Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 651/2021
Urteil vom 13. Oktober 2021
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin, Bundesrichter Muschietti,
nebenamtlicher Bundesrichter Kölz,
Gerichtsschreiberin Bianchi.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Ivo Harb,
Beschwerdeführer,
gegen
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Florhofgasse 2, 8090 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Qualifizierte grobe Verletzung der Verkehrsregeln; Willkür, in dubio pro reo,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, II. Strafkammer, vom 23. März 2021 (SB200118-O/U).
Sachverhalt:
A.
Soweit hier noch interessierend, wird A.________ vorgeworfen, am 31. Mai 2015 auf der Autobahn xxx auf dem Gemeindegebiet U.________ Richtung V.________ als Lenker des Personenwagens B.________, Kontrollschild yyy, mit C.________ als Lenker des Personenwagens D.________, Kontrollschild zzz, ein Rennen gefahren zu haben. Dabei habe er sein Fahrzeug auf 222 km/h beschleunigt und die zulässige Höchstgeschwindigkeit um 102 km/h überschritten. Sowohl A.________ als auch C.________ hätten bei diesem Rennen einen auf der Normalspur korrekt fahrenden Personenwagen überholt. Am selben Tag direkt nach dem Rennen auf der Autobahn hätten A.________ und C.________ in W.________ auf der Verzweigung X.________-weg bis zum Abbau der Busspur erneut ein Rennen gefahren. A.________ sei auf der Busspur gefahren, C.________ auf der Fahrbahn. Beide hätten ihre Fahrzeuge auf eine Geschwindigkeit von ca. 115 km/h beschleunigt und die signalisierte Höchstgeschwindigkeit von 60 km/h um 55 km/h überschritten.
B.
Mit Urteil vom 5. November 2019 sprach das Bezirksgericht Horgen A.________ unter anderem der qualifiziert groben Verletzung der Verkehrsregeln in zwei Fällen schuldig und verurteilte ihn zu einer unbedingten Freiheitsstrafe von 20 Monaten als Zusatzstrafe zum Urteil des Kantonsgerichts St. Gallen vom 10. September 2018 sowie zu einer Busse von Fr. 800.--. Der mit Strafbefehl der Staatsanwaltschaft Zürich-Limmat vom 12. Dezember 2012 gewährte bedingte Vollzug einer Freiheitsstrafe von 6 Monaten widerrief es nicht. Ferner ordnete es die Vernichtung der sichergestellten Betäubungsmittel an und befand über die Verwendung des sichergestellten Mobiltelefons, der Datensicherung und der Geschwindigkeitsauswertung in den Videoaufzeichnungen.
Dagegen erhob A.________ Berufung an das Obergericht des Kantons Zürich, wobei er die Schuldsprüche betreffend qualifiziert grobe Verkehrsregelverletzung, die Strafhöhe und die Kostenauflage anfocht. Die Staatsanwaltschaft Limmattal / Albis erhob Anschlussberufung und beschränkte dieselbe auf die Frage der Bemessung der Strafe.
Mit Urteil vom 23. März 2021 sprach das Obergericht A.________ der qualifiziert groben Verletzung der Verkehrsregeln in zwei Fällen schuldig. Die (unbedingte) Zusatzstrafe zum Urteil des Kantonsgerichts St. Gallen vom 10. September 2018 bemass es auf 24 Monate Freiheitsstrafe, die Busse auf Fr. 600.--.
C.
A.________ verlangt mit Beschwerde in Strafsachen, das Urteil des Obergerichts sei aufzuheben. Er sei von den Vorwürfen der groben Verkehrsregelverletzung freizusprechen und "mit einer Freiheitsstrafe von einem Monat als Zusatzstrafe zu der mit Urteil des Kantonsgerichts St. Gallen vom 10. September 2018 ausgesprochenen Freiheitsstrafe von 24 Monaten wegen Vereitelung der Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit etc. schuldig zu sprechen (zuzüglich Busse von CHF 500.00) ". Der Vollzug der Zusatzstrafe sei unter Ansetzung einer Probezeit von vier Jahren bedingt aufzuschieben. Eventualiter sei die Sache zwecks Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
Der Beschwerdeführer rügt eine willkürliche Sachverhaltsfeststellung (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
2 | Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense. |
3 | Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
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1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
2.
