Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 803/2020
Urteil vom 9. Juni 2021
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Muschietti,
Bundesrichterin van de Graaf,
Gerichtsschreiberin Unseld.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwälte
Oliver Kunz und Philip Carr,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Florhofgasse 2, 8090 Zürich,
2. SUISA, Genossenschaft der Urheber und Verleger von Musik,
Bellariastrasse 82, 8038 Zürich,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Thomas Sprenger,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Mehrfache Misswirtschaft, mehrfache ungetreue Geschäftsbesorgung; Willkür,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, II. Strafkammer, vom 18. Mai 2020 (SB180248-O/U/ad-cs).
Sachverhalt:
A.
A.________ war Gesellschafter und einer von zwei Geschäftsführern mit Einzelunterschrift der im Jahre 1986 gegründeten B.B.________ GmbH mit Sitz in Zürich. Er war zudem Gesellschafter mit Einzelunterschrift und faktischer Geschäftsführer der am 15. März 2010 im Handelsregister eingetragenen B.C.________ GmbH mit Sitz in Zürich sowie Gesellschafter und Geschäftsführer mit Einzelunterschrift der ebenfalls am 15. März 2010 im Handelsregister eingetragenen D.________ GmbH mit Sitz in Zürich. Die drei Gesellschaften bezweckten u.a. die Organisation und Durchführung von Konzerten. Über die B.B.________ GmbH und die B.C.________ GmbH wurde am 3. Oktober 2011 und über die D.________ GmbH am 10. Oktober 2011 der Konkurs eröffnet.
Die Anklage wirft A.________ u.a. vor, er habe als federführende Person Gelder der beiden B.________-Gesellschaften zwischen Fr. 226'240.-- und maximal ca. Fr. 750'000.-- als nicht gesicherte Überbrückungskredite an die D.________ GmbH übertragen, um das von dieser geplante und mangels vorhandener Finanzen von einer kurzfristigen Absage bedrohte Open Air "E.________" vom 23./24. Juni 2011 in Basel durchführen zu können. Ihm sei dabei klar gewesen oder er habe zumindest billigend in Kauf genommen, dass die D.________ GmbH die Gelder nicht oder zumindest nicht im vollen Umfang wird zurückbezahlen können. Auch habe er gewusst, dass die seit längerer Zeit finanziell angeschlagenen B.________-Gesellschaften einen Ausfall in sechsstelliger Frankenhöhe finanziell nicht verkraften konnten (Anklageschrift S. 7 f.).
B.
Das Bezirksgericht Zürich erklärte A.________ am 9. März 2016 des mehrfachen Betrugs (Art. 146 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
|
1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 29 - Un devoir particulier dont la violation fonde ou aggrave la punissabilité et qui incombe uniquement à la personne morale, à la société ou à l'entreprise en raison individuelle18 est imputé à une personne physique lorsque celle-ci agit: |
|
a | en qualité d'organe d'une personne morale ou de membre d'un tel organe; |
b | en qualité d'associé; |
c | en qualité de collaborateur d'une personne morale, d'une société ou d'une entreprise en raison individuelle19 disposant d'un pouvoir de décision indépendant dans le secteur d'activité dont il est chargé; |
d | en qualité de dirigeant effectif qui n'est ni un organe ou un membre d'un organe, ni un associé ou un collaborateur. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 231.1 Loi fédérale du 9 octobre 1992 sur le droit d'auteur et les droits voisins (Loi sur le droit d'auteur, LDA) - Loi sur le droit d'auteur LDA Art. 67 Violation du droit d'auteur - 1 Sur plainte du lésé, est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, intentionnellement et sans droit: |
|
1 | Sur plainte du lésé, est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, intentionnellement et sans droit: |
a | utilise une oeuvre sous une désignation fausse ou différente de celle décidée par l'auteur; |
b | divulgue une oeuvre; |
c | modifie une oeuvre; |
d | utilise une oeuvre pour créer une oeuvre dérivée; |
e | confectionne des exemplaires d'une oeuvre par n'importe quel procédé; |
f | propose au public, aliène ou, de quelque autre manière, met en circulation des exemplaires d'une oeuvre; |
g | récite, représente ou exécute une oeuvre, directement ou par n'importe quel procédé ou la fait voir ou entendre en un lieu autre que celui où elle est présentée; |
gbis | met une oeuvre à disposition, par quelque moyen que ce soit, de manière que toute personne puisse y avoir accès d'un endroit et à un moment qu'elle peut choisir à sa convenance; |
h | diffuse une oeuvre par la radio, la télévision ou des moyens analogues, soit par voie hertzienne, soit par câble ou autres conducteurs ou la retransmet par des moyens techniques dont l'exploitation ne relève pas de l'organisme diffuseur d'origine; |
i | fait voir ou entendre une oeuvre mise à disposition, diffusée ou retransmise; |
k | refuse de déclarer à l'autorité compétente la provenance et la quantité des objets en sa possession fabriqués ou mis en circulation illicitement et de désigner les destinataires et la quantité des objets qui ont été remis à des acheteurs commerciaux; |
l | loue un logiciel. |
2 | Si l'auteur d'une infraction au sens de l'al. 1 agit par métier, il est poursuivi d'office. La peine est une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou une peine pécuniaire. ...79 80 |
C.
Das Obergericht des Kantons Zürich stellte am 7. April 2017 das Verfahren gegen A.________ wegen Verstosses gegen das Urheberrechtsgesetz im Sinne von Art. 67 Abs. 1 lit. g
SR 231.1 Loi fédérale du 9 octobre 1992 sur le droit d'auteur et les droits voisins (Loi sur le droit d'auteur, LDA) - Loi sur le droit d'auteur LDA Art. 67 Violation du droit d'auteur - 1 Sur plainte du lésé, est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, intentionnellement et sans droit: |
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1 | Sur plainte du lésé, est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, intentionnellement et sans droit: |
a | utilise une oeuvre sous une désignation fausse ou différente de celle décidée par l'auteur; |
b | divulgue une oeuvre; |
c | modifie une oeuvre; |
d | utilise une oeuvre pour créer une oeuvre dérivée; |
e | confectionne des exemplaires d'une oeuvre par n'importe quel procédé; |
f | propose au public, aliène ou, de quelque autre manière, met en circulation des exemplaires d'une oeuvre; |
g | récite, représente ou exécute une oeuvre, directement ou par n'importe quel procédé ou la fait voir ou entendre en un lieu autre que celui où elle est présentée; |
gbis | met une oeuvre à disposition, par quelque moyen que ce soit, de manière que toute personne puisse y avoir accès d'un endroit et à un moment qu'elle peut choisir à sa convenance; |
h | diffuse une oeuvre par la radio, la télévision ou des moyens analogues, soit par voie hertzienne, soit par câble ou autres conducteurs ou la retransmet par des moyens techniques dont l'exploitation ne relève pas de l'organisme diffuseur d'origine; |
i | fait voir ou entendre une oeuvre mise à disposition, diffusée ou retransmise; |
k | refuse de déclarer à l'autorité compétente la provenance et la quantité des objets en sa possession fabriqués ou mis en circulation illicitement et de désigner les destinataires et la quantité des objets qui ont été remis à des acheteurs commerciaux; |
l | loue un logiciel. |
2 | Si l'auteur d'une infraction au sens de l'al. 1 agit par métier, il est poursuivi d'office. La peine est une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou une peine pécuniaire. ...79 80 |
D.
Das Bundesgericht hiess die Beschwerde von A.________ mit Urteil vom 30. Mai 2018 gut, soweit darauf einzutreten war. Es hob das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich vom 7. April 2017 auf und wies die Sache zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurück (Verfahren 6B 748/2017).
E.
Das Obergericht des Kantons Zürich sprach A.________ am 18. Mai 2020 der mehrfachen Misswirtschaft (Art. 165 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
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1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 29 - Un devoir particulier dont la violation fonde ou aggrave la punissabilité et qui incombe uniquement à la personne morale, à la société ou à l'entreprise en raison individuelle18 est imputé à une personne physique lorsque celle-ci agit: |
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a | en qualité d'organe d'une personne morale ou de membre d'un tel organe; |
b | en qualité d'associé; |
c | en qualité de collaborateur d'une personne morale, d'une société ou d'une entreprise en raison individuelle19 disposant d'un pouvoir de décision indépendant dans le secteur d'activité dont il est chargé; |
d | en qualité de dirigeant effectif qui n'est ni un organe ou un membre d'un organe, ni un associé ou un collaborateur. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
F.
