Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 90/2012
Urteil vom 12. Dezember 2012
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterin Niquille, Bundesrichter Maillard,
Gerichtsschreiber Hochuli.
Verfahrensbeteiligte
K.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Lotti Sigg Bonazzi,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Mobiliar Versicherungsgesellschaft, Bundesgasse 35, 3011 Bern,
vertreten durch Fürsprecher René W. Schleifer,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 22. November 2011.
Sachverhalt:
A.
K.________, geboren 1965, war seit 2002 als EDV-Supporter mit einem Pensum von 30 % (1,5 Tage pro Arbeitswoche) für die Einzelunternehmung seiner Schwester tätig und in dieser Eigenschaft bei der Schweizerischen Mobiliar Versicherungsgesellschaft (nachfolgend: Mobiliar oder Beschwerdegegnerin) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 27. April 2003 verlor der Versicherte als Velofahrer auf der zum Zentrum hin abfallenden Strasse bei einer Verkehrsberuhigungsschwelle und laut Zeugenaussage in "ziemlich schneller" Fahrt die Kontrolle über sein Fahrrad. Nach dem Sturz wurde er von der Unfallstelle mit der Schweizerischen Rettungsflugwacht in die Klinik für Unfallchirurgie des Spitals X.________ verbracht, wo er bis zum 14. Mai 2003 hospitalisiert blieb. Vom 14. Mai bis 3. September 2003 weilte er zur stationären Rehabilitation in der Rehaklinik Y.________. Die Invalidenversicherung richtete ihm infolge der anhaltenden unfallbedingten Beschwerden seit 1. April 2004 basierend auf einem Invaliditätsgrad von 100 % eine ganze Rente aus. Gestützt auf das interdisziplinäre Gutachten vom 10. März 2009 des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ verneinte die Mobiliar den natürlichen
Kausalzusammenhang der anhaltend geklagten Beschwerden mit dem Unfall und kündigte dem Versicherten am 10. Juni 2009 die Einstellung sämtlicher Versicherungsleistungen und den folgenlosen Fallabschluss per 31. Juli 2009 an. Daran hielt sie mit Verfügung vom 20. Oktober 2009, bestätigt durch Einspracheentscheid vom 8. Juli 2010, fest.
B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde des K.________ wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 22. November 2011 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt K.________ unter Aufhebung des angefochtenen Gerichts- und des Einspracheentscheides die Zusprechung einer Integritätsentschädigung sowie einer Invalidenrente beantragen. Zudem sei "dem Beschwerdeführer für das Verfahren vor dem Sozialversicherungsgericht eine höhere ungekürzte Entschädigung für die unentgeltliche Rechtsvertreterin zuzusprechen." Schliesslich ersucht der Versicherte um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege und Verbeiständung.
Während die Mobiliar auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Gesundheit (BAG) auf eine Vernehmlassung. Weitere Eingaben des Beschwerdeführers und der Mobiliar, mit welchen Letztere zusätzlich einverlangte Unterlagen einreicht, datieren vom 26. Juni, 9. Juli sowie vom 21., 28. und 29. August 2012.
Erwägungen:
1.
1.1 Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2 Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Fest steht und unbestritten ist, dass von einer Fortsetzung der ärztlichen Behandlung ab 1. August 2009 keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
3.
3.1 Die Mobiliar verneinte hinsichtlich dieser Beschwerden mit Verfügung vom 20. Oktober 2009, bestätigt durch Einspracheentscheid vom 8. Juli 2010, gestützt auf das Gutachten des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ die natürliche Unfallkausalität und hielt am folgenlosen Fallabschluss per 31. Juli 2009 fest. Im Ergebnis gleich entschied die Vorinstanz. Sie stellte ebenfalls auf das Gutachten des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ ab, schloss organisch objektiv ausgewiesene Folgen des Schädelhirntraumas vom 27. April 2003 aus und verneinte die Unfalladäquanz der über den 31. Juli 2009 hinaus geklagten Beeinträchtigungen nach der sog. "Schleudertrauma-Praxis" (BGE 134 V 109).
3.2 Der Beschwerdeführer verweist vor Bundesgericht auf seine bereits im kantonalen Verfahren gegen die Beweiskraft des Gutachtens des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ erhobenen Rügen. Er beantragte dementsprechend im vorinstanzlichen Verfahren, es seien weitere medizinische Abklärungen vorzunehmen. Sodann macht er geltend, dass die ab 31. Juli 2009 geklagten Beschwerden in einem anspruchsbegründenden Kausalzusammenhang mit dem Schädelhirntrauma vom 27. April 2003 stehen.
4.
4.1 Das kantonale Gericht stellte hinsichtlich der im Gutachten des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ nicht aufgeführten Diagnose einer posttraumatischen Epilepsie mit Blick auf die hiegegen von Seiten der behandelnden Mediziner erhobene Kritik auf die Stellungnahme des neuropsychologischen Gutachters des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ Dr. phil. S.________ vom 19. Februar 2010 ab. Demnach wollten die Gutachter des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ "das Anfallsleiden nicht grundsätzlich [bestreiten, sondern] lediglich infrage" stellen, ob es sich tatsächlich um eine posttraumatische Epilepsie handle. "Das Anfallsleiden sei nicht grundsätzlich bestritten worden, jedoch könne es, da der Beschwerdeführer gemäss Dr. med. J.________ unter antikonvulsiver Therapie anfallsfrei sei, für die Beurteilung der Leistungsfähigkeit nicht berücksichtigt werden.
4.2 Sowohl die Vorinstanz als auch die Gutachter des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ scheinen bei dieser Feststellung übersehen zu haben, dass nicht nur eine unbehandelte posttraumatische Epilepsie, sondern auch eine, welche unter antikonvulsiver Therapie anfallsfrei ist, also eine "posttraumatische Epilepsie [entweder] mit Anfällen oder in Dauermedikation ohne Anfälle" laut Anhang 3 der UVV einen Anspruch auf Integritätsentschädigung basierend auf einer Integritätseinbusse von 30 % begründet (vgl. SVR 2002 UV Nr. 16 S. 53, U 40/01 E. 4d). Aufgrund der anamnestisch erhobenen Angaben zu den im Zeitpunkt der Begutachtung des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ geklagten Beschwerden ist zudem unklar, ob die bis zu dreimal täglich auftretenden Zuckungen auf der linken Körperseite und die Einschränkungen der Fingerbeweglichkeit an der linken Hand nur im unbehandelten Zustand oder auch in Anwendung der antikonvulsiven Medikation auftreten.
4.3 Bei der Epilepsie (ICD-10 G40) handelt es sich um eine Krankheit des Nervensystems (ICD-10 G00-G99), deren "Anfall als ein abnormes elektrisches Phänomen mittels Elektroenzephalogramm" - also bildgebend - nachweisbar ist. Den Epilepsien liegen eine meist strukturelle oder auch nur funktionelle (stoffwechselbedingte) Anomalie des Gehirns zugrunde (Mumenthaler/Mattle, Neurologie, 11. Aufl., Stuttgart 2002, S. 495). Eine traumatische Epilepsie kann auch erst Monate oder Jahre nach dem Trauma zum ersten Mal auftreten (Pschyrembel, Klinisches Wörterbuch, 262. Aufl., Berlin 2010, S. 592). Das Eidgenössische Versicherungsgericht (heute: sozialrechtliche Abteilungen des Bundesgerichts) hat dementsprechend schon in seinem Urteil U 27/97 vom 3. April 1998 erkannt, dass die posttraumatische Epilepsie ein typisches Beispiel für mögliche Spätfolgen eines Schädelhirntraumas ist (vgl. Urteil U 27/97 vom 3. April 1998 E. 4 Ingress mit zahlreichen Hinweisen). Allein aus dem Umstand, dass sich weder im CT noch im MRI Hinweise auf eine Hirnkontusion finden, kann - entgegen dem Gutachten des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ (S. 10 u. 27) - nicht ohne weiteres auf eine fehlende Kausalität geschlossen werden. Ein durchgemachtes
Schädelhirntrauma kann medizinisch betrachtet auch ohne Contusio cerebri und Bewusstlosigkeit Ursache eines epileptischen Gelegenheitsanfalles sein (Urteil U 27/97 vom 3. April 1998 E. 4b mit Hinweis).
4.4 Nachdem die Beschwerdegegnerin während fast sechs Jahren die antiepileptische Behandlung als unfallbedingte Heilbehandlungsmassnahme übernommen hat, vermag sie diesbezüglich im Rahmen des hier strittigen folgenlosen Fallabschlusses aus dem Gutachten des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ nichts zu ihren Gunsten abzuleiten. Kann der Wahrscheinlichkeitsbeweis einer objektivierbaren Hirnschädigung gegebenenfalls durch Zusammenwirken von Würdigung der Anamnese sowie von psychiatrischen und insbesondere auch neuropsychologischen Untersuchungen erbracht werden (THOMAS FREI, Die Integritätsentschädigung nach Art. 24 und 25 des Bundesgesetzes über die Unfallversicherung, Diss. Freiburg 1998, S. 84; vgl. auch PETER ZANGGER, Neurologische Aspekte von Hirnverletzungen, S. 10, in: Hirnverletzung und Neurorehabilitation - Rehabilitation Nr. 8, 1995 [von der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt herausgegebene Schriftenreihe]) und fehlt es nach dem Gesagten an einer den Beweisanforderungen von BGE 125 V 351 E. 3a S. 352 genügenden, umfassenden interdisziplinären Gesamtbegutachtung der ab 1. August 2009 anhaltend geklagten Beschwerden, ist die Sache zur Neubegutachtung an das kantonale Gericht (BGE 137 V 210 E. 4.4.1.4 S.
264) zurückzuweisen. Das Gutachten wird die bei Fallabschluss üblichen Fragen hinsichtlich der weiteren Leistungspflicht nach UVG zu beantworten haben.
4.5 Steht aus medizinischer Sicht nach Abschluss der ausstehenden Abklärungen mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit fest, dass der Versicherte ab 31. Juli 2009 nicht mehr an unfallkausalen, objektiv ausgewiesenen Beschwerden litt, bleibt es - wie nachfolgend darzulegen bleibt - hinsichtlich der ab 1. August 2009 geklagten Beschwerden organisch nicht objektivierbarer Natur bei der vom kantonale Gericht mit angefochtenem Entscheid zu Recht verneinten Unfalladäquanz dieser Beeinträchtigungen.
5.
5.1 Ausgangspunkt der Adäquanzprüfung bildet das (objektiv erfassbare) Unfallereignis. Im Rahmen einer objektivierten Betrachtungsweise ist zu untersuchen, ob der Unfall eher als leicht, als mittelschwer oder als schwer erscheint, wobei im mittleren Bereich gegebenenfalls eine weitere Differenzierung nach der Nähe zu den leichten oder schweren Unfällen erfolgt. Abhängig von der Unfallschwere sind je nachdem weitere Kriterien in die Beurteilung einzubeziehen (BGE 134 V 109 E. 10.1 S. 126; SVR 2008 UV Nr. 8 S. 26, U 2/07 E. 5.3.1 mit Hinweis; Urteil 8C 129/2009 vom 15. September 2009 E. 5.2.1).
5.2 Während die Mobiliar gestützt auf das Gutachten des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ von einem berechtigten folgenlosen Fallabschluss per Ende April 2004 ausging und ihre darüber hinaus bis 31. Juli 2009 erbrachten Leistungen als "wohlwollendes" Zeichen zugunsten des Versicherten bezeichnete, prüfte und verneinte das kantonale Gericht die Unfalladäquanz der über den 1. August 2009 hinaus geklagten Beschwerden mit der Begründung, hinsichtlich des mittelschweren Ereignisses im mittleren Bereich seien jedenfalls nicht die erforderliche Anzahl von mindestens drei der gemäss BGE 134 V 109 E. 10.3 relevanten sieben Kriterien erfüllt. Dieser Argumentation schliesst sich auch die Beschwerdegegnerin mit Vernehmlassung vom 20. Juni 2012 an. Demgegenüber sieht der Beschwerdeführer fünf der sieben Adäquanzkriterien als erfüllt an.
5.3 Der Sturz des Versicherten als Velofahrer vom 27. April 2003 (vgl. Sachverhalt lit. A) ist nach dem massgebenden augenfälligen Geschehensablauf mit den sich dabei entwickelnden Kräften (SVR 2008 UV Nr. 8 S. 26, U 2/07 E. 5.3.1) insbesondere angesichts der Gewalteinwirkung auf den Versicherten (RKUV 2005 Nr. U 555 S. 322, U 458/04 E. 3.4.2) unter den gegebenen Umständen den mittelschweren Ereignissen und mit Blick auf die Kasuistik (vgl. RKUV 2005 Nr. U 555 S. 322, U 458/04 E. 3.4.1 mit Hinweisen) innerhalb des mittleren Bereichs präzisierend den mittelschweren Unfällen zuzuordnen (vgl. Urteil 8C 605/2010 vom 9. November 2010 E. 6.1). Das Bundesgericht hat mit Urteil 8C 897/2009 vom 29. Januar 2010 (SVR 2010 UV Nr. 25 S. 100 E. 4.5) erkannt, dass in diesem eigentlich mittleren Bereich der mittelschweren Unfälle drei - weder in besonders ausgeprägter noch in auffallender Weise - erfüllte Kriterien für die Bejahung des adäquaten Kausalzusammenhangs ausreichen.
5.4
5.4.1 Das Kriterium der besonders dramatischen Begleitumstände oder besonderen Eindrücklichkeit des Unfalles ist objektiv zu beurteilen und nicht aufgrund des subjektiven Empfindens bzw. Angstgefühls der versicherten Person (RKUV 1999 Nr. U 335 S. 207, U 287/97 E. 3b/cc; Urteil U 56/07 vom 25. Januar 2008 E. 6.1). Zu beachten ist, dass jedem mindestens mittelschweren Unfall eine gewisse Eindrücklichkeit eigen ist, welche somit noch nicht für eine Bejahung des Kriteriums ausreichen kann (vgl. Urteil 8C 39/2008 vom 20. November 2008 E. 5.2). Beim Selbstunfall vom 27. April 2003 waren mit Blick auf die Kasuistik (Urteil 8C 915/2008 vom 11. September 2009 E. 5.3 mit Hinweisen) weder besonders dramatische Begleitumstände noch eine besondere Eindrücklichkeit des Ereignisses gegeben. Daran ändert nichts, dass der Beschwerdeführer beim Sturz keinen Velohelm trug.
5.4.2 Hinsichtlich des mittelschweren Schädelhirntraumas mit weiteren, nicht unerheblichen Frakturen und Verletzungen (E. 4.3 hievor) ist das Kriterium der Schwere oder besonderen Art der erlittenen Verletzung (SVR 2007 UV Nr. 26 S. 86 E. 5.3, U 339/06; RKUV 2005 Nr. U 549 S. 236 E. 5.2.3 mit Hinweisen, U 380/04) zu bejahen. Dieses kann sich in erheblichen Verletzungen zeigen, welche sich die versicherte Person neben dem Schleudertrauma, der äquivalenten HWS-Verletzung oder dem Schädelhirntrauma beim Unfall zugezogen hat (BGE 134 V 109 E. 10.2.2 S. 127 mit Hinweisen). Die entsprechenden Voraussetzungen sind mit Blick auf die erlittenen Unfallfolgen in Verbindung mit dem mittelschweren Schädelhirntrauma erfüllt.
5.4.3 Die Unfallfolgen erforderten keine fortgesetzt spezifische, die versicherte Person belastende ärztliche Behandlung (BGE 134 V 109 E. 10.2.3 S. 128). Obwohl der Versicherte nach der notfallmässigen Hospitalisierung zur Behandlung und Rehabilitation insbesondere mit Blick auf die neuropsychologischen Defizite insgesamt mehr als vier Monaten stationär betreut werden musste, heilten die zugezogenen Frakturen nach Durchführung der verschiedenen operativen Sanierungsmassnahmen vergleichsweise rasch und erfolgreich ab. Eine spezifische und belastende ärztliche Behandlung war über den komplikationslosen Heilungsverlauf der unfallbedingten Frakturen hinaus nicht erforderlich. Nichts anderes ergibt sich aus dem Bericht des behandelnden Neurologen Dr. med. J.________ vom 15. November 2005.
5.4.4 Das präzisierte Kriterium der erheblichen Beschwerden ist ebenfalls nicht als erfüllt zu betrachten. Es beurteilt sich nach den glaubhaften Schmerzen und nach der Beeinträchtigung, welche die verunfallte Person durch die Beschwerden im Lebensalltag erfährt (BGE 134 V 109 E. 10.2.4 S. 128). Inwiefern die geltend gemachten kognitiven Beeinträchtigungen während der etwas mehr als sechsjährigen Dauer zwischen Unfall und Fallabschluss tatsächlich ins Gewicht fielen, ist fraglich. Die den Beschwerdeführer bereits seit 2003 behandelnde Neuropsychologin Dr. phil. W.________ berichtete am 14. Mai 2004 von langsamen, aber kontinuierlichen Fortschritten. Dem Bericht der behandelnden Ergotherapeutin vom 13. September 2004 ist zu entnehmen, dass sich die Konzentrationsfähigkeit deutlich verbessert habe und die praktisch verwertbare Arbeitszeit erheblich gesteigert werden konnte. Dr. med. J.________ wies am 14. März 2005 auf einen im September 2004 sehr erfolgreich absolvierten siebenwöchigen Arbeitsversuch hin. Auch im Sommer 2005 arbeitete der Versicherte versuchsweise im Bereich der Computerunterstützung. Gemäss Bericht des Dr. med. J.________ vom 15. November 2005 waren nach dem Heilverlauf seit April 2005 abgesehen von der
antiepileptischen Behandlung keine medizinisch therapeutischen Massnahmen mehr notwendig. Auch Dr. phil. W.________ betreute den Beschwerdeführer nur noch grobmaschig. Aufgrund der aktenkundig verfügbaren Unterlagen kann mit Blick über die gesamte, mehr als sechsjährige Dauer zwischen Unfall und Fallabschluss nicht von erheblichen Beschwerden gesprochen werden.
5.4.5 Die Erfüllung des Kriteriums der erheblichen Arbeitsunfähigkeit trotz ausgewiesener Anstrengungen (BGE 134 V 109 E. 10.2.7 S. 129) ist zu bejahen. Vor Bundesgericht argumentiert die Mobiliar mit Blick auf das seit dem Unfall vom 27. April 2003 bis zum folgenlosen Fallabschluss per 31. Juli 2009 basierend auf einer durchgehend vollen Arbeitsunfähigkeit ausbezahlte Taggeld, die Beschwerdegegnerin sei - angesichts des Gutachtens des versicherungsmedizinischen Zentrums Z.________ - zu Unrecht von einem mittelschweren Schädelhirntrauma ausgegangen und habe "ganz klar in Verkennung der Aktenlage [...] bis zum Zeitpunkt der Einstellung der Leistungen 100 % Taggeld ausgerichtet." Weder den Akten noch der Vernehmlassung der Mobiliar ist jedoch zu entnehmen, bis zu welchem Zeitpunkt in welchem Ausmass denn nach Auffassung der Beschwerdegegnerin ein tatsächlich ausgewiesener Anspruch auf Taggeld bestand. Insbesondere lässt sich mit der Argumentation der Mobiliar nicht auf zweifellose Unrichtigkeit des formlos (vgl. Art. 51
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 51 Procédure simplifiée - 1 Les prestations, créances et injonctions qui ne sont pas visées à l'art. 49, al. 1, peuvent être traitées selon une procédure simplifiée. |
|
1 | Les prestations, créances et injonctions qui ne sont pas visées à l'art. 49, al. 1, peuvent être traitées selon une procédure simplifiée. |
2 | L'intéressé peut exiger qu'une décision soit rendue. |
im Sommer 2005 mit grossem Einsatzwillen erfolgreich Arbeitstrainings absolvieren konnte, dass er jedoch trotz dieser Beschäftigungen "zu therapeutischen Zwecken" infolge der neuropsychologischen Defizite seine frühere Leistungsfähigkeit vor dem Unfall nicht wieder zu erlangen vermochte.
5.4.6 Eine ärztliche Fehlbehandlung, welche die Unfallfolgen erheblich verschlimmert hätte, ist nicht gegeben. Ebenso wenig finden sich Anhaltspunkte für einen schwierigen Heilungsverlauf und erhebliche Komplikationen.
5.5 Zusammenfassend sind demnach nur zwei Adäquanzkriterien in nicht besonders ausgeprägter Weise erfüllt, so dass - wie dargelegt (E. 5.3 i.f.) - die Adäquanz des Kausalzusammenhanges zwischen den ab 1. August 2009 anhaltend geklagten, organisch nicht objektiv ausgewiesenen Beschwerden und dem Unfall vom 27. April 2003 zu verneinen ist.
6.
Nach dem Gesagten (E. 4) ist der angefochtene Entscheid aufzuheben. Das kantonale Gericht wird gestützt auf die Ergebnisse der erforderlichen Neubegutachtung (E. 4.4 hievor) über den weiteren Leistungsanspruch nach UVG ab 1. August 2009 zu befinden haben und sodann über die hängige Beschwerde des Versicherten im Streit betreffend den folgenlosen Fallabschluss per 31. Juli 2009 neu entscheiden.
7.
Ist der angefochtene Entscheid aufzuheben, wird Antrag Ziff. 2 der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 28. Januar 2012 gegenstandslos.
8.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird in dem Sinne gutgeheissen, dass der Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 22. November 2011 aufgehoben und die Sache an die Vorinstanz zurückgewiesen wird, damit sie, nach erfolgter Abklärung im Sinne der Erwägungen, über die Beschwerde neu entscheide.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdegegnerin hat den Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'800.- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 12. Dezember 2012
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Ursprung
Der Gerichtsschreiber: Hochuli