2.1. Die Feststellung des Sachverhalts kann vor dem Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
IV 500 E. 1.1; je mit weiteren Hinweisen). Die Beschwerde ist im gerügten Punkt nur gutzuheissen, wenn der Entscheid auch bei objektiver Würdigung des gesamten Beweisergebnisses offensichtlich unhaltbar und damit willkürlich ist. Die beschwerdeführende Partei, die vor Bundesgericht eine willkürliche Beweiswürdigung rügt, darf sich daher nicht darauf beschränken aufzuzeigen, wie einzelne Indizien willkürfrei zu würdigen gewesen wären. Sie muss sich vielmehr mit der gesamten Beweislage befassen und darlegen, inwiefern aus ihrer Sicht auch der aus der Gesamtheit der verschiedenen Indizien gezogene Schluss geradezu willkürlich ist (Urteile 6B 299/2020 vom 13. November 2020 E. 2.2.3; 6B 1031/2019 vom 1. September 2020 E. 1.2.2, nicht publ. in BGE 146 IV 311; je mit weiteren Hinweisen).
2.2. Gemäss ständiger Rechtsprechung können die Strafbehörden ohne Verletzung des rechtlichen Gehörs und des Untersuchungsgrundsatzes auf die Abnahme weiterer Beweise verzichten, wenn sie in Würdigung der bereits abgenommenen Beweise zur Überzeugung gelangen, der rechtlich erhebliche Sachverhalt sei genügend abgeklärt, und sie überdies in antizipierter Würdigung zum Schluss kommen, ein an sich taugliches Beweismittel vermöge ihre aufgrund der bereits abgenommenen Beweismittel gewonnene Überzeugung von der Wahrheit oder Unwahrheit einer strittigen Tatsache nicht zu erschüttern (Urteil 6B 323/2021 vom 11. August 2021 E. 2.5.1, zur Publ. vorgesehen; BGE 144 II 427 E. 3.1.3; 143 III 297 E. 9.3.2 S. 332; 141 I 60 E. 3.3; Urteile 6B 1045/2020 vom 10. Februar 2021 E. 2.1.2; 6B 645/2020 vom 30. November 2020 E. 1.2). Das Bundesgericht prüft die Rüge unzulässiger antizipierter Beweiswürdigung nur unter dem Aspekt der Willkür (Urteile 6B 323/2021 vom 11. August 2021 E. 2.5.1, zur Publ. vorgesehen; 6B 1204/2020 vom 24. Februar 2021 E. 3; 6B 1050/2020 vom 20. Mai 2021 E. 2).
3.
Der Beschwerdeführer wendet sich zunächst gegen die Feststellung der Vorinstanz, der Lenker des B.________ sei auf der Y.________-strasse in W.________ mit einer Geschwindigkeit von 115 km/h gefahren.
Auf den bei C.________ sichergestellten Mobiltelefonen befanden sich unter anderem Aufzeichnungen aus dem von ihm bei den angeklagten Fahrten gelenkten D.________. Am 22. März 2018 erstattete das Forensische Institut Zürich auf Auftrag der Staatsanwaltschaft ein Gutachten betreffend die Geschwindigkeitsauswertung in den Videoaufzeichnungen. Was die zweite Fahrt betrifft, hält das Gutachten fest, es könne nur die Geschwindigkeit des D.________ direkt eruiert werden. Dieser sei mit einer durchschnittlichen Geschwindigkeit von mindestens 115 km/h gefahren. Weil der B.________ auf den Auswertstrecken nicht oder nur kurz und kaum verwertbar im Rückspiegel des D.________ sichtbar sei, müsse der Zusammenhang zwischen den Geschwindigkeiten des D.________ und des B.________ im Rahmen der rechtlichen Bearbeitung des Falles unter Einbezug der Stimmen in der Videoaufnahme abschliessend hergestellt werden. Die Vorinstanz weist wie bereits die Erstinstanz darauf hin, auf dem Video sei erkennbar, dass der D.________ und der B.________ bei dieser Fahrt eine kurze Zeit nebeneinander hergefahren seien, was auch anhand der Stimme erkennbar sei, welche sage "mir sind anenand gsi". Aufgrund dieser Umstände könne davon ausgegangen werden, dass der
B.________ eine ähnliche Geschwindigkeit erreicht habe wie der D.________.
