Tribunal federal
{T 0/2}
6B 417/2007 /hum
Urteil vom 7. Dezember 2007
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Schneider, Präsident,
Bundesrichter Wiprächtiger, Ferrari,
Gerichtsschreiber Briw.
Parteien
X.________,
Beschwerdeführerin, vertreten durch Rechtsanwalt
Kurt Mäder,
gegen
A.________,
Beschwerdegegner, vertreten durch Rechtsanwalt
Dr. Gregor Benisowitsch,
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Postfach, 8090 Zürich.
Gegenstand
Kostenauflage an die Geschädigte,
Beschwerde in Strafsachen gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Strafkammer, vom 19. April 2007 (SB070058/U/jv).
Sachverhalt:
A.
Der Einzelrichter in Strafsachen des Bezirks Zürich hiess mit Verfügung vom 10. März 2006 einen Rekurs der Geschädigten X.________ gegen zwei Einstellungsverfügungen der Staatsanwaltschaft Zürich-Sihl in einer Strafuntersuchung gegen A.________ teilweise gut. In der Folge erhob die Staatsanwaltschaft Anklage wegen Drohung, mehrfach versuchter Körperverletzung und Tätlichkeiten.
Der Einzelrichter in Strafsachen des Bezirks Zürich fand A.________ am 7. September 2006 nicht schuldig und sprach ihn frei. Er trat auf die Zivilforderungen der Geschädigten nicht ein und nahm sämtliche Kosten auf die Gerichtskasse. Er sprach A.________ wegen ungerechtfertigter Haft eine Genugtuung von Fr. 13'900.-- zu und wies dessen Entschädigungsbegehren ab.
Auf Berufung der Geschädigten hin erkannte das Obergericht des Kantons Zürich am 19. April 2007:
1. Der Angeklagte A.________ wird vollumfänglich freigesprochen.
2. Auf die Schadenersatz- und Genutuungsforderung der Geschädigten wird nicht eingetreten.
3. Das erstinstanzliche Kostendispositiv (Ziff. 3 und 4) wird bestätigt.
4. Die zweitinstanzliche Gerichtsgebühr wird festgesetzt auf:
Fr. 2'000.--; die weiteren Kosten betragen:
Fr. 150.-- Vorladungsgebühren
Fr. 16.-- Telefon
Fr. 35.-- Fotokopien
Fr. 3'905.95 amtliche Verteidigung
Fr. 4'653.05 unentgeltliche Geschädigtenvertretung.
5. Die Kosten des Berufungsverfahrens, einschliesslich derjenigen der amtlichen Verteidigung und der unentgeltlichen Geschädigtenvertretung, werden der Geschädigten auferlegt.
6. Dem Angeklagten wird eine Genugtuung von Fr. 13'900.-- aus der Gerichtskasse zugesprochen. Das weitere Schadenersatzbegehren wird abgewiesen.
B.
X.________ erhebt "Beschwerde in Strafsachen bzw. subsidiäre Verfassungsbeschwerde" mit dem Antrag, Ziff. 5 und 6 des obergerichtlichen Urteilsdispositivs aufzuheben und ihr die unentgeltliche Rechtspflege zu gewähren.
Das Bundesgericht zieht in Erwägung:
1.
Die Beschwerdeführerin bezeichnet ihre Eingabe als "Beschwerde bzw. subsidiäre Verfassungsbeschwerde". Die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ist grundsätzlich gegeben, soweit keine ordentliche Beschwerde zulässig ist (Art. 113
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |
1.1 Die Beschwerde in Strafsachen steht gegen "Entscheide in Strafsachen" offen. Dieser Begriff umfasst sämtliche Entscheide, denen materielles Strafrecht oder Strafprozessrecht zugrunde liegt (Botschaft zur Totalrevision der Bundesrechtspflege vom 28. Februar 2001, BBl 2001 4313). Angefochten ist ein Strafurteil, in dem die Beschwerdeführerin als Strafantragstellerin und Geschädigte Partei war. Nach dem Konzept der Einheitsbeschwerde soll der Rechtsmittelweg an das Bundesgericht vom Rechtsgebiet abhängen, auf welches die Streitsache letztlich zurückgeht (Botschaft a.a.O., S. 4235). Damit ist die Beschwerde in Strafsachen gemäss Art. 78 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |
1.2 Hinsichtlich ihrer Legitimation zur Anfechtung von Ziff. 6 des angefochtenen Urteilsdispositivs führt die Beschwerdeführerin aus, wenn ein Täter nicht nur freigesprochen, sondern noch fürstlich dafür belohnt werde, dass er ein Opfer über längere Zeit malträtiert habe, werde dieses gedemütigt und in seiner Würde erheblich verletzt; damit sei die Aktivlegitimation gegeben. Das ist zu verneinen. Soweit es nicht um das Strafantragsrecht als solches geht (Art. 81 Abs. 1 lit. b Ziff. 6
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
SR 312.5 Loi fédérale du 23 mars 2007 sur l'aide aux victimes d'infractions (Loi sur l'aide aux victimes, LAVI) - Loi sur l'aide aux victimes LAVI Art. 2 Formes de l'aide aux victimes - L'aide aux victimes comprend: |
|
a | les conseils et l'aide immédiate; |
b | l'aide à plus long terme fournie par les centres de consultation; |
c | la contribution aux frais pour l'aide à plus long terme fournie par un tiers; |
d | l'indemnisation; |
e | la réparation morale; |
f | l'exemption des frais de procédure; |
g | ... |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
Die Legitimation zur beantragten Aufhebung des abgewiesenen Schadenersatzbegehrens (Ziff. 6 des Dispositivs) kann offen bleiben, weil darauf bereits mangels Begründung nicht einzutreten ist (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière: |
|
1 | Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière: |
a | sur les recours manifestement irrecevables; |
b | sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2); |
c | sur les recours procéduriers ou abusifs. |
2 | Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge. |
3 | L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité. |
1.3 Die Beschwerdeführerin ist zur Anfechtung der Kostenauflage in Ziff. 5 des Dispositivs berechtigt (Art. 81 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
2.
§ 396a des Gesetzes betreffend den Strafprozess (StPO/ZH) regelt Kosten und Entschädigung im Rechtsmittelverfahren wie folgt:
Die Auflage der Kosten und die Zusprechung einer Entschädigung erfolgen in der Regel im Verhältnis von Obsiegen und Unterliegen der Verfahrensbeteiligten. Von dieser Regel kann in begründeten Fällen abgewichen werden, namentlich wenn sich eine Partei in guten Treuen zu ihren Anträgen veranlasst sah.
2.1 Die Vorinstanz hält zur Kostenauflage fest: Weil die Beschwerdeführerin im Berufungsverfahren mit ihren Anträgen vollumfänglich unterliege, seien ihr die Kosten für dieses Verfahren, inklusive diejenigen der amtlichen Verteidigung und der unentgeltlichen Geschädigtenvertretung, vollumfänglich aufzuerlegen (§ 396a StPO/ZH).
2.2 Die Beschwerdeführerin wirft der Vorinstanz vor, § 396a StPO/ZH willkürlich angewendet zu haben. Sie verweist dazu auf Entscheide des Kassationsgerichts des Kantons Zürich (ZR 100/2001 Nr. 62, ZR 101/2002 Nr. 22, ZR 105/2006 Nr. 48) sowie des Bundesgerichts (Urteil 1P.619/2006 vom 11. Dezember 2006) und macht geltend, die Vorinstanz begründe den Kostenspruch auch nicht ansatzweise und verletze mit der Verweisung auf den gesetzlichen Regelfall den Gehörsanspruch gemäss Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
gemäss § 396a StPO/ZH führen. Die Kostenauflage sei ein rechtswidriger Akt widersprüchlichen Verhaltens.
2.3 § 396a Satz 1 StPO/ZH hält zunächst den allgemeinen Grundsatz des schweizerischen Strafprozessrechts zur Kostentragung fest. Von dieser Regel kann gemäss Satz 2 dieser Bestimmung "in begründeten Fällen" abgewichen werden.
2.3.1 Ausgangspunkt für die Einfügung dieser Bestimmung in die StPO/ZH war die Schaffung einer Rechtsgrundlage für die Kostenauflage an Geschädigte (vgl. ZR 96/1997 Nr. 23; ZR 97/1998 Nr. 48). Im Gesetzgebungsverfahren ergab sich dann auch der Gesichtspunkt, es dem Gericht zu ermöglichen, von der starren Kostenverteilung nach Obsiegen und Unterliegen abzuweichen, um besonderen Gegebenheiten gerecht zu werden. Das Kassationsgericht des Kantons Zürich kam deshalb in ZR 100/2001 Nr. 62 zum Ergebnis, dass die Kosten dem erstinstanzlich Verurteilten auch auferlegt werden können, wenn der angefochtene Entscheid lediglich im Rahmen des Ermessens zu seinen Gunsten abgeändert wird, so dass ihm im Ergebnis die Kosten trotz Obsiegens auferlegt werden können.
In ZR 101/2002 Nr. 22 stellte das Kassationsgericht fest, dass sich aus dem Gesetzgebungsverfahren nicht ergebe, wann begründete Fälle vorlägen oder bei welchen Sachverhalten von in guten Treuen gestellten Rechtsmittelanträgen auszugehen sei. In der Sache entschied es, dass der Geschädigten wegen einer aus berechtigtem Anlass und damit in guten Treuen erhobenen und vor dem Entstehen von Kosten zurückgezogenen Berufung keine Kosten auferlegt werden können. Die Geschädigte hatte nämlich zur Wahrung ihrer Rechte in Unkenntnis der Urteilsgründe Berufung erheben müssen.
In ZR 105/2006 Nr. 48 ging das Kassationsgericht davon aus, dass der gut 13-jährige Beschwerdeführer nicht über genügend (eigene) finanzielle Mittel verfügte, um die Kosten des Kassationsverfahrens zu bestreiten, und dass die Kostenauflage sich nachteilig auf seine Weiterentwicklung auswirken würde, weshalb von Kosten für das Kassationsverfahren abzusehen und die nach der Regel von § 396a Satz 1 StPO/ZH aufzuerlegenden Verfahrenskosten gestützt auf § 388 Abs. 1 StPO/ZH sofort definitiv abzuschreiben seien. Es führte zudem aus, § 388 Abs. 1 StPO/ZH nehme den im Erwachsenenstafrecht in den §§ 190a und 42 Abs. 3 StPO/ZH zum Ausdruck gebrachten Grundgedanken auch für das Jugendstrafverfahren auf: Deren Sinn und Zweck bestehe darin, dass eine Partei, von der die auferlegten Kosten in nächster Zeit offensichtlich nicht erhältlich sind, durch Kostenerhebung nicht in zusätzliche Not gerät oder ihre Resozialisierung durch die Kostenpflicht nicht gefährdet wird; ferner sollen den mit dem Inkasso betrauten Behörden sinnlose Umtriebe erspart bleiben. Somit wurde der Verzicht auf die Kostenauferlegung an den mittellosen Jugendlichen auf § 388 StPO/ZH (der die Kosten im Verfahren gegen Kinder, Jugendliche und junge Erwachsene bis zum 20.
Altersjahr regelt) gestützt. Besondere Umstände im Sinne von § 396a Satz 2 StPO/ZH waren für das Kassationsgericht nicht ersichtlich.
2.3.2 Das Bundesgericht setzte sich im Urteil 1P.619/2006 mit dieser Rechtsprechung auseinander. Dem Urteil lag zu Grunde, dass das Zürcher Bezirksgericht den Angeklagten vom Vorwurf einer einfachen Körperverletzung freigesprochen hatte und auf die Schadenersatzforderungen des geschädigten Jugendlichen nicht eingetreten war. Die Verfahrenskosten wurden auf die Gerichtskasse genommen. Auf Berufung des Geschädigten bestätigte das Obergericht des Kantons Zürich den Freispruch und den erstinstanzlichen Kostenentscheid. Dem Geschädigten wurden die Kosten des Berufungsverfahrens (Fr. 4'768.--) und eine Prozessentschädigung an den Angeklagten (Fr. 2'700.--) auferlegt. Das Obergericht führte aus, dass aufgrund des überzeugend begründeten Freispruchs und der Aktenlage dem anwaltlich vertretenen Geschädigten nicht zugebilligt werden könne, in guten Treuen Berufung erklärt und daran festgehalten zu haben. Es bestehe auch keine Veranlassung, die entstandenen Kosten abzuschreiben. Vor Bundesgericht berief sich der im Zeitpunkt der Berufung 13-jährige Geschädigte insbesondere auf die §§ 388 und 396a StPO/ZH. Das Bundesgericht stellte fest, dass das Kindesalter des Geschädigten nicht berücksichtigt worden war, der Jugendliche und seine Mutter
auf Sozialhilfe angewiesen waren und der Knabe nicht freiwillig in das Verfahren hineingeraten war. Es wies die Sache an das Obergericht zurück, damit es die kantonale Rechtsprechung zu § 388 Abs. 1 StPO/ZH berücksichtige.
2.3.3 Somit wurde § 396a Satz 2 StPO/ZH nur in der Konstellation ZR 101/2002 Nr. 22 (sowie einem ebendort E. 2.6 erwähnten Beschluss) angewendet. ZR 105/2006 Nr. 48 sowie Urteil 1P.619/2006 ergingen aufgrund des jugendlichen Alters gestützt auf § 388 StPO/ZH. Im erwähnten Urteil führte das Bundesgericht im Übrigen aus, dass die Anwendung von § 396a Satz 1 StPO/ZH auf den beurteilten Fall nicht willkürlich war, sondern der vergleichbaren Vorschrift von Art. 159 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
2.4 Die Beschwerdeführerin bringt vor, infolge Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege habe sie in guten Treuen Berufung erheben dürfen.
2.4.1 Der Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege ergibt sich, soweit das kantonale Recht keine weitergehenden Ansprüche gewährt, als Minimalgarantie aus Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
vom 6. Nov. 2002 E. 3.2 und 5.3, mit Hinweisen).
Eine Verletzung von Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.4.2 Der Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung wird in erster Linie durch das kantonalen Recht geregelt (BGE 128 I 225 E. 2.3; 120 Ia 14 E. 3a). Die Bestellung des unentgeltlichen Rechtsbeistands für die Geschädigte zur Durchsetzung der Zivilansprüche richtet sich nach § 10 Abs. 5 StPO/ZH. Sie setzt grundsätzlich voraus, dass das angestrebte Verfahrensziel nicht aussichtslos erscheint. Im Untersuchungsverfahren besteht ein Anspruch allerdings schon im Hinblick auf die effektive Wahrnehmung der Mitwirkungsrechte. Die Bestellung gilt wie beim amtlichen Verteidiger grundsätzlich für die gesamte Dauer des kantonalen Verfahrens (Lieber/Donatsch, in: Donatsch/Schmid, Kommentar zur Strafprozessordnung des Kantons Zürich, August 2006, § 10 N. 26, 34). Es ist nicht erforderlich, bei einer Änderung der innerkantonalen örtlichen oder sachlichen Zuständigkeit während des Verfahrens die Bestätigung oder Neubestellung zu beantragen (Lieber/Donatsch, a.a.O., § 13 N. 9).
Im Rechtsmittelverfahren können die Kosten (und damit auch diejenigen der unentgeltlichen Verbeiständung) nach Massgabe von § 396a StPO/ZH der Geschädigten auferlegt werden, wobei ihren finanziellen und persönlichen Verhältnissen im Rahmen von § 190a StPO/ZH Rechnung zu tragen ist (Lieber/Donatsch, a.a.O., § 10 N. 37).
Das Zürcher Recht unterscheidet zwar die unentgeltliche Prozessführung von der unentgeltlichen Rechtsvertretung (§§ 84 und 87 ZPO/ZH). Die Verknüpfung von § 10 Abs. 5 StPO/ZH mit §§ 84 ff. ZPO/ZH besteht aber - anders als in § 10 Abs. 4 aStPO/ZH - heute nicht mehr (Frank/Sträuli/Messmer, Kommentar zur zürcherischen Zivilprozessordnung, 3. Auflage, Zürich 1997, § 87 N. 12).
2.4.3 Der heutige Geschädigtenvertreter übernahm das Mandat nach der obergerichtlichen Hauptverhandlung und vertritt die Geschädigte seit dem 11. Mai 2007 (Rubrum des angefochtenen Urteils). Er stellte am 9. Mai 2007 beim Obergericht das Gesuch, ihn zum unentgeltlichen Rechtsbeistand zu ernennen. Dieses wies ihn mit Schreiben vom 11. Mai 2007 darauf hin, dass das kantonale Verfahren abgeschlossen sei und für das bundesrechtliche Rechtsmittelverfahren das Bundesgericht zuständig sei (kantonale Akten Obergericht, act. 83 und 84). Das angefochtene Urteil enthält im Rubrum den Eintrag, dass die "Geschädigte und Appellantin unentgeltlich vertreten" ist (durch den früheren Rechtsanwalt; ebenso in Ziff. 5 des Dispositivs). Bereits Ziff. 4 des bezirksgerichtlichen Urteilsdispositivs vom 7. September 2006 erwähnte die unentgeltliche Geschädigtenvertretung.
Im Untersuchungsverfahren hatte das Bezirksgericht Zürich den heutigen Rechtsvertreter mit Verfügung vom 15. November 2004 rückwirkend auf den 7. Oktober 2004 als unentgeltlichen Rechtsbeistand der Geschädigten im Sinne von § 10 Abs. 5 StPO/ZH bestellt (act. 19/13). Mit Präsidialverfügung vom 26. August 2005 wurde rückwirkend ab dem 25. August 2005 im Sinne von § 10 Abs. 5 StPO/ZH ein neuer unentgeltlicher Rechtsbeistand ernannt (act. 20/4). Dieser Rechtsanwalt vertrat die Geschädigte auch im Appellationsverfahren. Demnach war die Beschwerdeführerin im gesamten kantonalen Verfahren unentgeltlich verbeiständet.
Somit ergibt sich, dass die unentgeltliche Verbeiständung nicht eigens für das Appellationsverfahren bewilligt worden war und dass sich das Obergericht zu den Erfolgsaussichten der Appellation nicht geäussert hatte. Es kann daher entgegen der Beschwerdeführerin keine Rede davon sein, dass ihr das "Attest" ausgestellt worden wäre, dass das "Verfahren aus Sicht des zuständigen Gerichts nicht aussichtslos ist" oder dass die "Appellation durch die Geschädigte quasi mit offiziellem Segen aus guten Treuen" erfolgt wäre oder dass die Vorinstanz mit der Kostenauflage "einen rechtswidrigen Akt widersprüchlichen Verhaltens" gesetzt hätte. Der unentgeltliche Rechtsbeistand war in den Jahren 2004 und 2005 gewährt worden. Zum Erfolg einer Appellation im Jahre 2007 hatte sich keine Behörde geäussert. Daher konnte sich die Beschwerdeführerin durch die Gewährung des unentgeltlichen Rechtsbeistands im Untersuchungsverfahren auch nicht im Sinne von § 396a Satz 2 StPO/ZH in guten Treuen zur Appellation "veranlasst" gesehen haben.
2.4.4 Wie das Kassationsgericht ausführt, kennt die zürcherische Strafprozessordnung das Institut der unentgeltlichen Prozessführung an sich nicht. Dies bedeutet nicht, dass der unterlegene Angeklagte die ihm auferlegten Kosten immer bezahlen muss. § 190a StPO/ZH legt fest, dass bei Bemessung, Auflage und Bezug der Kosten den Verhältnissen des Betroffenen Rechnung zu tragen ist, wobei mit dem Betroffenen zwar zunächst der Angeklagte gemeint ist (ZR 103/2004 Nr. 56 E. 2.3.5), jedoch diese Bestimmung auch auf die Geschädigte Anwendung findet (oben E. 2.4.2). Sinn und Zweck dieser Norm bestehen darin, dass Parteien, von denen die auferlegten Kosten in nächster Zeit offensichtlich nicht erhältlich sind, durch die Kostenerhebung nicht in zusätzliche Not geraten und den Behörden sinnlose Umtriebe erspart werden (ZR a.a.O. sowie ZR 105/2006 Nr. 48, zit. oben E. 2.3.1). Es ist aufgrund dieser kantonalen Rechtsprechung anzunehmen, dass § 190a StPO/ZH auch im Fall der Kostenauferlegung an die Geschädigte gemäss § 396a Satz 1 StPO/ZH zu berücksichtigen ist. Obwohl § 190a StPO/ZH - anders als Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
wird die unentgeltliche Prozessführung dennoch regelmässig (auch) nach dieser Bestimmung beurteilt (ZR 103/2004 Nr. 56 E. 2.3.5).
§ 190a StPO/ZH gewährt somit keinen Anspruch auf Kostenerlass und sieht auch nicht zwingend vor, dass bereits bei Festsetzung und Auflage der Kosten auf die persönlichen Umstände der Betroffenen Rücksicht genommen wird (Schmid, in: Donatsch/Schmid, a.a.O., Dez. 1997, § 190a N. 1 und 9). Vielmehr kann dieser Entscheid auch erst beim Bezug der Kosten getroffen werden. § 396a StPO/ZH ermöglicht die Auflage der amtlichen Verteidigungskosten an die Geschädigte, weil es sich dabei um Gerichtskosten handelt (ZR 101/2002 E. 2.9b). Die Auferlegung der Kosten an die im Appellationsverfahren unterlegene Bedürftige im Sinne von § 190a StPO/ZH erweist sich daher nicht als willkürlich (vgl. Urteil 1P.411/2002 vom 6. Nov. 2002 E. 5.4, wo allerdings die unentgeltliche Verbeiständung nicht bewilligt worden war). Eine unentgeltliche Prozessführung, die im Zürcher Strafverfahren im Prinzip nicht bekannt ist, kommt demnach nur in Form des Erlasses von Prozesskautionen und Kostenvorschüssen in Frage, nicht aber als definitve Befreiung von der Kostentragung (Schmid, Strafprozessrecht, 4. Auflage, Zürich 2004, N. 876). Auch bei der amtlichen Verteidigung (§ 12 Abs. 2 StPO/ZH) entscheidet sich die definitive Kostentragung gemäss § 190a StPO/ZH allenfalls
erst beim Kostenbezug (Lieber/Donatsch, a.a.O., § 12 N. 20). § 43 Abs. 2 StPO/ZH schliesslich betrifft die Entschädigung für das Untersuchungs- und nicht das Appellationsverfahren. Es ergibt sich somit keine willkürliche Anwendung des gerügten kantonalen Strafprozessrechts.
2.4.5 Wie oben in E. 2.3.2 dargestellt, betraf das Urteil 1P.619/2006 einen Kostenerlass nach § 388 Abs. 1 StPO/ZH, der im Unterschied zu Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
2.5 Weil der unentgeltliche Rechtsbeistand im Zürcher Strafprozessrecht die unentgeltliche Prozessführung nicht garantiert und diese auch nicht gewährt worden war, genügte die Verweisung auf den Regelfall von § 396a StPO/ZH bei anwaltlicher Vertretung den Begründungsanforderungen von Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege (Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird teilweise gutgeheissen.
3.
Es werden keine Kosten erhoben.
4.
Dem Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin, Rechtsanwalt Kurt Mäder, wird aus der Bundesgerichtskasse eine Entschädigung von Fr. 1'500.-- ausgerichtet.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, der Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 7. Dezember 2007
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Der Gerichtsschreiber: