Bundesstrafgericht
Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federal
Geschäftsnummer: RR.2014.143-144
Entscheid vom 6. November 2014 Beschwerdekammer
Besetzung
Bundesstrafrichter Stephan Blättler, Vorsitz, Cornelia Cova und Patrick Robert-Nicoud, Gerichtsschreiberin Chantal Blättler Grivet Fojaja
Parteien
1. A. AG, c/o Avv. Andrea Prospero, 2. B. AG, c/o Avv. Andrea Prospero, Beschwerdeführerinnen 1 + 2
gegen
Bundesanwaltschaft, Beschwerdegegnerin
Gegenstand
Internationale Rechtshilfe in Strafsachen an Italien
Herausgabe von Beweismitteln (Art. 74
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 74 Remise de moyens de preuves - 1 Sur demande de l'autorité étrangère compétente, les objets, documents ou valeurs saisis à titre probatoire, ainsi que les dossiers et décisions, lui sont remis au terme de la procédure d'entraide (art. 80d). |
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1 | Sur demande de l'autorité étrangère compétente, les objets, documents ou valeurs saisis à titre probatoire, ainsi que les dossiers et décisions, lui sont remis au terme de la procédure d'entraide (art. 80d). |
2 | Si un tiers acquéreur de bonne foi, une autorité ou le lésé qui a sa résidence habituelle en Suisse font valoir des droits sur les objets, documents ou valeurs visés à l'al. 1, leur remise est subordonnée à la condition que l'État requérant donne la garantie de les restituer gratuitement au terme de sa procédure. |
3 | La remise peut être reportée si les objets, documents ou valeurs sont nécessaires à une procédure pénale pendante en Suisse. |
4 | Les droits de gage au profit du fisc sont réglés par l'art. 60. |
Sachverhalt:
A. Die italienischen Strafverfolgungsbehörden führen gegen mehrere Personen, darunter unter anderem C. alias D. alias E. ein Strafverfahren wegen des Verdachts der Geldwäscherei und der kriminellen Vereinigung zwecks Ausübung betrügerischer Finanztätigkeiten. In diesem Zusammenhang ist die Procura della Rupubblica di Firenze mit Rechtshilfeersuchen vom 2. Oktober 2012 an die Schweiz gelangt und hat unter anderem um Erhebung aller ab dem 1. Januar 2010 bestehenden Unterlagen zu Kontoverbindungen, die in Zusammenhang mit F. bzw. den vom ihm beherrschten Gesellschaften B. AG und der A. AG stehen könnten und die Vornahme einer Durchsuchung der Büroräumlichkeiten der G. AG an der X-Strasse in Y. (Schweiz) ersucht (act. 1.3 I Ziff. 2; Verfahrensakten Beilage 2).
B. Nachdem das Bundesamt für Justiz (nachfolgend "BJ") am 11. Okto-ber 2012 das Rechtshilfeersuchen an die Bundesanwaltschaft zum Vollzug delegiert hatte, trat diese mit Verfügung vom 11. März 2013 auf das Ersuchen ein und ordnete den Vollzug der erbetenen Rechtshilfemassnahmen an. Unter anderem zog sie zahlreiche Unterlagen aus einer konnexen, in der Schweiz geführten Strafuntersuchung SV.12.0541 bei, nämlich Dokumente, die anlässlich einer Hausdurchsuchung der Eidgenössischen Zollverwaltung (nachfolgend "EZV") vom 5. Juni 2012 im Verfahren 67.0.745002.2.12 in von der B. AG der A. AG gemieteten Räumlichkeiten an der X-Strasse in Y. (Schweiz) erhoben worden waren (act. 1.3 II Ziff. 5 und act. 1.3. III Ziff. 2).
C. Mit Schlussverfügung vom 26. März 2014 verfügte die Bundesanwaltschaft die Herausgabe der aus dem Verfahren der EZV Nr. 67.0.74500.2.12 beigezogenen Akten betreffend Hausdurchsuchung an der X-Strasse, in Y. (Schweiz) (act. 1.3, Dispositiv-Ziffer 3).
D. Dagegen gelangten die B. AG und die A. AG mit Beschwerde vom 28. April 2014 an die Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts und beantragen die Aufhebung der Schlussverfügung vom 26. März 2014 und die Verweigerung der zur Herausgabe beabsichtigten Akten (act. 1 S. 42).
E. Während das BJ am 14. Mai 2014 auf eine Stellungnahme verzichtete (act. 6), beantragt die Bundesanwaltschaft in ihrer Beschwerdeantwort vom 22. Mai 2014 die kostenfällige Abweisung der Beschwerde (act. 7). Die Beschwerdeführerinnen halten in ihrer Replik vom 5. Juni 2014 an ihren in der Beschwerde gestellten Anträgen fest (act. 10), was dem BJ und der Beschwerdegegnerin am 6. Juni 2014 zur Kenntnis gebracht wurde (act. 11).
Auf die weiteren Ausführungen der Parteien und die eingereichten Akten wird, soweit erforderlich, in den rechtlichen Erwägungen Bezug genommen.
Die Beschwerdekammer zieht in Erwägung:
1.
1.1 Für die Rechtshilfe zwischen Italien und der Schweiz sind in erster Linie das Europäische Übereinkommen vom 20. April 1959 über die Rechtshilfe in Strafsachen (EUeR, SR 0.351.1) sowie der Vertrag vom 10. September 1998 zwischen der Schweiz und Italien zur Ergänzung des EUeR und zur Erleichterung seiner Anwendung (ZV, SR 0.351.945.41) massgebend. Überdies gelangen die Bestimmungen der Art. 48 ff. des Übereinkommens vom 19. Juni 1990 zur Durchführung des Übereinkommens von Schengen vom 14. Juni 1985 (Schengener Durchführungsübereinkommen, SDÜ; ABl. L 239 vom 22. September 2000, S. 19 – 62) zur Anwendung, wobei die zwischen den Vertragsparteien geltenden weitergehenden Bestimmungen aufgrund bilateraler Abkommen unberührt bleiben (Art. 48 Abs. 2 SDÜ).
Im Verhältnis zu Italien ebenfalls zur Anwendung kommt das Übereinkommen vom 8. November 1990 über Geldwäscherei sowie Ermittlung, Beschlagnahme und Einziehung von Erträgen aus Straftaten (GwUe, SR 0.311.53).
1.2 Soweit das Staatsvertragsrecht bestimmte Fragen nicht abschliessend regelt, gelangen das Bundesgesetz vom 20. März 1981 (Rechtshilfegesetz, IRSG; SR 351.1) und die Verordnung vom 24. Februar 1982 über internationale Rechtshilfe in Strafsachen (Rechtshilfeverordnung, IRSV; SR 351.11) zur Anwendung (Art. 1 Abs. 1
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 1 Objet - 1 À moins que d'autres lois ou des accords internationaux n'en disposent autrement, la présente loi règle toutes les procédures relatives à la coopération internationale en matière pénale, soit principalement:4 |
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1 | À moins que d'autres lois ou des accords internationaux n'en disposent autrement, la présente loi règle toutes les procédures relatives à la coopération internationale en matière pénale, soit principalement:4 |
a | l'extradition de personnes poursuivies ou condamnées pénalement (deuxième partie); |
b | l'entraide en faveur d'une procédure pénale étrangère (troisième partie); |
c | la délégation de la poursuite et de la répression d'une infraction (quatrième partie); |
d | l'exécution de décisions pénales étrangères (cinquième partie). |
2 | ...5 |
3 | La présente loi ne s'applique qu'aux affaires pénales dans lesquelles le droit de l'État requérant permet de faire appel au juge. |
3bis | À moins que d'autres lois ou des accords internationaux n'en disposent autrement, la présente loi s'applique par analogie aux procédures relatives à la coopération en matière pénale avec des tribunaux internationaux ou d'autres institutions interétatiques ou supranationales exerçant des fonctions d'autorités pénales si ces procédures concernent: |
a | des infractions relevant des titres 12bis, 12ter ou 12quater du code pénal6, ou |
b | des infractions relevant d'autres domaines du droit pénal, lorsque le tribunal ou l'institution se fonde sur une résolution des Nations Unies contraignante pour la Suisse ou soutenue par la Suisse.7 |
3ter | Le Conseil fédéral peut arrêter dans une ordonnance que la présente loi s'applique par analogie aux procédures relatives à la coopération en matière pénale avec d'autres tribunaux internationaux ou d'autres institutions interétatiques ou supranationales exerçant des fonctions d'autorités pénales aux conditions suivantes: |
a | la constitution du tribunal ou de l'institution se fonde sur une base juridique réglant expressément ses compétences en matière de droit pénal et de procédure pénale; |
b | la procédure devant ce tribunal ou devant cette institution garantit le respect des principes de l'État de droit; |
c | la coopération contribue à la sauvegarde des intérêts de la Suisse.8 |
4 | La présente loi ne confère pas le droit d'exiger une coopération en matière pénale.9 |
2.
2.1 Beim angefochtenen Entscheid handelt es sich um eine Schlussverfügung der ausführenden Bundesbehörde in internationalen Rechtshilfeangelegenheiten, gegen welche innert 30 Tagen ab der schriftlichen Mitteilung bei der Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts Beschwerde geführt werden kann (Art. 80e Abs. 1
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 80e Recours contre les décisions des autorités d'exécution - 1 Peuvent faire l'objet d'un recours devant la cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral, la décision de l'autorité cantonale ou fédérale d'exécution relative à la clôture de la procédure d'entraide et, conjointement, les décisions incidentes. |
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1 | Peuvent faire l'objet d'un recours devant la cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral, la décision de l'autorité cantonale ou fédérale d'exécution relative à la clôture de la procédure d'entraide et, conjointement, les décisions incidentes. |
2 | Les décisions incidentes antérieures à la décision de clôture peuvent faire l'objet d'un recours séparé si elles causent un préjudice immédiat et irréparable en raison: |
a | de la saisie d'objets ou de valeurs, ou |
b | de la présence de personnes qui participent à la procédure à l'étranger. |
3 | L'art. 80l, al. 2 et 3, est applicable par analogie. |
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 80k Délai de recours - Le délai de recours contre la décision de clôture est de 30 jours dès la communication écrite de la décision; s'il s'agit d'une décision incidente, ce délai est de dix jours. |
SR 173.71 Loi fédérale du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales de la Confédération (Loi sur l'organisation des autorités pénales, LOAP) - Loi sur l'organisation des autorités pénales LOAP Art. 37 Compétences - 1 Les cours des plaintes statuent sur les affaires dont le CPP14 attribue la compétence à l'autorité de recours ou au Tribunal pénal fédéral. |
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1 | Les cours des plaintes statuent sur les affaires dont le CPP14 attribue la compétence à l'autorité de recours ou au Tribunal pénal fédéral. |
2 | Elles statuent en outre: |
a | sur les recours en matière d'entraide pénale internationale, conformément aux actes législatifs suivants: |
a1 | loi du 20 mars 1981 sur l'entraide pénale internationale15, |
a2 | loi fédérale du 21 décembre 1995 relative à la coopération avec les tribunaux internationaux chargés de poursuivre les violations graves du droit international humanitaire16, |
a3 | loi fédérale du 22 juin 2001 sur la coopération avec la Cour pénale internationale17, |
a4 | loi fédérale du 3 octobre 1975 relative au traité conclu avec les États-Unis d'Amérique sur l'entraide judiciaire en matière pénale18; |
b | sur les plaintes qui lui sont soumises en vertu de la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif19; |
c | sur les recours contre les décisions du Tribunal administratif fédéral qui portent sur les rapports de travail de ses juges et de son personnel et sur ceux des collaborateurs des secrétariats permanents des commissions fédérales d'estimation; |
d | sur les conflits de compétence entre les juridictions militaire et civile; |
e | sur les différends qui lui sont soumis en vertu de la loi fédérale du 21 mars 1997 instituant des mesures visant au maintien de la sûreté intérieure21; |
f | sur les différends qui lui sont soumis en vertu de la loi fédérale du 7 octobre 1994 sur les Offices centraux de police criminelle de la Confédération22; |
g | sur les conflits de compétence qui lui sont soumis en vertu de la loi fédérale du 29 septembre 2017 sur les jeux d'argent24. |
SR 173.713.161 Règlement du 31 août 2010 sur l'organisation du Tribunal pénal fédéral (Règlement sur l'organisation du TPF, ROTPF) - Règlement sur l'organisation du TPF ROTPF Art. 19 - 1 La Cour des plaintes accomplit les tâches qui lui incombent en vertu des art. 37 et 65, al. 3, LOAP ou d'autres lois fédérales.28 |