A.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen, Dispositiv-Ziff. 1, 3 und 4 des Urteils vom 18. Mai 2020 seien aufzuheben und er sei vollumfänglich freizusprechen, unter Kosten- und Entschädigungsfolgen. Eventualiter sei die Sache zur neuen Beurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. A.________ ersucht um unentgeltliche Rechtspflege.
G.
Die Staatsanwaltschaft stellt Antrag auf Abweisung der Beschwerde. Die Vorinstanz und die SUISA verzichteten auf eine Stellungnahme.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz habe den bundesgerichtlichen Rückweisungsentscheid vom 30. Mai 2018 nicht umgesetzt. Sie begründe ihre erneuten Schuldsprüche im Wesentlichen mit Verweis auf die - von keiner Seite je infrage gestellten - vorbestehenden finanziellen Schwierigkeiten der beteiligten Gesellschaften und vergleiche gewissermassen den (allerdings nicht näher spezifizierten) Kontostand der B.________-Gesellschaften "vor und nach" den angeklagten Überweisungen, was nicht entscheidend sei. Massgeblich sei ein Vergleich der finanziellen Situation der B.________-Gesellschaften "mit und ohne" Überbrückungskredit, wobei dieser Vergleich auch eine Abwägung der buchhalterisch nicht erfassten bzw. erfassbaren Vor- und Nachteile der hypothetischen Vorgehensweise beinhalten müsse. Die Pflichtwidrigkeit der fraglichen Darlehensgewährung lasse sich nur beurteilen, wenn man die wirtschaftlichen Implikationen der Gewährung des Darlehens und die wirtschaftlichen Implikationen der Nichtgewährung des Darlehens - jeweils bei einer "ex ante" Betrachtungsweise - miteinander vergleiche. Solche Überlegungen würden sich im angefochtenen Urteil nicht im Ansatz finden. Der angeklagte Überbrückungskredit sei, wie in der
Berufungsschrift im Einzelnen dargelegt, nicht pflichtwidrig gewesen, dies insbesondere deshalb, (i) weil das Darlehen aus einer "ex ante" Sicht geeignet erschienen sei und dies auch gewesen sei, noch grösseren Schaden auch von den B.________-Gesellschaften abzuwenden, (ii) weil die B.________-Gesellschaften angesichts der engen wirtschaftlichen Verflechtung mit der D.________ GmbH ein gewichtiges geschäftspolitisches Eigeninteresse an der Durchführung des E.________ 2011 gehabt hätten (insbesondere wegen der bereits ausstehenden Forderungen gegen die D.________ GmbH von Fr. 832'000.--; wegen der von den B.________-Gesellschaften im Zusammenhang mit der Akontozahlung von Fr. 2 Mio. für Ticketeinnahmen gegenüber der F.________ AG abgegebenen Patronatserklärung im Umfang von Fr. 1'700'000.--; und wegen der Möglichkeit, zusätzliche Einnahmen und damit mindestens Deckungsbeiträge zu generieren) und (iii) weil eine Absage des Festivals auch die Wettbewerbsfähigkeit der B.________-Gesellschaften untergraben hätte (insbesondere durch die Schwächung ihres Beziehungsnetzes zu Künstlern, Agenten und Lieferanten und den Reputationsschaden beim Publikum). Vor diesem Hintergrund sei er damals zu Recht davon überzeugt gewesen, mit der Gewährung
des Überbrückungskredits im besten Interesse der B.________-Gesellschaften zu handeln. Die Vorinstanz gehe darauf zu Unrecht nicht ein.
Der Beschwerdeführer beanstandet zudem verschiedene Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanz als offensichtlich falsch. Entgegen der Vorinstanz habe der angeklagte Überbrückungskredit der Rettung des von einer Absage bedrohten E.________ 2011 gedient, was auch der Anklage entspreche. Wenn die Vorinstanz ausführe, von der Durchführung des E.________ 2011 sei keine Verbesserung der Liquidität der D.________ GmbH zu erwarten gewesen, verkenne sie weiter die Eigenheiten des Konzertveranstaltungsgeschäfts. Während der grösste Teil der Ausgaben von Konzertveranstaltern bereits vor der Veranstaltung anfalle, werde ein Grossteil der Einnahmen - insbesondere diejenigen aus der Verpflegung (Catering), den Ticketverkäufen (Abendkasse) oder dem Merchandising - erst bei der Veranstaltung selbst generiert. Die Absage einer Veranstaltung sei für den Veranstalter daher stets der "Worst Case". Nur die Durchführung der Veranstaltung erlaube es, überhaupt noch Deckungsbeiträge zu erwirtschaften und damit die Chancen auf ein Überleben der Gesellschaft zu verbessern. Tatsachenwidrig sei überdies die vorinstanzliche Feststellung, die D.________ GmbH habe über keine relevanten eigenen Einnahmen verfügt. Die D.________ GmbH sei Lizenzinhaberin für
E.________ Veranstaltungen in den Jahren 2010 bis 2014 gewesen. Das im Jahr 2010 durchgeführte Festival mit rund 55'000 Zuschauern habe einen Gewinn von über Fr. 743'000.-- eingespielt, der in der Folge einzig aufgrund der (un-) wetterbedingten Schadenersatzforderungen der Veranstaltergemeinde zunichte gemacht worden sei, wovon im Übrigen auch die Vorinstanz ausgehe. Schlichtweg unhaltbar sei die Feststellung der Vorinstanz, die D.________ GmbH wäre selbst im Falle einer Durchführung des E.________ 2011 zur Rückzahlung der seitens der F.________ AG vorgeschossenen rund Fr. 2 Mio. verpflichtet gewesen. Bei den Akontozahlungen habe es sich um bereits vor der Durchführung der Veranstaltung ausbezahlte Einnahmen aus den Ticketverkäufen gehandelt, was im Konzertgeschäft regelmässig vorkomme. Eine Rückzahlungsverpflichtung komme daher nur im Falle einer Absage der Veranstaltung infrage.
In rechtlicher Hinsicht argumentiert der Beschwerdeführer, Kriterien wie das Ausfallrisiko, die (fehlende) Einräumung von Sicherheiten, die (fehlende) Verzinsung oder das Verhältnis zur eigenen finanziellen Lage seien für die Frage der Pflichtwidrigkeit von Darlehen nicht entscheidend, wenn die Darlehensgewährung der Sicherung der eigenen (künftigen) Ertragsgrundlage diene und andere geschäftspolitische Motive im Vordergrund stünden. Selbst eine Darlehensgewährung, die dem Drittmannstest nicht standhalte und/oder Kapitalschutzvorschriften verletze, sei nach der Rechtsprechung bereits zivilrechtlich nicht pflichtwidrig, wenn das Gesellschaftsinteresse bzw. geschäftspolitische Überlegungen die Darlehensgewährung gebieten. Die Vorinstanz lasse die gewichtigen geschäftspolitischen und finanziellen Eigeninteressen der B.________-Gesellschaften an der Durchführung des formell von der D.________ GmbH veranstalteten E.________ 2011 konsequent ausser Acht. Völlig unklar bleibe zudem, von welchem konkreten Schuldenstand die Vorinstanz im Falle der (tatsächlich erfolgten) Durchführung des Festivals ausgehe, da sie zu Unrecht annehme, die D.________ GmbH habe der F.________ AG Fr. 2 Mio. geschuldet. Sein Ziel, mit den Catering-Einnahmen (Fr.
15 bis 35 pro Besucher bei bereits 17'000 verkauften Tickets) und den zusätzlichen Ticketverkäufen (mindestens 1'000 Tickets zum Durchschnittspreis von Fr. 150.--) über den Überbrückungskredit hinausgehende Einnahmen zu generieren, um die vorbestehenden Schulden bei den B.________-Gesellschaften amortisieren zu können, sei durchaus realistisch gewesen. Die Nichtgewährung des Überbrückungskredits hätte hingegen mit Gewissheit zur Absage des E.________ 2011, zum Verlust der bereits getätigten Investitionen sowie zu einer Schädigung der B.________-Gesellschaften geführt und mit hoher Wahrscheinlichkeit auch zu deren Konkurs. Ihm könne daher kein krasses wirtschaftliches Fehlverhalten vorgeworfen werden. Letztlich habe der Überbrückungskredit zudem keine Verschlimmerung der Vermögenslage der B.________-Gesellschaften zur Folge gehabt, da diese bei einer Absage des Festivals angesichts des Verlusts der Forderung von Fr. 832'000.-- und der Haftung gegenüber der F.________ AG aus der Patronatserklärung finanziell noch schlechter dagestanden wären, womit es auch am erforderlichen Kausalzusammenhang fehle. Irrelevant seien die Ausführungen der Vorinstanz zum angeblich unzulässigen Insichgeschäft. Ein solches habe, da der
Überbrückungskredit von allen Gesellschaftern genehmigt worden sei, weder vorgelegen noch sei ein solches angeklagt.
Der Beschwerdeführer macht schliesslich geltend, er habe den (ohnehin nicht kausal verursachten Schaden) weder vorsätzlich noch grobfahrlässig herbeigeführt. Er habe den Entscheid zum Überbrückungskredit mit seinem Geschäftspartner G.________ getroffen, der wie er über keinen wirtschaftlichen Hintergrund verfüge. Sie hätten überdies Unterstützung und Zuspruch von sämtlichen beigezogenen Branchenexperten erhalten. Unerheblich sei, dass er eine persönliche Bürgschaft für ein Darlehen der F.________ AG an die D.________ GmbH abgelehnt habe und die H.________ und ihre Geschäftspartner nach einer Überprüfung der finanziellen Situation der B.________-Gesellschaften (nicht der D.________ GmbH) von einem Kauf Abstand genommen hätten. Dies lasse nicht den Schluss zu, er habe den Konkurs der D.________ GmbH vorausgesehen. Seine von der Vorinstanz zitierte Aussage, es sei klar gewesen, dass die Durchführung des E.________ 2011 nicht erfolgen könne und nun Konkurs anzumelden sei, beziehe sich auf die Situation vor der Umsetzung diverser kostensenkender Massnahmen und der Akontozahlung der F.________ AG von Fr. 2 Mio.. Von einer Gewissheit, dass es beim E.________ 2011 zu einem Verlust kommen werde, könne nicht ausgegangen werden. Er habe
gehofft, die Gewinnschwelle ("break even") zu erreichen bzw. eine "rote Null" zu erzielen. Seine Auffassung hätten auch die anderen Beteiligten geteilt. Er habe nicht vorausgesehen, dass die D.________ GmbH selbst im Falle einer Durchführung des Festivals mit Sicherheit Konkurs gehen würde, sondern er habe vielmehr Anlass zur berechtigten Hoffnung gehabt, die D.________ GmbH würde sich mittel- bis langfristig wirtschaftlich wieder erholen.
1.2.
1.2.1. Das Bundesgericht hob die vorinstanzlichen Schuldsprüche wegen Misswirtschaft und ungetreuer Geschäftsbesorgung im Urteil 6B 748/2017 vom 30. Mai 2018 mit der Begründung auf, diese würden auf einem nicht angeklagten Sachverhalt beruhen. Angeklagt sei eine Darlehensvergabe der B.C.________ GmbH bzw. der B.B.________ GmbH an die D.________ GmbH wenige (maximal sechs) Wochen vor dem E.________ vom 23./24. Juni 2011, um das von einer kurzfristigen Absage bedrohte Festival doch noch durchführen zu können (Urteil, a.a.O., E. 2.4.1). Die Überweisungen von Fr. 380'000.--, Fr. 244'000.--, Fr. 148'710.-- und Fr. 60'000.-- seien in den Jahren 2009 und 2010 erfolgt und würden nicht in den angeklagten Tatzeitraum fallen (Urteil, a.a.O., E. 2.4.3). Als Tathandlung der Misswirtschaft und der ungetreuen Geschäftsbesorgung werde in der Anklageschrift lediglich die Gewährung des ungesicherten und voraussichtlich uneinbringlichen Darlehens an die D.________ GmbH mit den Geldern der zwei B.________-Gesellschaften in der Zeit vor dem 23. Juni 2011 geschildert. Die Vorinstanz werfe dem Beschwerdeführer im angefochtenen Entscheid in Verletzung des Anklageprinzips vor, er habe den Tatbestand der Misswirtschaft auch dadurch erfüllt, dass er es
unterlassen habe, einen zeitnahen Rechnungsabschluss des letzten Geschäftsjahres oder eine Zwischenbilanz zu erstellen resp. erstellen zu lassen. Die Vorwürfe, der Beschwerdeführer habe im Jahr 2010 zwei neue Gesellschaften gegründet, ohne diese mit ausreichend Kapital auszustatten, und er habe die Geschäftstätigkeiten der drei Gesellschaften vermischt, würden sich mit dem Vorwurf der Vorinstanz decken, der Beschwerdeführer habe seit 2009 Gelder der B.________-Gesellschaften für die D.________ GmbH verwendet, was abgesehen von der Überweisung von Fr. 226'240.-- im Juni 2011 nicht angeklagt sei (Urteil, a.a.O., E. 2.5.2).
1.2.2. Das Bundesgericht erwog schliesslich, inwiefern der Beschwerdeführer mit dem im Juni 2011 gewährten Überbrückungskredit von Fr. 226'240.-- den Tatbestand der Misswirtschaft erfüllt haben solle, könne dem angefochtenen Entscheid nicht entnommen werden. Konkrete Überlegungen zur finanziellen Situation der B.________-Gesellschaften mit und ohne den Überbrückungskredit von Fr. 226'240.-- stelle die Vorinstanz nicht an. Solche wären jedoch nicht nur für den Nachweis eines Kausalzusammenhangs zwischen Bankrotthandlung und Vermögenseinbusse erforderlich gewesen. Vielmehr hätten sich solche auch für die Beantwortung der Frage aufgedrängt, ob der Überbrückungskredit überhaupt ein krasses wirtschaftliches Fehlverhalten im Sinne von Art. 165 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
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1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
1.3.
1.3.1. Die Vorinstanz stellt im angefochtenen Entscheid zusammenfassend u.a. fest, die B.B.________ GmbH und die von ihr weder finanziell noch in anderer Hinsicht unabhängige B.C.________ GmbH hätten im Zeitpunkt der Überweisung des Überbrückungskredits von insgesamt Fr. 226'240.-- an die D.________ GmbH im Juni 2011 einerseits hohe Schuldverpflichtungen von mehr als einer halben Million Franken gehabt. Andererseits sei die Rückzahlung der darlehensweise bzw. als Vorschüsse an die D.________ GmbH geleisteten Zahlungen im Betrag von rund Fr. 832'000.-- ausstehend gewesen, wobei sich die B.________-Gesellschaften sämtlicher liquider Mittel entledigt hätten, um das E.________ 2011 zu retten (angefochtenes Urteil E. 3.5.6 S. 23 f.).
Die D.________ GmbH habe den B.________-Gesellschaften insgesamt rund Fr. 832'000.-- geschuldet, ohne jedoch über relevante eigene Einnahmen zu verfügen. So habe die F.________ AG unbestrittenermassen mit Akontozahlungen von über Fr. 2 Mio. einspringen müssen, damit die D.________ GmbH das E.________ 2011 überhaupt habe durchführen können, da diese nach dem grossen Verlust infolge Unwetterschäden aus dem E.________ im Gründungsjahr 2010 über keinerlei Liquidität verfügt habe. Das zeige sich auch an der per 1. Januar 2011 erstellten Bilanz der D.________ GmbH, die flüssige Mittel von Fr. 182'199.72 aus Bankguthaben und eine Forderung von Fr. 310.87 ausweise, wohingegen das kurzfristige Fremdkapital mit Fr. 719'287.17 angegeben werde. Das ergebe einen Liquiditätsgrad 2 von 25,37%. Selbst wenn man infolge der grossen Bedenken gegen-über den Buchhaltungen 2010 und 2011 nicht auf die Jahresabschlüsse abstellen wolle, ergebe sich kein besseres Bild, wenn man die mit Urkunden ausgewiesenen flüssigen Mittel von Fr. 182'199.72 den bereits vorhandenen Schulden von rund Fr. 832'000.-- gegenüber den B.________-Gesellschaften und dem Stammkapital von nur Fr. 21'000.-- gegenüber stelle (angefochtenes Urteil E. 3.6.1 S. 24).
1.3.2. Das E.________ 2010 habe sich infolge eines Unwetters und der dadurch verursachten erheblichen Zusatzkosten zu einem finanziellen Desaster entwickelt, wobei die genauen Ausmasse im Frühling 2011 infolge der fehlenden Rechnungsabschlüsse noch nicht einmal bekannt gewesen seien. Dem Beschwerdeführer und G.________ sei bekannt gewesen, dass die D.________ GmbH wirtschaftlich nicht in der Lage gewesen sei, das E.________ 2011 durchführen zu können. Allen bezüglich der "Rettung" des Festivals Beteiligten, darunter H.________, F.________ AG und die Privatklägerin, sei bewusst gewesen, dass es zu einem wirtschaftlichen Verlust kommen werde. Man habe selbst im Optimalfall nach der Einschätzung der Branchenkenner nicht davon ausgehen können, dass die D.________ GmbH mit dem E.________ 2011 überhaupt einen Gewinn erzielen könne, geschweige denn einen Reingewinn im Bereich von mehreren Hunderttausend Franken, der jedoch erforderlich gewesen wäre, damit die D.________ GmbH den B.________-Gesellschaften das ihr gewährte Darlehen sofort hätte zurückbezahlen und diesen Gesellschaften ihre Liquidität wieder hätte zurückgeben können. Erwiesen sei zudem, dass auf den Beschwerdeführer und G.________ vonseiten des direkten Konkurrenten
H.________ und dessen Aktionären sowie der F.________ AG und der Privatklägerin dahingehend eingewirkt worden sei, eine Absage des E.________ 2011 mit allen Mitteln zu verhindern, um einen gefürchteten Imageschaden von der Branche abzuwenden. Aufgrund des Beweisergebnisses dränge sich schliesslich der Schluss auf, der Beschwerdeführer selbst habe das finanzielle Desaster für die D.________ GmbH vorausgesehen, nachdem sowohl der Konkurs der D.________ GmbH als auch ein möglicher Konkurs der B.________-Gesellschaften thematisiert worden sei, er selbst eine persönliche Bürgschaft abgelehnt habe und vonseiten der H.________ und ihrer Geschäftspartner trotz grossen Interesses am Kauf der B.________-Gesellschaften nach einer eingehenden Prüfung der finanziellen Situation davon Abstand genommen worden sei. Die Durchführung des E.________ 2011 habe unter den gegebenen Umständen keine Sanierungsmassnahme dargestellt und die bloss vage "Hoffnung" des Beschwerdeführers, mit der Durchführung könne der Konkurs der D.________ GmbH gerade noch abgewendet werden, sei nicht als ausreichend erfolgversprechend zu beurteilen, zumal dafür keinerlei objektive Anhaltspunkte vorgelegen hätten. Insoweit und insofern der Beschwerdeführer erneut geltend
mache, es habe die berechtigte Hoffnung bestanden, dass der D.________ GmbH mit der Durchführung des E.________ 2011 Liquidität zufliessen werde bzw. dass die Überlebenschance der D.________ GmbH selbst mit der Durchführung eines schliesslich defizitären Festivals 2011 durch die Einnahmen klar verbessert würde, sei dies vor dem Gesagten als reine Schutzbehauptung zu qualifizieren, welche die gesamte Lage der D.________ GmbH mit den bereits bestehenden immensen Schulden und der Rückzahlungsverpflichtung der von der F.________ AG vorgeschossenen rund Fr. 2 Mio. komplett ausblende (angefochtenes Urteil E. 3.6.2 S. 24 ff.).
1.3.3. Die Vorinstanz stellt weiter fest, der Beschwerdeführer habe als verantwortliches Organ Kenntnis von den noch vorhandenen flüssigen Mitteln anfangs 2011 und auch im Juni 2011 gehabt. Dass sich die D.________ GmbH vor Gewährung des Überbrückungskredits durch die B.________-Gesellschaften und vor dem E.________ 2011 in einem Liquiditätsengpass befunden habe und die gewährten Darlehen im Betrag von rund Fr. 832'000.-- mittel- bis langfristig jedenfalls ohne Durchführung des E.________ 2011 und der dadurch erhofften Einnahmen nicht hätte zurückzahlen können, habe der Beschwerdeführer denn auch eingeräumt (angefochtenes Urteil E. 3.6.3 S. 26).
1.3.4. Die Vorinstanz erwägt zudem, die Behauptung des Beschwerdeführers, dass das E.________ 2011 hätte abgesagt werden müssen, wenn der Überbrückungskredit von Fr. 226'240.-- nicht bezahlt worden wäre, erscheine als reine Schutzbehauptung, zumal wenn man den Zeitpunkt der Zahlungen der insgesamt Fr. 226'240.-- vom Juni 2011 in Bezug setze zum Zeitpunkt des E.________, das ebenfalls im Juni 2011 stattgefunden habe. Weiter erscheine nicht plausibel, dass diese Fr. 226'240.-- im Verhältnis zu den schon davor von der B.B.________ GmbH an die D.________ GmbH gewährten Darlehen von Fr. 832'000.-- und den von der F.________ AG vorschussweise bezahlten mehr als Fr. 2 Mio. noch ausschlaggebend für die Durchführung des Festivals hätten sein können, da die Vorbereitungen bereits angelaufen gewesen seien (angefochtenes Urteil E. 3.5.4 S. 22 f.).
1.3.5. Die Vorinstanz holte nach dem Bundesgerichtsurteil vom 30. Mai 2018 ein Gutachten zur finanziellen Situation der B.________-Gesellschaften vor und nach dem Darlehen von Fr. 226'240.-- ein sowie zur Frage, ob es sich dabei um ein krasses wirtschaftliches Fehlverhalten handelte (angefochtenes Urteil E. 3.7 S. 26 f.). Sie anerkennt im angefochtenen Entscheid, dass das Gutachten vom 26. Februar 2019 in einigen Punkten nicht restlos zu überzeugen vermag. So gehe der Gutachter fälschlicherweise davon aus, das E.________ 2011 habe nicht stattgefunden. Auch der Hinweis der Staatsanwaltschaft, das Gutachten trage bloss wenig zur Klärung der sich stellenden Fragen bei, erscheine teilweise berechtigt (angefochtenes Urteil E. 3.7.1 S. 27). Dem Gutachten sei aber mit der Verteidigung immerhin zu entnehmen, dass der Gesamtschaden für die Gläubiger der B.________-Gesellschaften und der D.________ GmbH weniger durch die Gewährung des internen Darlehens zwischen der B.B.________ GmbH und der D.________ GmbH erhöht worden sei, sondern durch die verspätete Konkursanmeldung der Gesellschaften. Das Gutachten bestätige zudem die gerichtliche Feststellung in Bezug auf die Liquiditätslage der B.B.________ GmbH, auch wenn kleinere (nicht
ausschlaggebende) Abweichungen in den einzelnen Beträgen einerseits durch Rundungen und andererseits durch die verschiedenen vorliegenden Zahlen (provisorische Buchhaltung, gemeinsam geführte Buchhaltung der beiden B.________-Gesellschaften) zu erklären seien. Des Weiteren weise auch der Gutachter darauf hin, dass die B.B.________ GmbH die Liquidität zur Zahlung der dringenden Rechnungen über nicht bezahlte Abgaben (SUISA, Mehrwertsteuer und Sozialabgaben) kurzfristig sicherstellte (angefochtenes Urteil E. 3.7.2 S. 28).
1.3.6. In rechtlicher Hinsicht erwägt die Vorinstanz, die finanzielle Situation der B.________-Gesellschaften im Zeitpunkt vor der Überweisung der Kreditsumme von Fr. 226'240.-- im Juni 2011 könne als katastrophal bezeichnet werden. Die B.B.________ GmbH sei überschuldet gewesen und habe gemäss Bankunterlagen Ende Dezember 2010 nur noch über flüssige Mittel von Fr. 392'900.-- verfügt, womit sie die dann existierenden kurzfristigen Verbindlichkeiten nicht mehr habe decken können und als zahlungsfähig (recte: wohl zahlungsunfähig) bezeichnet werden müsse. Dass die B.B.________ GmbH ihren Verbindlichkeiten trotzdem habe nachkommen und auch noch Gehälter habe zahlen können, sei einzig dem Umstand zu verdanken, dass sie Vorschüsse auf Ticketeinnahmen erhalten habe und dass der Beschwerdeführer davon mittels falscher Abrechnungen gegenüber der Privatklägerin so viel nicht weitergegeben habe, als er für die Bezahlung der dringendsten Rechnungen gebraucht habe. Dem der D.________ GmbH vorschussweise gewährten Darlehen in der Höhe von Fr. 226'240.-- seien im Vergabezeitpunkt keine Gegenleistungen gegenübergestanden. Ausserdem habe die B.B.________ GmbH dafür keinerlei Sicherheit erhalten - es lägen weder Rückzahlungsvereinbarungen vor,
noch habe sich die B.B.________ GmbH eine Verzinsung versprechen lassen - und es habe auch keine Aussicht darauf bestanden, dass diese Beträge innert angemessener Zeit zurückbezahlt würden. Der Beschwerdeführer habe ja selbst gewusst, dass die B.B.________ GmbH ihren eigenen Zahlungsverpflichtungen bereits Ende 2010 nicht mehr habe nachkommen können, weshalb sie bei ihrem Hauptvertragspartner, der Privatklägerin, um Zahlungsaufschub und Ratenzahlung ersucht habe. Auf den B.________-Gesellschaften hätten im Juni 2011 offene Schulden im Umfang von Fr. 540'450.-- gelastet. Mit der letzten in die D.________ GmbH eingeschossenen Kreditsumme von Fr. 226'240.-- vom Juni 2011 habe sich die B.B.________ GmbH der letzten relevanten flüssigen Mittel begeben. Für den Zeitpunkt Juni 2011 sei dies insofern wesentlich, als die D.________ GmbH gleichzeitig selbst über keinerlei eigene Einnahmen verfügt habe und ohne flüssige Mittel dagestanden sei. Dazu habe sie Verbindlichkeiten gegenüber den B.________-Gesellschaften von rund Fr. 832'000.-- unter dem Titel "E.________" angehäuft. Die D.________ GmbH sei nur dank Akontozahlungen von über Fr. 2 Mio. seitens der F.________ AG überhaupt in der Lage gewesen, das E.________ 2011 durchzuführen.
Ausserdem habe damit gerechnet werden müssen, dass dieses Festival keinen Reingewinn im Bereich von mehreren Hunderttausend Franken hervorbringen würde, der jedoch erforderlich gewesen wäre, damit die D.________ GmbH den B.________-Gesellschaften die ihr gewährte Darlehenssumme von Fr. 226'240.-- sofort hätte zurückbezahlen können. Ebenso wenig habe der Beschwerdeführer angesichts der Verschuldung der D.________ GmbH und der fehlenden Einnahmen (abgesehen von denjenigen aus dem noch bevorstehenden Festival 2011) davon ausgehen können, dass sich die missliche finanzielle Lage der D.________ GmbH nach dem E.________ 2011 vom 23./24. Juni 2011 massgeblich und nachhaltig verbessern würde, da er gewusst habe, wie schwierig und angespannt die Lage in seiner Branche gewesen sei und wie schlecht die finanzielle Lage der D.________ GmbH nach dem E.________ 2010 wirklich gewesen sei. Betrachte man ausserdem die Kapitalbasis der D.________ GmbH bei der Gründung von nur Fr. 21'000.--, sei dieses durch die eingegangenen Rückzahlungsverpflichtungen im Zeitpunkt Juni 2011 bereits 40-fach aufgebraucht gewesen. Es stehe ausser Frage, dass auch die D.________ GmbH im Zeitpunkt des Erhalts der fraglichen Kreditsumme im Juni 2011 überschuldet und
nicht liquide gewesen sei, nachdem unbestritten sei, dass das E.________ 2010 mit einem immensen Verlust geendet habe, dessen genaues Ausmass aber im Juni 2011 noch nicht festgestanden sei (angefochtenes Urteil E. 4 S. 31 f.).
1.3.7. Die Vorinstanz gelangt zum Schluss, der Beschwerdeführer selbst habe das finanzielle Desaster für die D.________ GmbH vorausgesehen, nachdem sowohl der Konkurs der D.________ GmbH als auch ein möglicher Konkurs der B.________-Gesellschaften thematisiert worden sei, er selbst eine persönliche Bürgschaft abgelehnt habe und vonseiten der H.________ und ihrer Geschäftspartner trotz grossen Interesses am Kauf der B.________-Gesellschaften nach einer eingehenden Prüfung der finanziellen Situation von einer Übernahme Abstand genommen worden sei. Die Durchführung des E.________ 2011 habe unter den gegebenen Umständen keine Sanierungsmassnahme dargestellt und die bloss vage "Hoffnung" des Beschwerdeführers, mit der Durchführung könne der Konkurs der D.________ GmbH gerade noch abgewendet werden, sei nicht als ausreichend erfolgversprechend zu beurteilen, zumal dafür keinerlei objektive Anhaltspunkte vorgelegen hätten. Aufgrund der unbestritten gebliebenen schlechten Vorverkaufszahlen und der Aussicht, dass das für die Abwendung des drohenden Konkurses der D.________ GmbH notwendige Geld mit der Durchführung des Festivals mit Sicherheit nicht eingebracht werden würde, sei der unvermeidliche Konkurs der D.________ GmbH nur
hinausgezögert worden. Aufgrund des Wissensstandes des Beschwerdeführers über die finanzielle Situation aller drei Firmen im Juni 2011 und der Einschätzung der hoffnungslosen Lage der D.________ GmbH selbst bei Durchführung des E.________ 2011 habe ihm klar sein müssen, dass die D.________ GmbH die ihr gewährte Kreditsumme von Fr. 226'240.-- nicht würde zurückzahlen können und für die B.________-Gesellschaften unwiederbringlich verloren sei (angefochtenes Urteil E. 5 S. 32 f.). Der Beschwerdeführer habe die Kreditsumme von Fr. 226'240.-- wissentlich und willentlich ohne jegliche Gegenleistung oder irgendeine Sicherheit an eine - wie er gewusst habe - überschuldete und zahlungsunfähige D.________ GmbH gewährt. Damit habe er hinsichtlich der Verschlechterung der mittel- bis langfristigen Vermögenslage um den Betrag von Fr. 226'240.--, wenn nicht gar eventualvorsätzlich, so doch zumindest grobfahrlässig gehandelt, da er gewusst habe, dass er mit der Zahlung dieser Kreditsumme auch noch den letzten Rest der Zahlungsfähigkeit der B.________-Gesellschaften zunichte machte. Dabei habe er davon ausgehen müssen, dass die D.________ GmbH Konkurs gehen würde, unbesehen darum, ob das E.________ 2011 durchgeführt werde, da selbst eine
Durchführung den Konkurs der D.________ GmbH angesichts der wirtschaftlichen Situation nicht mehr abwenden würde. Das Verhalten des Beschwerdeführers erscheine daher im Kontext der damaligen Lage als krass falsch, da er der B.B.________ GmbH (und damit auch der B.C.________ GmbH) wenigstens noch die letzten vorhandenen Bankguthaben hätte sichern müssen und diese nicht hätte à fonds perdu weggeben dürfen. Daran vermöge auch der Umstand nichts zu ändern, dass angesichts der desaströsen finanziellen Lage die Gewährung dieser Kreditsumme nicht alleine ausschlaggebend für die Konkurseröffnung gewesen sei und den B.________-Gesellschaften auch durch die Absage des E.________ 2011 ein Schaden entstanden wäre. Der Beschwerdeführer habe damit die letzten flüssigen Mittel der B.________-Gesellschaften endgültig vernichtet, was letztlich auch zum Konkurs der B.________-Gesellschaften geführt habe. Somit habe er sowohl den objektiven wie den subjektiven Tatbestand von Art. 165 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
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1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
1.3.8. Hinsichtlich des Tatbestands der ungetreuen Geschäftsbesorgung (Art. 158 Ziff. 1 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 814 - 1 Chaque gérant a le pouvoir de représenter la société. |
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1 | Chaque gérant a le pouvoir de représenter la société. |
2 | Les statuts peuvent régler la représentation de manière différente, mais un gérant au moins doit avoir qualité pour représenter la société. Les statuts peuvent renvoyer à un règlement pour les détails. |
3 | La société doit pouvoir être représentée par une personne domiciliée en Suisse. Cette personne doit être un gérant ou un directeur. Elle doit avoir accès au registre des parts sociales et à la liste des ayants droit économiques selon l'art. 697l.711 |
4 | Le droit de la société anonyme s'applique par analogie à l'étendue et à la limitation des pouvoirs de représentation ainsi qu'aux contrats conclus entre la société et son représentant. |
5 | Les personnes autorisées à représenter la société signent en ajoutant leur signature personnelle à la raison sociale. |
6 | ...712 |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 718b - Si la société est représentée par la personne avec laquelle elle conclut un contrat, celui-ci doit être passé en la forme écrite. Cette exigence ne s'applique pas aux opérations courantes pour lesquelles la prestation de la société ne dépasse pas 1000 francs. |
Beschwerdeführer klar sein müssen, habe die B.B.________ GmbH doch bereits mehrere Hunderttausend Franken vorschussweise an die D.________ GmbH unter dem Titel "E.________" ausbezahlt, wobei der Beschwerdeführer gewusst habe, dass die D.________ GmbH nur mit einem Stammkapital von Fr. 21'000.-- ausgestattet gewesen sei. Die im Juni 2011 gewährte Kreditsumme von Fr. 226'240.-- habe ein Mehrfaches davon betragen, ohne dass objektive Anzeichen für die entsprechende Bonität der darlehensnehmenden Gesellschaft bestanden hätten. Für das Darlehen hätten auch keine Sicherheiten vorgelegen und es sei kein Verrechnungsverbot vereinbart worden, was angesichts der Vermischung der drei GmbHs für eine transparente Rechnungslegung unverzichtbar gewesen wäre. Im Übrigen habe die D.________ GmbH, was der Beschwerdeführer gewusst habe, über kein Vermögen und keine regelmässigen Einkünfte verfügt, da die D.________ GmbH namentlich dafür gegründet worden sei, um die E.________ in der Schweiz durchzuführen. Ein umsichtiger Geschäftsführer wäre bei dieser Konstellation die Darlehensvergabe über Fr. 226'240.-- zulasten der B.________-Gesellschaften nicht eingegangen, habe angesichts der minimalen Vermögensausstattung der D.________ GmbH und des selbst
bei Durchführung des E.________ 2011 drohenden Konkurses der D.________ GmbH doch ein nicht kalkulierbares grosses Risiko bestanden, dieses Darlehen nie mehr zurückbezahlt zu erhalten, zumal für die Durchführung des E.________ 2011 unbestritten Akontozahlungen von über Fr. 2 Mio. der F.________ AG nötig gewesen seien. Die Verminderung der eigenen Aktiven um den Totalbetrag der Kreditsumme von Fr. 226'240.-- sei nicht im Interesse der darlehensgebenden B.B.________ GmbH und auch nicht im Interesse von deren Gläubigern gewesen (angefochtenes Urteil E. 4 S. 37 f.).
1.3.9. Ein Schaden im Sinne von Art. 158 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
1.3.10. Bezüglich des subjektiven Tatbestands von Art. 158 Ziff. 1 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
Nachfrage habe er zudem ausdrücklich deponiert, es sei klar gewesen, dass der Anlass nicht habe rentabel sein können. Vor der ersten Instanz habe der Beschwerdeführer ausgesagt, dass bei einer Absage des Festivals 2011 die D.________ GmbH so oder so Konkurs gegangen wäre, jedoch nicht die B.________-Gesellschaften. Auch hieraus werde deutlich, dass der Beschwerdeführer als (Mit-) Gesellschafter, Vorsitzender der Geschäftsleitung resp. einzelzeichnungsberechtigter (Mit-) Geschäftsführer sowohl der B.B.________ GmbH als auch der B.C.________ GmbH durch das Festhalten an der Durchführung des Festivals und die Finanzierung des Festivals mittels des "Überbrückungskredits" an die D.________ GmbH die Gefährdung der B.________-Gesellschaften in Kauf genommen habe, indem er mit dem Konkurs der D.________ GmbH gerechnet habe, wohin die letzten liquiden Mittel und damit sämtliches Vermögen der beiden B.________-Gesellschaften geflossen seien, so dass im Konkursfall auch mit einer Rückzahlung dieses Darlehens nicht ernsthaft habe gerechnet werden können. Dass der Beschwerdeführer über keine kaufmännische Ausbildung verfüge, sondern nach Abschluss der Realschule und der vierjährigen Lehre als Typograf neben seiner Beratungstätigkeit in einer
privaten Jugendberatungsstelle begonnen habe, Musik-Events zu veranstalten, vermöge angesichts seiner langjährigen Erfahrung und Stellung als Geschäftsführer der B.B.________ GmbH nichts daran zu ändern, dass ihm die notwendige Kenntnis der einschlägigen gesetzlichen Bestimmungen angerechnet werden müsse. Indem er von der mangelnden Zahlungsfähigkeit im Juni 2011 Kenntnis gehabt habe sowie von den langdauernden Zahlungsschwierigkeiten davor, die zumindest gegenüber der Privatklägerin seit 2007 ein dauerhaftes, immer wiederkehrendes und immer dringlicher werdendes Thema gewesen seien, habe er mit der Ausrichtung des Überbrückungskredits in der Höhe von Fr. 226'240.-- in Kauf genommen, dass die B.B.________ GmbH (und später auch die B.C.________ GmbH) einen Vermögensschaden in diesem Umfang erlitten und darüber hinaus, dass gar der Weiterbestand der B.________-Gesellschaften gefährdet gewesen sei. Der subjektive Tatbestand sei somit ebenfalls zu bejahen (angefochtenes Urteil E. 6 S. 39 ff.).
1.4.
1.4.1. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
Die Willkürrüge muss in der Beschwerde anhand des angefochtenen Entscheids explizit vorgebracht und substanziiert begründet werden (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Das Gericht ist an den in der Anklage umschriebenen Sachverhalt gebunden (Art. 350 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 350 Latitude dans l'appréciation de l'accusation; fondements du jugement - 1 Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
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1 | Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
2 | Il prend en compte les preuves administrées durant la procédure préliminaire et lors des débats. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 9 Maxime d'accusation - 1 Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
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1 | Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
2 | Sont réservées la procédure de l'ordonnance pénale et la procédure pénale en matière de contraventions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 325 Contenu de l'acte d'accusation - 1 L'acte d'accusation désigne: |
|
1 | L'acte d'accusation désigne: |
a | le lieu et la date de son établissement; |
b | le ministère public qui en est l'auteur; |
c | le tribunal auquel il s'adresse; |
d | les noms du prévenu et de son défenseur; |
e | le nom du lésé; |
f | le plus brièvement possible, mais avec précision, les actes reprochés au prévenu, le lieu, la date et l'heure de leur commission ainsi que leurs conséquences et le mode de procéder de l'auteur; |
g | les infractions réalisées et les dispositions légales applicables de l'avis du ministère public. |
2 | Le ministère public peut présenter un acte d'accusation alternatif ou, pour le cas où ses conclusions principales seraient rejetées, un acte d'accusation subsidiaire. |
1.4.2. Die Beschwerde ist zunächst insoweit begründet, als der angefochtene Entscheid teils willkürliche Feststellungen enthält. Dies gilt, soweit die Vorinstanz den Einwand des Beschwerdeführers, das E.________ 2011 hätte ohne den Kredit von Fr. 226'240.-- abgesagt werden müssen, als reine Schutzbehauptung qualifiziert (angefochtenes Urteil E. 3.5.4 S. 22 f.). Nicht nachvollziehbar ist, weshalb die Vorinstanz zum sinngemässen Schluss kommt, das E.________ 2011 hätte trotz der geltend gemachten Liquiditätsprobleme auch ohne den Überbrückungskredit durchgeführt werden können. Die vorinstanzliche Feststellung verstösst darüber hinaus auch gegen das Anklageprinzip. Die Anklageschrift geht explizit davon aus, der Beschwerdeführer habe "realisiert, dass das bei der D.________ GmbH vorhandene Geld nicht ausreichte, um den Grossanlass durchzuführen" und er habe den Überbrückungskredit gewährt, um das "mangels vorhandener Finanzen von einer kurzfristigen Absage bedrohte" E.________ 2011 überhaupt durchführen zu können (Anklageschrift S. 7). Schlechterdings unhaltbar sind zudem die vorinstanzlichen Feststellungen, die D.________ GmbH habe keine eigenen Einnahmen generiert und sie sei - auch bei einer Durchführung des E.________ 2011 - zur
Rückzahlung der Akontozahlung von rund Fr. 2 Mio. aus den Ticketeinnahmen verpflichtet gewesen. Damit übergeht die Vorinstanz, dass es sich bei den "Akontozahlungen" der F.________ AG grundsätzlich um der D.________ GmbH zustehende Einnahmen aus den Ticketverkäufen handelt. Eine Rückerstattungspflicht bestand daher nur im Falle einer Absage des E.________ 2011. Für die gegenteilige Auffassung der Vorinstanz fehlt im angefochtenen Entscheid jegliche Begründung.
Damit bleibt die finanzielle Situation der D.________ GmbH im Zeitpunkt des Überbrückungskredits weiterhin unklar, da die Vorinstanz zu Unrecht von fehlenden eigenen Einnahmen und einer Rückerstattungspflicht bezüglich der Fr. 2 Mio. ausgeht.
1.4.3. Nicht ausreichend begründet ist überdies die vorinstanzliche Feststellung, es sei "offensichtlich" gewesen, dass es auch beim E.________ 2011 zu einem Verlust kommen werde. Die Vorinstanz beruft sich hierfür auf die schlechten Vorverkaufszahlen (angefochtenes Urteil S. 32) und die Einschätzung der H.________, der F.________ AG und der Privatklägerin. Nach "Einschätzung der Branchenkenner" habe man nicht davon ausgehen können, dass die D.________ GmbH mit dem E.________ 2011 einen Gewinn erzielen werde (angefochtenes Urteil S. 25). Die entsprechende Feststellung der Vorinstanz beruht folglich nicht auf buchhalterischen Überlegungen bzw. einer Analyse der Ausgaben und Einnahmen, sondern blossen pauschalen Einschätzungen Dritter.
1.4.4. Fraglich ist nach wie vor, ob den Gläubigern der B.________-Gesellschaften durch den Überbrückungskredit - verglichen mit der hypothetischen Situation ohne diesen Kredit und einer Absage des E.________ 2011 - überhaupt ein finanzieller Schaden entstand. Die Vorinstanz anerkennt insofern vielmehr, dass der Gesamtschaden für die Gläubiger der B.________-Gesellschaften und der D.________ GmbH weniger durch die Gewährung des internen Darlehens zwischen der B.B.________ GmbH und der D.________ GmbH erhöht wurde, sondern durch die verspätete Konkursanmeldung der Gesellschaften (angefochtenes Urteil E. 3.7.2 S. 28). Hinzu kommt, dass die Privatklägerin, als (Haupt-) Gläubigerin der B.B.________ GmbH (vgl. angefochtener Entscheid E. 3.5.4 S. 22), im Zusammenhang mit dem Kredit von Fr. 226'240.-- im vorliegenden Strafverfahren offenbar keine Schadenersatzforderungen geltend machte, obschon sie bezüglich des Tatbestands der Misswirtschaft als Geschädigte in Betracht kommt (BGE 140 IV 155 E. 3.3.2). Aus dem angefochtenen Entscheid geht hervor, dass die Privatklägerin ihre Zivilforderung gegen den Beschwerdeführer einzig aus dem Sachverhalt betreffend den Betrugsvorwurf ableitet (angefochtenes Urteil E. 3 S. 53 f.).
Der angefochtene Entscheid enthält erneut keine konkreten Angaben zur (hypothetischen) finanziellen Situation der involvierten Gesellschaften (D.________ GmbH und B.________-Gesellschaften) bei einer Absage des E.________ 2011 und einer Konkurserklärung der D.________ GmbH kurz vor dem geplanten Veranstaltungstermin verglichen mit der Situation beim angeklagten Überbrückungskredit und der Durchführung des Festivals. Das Argument des Beschwerdeführers, von der Durchführung des Festivals seien Deckungsbeträge an die bereits getätigten Auslagen zu erwarten gewesen, qualifiziert die Vorinstanz ohne nachvollziehbare Begründung als Schutzbehauptung.
1.4.5. Festzuhalten ist schliesslich, dass die Anklage dem Beschwerdeführer nicht explizit, d.h. in einer für eine Anklage rechtsgenügenden Weise vorwirft, die D.________ GmbH oder die B.________-Gesellschaften seien im Zeitpunkt des Überbrückungskredits überschuldet gewesen, weshalb eine Zwischenbilanz zu erstellen und der Richter zu benachrichtigen gewesen wäre (Art. 820 Abs. 1
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 820 - Les dispositions du droit de la société anonyme régissant la menace d'insolvabilité, la perte de capital et le surendettement ainsi que la réévaluation des immeubles et des participations sont applicables par analogie. |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 725 - 1 Le conseil d'administration surveille la solvabilité de la société. |
|
1 | Le conseil d'administration surveille la solvabilité de la société. |
2 | Si la société risque de devenir insolvable, le conseil d'administration prend des mesures visant à garantir sa solvabilité. Au besoin, il prend des mesures supplémentaires afin d'assainir la société ou propose de telles mesures à l'assemblée générale, pour autant qu'elles relèvent de la compétence de cette dernière. Le cas échéant, il dépose une demande de sursis concordataire. |
3 | Le conseil d'administration agit avec célérité. |
Durchführung des E.________ 2011, nicht jedoch eine allfällige Konkursverschleppung durch Unterlassen der Überschuldungsanzeige im Sinne von Art. 820 Abs. 1
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 820 - Les dispositions du droit de la société anonyme régissant la menace d'insolvabilité, la perte de capital et le surendettement ainsi que la réévaluation des immeubles et des participations sont applicables par analogie. |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 725 - 1 Le conseil d'administration surveille la solvabilité de la société. |
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1 | Le conseil d'administration surveille la solvabilité de la société. |
2 | Si la société risque de devenir insolvable, le conseil d'administration prend des mesures visant à garantir sa solvabilité. Au besoin, il prend des mesures supplémentaires afin d'assainir la société ou propose de telles mesures à l'assemblée générale, pour autant qu'elles relèvent de la compétence de cette dernière. Le cas échéant, il dépose une demande de sursis concordataire. |
3 | Le conseil d'administration agit avec célérité. |
1.5.
1.5.1. Der Tatbestand der Misswirtschaft von Art. 165 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
|
1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
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1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
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1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
Die Tathandlung der ungetreuen Geschäftsbesorgung im Sinne von Art. 158 Ziff. 1 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
1.5.2. Tatsache ist vorliegend, dass der Beschwerdeführer die Geschäftstätigkeit der drei Gesellschaften (D.________ GmbH, B.B.________ GmbH und B.C.________ GmbH) nicht sauber trennte (angefochtenes Urteil S. 17) und die B.________-Gesellschaften die formell von der D.________ GmbH organisierten E.________ von Beginn an mitfinanzierten. Dies ist indes nicht angeklagt und darf dem Beschwerdeführer strafrechtlich daher nicht zum Vorwurf gemacht werden, worauf das Bundesgericht bereits im Urteil 6B 748/2017 vom 30. Mai 2018 hinwies. Nicht zu prüfen ist daher, wie es zu dieser Vermischung der Geschäftstätigkeit der drei Gesellschaften kam, wer dafür verantwortlich war und ob die finanzielle Beteiligung der B.________-Gesellschaften an den E.________ unzulässig bzw. ob sie - allenfalls auf einer etwas anderen vertraglichen Grundlage - zulässig war.
Indem die Vorinstanz die vorbestehende finanzielle Beteiligung der B.________-Gesellschaften an den E.________ sowie das vom Beschwerdeführer geltend gemachte eigene finanzielle und geschäftspolitische Interesse der B.________-Gesellschaften an der Durchführung des E.________ 2011 vollständig ausblendet und für die Frage, ob der Überbrückungskredit zulässig war, einen reinen "Drittmannstest" durchführt bzw. lediglich prüft, ob das Darlehen zu Marktbedingungen gewährt wurde, macht sie dem Beschwerdeführer indirekt erneut die nicht angeklagte vorbestehende finanzielle Beteiligung der B.________-Gesellschaften an den offiziell von der D.________ GmbH organisierten E.________ zum Vorwurf.
Die Rechtsprechung anerkennt, dass in gewissen Konstellationen bei der nachträglichen gerichtlichen Beurteilung von Geschäftsentscheiden betreffend die Gewährung von Darlehen nicht das Gesellschaftsinteresse der geschädigten Gesellschaft allein als Massstab heranzuziehen ist. So begründet der Umstand, dass ein ungesichertes Darlehen an die Muttergesellschaft den Drittmannstest nicht besteht, d.h. einem Dritten nicht zu entsprechenden Bedingungen ausgerichtet worden wäre, nicht zwingend eine Pflichtverletzung der für das Geschäft verantwortlichen Organe der Gläubigergesellschaft (Urteil 4A 268/2018 vom 18. November 2019 E. 6.5.4.4). Die vom Beschwerdeführer zitierte Rechtsprechung betrifft Konzernverhältnisse, was vorliegend nicht der Fall ist. Der Beschwerdeführer legt jedoch nachvollziehbar dar, dass die B.________-Gesellschaften vorliegend aus anderen Gründen - nämlich angesichts der vorbestehenden finanziellen Beteiligung an den E.________ und der engen geschäftlichen Verflechtung der drei Gesellschaften - auch ein eigenes finanzielles und geschäftspolitisches Interesse an der Durchführung des E.________ 2011 hatten und eine kurzfristige Absage des Festivals mit grösster Wahrscheinlichkeit den Konkurs der B.________-
Gesellschaften zur Folge gehabt hätte. Die Vorinstanz geht darauf zu Unrecht nicht ein.
Die Vorinstanz sieht das strafbare Verhalten des Beschwerdeführers darin begründet, dass er den B.________-Gesellschaften trotz der vorbestehenden Zahlungsschwierigkeiten bzw. Liquiditätsproblemen mit dem Überbrückungskredit Liquidität entzog, welche er zur Bezahlung der offenen Schulden, insbesondere der Privatklägerin als Hauptschuldnerin, hätte verwenden können. Dieses Verhalten fällt indes nicht unter den Tatbestand der ungetreuen Geschäftsbesorgung im Sinne von Art. 158 Ziff. 1 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
1.6.
1.6.1. Entscheidend ist letztlich zudem nicht, ob der Beschwerdeführer mit dem Überbrückungskredit zwecks Durchführung des E.________ 2011 objektiv gegen seine zivilrechtlichen Pflichten als Geschäftsführer der B.________-Gesellschaften verstiess, sondern ob ihm eine allfällige Verletzung dieser Pflichten strafrechtlich, d.h. subjektiv, zum Vorwurf gemacht werden kann.
1.6.2. Die Misswirtschaft und die ungetreue Geschäftsbesorgung sind nur bei vorsätzlicher Tatbegehung strafbar (vgl. Art. 12 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
|
1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
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1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
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1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
Der Tatbestand der Misswirtschaft von Art. 165 Ziff. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 165 - 1. Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
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1 | Le débiteur qui, de manières autres que celles visées à l'art. 164, par des fautes de gestion, notamment par une dotation insuffisante en capital, par des dépenses exagérées, par des spéculations hasardeuses, par l'octroi ou l'utilisation à la légère de crédits, par le bradage de valeurs patrimoniales ou par une négligence coupable dans l'exercice de sa profession ou dans l'administration de ses biens, |
2 | Le débiteur soumis à la poursuite par voie de saisie n'est poursuivi pénalement que sur plainte d'un créancier ayant obtenu contre lui un acte de défaut de biens. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 158 - 1. Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, porte atteinte à ces intérêts ou permet qu'ils soient lésés est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, abuse du pouvoir de représentation que lui confère la loi, un mandat officiel ou un acte juridique et porte ainsi atteinte aux intérêts pécuniaires du représenté est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | La gestion déloyale au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
1.6.3. Die Vorinstanz hätte in einem ersten Schritt in objektiver Hinsicht wie dargelegt daher zunächst klären müssen, ob die Kreditvergabe zwecks Durchführung des E.________ 2011 den Interessen der B.________-Gesellschaften widersprach bzw. als "krasses wirtschaftliches Fehlverhalten" zu qualifizieren ist und ob die Gläubiger der B.________-Gesellschaften damit - im Vergleich zur Situation ohne Überbrückungskredit und einer kurzfristigen Absage des Festivals - einen Schaden erlitten. Bejaht sie dies, hätte sie in einem zweiten Schritt prüfen müssen, ob der Einwand des Beschwerdeführers, er habe die D.________ GmbH und die B.________-Gesellschaften nicht schädigen, sondern im Gegenteil grösseren Schaden von ihnen abwenden wollen, als Schutzbehauptung zu qualifizieren ist. Dabei ist seinem schulischen und beruflichen Hintergrund sowie der auf dem Beschwerdeführer im Tatzeitpunkt lastenden Drucksituation Rechnung zu tragen. Diesbezüglich stellt die Vorinstanz verbindlich fest, auf den Beschwerdeführer sei von verschiedener Seite, u.a. auch von der Privatklägerin, Druck ausgeübt worden, eine Absage des E.________ 2011 mit allen Mitteln zu verhindern, um einen gefürchteten Imageschaden von der Branche abzuwenden (angefochtenes Urteil
S. 25). Eine vorsätzliche Tatbegehung lässt sich demgegenüber nicht mit dem blossen Hinweis darauf begründen, der Beschwerdeführer habe um die Liquiditätsprobleme seiner Gesellschaften gewusst. Dass er eine persönliche Haftung ablehnte, wozu er nicht verpflichtet war, und dass er Kenntnis davon hatte, dass die Konkurrentin H.________ an einer Übernahme der B.________-Gesellschaften letztlich nicht interessiert war, erscheint ebenfalls nicht geeignet, den Beweis hierfür zu erbringen. Hinsichtlich der finanziellen Lage der involvierten Gesellschaften ist in subjektiver Hinsicht zudem der Wissensstand des Beschwerdeführers im Tatzeitpunkt entscheidend.
1.7. Die von der Vorinstanz aufgeworfenen Fragen des unzulässigen Selbstkontrahierens, die fehlende Verzinsung des Überbrückungskredits sowie der Verzicht auf ein Verrechnungsverbot vermögen bereits deshalb keinen Schuldspruch wegen ungetreuer Geschäftsbesorgung oder Misswirtschaft zu begründen, weil diese Vorwürfe nicht Gegenstand der Anklage bilden. Darauf braucht daher nicht weiter eingegangen zu werden.
1.8. Die angefochtenen Schuldsprüche wegen Misswirtschaft und ungetreuer Geschäftsbesorgung beruhen nach dem Gesagten auf einer teils offensichtlich falschen und lückenhaften Sachverhaltsfeststellung (oben E. 1.4). Nach wie vor unberücksichtigt bleibt das Argument des Beschwerdeführers, er habe mit dem Überbrückungskredit noch grösseren Schaden abwenden wollen. Der vorinstanzliche Entscheid verstösst zudem erneut gegen das Anklageprinzip. Der Entscheid ist daher aufzuheben und die Angelegenheit zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Bei der Neubeurteilung hat sich die Vorinstanz auf die Prüfung des Anklagevorwurfs zu beschränken (Kredit von Fr. 226'240.-- zwecks Durchführung des E.________ 2011) und eine Gesamtbetrachtung der Interessenlage der involvierten Gesellschaften vorzunehmen, da ein reiner "Drittmannstest" angesichts der (nicht angeklagten) vorbestehenden Vermischung der Geschäftstätigkeit der drei Gesellschaften des Beschwerdeführers der Sachlage nicht gerecht wird. Gelingt es der Vorinstanz nicht, die Behauptung des Beschwerdeführers zu widerlegen, er habe in der damaligen Drucksituation nach bestem Wissen und Gewissen und vermeintlich im Interesse aller Beteiligten gehandelt, hat sie den Beschwerdeführer
mangels Schädigungsvorsatz von den Vorwürfen der Misswirtschaft und der ungetreuen Geschäftsbesorgung im Zusammenhang mit dem angeklagten Kredit von Fr. 226'240.-- freizusprechen.
2.
Die Beschwerde ist gutzuheissen. Das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich vom 18. Mai 2020 ist aufzuheben und die Sache zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Der Kanton Zürich trägt keine Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 4
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Die Beschwerdegegnerin 2 stellte im Verfahren vor Bundesgericht keine Anträge, weshalb sie nicht kostenpflichtig wird und keinen Anspruch auf Entschädigung hat.
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen, das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich vom 18. Mai 2020 aufgehoben und die Sache zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen.
2.
Es werden keine Kosten erhoben.
3.
Der Kanton Zürich hat den Rechtsvertretern des Beschwerdeführers, Rechtsanwälte Oliver Kunz und Philip Carr, für das bundesgerichtliche Verfahren insgesamt Fr. 3'000.-- zu bezahlen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, II. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 9. Juni 2021
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari
Die Gerichtsschreiberin: Unseld