Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

8C 212/2015

Urteil vom 10. Juli 2015

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Ursprung, Bundesrichterin Heine,
Gerichtsschreiber Grunder.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Markus Schmid,
Beschwerdeführer,

gegen

Helvetia Schweizerische
Versicherungsgesellschaft AG,
Dufourstrasse 40, 9001 St. Gallen,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 16. Dezember 2014.

Sachverhalt:

A.
Der 1944 geborene A.________ ist Inhaber der Einzelfirma B.________ und war bei der Schweizerischen National-Versicherungs-Gesellschaft AG (heute: Helvetia Schweizerische Versicherungsgesellschaft AG, im Folgenden: Helvetia) freiwillig gemäss Unfallversicherungsgesetz (UVG) gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 2. September 2000 war er in eine Auffahrkollision verwickelt und am 16. September 2000 stürzte er bei der Bürgenstockbahn auf den Rücken (Unfallmeldung UVG [undatiert]). Der erstbehandelnde Dr. C.________, Chiropraktor, stellte Schwindel, segmentale Blockierung der oberen HWS (Halswirbelsäule), paravertebralen Hartspann v.a. links cervical sowie Druckdolenzen auf Höhe der Halswirbelkörper C2 rechts und C5 links fest (Bericht vom 19. September 2000). Die Helvetia erbrachte die Leistungen gemäss UVG (Heilbehandlung; Taggeld). Nach diversen weiteren ärztlichen Behandlungen und Abklärungen holte sie das interdisziplinäre Gutachten der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ (Dr. med. E.________, Facharzt FMH Rheumatologie; Dr. med. F.________, Facharzt FMH Neurologie; Prof. Dr. med. G.________, Facharzt FMH Psychiatrie und Psychotherapie), vom 15. November 2012 ein. Danach litt der Versicherte mit Auswirkung auf die
Arbeitsfähigkeit an folgenden diagnostisch relevanten Befunden: chronisches sensibles und reflektorisches Zervikoradikulärsyndrom C6 links; sensomotorischer und reflektorischer C6-Ausfall links; Status nach leichter Frontalkollision am 2. September 2000 mit kurzzeitiger Verschlimmerung eines vorher asymptomatischen Zustandes bei bekannten degenerativen Veränderungen der HWS; Status nach Schädelprellung mit möglicher HWS-Distorsion am 16. September 2000 bei Sturz auf den Rücken/Hinterkopf, ohne nachweisbare strukturelle Schädigung/Verschlimmerung der vorbestehenden degenerativen Veränderungen. Mit Verfügung vom 14. August 2013 hielt die Helvetia fest, sie stelle die Versicherungsleistungen per Ende September 2001 ein, da zu diesem Zeitpunkt der natürliche Kausalzusammenhang zwischen den Beschwerden und den damit verbundenen Behandlungen und dem Unfall vom 16. September 2000 mit überwiegender Wahrscheinlichkeit nicht mehr bestanden habe; sie verzichte auf die Rückforderung der seit 1. Oktober 2001 erbrachten Versicherungsleistungen. Eine Einsprache lehnte sie ab (Einspracheentscheid vom 18. März 2014).

B.
Die hiegegen eingereichte Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Basel-Stadt ab (Entscheid vom 16. Dezember 2014).

C.
Mit Beschwerde lässt A.________ beantragen, unter Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids sei die Helvetia zu verpflichten, die gesetzlichen Leistungen gemäss UVG auch ab Oktober 2001 zu erbringen.
Die Helvetia schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.

1.1. Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und Art. 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es ist somit weder an die in der Beschwerde geltend gemachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann eine Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann sie mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen (vgl. BGE 132 II 257E. 2.5 S. 262; 130 III 136E. 1.4 S. 140). Gemäss Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG ist die Beschwerde hinreichend zu begründen, andernfalls wird darauf nicht eingetreten (Art. 108 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
1    Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
a  sur les recours manifestement irrecevables;
b  sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2);
c  sur les recours procéduriers ou abusifs.
2    Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge.
3    L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité.
BGG). Das Bundesgericht prüft grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen; es ist nicht gehalten, wie eine erstinstanzliche Behörde alle sich stellenden rechtlichen Fragen zu prüfen, wenn diese vor Bundesgericht nicht mehr vorgetragen wurden. Es kann die Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht nur insofern prüfen, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG).

1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.

2.1. Prozessthema bildet die Frage, ob gestützt auf das Gutachten der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ vom 15. November 2012 nachgewiesen sei, spätestens per Ende September 2001 habe der natürliche Kausalzusammenhang zwischen den geltend gemachten gesundheitlichen Beeinträchtigungen im Bereich der HWS mit den Unfällen vom 2. und 16. September 2000 nicht mehr bestanden und somit sei die Helvetia ab diesem Zeitpunkt nicht mehr leistungspflichtig gewesen.

2.2.

2.2.1. Die vom Unfallversicherer einmal anerkannte Leistungspflicht entfällt erst, wenn dieser nachweist, dass der Gesundheitszustand erreicht ist, wie er unmittelbar vor dem Unfall bestanden hat (Status quo ante) oder wie er sich nach dem schicksalsmässigen Verlauf eines krankhaften Vorzustandes auch ohne Unfall früher oder später eingestellt hätte (Status quo sine; RKUV 1994 Nr. U 206 S. 328 f., U 180/93 E. 3b mit Hinweisen). Trifft ein Unfall auf einen vorgeschädigten Körper und steht aus ärztlicher Sicht fest, dass weder der Status quo ante noch der Status quo sine je wieder erreicht werden können, so spricht die Rechtsprechung von einer richtunggebenden Verschlimmerung (vgl. RUMO-JUNGO/HOLZER, Rechtsprechung des Bundesgerichts zum Sozialversicherungsrecht, Bundesgesetz über die Unfallversicherung [UVG], 4. Aufl., Zürich/Basel/Genf 2012, S. 54 mit Hinweis auf das Urteil 8C 467/2007 vom 25. Oktober 2007 E. 3.1).

2.2.2. Ob zwischen einem schädigenden Ereignis und einer gesundheitlichen Störung ein natürlicher Kausalzusammenhang besteht, ist Tatfrage, worüber die Verwaltung bzw. im Beschwerdefall das Gericht im Rahmen der ihm obliegenden Beweiswürdigung nach dem im Sozialversicherungsrecht üblichen Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit zu befinden hat. Die blosse Möglichkeit eines Zusammenhangs genügt für die Begründung eines Leistungsanspruches nicht (BGE 119 V 335 E. 1 S. 338; 118 V 286 E. 1b S. 289 f., je mit Hinweisen). Die Parteien tragen im Sozialversicherungsrecht in der Regel eine Beweislast nur insofern, als im Falle der Beweislosigkeit der Entscheid zu Ungunsten jener Partei ausfällt, die aus dem unbewiesen gebliebenen Sachverhalt Rechte ableiten wollte. Diese Beweisregel greift erst Platz, wenn es sich als unmöglich erweist, im Rahmen des Untersuchungsgrundsatzes auf Grund einer Beweiswürdigung einen Sachverhalt zu ermitteln, der zumindest die Wahrscheinlichkeit für sich hat, der Wirklichkeit zu entsprechen (BGE 117 V 261 E. 3b S. 264).

3.

3.1. Das kantonale Gericht hat erkannt, dass das Gutachten der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ vom 15. November 2012 sowohl unter formal- wie materiellrechtlichen Gesichtspunkten in allen Teilen beweistauglich sei. Die medizinischen Sachverständigen hätten dargelegt, dass die vom Versicherten geltend gemachten Nacken-/Armbeschwerden, die Bewegungseinschränkungen sowie die Gefühlsstörungen in der linken Hand durch die objektivierbaren strukturellen, an praktisch der gesamten HWS zwischen den Wirbeln C2 bis C7 bestehenden Schädigungen zweifellos erklärbar seien; es bestehe ein typisches bewegungs- und belastungsabhängiges Beschwerdebild. Allerdings sei die Auffahrkollision vom 2. September 2000 nicht geeignet gewesen, diese vorbestandenen degenerativen Veränderungen an der HWS wesentlich zu beeinflussen, zumal der Versicherte keinen Arzt aufsuchte und auch sein Arbeitspensum nicht reduzierte. Sodann habe der Sturz vom 16. September 2000 auf den Rücken in Berücksichtigung des getragenen Rucksackes wenig wahrscheinlich ein Abknicktrauma der HWS bewirkt, eher sei von einem Anprall des Hinterkopfes auszugehen, weshalb die anamnestisch im Verlauf gestellte Diagnose eines kraniozervikalen Beschleunigungstraumas abzulehnen sei.
Diese Befunde hätten die Gutachter der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ dadurch untermauert, dass sich ausweislich der Ergebnisse der echtzeitlichen radiologischen Untersuchungen ab September 2000 im Vergleich zur Vorunfallzeit bis im Jahre 2002 keine sichtbaren Veränderungen ergeben hätten, obwohl in diesem Zeitraum klinisch nachweisbar eindeutige Verschlechterungen auf mehreren Niveaus der HWS aufgetreten seien. Dieser gleichzeitig auf mehreren Segmenthöhen abgelaufene Prozess widerlege die Annahme einer traumatischen Schädigung der HWS, zumal erfahrungsgemäss bei einer traumatisch bedingten Veränderung ein Segment - ganz selten zwei - betroffen seien. Das kantonale Gericht kam zusammenfassend zum Schluss, dass die Unfälle vom September 2000 zu keiner richtunggebenden Verschlimmerung des vorbestandenen Gesundheitszustands geführt haben konnten und der Status quo sine spätestens ein Jahr danach eingetreten war.

3.2.

3.2.1. Der Beschwerdeführer macht in Wiederholung der im Einsprache- und vorinstanzlichen Verfahren vorgebrachten Einwände geltend, der rheumatologische Sachverständige der ärztlichen Abklärungsstelle D.________, Dr. med. E.________, sei Chefarzt der Abteilung Rheumatologie des Spitals H.________ gewesen und habe im Jahre 2003 bei der Besprechung der Operationsindikation mitgewirkt. Im damaligen Zeitpunkt habe er als behandelnder Arzt die Unfallkausalität zusammen mit anderen Fachmedizinern bejaht, wohingegen er diese als Gutachter der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ verneint habe. Diese spätere Beurteilung des ehemals behandelnden Dr. med. E.________ wecke ohne Weiteres den Anschein der Befangenheit.

3.2.2. Das kantonale Gericht hat erwogen, in objektiver Hinsicht begründe die Tatsache, dass Dr. med. E.________ als Chefarzt der rheumatologischen Abteilung des Spitals H.________ an der Indikationsstellung für die Operation im August 2003 mitgewirkt habe, nicht den Anschein der Befangenheit. Dasselbe gelte für den Umstand, dass Dr. med. E.________ als Gutachter - anders als zehn Jahre zuvor - die bereits im Jahre 2003 bekannt gewesenen, gesundheitlichen Beeinträchtigungen nicht mehr als unfallbedingter, sondern nunmehr als degenerativer Natur beurteilt habe. Damit sei vielmehr ausgewiesen, dass sich Dr. med. E.________, in Wahrnehmung seiner Pflichten als medizinischer Sachverständiger, kritisch mit dem Exploranden, den Mitgutachtern und dem Aktenmaterial auseinandergesetzt habe.

3.2.3. Die Helvetia bringt vor, Dr. med. E.________ sei nie der behandelnde Arzt des Beschwerdeführers gewesen. Selbst wenn sich dieser zur Operationsindikation und zur Frage der Unfallkausalität geäussert haben sollte, wäre eine Vorbefassung mit der Sache, welche allenfalls den Anschein der Befangenheit zu begründen vermöchte, zu verneinen.

3.3.

3.3.1. Nach der Rechtsprechung gelten für medizinische Sachverständige grundsätzlich die gleichen Ausstands- und Ablehnungsgründe, wie sie für Richter vorgesehen sind. Danach ist Befangenheit anzunehmen, wenn Umstände vorliegen, die geeignet sind, Misstrauen in die Unparteilichkeit zu erwecken. Bei der Befangenheit handelt es sich allerdings um einen inneren Zustand, der nur schwer bewiesen werden kann. Es braucht daher für die Ablehnung nicht nachgewiesen zu werden, dass die sachverständige Person tatsächlich befangen ist. Es genügt vielmehr, wenn Umstände vorliegen, die den Anschein der Befangenheit und die Gefahr der Voreingenommenheit zu begründen vermögen. Bei der Beurteilung des Anscheins der Befangenheit und der Gewichtung solcher Umstände kann jedoch nicht auf das subjektive Empfinden einer Partei abgestellt werden. Das Misstrauen muss vielmehr in objektiver Weise als begründet erscheinen. Im Hinblick auf die erhebliche Bedeutung, welche den Arztgutachten im Sozialversicherungsrecht zukommt, ist an die Unparteilichkeit des Gutachters ein strenger Massstab anzusetzen (BGE 132 V 93 E. 7.1 S. 109 mit Hinweis).

3.3.2. Der Umstand, dass sich ein Sachverständiger schon einmal mit einer Person befasst hat, schliesst später dessen Beizug als Gutachter nicht zum Vornherein aus. Eine unzulässige Vorbefassung liegt auch dann nicht vor, wenn er zu (für eine Partei) ungünstigen Schlussfolgerungen gelangt. Anderes gilt, wenn Umstände vorliegen, die den Anschein der Befangenheit und die Gefahr der Voreingenommenheit objektiv zu begründen vermögen, etwa wenn der Sachverständige seinen Bericht nicht neutral und sachlich abfasste (BGE 132 V 93 E. 7.2.2 S. 110 mit Hinweisen). Zu fragen ist dabei danach, ob das Ergebnis der Begutachtung nach wie vor als offen und nicht vorherbestimmt erscheint. Kann die Offenheit bejaht werden, ist die Besorgnis der Voreingenommenheit trotz Vorbefassung unbegründet. Dies ist beispielsweise der Fall, wenn der Experte andere Fragen zu beantworten oder sein erstes Gutachten lediglich zu erklären, zu erläutern oder zu ergänzen hat, nicht aber, wenn er die Schlüssigkeit seiner früheren Expertise zu überprüfen oder objektiv zu kontrollieren hat (Urteil 4A 118/2013 vom 29. April 2013 E. 2.1 Abs. 3 mit Hinweisen).

3.3.3. Nach im Schrifttum vertretener Auffassung sollten behandelnde Ärzte nicht als Gutachter betraut werden, da sowohl Befangenheit gegenüber dem eigenen Patienten wie auch dem eigenen Behandlungsergebnis nicht von vornherein ausgeschlossen werden kann. Die therapeutische und gutachterliche Tätigkeit des Arztes führt zu einer doppelten Rollenverteilung, weil einerseits der Arzt dem Wohle seines Patienten verpflichtet ist, anderseits aber auch seinem Auftraggeber gegenüber zur grösstmöglichen Objektivität. Damit wird der Versicherte gleichzeitig Patient und Explorand, was zu Zielkonflikten führen kann. Daher sollten als Gutachter die behandelnden Ärzte grundsätzlich nicht betraut werden. In Beachtung der ärztlichen Sorgfaltspflicht hat der mit einem Gutachten beauftragte behandelnde Arzt auf diese Konstellation rechtzeitig hinzuweisen. Andererseits hat der Versicherte die Pflicht, einen Ausstandsgrund sofort zu rügen (Urteil 9C 1012/2012 vom 4. Juni 2013 mit Hinweisen auf Judikatur und Literatur).

3.4.

3.4.1. Es gibt kein Aktenstück, dass belegte, der Versicherte wäre in den Jahren nach dem September 2000 jemals von Dr. med. E.________ klinisch oder radiologisch im Spital H.________ oder anderswo betreut oder untersucht worden. Der Versicherte gab denn auch im vorinstanzlich durchgeführten mündlichen Verfahren einzig zu Protokoll, er habe Dr. med. E.________ anlässlich dessen Exploration als einen jener Ärzte des Spitals H.________ erkannt, die im Gremium im Jahre 2003 wissen wollten, ob Rheinschwimmen, Seniorenfussball und Joggen im Alter von 56 Jahren Lebensqualität sei. Daraus kann, wie die Helvetia bereits mit Einspracheentscheid vom 18. März 2014 zu Recht feststellte, nicht abgeleitet werden, Dr. med. E.________ habe den Versicherten als Chefarzt des Spitals H.________ oder anderswo betreut. Vielmehr ist davon auszugehen, dass die Ärzte des Spitals H.________ im Kollegium und damit in Nachachtung der ihnen obliegenden Sorgfaltspflicht in Erfahrung bringen wollten, ob der Versicherte den mit Risiken behafteten, von ihm gewünschten Eingriff an der HWS ausführen lassen wollte. Unter diesen Umständen ist ohne Weiteres davon auszugehen, dass Dr. med. E.________ zwar möglicherweise konsiliarisch beigezogener medizinischer
Sachverständiger, jedoch zu keinem Zeitpunkt behandelnder Arzt des Beschwerdeführers war.

3.4.2. Insgesamt ist festzuhalten, dass allein der vom Beschwerdeführer geltend gemachte Umstand, Dr. med. E.________ sei bereits vor der gutachterlichen Untersuchung im Jahre 2012 mit dem Fall betraut gewesen und habe daher von sich aus in den Ausstand als medizinischer Experte treten müssen, jeglicher Begründung entbehrt. Unter diesen Umständen kann der von der Helvetia vorgebrachte Einwand, der Beschwerdeführer habe den medizinischen Gutachter nicht rechtzeitig im Verfahren gemäss Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
ATSG abgelehnt, offen gelassen werden.

3.5.

3.5.1. Der Beschwerdeführer erneuert auch seine materiellen Einwände gegen die Beweiskraft des Gutachtens der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ vom 15. November 2012, wobei er im Wesentlichen geltend macht, den medizinischen Sachverständigen hätten nicht sämtliche Akten vorgelegen und ihre Schlussfolgerungen widersprächen allen echtzeitlichen und späteren ärztlichen Unterlagen.

3.5.2.

3.5.2.1. Im Einzelnen bringt der Beschwerdeführer zunächst vor, die Vorinstanz habe in Bezug auf die Frage, ob unfallbedingte strukturelle Schädigungen an der HWS radiologisch nachweisbar waren, eine eigene und damit laienhafte Würdigung des medizinischen Sachverhalts vorgenommen. Er übersieht, dass das kantonale Gericht sich dazu auf die einlässlichen Erörterungen des Gutachtens der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ vom 15. November 2012 bezog, wonach zu keinem Zeitpunkt ein von den vorbestandenden Veränderungen im Bereich der HWS abgrenzbares, auf eine HWS-Distorsion zurückzuführendes Korrelat gefunden werden konnte. Etwas anderes ergibt sich aus den im kantonalen Verfahren aufgelegten Berichten des Departements Medizinische Radiologie, Spital I.________, vom 26. Mai 2004 sowie des Dr. med. J.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie Wirbelsäulenchirurgie, Spital H.________ vom 2. Juni 2004, welche den Gutachtern der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ nicht vorlagen, nicht. Den weiteren angerufenen Auskünften der behandelnden Ärzte ist allein zu entnehmen, dass sie die Unfallkausalität einzig mit der Begründung bejahten, der Versicherte habe vor dem Unfall vom 16. September 2000 an keinen wesentlichen
Einschränkungen im Bereich der HWS gelitten und für die danach exazerbierte Symptomatik bestünden lückenlos dokumentierte Brückensymptome (vgl. insbesondere Berichte des Prof. Dr. med. K.________, Chefarzt der Klinik L.________, vom 13. November 2012 sowie des Dr. med. J.________ vom 23. August 2013). Dies genügt für die Annahme eines unfallbedingten strukturellen Schadens nicht. Zur Verdeutlichung ist darauf hinzuweisen, dass gemäss erwähntem Bericht des Prof. Dr. med. K.________ die asymptomatisch gewesenen, deutlichen degenerativen Veränderungen an der HWS einen bekannten Risikobefund für den posttraumatischen Verlauf bildeten, was die Schlussfolgerung des kantonalen Gerichts, es habe kein unfallbedingtes objektives Korrelat gefunden werden können, bekräftigt.

3.5.2.2. Die erwähnten Prof. Dr. med. K.________ und Dr. med. J.________ legten, was der Beschwerdeführer mit seinen Einwänden gegen die vorinstanzliche Beweiswürdigung übersieht, in Kenntnis der beabsichtigten Schlussfolgerungen des Gutachtens der ärztlichen Abklärungsstelle D.________ vom 15. November 2012 nicht dar, inwiefern die seit dem Unfall vom 16. September 2000 bestandene Brückensymptomatik der Annahme der medizinischen Sachverständigen der ärztlichen Abklärungsstelle D.________, der Status quo sine vel ante sei spätestens ein Jahr danach eingetreten, entgegenstehe. Vielmehr sprach gemäss den nicht zu beanstandenden Erwägungen im angefochtenen Entscheid vor allem auch der Umstand, dass der Versicherte im Zeitraum zwischen dem 23. April 2001 bis zur ersten Operation im August 2003 praktisch durchgängig arbeits- und sportfähig gewesen war, gegen eine Brückensymptomatik im Sinne eines Nachweises für eine richtunggebende Verschlimmerung des vorbestandenen Gesundheitszustands. Dahingehend hat sich im Übrigen - entgegen den Einwänden des Beschwerdeführers - bereits der Vertrauensarzt der Helvetia, Dr. med. M.________, Spezialarzt für Chirurgie FMH, im Bericht vom 22. August 2003 geäussert. Unter diesen Umständen ist der
Hinweis des kantonalen Gerichts, der Unfall vom 16. September 2000 (Sturz auf den Rücken) habe wahrscheinlich - entgegen der Auffassung des Versicherten - keine Abknickverletzung der HWS bewirken können, da der auf dem Rücken getragene Kleidersack vermutlich zu wenig prall gefüllt gewesen sei, um - als Hebel dienend - zu einer Hyperextension zu führen, nicht entscheidend gewesen. Der Beschwerdeführer übersieht, dass biomechanische und/oder unfallanalytische Überlegungen bei der Beurteilung des natürlichen Kausalzusammenhangs von Schleudertraumen der HWS mit einem Unfall nur dann beweisrechtlich erheblich sein können, wenn bei der Beurteilung des medizinischen Sachverhalts und damit der natürlichen Kausalität auf sie zurückgegriffen werden muss (vgl. RKUV 2003 Nr. U 389 S. 459, U 193/01 E. 3.2; Urteil U 264/04 vom 16. Juni 2005 E. 3.4 [zusammengefasst publ. in: HAVE 2005 S. 351]). Dies ist hier selbst dann nicht der Fall, wenn mit den Einwänden des Beschwerdeführers von einem prall gefüllten Rucksack der Marke Samsonite ausgegangen würde.

3.5.3. Zusammengefasst ist der vorinstanzliche Entscheid, wonach der Beschwerdeführer ab 1. Oktober 2001 aus den Folgen der Unfälle vom 2. und 16. September 2000 keinen Anspruch auf die geltend gemachten Versicherungsleistungen aus UVG mehr hatte, nicht zu beanstanden.

4.
Die Gerichtskosten sind dem Beschwerdeführer als unterliegender Partei aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).
Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Basel-Stadt und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 10. Juli 2015
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Leuzinger

Der Gerichtsschreiber: Grunder
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 8C_212/2015
Date : 10 juillet 2015
Publié : 28 juillet 2015
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-accidents
Objet : Unfallversicherung (Kausalzusammenhang)


Répertoire des lois
LPGA: 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
96 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
108
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
1    Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
a  sur les recours manifestement irrecevables;
b  sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2);
c  sur les recours procéduriers ou abusifs.
2    Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge.
3    L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité.
Répertoire ATF
117-V-261 • 118-V-286 • 119-V-335 • 132-V-93
Weitere Urteile ab 2000
4A_118/2013 • 8C_212/2015 • 8C_467/2007 • 9C_1012/2012 • U_180/93 • U_193/01 • U_264/04
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • tribunal fédéral • question • état de fait • récusation • médecin • bâle-ville • état de santé • chute • patient • loi fédérale sur l'assurance-accidents • diagnostic • nombre • chirurgie • office fédéral de la santé publique • décision sur opposition • greffier • incombance • frais judiciaires • preuve • décision • autorité judiciaire • rejet de la demande • fardeau de la preuve • causalité naturelle • force probante • dommage • médecin spécialiste • violation du droit • effet • établissement hospitalier • autorisation ou approbation • importance notable • expert • motivation de la décision • examinateur • examen radiologique • atteinte à un droit constitutionnel • département • médecin-conseil • présomption • procédure cantonale • psychiatrie • hameau • avocat • prestation en argent • psychothérapie • emploi • neurologie • intéressé • conscience • raison individuelle • connaissance • langue • répétition • tiré • pré • littérature • poids • procédure orale • question de fait • assureur-accidents • bois • expertise médicale • lien de causalité • d'office
... Ne pas tout montrer
REAS
2005 S.351