Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}
5A 395/2009

Urteil vom 8. März 2010
II. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Hohl, Präsidentin,
Bundesrichterin Escher, Bundesrichter Marazzi,
Gerichtsschreiber Rapp.

Parteien
X.________ (Ehemann),
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Ueli Vogel-Etienne,
Beschwerdeführer,

gegen

Z.________ (Ehefrau),
vertreten durch Rechtsanwältin Manuela B. Vock,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Ehescheidung,

Beschwerde nach Art. 72 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
. BGG gegen das Urteil vom 14. April 2009 des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Zivilkammer.

Sachverhalt:

A.
X.________, geboren am xxxx 1963, (nachfolgend: Beschwerdeführer) und Z.________, geboren am xxxx 1961, (nachfolgend: Beschwerdegegnerin) heirateten am xxxx 1992 in Zürich. Aus ihrer Ehe ging die Tochter Y.________, geboren am xxxx 1992, hervor.

Mit Urteil vom 6. Juni 2008 des Einzelrichters im ordentlichen Verfahren des Bezirkes Dielsdorf wurde die Ehe der Parteien geschieden. Der Beschwerdeführer wurde u.a. verpflichtet, der Beschwerdegegnerin persönlich monatliche Unterhaltsbeiträge wie folgt zu bezahlen:
ab Rechtskraft des Scheidungsurteils bis 28. Februar 2009 Fr. 5'300.--;
von da an bis zum 30. November 2012 Fr. 2'300.--;
von da an bis zum 30. November 2018 Fr. 1'000.--;
von da an bis zum Erreichen des ordentlichen Pensionsalters der Beschwerdegegnerin Fr. 200.--.

B.
Gegen diesen Entscheid erhob die Beschwerdegegnerin beim Obergericht des Kantons Zürich Berufung. Dieses verpflichtete den Beschwerdeführer mit Urteil vom 14. April 2009 u.a. zur Leistung folgender monatlicher Unterhaltsbeiträge an die Beschwerdegegnerin persönlich (Dispositiv Ziff. 3):
ab Rechtskraft des Scheidungsurteils Fr. 6'100.--;
ab 1. Oktober 2009 Fr. 4'600.--;
ab 1. Januar 2011 Fr. 2'900.--;
ab 1. Januar 2013 bis zum Erreichen des ordentlichen Pensionsalters der Beschwerdegegnerin Fr. 2'400.--.

C.
Mit Beschwerde vom 8. Juni 2009 beantragt der Beschwerdeführer dem Bundesgericht, er sei in teilweiser Aufhebung von Ziff. 3 des obergerichtlichen Urteils zur Leistung folgender persönlicher monatlicher Unterhaltsbeiträge an die Beschwerdegegnerin zu verpflichten:
ab Rechtskraft des Scheidungsurteils Fr. 6'100.--;
ab 1. Oktober 2009 Fr. 4'411.--;
ab 1. Januar 2011 Fr. 2'424.--;
ab 1. Dezember 2012 bis zum Erreichen des ordentlichen Pensionsalters der Beschwerdegegnerin Fr. 1'924.--.

D.
Mit Verfügung vom 23. Juni 2009 wurde der Beschwerde die aufschiebende Wirkung im Sinne der Erwägungen zuerkannt.

Die Beschwerdegegnerin schliesst in ihrer Vernehmlassung vom 26. Oktober 2009 auf Abweisung der Beschwerde, eventualiter auf Festlegung folgender persönlicher monatlicher Unterhaltsbeiträge:
ab Rechtskraft des Scheidungsurteils Fr. 6'708.--;
ab 1. Oktober 2009 Fr. 4'919.--;
ab 1. Januar 2011 Fr. 2'759.--;
ab 1. Januar 2013 bis zum Erreichen ihres ordentlichen Pensionsalters Fr. 2'197.--.
Das Obergericht hat in der Sache keine Vernehmlassung eingereicht.

Erwägungen:

1.
1.1 Angefochten ist ein kantonaler Entscheid, welcher eine Scheidungssache, somit eine Zivilsache, betrifft (Art. 72 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
BGG) und einen Endentscheid darstellt (Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG). Wie schon unter der Herrschaft des Bundesrechtspflegegesetzes gelten familienrechtliche Klagen mit den finanziellen Nebenfolgen als nicht vermögensrechtliche Streitigkeiten, wenn die Regelung dieser Folgen notwendiger Bestandteil des Entscheides über die nicht vermögensrechtliche Streitigkeit ist (Urteil 5A 108/2007 vom 11. Mai 2007 E. 1.2 mit Hinweis). Waren allerdings - wie vorliegend - nur die finanziellen Nebenfolgen umstritten, handelt es sich um eine vermögensrechtliche Streitigkeit. Vorliegend ist der gemäss Art. 74 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
BGG erforderliche Streitwert von Fr. 30'000.-- ohne weiteres gegeben.

1.2 Die Beschwerde in Zivilsachen ist zulässig gegen Entscheide letzter kantonaler Instanzen (Art. 75 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
BGG).
1.2.1 Nach § 281 der Zivilprozessordnung des Kantons Zürich vom 13. Juni 1976 (ZPO/ZH; LS 271) kann gegen Vor-, Teil- und Endentscheide sowie gegen Rekursentscheide und Rückweisungen im Berufungsverfahren Nichtigkeitsbeschwerde erhoben werden, wenn geltend gemacht wird, der angefochtene Entscheid beruhe zum Nachteil des Nichtigkeitsklägers auf einer Verletzung eines wesentlichen Verfahrensgrundsatzes (Ziff. 1), auf einer aktenwidrigen oder willkürlichen tatsächlichen Annahme (Ziff. 2) oder auf einer Verletzung klaren materiellen Rechts (Ziff. 3). Ausgeschlossen ist die Nichtigkeitsbeschwerde, wenn das Bundesgericht einen Mangel frei überprüfen kann, wobei sie stets zulässig ist, wenn eine Verletzung von Art. 8
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
, 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
, 29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
oder 30 BV oder von Art. 6
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
1    Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
2    Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
3    Tout accusé a droit notamment à:
a  être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
b  disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
c  se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
d  interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
e  se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
EMRK geltend gemacht wird (§ 285 Abs. 2 ZPO/ZH; Urteil 4A 22/2008 vom 10. April 2008 E. 1; vgl. auch BGE 133 III 585 E. 3.2 S. 587 mit Hinweis).
1.2.2 Das angefochtene Urteil des Obergerichts stellt daher insoweit keinen kantonal letztinstanzlichen Entscheid dar, als geltend gemacht wird, das Obergericht habe darin willkürliche tatsächliche Feststellungen getroffen (BGE 133 III 585 E. 3.4 S. 588; Urteil 4A 22/2008 vom 10. April 2008 E. 1). Soweit sich der Beschwerdeführer gegen den vorinstanzlich festgestellten Sachverhalt wendet, kann auf die Beschwerde mangels Letztinstanzlichkeit des angefochtenen Entscheids nicht eingetreten werden. Darauf ist bei den einzelnen Rügen zurückzukommen.
1.2.3 Soweit der Beschwerdeführer dagegen die Verletzung von Bundeszivilrecht rügt, ist der Beschluss des Obergerichts ein letztinstanzlicher Entscheid, da das Bundesgericht die entsprechende Rechtsanwendung frei überprüfen kann (Urteile 5A 616/2009 vom 9. November 2009 E. 1.2; 4A 22/2008 vom 10. April 2008 E. 1; 5A 141/2007 vom 21. Dezember 2007 E. 2.4). Insoweit ist auf die Beschwerde einzutreten.

2.
Ist einem Ehegatten nicht zuzumuten, dass er für den ihm gebührenden Unterhalt unter Einschluss einer angemessenen Altersvorsorge selbst aufkommt, so hat ihm der andere gemäss Art. 125 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB einen angemessenen Beitrag zu leisten.

3.
Nicht strittig ist das vom Obergericht festgelegte hypothetische Einkommen der Beschwerdegegnerin sowie die Berechnung ihres Bedarfs.

3.1 So führte das Obergericht aus, der Beschwerdegegnerin sei ab 1. Oktober 2009 eine Erwerbstätigkeit im Umfang von 50 % zuzumuten, und ermittelte ein hypothetisches Einkommen von netto Fr. 1'500.-- pro Monat (inkl. 13. Monatslohn). Ab 1. Januar 2011 sei ihr eine Vollzeitstelle zu einem Lohn von netto Fr. 3'200.-- pro Monat (inkl. 13. Monatslohn) anzurechnen.

3.2 Sodann ging das Obergericht von einem Bedarf der Beschwerdegegnerin (inkl. Kosten für die Tochter Y.________) von Fr. 6'738.-- aus (Grundbetrag Beschwerdegegnerin Fr. 1'100.--, Grundbetrag Y.________ Fr. 500.--, Miete Fr. 2'178.--, Radio/ TV/Telefon Fr. 200.--, Krankenkasse Beschwerdegegnerin Fr. 331.--, Krankenkasse Y.________ Fr. 86.--, Selbstbehalt/Franchise Fr. 45.--, Haftpflicht/ Hausrat Fr. 38.--, Ausbildung Y.________ Fr. 240.--, Steuern Fr. 700.--, Fahrzeug Fr. 400.--, Ferien Fr. 400.--, Mehrbedarf Kleider/Coiffeur Fr. 200.--, Freizeit/Haustiere Fr. 320.--). Den darauf entfallenden persönlichen Bedarf der Beschwerdeführerin (ohne Vorsorgedefizit) bezifferte es mit Fr. 5'200.--.

4.
Strittig ist hingegen die Bemessung des sog. Vorsorgeunterhalts durch das Obergericht. Dieses sprach der Beschwerdegegnerin zusätzlich zum oben genannten Bedarf (s. oben, E. 3.2) Kosten für den Aufbau einer angemessenen Altersvorsorge nach folgender Berechnungsmethode zu:

4.1 Das Obergericht hielt fest, dass die Leistungen aus der 1. und 2. Säule zusammen ungefähr 60 % des Brutto- bzw. 70 % des Nettoeinkommens ausmachen sollten. Ausgehend vom gebührenden Unterhalt der Beschwerdegegnerin von derzeit Fr. 5'200.-- (ohne Vorsorgedefizit) und entsprechenden Einkünften aus Alimentenleistungen und Eigenverdienst ergebe dies somit ein Rentenziel von mindestens Fr. 3'640.--.
In der Regel stünden den Rentnern, welche wie vorliegend in gehobenen Verhältnissen gelebt hätten, daneben noch weitere Ersparnisse und Vermögenswerte, wie Versicherungen, Säule 3a, Liegenschaften etc., zur Verfügung, sodass ein höherer Bedarf abgedeckt werden könne. Während sich gewisse Ausgabenpositionen im Alter reduzierten, nähmen dafür andere Ausgaben - etwa für Gesundheitskosten - zu. Daher erscheine der von der Beschwerdegegnerin auf Fr. 4'500.-- bezifferte Betrag angemessen.

4.2 Das Obergericht ging weiter davon aus, dass die Beschwerdegegnerin aufgrund ihrer Beitragslücken bei den AHV-Zahlungen von elf Jahren eine Altersrente der 1. Säule von Fr. 1'637.-- erhalten werde.

Ausserdem erwog das Obergericht, dass die Beschwerdegegnerin nach der Teilung der Austrittsleistung des Beschwerdeführers ein Alterskapital von ca. Fr. 177'000.-- zugute haben werde, welches verzinst bis zu ihrem Eintritt in das Rentenalter auf rund Fr. 230'000.-- anwachsen dürfte. Aus dem güterrechtlichen Ausgleich zwischen den Parteien habe sie eine Zahlung von Fr. 25'000.-- auf ein gebundenes Konto der Säule 3a erhalten, welches bei der Berechnung ihrer Altersvorsorge ebenfalls zu berücksichtigen sei und unter Einbezug der Zinsen bis zum Eintritt in das Rentenalter ca. Fr. 35'000.-- ergeben dürfte. Damit sei von einem bis zum Rentenalter der Beschwerdegegnerin aufgezinsten Alterskapital von ca. Fr. 265'000.-- auszugehen. Ausserdem ergäben sich aus dem der Beschwerdegegnerin anzurechnenden hypothetischen Einkommen von Fr. 20'995.-- jährliche Altersgutschriften bis zum Alter von 54 Jahren von je Fr. 3'149.25 (insgesamt rund Fr. 15'750.--) und danach von je Fr. 3'779.10 (insgesamt rund Fr. 37'800.--), sodass die Beschwerdegegnerin unter Berücksichtigung der Verzinsung ein Alterskapital von knapp Fr. 60'000.-- aus ihrer Erwerbstätigkeit ansparen könne. Letztlich resultiere aus der 2. Säule und Säule 3a ein Kapitalbetrag von etwas
weniger als Fr. 325'000.--, was bei einem Umwandlungssatz von 6,8 % eine Jahresrente von ca. 22'100.-- bzw. eine Monatsrente von ca. Fr. 1'840.-- ergebe.

4.3 Damit kam das Obergericht zum Schluss, die Beschwerdegegnerin könnte nach ihrem Eintritt ins Rentenalter zusammen mit der AHV-Rente mit Einkünften von Fr. 3'500.-- rechnen. Zur Deckung des gebührenden Unterhalts fehlten ihr monatlich ca. Fr. 1'000.--. Um einen Betrag in dieser Höhe generieren zu können, müsste sie über ein Kapital von weiteren rund Fr. 177'000.-- verfügen können (Fr. 1'000.-- : 6,8 x 100 x 12). Da jedoch über den Zeitraum von 16 Jahren, in welchem dieses Kapital angespart werde, eine gewisse Aufzinsung einzurechnen wäre, rechtfertige es sich, von einem Fehlbetrag von rund Fr. 900.-- pro Monat auszugehen. Dieser Betrag sei zum für den laufenden Bedarf berechneten gebührenden Unterhalt zu zählen, weshalb sich dieser für die Beschwerdegegnerin persönlich bis zum Eintritt ins Rentenalter auf rund Fr. 6'100.-- erhöhe.

Nach Erreichen des zwanzigsten Altersjahrs der Tochter Y.________ im November 2012 würden der Beschwerdeführerin tiefere Wohnkosten anfallen, weshalb sich ihr Bedarf ab diesem Zeitpunkt um Fr. 500.-- verringern und damit lediglich noch Fr. 5'600.-- (inkl. Vorsorgedefizit) betragen werde.

Unter Berücksichtigung des der Beschwerdegegnerin anzurechnenden hypothetischen Einkommens (s. oben, E. 3.1) ergebe sich somit eine Pflicht des Beschwerdeführers zur Leistung von Unterhaltsbeiträgen von Fr. 6'100.-- bis Ende September 2009, von Fr. 4'600.-- bis Ende 2010, von Fr. 2'900.-- bis Ende 2012 und von Fr. 2'400.-- bis zum Erreichen des ordentlichen Pensionsalters der Beschwerdegegnerin.

5.
5.1 Nach geltendem Scheidungsrecht wird durch die Teilung der Austrittsleistungen der beruflichen Vorsorge und mit dem Splitting und den Betreuungsgutschriften im Rahmen der AHV die Altersvorsorge für die Zeit bis zur Scheidung geregelt. Bezüglich der Vergangenheit sollte grundsätzlich keine Lücke in der Altersvorsorge mehr bestehen. Der sog. Vorsorgeunterhalt im Sinne von Art. 125 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB betrifft den Ausgleich allfälliger künftiger nachehelicher Einbussen hinsichtlich der Altersvorsorge, etwa wenn ein Ehegatte aufgrund der Kinderbetreuung, der Gesundheit oder seines Alters in den Jahren nach der Scheidung keiner oder nur einer beschränkten Erwerbstätigkeit wird nachgehen und deshalb auch nicht die vollen Beiträge in die eigene Altersvorsorge wird einbezahlen können (GLOOR/SPYCHER, in: Basler Kommentar, Zivilgesetzbuch I, 3. Aufl. 2006, N. 4 zu Art. 125
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB; BGE 135 III 158 E. 4.1 S. 159 mit Hinweisen).

5.2 Ausgangspunkt des nachehelichen Unterhalts ist der Schaden, der dadurch entsteht, dass die Versorgung der Ehegatten und der Kinder nicht mehr durch das einträchtige Zusammenwirken von Mann und Frau im gemeinsamen Haushalt gesichert ist (BGE 135 III 158 E. 4.3 S. 160; 115 II 6 E. 3 S. 8 f.). Der gebührende Unterhalt knüpft an die Lebensverhältnisse der Parteien an, und zwar bei sog. lebensprägenden Ehen an den in der Ehe zuletzt gemeinsam gelebten Standard (zuzüglich scheidungsbedingter Mehrkosten), auf dessen Fortführung bei genügenden Mitteln beide Teile Anspruch haben, der aber gleichzeitig auch die Obergrenze des gebührenden Unterhalts bildet (BGE 134 III 145 E. 4 S. 146), bei anderen Ehen (z.B. sog. Kurzehen) hingegen an die vorehelichen wirtschaftlichen Verhältnisse (Urteil 5C.169/2006 vom 13. September 2006 E. 2.4, in: FamPra.ch 2007 S. 147). Unter diesem Blickwinkel erscheint es als folgerichtig, der Bemessung der Altersvorsorge die für die Ehegatten massgebende Lebenshaltung zugrunde zu legen.

5.3 Anders als bei der Teilung der in der Vergangenheit während der Ehe erworbenen beruflichen Vorsorge (Art. 122
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 122 - Les prétentions de prévoyance professionnelle acquises durant le mariage et jusqu'à l'introduction de la procédure de divorce sont partagées entre les époux.
ZGB) geht es bei der unterhaltsrechtlichen Altersvorsorge nicht um eine rein rechnerische Aufgabe, sondern um die Beurteilung der künftigen, allenfalls nur beschränkt vorhersehbaren Entwicklung der Lebensverhältnisse (BGE 135 III 158 E. 4.4 S. 161). Vereinfachungen sind notwendig und zulässig. Es bleibt eine Ermessensfrage, die das Sachgericht unter Berücksichtigung sämtlicher Umstände des konkreten Einzelfalls nach Recht und Billigkeit zu beantworten hat.

6.
Der Beschwerdeführer macht zur Hauptsache geltend, das Obergericht habe den Vorsorgeunterhalt nicht nach der Berechnungsmethode gemäss BGE 135 III 158 E. 4.4 S. 160 f. festgelegt.

6.1 Indes ergibt sich aus diesem Entscheid, dass die Anwendung anderer Berechnungsmethoden als der dort verwendeten für die Festlegung des Vorsorgeanteils nicht ausgeschlossen ist (Urteile 5A 615/2009 vom 20. Januar 2010 E. 6.3; 5A 749/2009 vom 15. Januar 2010 E. 5.2). Den Gerichten kommt weiterhin - auch im Bereich des Vorsorgeunterhalts - ein weites Ermessen zu, da sich die Festsetzung des Vorsorgebetrags - wie auch die Festsetzung des nachehelichen Unterhalts allgemein - einer exakten mathematischen Berechnung entzieht (Urteil 5A 441/2008 vom 29. Dezember 2008 E. 4.5 mit Hinweisen; s. oben, E. 5.3). So hat das Bundesgericht im - vor BGE 135 III 158 ergangenen - Urteil 5C.43/2006 vom 8. Juni 2006 E. 5.3, nicht publ. in: BGE 132 III 593, auf welches das Obergericht ebenfalls hingewiesen hat, das Abstellen auf ein Rentenziel von 70 % des gebührenden Unterhalts als nicht unangemessen bezeichnet (vgl. dazu Myriam Grütter, Vorsorgeausgleich bei Scheidung, FamPra.ch 2006 S. 806 f.).

6.2 Ausserdem hat das Obergericht der Bemessung der Altersvorsorge die für die Beschwerdegegnerin massgebende Lebenshaltung zugrunde gelegt (s. oben, E. 5.2 in fine), indem es auf ihren gebührenden Unterhalt von derzeit Fr. 5'200.-- (ohne Vorsorgedefizit) abgestellt, ein Rentenziel von 70 % dieses Betrags, somit von Fr. 3'640.--, ermittelt und dieses im Hinblick auf die zu erwartende Zunahme gewisser Ausgabenpositionen im Alter auf Fr. 4'500.-- erhöht hat (s. oben, E. 4.1). Insofern hat es den in BGE 135 III 158 E. 4.3 S. 160 festgehaltenen Grundsätzen Rechnung getragen.

6.3 Soweit sich der Beschwerdeführer somit gegen die obergerichtliche Berechnungsmethode als solche wendet, ist die Beschwerde unbegründet.

7.
7.1 Was die einzelnen Positionen in der obergerichtlichen Berechnung betrifft, rügt der Beschwerdeführer zunächst, die Vorinstanz habe das Rentenziel von Fr. 3'640.-- zu Unrecht auf Fr. 4'500.-- erhöht. Er wendet sich gegen das obergerichtliche Argument der üblicherweise vorhandenen Rückgriffsmöglichkeit auf weitere Ersparnisse und Vermögenswerte, wie Versicherungen, Säule 3a, Liegenschaften etc. zur Deckung eines erhöhten Bedarfs (s. oben, E. 4.1) und macht geltend, die Parteien hätten nach über 16-jähriger Ehe lediglich Fr. 150'000.-- gespart, sodass ihnen, auch wenn sie verheiratet geblieben wären, keine nennenswerten Vermögenswerte zur Verfügung gestanden hätten. Die zusätzliche Berücksichtigung einer Sparquote widerspreche dem Grundsatz, dass entsprechende Ersparnisse im Rahmen einer Scheidung unter dem Titel Güterrecht zu behandeln seien und die Sparquote unterhaltsrechtlich nicht mehr geteilt werden dürfe.

7.2 Diesbezüglich richtet sich der Beschwerdeführer im Wesentlichen gegen die vorinstanzliche Feststellung des Sachverhalts, insbesondere die Ermittlung eines erhöhten Bedarfs der Beschwerdegegnerin im Alter sowie deren Möglichkeit, ihn mit erspartem Vermögen zu decken. Insoweit ist auf die Beschwerde mangels Letztinstanzlichkeit nicht einzutreten (s. oben, E. 1.2.2).

8.
8.1 Sodann rügt der Beschwerdeführer, dass der obergerichtliche Entscheid selbst bei Annahme eines anzusparenden Kapitals von Fr. 177'000.-- und einer Unterhaltspflicht von 16 Jahren (s. oben, E. 4.3) einen Rechnungsfehler aufweise: So seien bei einem durchschnittlichen Zinssatz gemäss BVG von 2,25 % vorschüssige Beträge von Fr. 9'108.-- pro Jahr bzw. Fr. 759.-- (und nicht Fr. 900.--) pro Monat zu leisten.

8.2 Was die Frage der Verzinsung und deren Höhe betrifft, stützt sich der Beschwerdeführer auf Umstände, die sich aus dem angefochtenen Entscheid nicht ergeben. Auf diese Rüge ist, soweit sie tatsächlicher Natur ist, mangels Letztinstanzlichkeit nicht einzutreten (s. oben, E. 1.2.2).

Soweit sich der Beschwerdeführer gegen die vorinstanzliche Berechnungsmethode richtet, ist ihm entgegenzuhalten, dass der Sachrichter über einen Ermessensspielraum verfügt sowie dass Vereinfachungen notwendig und zulässig sind, zumal eine künftige, nur beschränkt vorhersehbare Entwicklung der Lebensverhältnisse zur Beurteilung steht (s. oben, E. 5.3 und 6.1), sodass die Vorinstanz kein Bundesrecht verletzt hat, wenn sie den Fehlbetrag unter Berücksichtigung einer gewissen Aufzinsung auf Fr. 900.-- pro Monat beziffert und nicht wie der Beschwerdeführer auf den Zinssatz gemäss BVG abgestellt hat. Insoweit erweist sich die Beschwerde als unbegründet und ist sie abzuweisen.

9.
9.1 Schliesslich bringt der Beschwerdeführer vor, dass bei ihm lediglich ein Lohn von Fr. 114'200.-- BVG-versichert sei. Die Altersgutschriften zu seinen Gunsten betrügen jährlich Fr. 15'987.60. Wären die Parteien verheiratet geblieben, so wäre faktisch die Hälfte dieser Altersgutschriften, d.h. rund Fr. 8'000.-- pro Jahr bzw. Fr. 666.66 pro Monat, der Beschwerdegegnerin zugekommen.
Zu berücksichtigen sei ferner, dass die Beschwerdegegnerin ab Oktober 2009 ein eigenes Einkommen erzielen werde. Bis Ende 2010 würden auf ein Einkommen von Fr. 727.-- BVG-Beiträge von 15 %, somit von Fr. 109.-- pro Monat entrichtet. Ab 2011 sei von einem BVG-relevanten Einkommen von Fr. 1'605.-- auszugehen, was bei einem durchschnittlichen Beitragssatz von 17 % zu Beiträgen in der Höhe von Fr. 273.-- pro Monat führe.
Damit betrage der dem nachehelichen Unterhalt zugrunde liegende Schaden bzw. der entsprechende Vorsorgeunterhalt bis und mit September 2009 Fr. 666.66 pro Monat, von Oktober 2009 bis Ende 2010 Fr. 557.66 (Fr. 666.66 abzüglich Fr. 109.--) und ab 2011 Fr. 393.66 (Fr. 666.66 abzüglich Fr. 273.--).

9.2 Soweit sich der Beschwerdeführer in diesem Zusammenhang gegen den vorinstanzlich festgestellten Sachverhalt wendet, ist auf diese Rüge ebenfalls mangels Letztinstanzlichkeit nicht einzutreten (s. oben, E. 1.2.2).

Zudem legt der Beschwerdeführer der Berechnung des Vorsorgeunterhalts eine Methode zugrunde, die nicht nur von der vorinstanzlichen, im richterlichem Ermessen liegenden (s. oben, E. 6.1 f.) Methode abweicht, sondern auch dem Grundgedanken des Vorsorgeunterhalts - dem Ausgleich nur beschränkt möglicher Beitragsleistungen an die Altersvorsorge (s. oben, E. 5.1) - zuwiderläuft. Insofern erweist sich die Beschwerde als unbegründet.

10.
Zusammenfassend ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Verfahrensausgang wird der Beschwerdeführer kosten- und entschädigungspflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
, Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und Abs. 2 BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegnerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 3'000.-- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 8. März 2010
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Der Gerichtsschreiber:

Hohl Rapp
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 5A_395/2009
Date : 08 mars 2010
Publié : 26 mars 2010
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de la famille
Objet : Ehescheidung


Répertoire des lois
CC: 122 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 122 - Les prétentions de prévoyance professionnelle acquises durant le mariage et jusqu'à l'introduction de la procédure de divorce sont partagées entre les époux.
125
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
CEDH: 6
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
1    Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
2    Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
3    Tout accusé a droit notamment à:
a  être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
b  disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
c  se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
d  interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
e  se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
Cst: 8 
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
9 
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
72 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
74 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
75 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
Répertoire ATF
115-II-6 • 132-III-593 • 133-III-585 • 134-III-145 • 135-III-158
Weitere Urteile ab 2000
4A_22/2008 • 5A_108/2007 • 5A_141/2007 • 5A_395/2009 • 5A_441/2008 • 5A_615/2009 • 5A_616/2009 • 5A_749/2009 • 5C.169/2006 • 5C.43/2006
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
mois • tribunal fédéral • autorité inférieure • conjoint • mariage • âge donnant droit à la rente • jugement de divorce • revenu hypothétique • calcul • bonification de vieillesse • état de fait • pouvoir d'appréciation • dommage • prévoyance professionnelle • couverture • décision • greffier • salaire • décision finale • obligation d'entretien
... Les montrer tous
FamPra
2006 S.806 • 2007 S.147