Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 439/2021
Urteil vom 13. April 2022
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Parrino, Präsident,
Bundesrichterin Moser-Szeless,
nebenamtliche Bundesrichterin Truttmann,
Gerichtsschreiberin Nünlist.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Marco Forte,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle Bern,
Scheibenstrasse 70, 3014 Bern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung,
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern vom 5. Juli 2021 (200 20 682 IV).
Sachverhalt:
A.
Der 1968 geborene A.________ war Projektleiter bei der Arbeitgeberin B.________, als er sich im Dezember 2017 unter Hinweis auf verschiedene somatische Beschwerden bei der Eidgenössischen Invalidenversicherung (IV) zum Leistungsbezug anmeldete. Es folgten medizinische Abklärungen und berufliche Massnahmen. Am 11. Juli 2019 erstattete das Zentrum für Medizinische Begutachtung, Basel (ZMB), ein polydiszplinäres (orthopädisch, internistisch, neurologisch, kardiologisch, psychiatrisches) Gutachten.
Die IV-Stelle Bern tätigte daraufhin Rücksprachen mit dem Regionalen Ärztlichen Dienst (RAD) und den Gutachtern. Nach Abschluss der beruflichen Eingliederung sowie durchgeführtem Vorbescheidverfahren verneinte sie einen Rentenanspruch mit Verfügung vom 20. Juli 2020 (Invaliditätsgrad: 30 %). Zwischenzeitlich hatte der Versicherte beim selben Arbeitgeber auf die Tätigkeit C.________ gewechselt.
B.
Die gegen die Verfügung vom 20. Juli 2020 erhobene Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Bern mit Urteil vom 5. Juli 2021 ab.
C.
A.________ lässt mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragen, die Beschwerdegegnerin sei unter Aufhebung des angefochtenen Urteils zu verpflichten, eine umfassende interdisziplinäre medizinische Begutachtung über SuisseMED@P in Auftrag zu geben. Eventualiter sei sie zu verpflichten, ihm ab dem 1. Juli 2018 Rentenleistungen basierend auf einem Invaliditätsgrad von mehr als 50 % auszurichten.
In ihrer Vernehmlassung vom 21. Oktober 2021 beantragt die Beschwerdegegnerin die Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Sozialversicherungen (BSV) verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Am 1. Januar 2022 trat das revidierte Bundesgesetz über die Invalidenversicherung (IVG; SR 831.20) in Kraft (Weiterentwicklung der IV [WEIV]; Änderung vom 19. Juni 2020, AS 2021 705, BBl 2017 2535). Die dem angefochtenen Urteil zugrunde liegende Verfügung erging vor dem 1. Januar 2022. Nach den allgemeinen Grundsätzen des intertemporalen Rechts und des zeitlich massgebenden Sachverhalts (statt vieler: BGE 144 V 210 E. 4.3.1; 129 V 354 E. 1 mit Hinweisen) sind daher die Bestimmungen des IVG und diejenigen der Verordnung über die Invalidenversicherung (IVV; SR 831.201) sowie des Bundesgesetzes über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG; SR 830.1) in den bis 31. Dezember 2021 gültig gewesenen Fassungen anwendbar.
3.
3.1. Das kantonale Gericht hat in einem ersten Schritt die Verletzung des rechtlichen Gehörs durch die Beschwerdegegnerin, indem diese mit den ZMB-Gutachtern Rücksprache gehalten hatte, ohne den Beschwerdeführer einzubeziehen, und keine Indikatorenprüfung durchgeführt hatte, als geheilt beurteilt. Sodann hat es eine Voreingenommenheit der Experten verneint.
3.2.
3.2.1. Der Beschwerdeführer rügt eine Befangenheit der ZMB-Gutachter ab dem Zeitpunkt des Telefonats zwischen ihnen und dem RAD vom 5. September 2019.
Die bundesgerichtliche Rechtsprechung verlangt gestützt auf den auch für Private geltenden Grundsatz von Treu und Glauben und das Verbot des Rechtsmissbrauchs (Art. 5 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
Die Beschwerdegegnerin stellte dem Beschwerdeführer die Akten und damit auch die ergänzende Stellungnahme der Gutachter vom 18. September 2019, aus welcher die Kontaktaufnahme zwischen ihnen und dem RAD hervorgeht, am 24. September 2019 zu. Ab diesem Zeitpunkt hätte der Beschwerdeführer Gelegenheit gehabt, eine Befangenheit der Gutachter zu rügen. Dies hat er im Rahmen des Verwaltungsverfahrens jedoch nicht getan. Mit Blick auf die dargelegte Rechtsprechung war respektive ist er damit im vorinstanzlichen beziehungsweise im Verfahren vor Bundesgericht verspätet. Weder hätte das kantonale Gericht, noch hat das Bundesgericht darauf weiter einzugehen (gehabt).
3.2.2. Der Beschwerdeführer beanstandet weiter die Schlussfolgerung des kantonalen Gerichts, dass der Mangel der durch die Beschwerdegegnerin unterlassenen Indikatorenprüfung geheilt worden sein soll.
Zwar hat die Beschwerdegegnerin tatsächlich keine Indikatorenprüfung vorgenommen. Selbst wenn damit von einer Verletzung des rechtlichen Gehörs auszugehen wäre, hätte der Beschwerdeführer jedoch - entgegen seiner Ansicht - nach Einsicht in den Vorbescheid vom 9. April 2020 bereits im Rahmen des Einwandverfahrens Gelegenheit gehabt, sich zu den Indikatoren zu äussern und darzulegen, inwiefern mit Blick auf diese von einer Einschränkung der Arbeitsfähigkeit aus psychiatrischer Sicht auszugehen ist. Dies hat er vor dem kantonalen Gericht denn auch getan. Dass die Vorinstanz, welche selbst noch mit voller Kognition urteilte, auf eine Heilung des Mangels geschlossen hat, verletzt daher kein Bundesrecht.
3.2.3. Zu prüfen bleibt, ob das kantonale Gericht den Mangel, wonach die Beschwerdegegnerin mit den Gutachtern Rücksprache gehalten hatte, ohne den Beschwerdeführer einzubeziehen, zu Recht als geheilt erachtet hat.
Vorweg ist in diesem Zusammenhang auf Folgendes hinzuweisen: Der Beschwerdeführer bestätigt selbst, dass die Ausführungen der ZMB-Gutachter in der Konsensbeurteilung vom 31. Mai 2019 hinsichtlich Leistungsbeurteilung und Verlauf der Arbeitsfähigkeit unklar waren. Eine Klärung, insbesondere betreffend die Leistungsbeurteilung, ergibt sich entgegen seiner Ansicht auch nicht mit Blick auf das Psychiatrische Teilgutachten. Darin wird nämlich nicht ausdrücklich festgehalten, wie sich die 20%ige Einschränkung äussert, ob als Rendement-Verminderung oder additiv zur somatischen Einschränkung von 30 %. So wird einmal (angestammt) auf eine "vollschichtige Anwesenheit" Bezug genommen, dann jedoch (leidensangepasst) auf eine "reduzierte Anwesenheitszeit" (Psychiatrisches Teilgutachten S. 72 f.). Eine Rücksprache mit den Gutachtern war damit unverzichtbar.
Zwar ist korrekt, dass der Beschwerdeführer nicht einbezogen wurde, als es darum ging, mit den ZMB-Gutachtern Rücksprache zu halten. So zog sie ihn nicht bei, als sie den Gutachtern den Reformulierungsvorschlag des RAD betreffend Leistungsbeurteilung und Verlauf der Arbeitsunfähigkeit vom 30. Juli 2019, unterbreitete, wozu die Gutachter am 18. September 2019 Stellung nahmen. Zudem wurde der Versicherte auch über die Einholung der ergänzenden Stellungnahme zum Bericht des behandelnden Arztes vom 12. November 2019, die am 12. März 2020 erging, nicht informiert. Am 24. September 2019 und am 21. April 2020 stellte die Beschwerdegegnerin dem Beschwerdeführer jedoch ihre Akten zu. Der Vorbescheid datiert vom 9. April 2020, die Verfügung vom 20. Juli 2020.