Inwiefern diese Sachverhaltsfeststellung willkürlich sein soll, wird in der Beschwerde nicht dargetan und ist auch nicht ersichtlich. Der Beschwerdeführer kritisiert, dass im Gutachten betreffend die Geschwindigkeitsauswertung ausgeführt werde, die auf dem Video hörbare Stimme könne "dahingehend gedeutet werden", dass der B.________ und der D.________ während eines Teils der Videoaufnahmen gleich schnell gefahren seien. Er meint, wenn etwas gedeutet werden könne, könne dies "keinesfalls mit unüberwindbaren Zweifeln gleichgesetzt werden", weshalb die entsprechende Feststellung willkürlich sei und die Unschuldsvermutung verletze. Dabei übersieht er jedoch, dass sich die Vorinstanz nicht alleine auf die wiedergegebene Äusserung stützt, sondern diese zusammen mit den Bildern würdigt, auf denen nach ihren unbeanstandeten Feststellungen sichtbar ist, wie der B.________ eine kurze Zeit neben dem D.________ herfuhr. Mit Blick auf diese ist der Schluss der Vorinstanz, die Fahrzeuge seien eine kurze Zeit nebeneinander hergefahren, nicht willkürlich, und ebensowenig ihre Folgerung, der B.________ habe eine ähnliche Geschwindigkeit erreicht wie der D.________.
4.
4.1. Der Beschwerdeführer bestritt im kantonalen Verfahren, bei den angeklagten Fahrten den Personenwagen B.________ mit dem Kontrollschild yyy gelenkt zu haben.
Zur Frage der Täterschaft würdigt die Vorinstanz in erster Linie das Geständnis, das der Beschwerdeführer in der Hafteinvernahme vom 24. November 2017 abgelegt hat. Dessen Widerruf anlässlich der Befragung vor dem Bezirksgericht am 5. November 2019 beurteilt sie als nicht glaubhaft, da sein Wahrheitsgehalt durch verschiedene Indizien gestützt werde und sich den Akten keine Anhaltspunkte für ein falsches Geständnis entnehmen liessen. Konkret hält sie fest, der Beschwerdeführer habe das leistungsstarke Fahrzeug für drei Tage zu einem hohen Preis von Fr. 1'599.-- für sich gemietet. Bei den Rennen sei es um ein Kräftemessen zwischen zwei leistungsstarken Fahrzeugen gegangen, beziehungsweise darum, zu prüfen, ob der von seinem Kollegen C.________ gelenkte D.________ schneller gefahren sei als der gemietete B.________. Aufgrund all dieser Umstände liege es nahe, dass der Beschwerdeführer dieses Rennen gefahren sei und das von ihm gemietete Fahrzeug auch selber gelenkt habe. Was das Geständnis betrifft, hält sie zusammenfassend fest, dieses sei vom Beschwerdeführer nach einer Unterbrechung der Einvernahme für eine Besprechung mit seinem Verteidiger abgelegt worden. Dem Beschwerdeführer habe angesichts der Schwere des Deliktsvorwurfs
bewusst sein müssen, dass das Risiko der Ausfällung einer unbedingten Freiheitsstrafe bestanden habe. Die von ihm angeführte familiäre und berufliche Situation, welche es hätten wichtig erscheinen lassen, dass er möglichst rasch aus der Haft entlassen werde, könne sowohl aus Motiv für ein der Wahrheit entsprechendes Geständnis wie auch für ein wahrheitswidriges Geständnis herangezogen werden. Das Geständnis sei erst sehr spät widerrufen worden, wobei nicht nachvollziehbar sei, weshalb der Widerruf nicht früher erfolgt sei. Dass die Erstinstanz bei einem geständigen Beschuldigten zwei Zeugeneinvernahmen angesetzt habe, sei entgegen der Auffassung der Verteidigung nicht als Zweifel am Geständnis zu werten, sondern durchaus damit erklärbar, dass der Beschwerdeführer in der Einvernahme nach Ablegen des Geständnisses die Aussage verweigert habe. Dies habe darauf hindeuten können, dass es möglicherweise nicht beim Geständnis bleiben würde.
