Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

6B 498/2017

Urteil vom 6. November 2017

Strafrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichter Oberholzer, Rüedi,
Gerichtsschreiber Weber.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,

gegen

1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Luzern, Postfach 3439, 6002 Luzern,
2. Verantwortliche der X.________ AG,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Ruedi Portmann,
3. Y.________,
Beschwerdegegner.

Gegenstand
Einstellungsverfügung (fahrlässige Körperverletzung); Willkür etc.,

Beschwerde gegen den Beschluss des Kantonsgerichts Luzern, 1. Abteilung, vom 8. März 2017 (2N 16 154).

Sachverhalt:

A.
Am 12. Mai 2015 bediente A.________ auf einem Landwirtschaftsbetrieb einen Greifkran (sog. Heukran) der Marke X.________ vom Typ B.________ und transportierte damit Silage. Dabei fuhr er den hydraulischen Teleskopausleger des Greifkrans vollständig aus und hob damit eine Ladung Silage von unbekanntem Gewicht an. Im Zuge dieses Manövers brachen die Schrauben ab, welche den Drehflansch des Krans mit der Kranhalterung verbanden. In der Folge stürzte der Teleskopausleger des Krans mitsamt der Führerkabine ca. vier Meter in die Tiefe. A.________ erlitt dabei eine mechanisch instabile Berstungsfraktur des dritten Lendenwirbelkörpers. Er reichte am 24. Juli 2015 Strafanzeige gegen die Verantwortlichen der X.________ AG (Herstellerin des Krans) sowie gegen Y.________ (Händler/Lieferant des Krans) ein und stellte Strafantrag wegen fahrlässiger Körperverletzung.

B.
Die Staatsanwaltschaft des Kantons Luzern stellte die Verfahren gegen die Verantwortlichen der X.________ AG sowie gegen Y.________ am 26. Oktober 2016 ein. Die von A.________ dagegen erhobene Beschwerde wies das Kantonsgericht Luzern am 8. März 2017 ab.

C.
A.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen, der Beschluss des Kantonsgerichts sei aufzuheben und die Sache sei zur Neubeurteilung an dieses zurückzuweisen.

D.
Das Kantonsgericht, die Staatsanwaltschaft sowie die Verantwortlichen der X.________ AG beantragen die Abweisung der Beschwerde. A.________ replizierte. Y.________ liess sich nicht vernehmen.

Erwägungen:

1.

1.1. Die Privatklägerschaft ist zur Beschwerde in Strafsachen nur berechtigt, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann (Art. 81 Abs. 1 lit. b Ziff. 5
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
BGG). In erster Linie geht es um Ansprüche auf Schadenersatz und Genugtuung gemäss Art. 41 ff
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 41 - 1 Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
1    Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
2    Celui qui cause intentionnellement un dommage à autrui par des faits contraires aux moeurs est également tenu de le réparer.
. OR. Richtet sich die Beschwerde gegen die Einstellung eines Strafverfahrens, muss der Privatkläger im Verfahren vor Bundesgericht darlegen, aus welchen Gründen und inwiefern sich der angefochtene Entscheid auf bezeichnete Zivilforderungen auswirken kann. Das Bundesgericht stellt hohe Anforderungen an die Begründung der Legitimation. Genügt die Beschwerde diesen Anforderungen nicht, kann darauf nur eingetreten werden, wenn aufgrund der Natur der untersuchten Straftat ohne Weiteres ersichtlich ist, dass bestimmte Zivilforderungen im Raum stehen (BGE 141 IV 1 E. 1.1 S. 4).

1.2. Der Beschwerdeführer äussert sich nicht zu seinen Zivilforderungen. Er macht jedoch eine fahrlässige Körperverletzung geltend, die grundsätzlich Anspruch auch auf eine Genugtuung geben könnte (vgl. Art. 47
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 47 - Le juge peut, en tenant compte de circonstances particulières, allouer à la victime de lésions corporelles ou, en cas de mort d'homme, à la famille une indemnité équitable à titre de réparation morale.
OR). Im Arztbericht vom 31. August 2015 wird ausgeführt, es sei ein sehr guter postoperativer Verlauf mit unauffälliger Röntgenbildgebung und relativ beschwerdearmem Patient erfolgt. Die Arbeitsunfähigkeit dauere aber üblicherweise vier bis sechs Monate (vgl. angefochtener Beschluss, E. 10.3). Zumindest eine daraus erwachsende nicht anderweitig gedeckte Forderung (Genugtuung) liegt damit aufgrund der Natur der Sache auf der Hand. Auf die Beschwerde in Strafsachen ist einzutreten.

2.