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1 | La Cour des plaintes accomplit les tâches qui lui incombent en vertu des art. 37 et 65, al. 3, LOAP ou d'autres lois fédérales.28 |
2 | ...29 |
3 | La Cour des plaintes statue à trois juges sauf si la direction de la procédure est compétente. Elle peut statuer par voie de circulation s'il y a unanimité et que ni un juge, ni le greffier de la composition n'a requis de délibération.30 |
2.2 Zur Beschwerdeführung ist berechtigt, wer persönlich und direkt von einer Rechtshilfemassnahme betroffen ist und ein schutzwürdiges Interesse an deren Aufhebung oder Änderung hat (Art. 80h lit. b
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 80h Qualité pour recourir - Ont qualité pour recourir: |
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a | l'OFJ; |
b | quiconque est personnellement et directement touché par une mesure d'entraide et a un intérêt digne de protection à ce qu'elle soit annulée ou modifiée. |
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 21 Dispositions communes - 1 La personne poursuivie peut se faire assister d'un mandataire. Si elle ne peut ou ne veut y pourvoir et que la sauvegarde de ses intérêts l'exige, un mandataire d'office lui est désigné. |
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1 | La personne poursuivie peut se faire assister d'un mandataire. Si elle ne peut ou ne veut y pourvoir et que la sauvegarde de ses intérêts l'exige, un mandataire d'office lui est désigné. |
2 | Lors du traitement de la demande, les autres personnes concernées par une mesure d'entraide ou le lésé qui assiste à des investigations peuvent se faire assister par un mandataire, si la sauvegarde de leurs intérêts l'exige, et se faire représenter par lui, si l'objet de l'enquête n'est pas compromis.62 |
3 | La personne visée par la procédure pénale étrangère ne peut attaquer une décision que si elle est personnellement et directement touchée par une mesure d'entraide et a un intérêt digne de protection à ce qu'elle soit annulée ou modifiée.63 |
4 | Le recours formé contre une décision rendue en application de la présente loi n'a pas d'effet suspensif. Font exception: |
a | le recours dirigé contre une décision accordant l'extradition; |
b | le recours dirigé contre une décision autorisant soit la transmission à l'étranger de renseignements concernant le domaine secret soit le transfert d'objets ou de valeurs.64 |
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 80h Qualité pour recourir - Ont qualité pour recourir: |
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a | l'OFJ; |
b | quiconque est personnellement et directement touché par une mesure d'entraide et a un intérêt digne de protection à ce qu'elle soit annulée ou modifiée. |
SR 351.11 Ordonnance du 24 février 1982 sur l'entraide internationale en matière pénale (Ordonnance sur l'entraide pénale internationale, OEIMP) - Ordonnance sur l'entraide pénale internationale OEIMP Art. 9a Personne touchée - Est notamment réputé personnellement et directement touché au sens des art. 21, al. 3, et 80h EIMP: |
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a | en cas d'informations sur un compte, le titulaire du compte; |
b | en cas de perquisition, le propriétaire ou le locataire; |
c | en cas de mesures concernant un véhicule à moteur, le détenteur. |
Vorliegend beinhaltet die angefochtene Schlussverfügung die Herausgabe von Unterlagen, welche anlässlich des Vollzugs eines spanischen Rechtshilfeersuchens durchgeführten Hausdurchsuchung vom 5. Juni 2012 in den von den Beschwerdeführerinnen gemieteten Räumlichkeiten von der EZV beschlagnahmt und im Anschluss von der Beschwerdegegnerin im nationalen Strafverfahren SV.12.0541 beigezogen wurden. Im Sinne der oben erläuterten Rechtsprechung sind die Beschwerdeführerinnen demzufolge beschwerdelegitimiert, weshalb auf die Beschwerde einzutreten ist.
3. Die Beschwerdekammer ist nicht an die Begehren der Parteien gebunden (Art. 25 Abs. 6
SR 351.1 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'entraide internationale en matière pénale (Loi sur l'entraide pénale internationale, EIMP) - Loi sur l'entraide pénale internationale EIMP Art. 25 - 1 Les décisions rendues en première instance par les autorités cantonales et fédérales peuvent directement faire l'objet d'un recours devant la cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral, à moins que la présente loi n'en dispose autrement.69 |
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1 | Les décisions rendues en première instance par les autorités cantonales et fédérales peuvent directement faire l'objet d'un recours devant la cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral, à moins que la présente loi n'en dispose autrement.69 |
2 | Le recours n'est recevable contre une demande suisse adressée à un État étranger que si elle est présentée aux fins de lui faire assumer la poursuite pénale ou l'exécution d'un jugement. Dans ce cas, seule la personne poursuivie qui a sa résidence habituelle en Suisse a le droit de recourir.70 |
2bis | Le recours est recevable contre une demande suisse tendant à obtenir d'un État étranger qu'il assume l'exécution d'une décision pénale en relation avec une remise au sens de l'art. 101, al. 2.71 |
3 | L'OFJ a qualité pour recourir contre les décisions des autorités cantonales ainsi que contre les décisions du Tribunal pénal fédéral. L'autorité cantonale peut recourir contre la décision de l'OFJ de ne pas présenter une demande.72 |
4 | Le recours peut également porter sur l'application inadmissible ou manifestement inexacte du droit étranger. |
5 | ...73 |
6 | La cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral n'est pas liée par les conclusions des parties.74 |
4.
4.1 Die Beschwerdeführerinnen rügen eine Verletzung des Verhältnismässigkeitsprinzips. Ihrer Ansicht nach hätten die meisten der herauszugebenden Dokumente nichts mit der in Italien geführten Strafuntersuchung zu tun. Ausserdem würden einige der herauszugebenden Dokumente eng mit der Tätigkeit von Rechtsanwalt H. als Verteidiger von F. zusammenhängen, unterstünden daher dem Anwaltsgeheimnis und könnten nicht nach Italien herausgegeben werden (act. 1 S. 7 ff.; act. 10 S. 3 ff.).
4.2 Vorab ist festzuhalten, dass sich auf den Schutz des anwaltlichen Berufsgeheimnisses nur der Geheimnisträger selber berufen kann, mithin auf die diesbezüglichen Rügen der Beschwerdeführerinnen nicht weiter einzugehen ist. Hinzu kommt, dass sich die gemäss den Beschwerdeführerinnen dem Anwaltsgeheimnis unterliegenden Akten auf Tätigkeiten von H. als Verwaltungsrat der Beschwerdeführerinnen und damit nicht auf berufsspezifische Tätigkeiten beziehen (nachfolgend 4.5), weshalb das Anwaltsgeheimnis einer Herausgabe ohnehin nicht entgegenstünde (vgl. Oberholzer, in: Niggli/Wiprächtiger [Hrsg.], Strafrecht II, Art. 111
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 111 - Quiconque tue une personne intentionnellement est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au moins, en tant que les conditions prévues aux articles suivants ne sont pas réalisées. |
4.3 Rechtshilfemassnahmen haben generell dem Prinzip der Verhältnismässigkeit zu genügen (ZIMMERMANN, La coopération judiciare internationale en matière pénale, 3. A., Bern 2009, S. 669 ff., mit Verweisen auf die Rechtsprechung; Donatsch/Heimgartner/Simonek, Internationale Rechtshilfe, Zürich/Basel/Genf 2011, S. 61 ff.; Popp, a.a.O., N. 404; siehe statt vieler den Entscheid des Bundesstrafgerichts RR.2011.193 vom 9. Juli 2012, E. 8.2). Die internationale Zusammenarbeit kann nur abgelehnt werden, wenn die verlangten Unterlagen mit der verfolgten Straftat in keinem Zusammenhang stehen und offensichtlich ungeeignet sind, die Untersuchung voranzutreiben, so dass das Ersuchen nur als Vorwand für eine unzulässige Beweisausforschung (“fishing expedition“) erscheint (BGE 136 IV 82 E. 4.1 S. 85; 134 II 318 E. 6.4; 129 II 462 E. 5.3 S. 467 f.). Nicht erforderlich ist, dass dem von der Rechtshilfemassnahme Betroffenen im ausländischen Strafverfahren selbst ein strafbares Verhalten zur Last gelegt wird (Urteil des Bundesgerichts 1A.245/2006 vom 26. Januar 2007, E. 3; Entscheid des Bundesstrafgerichts RR.2007.29 vom 30. Mai 2007, E. 3). Ob die verlangten Auskünfte für das Strafverfahren im ersuchenden Staat nötig oder nützlich sind, ist eine Frage, deren Beantwortung grundsätzlich dem Ermessen der Behörden dieses Staates anheimgestellt ist. Da der ersuchte Staat im Allgemeinen nicht über die Mittel verfügt, die es ihm erlauben würden, sich über die Zweckmässigkeit bestimmter Beweise im ausländischen Verfahren auszusprechen, hat er insoweit die Würdigung der mit der Untersuchung befassten Behörde nicht durch seine eigene zu ersetzen und ist verpflichtet, dem ersuchenden Staat alle diejenigen Aktenstücke zu übermitteln, die sich auf den im Rechtshilfeersuchen dargelegten Sachverhalt beziehen können; nicht zu übermitteln sind nur diejenigen Akten, die für das ausländische Strafverfahren mit Sicherheit nicht erheblich sind (sog. potentielle Erheblichkeit). Dabei darf die ersuchte Rechtshilfebehörde über ein im Rechtshilfeersuchen gestelltes Begehren nicht hinausgehen (Übermassverbot; BGE 136 IV 82 E. 4.1). Die Rechtsprechung hat diesen Grundsatz derweil insofern präzisiert, als das Rechtshilfeersuchen nach Massgabe des Zwecks der angestrebten Rechtshilfe weit ausgelegt werden kann, solange alle Voraussetzungen
für die Gewährung der Rechtshilfe erfüllt sind. Auf diese Weise kann eine andernfalls notwendige Ergänzung des Rechtshilfeersuchens vermieden werden (BGE 136 IV 82 E. 4.1; vgl. zum Ganzen auch TPF 2009 161 E. 5.1 S. 164).
4.4 Im italienischen Rechtshilfeersuchen wird C. und weiteren Mitbeschuldigten vorgeworfen, über einen längeren Zeitraum bis ca. Mai 2012 ca. 360 Kunden hochverzinsliche Vermögensanlagen im Umfang von insgesamt ca. EUR 89 Mio. verkauft zu haben, ohne über die dazu erforderliche Bewilligung für die Entgegennahme von Publikumseinlagen verfügt zu haben. Bei der Bewerbung und dem Verkauf der Vermögensanlagen sollen die Täter zudem vorgetäuscht haben, die Gelder würden bei Banken der renommierten Bankier-Familie I. sicher und gewinnbringend angelegt. In Wirklichkeit habe C. jedoch die Gelder für eigene Bedürfnisse oder für solche der Mittäter verwendet. Um den Anlegern die versprochenen Renditen dennoch auszahlen zu können, habe er bei der Bank J. unter Vorlage gefälschter Bankgarantien der Bank K. entsprechende Darlehen aufgenommen. Die von den Anlegern anvertrauten Gelder habe C. auf Schweizer Bankkonten, welche auf die G. AG und die G. Inc., zwei von ihm beherrschte Gesellschaften, lauten würden, überwiesen. Über die Bankverbindungen der G. AG und die G. Inc. seien sodann Gelder geflossen, die aus dem Umfeld der italienischen Camorra stammen würden. C. habe diese Gelder einerseits in ein Projekt eines Vergnügungsparks in X. (Italien) investiert und andererseits zur Finanzierung von Rohstoff- und Edelmetallgeschäften verwendet. C. habe sich bei diesen Geschäften unter anderem seines Komplizen F. bedient, indem sie über die G. Inc. gefälschte Rechnungen an die in Spanien domizilierte Gesellschaft L. adressiert und damit Erdöl-Handelsgeschäfte fingiert hätten. C. habe zugegeben, dass bei der Bank J. ein "Commodities-Konto" bestehe, das auf "G." und F. oder die Beschwerdeführerin 2 laute. Bei einer in U. (Italien) durchgeführten Hausdurchsuchung hätten eine beachtliche Menge an mutmasslich gefälschten Rechnungen gefunden werden können und zwar für Erdölverkäufe in der Höhe von mehreren Millionen Euro der "G." an die spanische L. im Zeitraum von Februar bis April 2012. F. soll der wirtschaftlich Berechtigte an den Beschwerdeführerinnen sein (Verfahrensakten Beilage 2).
4.5 Die italienischen Behörden gehen mithin davon aus, dass F. in die teilweise fingierten Rohstoff- und Edelmetallgeschäfte von C. involviert gewesen sei und dass über Konten der Beschwerdeführerinnen bei der Bank J. gewaschene Gelder bzw. Gelder im Zusammenhang mit den vorgetäuschten Geschäften geflossen seien. Ziel des Rechtshilfeersuchen ist es, die vermutungsweise deliktische Herkunft der von C. und seinen Mittätern getätigten Geschäfte zu klären. Vor diesem Hintergrund ist nachfolgend zu prüfen, ob die Herausgabe der Dokumente gemäss Schlussverfügung Dispositiv-Ziffer 3 mit dem oben dargelegten Prinzip der Verhältnismässigkeit vereinbar ist. Dabei wird der in der Schlussverfügung verwendeten Zitierweise der Dokumente gefolgt.
4.5.1 Die Bankunterlagen betreffend die Konten Nr. 1 CHF, 2 EUR und 3 USD der Beschwerdeführerin 2 bei der Bank J., wie die Kontoeröffnungsunter-lagen, die Kontoauszüge vom Februar 2011 bis April 2012, die ent-sprechenden Vermögensübersichten und die Belastungs- und Vergütungsanzeigen […], die Kontoeröffnungsformulare der Bank M. AG vom Ja-nuar 2012 mit Bezug auf die Eröffnung eines Kontos der Beschwerdeführerin 2 sowie die diesbezügliche E-Mail-Korrespondenz zwischen H. und der Bank M. AG […], die (undatierten) Kontoeröffnungsformulare der Bank N. SA hinsichtlich der Eröffnung eines Kontos der Beschwerdeführerin 2 sowie zwei Gutschriftsanzeigen vom Februar 2011 und April 2012 über einen Betrag von EUR 50'000 und EUR 2 Mio. vom Konto der Beschwerdeführerin 2 bei der Bank J. auf das Konto der Beschwerdeführerin 2 bei der Bank N. SA mit der IBAN 4 […], die Kontoeröffnungsunterlagen, die Kontoauszüge vom Oktober 2011 bis März 2012 und weitere Bankunterlagen betreffend die Konten Nr. 5, Nr. 3 und Nr. 6 der Beschwerdeführerin 1 bei der Bank J. […] sowie die Kontoeröffnungsunterlagen betreffend ein Konto der Beschwerdeführerin 1 bei der Bank O. Ltd. vom November 2010 und ein Schreiben von H. an die Bank O. Ltd. vom Februar 2011, mit dem er die Saldierung der Kontoverbindung wünscht […] sind für das in Italien geführte Strafverfahren offenkundig geeignet, um sich einen Überblick darüber zu verschaffen, wohin die mutmasslich deliktisch erlangten Gelder geflossen sind. Gleiches gilt mit Bezug auf die Bankunterlagen für das Mieterkautionskonto bei der Bank P. für die von F. in W. (Schweiz) gemietete Wohnung […], den Einzahlungsschein betreffend die Wohnungsmiete […], die Krankenkassenpolice von F. […] sowie die diversen Zahlungsaufträge von H. an die Bank J. […].
4.5.2 Zweifellos sind ferner sämtliche Unterlagen, die die Geschäftstätigkeit von F. und/oder der im Oktober 2010 bzw. Februar 2011 gegründeten Beschwerdeführerinnen betreffen bzw. die Rückschlüsse auf deren Geschäftstätigkeit schliessen lassen, von Nutzen, um sich ein Bild über die im Rechtshilfeersuchen erwähnten Rohstoffgeschäfte, die teilweise über Konten von F. oder der Beschwerdeführerinnen abgewickelt worden seien, zu machen. So finden sich in den Geschäftsunterlagen der Beschwerdeführerin 2 zahlreiche Dokumente zu Öl-, Gold-, Aluminium- und Mineralgeschäften, die die Beschwerdeführerin 2 über den Zeitraum von Januar 2011 bis Mai 2012 mit verschiedenen in- und ausländischen Gesellschaften getätigt bzw. abzuwickeln beabsichtigt haben soll, wie beispielsweise mit der Q. Corporation in V. (USA) […], der R. SA in ZZ. (Schweiz) […], der S. SA in YY. (Schweiz) […], der T. Inc. in XX. (USA) […], der AA. in Venezuela […], der BB. Ltd. in China […], der CC. Enterprise in Ghana […], der DD. Ltd. in Saudi Arabien […] sowie der EE. in VV. (Schweiz) […]. Eine Vielzahl von E-Mails zwischen F. und H. bzw. zwischen F. und Dritten, wie auch Banken sowie Dokumente von Januar 2011 bis Mai 2012 haben ferner die Abwicklung von Öl-, Gold-, Aluminium- und Kryolithgeschäften unter anderem in Venezuela, Zypern und den USA, die Beteiligung an ausländischen Gesellschaften (insbesondere der FF. Ltd.) oder Anlagegeschäfte zum Inhalt […]. Bei den Unterlagen befinden sich auch diverse Abrechnungen oder Garantien, die unter anderem Öl- und Goldgeschäfte von F. und/oder der Beschwerdeführerin 1 zum Gegenstand haben […]. In einer E-Mail vom April 2011 zwischen F. und H. wird sodann über ein Geschäft mit der im Rechtshilfeersuchen erwähnten L. gesprochen […]. Ausserdem finden sich Korrespondenz und Dokumente vom Juni 2010 zwischen H., C. und der G. AG betreffend den Erwerb eines Gemäldes, diverse E-Mails vom April und Mai 2012 zwischen F. bzw. H. und C., welche die Geschäftsabwicklung unter anderem über den Singapurer Markt sowie wiederum den Erwerb eines Gemäldes zum Inhalt haben […]. Schliesslich befinden sich unter den herauszugebenden Dokumenten auch Unterlagen hinsichtlich der Gründung diverser juristischer Personen durch F., wie der GG. S.L., der HH. Ltd. und der II. SA […], ein Asset Management Agreement zwischen
der G. AG und der Beschwerdeführerin 1 vom Januar 2012 […], ein Trust Agreement zwischen der FF. Ltd. und der Beschwerdeführerin 1 […] sowie ein Loan-Agreement zwischen der Beschwerdeführerin 1 und der JJ. Sagl […]. All diese Dokumente weisen fraglos einen genügenden Konnex zum italienischen Strafverfahren auf, sodass sie ohne Weiteres dem ersuchenden Staat herauszugeben sind.
4.5.3 Genauso von Interesse dürften für die italienischen Behörden sämtliche firmeninternen Dokumente der Beschwerdeführerinnen sein, können diese doch Aufschluss über die Hintergründe der Geschäftstätigkeit sowie die Verwendung der mutmasslich deliktisch erlangten Gelder geben. