Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 313/2018
Urteil vom 10. August 2018
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiber Wüest.
Verfahrensbeteiligte
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdeführerin,
gegen
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Andres Büsser,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Unfallversicherung
(Invalidenrente; Invalideneinkommen),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen
vom 13. März 2018 (UV 2017/76).
Sachverhalt:
A.
Der 1952 geborene A.________ war als Taxichauffeur bei der B.________ AG tätig und dadurch bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) gegen die Folgen von Unfällen versichert, als er am 20. Januar 2009 einen Autounfall erlitt und sich dabei eine nicht dislozierte Fazettengelenksfraktur mit intraartikulärer Beteiligung C4/5 zuzog. Die Suva anerkannte ihre Leistungspflicht und erbrachte die gesetzlichen Leistungen (Heilbehandlung und Taggeld). Nach Beizug der Akten der zuständigen IV-Stelle sowie des Haftpflichtversicherers des Unfallverursachers - darunter ein Observationsbericht vom 8. Februar 2012 - holte sie ein bidisziplinäres (Orthopädie/Wirbelsäulenchirurgie und Psychiatrie) Gutachten ein. Gestützt darauf teilte sie A.________ mit, sie werde ab 1. September 2014 Taggelder basierend auf einer Arbeits- bzw. Erwerbsfähigkeit von 50 % ausrichten. Mit Verfügung vom 21. Mai 2015 sprach sie ihm in Anlehnung an den Vorbescheid der IV-Stelle vom 9. Oktober 2014 (bestätigt mit Verfügung vom 21. Juli 2017) ab 1. Mai 2015 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 21 % und eine Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von 15 % zu. Daran hielt sie mit Einspracheentscheid vom 29. August 2017 fest.
B.
Die hiergegen erhobene Beschwerde hiess das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen dahingehend gut, dass es den Einspracheentscheid der Suva aufhob und diese verpflichtete, A.________ ab 1. Mai 2015 eine Invalidenrente basierend auf einem Invaliditätsgrad von 25 % auszurichten. Zur Festsetzung und Ausrichtung der Leistung wies es die Sache an die Suva zurück.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt die Suva, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids und des Einspracheentscheids vom 29. August 2017 sei ein Rentenanspruch des Versicherten zu verneinen. Eventualiter sei der angefochtene Entscheid aufzuheben und der Einspracheentscheid der Suva zu bestätigen.
A.________ lässt auf Abweisung der Beschwerde, eventualiter auf Rückweisung an die Vorinstanz zur Durchführung des Verfahrens nach Art. 61 Abs. 1 lit. d
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
Erwägungen:
1.
Soweit das kantonale Gericht im angefochtenen Entscheid die Sache zur Rentenfestsetzung an die Beschwerdeführerin zurückgewiesen hat, handelt es sich formal um einen Zwischenentscheid im Sinne von Art. 93 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
|
1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
2.
2.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.2. Die Beschwerdeführerin stellte den Antrag um Verneinung eines Rentenanspruchs bereits im vorinstanzlichen Verfahren. Demnach liegt kein neues Begehren gemäss Art. 99 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
3.
Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz bei der Ermittlung eines Invaliditätsgrades von 25 % Bundesrecht verletzte. Soweit die Suva dem Versicherten basierend auf einer Integritätseinbusse von 15 % eine entsprechende Integritätsentschädigung zusprach, trat die Verfügung vom 21. Mai 2015 unangefochten in Rechtskraft (BGE 119 V 347; vgl. auch SVR 2013 UV Nr. 9 S. 29, 8C 592/2012 E. 3.2 f. mit Hinweisen).
4.
4.1. Das kantonale Gericht erwog zunächst, die Ergebnisse der durch den Haftpflichtversicherer des Unfallverursachers veranlassten Observation seien in der unfallversicherungsrechtlichen Streitsache verwertbar. Es mass sodann dem psychiatrischen Teilgutachten des Prof. Dr. med. C.________, Facharzt FMH für Psychiatrie und Psychotherapie sowie Neurologie, vom 14. April 2014 Beweiskraft bei und stellte gestützt darauf fest, dass keine psychisch bedingte Einschränkung der Arbeitsfähigkeit bestehe. Der Beurteilung des PD Dr. med. D.________ und der Dr. med. E.________, Spital F.________, im orthopädischen Teilgutachten vom 18. September 2013 folgte es hingegen nicht, da die Schlussfolgerung einer 50%igen Arbeitsfähigkeit nicht nachvollziehbar sei. So hätten die Gutachter auch die subjektiven Einschränkungen des Versicherten berücksichtigt, was vor dem Hintergrund der Observationsergebnisse problematisch sei. Mit diesen hätten sie sich im Übrigen nicht auseinandergesetzt. Desgleichen hätten sich die Experten nicht in erkennbarer Weise mit den abweichenden Arbeitsfähigkeitsschätzungen in den Vorakten befasst. Die Vorinstanz erachtete indessen das von der IV-Stelle veranlasste rheumatologische Teilgutachten des Dr. med. G.________,
Facharzt FMH für Rheumatologie, vom 18. Januar 2010 mit Ergänzung vom 31. März 2010 als beweiskräftig. Dieser habe die Arbeitsunfähigkeit nachvollziehbar mit 20-30 % sowohl in Bezug auf die Tätigkeit als Taxifahrer als auch für andere leichte Tätigkeiten ohne besondere Belastung des Nackens und Schultergürtels eingeschätzt. Demnach sei seit der Begutachtung durch Dr. med. G.________ vom 23. Dezember 2009 von einer Arbeitsunfähigkeit von 25 % (Durchschnitt von 20-30 %) in der angestammten wie auch in einer adaptierten Tätigkeit auszugehen. Eine Verschlechterung des Gesundheitszustandes bis zum Rentenbeginn am 1. Mai 2015 bzw. dem Einspracheentscheid vom 29. August 2017 sei nicht ausgewiesen. In Bezug auf die erwerblichen Auswirkungen führte das Versicherungsgericht schliesslich aus, zur Festlegung sowohl des Invaliden- als auch des Valideneinkommens sei auf dieselben Werte abzustellen, da dem Beschwerdeführer seine angestammte Tätigkeit weiterhin zumutbar sei. Daraus resultiere ein rentenbegründender Invaliditätsgrad von 25 %. Dieser sogenannte Prozentvergleich bilde die veränderte Erwerbssituation des Beschwerdeführers besser ab als der von der Suva in ihrer Beschwerdeantwort vorgenommene Einkommensvergleich.
4.2. Die beschwerdeführende Suva beanstandet einzig die vorinstanzliche Berechnung des Invaliditätsgrades. Da der Versicherte auf dem hypothetischen ausgeglichenen Arbeitsmarkt mit seinen unfallbedingten gesundheitlichen Einschränkungen in einer anderen leidensangepassten Tätigkeit einen wesentlich höheren Lohn erzielen könnte als in seiner angestammten Tätigkeit als Taxichauffeur, sei dieses höhere Einkommen massgebend. Basierend auf dem Tabellenlohn gemäss der Lohnstrukturerhebung des Bundesamtes für Statistik (LSE 2014, Tabelle TA1, Kompetenzniveau 1, Männer, Total) und unter Berücksichtigung der Nominallohnentwicklung sowie der betriebsüblichen wöchentlichen Arbeitszeit resultiere ein Bruttojahreseinkommen von Fr. 66'653.30 bzw. bei einer Arbeitsfähigkeit von 75 % ein solches von Fr. 49'990.-. Bei einem angemessenen leidensbedingten Tabellenlohnabzug von 5-10 % ergebe sich ein Invalideneinkommen von Fr. 44'991.- bis Fr. 47'491.-, was den Invalidenlohn als Taxifahrer in der Höhe von Fr. 27'886.- erheblich übersteige. Im Vergleich mit dem Valideneinkommen von Fr. 37'181.20 scheide ein rentenbegründender Invaliditätsgrad aus, woran auch eine Parallelisierung der Vergleichseinkommen nichts ändern würde. Die Suva betont
schliesslich, dass dem Versicherten ein Stellenwechsel zumutbar sei.
4.3. Der Beschwerdegegner rügt eine bundesrechtswidrige Beweiswürdigung der Vorinstanz, indem sie sich der Kritik der Ärztin des Regionalen Ärztlichen Dienstes (RAD), Dr. med. H.________, angeschlossen und in der Folge nicht auf das beweiskräftige Gutachten der Ärzte des Spitals F.________ abgestellt habe. Der vorinstanzlich erkannte Invaliditätsgrad sei durch das Gutachten bei Weitem zutreffend untermauert. Weiter sei zu beachten, dass gemäss ständiger Praxis des Bundesgerichts von der Möglichkeit einer reformatio in peius im Beschwerdeverfahren zurückhaltend Gebrauch zu machen sei. Die Voraussetzungen dafür seien vorliegend nicht erfüllt. Sodann wirft der Beschwerdegegner der Suva vor, sie verhalte sich widersprüchlich und treuwidrig, wenn sie ihm im Beschwerdeverfahren erstmals unterstelle, er habe seine Arbeitskraft nicht in zumutbarer Weise voll ausgeschöpft, nachdem sie ihn bei der Wiedereingliederung als Taxifahrer begleitet habe und ihn bis zu seinem Pensionierungsalter ohne Vorbehalt habe arbeiten lassen. Ausserdem sei bei der Ermittlung des Invalideneinkommens rechtsprechungsgemäss primär von der beruflich-erwerblichen Situation auszugehen, in der die versicherte Person konkret stehe. Die Suva verhalte sich im Übrigen
auch insofern widersprüchlich, als sie selber den medizinischen Sachverhalt als nicht abschliessend abgeklärt erachtet und folglich am 23. August 2013 ein bidisziplinäres Gutachten veranlasst habe, sie nunmehr aber argumentiere, die Teilerwerbsfähigkeit habe schon im Januar/März 2010 festgestanden.
5.
Die Vorinstanz kam nach eingehender Würdigung der Akten zum Schluss, auf das orthopädische Gutachten des PD Dr. med. D.________ und der Dr. med. E.________ könne nicht abgestellt werden. Dies ist nicht zu beanstanden. Wie das kantonale Gericht zutreffend festhielt, ist davon auszugehen, dass sich die Sachverständigen nicht mit den Observationsergebnissen auseinandersetzten. Auch eine Diskussion bezüglich der anderslautenden Arbeitsfähigkeitsschätzungen in den Vorakten fehlt. Damit hat die Vorinstanz überzeugend dargelegt, weshalb das orthopädische Teilgutachten nicht beweiskräftig ist. Soweit der Beschwerdegegner dagegen vorbringt, das kantonale Gericht hätte nicht unbesehen auf das Ergebnis versicherungsinterner ärztlicher Abklärungen abstellen dürfen, ist ihm entgegenzuhalten, dass die Vorinstanz nicht einfach die Einschätzung der RAD-Ärztin übernommen hat, sondern letztlich der Beurteilung des verwaltungsexternen Gutachters Dr. med. G.________ im Jahr 2010 gefolgt ist, wonach dem Versicherten die Tätigkeit als Taxichauffeur wie auch jede andere adaptierte Tätigkeiten mit einer Einschränkung von 20-30 % zumutbar ist (vgl. E. 4.1). Die Vorinstanz wies zu Recht darauf hin, dass diese Einschätzung im Einklang steht mit der
Beurteilung der Wirbelsäulenchirurgin Dr. med. I.________, die den Versicherten im Auftrag der Suva begutachtete und dabei lediglich eine leichte Limitierung als Taxifahrer feststellte. Dass die Beurteilung des Dr. med. G.________ nicht beweiskräftig sei, macht der Beschwerdegegner nicht geltend und ist auch nicht ersichtlich. Weiterungen hierzu erübrigen sich (vgl. E. 2.1). Die Vorinstanz ist somit zu Recht von einer Arbeitsunfähigkeit von 25 % (Durchschnitt von 20-30 %; vgl. Urteil 9C 280/2010 vom 12. April 2011 E. 4.2 mit Hinweisen, nicht publ. in: BGE 137 V 71, aber in: SVR 2011 IV Nr. 69 S. 207) in der angestammten Tätigkeit als Taxichauffeur sowie in anderen leidensangepassten Tätigkeiten ausgegangen.
6.
Zu prüfen bleiben die erwerblichen Auswirkungen der 25%igen Arbeitsunfähigkeit.
6.1. Nach Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
6.2. Bei der Ermittlung des Invalideneinkommens ist primär von der beruflich-erwerblichen Situation auszugehen, in der die versicherte Person konkret steht. Übt sie nach Eintritt der Invalidität eine Erwerbstätigkeit aus, bei der - kumulativ - besonders stabile Arbeitsverhältnisse gegeben sind und anzunehmen ist, dass sie die ihr verbleibende Arbeitsfähigkeit in zumutbarer Weise voll ausschöpft, und erscheint zudem das Einkommen aus der Arbeitsleistung als angemessen und nicht als Soziallohn, gilt grundsätzlich der tatsächlich erzielte Verdienst als Invalidenlohn. Ist kein solches Erwerbseinkommen gegeben, namentlich weil die versicherte Person nach Eintritt des Gesundheitsschadens keine oder jedenfalls keine ihr an sich zumutbare neue Erwerbstätigkeit aufgenommen hat, so können entweder LSE-Tabellenlöhne oder die DAP-Zahlen (Dokumentation von Arbeitsplätzen seitens der Suva) herangezogen werden (BGE 135 V 297 E. 5.2 S. 301; Urteil 8C 749/2013 vom 6. März 2014 E. 4.1).
6.3. Ein Abstellen bei der Ermittlung des Invalideneinkommens auf den tatsächlich erzielten Verdienst setzt demnach unter anderem voraus, dass die versicherte Person ihre ihr verbliebene Arbeitsfähigkeit in zumutbarer Weise voll ausschöpft. Dies ist dann nicht der Fall, wenn die versicherte Person auf dem hypothetischen ausgeglichenen Arbeitsmarkt einen höheren als den tatsächlich erhaltenen Lohn erzielen könnte. Auf diesem hypothetischen Arbeitsmarkt ist ein Stellenwechsel auch dann zumutbar, wenn es für die versicherte Person aufgrund der wirtschaftlichen Gegebenheiten auf dem tatsächlichen Arbeitsmarkt sehr schwierig oder gar unmöglich ist, eine entsprechende Stelle zu finden. Die Anrechnung dieses hypothetischen höheren Einkommens beruht dabei weniger auf der Schadenminderungspflicht, sondern auf der Überlegung, dass die Unfallversicherung lediglich die durch den unfallkausalen Gesundheitsschaden bedingte Lohneinbusse ausgleichen soll (Urteile 8C 13/2017 vom 21. Juni 2017 E. 3.3 und 8C 237/2011 vom 19. August 2011 E. 2.3). Eine versicherte Person muss sich bei der Invaliditätsbemessung die Einkünfte als Invalideneinkommen anrechnen lassen, die sie auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt an einer zumutbaren Stelle erzielen könnte;
selbst wenn sie infolge günstiger Aussichten an der bisherigen Stelle von einem Berufs- oder Stellenwechsel absieht, kann sie nicht erwarten, dass die Unfallversicherung für einen wegen des Verzichts auf zumutbare Einkünfte eingetretenen Minderverdienst aufkommt (Urteil 8C 475/2017 vom 5. Dezember 2017 E. 6.1).
6.4. Gemäss Feststellungen der Vorinstanz hat der Beschwerdegegner seine Taxifahrertätigkeit im September 2015 wieder dauerhaft aufgenommen. Sein Arbeitgeber habe gegenüber der IV-Stelle angegeben, der Versicherte arbeite ohne Einschränkungen in einem Pensum von 50 %. Dies wird vom Beschwerdegegner nicht in Frage gestellt. Damit schöpft er aber die ihm verbliebene Arbeitsfähigkeit pensenmässig nicht voll aus. Wie die Beschwerdeführerin ausserdem zu Recht geltend macht, hätte der Beschwerdegegner auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt ein wesentlich höheres Einkommen erzielen können als mit seiner Taxifahrertätigkeit (vgl. E. 4.2). Damit ist bei der Berechnung des Invalideneinkommens dieses hypothetisch höhere Einkommen an einer zumutbaren Stelle zu berücksichtigen. Ein Stellenwechsel wäre dem Beschwerdegegner denn auch zumutbar gewesen, zumal er vor dem Unfall noch nicht lange hauptberuflich als Taxichauffeur arbeitete. Wie aus dem psychiatrischen Teilgutachten des Dr. med. C.________ vom 14. April 2014 hervorgeht, absolvierte der Beschwerdegegner, der den Beruf des Drehers gelernt hat, die Taxiprüfung zwar schon im Jahr 1981. Zunächst fuhr er aber parallel zu seinem handwerklichen Beruf lediglich an den Wochenenden Taxi. Erst
nachdem er seine letzte Stelle in einer Maschinenbaufirma im Jahr 2006 aus wirtschaftlichen Gründen verloren hatte, nahm er die Taxifahrertätigkeit in einem Vollzeitpensum auf. Bis zu seinem Unfall am 20. Januar 2009 ging er dann seiner Tätigkeit als Taxifahrer in einem Vollzeitpensum nach.
6.5. In ihrer Verfügung vom 21. Mai 2015 verwies die Suva auf den Vorbescheid der IV-Stelle vom 9. Oktober 2014 und übernahm den von dieser berechneten Invaliditätsgrad. Die IV-Stelle hatte das Invalideneinkommen anhand von statistischen Löhnen ermittelt, da der Versicherte seine zumutbare Restarbeitsfähigkeit als Taxifahrer nicht optimal verwertet habe. Soweit der Beschwerdegegner vorbringt, die Suva habe ihm bis zum Einspracheentscheid vom 29. August 2017 nie unterstellt, die ihm verbliebene Arbeitskraft nicht in zumutbarer Weise voll auszuschöpfen, kann ihm demnach nicht gefolgt werden. Es erscheint auch nicht widersprüchlich oder treuwidrig, wenn die Suva den Versicherten bei seiner Wiedereingliederung als Taxifahrer zunächst begleitete, bei der Ermittlung des Invalideneinkommens dann aber auf Tabellenlöhne abstellte. So war zunächst durchaus denkbar, dass dem Beschwerdegegner der vollständige Wiedereinstieg in die Taxifahrertätigkeit im Verlauf gelingen würde.
Zum Zeitpunkt der Suva-Verfügung betrug die verbliebene Aktivitätsdauer bis zur ordentlichen Pensionierung noch 2,25 Jahre. Auch unter diesem Aspekt wäre dem Beschwerdegegner ein Stellenwechsel zumutbar gewesen.
6.6. Des Weiteren hat sich im Bereich der Unfallversicherung keine Rechtsprechung etabliert, wonach die Unverwertbarkeit einer verbleibenden medizinisch-theoretischen Restarbeitsfähigkeit wegen des fortgeschrittenen Alters zu berücksichtigen wäre (vgl. SVR 2018 UV Nr. 22 S. 78, 8C 212/2017 E. 4.3 mit Hinweisen; vgl. insbesondere auch Art. 28 Abs. 4
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide. |
|
1 | Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide. |
2 | Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération. |
3 | Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64 |
4 | Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser. |
7.
7.1. Nach den nicht zu beanstandenden Berechnungen der Beschwerdeführerin ist von einem Valideneinkommen von Fr. 37'181.20 im Jahr 2015 auszugehen. Auch gegen die Ermittlung des Invalideneinkommens in der Höhe von mindestens Fr. 44'991.- (vgl. E. 4.2) ist nichts einzuwenden. Aus der Gegenüberstellung der beiden Vergleichseinkommen wird klar, dass der für einen Rentenanspruch erforderliche Invaliditätsgrad von mindestens 10 % bei Weitem nicht erreicht wird.
7.2. Eine Parallelisierung der Vergleichseinkommen fällt ausser Betracht, wenn und soweit sich die versicherte Person aus freien Stücken, etwa mangels wirtschaftlicher Notwendigkeit, mit einem verglichen mit ihrem Erwerbspotenzial tiefen Einkommen begnügte und Anhaltspunkte fehlen, dass sie ohne gesundheitliche Beeinträchtigung die betreffende Tätigkeit zugunsten einer besser entlöhnten Arbeit (in selbstständiger oder unselbstständiger Stellung) aufgegeben hätte (BGE 135 V 58 E. 3.4.1 und 3.4.6 S. 60 ff.; 134 V 322 E. 4.1 S. 326; Urteil 8C 173/2012 vom 8. Juni 2012 E. 6.2).
Wie bereits ausgeführt (vgl. E. 6.4) absolvierte der Beschwerdegegner die Taxiprüfung im Jahr 1981. Seit 2006 ging er bis zu seinem Unfall am 20. Januar 2009 seiner Tätigkeit als Taxifahrer in einem Vollzeitpensum nach. Dabei wären ihm nach seiner Entlassung bei der Maschinenbaufirma aufgrund einer betrieblichen Umstrukturierung im Jahr 2006 auch andere Tätigkeiten im bisherigen Bereich offen gestanden. Stattdessen entschied er sich für die Tätigkeit als Taxifahrer. Diese übte er auch nach dem Unfall weiter aus, weshalb anzunehmen ist, dass er auch ohne gesundheitliche Beeinträchtigung bis zur ordentlichen Pensionierung als Taxifahrer gearbeitet hätte. Davon ging auch die IV-Stelle in ihrer Verfügung vom 21. Juli 2017 aus. Es bestehen somit gewichtige Anhaltspunkte dafür, dass sich der Beschwerdegegner aus freien Stücken mit einem tiefen Einkommen begnügte. Damit besteht vorliegend - entgegen der Auffassung des Beschwerdegegners - kein Anlass für eine Parallelisierung der Vergleichseinkommen (vgl. Urteil 9C 520/2012 vom 20. August 2012 E. 4.2).
7.3. Soweit der Beschwerdegegner vorbringt, beim von der Suva postulierten Einkommensvergleich handle es sich um ein unzulässiges Novum, zielt der Einwand ins Leere. Die Neuheit eines Begehrens bemisst sich im Verhältnis zu den vorinstanzlich gestellten Begehren (BGE 136 V 362 E. 4.2 S. 367 mit Hinweisen). Die Beschwerdeführerin hatte vor der Vorinstanz verlangt, ihr Einspracheentscheid sei aufzuheben und ein Rentenanspruch zu verneinen. Nichts anderes beantragt sie vor Bundesgericht. Wenn sie nunmehr geltend macht, eine entscheidwesentliche Parallelisierung der Vergleichseinkommen stehe nicht zur Diskussion, so liegt darin keine Veränderung des Streitgegenstandes und kein unzulässiges neues Begehren, sondern eine zusätzliche rechtliche Begründung für das vorinstanzlich gestellte Begehren (BGE 136 V 362 E. 4.2 S. 367 mit Hinweis). Sodann konnte sich der Beschwerdegegner im Rahmen der Vernehmlassung zu den Ausführungen in der Beschwerde äussern.
7.4. Nach dem Gesagten hat der Beschwerdegegner keinen Rentenanspruch. Die vorinstanzliche Berechnung des Invaliditätsgrades erweist sich als bundesrechtswidrig.
8.
Damit wird der Beschwerdegegner schlechter gestellt, als er es aufgrund des Einspracheentscheides vom 29. August 2017 (Invalidenrente basierend auf einem Invaliditätsgrad von 21 %) war. Die Sache ist daher zur Durchführung des Verfahrens nach Art. 61 lit. d
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
Sodann sei darauf hingewiesen, dass das Bundesgericht mit dem zur Publikation vorgesehenen Urteil 8C 440/2017 vom 25. Juni 2018 die Rechtsprechung in Bezug auf die reformatio in peius im Beschwerdeverfahren bereinigt hat: Danach setzt Art. 61 lit. d
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
9.
Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten grundsätzlich dem Beschwerdegegner aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen. Der Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 13. März 2018 und der Einspracheentscheid der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) vom 29. August 2017 werden aufgehoben und die Sache wird an die Vorinstanz zurückgewiesen, damit sie im Sinne der Erwägungen verfahre.
2.
Dem Beschwerdegegner wird die unentgeltliche Rechtspflege gewährt und Rechtsanwalt Dr. Andres Büsser wird als unentgeltlicher Anwalt bestellt.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdegegner auferlegt, indes vorläufig auf die Bundesgerichtskasse genommen.
4.
Dem Rechtsvertreter des Beschwerdegegners wird aus der Bundesgerichtskasse eine Entschädigung von Fr. 2'800.- ausgerichtet.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 10. August 2018
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Wüest