in Erscheinung treten werde. Es sei zudem geplant, dass die Antenne an dem bestehenden, von allen Gebäudeseiten zurückversetzten Liftaufbau angebracht werde, was deren Einsehbarkeit zusätzlich vermindere. Das Bauvorhaben sei damit nicht geeignet, die Baudenkmäler oder den näheren Sichtbereich ihrer Umgebung im Sinne von § 19 Abs. 1 DSchG/BS negativ zu beeinträchtigen. Gleiches gelte die im ISOS aufgelisteten Wohnhäuser an dem zum Rhein abfallenden R.________graben. Diese seien nicht als Träger der Mobilfunkantenne vorgesehen, vielmehr werde sie auf einem neuzeitlichen Betongebäude mit Flachdach errichtet. Von der Wettsteinbrücke aus betrachtet bestehe zudem ein erkennbarer Unterbruch
zwischen dem geplanten Standort der Mobilfunkanlage und der im ISOS genannten Häuserzeile am R.________graben. Das Erscheinungsbild dieser Häuser werde durch das Bauvorhaben somit nicht geschmälert, zumal von der Wettsteinbrücke aus gesehen auch die übrige Silhouette des Wettsteinquartiers samt den Hochhäusern im Hintergrund zu sehen sei. Von einem einzelnen störenden Element könne damit ohnehin nicht die Rede sein.
7.5. Ergänzend zur Vorinstanz führt das BAK aus, die Erscheinung des vorderen Wettsteinquartiers habe sich infolge der Bautätigkeit in der zweiten Hälfte des 20. Jahrhunderts stark verändert, weshalb das Quartier heute baulich sehr heterogen sei. Da sich das Projekt auf das Flachdach eines modernen Gebäudes beschränke, stehe das Vorhaben in keinem wesentlichen Konflikt mit den im ISOS genannten Schutzzielen. Angesichts der Heterogenität der Bau- und Dachlandschaft schmälere die geplante Mobilfunkanlage mit einer Höhe von rund 10 m zudem die für das Ortsbild relevante Silhouettenwirkung nicht wesentlich. Insgesamt sei lediglich eine leichte Beeinträchtigung des schützenswerten Ortsbilds von nationaler Bedeutung zu erwarten.
7.6. Entgegen den sich weitestgehend in appellatorischer Kritik erschöpfenden Vorbringen der Beschwerdeführerin ist die Beurteilung der Vorinstanz und die im Wesentlichen gleichlautende Einschätzung des BAK nicht zu beanstanden. Vielmehr bestätigen die Akten, dass die Theodorsgrabenanlage mit den Bäumen und die Auffahrt zur Wettsteinbrücke eine deutlich erkennbare räumliche Distanz zwischen der streitbetroffenen Liegenschaft und den Baudenkmälern der Theodorskirche sowie dem Waisenhaus inkl. Waisenhauskirche schafft. Es erweist sich damit ohne Weiteres als haltbar, wenn die Vorinstanz darauf schloss, das Bauvorhaben befinde sich nicht im näheren Sichtbereich dieser Baudenkmäler, weshalb die Beschwerdeführerin nichts aus dem Schutzgehalt von § 19 Abs. 1 DSchG/BS ableiten könne.
Wie die Beschwerdeführerin ausführlich darlegt, mag es sodann zwar stimmen, dass die geplante Mobilfunkanlage aufgrund ihrer Höhe aus gewissen Perspektiven, z.B. von der Wettsteinbrücke oder vom Vorplatz der Theodorskirche aus, teilweise zusammen mit den genannten Objekten des Denkmal- und Ortsbildschutzes wahrgenommen werden kann. Entgegen ihrer Behauptung geht davon auch die Vorinstanz aus, weshalb insoweit keine willkürliche Sachverhaltsfeststellung vorliegt. Dieser Umstand führt für sich alleine jedoch nicht dazu, dass die Antenne diese geschützten Bauten massgeblich negativ zu beeinträchtigen vermag. Für eine solche Annahme wäre rechtsprechungsgemäss erforderlich, dass der Standort der Mobilfunkanlage für die Fernwirkung eines Schutzobjekts besonders wichtig wäre (vgl. Urteile 1C 348/2017 vom 21. Februar 2018 E. 5.1; 1C 685/2013 vom 6. März 2015 E. 9.7 f.). Wie die Vorinstanz nachvollziehbar ausführte, kann eine solche Situation angesichts der räumlichen Distanz zwischen den genannten Schutzobjekten und der geplanten Mobilfunkantenne, der dazwischen liegenden Theodorsgrabenanlage, die mit ihren Bäumen selbst im Winter einen gewissen Sichtschutz bietet, sowie der rückversetzten Platzierung der Antenne am bereits bestehenden
Liftaufbau nicht angenommen werden. Auch wenn das BAK zum Schluss gelangt, die Mobilfunkanlage lasse eine leichte Beeinträchtigung des schützenswerten Ortsbilds erwarten, ist unter diesen Umständen eine Verletzung von Art. 3 Abs. 1