Was in der Beschwerde dagegen vorgebracht wird, belegt keine willkürliche oder anderweitig bundesrechtswidrige Sachverhaltsfeststellung. Der Beschwerdeführer setzt sich nicht hinreichend mit der gesamten Beweiswürdigung der Vorinstanz auseinander, sondern begnügt sich über weite Strecken damit, dieser seine eigene Sicht der Dinge gegenüberzustellen und unter Hinweis auf das Willkürverbot sowie den Grundsatz "in dubio pro reo" zu erläutern, wie einzelne Beweise seiner Auffassung nach zu würdigen wären. Das gilt etwa, wenn er argumentiert, wäre tatsächlich er gefahren, hätten die beiden Zeugen, die ihn seit längerem kannten, nicht gesagt, sie wüssten nicht (mehr), wer gefahren ist, sondern, sie wollten es nicht sagen respektive verweigerten die Aussagen. Soweit die Kritik überhaupt den Begründungsanforderungen der Beschwerde an das Bundesgericht genügt (vgl. oben E. 2.1), zeigt sie jedenfalls nicht, dass die Vorinstanz unhaltbare Schlüsse gezogen, erhebliche Beweise übersehen oder solche willkürlich ausser Acht gelassen hätte und ihre Beweiswürdigung im Ergebnis schlechterdings unhaltbar wäre. Im Einzelnen ist dazu was folgt anzumerken.
4.2. Der Beschwerdeführer beanstandet die Formulierung der Vorinstanz, aufgrund aller Umstände liege es nahe, dass der Beschwerdeführer diese Rennen gefahren sei und das von ihm gemietete Fahrzeug auch selber gelenkt habe. Er meint, ein "Naheliegen" genüge für einen Schuldspruch nicht, weshalb die Vorinstanz den Grundsatz "in dubio pro reo" verletze. Dabei verkennt er, dass sich die kritisierte Formulierung nicht auf die gesamte Beweislage bezieht, sondern lediglich auf die - das Geständnis stützenden - weiteren Indizien, so insbesondere den Umstand, dass es sich bei den fraglichen Rennen um ein Kräftemessen handelte. Der Schuldspruch beruht also nicht auf der blossen Feststellung der Vorinstanz, dass die Täterschaft des Beschwerdeführers naheliege. Im Übrigen ist es entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers nicht etwa willkürlich, wenn die Vorinstanz es als naheliegend beurteilt, dass der Beschwerdeführer, der das Fahrzeug für sich gemietet hatte, dieses Rennen selber gefahren sei, als höchst unwahrscheinlich dagegen, dass sich irgendein Kollege, dem er das Fahrzeug für eine Runde überlassen habe, spontan dazu habe animieren lassen, zwei Rennen zu fahren.
Auch wenn der Beschwerdeführer die in diesem Zusammenhang getroffene Feststellung der Vorinstanz kritisiert, "dass es bei dem Rennen offensichtlich darum ging, die Leistung der beiden Fahrzeuge miteinander zu vergleichen, zu schauen, ob der getunte D.________ oder der stark motorisierte B.________ schneller fährt", hat er keinen Erfolg. Zunächst ist entgegen seiner Auffassung nicht unklar, welches der beiden Rennen die Vorinstanz damit meint, geht aus der Zusammenfassung auf S. 18 doch eindeutig hervor, dass sich die zitierte Feststellung auf beide anklagegegenständlichen Fahrten bezieht. Im Übrigen stützt sich die Würdigung der Vorinstanz, es sei darum gegangen, die Leistung der Fahrzeuge miteinander zu vergleichen, auf die dahingehende Aussage von E.________. Der Beschwerdeführer kann sie nicht als willkürlich ausweisen, indem er seinerseits behauptet, "dass selbst ein getunter D.________ mit dem B.________ in der Beschleunigung nicht mithalten kann". Schliesslich beanstandet der Beschwerdeführer den Satz der Vorinstanz: "Ferner darf als notorisch bezeichnet werden, dass in Kreisen junger Männer, welche sich für stark motorisierte schnelle Autos interessieren, zuweilen leichtfertig davon ausgegangen wird, es werde bei
Geschwindigkeitsüberschreitungen schon nichts passieren.", reisst diesen jedoch aus dem Zusammenhang. Die Vorinstanz tritt mit diesem nämlich der Würdigung der Erstinstanz entgegen, wonach auch der im Mietvertrag vereinbarte Selbstbehalt im Schadenfall den Beschwerdeführer davon abgehalten hätte, das Fahrzeug Kollegen für Fahrten zu überlassen. Mit anderen Worten würdigt sie den erwähnten Umstand zu Gunsten des Beschwerdeführers, und der Satz belegt demnach gerade nicht, dass die Vorinstanz "implizit auch von der Schuld des Beschwerdeführers" ausgegangen wäre.
4.3.
4.3.1. Der Beschwerdeführer beanstandet sodann ausführlich die Berücksichtigung seines - in der Folge widerrufenen - Geständnisses vom 24. November 2017.
4.3.2. Ob auf ein Geständnis abgestellt werden kann, das später zurückgezogen wurde, ist eine Frage der Beweiswürdigung (Urteil 6B 1220/2019 vom 14. April 2020 E. 4.4).
4.3.3. Die Vorinstanz würdigt den Umstand des Geständnisses und seines späteren Widerrufs eingehend und nachvollziehbar: Sie führt aus, in der nächsten auf die Hafteinvernahme folgenden Einvernahme vom 6. September 2018 habe der Beschwerdeführer die Aussage verweigert. Es bleibe unklar, weshalb er sein Geständnis erst rund zwei Jahre später widerrufen und nicht sofort in der ersten Einvernahme nach seiner Haftentlassung geltend gemacht habe, er habe unter dem Druck der Haftsituation ein falsches Geständnis abgelegt. Dass die Abwendung drohender Untersuchungshaft die Motivation fördern könne, ein (wahres oder falsches) Geständnis abzulegen, sei zwar durchaus nachvollziehbar, insbesondere, da die Haft damals besonders nachteilige Auswirkungen auf die berufliche und familiäre Situation des Beschwerdeführers gehabt hätte. Seine Mutter sei gesundheitlich angeschlagen und im Sanatorium F.________ in Behandlung, seine schwangere Freundin sei am Tag der Einvernahme in die Schweiz gereist, um Ferien mit ihm zu verbringen, und er sei im Begriff gewesen, ein eigenes Umzugsunternehmen aufzubauen. Wie bereits die Erstinstanz zutreffend dargelegt habe, falle aber auch ins Gewicht, dass der Beschwerdeführer das Geständnis erst nach einer
Unterbrechung der Einvernahme zwecks Besprechung mit seinem Verteidiger abgelegt habe. Dies deute darauf hin, dass das Geständnis wohlüberlegt erfolgt sei. Der anlässlich der Berufungsverhandlung eingereichten Erklärung vom 17. März 2021 des damaligen vom Beschwerdeführer beigezogenen Verteidigers sei zu entnehmen, dass ihm der Beschwerdeführer damals unter vier Augen eröffnet habe, dass er selbst der Fahrer gewesen sei. Der Beschwerdeführer habe für den damaligen Verteidiger durchaus überzeugend gewirkt. Zudem sei für den Beschwerdeführer angesichts der Schwere des Deliktsvorwurfs absehbar gewesen, dass eine Verurteilung basierend auf seinem Geständnis zu einer einschneidenden Sanktion führen könnte. Aufgrund seiner Vorstrafen habe er auch damit rechnen müssen, dass eine vollziehbare Freiheitsstrafe ausgesprochen werden könnte, was mindestens hinderlich und belastend für seine privaten und beruflichen Zukunftspläne sein würde. Auch wenn ein Geständnis einstweilen zur Abwendung einer Fortdauer der Haft geführt habe, habe das Risiko einer einschneidenden Sanktion bei einer Verurteilung gedroht. In einer derartigen Zwangssituation sei nicht nachvollziehbar, dass der Beschwerdeführer nicht die mehreren Namen seiner Kollegen genannt
habe, welche für die Fahrt aus seiner Sicht in Frage gekommen wären. Dies - so die Vorinstanz weiter - wäre keiner falschen Anschuldigung gleichgekommen, hätte der Beschwerdeführer der Staatsanwaltschaft nur mehrere mögliche Täter aufgezeigt und nicht einen spezifisch beschuldigt. Ausserdem habe er mit einem Führerausweisentzug rechnen müssen, welcher sehr ungünstige Auswirkungen auf seine berufliche Tätigkeit haben würde. Wenn der damals einvernehmende Staatsanwalt - wie vom Verteidiger geltend gemacht - am Geständnis gezweifelt hätte, hätte er den Beschwerdeführer danach nicht aus der Haft entlassen.
