Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 1050/2018
Urteil vom 8. März 2019
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari,
Bundesrichter Oberholzer,
Gerichtsschreiber Reut.
Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Fürsprecher Pasquino Bevilacqua,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Luzern,
2. A.________,
3. B.________,
beide vertreten durch Rechtsanwalt und Notar Hans Jörg Wälti,
Troller Hitz Troller, Postfach 4263, 6002 Luzern,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Fahrlässige Körperverletzung; Willkür; Gültigkeit Strafantrag; Strafzumessung; Kosten- und Entschädigungsfolgen
Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Luzern, 2. Abteilung, vom 27. Juni 2018 (4M 17 95).
Sachverhalt:
A.
Das Kriminalgericht Luzern sprach X.________ am 13. August 2015 vom Vorwurf des Fahrens in fahrunfähigem Zustand frei, hingegen der mehrfachen Gefährdung des Lebens, der Gewalt und Drohung gegen Behörden und Beamte, der fahrlässigen Körperverletzung, der fahrlässigen groben Verletzung der Verkehrsregeln durch Nichtbefolgen polizeilicher Weisungen, der Vereitelung von Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit sowie des fahrlässigen pflichtwidrigen Verhaltens nach Unfall mit Verletzungsfolge schuldig. Es verurteilte ihn zu einer teilbedingten Freiheitsstrafe von 22 Monaten. Dem Verfahren liegt folgender Anklagesachverhalt zugrunde:
X.________ soll am 16. Mai 2012 in stark angetrunkenem Zustand mit seinem Personenwagen von Oberrüti in Richtung Inwil gefahren sein und auf Höhe der C.________ AG eine Verkehrskontrolle durchbrochen haben. Dabei habe er die Polizisten A.________ und B.________ in skrupelloser Weise in unmittelbare Lebensgefahr gebracht, infolge einer groben Verletzung der Verkehrsregeln eine ernstliche Gefahr für die Sicherheit anderer hervorgerufen, die zwei Polizeibeamten durch Gewalt an einer Amtshandlung gehindert, sich als Motorfahrzeugführer vorsätzlich einer Blut- bzw. Atemalkoholprobe oder einer anderen Voruntersuchung entzogen, sich nach einem Unfall pflichtwidrig verhalten und A.________ fahrlässig an Körper oder Gesundheit geschädigt.
B.
Das Kantonsgericht Luzern bestätigte am 17. November 2016 die erstinstanzlichen Schuldsprüche und verurteilte X.________ in teilweiser Gutheissung der Anschlussberufung der Staatsanwaltschaft - zu einer teilbedingten Freiheitsstrafe von 24 Monaten.
C.
Auf Beschwerde von X.________ wies das Bundesgericht die Sache am 16. November 2017 im Umfang einer teilweisen Aufhebung zu neuer Entscheidung an das Kantonsgericht zurück (Urteil 6B 303/2017).
D.
Das Kantonsgericht fällte am 27. Juni 2018 einen neuen Entscheid, wobei es X.________ nunmehr auch vom Vorwurf der mehrfachen Gefährdung des Lebens freisprach. Es veurteilte ihn für die übrigen Delikte im Zusatz zum Strafbefehl der Staatsanwaltschaft des Kantons Luzern vom 11. Februar 2015 und zum Strafbefehl der Staatsanwaltschaft des Kantons Solothurn vom 31. Oktober 2017 zu einer teilbedingten Geldstrafe von 280 Tagessätzen zu je Fr. 100.--.
E.
X.________ gelangt mit Beschwerde in Strafsachen an das Bundesgericht. Er beantragt die Einstellung des Strafverfahrens wegen fahrlässiger einfacher Körperverletzung, eventualiter einen Freispruch. Im Übrigen sei die Angelegenheit zur Neufestlegung des Strafmasses und zur Neuverlegung der Kosten- und Entschädigungsfolgen an das Kantonsgericht zurückzuweisen.
F.
Der Präsident der strafrechtlichen Abteilung hat der Beschwerde am 16. November 2018 die aufschiebende Wirkung zuerkannt.
Erwägungen:
1.
Zunächst stellt der Beschwerdeführer die Gültigkeit des Strafantrags des Beschwerdegegners 2 in Frage, aufgrund dessen er wegen fahrlässiger Körperverletzung für schuldig befunden wurde. Der Beschwerdegegner 2 habe auf dem verwendeten Formular ausdrücklich auf die Stellung eines Strafantrags verzichtet. Zudem sei die Erklärung erst nach Ablauf der dreimonatigen Antragsfrist erfolgt. Die Vorinstanz habe Art. 30
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 30 - 1 Si une infraction n'est punie que sur plainte, toute personne lésée peut porter plainte contre l'auteur. |
|
1 | Si une infraction n'est punie que sur plainte, toute personne lésée peut porter plainte contre l'auteur. |
2 | Si le lésé n'a pas l'exercice des droits civils, le droit de porter plainte appartient à son représentant légal. Si l'ayant droit est sous tutelle ou sous curatelle de portée générale, le droit de porter plainte appartient également à l'autorité de protection de l'adulte.20 |
3 | Le lésé mineur ou placé sous curatelle de portée générale a le droit de porter plainte s'il est capable de discernement.21 |
4 | Si le lésé meurt sans avoir porté plainte ni avoir expressément renoncé à porter plainte, son droit passe à chacun de ses proches. |
5 | Si l'ayant droit a expressément renoncé à porter plainte, sa renonciation est définitive. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 31 - Le droit de porter plainte se prescrit par trois mois. Le délai court du jour où l'ayant droit a connu l'auteur de l'infraction. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.1. Ist eine Tat - wie hier (vgl. Art. 125 Abs. 1
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 125 - 1 Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si la lésion est grave, l'auteur est poursuivi d'office. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 30 - 1 Si une infraction n'est punie que sur plainte, toute personne lésée peut porter plainte contre l'auteur. |
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1 | Si une infraction n'est punie que sur plainte, toute personne lésée peut porter plainte contre l'auteur. |
2 | Si le lésé n'a pas l'exercice des droits civils, le droit de porter plainte appartient à son représentant légal. Si l'ayant droit est sous tutelle ou sous curatelle de portée générale, le droit de porter plainte appartient également à l'autorité de protection de l'adulte.20 |
3 | Le lésé mineur ou placé sous curatelle de portée générale a le droit de porter plainte s'il est capable de discernement.21 |
4 | Si le lésé meurt sans avoir porté plainte ni avoir expressément renoncé à porter plainte, son droit passe à chacun de ses proches. |
5 | Si l'ayant droit a expressément renoncé à porter plainte, sa renonciation est définitive. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 31 - Le droit de porter plainte se prescrit par trois mois. Le délai court du jour où l'ayant droit a connu l'auteur de l'infraction. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 304 Forme de la plainte pénale - 1 La plainte pénale doit être déposée auprès de la police, du ministère public ou de l'autorité pénale compétente en matière de contraventions, par écrit ou oralement; dans ce dernier cas, elle est consignée au procès-verbal. |
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1 | La plainte pénale doit être déposée auprès de la police, du ministère public ou de l'autorité pénale compétente en matière de contraventions, par écrit ou oralement; dans ce dernier cas, elle est consignée au procès-verbal. |
2 | Le fait de renoncer à porter plainte ou le retrait de la plainte pénale sont soumis aux mêmes exigences de forme. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 30 - 1 Si une infraction n'est punie que sur plainte, toute personne lésée peut porter plainte contre l'auteur. |
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1 | Si une infraction n'est punie que sur plainte, toute personne lésée peut porter plainte contre l'auteur. |
