Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

9C 769/2020

Urteil vom 8. Februar 2021

II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Parrino, Präsident,
Bundesrichter Stadelmann, Bundesrichterin Glanzmann,
Gerichtsschreiberin Fleischanderl.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Prof. Dr. Ueli Kieser,
Beschwerdeführer,

gegen

IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente; Valideneinkommen),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 13. Oktober 2020 (IV.2019.00811).

Sachverhalt:

A.
Der 1985 geborene A.________ meldete sich im August 2018 unter Hinweis auf eine Schizophrenie bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich nahm in der Folge Abklärungen medizinischer und beruflich-erwerblicher Art vor; sie holte u.a. einen Bericht des behandelnden Arztes Dr. med. B.________, FMH Psychiatrie und Psychotherapie, vom 18. September 2018 ein, veranlasste ein Gutachten durch Prof. Dr. med. C.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, sowie Dr. phil. D.________, Neuropsychologin, welches am 25. Januar 2019 verfasst wurde, ersuchte ihren Regionalen Ärztlichen Dienst (RAD) um Stellungnahmen (vom 5. Oktober 2018 und 6. Februar 2019) und zog einen Auszug aus dem Individuellen Konto (IK) vom 3. September 2018 bei. Gestützt darauf stellte sie im Rahmen des Vorbescheidverfahrens die Ablehnung des Rentenbegehrens mangels anspruchsbegründender Invalidität in Aussicht. Am 29. Oktober 2019 verfügte sie, nachdem A.________ sich unter Auflegung eines weiteren Berichts des Dr. med. B.________ vom 11. Juni 2019 zur Sache geäussert hatte, in angekündigtem Sinne.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 13. Oktober 2020 ab.

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, in Aufhebung des angefochtenen Entscheids sei ihm ab 1. Februar 2019 eine ganze Invalidenrente zuzusprechen; eventualiter sei die Sache zur erneuten Entscheidung an die Vorinstanz respektive die IV-Stelle zurückzuweisen.

Erwägungen:

1.

1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
BGG). Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
BGG). Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
BGG).

1.2. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Indes prüft es, unter Berücksichtigung der allgemeinen Begründungspflicht der Beschwerde (vgl. Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen, sofern die rechtlichen Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 141 V 234 E. 1 S. 236).

2.

2.1. Streitgegenstand bildet die Frage, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie dem Beschwerdeführer eine rentenbegründende Invalidität abgesprochen und damit die Verfügung der Beschwerdegegnerin vom 29. Oktober 2019 bestätigt hat.
Einigkeit besteht unter den Verfahrensbeteiligten dahingehend, dass der Versicherte auch in einer leidensadaptierten Tätigkeit nurmehr im Umfang von 30 % arbeitsfähig ist. Ebenfalls zu keinen Beanstandungen Anlass gibt ferner die Feststellung im angefochtenen Entscheid, wonach das dem Einkommensvergleich zugrunde zu legende Einkommen, das der Beschwerdeführer trotz gesundheitlicher Einschränkungen zumutbarerweise noch erzielen könnte (Invalideneinkommen), auf Fr. 16'888.80 festzusetzen sei. Da keine Hinweise für eine offensichtliche Fehlerhaftigkeit ersichtlich sind, kann darauf abgestellt werden.

2.2. Im Folgenden zu prüfen ist die Rechtmässigkeit des vorinstanzlich ermittelten Einkommens, das der Versicherte im Gesundheitsfall zu erwirtschaften in der Lage gewesen wäre (Valideneinkommen). Die diesbezüglich massgeblichen Rechtsgrundlagen (insbesondere zur Invaliditätsbemessung nach der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs, namentlich bei Selbstständigerwerbenden [Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG; BGE 135 V 58 E. 3.4.6 f. S. 64 f.; 130 V 343 E. 3.4.2 S. 349; 128 V 29 E. 1 S. 30 f.; Urteil 8C 626/2011 vom 29. März 2012 E. 4 mit Hinweisen]), wurden vom kantonalen Gericht zutreffend dargelegt. Auf die betreffenden Ausführungen wird verwiesen.

3.

3.1. Die Vorinstanz erwog, der Beschwerdeführer sei ab 2010 als Selbstständigerwerbender erfasst gewesen, habe daneben aber jeweils noch ein niedriges Pensum bei wechselnden Arbeitgebern verrichtet. In den Jahren 2010 bis 2017 habe er so gemäss IK-Auszug vom 3. September 2018 Einkommen zwischen Fr. 16'095.- (2011) und Fr. 4469.- (2017) generiert. Trotz dieses konstant tiefen Verdienstes sei nicht ersichtlich, dass der Versicherte, nachdem er vom 1. August 2003 bis 31. Juli 2009 erfolgreich ein Musikstudium absolviert und abgeschlossen habe, seine selbstständige Tätigkeit als Posaunist/Musiker ohne gesundheitliche Beeinträchtigungen zugunsten einer besser entlöhnten Tätigkeit aufgegeben oder zusätzlich in höherem Umfang eine Nebenbeschäftigung aufgenommen hätte. Zwar habe er anlässlich der Abklärung für Selbstständigerwerbende angegeben, er hätte bei guter Gesundheit eventuell vermehrt unterrichtet. Bemühungen, sein Pensum als Musiklehrer auszudehnen, seien jedoch während der jahrelangen Selbstständigkeitsphase nicht erkennbar; es erscheine daher nicht nahe liegend, dass er im Gesundheitsfall einen deutlich höheren Verdienst erzielt hätte. Ebenso wenig ergäben sich auf Grund der Einkommensentwicklung während der Jahre der
Selbstständigkeit Hinweise darauf, dass er sein Einkommen aus der Tätigkeit als Musiker bei intakten gesundheitlichen Verhältnissen erheblich gesteigert hätte. Da der Versicherte sich erstmals im November 2014 in psychiatrische Behandlung begeben habe, existierten keine echtzeitlichen Atteste hinsichtlich früherer Arbeitsunfähigkeiten. Soweit der behandelnde Psychiater in seinem Bericht vom 18. September 2018 eine durchgehende 70 %ige Arbeitsunfähigkeit seit 2010 bescheinige, basiere diese Einschätzung nicht auf damaligen Beobachtungen, sondern lediglich auf Schilderungen des Patienten selber. Dies genüge nicht, um bereits von einer ab 2010 bestehenden gesundheitlich bedingten relevanten Einschränkung des Leistungsvermögens auszugehen, zumal es dem Beschwerdeführer möglich gewesen sei, 2009 sein Musikstudium mit Erfolg abzuschliessen, sich hernach als frei schaffender Posaunist zu betätigen und in mehreren eigenen sowie anderen Grossbands zu spielen. Es sei somit - jedenfalls für die Jahre 2010 bis 2014 - nicht rechtsgenüglich ausgewiesen, dass der Versicherte nur aus gesundheitlichen Gründen ein unterdurchschnittliches Einkommen habe erzielen können. Es spreche demnach - so das kantonale Gericht abschliessend - nichts dagegen,
für die Bestimmung des Valideneinkommens auf den durch den Beschwerdeführer in den betreffenden Jahren durchschnittlich erwirtschafteten Verdienst abzustellen. Namentlich bestehe kein Anlass, das Valideneinkommen auf der Basis von Tabellenlöhnen zu ermitteln. Im Vergleich zum Invalideneinkommen im Betrag von Fr. 16'888.80 ergebe sich mithin keine rentenbegründende Invalidität.

3.2. Der Beschwerdeführer wendet im Wesentlichen ein, es sei ihm auf Grund seiner psychischen Verfassung zu keiner Zeit möglich gewesen, seine Arbeitsfähigkeit im ersten Arbeitsmarkt besser einzusetzen, als er dies in der Vergangenheit getan habe. Insbesondere habe er sich, wie von Dr. med. B.________ ausdrücklich bescheinigt, wegen seiner Gesundheitsprobleme schon vor 2014 trotz vielfältiger Bemühungen seinerseits und seiner Eltern ausserstande gesehen, sich in einem strukturierten Betrieb zu integrieren. Die Annahme der Vorinstanz, er habe sich aus freien Stücken mit einem sehr tiefen Einkommen begnügt, verletze daher Bundesrecht. Vielmehr sei auf lohnstatistische Erhebungen im Rahmen des Mittelwerts einer unselbstständigen Erwerbstätigkeit oder aber auf Erfahrungswerte bezüglich eines Verdienstes abzustellen, welchen ausgebildete Berufsmusiker in den ersten Jahren nach ihrem Studium üblicherweise erzielten.

3.3. Bei den vorinstanzlichen Feststellungen zur mutmasslichen Berufskarriere handelt es sich um eine Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe. Dabei geht es um eine für das Bundesgericht grundsätzlich verbindliche Tatfrage (E. 1 hiervor), soweit sie - wie hier - auf Beweiswürdigung beruht, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung mitberücksichtigt werden (BGE 115 II 440 E. 5b S. 448 f.; Urteil 8C 838/2017 vom 18. Mai 2018 E. 3). Zu beachten ist, dass bei der Bestimmung des Valideneinkommens grundsätzlich darauf abzustellen ist, was die versicherte Person im massgebenden Zeitpunkt als Gesunde tatsächlich verdienen würde und nicht, was sie als voll Erwerbstätige bestenfalls verdienen könnte (BGE 135 V 58 E. 3.1 S. 59; Urteil 8C 139/2020 vom 30. Juli 2020 E. 5.3.2 mit Hinweisen).

3.3.1. Es ist nicht ersichtlich, dass die kantonalgerichtliche Festlegung des Valideneinkommens auf einer offensichtlich unrichtigen Sachverhaltsfeststellung oder willkürlichen Beweiswürdigung beruht. So gab der Beschwerdeführer gemäss IV-Abklärungsbericht vom 20. März 2019 an, dass er auch im Gesundheitsfall weitergemacht hätte wie bisher. Er hätte seine musikalische Tätigkeit fortgeführt und eventuell zusätzlich unterrichtet. Es kann daher mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit davon ausgegangen werden, dass sich der Versicherte ohne gesundheitliche Beeinträchtigungen ebenfalls auf die Musik konzentriert und sich sein Einkommen aus einer Kombination von Auftritten und Unterricht an einer Musikschule zusammengesetzt hätte. Da das Einkommen in der Musikbranche weitverbreitet und im Tätigkeitsbereich des Beschwerdeführers im Speziellen (Jazz-Posaunist) vergleichsweise niedrig ist, kann zudem davon ausgegangen werden, dass er sich - wie 2018/19 in einer Imbissbude - einen Nebenjob gesucht hätte, um seinen Verdienst aufzubessern.
Ferner ergeben sich auf Grund der vorhandenen medizinischen Akten, wie im angefochtenen Entscheid einlässlich aufgezeigt, keine Anhaltspunkte, dass der Versicherte bereits unmittelbar nach Abschluss seines, soweit erkennbar ohne grössere Probleme gemeisterten Musikstudiums ab 2010 in einem Mass gesundheitlich beeinträchtigt gewesen wäre, das es ihm nicht erlaubt hätte, dem beschriebenen beruflichen Profil zumindest bis 2014 (Beginn der Therapie bei Dr. med. B.________) nachzuleben. Allein die - retrospektiv und einzig basierend auf der Darstellung des Patienten erfolgte - Einschätzung des behandelnden Psychiaters, wonach bereits seit 2010 eine Verminderung der Leistungsfähigkeit von 70 % bestanden (Bericht vom 18. September 2018) respektive der Versicherte infolge seiner Erkrankung nie eine höhere Arbeitsleistung habe erbringen können (Bericht vom 11. Juni 2019), lässt jedenfalls keine anderweitige Schlussfolgerung zu. Vielmehr vermerkten Prof. Dr. med. C.________ und Dr. phil. D.________ in ihrem - vom RAD bestätigten und vorinstanzlich zu Recht als beweiskräftig eingestuften - Gutachten vom 25. Januar 2019, dass die Ersterkrankung in Form eines schizophrenen Residuums 2017 begonnen habe mit entsprechenden Vorläufern seit etwa
2014. An diesem Ergebnis vermögen die Ausführungen des Beschwerdeführers zum mehrjährigen Frühverlauf der Schizophrenie zwischen erstmaligen Positivsymptomen und akuter psychotischer Episode infolge ihres allgemeinen Charakters nichts zu ändern, zumal diese Aspekte, wie in der Beschwerde selber eingeräumt wird, nicht auf sämtliche Fälle zutreffen. Ebenso wenig sind gesicherte Anhaltspunkte zu Beginn und Höhe einer eingeschränkten Arbeitsfähigkeit für die Zeit vor Therapiebeginn im Jahr 2014 aus den in den Erläuterungen des Dr. med. B.________ vom 18. September 2018 wiedergegebenen Beobachtungen der Eltern auszumachen, gemäss welchen der Versicherte "immer eigenartiger wurde und depressiv wirkte, sich immer schwerer tat, seine Band zu führen, und er sich auch vermehrt von sozialen Kontakten zurückzog". Da überdies auch von weiteren medizinischen Abklärungen keine besseren Erkenntnisse zu erwarten sind, erübrigt sich die in dieser Hinsicht eventualiter beantragte Rückweisung der Angelegenheit an die Vorinstanz bzw. die Beschwerdegegnerin (antizipierte Beweiswürdigung: BGE 136 I 229 E. 5.3 S. 236; Urteil 8C 590/2015 vom 24. November 2015 E. 6, nicht publ. in: BGE 141 V 585, aber in: SVR 2016 IV Nr. 33 S. 102). Eine Verletzung des
Untersuchungsgrundsatzes oder des Anspruchs auf rechtliches Gehör liegt nicht vor.

3.3.2. Es kann daher zusammengefasst mit dem kantonalen Gericht als erwiesen angenommen werden, dass der Beschwerdeführer im Zeitraum von 2010 bis jedenfalls 2013 in der Lage war, sein Einkommen noch weitgehend unversehrt zu erwirtschaften. Wird dem massgeblichen Validenverdienst das höchste in dieser Periode erzielte Einkommen von Fr. 16'095.- (2011) zugrunde gelegt und dieses noch um einen wahrscheinlichen Nebenerwerb in der Grössenordnung von Fr. 7000.- - entsprechend den ungefähren Einnahmen des 2018/19 getätigten Nebenjobs in einer Imbissbude - erhöht, resultiert daraus ein Valideneinkommen von Fr. 23'095.-. Dies ergibt im Vergleich zum Invalidenverdienst im Betrag von Fr. 16'888.80 einen Invaliditätsgrad von 27 %.
Ein Rentenanspruch ist folglich nicht ausgewiesen und der vorinstanzliche Entscheid im Ergebnis zu bestätigen.

4.
Der unterliegende Beschwerdeführer hat die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
Satz 1 BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich, I. Kammer, und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 8. Februar 2021

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Parrino

Die Gerichtsschreiberin: Fleischanderl
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_769/2020
Date : 08 février 2021
Publié : 26 février 2021
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : Invalidenversicherung (Invalidenrente; Valideneinkommen)


Répertoire des lois
LPGA: 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
115-II-440 • 128-V-29 • 130-V-343 • 135-V-58 • 136-I-229 • 141-V-234 • 141-V-585
Weitere Urteile ab 2000
8C_139/2020 • 8C_590/2015 • 8C_626/2011 • 8C_838/2017 • 9C_769/2020
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • revenu sans invalidité • tribunal fédéral • musique • office ai • état de fait • psychothérapie • violation du droit • constatation des faits • recours en matière de droit public • frais judiciaires • comparaison des revenus • roue • schizophrénie • patient • revenu d'invalide • début • psychiatrie • d'office • intéressé
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