Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Corte IV
D-2505/2018
Sentenza del 13 giugno 2018
Giudici Daniele Cattaneo (presidente del collegio),
Composizione David R. Wenger, Contessina Theis,
cancelliere Lorenzo Rapelli.
A._______, nato il (...),
Parti patrocinato dal lic. iur. Mario Amato,
ricorrente,
contro
Segreteria di Stato della migrazione (SEM),
Quellenweg 6, 3003 Berna,
autorità inferiore.
Oggetto Asilo ed allontanamento;
decisione della SEM del 28 marzo 2018 / N (...).
Fatti:
A.
L'interessato, cittadino albanese minorenne con ultimo domicilio a B._______, nel distretto di Tirana, è giunto in Svizzera illegalmente il 19 novembre del 2015 dopo aver raggiunto l'Italia per via aerea pochi giorni prima. Lo stesso giorno ha depositato una domanda d'asilo (cfr. atto A8, pag. 1 e segg.).
Il 3 agosto 2016 il richiedente asilo è stato sentito nell'ambito di un'audizione ai sensi dell'art. 29

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 29 Audition sur les motifs de la demande d'asile - 1 Le SEM entend le requérant sur ses motifs d'asile; l'audition se déroule dans un centre de la Confédération. |
Il 17 ottobre 2016, la SEM ha richiesto all'ambasciata Svizzera di Pristina di svolgere alcuni accertamenti sulla famiglia dell'interessato. Il 2 novembre 2016 le risultanze di tale domanda sono pervenuta all'autorità di prime cure (cfr. atto A29). Al ricorrente è in seguito stato concesso, per il tramite del suo curatore, il diritto di essere sentito al riguardo (cfr. atto A31).
B.
Con decisione del 5 gennaio 2017, notificata all'interessato il 9 gennaio 2017 (cfr. avviso di ricevimento), la Segreteria di Stato della migrazione (di seguito: SEM) ha respinto la succitata domanda d'asilo pronunciando contestualmente l'allontanamento dello stesso dalla Svizzera e l'esecuzione del medesimo siccome lecita, esigibile e possibile.
C.
In data 8 febbraio 2017 (cfr. timbro del plico raccomandato; data d'entrata: 9 febbraio 2017) l'interessato è insorto contro detta decisione con ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale (di seguito: il Tribunale).
La procedura ricorsuale si è conclusa il 5 luglio 2017 con l'accoglimento del gravame ed il rinvio degli atti all'autorità di prima istanza per il completamento dell'istruttoria e la pronuncia di una nuova decisione. Lo svolgimento di tale passo procedurale non aveva invero rispettato i criteri giurisprudenziali applicabili alle audizioni di minori.
D.
Successivamente alla retrocessione degli atti, l'autorità di prime cure ha svolto una nuova audizione sui motivi d'asilo in presenza dell'interprete, del curatore, di una psicologa e del rappresentante delle opere assistenziali. In tale ambito il ricorrente ha allegato, in sostanza e per quanto qui di rilievo, di aver lasciato il paese d'origine in quanto sarebbe stato vittima di un incidente stradale con conseguente ricovero in ospedale Oltracciò sarebbe stato anche minacciato con un coltello da una signora dopo che aveva colpito la sua abitazione con un pallone. Egli adduce infine di essere stato percosso regolarmente dai genitori, in particolare dalla madre. Quest'ultima avrebbe invero sempre trovato un pretesto per malmenarlo, spesso con l'ausilio di un bastone di legno e senza ragioni apparenti. Nella medesima occasione egli ha a più riprese negato di essere in contatto con i famigliari (cfr. atto A56, pag. 2 e segg.).
E.
Il 28 marzo 2018, la SEM ha respinto la domanda d'asilo dell'interessato pronunciando nel contempo il suo allontanamento verso l'Albania e ritenendo l'esecuzione dello stesso ammissibile, ragionevolmente esigibile e possibile.
F.
Con ricorso del 30 aprile 2018 l'interessato è insorto dinanzi al Tribunale avverso la succitata decisione postulandone l'annullamento ed il riconoscimento della qualità di rifugiato; in subordine il rinvio degli atti all'autorità di prime cure per l'emanazione di una nuova decisione; contestualmente e con protesta di spese e ripetibili di essere esentato dal versamento di un anticipo a copertura delle presunte spese processuali.
Ulteriori fatti ed argomenti addotti dalle parti negli scritti verranno ripresi nei considerandi qualora risultino decisivi per l'esito della vertenza.
Diritto:
1.
Le procedure in materia d'asilo sono rette dalla PA, dalla LTAF e dalla LTF, in quanto la legge sull'asilo (LAsi, RS 142.31) non preveda altrimenti (art. 6

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 6 Règles de procédure - Les procédures sont régies par la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)11, par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral12 et par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral13, à moins que la présente loi n'en dispose autrement. |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 32 Exceptions - 1 Le recours est irrecevable contre: |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
|
1 | Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
a | de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations; |
b | de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations; |
c | de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations. |
2 | Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25 |
3 | Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision. |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions: |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 105 Recours contre les décisions du SEM - Le recours contre les décisions du SEM est régi par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral370. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
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1 | Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
a | de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations; |
b | de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations; |
c | de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations. |
2 | Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25 |
3 | Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision. |
Il ricorrente ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore, è particolarmente toccato dalla decisione impugnata e vanta un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa (art. 48 cpv. 1 lett. a

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
|
1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |
I requisiti relativi ai termini di ricorso (art. 108 cpv. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 108 Délais de recours - 1 Dans la procédure accélérée, le délai de recours, qui commence à courir dès la notification de la décision, est de sept jours ouvrables pour les décisions prises en vertu de l'art. 31a, al. 4, et de cinq jours pour les décisions incidentes. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
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1 | Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
2 | Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours. |
3 | Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable. |
Occorre pertanto entrare nel merito del ricorso.
2.
Con ricorso al Tribunale, possono essere invocati la violazione del diritto federale e l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti (art. 106 cpv. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 106 Motifs de recours - 1 Les motifs de recours sont les suivants: |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
|
1 | L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
2 | Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse. |
3 | Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer. |
4 | Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 111a Procédure et décision - 1 Le Tribunal administratif fédéral peut renoncer à un échange d'écritures.395 |
3.
3.1 Nella querelata decisione, l'autorità di prime cure ha considerato inverosimili le allegazioni dell'interessato a proposito delle percosse subite dai genitori. In primo luogo, le dichiarazioni del richiedente asilo non corrisponderebbero con i fatti portati alla luce da una ricerca in Facebook, dalla quale si evincerebbe ch'egli avrebbe mantenuto i contatti con i famigliari. Per di più, l'interessato avrebbe in un primo momento negato di possedere un account nel social network sopracitato, salvo poi ammetterlo una volta confrontato al riguardo dalla SEM. Egli, anche in tale circostanza, avrebbe tuttavia ribadito di non essere in contatto con i genitori ed i fratelli, cosa che non corrisponderebbe alle risultanze di suddetta ricerca. Oltracciò, le sue allegazioni a proposito delle percosse sarebbero risultate vaghe e inconsistenti, ovvero non corrispondenti a quanto ci si possa ragionevolmente attendere da una persona direttamente toccata dai gravi eventi riportati. La Segreteria di Stato rimanda quindi alle informazioni raccolte dalla Rappresentanza elvetica a Pristina, che coinciderebbero integralmente con le considerazioni succitate. Essendo invero il dovere di istruzione della SEM limitato dal rifiuto del richiedente a collaborare ed a dire la verità, non si potrebbe esigere dall'autorità ch'essa delucidi i reali motivi per i quali l'interessato abbia lasciato il paese d'origine. Negli stessi termini, siccome non sarebbe possibile dare credito alle allegazioni del richiedente a proposito della violenza domestica, i problemi psichici diagnosticati andrebbero imputati ad altra causa. Vi sarebbero invero chiari indizi quanto al fatto che lo sradicamento dall'ambiente famigliare e/o una certa difficoltà ad adeguarsi alla nuova contingenza abbiano avuto conseguenze su tale aspetto. Ciò detto, le problematiche diagnosticate non giustificherebbero una diversa valutazione. Del resto, l'autorità di prime cure avrebbe rimandato di diversi mesi l'audizione in ossequio al succinto certificato medico prodotto. Il richiedente non sarebbe ad ogni modo stato sottoposto ad un trattamento in vista dello svolgimento differito dell'audizione. In questo stesso senso, il comportamento del minore nel corso dell'audizione andrebbe ricondotto all'artificiosità delle sue allegazioni. Per il resto, le circostanze relative all'incidente della circolazione ed al litigio con una terza persona risulterebbero irrilevanti in materia d'asilo. Non di meno, avendo il Consiglio federale inserito l'Albania nel novero degli stati sicuri ai sensi dell'art. 6a cpv. 2 lett. a

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 6a Autorité compétente - 1 Le SEM décide de l'octroi ou du refus de l'asile, ainsi que du renvoi d'un requérant de Suisse.15 |
3.2 Nel proprio gravame, il patrocinatore dell'insorgente avversa la valutazione effettuata dall'autorità di prima istanza. A suo dire, le dichiarazioni della madre, riprese nell'ambito della domanda d'ambasciata, non sarebbero attendibili, dal momento ch'ella avrebbe in un primo momento asserito che il richiedente sarebbe stato accompagnato a Milano dal cugino mentre successivamente sarebbe emerso che la stessa madre lo avrebbe portato in Italia. Su tali presupposti, il rapporto d'ambasciata non sarebbe atto a smentire le dichiarazioni dell'interessato sulle violenze subite. Inoltre, non sembrerebbe che sulla questione siano stati sentiti i fratelli e le sorelle del ricorrente. Oltracciò, quandanche su Facebook vi sia effettivamente una foto dell'interessato e della madre scattata in Italia, non sarebbe certo ch'egli abbia continuato ad intrattenere relazioni con quest'ultima. La SEM avrebbe del resto fornito la prova di alcuni contatti tra madre e figlio ma non vi sarebbe modo di sapere a quando questi risalgano. Ad ogni buon conto, l'esistenza di relazioni non significherebbe ancora che il ricorrente non sia stato vittima di violenze famigliari, considerata l'ambiguità dei rapporti che spesso si instaurerebbe tra genitore e bambino vittima di violenza. Nello stesso senso, l'inconsistenza delle sue dichiarazioni dimostrerebbe la fragilità psichica piuttosto che l'inverosimiglianza del suo narrato. Secondo la documentazione medica, il giovane soffrirebbe infatti di una sindrome da disadattamento con disturbo misto delle emozioni e della condotta, le cui bizzarrie sarebbero già state segnalate precedentemente dalla psicologa attiva nel foyer. Anche il rappresentante delle opere assistenziali avrebbe del resto segnalato l'atteggiamento di sofferenza mostrato nel corso dell'audizione. In questi termini, le valutazioni della SEM a proposito dell'origine di tali problematiche sarebbero mere supposizioni non suffragate da alcuna perizia medica. L'apprezzamento dell'autorità di prime cure non terrebbe infatti conto dei certificati medici agli atti e sarebbe smentito anche dall'atteggiamento del minore nel corso delle altre audizioni. Su tali presupposti, il patrocinatore dell'insorgente si riserva di inoltrare un ulteriore rapporto medico aggiornato.
4.
4.1 La Svizzera, su domanda, accorda asilo ai rifugiati secondo le disposizioni della LAsi (art. 2

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 2 Asile - 1 La Suisse accorde l'asile aux réfugiés sur demande, conformément aux dispositions de la présente loi. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |
4.2 A tenore dell'art. 7 cpv. 3

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |
4.3 È pertanto necessario che i fatti allegati dal richiedente l'asilo siano sufficientemente sostanziati, plausibili e coerenti fra loro; in questo senso dichiarazioni vaghe, quindi suscettibili di molteplici interpretazioni, contraddittorie in punti essenziali, sprovviste di una logica interna, incongrue ai fatti o all'esperienza generale di vita, non possono essere considerate verosimili ai sensi dell'art. 7

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |
4.4 Quando si tratta di esaminare la verosimiglianza delle dichiarazioni di una persona non ancora maggiorenne, occorre tenere in debita considerazione gli aspetti specifici della minore età (cfr. art. 7 cpv. 5 Ordinanza 1 sull'asilo relativa a questioni procedurali [RS 142.311], art. 12 cpv. 1 e

IR 0.107 Convention du 20 novembre 1989 relative aux droits de l'enfant CDE Art. 12 - 1. Les États parties garantissent à l'enfant qui est capable de discernement le droit d'exprimer librement son opinion sur toute question l'intéressant, les opinions de l'enfant étant dûment prises en considération eu égard à son âge et à son degré de maturité. |
|
1 | Les États parties garantissent à l'enfant qui est capable de discernement le droit d'exprimer librement son opinion sur toute question l'intéressant, les opinions de l'enfant étant dûment prises en considération eu égard à son âge et à son degré de maturité. |
2 | À cette fin, on donnera notamment à l'enfant la possibilité d'être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l'intéressant, soit directement, soit par l'intermédiaire d'un représentant ou d'un organisme approprié, de façon compatible avec les règles de procédure de la législation nationale. |
5.
5.1 Ora, il Tribunale ritiene in primo luogo opportuno confermare l'irrilevanza in materia d'asilo delle allegazioni dell'interessato a proposito delle minace ricevute da una signora e delle conseguenze dell'incidente stradale. Tali avvenimenti, quandanche realmente accaduti, non sono infatti costitutivi di un motivo d'asilo ai sensi dell'art. 3

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |
5.2 Venendo ora ai presunti maltrattamenti ad opera dei genitori ed in particolare della madre, occorre rilevare quanto segue.
5.2.1 Innanzitutto, pur volendo considerare con la massima prudenza la presente fattispecie, è incontestabile che la versione resa dal giovane sia colma di elementi dissonanti. Già a proposito del suo arrivo in Svizzera, le informazioni da lui fornite non collimano con quanto constatato a proposito del reale svolgersi degli eventi. Il ricorrente ha invero asserito essersi recato in Italia al seguito del cugino, il quale avrebbe poi proseguito alla volta della Germania. In tale circostanza, il richiedente ha parimenti affermato aver lasciato il paese d'origine a causa di alcuni problemi con i genitori e di averlo fatto a loro insaputa. Egli ha poi continuato a sostenere tale tesi anche nell'ambito dell'audizione sui motivi d'asilo del 22 febbraio 2018 (cfr. atto A56, pag. 13). Sennonché, le indagini effettuate dall'Ambasciata svizzera di Pristina, hanno potuto appurare come sia stata la stessa madre di C._______ e non il cugino ad accompagnarlo (quantomeno) a Milano su di un volo di linea. Ciò pare del resto essere confermato anche dal profilo Facebook intestato al salone per parrucchieri di cui la madre è titolare (cfr. risultanze processuali e atto A56, D86) laddove sono riportate alcune fotografie ritraenti il ricorrente e quest'ultima nei pressi di un noto centro commerciale (cfr. atto A58). Non di meno, dopo essere stato ampiamente confrontato al riguardo, il richiedente ha finito per ammettere essere stato accompagnato dalla madre (cfr. atto A56, D177).
5.2.2 Venendo al merito dei presunti maltrattamenti, che il richiedente ha eretto a motivo principale della sua domanda di protezione, è indubbio che le dichiarazioni dell'interessato, quandanche si voglia tenere in debita considerazione la sua giovane età, appaiano estremamente stereotipate e non conformi alla realtà dei fatti. A titolo esemplificativo, quest'ultimo, al momento di rendere edotto l'intervistatore a proposito di una circostanza che gli fosse rimasta impressa nella memoria relativamente alle percosse, ha laconicamente risposto che la madre lo avrebbe anche insultato durante il pestaggio ponendo inoltre tutti gli episodi sullo stesso piano a livello di gravità (cfr. atto A56, D89-91). Oltracciò, la stessa Ambasciata svizzera di Tirana, della cui professionalità, discrezione e affidabilità non v'è luogo di dubitare (cfr. sul valore probatorio di tali rapporti sentenza del Tribunale
E-3069/2017 del 27 novembre 2017, consid. 5.2.1), quandanche abbia riportato alcune considerazioni della madre circa il fatto che sia normale usare le maniere forti con i minori, è dell'avviso che non vi siano in specie elementi che lascino presagire l'esistenza di un clima di violenza nell'ambiente famigliare in questione (cfr. atto A29).
5.2.3 Del resto, anche a proposito del mantenimento dei legami con i famigliari, circostanza di fondamentale importanza visti i motivi addotti, la versione fornita dal minore è ampiamente smentita da quanto accertato in sede di prima istanza e dallo stesso Tribunale. Nonostante il ricorrente abbia invero a più riprese asserito di non aver avuto più alcun contatto con la madre, i fratelli e le sorelle (cfr. atto A56, D-31-34, D139, D164-166), nemmeno per il tramite di applicativi web (cfr. atto A56, D33), da una semplice ricerca online è stato possibile riscontrare che il ricorrente ha avuto regolari ed estesi scambi con i famigliari. Per il tramite della pagina Facebook da lui utilizzata (cfr. atto A56, D147), egli ha espresso apprezzamenti a quanto pubblicato dai membri della sua famiglia, dimostrando di seguire con regolarità le loro attività in patria. Sorella e madre hanno a loro volta visionato le fotografie del ricorrente, apponendovi la propria reazione (cfr. allegati all'atto A56, atto A58 e risultanze processuali raccolte dal Tribunale). A titolo esemplificativo, il 7 gennaio 2018 la sorella del ricorrente (cfr. atto A56, D152) ha pubblicato sul proprio account una fotografia che la ritraeva sul lungolago di Lugano; fotografia alla quale il ricorrente ha espresso il proprio apprezzamento (cfr. risultanze processuali). Cosa sia venuta a fare la sorella a Lugano non è dato a sapersi. Del resto, i contatti intercorsi con la presunta autrice dei maltrattamenti, vanno anche oltre i semplici "like". Invero, il 9 dicembre 2017, nel contesto di alcune foto postate della madre, C._______ e quest'ultima si sono scambiati diverse frasi (cfr. atto A58: tradotto "vi abbraccio tanto" e "ti abbracciamo anche noi") che, oltre a dimostrare l'inattendibilità della tesi dell'interruzioni dei legami, paiono difficilmente conciliabili con la stessa esistenza di un rapporto conflittuale. Anche il
20 febbraio 2018, l'insorgente ha commentato delle fotografie della madre. Quest'ultima ha a sua volta risposto senza indugio inviandogli anche dei simboli rappresentanti amore (cfr. risultanze processuali). Si tratta solo di alcuni esempi. Per di più, la madre, è a sua volta ritratta in delle fotografie scattate in Ticino ed in tempi recenti (cfr. risultanze processuali). Anche a tal riguardo, ci si chiede dunque quali dovrebbero essere le ragioni del suo viaggio, posto che C._______ ha dichiarato che quest'ultima non sarebbe stata a conoscenza della sua permanenza in Svizzera (cfr. atto A8, pag. 5). Non di meno, anche dalle dichiarazioni riportate nel rapporto d'ambasciata può essere dedotto che i C._______ ed i famigliari siano rimasti in regolare contatto telefonico/Skype (cfr. atto A58, pag. 5).
5.2.4 Su tali presupposti, quanto appare maggiormente probabile è che il giovane abbia concordato con i famigliari la sua migrazione in Svizzera o meglio, che sia stato spinto da quest'ultimi a recarsi in un paese straniero al fine di poter beneficiare di migliori condizioni sociali e formative. Ciò pare del resto confermato anche dalle problematiche psichiche diagnosticate, che parlano di una sindrome da disadattamento dovuta verosimilmente alla perdita di punti di riferimento in un periodo cruciale dello sviluppo e dalle stesse dichiarazioni da lui rilasciate sul finire dell'audizione del 22 febbraio 2018. In tale circostanza, il giovane richiedente, dopo essere stato ampiamento confrontato con quanto si evinceva a proposito dei contatti con i famigliari via internet ed in merito ad alcune contraddizioni, ha finito per addurre di trovarsi molto bene in Svizzera e di voler continuare la sua formazione in tale paese. Quasi come se fosse un idea inculcatagli da qualcuno, ha poi ripetuto che in Ticino egli apprenderebbe molto, imparando una professione e così di seguito. Sia quel che sia, alla luce di quanto elencato sin qui, ciò che appare pacifico è che le allegazioni del minore a proposito delle percosse subite non possano essere ritenute verosimili.
6.
In definitiva, la SEM ha a giusto titolo negato la qualità di rifugiato al ricorrente, per il che, il ricorso in materia di riconoscimento della qualità di rifugiato e di concessione dell'asilo, destituito di fondamento, non merita tutela e la decisione impugnata va confermata.
7.
Se respinge la domanda d'asilo o non entra nel merito, la SEM pronuncia, di norma, l'allontanamento dalla Svizzera e ne ordina l'esecuzione; tiene però conto del principio dell'unità della famiglia (art. 44

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI132. |
L'insorgente non adempie le condizioni in virtù delle quali la SEM avrebbe dovuto astenersi dal pronunciare l'allontanamento dalla Svizzera (art. 14 cpv. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 14 Relation avec la procédure relevant du droit des étrangers - 1 À moins qu'il n'y ait droit, le requérant ne peut engager de procédure visant l'octroi d'une autorisation de séjour relevant du droit des étrangers entre le moment où il dépose une demande d'asile et celui où il quitte la Suisse suite à une décision de renvoi exécutoire, après le retrait de sa demande ou si le renvoi ne peut être exécuté et qu'une mesure de substitution est ordonnée. |

SR 142.311 Ordonnance 1 du 11 août 1999 sur l'asile relative à la procédure (Ordonnance 1 sur l'asile, OA 1) - Ordonnance 1 sur l'asile OA-1 Art. 32 Empêchement au prononcé de la décision de renvoi - (art. 44 LAsi)93 |
|
1 | Le renvoi ne peut être prononcé lorsque le requérant d'asile:94 |
a | est titulaire d'une autorisation de séjour ou d'établissement valable; |
b | fait l'objet d'une décision d'extradition, |
c | fait l'objet d'une décision d'expulsion conformément à l'art. 121, al. 2, de la Constitution96 ou 68 LEI97, ou |
d | fait l'objet d'une décision exécutoire d'expulsion pénale au sens de l'art. 66a ou 66abis du code pénal99 ou 49a ou 49abis du code pénal militaire du 13 juin 1927100. |
2 | Pour les cas visés à l'al. 1, let. c et d, l'autorité cantonale peut demander l'avis du SEM sur les éventuels empêchements à l'exécution du renvoi.101 |
Pertanto, anche sul punto di questione della pronuncia dell'allontanamento, la decisione impugnata va confermata.
8.
Per quanto concerne l'esecuzione dell'allontanamento, l'art. 83

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI132. |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
9.
9.1 Nella propria decisione la SEM ha considerato l'allontanamento ammissibile, esigibile e possibile. L'autorità di prime cure ha segnatamente rilevato come nello specifico, nessun motivo medico si opponga all'esigibilità dell'esecuzione dell'allontanamento. Invero, le problematiche psicologiche addotte sarebbero trattabili anche in Albania e non sarebbero ad ogni modo tali da rendere inesigibile l'esecuzione dell'allontanamento. Si potrebbe peraltro partire dal presupposto che il ritorno del ricorrente a condizioni di vita (e famigliari) normali possa influire positivamente sul suo stato di salute. Le autorità cantonali preposte all'esecuzione dell'allontanamento avrebbero inoltre la facoltà di tenere conto di tali circostanze al momento di definirne le modalità. Quo agli interessi del minore, occorrerebbe osservare che le persone di riferimento dell'interessato si troverebbero in Albania e non in Svizzera e che, alla luce di quanto constatato dal rapporto d'ambasciata, egli potrebbe tornare in tale paese, cosa auspicabile vista la giovane età. Dalle ricerche effettuate emergerebbe chiaramente che l'interessato avrebbe tuttora rapporti personali con la famiglia. Inoltre, la permanenza in Svizzera non sarebbe stata particolarmente protratta, di modo che l'integrazione del ricorrente andrebbe considerata minima. In altri termini, dagli atti non emergerebbero elementi in base ai quali sia lecito dubitare che il richiedente possa integrarsi in tempo utile nel paese d'origine. Da ultimo, rileva la SEM, se per un qualsivoglia motivo insorgessero problemi famigliari con necessità di una presa a carico esterna, le autorità albanesi sarebbero tenute ad adottare le soluzioni del caso. Non sarebbe infatti legittimo trasferire una tale responsabilità ad un altro paese, tanto più che, proprio nei casi implicanti dei minorenni, le soluzioni incentrate sulla famiglia sarebbero preferibili a quelle extra-famigliari. Inoltre, Tirana sarebbe raggiungibile per via aerea e le autorità che eseguono gli allontanamenti sarebbero tenute a considerare debitamente gli interessi del minore al momento della partenza.
9.2 Nel gravame, l'insorgente avversa tale valutazione. A suo dire, la convenzione sui diritti dell'infanzia porrebbe una certa enfasi sul fatto che l'interesse superiore del fanciullo debba costituire oggetto di primaria considerazione. Dunque, di fronte alla valutazione dell'esigibilità dell'allontanamento di un minore, occorrerebbe non solo chiarire l'esistenza di pericoli concreti, ma bensì anche chiedersi se il rinvio stesso sia in contrasto con l'interesse superiore di quest'ultimo. I criteri che definiscono tale interesse andrebbero ricercati, oltre che nell'età e nel grado di maturità dello stesso, anche negli elementi riguardanti la capacità effettiva della famiglia ad accudirlo, la formazione e le prospettive future nel paese d'origine come pure nel grado di integrazione in Svizzera. Ai sensi della giurisprudenza, occorrerebbe invero verificare se il fanciullo possa fare ritorno presso i genitori e se quest'ultimi siano in grado di coprire i suoi bisogni. Se ciò appare incerto, sarebbe necessaria la valutazione di un'eventuale collocazione presso terzi o in istituzioni specializzate. Infine, nella prospettiva dell'esecuzione del rinvio, la SEM dovrebbe prendere tutte quelle misure atte ad accertare se, al momento del ritorno nel paese d'origine, il fanciullo sia effettivamente accolto dalla famiglia, da terzi o da istituzioni specializzate. In tal senso, non sarebbe sufficiente constatare che i genitori o altri parenti vivono nel paese d'origine, rispettivamente che nel paese in questione esistano istituzioni che si occupano di fanciulli e giovani abbandonati. Inoltre, le verifiche andrebbero eseguite d'ufficio e preliminarmente alla pronuncia della decisione d'esecuzione dell'allontanamento. Ora, nella presente fattispecie, non sembrerebbe che tali verifiche siano state messe in atto. Le dichiarazioni rese della madre nell'ambito della domanda d'ambasciata non sarebbero infatti attendibili e non vi sarebbe dunque modo di sapere se concretamente il ricorrente sarà protetto ed accolto dal nucleo famigliare. Il fatto che la madre abbia accompagnato il richiedente sino a Milano per poi abbandonarlo lascerebbe sorgere diversi dubbi in merito, dal momento che non si tratterebbe di un comportamento lasciante presagire la volontà di occuparsi del figlio.
10.
10.1 A norma dell'art. 83 cpv. 3

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants. |
Nel caso in esame, visto che l'interessato non è riuscito a dimostrare l'esistenza di seri pregiudizi o il fondato timore di essere esposti a tali pregiudizi ai sensi dell'art. 3

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays. |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 6a Autorité compétente - 1 Le SEM décide de l'octroi ou du refus de l'asile, ainsi que du renvoi d'un requérant de Suisse.15 |
Pertanto, l'esecuzione dell'allontanamento è ammissibile ai sensi delle norme di diritto internazionale pubblico nonché della LAsi.
10.2 Giusta l'art. 83 cpv. 4

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
10.2.1
10.2.1.1 Tale disposizione si applica principalmente ai "réfugiés de la violence", ovvero agli stranieri che non adempiono le condizioni della qualità di rifugiato, poiché non sono personalmente perseguiti, ma che fuggono da situazioni di guerra, di guerra civile o di violenza generalizzata. Essa vale anche nei confronti delle persone per le quali l'allontanamento comporterebbe un pericolo concreto, in particolare perché esse non potrebbero più ricevere le cure delle quali esse hanno bisogno o che sarebbero, con ogni probabilità, condannate a dover vivere durevolmente e irrimediabilmente in stato di totale indigenza e pertanto esposte alla fame, ad una degradazione grave del loro stato di salute, all'invalidità o persino la morte. Per contro, le difficoltà socio economiche che costituiscono l'ordinaria quotidianità d'una regione, in particolare la penuria di cure, di alloggi, di impieghi e di mezzi di formazione, non sono sufficienti, in sé, a concretizzare una tale esposizione al pericolo. L'autorità alla quale incombe la decisione deve dunque, in ogni singolo caso, stabilire se gli aspetti umanitari legati alla situazione nella quale si troverebbe lo straniero in questione nel suo Paese sono tali da esporlo ad un pericolo concreto (cfr. DTAF 2014/26 consid. 7.6-7.7 con rinvii).
10.2.1.2 Alla luce della giurisprudenza attuale, solo una messa in pericolo concreta, segnatamente per ragioni mediche, può condurre a considerare l'esecuzione dell'allontanamento inesigibile. Il Tribunale ha tuttavia già avuto modo di precisare come le esigenze al riguardo siano meno restrittive allorché vi sia da prendere in considerazione l'interesse superiore dei bambini in tenera età conformemente all'art. 3 cpv. 1

IR 0.107 Convention du 20 novembre 1989 relative aux droits de l'enfant CDE Art. 3 - 1. Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale. |
|
1 | Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale. |
2 | Les États parties s'engagent à assurer à l'enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être, compte tenu des droits et des devoirs de ses parents, de ses tuteurs ou des autres personnes légalement responsables de lui, et ils prennent à cette fin toutes les mesures législatives et administratives appropriées. |
3 | Les États parties veillent à ce que le fonctionnement des institutions, services et établissements qui ont la charge des enfants et assurent leur protection soit conforme aux normes fixées par les autorités compétentes, particulièrement dans le domaine de la sécurité et de la santé et en ce qui concerne le nombre et la compétence de leur personnel ainsi que l'existence d'un contrôle approprié. |
10.2.1.3 I criteri applicabili per la determinazione dell'interesse superiore del fanciullo comprendono valutazioni in merito alla sua età, al suo grado di maturità, ai suoi legami di dipendenza e alla natura delle relazioni con le persone di sostegno (prossimità, intensità, importanza per la sua crescita, impegno e capacità dipresa a carico). Parimenti da analizzare sono lo stato e le prospettive di sviluppo e di formazione scolastica rispettivamente professionale nonché le possibilità e le difficoltà di reinserimento nel paese d'origine. Nell'analisi di tali criteri, la durata del soggiorno in Svizzera è un fattore di grande importanza, posto che i bambini in tenera età non devono essere sradicati senza validi motivi dall'ambiente nel quale sono cresciuti. Dal punto di vista pscicologico, occorre prendere in considerazione non solo la famiglia in senso stretto quantopiù l'insieme delle relazioni sociali. Una forte integrazione in Svizzera, derivante in particolare da un lungo soggiorno e da una scolarizzazione in tale paese, può infatti avere quale conseguenza uno sradicamento dal paese d'origine; sradicamento che può, secondo le circostanze, rendere inesigibile l'esecuzione dell'allontanamento (cfr. DTAF 2009/51 consid. 5.6; DTAF 2009/28 consid. 9.3.2, sentenza del Tribunale E-2617/2016 del 28 marzo 2017 consid. 4.5).
10.2.1.4 Ora, nel caso in disamina l'esigibilità dell'esecuzione dell'allontanamento risulta sotto tale aspetto pacifica. Invero, il ricorrente, che è giunto sul suolo elvetico il 19 novembre del 2015 non può prevalersi di un'integrazione avanzata in Svizzera. Allo stesso modo non si può ritenere che egli sia stato sradicato dal paese d'origine né che le prospettive di una sua reintegrazione risultino nefaste.
10.2.2
10.2.2.1 Occorre tuttavia rammentare che ai termini dell'art. 69 cpv. 4

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 69 Décision d'exécution du renvoi ou de l'expulsion - 1 L'autorité cantonale compétente exécute le renvoi ou l'expulsion d'un étranger dans les cas suivants: |

IR 0.107 Convention du 20 novembre 1989 relative aux droits de l'enfant CDE Art. 3 - 1. Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale. |
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1 | Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale. |
2 | Les États parties s'engagent à assurer à l'enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être, compte tenu des droits et des devoirs de ses parents, de ses tuteurs ou des autres personnes légalement responsables de lui, et ils prennent à cette fin toutes les mesures législatives et administratives appropriées. |
3 | Les États parties veillent à ce que le fonctionnement des institutions, services et établissements qui ont la charge des enfants et assurent leur protection soit conforme aux normes fixées par les autorités compétentes, particulièrement dans le domaine de la sécurité et de la santé et en ce qui concerne le nombre et la compétence de leur personnel ainsi que l'existence d'un contrôle approprié. |
10.2.2.2 Nel caso in esame, l'autorità di prime cure ha posto in essere delle misure istruttorie concrete onde accertarsi delle reali possibilità per il minore di essere riaccolto dai propri famigliari. Nell'ambito del rapporto d'ambasciata la madre si è detta disposta a riprendere presso di sé il minore. Nella medesima circostanza, l'ambiente famigliare è stato definito decoroso ed è stata esclusa la possibilità che vi fossero situazioni di violenza in essere. A riprova di ciò, come lo si è già detto in precedenza, va rilevato che C._______ ha mantenuto i contatti con i famigliari anche durante la sua permanenza in Svizzera. Vi sono inoltre forti indizi quanto al fatto che la famiglia si sia recata a rendergli visita in Ticino (cfr. infra consid. 5.2.3). Su tali presupposti, non si può che considerare auspicabile un rientro del giovane presso i famigliari. Nell'ottica dell'interesse superiore del fanciullo, occorre rilevare che quandanche in Albania le sue prospettive dal punto di vista educativo-professionale possano risultare meno rosee, è indubbio che tale aspetto debba essere messo in secondo piano rispetto all'esigenza di portare a termine l'adolescenza nel proprio ambiente famigliare e a contatto con i propri cari.
10.2.2.3 Inoltre, al momento di porre in esecuzione il provvedimento di allontanamento, le autorità preposte all'esecuzione dell'allontanamento avranno premura di prendere contatto, se del caso per il tramite delle preposte autorità diplomatiche, con la famiglia dell'insorgente per significarli quando e in che termini avverrà il rimpatrio.
10.3 Su tali presupposti, l'esecuzione dell'allontanamento va considerata ragionevolmente esigibile.
10.4 Infine, in ultima analisi, non risultano impedimenti neppure dal profilo della possibilità dell'esecuzione dell'allontanamento (art. 83 cpv. 2

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI132. |
11.
Ne discende che la SEM con la decisione impugnata non ha violato il di-ritto federale né abusato del suo potere d'apprezzamento ed inoltre non ha accertato in modo inesatto o incompleto i fatti giuridicamente rilevanti (art. 106 cpv. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 106 Motifs de recours - 1 Les motifs de recours sont les suivants: |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
12.
Avendo statuito nel merito del ricorso, la domanda finalizzata all'esenzione dal versamento di un anticipo a copertura delle presunte spese processuali è divenuta priva di oggetto. Visto l'esito della procedura, le spese processuali che seguono la soccombenza, sarebbero da porre a carico dei ricorrenti (art. 63 cpv. 1 e

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |

SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 6 Remise des frais de procédure - Les frais de procédure peuvent être remis totalement ou partiellement à une partie ne bénéficiant pas de l'assistance judiciaire prévue à l'art. 65 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative4 lorsque: |
|
a | le recours est réglé par un désistement ou une transaction sans avoir causé un travail considérable; |
b | pour d'autres motifs ayant trait au litige ou à la partie en cause, il ne paraît pas équitable de mettre les frais de procédure à la charge de celle-ci. |
13.
La presente decisione non concerne persone contro le quali è pendente una domanda d'estradizione presentata dallo Stato che hanno abbandonato in cerca di protezione, per il che non può essere impugnata con ricorso in materia di diritto pubblico dinanzi al Tribunale federale (art. 83 lett. d

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit59 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs66; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics64; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:71 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications72; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste74; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3475 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)76; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers80); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198184, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie87 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
Per questi motivi, il Tribunale amministrativo federale pronuncia:
1.
Il ricorso è respinto
2.
Non si prelevano spese processuali.
3.
Questa sentenza è comunicata al ricorrente, alla SEM e all'autorità cantonale competente.
Il presidente del collegio: Il cancelliere
Daniele Cattaneo Lorenzo Rapelli
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