2 | Si le lésé n'a pas l'exercice des droits civils, le droit de porter plainte appartient à son représentant légal. Si l'ayant droit est sous tutelle ou sous curatelle de portée générale, le droit de porter plainte appartient également à l'autorité de protection de l'adulte.20 |
3 | Le lésé mineur ou placé sous curatelle de portée générale a le droit de porter plainte s'il est capable de discernement.21 |
4 | Si le lésé meurt sans avoir porté plainte ni avoir expressément renoncé à porter plainte, son droit passe à chacun de ses proches. |
5 | Si l'ayant droit a expressément renoncé à porter plainte, sa renonciation est définitive. |
1.2. Im vorliegenden Fall enthält das Strafantragsformular, das vom Beschwerdegegner 2 ausgefüllt wurde, ein Kreuz in der Rubrik "stelle ich einen Strafantrag und beteilige mich am Strafverfahren als Privatkläger". Im Formular macht der Beschwerdegegner 2 zudem Zivilforderungen (Schadenersatz und Genugtuung) geltend. Die Rubrik "verzichte auf einen Strafantrag" ist zwar nicht ausgefüllt, doch hat der Beschwerdegegner 2 direkt unterhalb dieser Rubrik Ort, Datum und Unterschrift hingesetzt (angefochtener Entscheid S. 14). Darin lässt sich kein ausdrücklicher Verzicht auf das Antragsrecht erblicken. Gegenteils hat der Beschwerdegegner 2 seinen Willen zur Strafverfolgung durch das Ankreuzen der entsprechenden Rubriken klar zum Ausdruck gebracht. Dass gemäss Hinweis auf dem Formular nur eine der drei Rubriken ausgefüllt werden "kann", schadet im Hinblick auf die Gültigkeit des Strafantrags nicht. Entscheidend ist, dass sich - wie hier - die Anliegen des Betroffenen unmissverständlich aus dem Formular ergeben (vgl. Urteil 6B 978/2013 vom 19. Mai 2014 E. 2; ebenfalls das "Formular für Antragsdelikte" des Kantons Luzern betreffend).
1.3. In Bezug auf die Rechtzeitigkeit des Strafantrags übersieht der Beschwerdeführer, dass der Strafantrag den 3. August 2012 als Datum trägt und am 6. August 2012, also noch vor Ablauf der Antragsfrist am 16. August 2012, bei der Staatsanwaltschaft einging (angefochtener Entscheid S. 14). Damit liegt ein form- und fristgerechter Strafantrag vor.
2.
Der Beschwerdeführer macht im Zusammenhang mit dem Schuldspruch wegen fahrlässiger Körperverletzung weiter geltend, er habe dem Beschwerdegegner 2 nicht "aktiv" eine Verletzung zugefügt. Dieser sei vielmehr infolge des Ausweichmanövers bzw. Seitenschritts auf die Gegenfahrbahn vom Fahrzeug (eines Dritten) erfasst und verletzt worden, was wiederum direkte Folge davon gewesen sei, dass die Beschwerdegegner 2 und 3 bei der Errichtung und dem Betrieb ihrer Verkehrskontrolle in mehrfacher Hinsicht gegen den Gefahrensatz verstossen hätten. Dies habe zur Unterbrechung des Kausalverlaufs geführt (Beschwerde S. 16 ff.).
2.1. Nach Art. 125 Abs. 1
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 125 - 1 Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si la lésion est grave, l'auteur est poursuivi d'office. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
|
1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
|
1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
Grundvoraussetzung für das Bestehen einer Sorgfaltspflichtverletzung und mithin für die Fahrlässigkeitshaftung bildet die Vorhersehbarkeit des Erfolgs. Für die Beantwortung dieser Frage gilt der Massstab der Adäquanz. Danach muss das Verhalten geeignet sein, nach dem gewöhnlichen Lauf der Dinge und den Erfahrungen des Lebens einen Erfolg wie den eingetretenen herbeizuführen oder mindestens zu begünstigen. Die Adäquanz ist nur zu verneinen, wenn ganz aussergewöhnliche Umstände, wie das Mitverschulden des Opfers beziehungsweise eines Dritten oder Material- oder Konstruktionsfehler, als Mitursache hinzutreten, mit denen schlechthin nicht gerechnet werden musste und die derart schwer wiegen, dass sie als wahrscheinlichste und unmittelbarste Ursache des Erfolgs erscheinen und so alle anderen mitverursachenden Faktoren in den Hintergrund drängen (BGE 135 IV 56 E. 2.1 S. 64 f.; 134 IV 193 E. 7.3 S. 204; je mit Hinweisen).
2.2. Für das Bundesgericht ist grundsätzlich der vorinstanzlich festgestellte Sachverhalt massgebend (Art. 105 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
2.3. Der Beschwerdeführer verkennt die erörterten Grundsätze zur Beschwerdebegründung. Zunächst stellt er seiner rechtlichen Argumentation die eigene Sicht der Dinge voran, wobei er in verschiedenen Punkten von den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz abweicht oder diese erweitert, ohne aber Willkür in der Beweiswürdigung oder eine Verletzung des rechtlichen Gehörs substanziiert zu begründen. Die Vorinstanz erwägt, der Beschwerdeführer habe sein Fahrzeug bei der Zufahrt auf die von ihm aus mehreren hundert Metern erkennbare Polizeikontrolle zwar verlangsamt, kurz davor jedoch bewusst und in steigendem Tempo die Kontrolle durchbrochen, obwohl die beiden Polizisten in seiner Fahrbahn gestanden und ihn bis zuletzt zum Verlangsamen der Fahrt aufgefordert hätten. Die Verkehrskontrolle sei korrekt, sicher und gut organisiert und durchgeführt worden. Auch sei die betreffende Strasse für eine solche Kontrolle genügend breit gewesen. Somit sei die Gefahr nicht durch die Polizisten geschaffen worden, sondern durch den Beschwerdeführer, welcher die Verkehrskontrolle durchbrochen habe (Entscheid S. 7). Soweit sich die Rügen des Beschwerdeführers folglich auf einen Sachverhalt stützen, der von diesen Überlegungen abweicht, sind sie
nicht zu hören. Unter diesen Umständen kann offenbleiben, inwiefern es dem Beschwerdeführer im vorliegenden Verfahren überhaupt noch möglich ist, sich gegen die im angefochtenen Entscheid getroffenen Sachverhaltsfeststellungen zur Wehr zu setzen. Denn das Bundesgericht hat die Rüge der willkürlichen Sachverhaltsfeststellung bereits im Entscheid vom 16. November 2017 weitestgehend als unbegründet abgewiesen (vgl. zur Bindungswirkung BGE 143 IV 214 E. 5.2.1 S. 220; 135 III 334 E. 2 S. 335 f.; je mit Hinweisen).
2.4. Der Beschwerdeführer geht im Übrigen zu Unrecht davon aus, dass beim Fahrlässigkeitsdelikt eine "aktive Verletzungshandlung" erforderlich ist. Vorausgesetzt ist vielmehr die Verletzung einer Sorgfaltspflicht. Unter dem Gesichtspunkt der Voraussehbarkeit ist sodann entscheidend, ob das Verhalten des Beschwerdeführers adäquat kausal für den Eintritt des Erfolgs war. Dies ist vorliegend der Fall. Nach den Feststellungen der Vorinstanz soll der Beschwerdegegner 2 dem Fahrzeug des Beschwerdeführers ausgewichen sein, wobei er vom Rückspiegel des auf der Gegenfahrbahn herannahenden Fahrzeugs erfasst worden sei und sich verschiedene Verletzungen zugezogen habe (angefochtener Entscheid S. 15). Dieser Geschehensablauf war für den Beschwerdeführer vorhersehbar und nicht aussergewöhnlich, zumal er laut Vorinstanz zumindest das Licht des herannahenden Fahrzeugs - wenn nicht sogar das Fahrzeug selbst - bemerkt habe, als er sein Fahrzeug zehn Meter vor der Kontrolle bzw. zehn Meter vor der Kreuzung mit dem entgegenkommenden Fahrzeug beschleunigt hätte. In diesem Zusammenhang ist auch nicht ersichtlich, inwiefern die Verhaltensweise des Beschwerdegegners 2 den Kausalzusammenhang unterbrochen haben soll. Die Kritik an der vorinstanzlichen
Würdigung begründet der Beschwerdeführer mit vom willkürfrei festgestellten Sachverhalt abweichenden tatsächlichen Behauptungen. Damit ist er - wie erwähnt - nicht zu hören. Der Vorinstanz ist im Übrigen zuzustimmen, wenn sie festhält, dass selbst ein allfälliger Verstoss gegen Weisungen und Dienstbefehle zur mobilen Verkehrskontrolle nichts ändern würde (angefochtener Entscheid S. 7). Selbst wenn die Verkehrskontrolle - wie vom Beschwerdeführer behauptet - nicht korrekt durchgeführt worden wäre, wöge ein solcher Umstand nicht derart schwer, dass so alle anderen mitverursachenden Faktoren - namentlich das Verhalten des Beschwerdeführers - in den Hintergrund gedrängt würden. Die Adäquanz ist ohne weiteres zu bejahen. Der Schuldspruch wegen fahrlässiger Körperverletzung verletzt kein Bundesrecht.
3.
Der Beschwerdeführer rügt im Sanktionspunkt die Ausfällung einer Zusatzstrafe zum Strafbefehl der Staatsanwaltschaft Solothurn vom 31. Oktober 2017 und damit die Höhe der ausgefällten Geldstrafe als bundesrechtswidrig (Beschwerde S. 21 ff.).
3.1. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
3.2. Der Beschwerdeführer beging das mit Strafbefehl vom 31. Oktober 2017 von der Staatsanwaltschaft Solothurn beurteilte Delikt am 3. Dezember 2016, d.h. nachdem er am 13. August 2015 vom Kriminalgericht Luzern erstinstanzlich bzw. am 17. November 2016 von der Vorinstanz zweitinstanzlich für die am 16. Mai 2012 begangene Tat verurteilt worden war. Der Beschwerdeführer delinquierte damit nur wenige Wochen nach der Berufungsverhandlung bzw. nach Zustellung des Urteilsdispositivs erneut (kant. Akten 4M 16 19, amtl.Bel. 31 f.). Die Vorinstanz hätte unter diesen Umständen keine Zusatzstrafe aussprechen dürfen, da das jüngste Delikt nach der ersten Verurteilung im ersten Verfahren verübt wurde (vgl. BGE 138 IV 113 E. 3.4.3 S. 117 f. mit Hinweisen). Vorliegend führt dies aber nicht zur Aufhebung des angefochtenen Entscheids. Denn die Anwendung von Art. 49 Abs. 2
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
|
1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
4.
Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die von der Vorinstanz getroffene Kosten- und Entschädigungsregelung. Die Vorinstanz habe ihm zu Unrecht sämtliche Kosten des Untersuchungsverfahrens auferlegt und eine entsprechende Entschädigung verweigert. Zudem bemängelt der Beschwerdeführer die von der Vorinstanz zugunsten des Beschwerdegegners 2 festgelegte Entschädigung (Beschwerde S. 26 ff.).
4.1.
4.1.1. Die Verlegung der Verfahrenskosten (Art. 422 ff
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 422 Définition - 1 Les frais de procédure se composent des émoluments visant à couvrir les frais et des débours effectivement supportés. |
|
1 | Les frais de procédure se composent des émoluments visant à couvrir les frais et des débours effectivement supportés. |
2 | On entend notamment par débours: |
a | les frais imputables à la défense d'office et à l'assistance gratuite; |
b | les frais de traduction; |
c | les frais d'expertise; |
d | les frais de participation d'autres autorités; |
e | les frais de port et de téléphone et d'autres frais analogues. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 426 Frais à la charge du prévenu et des parties dans le cadre d'une procédure indépendante en matière de mesures - 1 Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
|
1 | Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
2 | Lorsque la procédure fait l'objet d'une ordonnance de classement ou que le prévenu est acquitté, tout ou partie des frais de procédure peuvent être mis à sa charge s'il a, de manière illicite et fautive, provoqué l'ouverture de la procédure ou rendu plus difficile la conduite de celle-ci. |
3 | Le prévenu ne supporte pas les frais: |
a | que la Confédération ou le canton ont occasionnés par des actes de procédure inutiles ou erronés; |
b | qui sont imputables aux traductions rendues nécessaires du fait qu'il est allophone. |
4 | Les frais de l'assistance judiciaire gratuite de la partie plaignante ne peuvent être mis à la charge du prévenu que si celui-ci bénéficie d'une bonne situation financière. |
5 | Les dispositions ci-dessus s'appliquent par analogie aux parties dans une procédure indépendante en matière de mesures, lorsque la décision est rendue à leur détriment. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 426 Frais à la charge du prévenu et des parties dans le cadre d'une procédure indépendante en matière de mesures - 1 Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
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1 | Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
2 | Lorsque la procédure fait l'objet d'une ordonnance de classement ou que le prévenu est acquitté, tout ou partie des frais de procédure peuvent être mis à sa charge s'il a, de manière illicite et fautive, provoqué l'ouverture de la procédure ou rendu plus difficile la conduite de celle-ci. |
3 | Le prévenu ne supporte pas les frais: |
a | que la Confédération ou le canton ont occasionnés par des actes de procédure inutiles ou erronés; |
b | qui sont imputables aux traductions rendues nécessaires du fait qu'il est allophone. |
4 | Les frais de l'assistance judiciaire gratuite de la partie plaignante ne peuvent être mis à la charge du prévenu que si celui-ci bénéficie d'une bonne situation financière. |
5 | Les dispositions ci-dessus s'appliquent par analogie aux parties dans une procédure indépendante en matière de mesures, lorsque la décision est rendue à leur détriment. |
4.1.2. Die Privatklägerschaft hat nach Art. 433 Abs. 1
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 433 Partie plaignante - 1 Dans les cas suivants, la partie plaignante peut demander au prévenu une juste indemnité pour les dépenses obligatoires occasionnées par la procédure: |
|
1 | Dans les cas suivants, la partie plaignante peut demander au prévenu une juste indemnité pour les dépenses obligatoires occasionnées par la procédure: |
a | elle obtient gain de cause; |
b | le prévenu est astreint au paiement des frais conformément à l'art. 426, al. 2. |
2 | La partie plaignante adresse ses prétentions à l'autorité pénale; elle doit les chiffrer et les justifier. Si elle ne s'acquitte pas de cette obligation, l'autorité pénale n'entre pas en matière sur la demande. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 426 Frais à la charge du prévenu et des parties dans le cadre d'une procédure indépendante en matière de mesures - 1 Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
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1 | Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
2 | Lorsque la procédure fait l'objet d'une ordonnance de classement ou que le prévenu est acquitté, tout ou partie des frais de procédure peuvent être mis à sa charge s'il a, de manière illicite et fautive, provoqué l'ouverture de la procédure ou rendu plus difficile la conduite de celle-ci. |
3 | Le prévenu ne supporte pas les frais: |
a | que la Confédération ou le canton ont occasionnés par des actes de procédure inutiles ou erronés; |
b | qui sont imputables aux traductions rendues nécessaires du fait qu'il est allophone. |
4 | Les frais de l'assistance judiciaire gratuite de la partie plaignante ne peuvent être mis à la charge du prévenu que si celui-ci bénéficie d'une bonne situation financière. |
5 | Les dispositions ci-dessus s'appliquent par analogie aux parties dans une procédure indépendante en matière de mesures, lorsque la décision est rendue à leur détriment. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 433 Partie plaignante - 1 Dans les cas suivants, la partie plaignante peut demander au prévenu une juste indemnité pour les dépenses obligatoires occasionnées par la procédure: |
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1 | Dans les cas suivants, la partie plaignante peut demander au prévenu une juste indemnité pour les dépenses obligatoires occasionnées par la procédure: |
a | elle obtient gain de cause; |
b | le prévenu est astreint au paiement des frais conformément à l'art. 426, al. 2. |
2 | La partie plaignante adresse ses prétentions à l'autorité pénale; elle doit les chiffrer et les justifier. Si elle ne s'acquitte pas de cette obligation, l'autorité pénale n'entre pas en matière sur la demande. |
4.1.3. Bei der Aufteilung der Verfahrenskosten und dem Entscheid, ob der Privatklägerschaft eine angemessene Entschädigung für notwendige Aufwendungen zusteht, verfügt das Sachgericht über einen weiten Ermessensspielraum. Das Bundesgericht auferlegt sich bei der Überprüfung entsprechender Ermessensentscheide eine gewisse Zurückhaltung (Urteile 6B 981/2017 vom 7. Februar 2018 E. 4.3.2 und 6B 634/2016 vom 30. August 2016 E. 3.2; je mit Hinweisen).
4.2. Die Vorinstanz überschreitet ihr Ermessen nicht, wenn sie die Kosten des Untersuchungsverfahrens vollumfänglich dem Beschwerdeführer auferlegt. Hierzu wird im angefochtenen Entscheid ausgeführt, dass das Strafverfahren zu verschiedenen Schuldsprüchen geführt habe und die dem Beschwerdeführer zur Last gelegten Handlungen in einem engen direkten Zusammenhang stünden (angefochtener Entscheid S. 25). Dies ist nicht zu beanstanden. Entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers liegen hier nicht zwei Sachverhaltskomplexe vor. Der Beschwerdeführer soll gemäss Anklage in fahrunfähigem Zustand eine Verkehrskontrolle durchbrochen haben. Dass die Anklageschrift den Sachverhalt nach Tatbeständen aufteilt, ändert nichts am engen und direkten Zusammenhang der inkriminierten Handlungen. Die Vorinstanz durfte auch zu Recht davon ausgehen, dass alle Untersuchungshandlungen hinsichtlich sämtlicher Anklagepunkte erforderlich waren. Im Übrigen trägt sie den Freisprüchen gebührend Rechnung, indem sie dem Beschwerdeführer von den Kosten des erstinstanzlichen Verfahrens lediglich die Hälfte auferlegt. Gesamthaft betrachtet, hält sich die Vorinstanz ohne weiteres im Rahmen ihres Ermessensspielraums. Eine Verletzung von Verfassungs- oder Bundesrecht
ist nicht ersichtlich.
4.3. Wie der Beschwerdeführer zutreffend festhält, präjudiziert der Kostenentscheid die Entschädigungsfrage. Bei Auferlegung der Kosten ist grundsätzlich keine Entschädigung auszurichten (BGE 137 IV 352 E. 2.4.2 S. 357).
4.4. Schliesslich erweist sich auch die Entschädigung des Beschwerdegegners 2 nicht als verfassungs- oder bundesrechtswidrig.
4.4.1. Soweit der Beschwerdeführer die Kostentragungspflicht mit der Gutheissung seiner Anträge begründet, ist darauf angesichts der Bestätigung des vorinstanzlichen Entscheids nicht einzugehen. Im Übrigen hat sich der Beschwerdegegner 2 im Verfahren als Strafkläger konstituiert. Der Beschwerdeführer wurde wiederum für den ihm vorgeworfenen Sachverhalt verurteilt. Nicht ausschlaggebend ist dabei letztlich die rechtliche Qualifikation seines Verhaltens (Urteil 6B 423/2016 vom 26. Januar 2017 E. 2.4 mit Hinweisen). Die Vorinstanz durfte dem Beschwerdegegner 2 eine Entschädigung zusprechen.
4.4.2. Auf die im Zusammenhang mit der Höhe der festgesetzten Entschädigung vorgebrachten Einwände ist in Ermangelung einer hinreichenden Begründung (Art. 42 Abs. 2
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
5.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Der Beschwerdeführer wird ausgangsgemäss kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Luzern, 2. Abteilung, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 8. März 2019
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Der Gerichtsschreiber: Reut