Vom Reformulierungsvorschlag des RAD an die ZMB-Gutachter und von dessen Übernahme durch die Experten hatte der Beschwerdeführer somit Monate vor dem Erlass des Vorbescheids Kenntnis und damit auch Gelegenheit, sich dazu zu äussern, insbesondere klärende Ergänzungsfragen zu stellen. Von der Rücksprache im Zusammenhang mit dem Bericht des behandelnden Arztes vom November 2019 erfuhr der Beschwerdeführer sodann während des Einspracheverfahrens und hatte somit ab diesem Zeitpunkt - allenfalls unter Verlängerung der Frist für den Einwand - Gelegenheit zur Stellungnahme. Im Rahmen des Vorbescheidverfahrens machte der Beschwerdeführer Ausführungen zu seiner Leistungsfähigkeit, sowohl unter Bezugnahme auf den besagten Bericht seines behandelnden Arztes als auch unter Hinweis auf die Ausführungen im ZMB-Gutachten (Einwandschreiben vom 5. Mai 2020 S. 3 f.).
Dass die Vorinstanz von einer Heilung des Mangels ausgegangen ist, verletzt mit Blick auf das Dargelegte kein Bundesrecht. Ins Leere zielt die Rüge, wonach eine Heilung nicht mehr möglich sei, weil der Sachverhalt aufgrund der schwerwiegenden Verletzung des rechtlichen Gehörs rechtsfehlerhaft festgestellt worden sei. So konnte sich der Beschwerdeführer insbesondere auch vor dem kantonalen Gericht, das über eine volle Kognition verfügt, äussern (vgl. auch Urteil 8C 785/2016 vom 10. Februar 2017 E. 4 mit Hinweisen, insbesondere auf BGE 136 V 113 E. 5.4 f.).
4.
4.1. Zu prüfen bleibt, ob Bundesrecht verletzt wurde, indem das kantonale Gericht den Anspruch des Beschwerdeführers auf eine Invalidenrente verneint hat. Diesbezüglich gerügt wird eine unzulässige juristische Parallelüberprüfung.
4.2.
4.2.1. Die für die Beurteilung der Streitsache massgeblichen rechtlichen Grundlagen wurden im angefochtenen Urteil zutreffend dargelegt. Es betrifft dies insbesondere die Erwägungen und Grundsätze zur Invalidität und zu deren Grundlagen, vor allem bei psychischen Gesundheitsschäden (Art. 6 ff
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
4.2.2. Hervorzuheben respektive zu ergänzen ist, dass eine allfällige Arbeitsunfähigkeit bei psychischen Leiden (BGE 143 V 409 E. 4.2.1; 143 V 418; 141 V 281) mittels eines strukturierten Beweisverfahrens zu beurteilen ist. Dessen Wesen besteht darin, das tatsächlich erreichbare Leistungsvermögen anhand eines Kataloges von (Standard-) Indikatoren, unterteilt in die Kategorien "funktioneller Schweregrad" (mit den Komplexen Gesundheitsschädigung [Ausprägung der diagnoserelevanten Befunde, Behandlungs- und Eingliederungserfolg oder -resistenz, Komorbiditäten], Persönlichkeit und sozialer Kontext) und "Konsistenz" (gleichmässige Einschränkung des Aktivitätenniveaus in allen vergleichbaren Lebensbereichen, behandlungs- und eingliederungsanamnestisch ausgewiesener Leidensdruck; BGE 141 V 281 E. 4.1.3) einzuschätzen, dies unter Berücksichtigung sowohl leistungshindernder äusserer Belastungsfaktoren als auch von Kompensationspotentialen (Ressourcen; BGE 141 V 281 E. 3.6).
Die medizinischen Sachverständigen wie auch die Organe der Rechtsanwendung müssen sich bei ihrer Einschätzung des Leistungsvermögens an den normativen Vorgaben orientieren; die Gutachter im Idealfall gemäss der entsprechend formulierten Fragestellung (BGE 141 V 281 E. 5.2). Die Rechtsanwender prüfen die medizinischen Angaben frei, insbesondere daraufhin, ob die Ärzte sich an die massgebenden normativen Rahmenbedingungen gehalten haben. Es stellt sich aus rechtlicher Sicht die Frage, ob und in welchem Umfang die ärztlichen Feststellungen anhand der rechtserheblichen Indikatoren auf eine Arbeitsunfähigkeit schliessen lassen, wie sie vom medizinisch-psychiatrischen Experten abschliessend eingeschätzt worden ist. Eine davon losgelöste Parallelüberprüfung "nach besserem juristischen Wissen und Gewissen" darf nicht stattfinden (BGE 145 V 361 E. 3.2.2 mit Hinweisen; Urteil 8C 407/2020 vom 3. März 2021 E. 5.1). Rechtsprechungsgemäss liegt eine solche dann nicht vor, wenn das kantonale Gericht anhand der medizinischen Indikatorenprüfung die massgeblichen Beweisthemen im Rahmen einer umfassenden Betrachtung eines stimmigen Gesamtbildes schlüssig abhandelt und nachweist, wo die ärztlichen Darlegungen nicht mit den normativen Vorgaben
übereinstimmen (BGE 145 V 361 E. 4.1.1 mit Hinweisen).
4.2.3. Im Hinblick auf die Beurteilung, ob ein psychisches Leiden invalidisierend wirkt, zählen als Tatsachenfeststellungen alle Feststellungen der Vorinstanz, die auf der Würdigung von ärztlichen Angaben und Schlussfolgerungen betreffend Diagnose und Folgenabschätzung beruhen. Als Rechtsfrage frei überprüfbar ist hingegen, ob und in welchem Umfang die ärztlichen Feststellungen anhand der rechtserheblichen Indikatoren auf eine Arbeitsunfähigkeit schliessen lassen (vgl. BGE 141 V 281 E. 7).
5.
5.1. Die Vorinstanz hat erwogen, im ZMB-Gutachten vom 11. Juli 2019 seien mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit aus psychiatrischer Sicht eine mittelgradige depressive Episode, unvollständig remittiert, derzeit noch leicht ausgeprägt, und eine Agoraphobie sowie ohne Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit eine Akzentuierung anankastischer Persönlichkeitszüge diagnostiziert worden. Das Gutachten erfülle - jedenfalls was die erhobenen Befunde und die gestellten Diagnosen betreffe - die Anforderungen an eine beweiskräftige medizinische Expertise. In somatischer Hinsicht sei gestützt auf die gutachterliche Einschätzung erstellt, dass seit einer kardialen Bypass-Operation vom 11. Juli 2017 eine Arbeitsunfähigkeit von mindestens 20 % medizinisch-objektiv ausgewiesen sei. Aufgrund der Operation und der nachfolgend stark verlängerten Rekonvaleszenz habe vom 11. Juli 2017 bis 31. Januar 2018 eine 100%ige Arbeitsunfähigkeit bestanden. Seit dem 1. Februar 2018 sei eine angepasste Tätigkeit aus somatischer Sicht möglich, wobei eine Arbeitsfähigkeit mit einem Pensum von 70 % bestehe. In psychiatrischer Hinsicht sei erstellt, dass der Beschwerdeführer an einer mittelgradig depressiven Episode, unvollständig remittiert, derzeit noch leicht
ausgeprägt, sowie an einer Agoraphobie leide. Aufgrund der aus psychiatrischer Sicht verminderten emotionalen Belastbarkeit, vermehrten Ablenkbarkeit und des deutlich erhöhten Pausenbedarfs hätten die Gutachter eine zusätzliche Leistungsminderung von 20 % attestiert.
Im Rahmen der Prüfung der Standardindikatoren (BGE 141 V 281) hat das kantonale Gericht darauf geschlossen, dass die "Ausprägung der diagnoserelevanten Befunde" nicht schwer sei. Weiter hat es erwogen, es liege offenkundig keine ausgewiesene Behandlungsresistenz vor. Im Zusammenhang mit der "Komorbidität" hat es ausgeführt, zwar könne dem depressiven Zustandsbild nicht jegliche ressourcenhemmende Wirkung abgesprochen werden, augenscheinlich stelle es indes auch ein reaktives Geschehen dar, beruhend auf psychosozialen Belastungsfaktoren, welche als invaliditätsfremd auszuklammern seien. Mithin handle es sich einzig um eine leichte Komorbidität. Die diagnostizierten akzentuierten Persönlichkeitszüge (Perfektionismus, ausgiebige Beschäftigung mit Details) seien als Z-Diagnose ohne Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit beurteilt worden, womit diesbezüglich keine Wechselwirkungen zu berücksichtigen seien und auch hinsichtlich der Persönlichkeit lägen keine invalidenversicherungsrechtlich relevanten Einschränkungen vor. Zum Komplex "Sozialer Kontext" hat es weiter erwogen, der Beschwerdeführer verfüge über ein intakt-stabiles und funktionierendes soziales Umfeld mit Ressourcen. Schliesslich hat es ausgeführt, beweisrechtlich entscheidend
sei die Kategorie "Konsistenz". Beim Indikator "gleichmässige Einschränkung des Aktivitätenniveaus in allen vergleichbaren Lebensbereichen" habe die psychiatrische Gutachterin keine Diskrepanzen bemerkt, so beträfen die Beeinträchtigungen konsistent alle Bereiche. Eine gesundheitsbedingte Veränderung oder Beeinflussung der Alltagsaktivitäten sowie der sozialen Kontakte sei gegenüber der Gutachterin allerdings nicht beschrieben worden. Vielmehr unternehme der Beschwerdeführer weiterhin gerne gemeinsame Wanderungen mit seiner Familie. Nach dem Abendessen mache er gerne einen Abendspaziergang mit seiner Frau (täglich 45 Minuten). Insgesamt sei er eher ein körperlich aktiver Mensch. Er sitze etwa zwei bis drei Mal pro Woche auf seinem Hometrainer. Er lese regelmässig und höre Musik, schaue ab und zu fern. Seine Hobbies seien Velofahren, früher Modellbau (Segelschiffe). Er pflege regelmässig Kontakt mit Kollegen und gehe je einmal pro Woche zur Physiotherapie, zur Akupunktur und zur Rückenmassage. Zudem mache er täglich ein Physiotherapie-Heimprogramm. Schliesslich hat die Vorinstanz erwogen, sei ein behandlungs- und eingliederungsanamnestischer Leidensdruck nicht ausgewiesen. Die ambulante Behandlung sei sehr niederschwellig. Mangels
Bereitschaft des Beschwerdeführers sei bis anhin weder eine pharmakotherapeutische noch jemals eine stationäre Therapie erfolgt. Dementsprechend habe die Gutachterin denn auch die Fortführung und Intensivierung der laufenden ambulanten psychiatrischen Therapie empfohlen, die gemäss Angaben des Beschwerdeführers aus etwa alle zwei Monate stattfindenden, jeweils einstündigen Terminen bestehe. In einer Gesamtbetrachtung seien die geltend gemachten funktionellen Auswirkungen der medizinisch festgestellten psychiatrischen Beeinträchtigungen anhand der Standardindikatoren nicht überwiegend wahrscheinlich erstellt, weshalb das Vorliegen eines invalidisierenden psychiatrischen Gesundheitsschadens zu verneinen sei. Vor diesem Hintergrund sei auf die in psychiatrischer Hinsicht attestierte Arbeitsunfähigkeit bzw. Rendement-Verminderung aus rechtlicher Optik nicht abzustellen.
5.2.
5.2.1. Vorab fällt auf, dass das kantonale Gericht nicht nachweist, wo die gutachterlichen Darlegungen nicht mit den normativen Vorgaben übereinstimmen sollen (vgl. E. 4.2.2 hiervor).
5.2.2. Die Prüfung der Vorinstanz beschränkt sich im Wesentlichen darauf, die bereits durch die psychiatrische Expertin berücksichtigten Elemente unvollständig wiederzugeben und in der Folge eine von der Gutachterin abweichende Arbeitsfähigkeitsschätzung vorzunehmen (vgl. E. 4.2.2 hiervor) :
Gänzlich unberücksichtigt gelassen hat das kantonale Gericht etwa die diagnostizierte Akzentuierung anankastischer Persönlichkeitszüge. Diesbezüglich bringt der Beschwerdeführer zu Recht vor, dass gemäss bundesgerichtlicher Rechtsprechung Störungen unabhängig von ihrer Diagnose bereits dann als rechtlich bedeutsame Komorbidität in Betracht fallen, wenn ihnen im konkreten Fall ressourcenhemmende Wirkung beizumessen ist (BGE 143 V 418 E. 8.1). Gemäss der psychiatrischen Expertin führt die depressive Restsymptomatik im Zusammenwirken mit der Agoraphobie und der anankastisch akzentuierten Persönlichkeit dazu, dass der Beschwerdeführer seine Schmerzen und Leistungsbeeinträchtigung subjektiv sehr stark wahrnimmt, sich detailliert mit ihnen beschäftigt und Mühe hat, den Fokus weg von seinen gesundheitlichen Problemen zu lenken, mit entsprechendem Erschöpfungserleben (Psychiatrisches Teilgutachten S. 71). Eine ressourcenhemmende Wirkung der akzentuierten Persönlichkeitszüge ist damit erwiesen, weshalb ihnen im Rahmen des Indikators "Komorbiditäten" hätte Rechnung getragen werden müssen. Gleiches gilt für den Komplex "Persönlichkeit" (vgl. BGE 141 V 281 E. 4.3.2 mit Hinweisen).
Bei der Prüfung der "gleichmässigen Einschränkung des Aktivitätenniveaus in allen vergleichbaren Lebensbereichen" hat die Vorinstanz sodann zwar anerkannt, dass diesbezüglich keine Diskrepanzen bestehen. Sie hat jedoch auf einen (weiterhin) aktiven Tagesablauf geschlossen und festgehalten, dass eine gesundheitsbedingte Veränderung der Alltagsaktivitäten nicht dargetan werde. Dabei hat sie aber ausser Acht gelassen, dass der Beschwerdeführer anlässlich der psychiatrischen Begutachtung dargetan hatte, nach der Arbeit (06.20 bis 11.00 Uhr) - wenn er keine Therapie habe - am Nachmittag oft so müde zu sein, dass er schlafe, bis seine Ehefrau nach Hause komme (Psychiatrisches Teilgutachten S. 69). Es kann somit offensichtlich nicht vom gleichen Aktivitätsniveau ausgegangen werden, wie als der Beschwerdeführer noch zu 100 % in leitender Funktion erwerbstätig war.
Im Rahmen der Prüfung des "behandlungsanamnestisch ausgewiesenen Leidensdrucks" hat das kantonale Gericht zwar korrekt darauf hingewiesen, dass die Therapie des Beschwerdeführers sehr niederschwellig war und bisher mangels seiner Bereitschaft insbesondere keine stationäre Therapie stattgefunden hatte. Unterlassen zu erwähnen hat die Vorinstanz jedoch, dass die durchgeführte ambulante Therapie gemäss Expertin dennoch schon zu einer Besserung geführt hatte (Psychiatrisches Teilgutachten S. 72). Weiter begründete der Beschwerdeführer seine Skepsis gegenüber einer stationären Therapie damit, dass er die Erfahrung gemacht habe, ausserhalb seines Bettes aufgrund der Schmerzen nicht gut schlafen zu können, und daher im stationären Rahmen eine Zunahme seiner Schlafstörungen und damit insgesamt eher eine Verschlechterung seines Befindens befürchte. Sodann habe er Zweifel daran, ob eine Unterbrechung seiner beruflichen Reintegration und eine Distanzierung aus seinem als sehr stützend erlebten familiären und sozialen Umfeld sich wirklich hilfreich und lindernd bezüglich seiner Beschwerden auswirken könnten (Psychiatrisches Teilgutachten S. 69). Angesichts der bereits eingetretenen Verbesserung im Rahmen der durchgeführten ambulanten Therapie
des gemäss Gutachterin perfektionistisch veranlagten, selbstdisziplinierten Beschwerdeführers erscheint tatsächlich fraglich, inwieweit ein Herausreissen aus dem beruflichen und sozialen Umfeld, beides ressourcenerhöhend, zwecks Unterbringung im stationären Setting sinnvoll wäre. Wird sodann auch der leichten Dissimulation Rechnung getragen, muss die Aussage hinsichtlich des fehlenden behandlungsanamnestischen Leidensdrucks erheblich relativiert werden.
5.3. Die einseitige und unvollständige Prüfung der Indikatoren durch das kantonale Gericht verletzt Bundesrecht (vgl. E. 4.2.2 hiervor), weshalb darauf nicht abgestellt werden kann. Es bleibt die psychiatrisch gutachterliche Einschätzung, bei welcher in Würdigung sämtlicher relevanter Aspekte auf eine Einschränkung von 20 % geschlossen wurde (Psychiatrisches Teilgutachten, S. 72 f.).
5.4. Zu prüfen ist schliesslich, wie sich diese Einschränkung konkret auf die Arbeits- bzw. Leistungsfähigkeit des Versicherten äussert: Soweit der Beschwerdeführer von einer gemäss Psychiaterin klar additiven Einschränkung ausgeht, kann ihm - wie bereits dargelegt (E. 3.2.3 hiervor) - nicht gefolgt werden. Zu Recht verlangte die Beschwerdegegnerin daher eine ergänzende Stellungnahme von den Gutachtern ein. Diese äusserten sich am 18. September 2019 und attestierten eine zusätzliche psychisch bedingte Leistungsminderung von 20 % im Pensum von 70 %. Zwar stammt dieser Vorschlag ursprünglich vom RAD (Stellungnahme vom 30. Juli 2019). Von Suggestion ist jedoch nicht auszugehen, waren die Gutachter doch frei, zu überprüfen, ob sie der Einschätzung folgten oder nicht (vgl. im Übrigen BGE 141 V 330 E. 6.2.2, wonach davon auszugehen ist, dass Gutachter mit Suggestivfragen umzugehen wissen).
6.
Auf der Grundlage des Gesagten bleibt eine Neubemessung des Invaliditätsgrades vorzunehmen:
Ein potenzieller Rentenanspruch besteht ab 1. Juli 2018 (Art. 28 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 29 Naissance du droit et versement de la rente - 1 Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré. |
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1 | Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré. |
2 | Le droit ne prend pas naissance tant que l'assuré peut faire valoir son droit à une indemnité journalière au sens de l'art. 22. |
3 | La rente est versée dès le début du mois au cours duquel le droit prend naissance. |
4 | Les rentes correspondant à un taux d'invalidité inférieur à 50 % ne sont versées qu'aux assurés qui ont leur domicile et leur résidence habituelle (art. 13 LPGA) en Suisse. Cette condition doit également être remplie par les proches pour lesquels une prestation est réclamée. |
Die vom Beschwerdeführer geltend gemachte Abweichung von Fr. 131.60 zu dem von der Vorinstanz festgesetzten Invalidenlohn von Fr. 128'551.60, ändert im Ergebnis nichts. So oder anders resultiert ein Invaliditätsgrad, der zu einer Viertelsrente berechtigt (Valideneinkommen: Fr. 141'458.85, Invalideneinkommen gemäss Vorinstanz, angepasst: Fr. 71'988.90 [128'551.60 x 0.7 x 0.8], Differenz: Fr. 69'469.95, Invaliditätsgrad: rund 49 % [69'469.95/141'458.85]; Valideneinkommen: Fr. 141'458.85, Invalideneinkommen gemäss Beschwerdeführer, angepasst: Fr. 71'915.20 [128'420 x 0.7 x 0.8], Differenz: Fr. 69'543.65, Invaliditätsgrad: rund 49 % [69'543.65/ 141'458.85]).
7.
Bei diesem Prozessausgang sind die Gerichtskosten den Parteien je zur Hälfte aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 67 Frais de la procédure antérieure - Si le Tribunal fédéral modifie la décision attaquée, il peut répartir autrement les frais de la procédure antérieure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern vom 5. Juli 2021 und die Verfügung der IV-Stelle Bern vom 20. Juli 2020 werden aufgehoben. Der Beschwerdeführer hat Anspruch auf eine Viertelsrente der Invalidenversicherung mit Wirkung ab 1. Juli 2018. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden zu Fr. 400.- dem Beschwerdeführer und zu Fr. 400.- der Beschwerdegegnerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdegegnerin hat den Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 1400.- zu entschädigen.
4.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Kosten und der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Verwaltungsgericht des Kantons Bern zurückgewiesen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Bern, Sozialversicherungsrechtliche Abteilung, dem Bundesamt für Sozialversicherungen und der Pensionskasse D.________ schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 13. April 2022
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Parrino
Die Gerichtsschreiberin: Nünlist