SR 451 Loi fédérale du 1er juillet 1966 sur la protection de la nature et du paysage (LPN) LPN Art. 3 - 1 Les autorités, services, instituts et établissements fédéraux ainsi que les cantons doivent, dans l'accomplissement des tâches de la Confédération, prendre soin de ménager l'aspect caractéristique du paysage et des localités, les sites évocateurs du passé, les curiosités naturelles et les monuments historiques et, lorsque l'intérêt général prévaut, d'en préserver l'intégrité.17 |
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1 | Les autorités, services, instituts et établissements fédéraux ainsi que les cantons doivent, dans l'accomplissement des tâches de la Confédération, prendre soin de ménager l'aspect caractéristique du paysage et des localités, les sites évocateurs du passé, les curiosités naturelles et les monuments historiques et, lorsque l'intérêt général prévaut, d'en préserver l'intégrité.17 |
2 | Ils s'acquittent de ce devoir: |
a | en construisant et en entretenant de manière appropriée leurs propres bâtiments et installations ou en renonçant à construire (art. 2, let. a); |
b | en attachant des charges ou des conditions aux autorisations et aux concessions, ou en refusant celles-ci (art. 2, let. b); |
c | en n'allouant des subventions que sous conditions ou en refusant d'en allouer (art. 2, let. c). |
3 | Ce devoir existe quelle que soit l'importance de l'objet au sens de l'art. 4. Une mesure ne doit cependant pas aller au-delà de ce qu'exige la protection de l'objet et de ses environs. |
4 | ...18 |
SR 784.10 Loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications (LTC) LTC Art. 1 But - 1 La présente loi a pour but d'assurer aux particuliers et aux milieux économiques des services de télécommunication variés, avantageux, de qualité et concurrentiels sur le plan national et international. |
|
1 | La présente loi a pour but d'assurer aux particuliers et aux milieux économiques des services de télécommunication variés, avantageux, de qualité et concurrentiels sur le plan national et international. |
2 | Elle doit en particulier: |
a | garantir qu'un service universel sûr et d'un prix abordable soit fourni à toutes les catégories de la population et dans tout le pays; |
b | assurer que le trafic des télécommunications ne soit pas perturbé et qu'il respecte les droits de la personnalité et les droits immatériels; |
c | permettre une concurrence efficace en matière de services de télécommunication; |
d | protéger les utilisateurs des services de télécommunication contre la publicité déloyale et les services à valeur ajoutée abusifs; |
e | protéger les enfants et les jeunes des dangers résultant de l'utilisation des services de télécommunication. |
marginalen Beeinträchtigung des geschützten Ortsbild ausgeht, ist die von der Vorinstanz nicht gänzlich korrekt wiedergegebene Gesamthöhe für den Verfahrensausgang nicht entscheidend.
7.7. Hinsichtlich möglicher alternativer Standorte für die Installation der Mobilfunkanlage hat die Vorinstanz nachvollziehbar dargelegt, dass eine Erhöhung der Sendeleistung der bereits bestehenden Antenne im Geviert Fischerweg aus Gründen des Gesundheitsschutzes keine bessere Alternative darstelle und zudem im Widerspruch zur mit § 19c USG/BS verfolgten Strategie eines feinmaschigen Mobilfunknetzes stünde. In Bezug auf die von der Beschwerdeführerin vorgeschlagene Installation einer Antenne auf der Überbauung des ehemaligen Kinderspitals erwog die Vorinstanz, dass diese Lösung mit einer grösseren Beeinträchtigung des geschützten Ortsbilds verbunden wäre und daher ebenfalls keine taugliche Alternative darstelle. Was die Beschwerdeführerin hiergegen vorbringt, erschöpft sich primär in der Wiederholung ihrer bereits im vorinstanzlichen Verfahren vorgetragenen Standpunkte und ist auch sonst nicht geeignet, die Beurteilung der Vorinstanz als willkürlich erscheinen zu lassen, zumal bei zonenkonformen Bauvorhaben von Bundesrechts wegen innerhalb der Bauzone keine Verpflichtung zur Prüfung von Alternativstandorten besteht (vgl. Urteile 1C 650/2019 vom 10. März 2020 E. 3.3; 1C 685/2013 vom 6. März 2015 E. 2.1; 1C 642/2013 vom 7. April
2014 E. 4.1 je mit Hinweisen). Soweit die Beschwerdeführerin schliesslich eine mangelnde Einordnung der geplanten Mobilfunkantenne gemäss der allgemeinen Ästhetikklausel von § 58 Abs. 1 BPG/BS geltend zu machen scheint, setzt sie sich nicht mit den entsprechenden Erwägungen des angefochtenen Urteils auseinander. Insoweit ist auf die Beschwerde nicht einzutreten.
8.
Zu prüfen bleibt, ob die geplante Mobilfunkanlage den Vorschriften der Verordnung über den Schutz vor nichtionisierender Strahlung vom 23. Dezember 1999 (NISV; SR 814.710) entspricht. Insoweit gilt es zu beachten, dass es sich bei der geplanten Anlage - soweit sich dies aus den Akten sowie den Ausführungen der Vorinstanz und des BAFU erschliessen lässt - um eine herkömmliche und keine adaptive Mobilfunkantenne handelt.
8.1. Soweit hier interessierend, ist der Schutz vor schädlichen oder lästigen Einwirkungen durch Strahlung im Bundesgesetz vom 7. Oktober 1983 über den Umweltschutz (Umweltschutzgesetz, USG; SR 814.01) und den darauf gestützten Verordnungen geregelt (vgl. BGE 138 II 173 E. 5.1; Urteil 1C 375/2020 vom 5. Mai 2021 E. 3.2). Für den Schutz vor nichtionisierender Strahlung, die beim Betrieb ortsfester Anlagen erzeugt wird, erliess der Bundesrat die NISV. Diese regelt namentlich die Emissionsbegrenzungen sowie die Immissionsgrenzwerte für Mobilfunksendeanlagen. Zum Schutz vor den wissenschaftlich erhärteten, thermischen Wirkungen der Strahlung von Mobilfunkanlagen werden im Anhang 2 NISV Immissionsgrenzwerte festgelegt, welche überall gelten, wo sich Menschen - auch kurzfristig - aufhalten können (vgl. Art. 13 Abs. 1
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 13 Champ d'application des valeurs limites d'immissions - 1 Les valeurs limites d'immissions au sens de l'annexe 2 doivent être respectées partout où des personnes peuvent séjourner.16 |
|
1 | Les valeurs limites d'immissions au sens de l'annexe 2 doivent être respectées partout où des personnes peuvent séjourner.16 |
2 | Elles ne sont valables que pour le rayonnement qui agit de manière uniforme sur l'ensemble du corps humain. |
weit ergänzende oder verschärfte Emissionsbegrenzungen an, bis die Immissionsgrenzwerte eingehalten werden (Art. 5 Abs. 1
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 5 Limitation complémentaire et limitation plus sévère des émissions - 1 S'il est établi ou à prévoir qu'une installation entraînera, à elle seule ou associée à d'autres installations, des immissions dépassant une ou plusieurs valeurs limites d'immissions de l'annexe 2, l'autorité impose une limitation d'émissions complémentaire ou plus sévère. |
|
1 | S'il est établi ou à prévoir qu'une installation entraînera, à elle seule ou associée à d'autres installations, des immissions dépassant une ou plusieurs valeurs limites d'immissions de l'annexe 2, l'autorité impose une limitation d'émissions complémentaire ou plus sévère. |
2 | L'autorité complète ou rend plus sévères les limitations d'émissions jusqu'à ce que les valeurs limites d'immissions ne soient plus dépassées.9 |
3 | S'il est établi ou à prévoir que la valeur limite d'immissions du ch. 13 ou du ch. 225 de l'annexe 2 pour le courant de contact est dépassée lors d'un contact avec des objets conducteurs, l'autorité ordonne des mesures qui concernent en premier lieu ces objets. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 5 Limitation complémentaire et limitation plus sévère des émissions - 1 S'il est établi ou à prévoir qu'une installation entraînera, à elle seule ou associée à d'autres installations, des immissions dépassant une ou plusieurs valeurs limites d'immissions de l'annexe 2, l'autorité impose une limitation d'émissions complémentaire ou plus sévère. |
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1 | S'il est établi ou à prévoir qu'une installation entraînera, à elle seule ou associée à d'autres installations, des immissions dépassant une ou plusieurs valeurs limites d'immissions de l'annexe 2, l'autorité impose une limitation d'émissions complémentaire ou plus sévère. |
2 | L'autorité complète ou rend plus sévères les limitations d'émissions jusqu'à ce que les valeurs limites d'immissions ne soient plus dépassées.9 |
3 | S'il est établi ou à prévoir que la valeur limite d'immissions du ch. 13 ou du ch. 225 de l'annexe 2 pour le courant de contact est dépassée lors d'un contact avec des objets conducteurs, l'autorité ordonne des mesures qui concernent en premier lieu ces objets. |
Im Anhang 1 der NISV werden Anlagegrenzwerte festgesetzt (Art. 3 Abs. 6
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 3 Définitions - 1 Une installation est réputée ancienne installation lorsque la décision permettant d'entamer les travaux de construction ou la mise en service avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance. Une installation au sens de l'annexe 1, ch. 1, qui comporte plusieurs lignes électriques est réputée ancienne installation lorsque l'autorisation d'au moins une ligne avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance.4 |
|
1 | Une installation est réputée ancienne installation lorsque la décision permettant d'entamer les travaux de construction ou la mise en service avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance. Une installation au sens de l'annexe 1, ch. 1, qui comporte plusieurs lignes électriques est réputée ancienne installation lorsque l'autorisation d'au moins une ligne avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance.4 |
2 | Une installation est réputée nouvelle installation: |
a | lorsqu'elle ne remplit pas les conditions de l'al. 1, |
b | lorsqu'elle est réinstallée sur un autre site, ou |
c | lorsqu'elle est remplacée sur son site actuel; les chemins de fer font exception (annexe 1, ch. 5).5 |
3 | Par lieu à utilisation sensible, on entend: |
a | les locaux situés à l'intérieur d'un bâtiment dans lesquels des personnes séjournent régulièrement durant une période prolongée; |
b | les places de jeux publiques ou privées, définies dans un plan d'aménagement; |
c | les parties de terrains non bâtis sur lesquelles des activités au sens des let. a et b sont permises.6 |
4 | Sont réalisables sur le plan de la technique et de l'exploitation les mesures permettant de limiter les émissions: |
a | qui ont fait leur preuves sur des installations comparables en Suisse ou à l'étranger, ou qui |
b | ont été appliquées avec succès lors d'essais et que la technique permet de transposer à d'autres installations. |
5 | Sont économiquement supportables les mesures de limitation des émissions qui sont acceptables pour une entreprise moyenne, économiquement saine, de la branche concernée. Lorsqu'il y a dans une branche donnée des catégories très différentes d'entreprises, l'évaluation se fait à partir d'une entreprise moyenne de la catégorie correspondante. |
6 | La valeur limite de l'installation est une limitation des émissions concernant le rayonnement émis par une installation donnée. |
7 | Le courant de contact est le courant électrique qui circule lorsqu'une personne touche un objet conducteur qui n'est pas relié à une source de tension et qui se charge dans un champ électrique ou magnétique. |
8 | Le courant de fuite7 est le courant électrique qui circule d'une personne se trouvant dans un champ électrique vers la terre sans qu'un objet conducteur soit touché.8 |
9 | La puissance apparente rayonnée (ERP) est la puissance transmise à une antenne, multipliée par le gain de l'antenne dans la direction principale de propagation, rapportée au dipôle de demi-onde. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 4 Limitation préventive des émissions - 1 Les installations doivent être construites et exploitées de telle façon que les limitations préventives des émissions définies à l'annexe 1 ne soient pas dépassées. |
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1 | Les installations doivent être construites et exploitées de telle façon que les limitations préventives des émissions définies à l'annexe 1 ne soient pas dépassées. |
2 | Concernant les installations pour lesquelles l'annexe 1 ne contient pas de prescriptions, l'autorité fixe les limitations d'émissions dans la mesure que permettent l'état de la technique et les conditions d'exploitation, et pour autant que cela soit économiquement supportable. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 3 Définitions - 1 Une installation est réputée ancienne installation lorsque la décision permettant d'entamer les travaux de construction ou la mise en service avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance. Une installation au sens de l'annexe 1, ch. 1, qui comporte plusieurs lignes électriques est réputée ancienne installation lorsque l'autorisation d'au moins une ligne avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance.4 |
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1 | Une installation est réputée ancienne installation lorsque la décision permettant d'entamer les travaux de construction ou la mise en service avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance. Une installation au sens de l'annexe 1, ch. 1, qui comporte plusieurs lignes électriques est réputée ancienne installation lorsque l'autorisation d'au moins une ligne avait force de chose jugée au moment de l'entrée en vigueur de la présente ordonnance.4 |
2 | Une installation est réputée nouvelle installation: |
a | lorsqu'elle ne remplit pas les conditions de l'al. 1, |
b | lorsqu'elle est réinstallée sur un autre site, ou |
c | lorsqu'elle est remplacée sur son site actuel; les chemins de fer font exception (annexe 1, ch. 5).5 |
3 | Par lieu à utilisation sensible, on entend: |
a | les locaux situés à l'intérieur d'un bâtiment dans lesquels des personnes séjournent régulièrement durant une période prolongée; |
b | les places de jeux publiques ou privées, définies dans un plan d'aménagement; |
c | les parties de terrains non bâtis sur lesquelles des activités au sens des let. a et b sont permises.6 |
4 | Sont réalisables sur le plan de la technique et de l'exploitation les mesures permettant de limiter les émissions: |
a | qui ont fait leur preuves sur des installations comparables en Suisse ou à l'étranger, ou qui |
b | ont été appliquées avec succès lors d'essais et que la technique permet de transposer à d'autres installations. |
5 | Sont économiquement supportables les mesures de limitation des émissions qui sont acceptables pour une entreprise moyenne, économiquement saine, de la branche concernée. Lorsqu'il y a dans une branche donnée des catégories très différentes d'entreprises, l'évaluation se fait à partir d'une entreprise moyenne de la catégorie correspondante. |
6 | La valeur limite de l'installation est une limitation des émissions concernant le rayonnement émis par une installation donnée. |
7 | Le courant de contact est le courant électrique qui circule lorsqu'une personne touche un objet conducteur qui n'est pas relié à une source de tension et qui se charge dans un champ électrique ou magnétique. |
8 | Le courant de fuite7 est le courant électrique qui circule d'une personne se trouvant dans un champ électrique vers la terre sans qu'un objet conducteur soit touché.8 |
9 | La puissance apparente rayonnée (ERP) est la puissance transmise à une antenne, multipliée par le gain de l'antenne dans la direction principale de propagation, rapportée au dipôle de demi-onde. |
SR 814.01 Loi fédérale du 7 octobre 1983 sur la protection de l'environnement (Loi sur la protection de l'environnement, LPE) - Loi sur la protection de l'environnement LPE Art. 11 Principe - 1 Les pollutions atmosphériques, le bruit, les vibrations et les rayons sont limités par des mesures prises à la source (limitation des émissions). |
|
1 | Les pollutions atmosphériques, le bruit, les vibrations et les rayons sont limités par des mesures prises à la source (limitation des émissions). |
2 | Indépendamment des nuisances existantes, il importe, à titre préventif, de limiter les émissions dans la mesure que permettent l'état de la technique et les conditions d'exploitation et pour autant que cela soit économiquement supportable. |
3 | Les émissions seront limitées plus sévèrement s'il appert ou s'il y a lieu de présumer que les atteintes, eu égard à la charge actuelle de l'environnement, seront nuisibles ou incommodantes. |
8.2. Gemäss Art. 11 Abs. 1
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 11 Obligation de notifier - 1 Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
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1 | Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
2 | La fiche de données spécifique au site doit contenir: |
a | les données actuelles et planifiées relatives à la technique et à l'exploitation de l'installation dans la mesure où elles sont déterminantes pour l'émission de rayonnement; |
b | le mode d'exploitation déterminant au sens de l'annexe 1; |
c | des informations concernant le rayonnement émis par l'installation: |
c1 | sur le lieu accessible où ce rayonnement est le plus fort, |
c2 | sur les trois lieux à utilisation sensible où ce rayonnement est le plus fort, et |
c3 | sur tous les lieux à utilisation sensible où la valeur limite de l'installation au sens de l'annexe 1 est dépassée; |
d | un plan présentant les informations de la let. c. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 11 Obligation de notifier - 1 Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
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1 | Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
2 | La fiche de données spécifique au site doit contenir: |
a | les données actuelles et planifiées relatives à la technique et à l'exploitation de l'installation dans la mesure où elles sont déterminantes pour l'émission de rayonnement; |
b | le mode d'exploitation déterminant au sens de l'annexe 1; |
c | des informations concernant le rayonnement émis par l'installation: |
c1 | sur le lieu accessible où ce rayonnement est le plus fort, |
c2 | sur les trois lieux à utilisation sensible où ce rayonnement est le plus fort, et |
c3 | sur tous les lieux à utilisation sensible où la valeur limite de l'installation au sens de l'annexe 1 est dépassée; |
d | un plan présentant les informations de la let. c. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 11 Obligation de notifier - 1 Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
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1 | Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
2 | La fiche de données spécifique au site doit contenir: |
a | les données actuelles et planifiées relatives à la technique et à l'exploitation de l'installation dans la mesure où elles sont déterminantes pour l'émission de rayonnement; |
b | le mode d'exploitation déterminant au sens de l'annexe 1; |
c | des informations concernant le rayonnement émis par l'installation: |
c1 | sur le lieu accessible où ce rayonnement est le plus fort, |
c2 | sur les trois lieux à utilisation sensible où ce rayonnement est le plus fort, et |
c3 | sur tous les lieux à utilisation sensible où la valeur limite de l'installation au sens de l'annexe 1 est dépassée; |
d | un plan présentant les informations de la let. c. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 11 Obligation de notifier - 1 Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
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1 | Avant qu'une installation pour laquelle des limitations d'émissions figurent à l'annexe 1 soit construite, réinstallée sur un autre site, remplacée sur son site ou modifiée au sens de l'annexe 1, le détenteur doit remettre à l'autorité compétente en matière d'autorisations une fiche de données spécifiques au site. Les installations électriques domestiques font exception (annexe 1, ch. 4).12 |
2 | La fiche de données spécifique au site doit contenir: |
a | les données actuelles et planifiées relatives à la technique et à l'exploitation de l'installation dans la mesure où elles sont déterminantes pour l'émission de rayonnement; |
b | le mode d'exploitation déterminant au sens de l'annexe 1; |
c | des informations concernant le rayonnement émis par l'installation: |
c1 | sur le lieu accessible où ce rayonnement est le plus fort, |
c2 | sur les trois lieux à utilisation sensible où ce rayonnement est le plus fort, et |
c3 | sur tous les lieux à utilisation sensible où la valeur limite de l'installation au sens de l'annexe 1 est dépassée; |
d | un plan présentant les informations de la let. c. |
SR 814.710 Ordonnance du 23 décembre 1999 sur la protection contre le rayonnement non ionisant (ORNI) ORNI Art. 12 Contrôle - 1 L'autorité veille au respect des limitations des émissions. |
|
1 | L'autorité veille au respect des limitations des émissions. |
2 | Pour vérifier si la valeur limite de l'installation, au sens de l'annexe 1, n'est pas dépassée, elle procède ou fait procéder à des mesures ou à des calculs, ou elle se base sur des données provenant de tiers. L'Office fédéral de l'environnement (OFEV)15 recommande des méthodes de mesure et de calcul appropriées. |
3 | Si la valeur limite de l'installation, au sens de l'annexe 1, d'installations nouvelles ou modifiées est dépassée en raison de dérogations qui ont été accordées, l'autorité mesure ou fait mesurer périodiquement le rayonnement émis par ces installations. Elle contrôle au plus tard six mois après leur mise en service si: |
a | les indications concernant leur exploitation, et sur lesquelles la décision est fondée, sont exactes, et |
b | les prescriptions arrêtées sont appliquées. |
8.3. Wie bereits im vorinstanzlichen Verfahren macht die Beschwerdeführerin in einer ersten Rüge geltend, die im Standortdatenblatt enthaltenen Antennendiagramme seien keine originalen Diagramme des Herstellers der Antennen. Vielmehr lägen nur die entsprechenden Diagramme der Betreiberin bzw. Beschwerdegegnerin vor, weshalb bei der Beurteilung der Einhaltung der massgeblichen Strahlengrenzwerte mangels Objektivität der Berechnungen nicht darauf abgestellt werden könne. Dieser Einwand geht fehl. Wie die Vorinstanz und das BAFU unter Hinweis auf die bundesgerichtliche Rechtsprechung zu Recht festhielten, ist es nicht zu beanstanden, wenn die Mobilfunkbetreiber die vorliegend massgebenden umhüllenden Antennendiagramme (vgl. dazu Urteil 1C 254/2017 vom 5. Januar 2018 E. 4.2 f.), welche mehrere Frequenzbänder umfassen und vom Hersteller regelmässig nicht zur Verfügung gestellt würden, gestützt auf die originalen Diagramme der einzelnen Frequenzbänder des Herstellers berechnen (vgl. Urteil 1C 254/2017 vom 5. Januar 2018 E. 5). Die Beschwerdeführerin macht zwar pauschal geltend, gemäss telefonischer Auskunft der Herstellerin könnten sämtliche originalen Antennendiagramme bei ihr bezogen werden. Einen Beleg für diese Behauptung findet
sich in den Akten allerdings nicht. Es besteht damit kein Anlass, von der zitierten Rechtsprechung abzuweichen.
8.4.
8.4.1. In einer weiteren Rüge macht die Beschwerdeführerin geltend, für die Berechnung der elektrischen Feldstärke der geplanten Antenne habe die Beschwerdegegnerin die hierfür massgebenden umhüllenden horizontalen und vertikalen Antennendiagramme lediglich mit einem Abstrahlwinkel von 0 Grad berechnet. Gemäss Baugesuch weise das Vorhaben indes einen Abstrahlwinkel von minus 3 bis minus 8 Grad auf, was die gemessenen Strahlenwerte um bis zu 50% zu Ungunsten der Anwohner des Wettsteinquartiers verändern könne.
8.4.2. Die Vorinstanz führte diesbezüglich aus, der Einsatz von Antennendiagrammen, welche die relevanten Diagramme aller verwendeten originalen Frequenzbänder umhüllten, entspreche den Vorgaben des Nachtrags des BAFU zur NISV-Vollzugsempfehlung vom 28. März 2013. Für die Berechnung dieser umhüllenden Diagramme würden die einzelnen Diagramme der Frequenzbänder auf 0 Grad eingestellt. Aus den so erhaltenen einzelnen Diagrammen würden dann die umhüllenden Diagramme gebildet, die dann ebenfalls einen Abstrahlwinkel von 0 Grad aufwiesen. Die so erhaltenen umhüllenden Diagramme würden dann auf die jeweils kritische vertikale Senderichtung gedreht. Dadurch würden die gemäss Baugesuch vorgesehenen Abstrahlwinkel von minus 3 bis minus 8 Grad hinreichend berücksichtigt. Das BAFU führt hierzu ergänzend aus, durch die Drehung der umhüllenden Antennendiagramme auf die hier massgebenden Abstrahlwinkel der geplanten Mobilfunkanlage sei sichergestellt, dass die Berechnung der elektrischen Feldstärke einer "Worst-Case" Betrachtung entspreche bzw. jede mögliche Einstellung innerhalb des zu bewilligenden Bereichs mitberücksichtigt werde. Die berechnete Strahlung werde so in keinem Fall unterschätzt.
8.4.3. Die Beschwerdeführerin äussert sich in ihrer Replik nicht zur Stellungnahme des BAFU, welche die vorinstanzliche Beurteilung bestätigt. In Anbetracht dessen besteht für das Bundesgericht kein Anlass, von der Einschätzung des BAFU als Fachbehörde des Bundes abzuweichen, wonach bei der Berechnung der vorliegend massgebenden elektrischen Feldstärke sämtliche Abstrahlwinkel der strittigen Mobilfunkanlage im Rahmen einer sog. "Worst-Case" Betrachtung hinreichend berücksichtigt wurden (vgl. zur Berechnung der elektrischen Feldstärke mittels umhüllender Antennendiagramme Urteile 1C 518/2018 vom 14. April 2020 E. 7.2.1; 1C 254/2017 vom 5. Januar 2018 E. 4.7).
8.5.
8.5.1. Die Beschwerdeführerin moniert weiter, gemäss Angaben des eidgenössischen Instituts für Metrologie (METAS) liege die Messunsicherheit bei der Berechnung der Strahlung von Mobilfunkanlagen bei +/- 36% bis +/- 45%. Aus den Berechnungen der Beschwerdegegnerin gehe hervor, dass die elektrische Feldstärke der geplanten Antenne nur knapp unter dem vorliegend massgebenden Anlagegrenzwert gemäss NISV von 6 V/m liege. Angesichts der grossen Messunsicherheit könne folglich nicht ausgeschlossen werden, dass das Bauvorhaben den Grenzwert überschreite.
8.5.2. Diese Rüge erweist sich als unbegründet. Es trifft zwar zu, dass es gemäss dem Amtsbericht des METAS vom 11. Juni 2014 über die Messunsicherheit beim Messen der Strahlung von Mobilfunk-Basisstationen nicht möglich ist, nichtionisierende Strahlung genauer als mit einer Unsicherheit von 45 % zu erfassen. Wie das BAFU in seiner Vernehmlassung zutreffend ausführt, betreffen diese Messunsicherheiten jedoch die Abnahmemessungen, welche nach der Errichtung der Mobilfunkanlage vorgenommen werden. Da das vorliegende Verfahren eine neu zu erstellende Mobilfunkanlage betrifft, befinden sich - soweit ersichtlich - noch keine Abnahmemesswerte bei den Akten, sondern liegt erst die Strahlenprognose gemäss den Berechnungen im Standortdatenblatt vor. Insoweit lehnt das Bundesgericht die Berücksichtigung eines Faktors für die Messungenauigkeit ab, weil dies auf eine Verschärfung des Anlagegrenzwertes hinauslaufen würde (vgl. Urteile 1C 642/2013 vom 7. April 2014 E. 3.4; 1C 329/2013 vom 23. Oktober 2013 E. 7.2, je mit Hinweisen). In Bezug auf die nach der Inbetriebnahme der Mobilfunkantenne vorzunehmenden Abnahmemessungen gilt es sodann festzuhalten, dass die in der NISV vorgeschriebenen Anlagegrenzwerte keine Gefährdungswerte, sondern
vorsorgliche Emissionsbegrenzungen sind (vgl. vorne E. 8.1). Bei solchen Grenzwerten im Vorsorgebereich kommt nach der Rechtsprechung des Bundesgerichts bei den konkreten Messungen der Grundsatz zur Anwendung, wonach der gemessene Wert massgeblich ist, und die Messunsicherheit weder dazugerechnet noch abgezogen wird (Urteile 1C 97/2018 vom 3. September 2019 E. 4; 1C 343/2015 vom 30. März 2016 E. 2.1; 1C 685/2013 vom 6. März 2015 E 8.1 mit Hinweisen). Mit ihrem pauschalen Einwand, aufgrund der Messunsicherheit von 45 % könne nicht ausgeschlossen werden, dass die geplante Mobilfunkanlage die massgebenden Anlagegrenzwerte einhalte, zeigt die Beschwerdeführerin keine Gründe auf, die eine Abweichung von dieser Rechtsprechung rechtfertigen könnten.
8.6.
8.6.1. In einem weiteren Vorbringen macht die Beschwerdeführerin geltend, der vorgesehene Antennentyp sei für die lokale Versorgung des Wohnquartiers überdimensioniert, da er eine bis zu 7.5 Mal höhere Leistung erbringen könne als jene, die im Standortdatenblatt deklariert worden sei. Aufgrund dieser höheren Leistungsfähigkeit sei zu erwarten, dass die Beschwerdegegnerin die Sendeleistung zu einem späteren Zeitpunkt hochfahren werde.
8.6.2. Nach den unbestritten gebliebenen Ausführungen der Vorinstanz wurde die Beschwerdegegnerin mit der Erteilung der Baubewilligung verpflichtet, die geplante Mobilfunkanlage mit einem Qualitätssicherungssystem (QS-System) zur Überwachung von Sendeleistung und Antennenausrichtung nach der Empfehlung des BAFU zu betreiben (vgl. Rundschreiben Qualitätssicherung zur Einhaltung der Grenzwerte der NISV bei Basisstationen für Mobilfunk und drahtlose Teilnehmeranschlüsse des BAFU vom 16. Januar 2006). Nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung genügt die Verwendung eines solchen QS-Systems den Anforderungen an eine wirksame Kontrolle der Emissionsbegrenzungen, da durch diese Massnahme die Einhaltung der bewilligten Sendeleistungen und Senderichtungen hinreichend sichergestellt ist (vgl. Urteile 1C 97/2018 vom 3. September 2019 E. 7 und E. 8.3; 1C 323/2017 vom 15. Januar 2018 E. 3.3; 1C 169/2013 vom 29. Juli 2013 E. 4). Entgegen der Befürchtung der Beschwerdeführerin ist durch die Einbindung der geplanten Mobilfunkanlage in das QS-System eine unentdeckte nachträgliche Erhöhung der Sendeleistung durch die Beschwerdegegnerin ausgeschlossen. Weitere Gründe, weshalb die geplante Antenne im Umfang der bewilligten Sendeleistung
überdimensioniert sein soll, zeigt die Beschwerdeführerin nicht auf. Alleine aufgrund der Höhe der Antenne können jedenfalls keine abschliessenden Rückschlüsse auf deren Sendeleistungen gezogen werden (vgl. Urteil 1C 167/2018 vom 8. Januar 2019 E. 3.2). Die Beschwerde erweist sich damit auch insoweit als unbegründet.
8.7. Nichts zu ihren Gunsten ableiten kann die Beschwerdeführerin schliesslich aus dem von ihr zitierten Urteil des Bundesgerichts 1C 167/2018 vom 8. Januar 2019. In diesem Urteil hat das Bundesgericht im Rahmen einer abstrakten Normenkontrolle einer kommunalen Zonenvorschrift zwar festgehalten, dass es mit dem Bundesumweltrecht vereinbar ist, wenn ein kommunales Baureglement zum Schutz vor ideellen Immissionen in Wohngebieten nur Mobilfunkanlagen zulässt, die einen funktionellen Bezug zu dieser Zone aufweisen und von ihren Dimensionen und ihrer Leistungsfähigkeit her der in reinen Wohnzonen üblichen Ausstattung entsprechen (vgl. BGE 138 II 173 E. 5.4; Urteil 1C 167/2018 vom 8. Januar 2019 E. 2;). Eine solche Standortbeschränkung für Mobilfunkanlagen innerhalb von Wohnzonen setzt jedoch eine entsprechende kantonale bzw. kommunale Regelung voraus (BGE 141 II 245 E. 2.4; Urteil 1C 226/2018 vom 3. September 2019 E. 5.4). Dass im vorliegenden Fall eine solche gesetzliche Grundlage besteht, ergibt sich nicht aus dem angefochtenen Urteil. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin kann als solche auch nicht § 19c USG/BS herbeigezogen werden, enthält diese Bestimmungen doch keine direkten Vorgaben hinsichtlich einer möglichen
Begrenzung der Mobilfunkstandorte innerhalb der Wohnzonen.
9.
Die Beschwerde ist aus den genannten Gründen abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Kosten des bundesgerichtlichen Verfahrens der unterliegenden Beschwerdeführerin aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 4'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdeführerin hat die Beschwerdegegnerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 3'000.-- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Bau- und Gastgewerbeinspektorat Basel-Stadt, dem Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt als Verwaltungsgericht, Dreiergericht, dem Bundesamt für Umwelt und dem Bundesamt für Kultur schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 13. Oktober 2022
Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Das präsidierende Mitglied: Chaix
Der Gerichtsschreiber: Hahn