4.3.4. Dem hält der Beschwerdeführer im Wesentlichen lediglich seine abweichende eigene Würdigung gegenüber, wodurch er von vornherein keine Willkür belegt (vgl. oben E. 2.1). Ohnehin kann seiner Kritik nicht gefolgt werden. So ist es insbesondere nicht unhaltbar, wenn die Vorinstanz auf das vom Beschwerdeführer eingereichte Schreiben seines damaligen Verteidigers abstellt und dieses zu Lasten des Beschwerdeführers würdigt, äussert sich sein damaliger Verteidiger darin doch dahingehend, dass der Beschwerdeführer ihm in der Pause überzeugend eröffnet habe, er sei selbst der Fahrer gewesen und habe dies bis jetzt nicht sagen wollen. Dass die Staatsanwaltschaft am Geständnis zunächst gezweifelt haben mag, wie im Schreiben geschildert wird, widerspricht der Würdigung der Vorinstanz nicht, zumal sein damaliger Verteidiger angibt, seine Ausführungen hätten ihn in der Folge umgestimmt. Die Vorinstanz berücksichtigt das Schreiben nicht unvollständig, wenn sie davon ausgeht, der Staatsanwalt habe dem Geständnis letztlich geglaubt. Ferner überzeugt auch die Begründung der Vorinstanz, weshalb sie der Darstellung des Beschwerdeführers keinen Glauben schenkt, er habe das Geständnis abgelegt, um nicht in Untersuchungshaft zu kommen. Angesichts
der drohenden unbedingten Freiheitsstrafe ist es in der Tat nicht glaubhaft, dass der Beschwerdeführer nicht statt des Geständnisses die Namen der als Täter in Frage kommenden Personen nannte. Dass er darauf verzichtet hätte, um sich nicht nach Art. 303
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 303 - 1. Quiconque dénonce à l'autorité, comme auteur d'un crime ou d'un délit, une personne qu'il sait innocente, en vue de faire ouvrir contre elle une poursuite pénale, |
|
1 | Quiconque dénonce à l'autorité, comme auteur d'un crime ou d'un délit, une personne qu'il sait innocente, en vue de faire ouvrir contre elle une poursuite pénale, |
2 | L'auteur est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire si la dénonciation calomnieuse a trait à une contravention. |
4.4. Schliesslich kritisiert der Beschwerdeführer unter dem Titel "C. Geschwindigkeit zweite Fahrt:", dass kein Stimmgutachten des Videos der zweiten Fahrt erstellt wurde. Er meint, ein solches hätte klar gezeigt, dass die auf der Filmaufnahme zu hörende Stimme des Lenkers des B.________ nicht von ihm stamme. Tatsächlich geht die Vorinstanz im angefochtenen Entscheid davon aus, auf der Videoaufzeichnung sei die Stimme "des Lenkers des B.________" zu hören. Indessen macht der Beschwerdeführer nicht geltend und ist auch nicht festgestellt, dass er im kantonalen Verfahren die Einholung eines Stimmgutachtens beantragt oder die Nichteinholung gerügt hätte. Jedenfalls unter Willkürgesichtspunkten (vgl. oben E. 2.1) ist es aber auch nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz ein solches Gutachten nicht von Amtes wegen einholte, zumal sie gerade nicht aus der Stimmaufnahme auf die Lenkereigenschaft des Beschwerdeführers schliesst (vgl. oben E. 4.1).
4.5. Nach dem Gesagten ist die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz, wonach der Beschwerdeführer das Fahrzeug lenkte, nicht zu beanstanden. Die gerügten Rechtsverletzungen liegen nicht vor.
5.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind dem Beschwerdeführer die Gerichtskosten aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, II. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 13. Oktober 2021
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari
Die Gerichtsschreiberin: Bianchi