2.1. Nach Art. 319 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 319 Motifs de classement - 1 Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure:
1    Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure:
a  lorsqu'aucun soupçon justifiant une mise en accusation n'est établi;
b  lorsque les éléments constitutifs d'une infraction ne sont pas réunis;
c  lorsque des faits justificatifs empêchent de retenir une infraction contre le prévenu;
d  lorsqu'il est établi que certaines conditions à l'ouverture de l'action pénale ne peuvent pas être remplies ou que des empêchements de procéder sont apparus;
e  lorsqu'on peut renoncer à toute poursuite ou à toute sanction en vertu de dispositions légales.
2    À titre exceptionnel, le ministère public peut également classer la procédure aux conditions suivantes:
a  l'intérêt d'une victime qui était âgée de moins de 18 ans à la date de commission de l'infraction l'exige impérieusement et le classement l'emporte manifestement sur l'intérêt de l'État à la poursuite pénale;
b  la victime ou, si elle n'est pas capable de discernement, son représentant légal a consenti au classement.
StPO verfügt die Staatsanwaltschaft unter anderem dann die vollständige oder teilweise Einstellung des Verfahrens, wenn kein Tatverdacht erhärtet ist, der eine Anklage rechtfertigt (lit. a), kein Straftatbestand erfüllt ist (lit. b) oder Rechtfertigungsgründe einen Straftatbestand unanwendbar machen (lit. c). Die Staatsanwaltschaft darf das Strafverfahren grundsätzlich nur bei klarer Straflosigkeit einstellen. Es ist Anklage zu erheben (sofern die Erledigung mit einem Strafbefehl nicht in Frage kommt), wenn eine Verurteilung wahrscheinlicher erscheint als ein Freispruch. Falls sich die Wahrscheinlichkeiten eines Freispruchs oder einer Verurteilung in etwa die Waage halten, drängt sich in der Regel, insbesondere bei schweren Delikten, eine Anklageerhebung auf (Grundsatz des "in dubio pro duriore"). Bei der Beurteilung dieser Fragen verfügen die Staatsanwaltschaft und die Vorinstanz über einen gewissen Spielraum, innerhalb dessen das Bundesgericht nur zurückhaltend überprüft (BGE 143 IV 241 E. 2.2.1 S. 243 und E. 2.3.3 S. 246; 138 IV 186 E. 4.1 S. 190; 138 IV 86 E. 4.1.1 und 4.1.2 S. 90 f.).

2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Offensichtlich unrichtig ist die Sachverhaltsfeststellung, wenn sie willkürlich im Sinne von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV ist (BGE 143 IV 241 E. 2.3.1 S. 244; 141 IV 317 E. 5.4 S. 324; je mit Hinweisen).

2.3. Die Sachverhaltsfeststellung obliegt grundsätzlich dem in der Sache urteilenden Gericht. Die Staatsanwaltschaft und die Beschwerdeinstanz dürfen bei Entscheiden über die Einstellung eines Strafverfahrens den Sachverhalt daher nicht wie ein urteilendes Gericht feststellen. Sachverhaltsfeststellungen sind in Berücksichtigung des Grundsatzes "in dubio pro duriore" jedoch auch bei Einstellungen zulässig, soweit gewisse Tatsachen "klar" bzw. "zweifelsfrei" feststehen, so dass im Falle einer Anklage mit grosser Wahrscheinlichkeit keine abweichende Würdigung zu erwarten ist. Das Bundesgericht prüft bei der Willkürkognition nach Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG im Rahmen einer Beschwerde gegen eine Einstellung daher nicht wie beispielsweise bei einem Schuldspruch, ob die vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen willkürlich sind, sondern, ob die Vorinstanz willkürlich von einer "klaren Beweislage" ausging oder gewisse Tatsachen willkürlich für "klar erstellt" annahm. Dies ist der Fall, wenn offensichtlich nicht gesagt werden kann, es liege ein klarer Sachverhalt vor bzw. wenn ein solcher Schluss schlechterdings unhaltbar ist (vgl. BGE 143 IV 241 E. 2.3.2 S. 244 f. mit Hinweisen).

2.4. Zum Anspruch auf rechtliches Gehör gehört, dass die Behörde alle erheblichen und rechtzeitigen Vorbringen der Parteien würdigt und die ihr angebotenen Beweise abnimmt, wenn diese zur Abklärung des Sachverhalts tauglich erscheinen. Umgekehrt folgt daraus, dass keine Verletzung des rechtlichen Gehörs vorliegt, wenn eine Behörde auf die Abnahme beantragter Beweismittel verzichtet, weil sie auf Grund der bereits abgenommenen Beweise ihre Überzeugung gebildet hat und ohne Willkür in vorweggenommener (antizipierter) Beweiswürdigung annehmen kann, dass ihre Überzeugung durch weitere Beweiserhebungen nicht geändert würde (vgl. Art. 139 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 139 Principes - 1 Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité.
1    Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité.
2    Il n'y a pas lieu d'administrer des preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés.
StPO; BGE 141 I 60 E. 3.3 S. 64; 136 I 229 E. 5.3 S. 236 f.; je mit Hinweisen).

3.

3.1. Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz habe den Sachverhalt willkürlich festgestellt und seinen Anspruch auf rechtliches Gehör verletzt. Es sei offensichtlich, dass der Greifkran Typ B.________ ein Konstruktionsproblem aufweise. Die Herstellerin habe Nachberechnungen veranlasst und festgestellt, dass der Drehkranz des Krans zu schwach dimensioniert gewesen sei. Danach habe sie auf ihre Kosten sämtliche Händler zur Nachrüstung jedes einzelnen Krans dieses Typs mit einer Verstärkungsplatte und einer Absturzsicherung beauftragt, wobei die Absturzsicherung bei ihm nie montiert worden sei. Auch ein regelmässiger Service habe keine genügende Sicherheit geboten, ansonsten keine Nachrüstungen hätten vorgenommen werden müssen. Die Berichte der Beratungsstelle für Unfallverhütung in der Landwirtschaft/Stiftung Agri-Sicherheit Schweiz (BUL/agriss) vom 12. Mai 2015 und 17. Juni 2015 seien unvollständig und fehlerhaft. Die BUL/agriss habe nur die Schrauben untersucht, nicht jedoch die Krananlage als solche. Die Vorinstanz lasse es bei der Einholung blosser Berichte bewenden, obwohl aufgrund des erforderlichen besonderen Fachwissens ein Gutachten hätte erstellt werden müssen. Ihre Auffassung, wonach die BUL/agriss davon hätte Kenntnis
haben müssen, wenn die Krananlagen des fraglichen Typs ein generelles Konstruktionsproblem gehabt hätten, stelle eine reine Mutmassung dar. Weitere Arbeitsunfälle hätten durch eine Absturzsicherung, die bei ihm nicht nachträglich montiert worden sei, verhindert werden können. Die Vorinstanz gehe auch zu Unrecht davon aus, der Beschwerdegegner 3 habe ihm gegenüber keine Verpflichtungen mehr gehabt. Dieser hätte wie von der Herstellerin beauftragt eine Absturzsicherung montieren oder diese zumindest dem neuen Servicetechniker zur Montage überlassen müssen. Die von ihm angebotenen Zeugen seien nicht einvernommen und die eingereichten Unterlagen und Erfahrungsberichte nicht berücksichtigt worden. Die Nachberechnungen der Herstellerin, welche zu Nachrüstungen des Krans geführt hätten, seien nicht ediert worden. Dass er die maximale Hublast des Krans überschritten und damit den Kran unsachgemäss bedient habe, sei eine Vermutung. Dies sei aufgrund einer Überlastsicherung technisch gar nicht möglich, was wie beantragt gutachterlich hätte geklärt werden müssen.

3.2. Die Vorinstanz erwägt, es sei unbestritten, dass die letzte Wartung des Krans des Beschwerdeführers durch einen Mitarbeiter des Beschwerdegegners 3 im Jahr 2005 erfolgt und beim Kran eine Verstärkungsplatte montiert worden sei. Der strafrechtliche Vorwurf an die Beschwerdegegner 2 und 3 könne sich nur noch dahin richten, dass der Kran nach dem Einbau der Verstärkungsplatte weiterhin einen Sicherheitsmangel aufgewiesen habe und die Beschwerdegegner 2 den Beschwerdeführer nicht darüber aufgeklärt hätten (angefochtener Beschluss, E. 6.3). Gegen die Behauptung des Beschwerdeführers, es habe ein Sicherheits- bzw. Konstruktionsmangel vorgelegen, spreche einerseits, dass der Kran nach der letzten fachgerechten Wartung und der Installation der Verstärkungsplatte im Jahr 2005 rund weitere zehn Jahre funktioniert habe, obwohl der Beschwerdeführer den Kran während dieser Zeit nicht fachgerecht habe instand halten lassen und die Aufhängungsschrauben nicht ausgewechselt habe (angefochtener Beschluss, E. 6.4.1). Gegen die Behauptung des Beschwerdeführers spreche andererseits auch die Einschätzung der Experten der BUL/agriss, welchen keine weiteren Arbeitsunfälle mit dem erwähnten Kranfabrikat bekannt seien. Hauptursache des Unfalls sei
nach Vertretern der BUL/agriss nicht ein konstruktives Problem, sondern die langjährig ausgebliebenen Wartungs- und Unterhaltsarbeiten. Diese seien insbesondere bei der Konstruktionsart mit aufgehängtem Drehkranz wichtig (angefochtener Beschluss, E. 6.4.2). Das Beweisergebnis der Staatsanwaltschaft, wonach die ermüdeten Schrauben ersetzt worden wären und ein Absturz der Krananlage hätte verhindert werden können, wenn der Beschwerdeführer den Kran fachmännisch und den gesetzlichen Bestimmungen entsprechend gewartet hätte, sei nicht zu beanstanden. Es sprächen alle Indizien dafür, dass er die wesentliche Ursache des Kranabsturzes aufgrund der Unterlassung von grundlegendsten Sicherheitsvorkehrungen selbst gesetzt habe (angefochtener Beschluss, E. 7.3). Kämen die vom Beschwerdeführer erhobenen Vorwürfe gegen die Beschwerdegegner 2 und 3 zur gerichtlichen Beurteilung, stünde die beweisbelastete Staatsanwaltschaft vor zwei wesentlichen Beweisproblemen. Erstens sei voraussehbar, dass sich ein sorgfalts- und garantenpflichtbegründender Konstruktionsmangel des Krans nicht beweisen lassen würde und zweitens könne die Staatsanwaltschaft dem Einwand der Beschwerdegegner 2 und 3, der Beschwerdeführer habe im Umgang mit dem Kran grundlegendste
Sicherheitsvorkehrungen missachtet und sei daher für den Unfall in adäquanzunterbrechender Weise selber verantwortlich, nichts Substanzielles entgegensetzen. Die Rüge des Beschwerdeführers, der angefochtene Entscheid verstosse gegen das Prinzip "in dubio pro duriore", erweise sich daher als unbegründet (angefochtener Beschluss, E. 9). Die Vorinstanz verzichtete darauf, den Beweisanträgen des Beschwerdeführers Folge zu leisten. Sie begründet dies damit, diese würden allesamt auf den Beweis des geltend gemachten Konstruktionsfehlers abzielen. Dieser Beweis werde aller Voraussicht nach nicht gelingen, da der Kran trotz Vernachlässigung der erforderlichen Instandhaltungsarbeiten über zehn Jahre funktioniert habe und den Experten des BUL/agriss keine weiteren Probleme mit dem Krantyp bekannt seien (angefochtener Beschluss, E. 8.4).

3.3. Die Rügen des Beschwerdeführers sind begründet.

3.3.1. Die Staatsanwaltschaft bzw. die Vorinstanz klärten trotz Hinweisen des Beschwerdeführers auf ähnlich gelagerte Unfälle und Nachbesserungen beim Greifkran der Marke X.________ vom Typ B.________ nicht ab, ob möglicherweise ein Konstruktionsfehler vorliegt. Ob die Schraubenbrüche Folge einer gewöhnlichen Abnutzung oder ob diese auf die vom Beschwerdeführer behauptete ungenügende Konstruktion des Krans zurückzuführen sind, ergibt sich aus den vorinstanzlichen Erwägungen nicht. Der Vorinstanz liegen zwei Berichte von weiteren Besitzern eines Krans desselben Typs vor, wonach nachträglich Verstärkungsplatten angebracht wurden und es ungeachtet dessen zu Schraubenbrüchen kam (vgl. Untersuchungsakten, Reg. Nr. 3, S. 88 ff. und S. 93 ff.). Die Vorinstanz stellt darauf nicht ab, da die fachmännische Wartung und die weiteren Umstände, etwa ob die beiden Krananlagen sachgemäss bedient worden seien, nicht aus den Berichten hervorgehe (vgl. angefochtener Beschluss, E. 6.4.3.2). Damit verletzt sie Bundesrecht. Angesichts der konkreten Umstände erscheint es willkürlich, wenn die Vorinstanz den Hinweisen des Beschwerdeführers auf einen möglichen Konstruktionsmangel nicht nachgeht und dessen Beweisanträge in antizipierter Beweiswürdigung mit
der Begründung abweist, ein Konstruktionsmangel lasse sich voraussichtlich nicht nachweisen. Dadurch verletzt sie den Grundsatz "in dubio pro duriore" und sein rechtliches Gehör.

3.3.2. Die Vorinstanz äussert sich auch nicht zum konkreten Umfang einer Krankontrolle. Sie stützt sich für die Pflicht zur regelmässigen fachmännischen Wartung (Instandhaltung) auf Art. 15 Abs. 1
SR 832.312.15 Ordonnance du 27 septembre 1999 sur les conditions de sécurité régissant l'utilisation des grues (Ordonnance sur les grues) - Ordonnance sur les grues
Ordonnance-sur-les-grues Art. 15
1    L'employeur doit faire contrôler régulièrement, selon les règles reconnues de la technique, si les grues qu'il utilise sont en parfait état de service ou s'assurer que ces contrôles ont été exécutés.
2    Les contrôles doivent être exécutés par des personnes formées à cet effet.
3    Pour le contrôle des camions-grue et des grues à tour pivotante, il faut faire appel à un expert en grues au sens de l'art. 16, al. 1.25
4    La commission de coordination édicte des directives sur la fréquence, l'ampleur et la procédure des contrôles.
und 2
SR 832.312.15 Ordonnance du 27 septembre 1999 sur les conditions de sécurité régissant l'utilisation des grues (Ordonnance sur les grues) - Ordonnance sur les grues
Ordonnance-sur-les-grues Art. 15
1    L'employeur doit faire contrôler régulièrement, selon les règles reconnues de la technique, si les grues qu'il utilise sont en parfait état de service ou s'assurer que ces contrôles ont été exécutés.
2    Les contrôles doivent être exécutés par des personnes formées à cet effet.
3    Pour le contrôle des camions-grue et des grues à tour pivotante, il faut faire appel à un expert en grues au sens de l'art. 16, al. 1.25
4    La commission de coordination édicte des directives sur la fréquence, l'ampleur et la procédure des contrôles.
der Verordnung vom 27. September 1999 über die sichere Verwendung von Kranen (Kranverordnung; SR 832.312.15) und eine Weisung, welche der Dachverband für die Fachverbände Agrotec Suisse und Metaltec Suisse (AM Suisse) gemeinsam mit der BUL/agriss erlassen hat (vgl. angefochtener Beschluss, E. 7.1.1). Zum konkreten Inhalt dieser Krankontrollen und insbesondere zur Frage, wann ein Schraubenwechsel vorgenommen werden muss, schweigt sie sich jedoch aus. Laut dem Beschwerdegegner 3 müssen die Schrauben am Drehkranz alle fünf Jahre gewechselt werden (vgl. Untersuchungsakten, Reg. Nr. 2, S. 3). Insoweit geht es jedoch um eine blosse Parteibehauptung. Die Kranverordnung sieht eine "regelmässige" Wartung durch Personen, die dafür ausgebildet sind, vor (vgl. Art. 15 Abs. 1
SR 832.312.15 Ordonnance du 27 septembre 1999 sur les conditions de sécurité régissant l'utilisation des grues (Ordonnance sur les grues) - Ordonnance sur les grues
Ordonnance-sur-les-grues Art. 15
1    L'employeur doit faire contrôler régulièrement, selon les règles reconnues de la technique, si les grues qu'il utilise sont en parfait état de service ou s'assurer que ces contrôles ont été exécutés.
2    Les contrôles doivent être exécutés par des personnes formées à cet effet.
3    Pour le contrôle des camions-grue et des grues à tour pivotante, il faut faire appel à un expert en grues au sens de l'art. 16, al. 1.25
4    La commission de coordination édicte des directives sur la fréquence, l'ampleur et la procédure des contrôles.
und 2
SR 832.312.15 Ordonnance du 27 septembre 1999 sur les conditions de sécurité régissant l'utilisation des grues (Ordonnance sur les grues) - Ordonnance sur les grues
Ordonnance-sur-les-grues Art. 15
1    L'employeur doit faire contrôler régulièrement, selon les règles reconnues de la technique, si les grues qu'il utilise sont en parfait état de service ou s'assurer que ces contrôles ont été exécutés.
2    Les contrôles doivent être exécutés par des personnes formées à cet effet.
3    Pour le contrôle des camions-grue et des grues à tour pivotante, il faut faire appel à un expert en grues au sens de l'art. 16, al. 1.25
4    La commission de coordination édicte des directives sur la fréquence, l'ampleur et la procédure des contrôles.
Kranverordnung). Einzelheiten wie den Schraubenwechsel regelt sie aber nicht. Auch im Kranbuch der AM Suisse und BUL/agriss, das der Beschwerdeführer 3 einreichte und welches der Beschwerdeführer bestritt erhalten zu haben, findet sich nichts dazu. Der konkrete
Umfang einer fachmännischen Krankontrolle bleibt damit offen. Nicht von vornherein ausgeschlossen ist daher, dass die Schrauben am Drehkranz auch durch eine dafür ausgebildete Person nicht oder nicht genügend früh ersetzt worden wären. Folglich ist auch nicht klar, ob der Beschwerdeführer den Unfall durch seine eigenhändige Wartung bzw. durch seine Unterlassung, den Kran durch eine dafür ausgebildete Person warten zu lassen bzw. die Schrauben zu ersetzen, selbst verursachte.

3.3.3. Falls beim genannten Kran tatsächlich ein Konstruktionsproblem vorliegt, kann zudem nicht ohne Weiteres davon ausgegangen werden, der adäquate Kausalzusammenhang sei durch die Unterlassung des Beschwerdeführers unterbrochen worden, selbst wenn der Mangel bei einer gesetzeskonformen Wartung höchstwahrscheinlich erkannt und der Unfall verhindert worden wäre. Der angefochtene Entscheid ist auch insofern ungenügend begründet.
Die Adäquanz ist nur zu verneinen, wenn ganz aussergewöhnliche Umstände, wie das Mitverschulden des Opfers beziehungsweise eines Dritten oder Material- oder Konstruktionsfehler, als Mitursache hinzutreten, mit denen schlechthin nicht gerechnet werden musste und die derart schwer wiegen, dass sie als wahrscheinlichste und unmittelbarste Ursache des Erfolgs erscheinen und so alle anderen mitverursachenden Faktoren - namentlich das Verhalten der Angeschuldigten - in den Hintergrund drängen (BGE 135 IV 56 E. 2.1 S. 64 f.; 131 IV 145 E. 5.1 und E. 5.2 S. 147 f.; 130 IV 7 E. 3.2 S. 10; je mit Hinweisen).
Der allgemeine Gefahrensatz besagt, dass derjenige, welcher einen Gefahrenzustand schafft, alles Zumutbare tun muss, damit die Gefahr zu keiner Verletzung fremder Rechtsgüter führt (vgl. BGE 134 IV 193 E. 7.2 S. 203 f.; 106 IV 80 E. 4a S. 81; je mit Hinweisen). Die Vorinstanz leitet daraus eine Pflicht des Verkäufers eines risikobehafteten Gegenstands ab, dafür besorgt zu sein, dass der Käufer über die - für den Verkäufer erkennbaren - Gefahren im Umgang mit dem fraglichen Gegenstand aufgeklärt ist (angefochtener Beschluss, E. 6.2 S. 9). Inwiefern der Beschwerdegegner 3 seiner Aufklärungspflicht gegenüber dem Beschwerdeführer hinsichtlich der Wartungspflicht nachkam, kann dem angefochtenen Entscheid jedoch nicht entnommen werden. Waren wie vom Beschwerdeführer behauptet Nachbesserungen am betroffenen Kran erforderlich, hätte der Beschwerdegegner 3 den Beschwerdeführer zumindest darauf hinweisen müssen, auch wenn er nach dem Jahr 2005 nach einer unbezahlten Rechnung für die Wartung des Krans des Beschwerdeführers nicht mehr verantwortlich war. Unterblieb ein solcher Hinweis oder missachtete der Beschwerdegegner 3 seine Aufklärungspflicht in anderer Hinsicht, wäre dies bei der Frage zu berücksichtigen gewesen, ob ein die Adäquanz
unterbrechendes grobes Selbstverschulden des Beschwerdeführers vorliegt.

4.

4.1. Der Beschwerdeführer bringt weiter vor, die Mitarbeiter der BUL/agriss seien als Sachverständige beigezogen, aber entgegen Art. 184 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 184 Désignation et mandat - 1 La direction de la procédure désigne l'expert.
1    La direction de la procédure désigne l'expert.
2    Elle établit un mandat écrit qui contient:
a  le nom de l'expert désigné;
b  éventuellement, la mention autorisant l'expert à faire appel à d'autres personnes travaillant sous sa responsabilité pour la réalisation de l'expertise;
c  une définition précise des questions à élucider;
d  le délai à respecter pour la remise du rapport d'expertise;
e  la mention de l'obligation de garder le secret à laquelle sont soumis l'expert ainsi que ses auxiliaires éventuels;
f  la référence aux conséquences pénales d'un faux rapport d'expertise au sens de l'art. 307 CP109.
3    La direction de la procédure donne préalablement aux parties l'occasion de s'exprimer sur le choix de l'expert et les questions qui lui sont posées et de faire leurs propres propositions. Elle peut toutefois y renoncer dans le cas d'analyses de laboratoire, notamment lorsqu'il s'agit de déterminer le taux d'alcoolémie dans le sang ou le degré de pureté de certaines substances, d'établir un profil d'ADN ou de prouver la présence de stupéfiants dans le sang.
4    Elle remet à l'expert avec le mandat les pièces et les objets nécessaires à l'établissement de l'expertise.
5    Elle peut révoquer le mandat en tout temps et nommer un nouvel expert si l'intérêt de la cause le justifie.
6    Elle peut demander un devis avant l'attribution du mandat.
7    Si la partie plaignante demande une expertise, la direction de la procédure peut subordonner l'octroi du mandat au versement d'une avance de frais par la partie plaignante.
StPO nicht belehrt worden. Die Vorschriften von Art. 182 ff
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 182 Recours à un expert - Le ministère public et les tribunaux ont recours à un ou plusieurs experts lorsqu'ils ne disposent pas des connaissances et des capacités nécessaires pour constater ou juger un état de fait.
. StPO seien zu Unrecht nicht beachtet worden.

4.2. Der Vorinstanz erwägt, die Polizei könne zur Erhebung des Sachverhalts selbstständig schriftliche Berichte im Sinne von Art. 145
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 145 Rapports écrits - L'autorité pénale peut, en lieu et place d'une audition ou en complément de celle-ci, inviter le comparant à lui présenter un rapport écrit sur ses constatations.
und 195 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 195 Demande de rapports et de renseignements - 1 Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
1    Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
2    Afin d'élucider la situation personnelle du prévenu, le ministère public et les tribunaux demandent des renseignements sur les antécédents judiciaires et la réputation du prévenu, ainsi que d'autres rapports pertinents auprès de services officiels ou de particuliers.
StPO einholen. Entgegen der Annahme des Beschwerdeführers handle es sich bei den Berichten der BUL/agriss nicht um Sachverständigengutachten im Sinne von Art. 182 ff
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 182 Recours à un expert - Le ministère public et les tribunaux ont recours à un ou plusieurs experts lorsqu'ils ne disposent pas des connaissances et des capacités nécessaires pour constater ou juger un état de fait.
. StPO, weshalb deren rechtliche Voraussetzungen im vorliegenden Fall nicht von Belang seien (angefochtener Beschluss, E. 7.2.2.2 f.).

4.3. Die Untersuchung des vorliegenden Kranunfalls erfordert besondere Kenntnisse aus einem Gebiet ausserhalb des Rechts. Die BUL/agriss ist nach Auffassung der Vorinstanz eine Fachstelle für Unfallverhütung in der Landwirtschaft, die in dieser Funktion mit Unfallabklärungen betraut werde und als Kompetenzstelle für die Kontrolle der Einhaltung der Sicherheitsvorschriften bei Land- und Gartenbaumaschinen im Rahmen des Bundesgesetzes vom 12. Juni 2009 über die Produktesicherheit (PrSG; SR 930.11) agiere (vgl. angefochtener Beschluss, E. 6.4.2 und 6.4.4). Die Vertreter der BUL/agriss hätten die Unfallstelle am Morgen nach dem Unfall begutachtet. Da sie erhöhte Fachkenntnis im Umgang mit landwirtschaftlichen Arbeitsgeräten aufweisen würden, erweise es sich als sachgerecht, sie im Stadium der polizeilichen Ermittlungen ergänzend zur Sachverhaltsermittlung heranzuziehen (vgl. angefochtener Beschluss, E. 7.2.2.3). Die Mitarbeiter der BUL/agriss wurden demnach als Sachverständige beigezogen. Nicht nachvollziehbar ist, weshalb die Vorinstanz dennoch zur Auffassung gelangt, bei den Berichten der BUL/agriss vom 12. Mai 2015 und vom 17. Juni 2015 handle es sich um schriftliche Berichte im Sinne von Art. 145
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 145 Rapports écrits - L'autorité pénale peut, en lieu et place d'une audition ou en complément de celle-ci, inviter le comparant à lui présenter un rapport écrit sur ses constatations.
StPO oder um amtliche Berichte im
Sinne von Art. 195
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 195 Demande de rapports et de renseignements - 1 Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
1    Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
2    Afin d'élucider la situation personnelle du prévenu, le ministère public et les tribunaux demandent des renseignements sur les antécédents judiciaires et la réputation du prévenu, ainsi que d'autres rapports pertinents auprès de services officiels ou de particuliers.
StPO. Schriftliche Berichte nach Art. 145
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 145 Rapports écrits - L'autorité pénale peut, en lieu et place d'une audition ou en complément de celle-ci, inviter le comparant à lui présenter un rapport écrit sur ses constatations.
StPO können ausnahmsweise an Stelle einer Einvernahme von Beschuldigten, Auskunftspersonen oder Zeugen oder zu ihrer Ergänzung eingeholt werden (vgl. Urteil 6B 835/2014 vom 8. Dezember 2014 E. 2.2 mit Hinweisen; Botschaft vom 21. Dezember 2005 zur Vereinheitlichung des Strafprozessrechts, BBl 2006 1085 ff., 1186 Ziff. 2.4.1.2). Auch um amtliche Berichte nach Art. 195
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 195 Demande de rapports et de renseignements - 1 Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
1    Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
2    Afin d'élucider la situation personnelle du prévenu, le ministère public et les tribunaux demandent des renseignements sur les antécédents judiciaires et la réputation du prévenu, ainsi que d'autres rapports pertinents auprès de services officiels ou de particuliers.
StPO kann es sich vorliegend nicht handeln. Diese werden von Beamten und nicht wie die vorliegenden Berichte von Mitarbeitern einer privatrechtlichen Stiftung erstellt. Nicht massgebend ist ferner und entgegen dem Hinweis der Beschwerdegegner 2 in deren Vernehmlassung die Bezeichnung durch die Polizei oder durch den Beschwerdeführer in Teilen seiner Beschwerdeschrift.

5.
Nach dem Gesagten kann ein strafrechtlich relevantes Verhalten der Beschwerdegegner 2 und 3 gestützt auf die getätigten Ermittlungen nicht mit der für eine Einstellung des Verfahrens notwendigen Klarheit verneint werden. Damit erübrigt es sich, die weiteren Rügen des Beschwerdeführers zu behandeln.

6.
Die Beschwerde ist gutzuheissen, soweit darauf eingetreten werden kann. Der Beschluss der Vorinstanz vom 8. März 2017 ist aufzuheben und die Sache zu neuer Entscheidung an diese zurückzuweisen.
Die Beschwerdegegner 2 werden als unterliegende Partei kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Der Kanton Luzern trägt keine Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 4
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Dem Beschwerdeführer ist keine Entschädigung zuzusprechen, da er im bundesgerichtlichen Verfahren nicht anwaltlich vertreten ist und keine besonderen Verhältnisse oder Auslagen geltend macht, die eine solche rechtfertigen könnten (vgl. BGE 127 V 205 E. 4b S. 207; 125 II 518 E. 5b S. 519 f.).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen, soweit darauf einzutreten ist. Der Beschluss des Kantonsgerichts Luzern vom 8. März 2017 wird aufgehoben und die Sache zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen.

2.
Den Beschwerdegegnern 2 werden Gerichtskosten von Fr. 1'500.-- auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Luzern, 1. Abteilung, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 6. November 2017

Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Denys

Der Gerichtsschreiber: Weber
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 6B_498/2017
Date : 06 novembre 2017
Publié : 17 novembre 2017
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Procédure pénale
Objet : Einstellungsverfügung (fahrlässige Körperverletzung); Willkür etc.


Répertoire des lois
CO: 41 
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 41 - 1 Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
1    Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
2    Celui qui cause intentionnellement un dommage à autrui par des faits contraires aux moeurs est également tenu de le réparer.
47
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 47 - Le juge peut, en tenant compte de circonstances particulières, allouer à la victime de lésions corporelles ou, en cas de mort d'homme, à la famille une indemnité équitable à titre de réparation morale.
CPP: 139 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 139 Principes - 1 Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité.
1    Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité.
2    Il n'y a pas lieu d'administrer des preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés.
145 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 145 Rapports écrits - L'autorité pénale peut, en lieu et place d'une audition ou en complément de celle-ci, inviter le comparant à lui présenter un rapport écrit sur ses constatations.
182 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 182 Recours à un expert - Le ministère public et les tribunaux ont recours à un ou plusieurs experts lorsqu'ils ne disposent pas des connaissances et des capacités nécessaires pour constater ou juger un état de fait.
184 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 184 Désignation et mandat - 1 La direction de la procédure désigne l'expert.
1    La direction de la procédure désigne l'expert.
2    Elle établit un mandat écrit qui contient:
a  le nom de l'expert désigné;
b  éventuellement, la mention autorisant l'expert à faire appel à d'autres personnes travaillant sous sa responsabilité pour la réalisation de l'expertise;
c  une définition précise des questions à élucider;
d  le délai à respecter pour la remise du rapport d'expertise;
e  la mention de l'obligation de garder le secret à laquelle sont soumis l'expert ainsi que ses auxiliaires éventuels;
f  la référence aux conséquences pénales d'un faux rapport d'expertise au sens de l'art. 307 CP109.
3    La direction de la procédure donne préalablement aux parties l'occasion de s'exprimer sur le choix de l'expert et les questions qui lui sont posées et de faire leurs propres propositions. Elle peut toutefois y renoncer dans le cas d'analyses de laboratoire, notamment lorsqu'il s'agit de déterminer le taux d'alcoolémie dans le sang ou le degré de pureté de certaines substances, d'établir un profil d'ADN ou de prouver la présence de stupéfiants dans le sang.
4    Elle remet à l'expert avec le mandat les pièces et les objets nécessaires à l'établissement de l'expertise.
5    Elle peut révoquer le mandat en tout temps et nommer un nouvel expert si l'intérêt de la cause le justifie.
6    Elle peut demander un devis avant l'attribution du mandat.
7    Si la partie plaignante demande une expertise, la direction de la procédure peut subordonner l'octroi du mandat au versement d'une avance de frais par la partie plaignante.
195 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 195 Demande de rapports et de renseignements - 1 Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
1    Les autorités pénales requièrent les rapports officiels et les certificats médicaux relatifs à des faits qui peuvent revêtir de l'importance au regard de la procédure pénale.
2    Afin d'élucider la situation personnelle du prévenu, le ministère public et les tribunaux demandent des renseignements sur les antécédents judiciaires et la réputation du prévenu, ainsi que d'autres rapports pertinents auprès de services officiels ou de particuliers.
319
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 319 Motifs de classement - 1 Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure:
1    Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure:
a  lorsqu'aucun soupçon justifiant une mise en accusation n'est établi;
b  lorsque les éléments constitutifs d'une infraction ne sont pas réunis;
c  lorsque des faits justificatifs empêchent de retenir une infraction contre le prévenu;
d  lorsqu'il est établi que certaines conditions à l'ouverture de l'action pénale ne peuvent pas être remplies ou que des empêchements de procéder sont apparus;
e  lorsqu'on peut renoncer à toute poursuite ou à toute sanction en vertu de dispositions légales.
2    À titre exceptionnel, le ministère public peut également classer la procédure aux conditions suivantes:
a  l'intérêt d'une victime qui était âgée de moins de 18 ans à la date de commission de l'infraction l'exige impérieusement et le classement l'emporte manifestement sur l'intérêt de l'État à la poursuite pénale;
b  la victime ou, si elle n'est pas capable de discernement, son représentant légal a consenti au classement.
Cst: 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
81 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
ordonnance sur les grues: 15
SR 832.312.15 Ordonnance du 27 septembre 1999 sur les conditions de sécurité régissant l'utilisation des grues (Ordonnance sur les grues) - Ordonnance sur les grues
Ordonnance-sur-les-grues Art. 15
1    L'employeur doit faire contrôler régulièrement, selon les règles reconnues de la technique, si les grues qu'il utilise sont en parfait état de service ou s'assurer que ces contrôles ont été exécutés.
2    Les contrôles doivent être exécutés par des personnes formées à cet effet.
3    Pour le contrôle des camions-grue et des grues à tour pivotante, il faut faire appel à un expert en grues au sens de l'art. 16, al. 1.25
4    La commission de coordination édicte des directives sur la fréquence, l'ampleur et la procédure des contrôles.
Répertoire ATF
106-IV-80 • 125-II-518 • 127-V-205 • 130-IV-7 • 131-IV-145 • 134-IV-193 • 135-IV-56 • 136-I-229 • 138-IV-186 • 138-IV-86 • 141-I-60 • 141-IV-1 • 141-IV-317 • 143-IV-241
Weitere Urteile ab 2000
6B_498/2017 • 6B_835/2014
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • intimé • tribunal fédéral • tribunal cantonal • état de fait • constatation des faits • question • ordonnance sur les grues • recours en matière pénale • accusation • tort moral • frais judiciaires • condamnation • droit d'être entendu • décision • classement de la procédure • acquittement • greffier • fondation • emploi
... Les montrer tous
FF
2006/1085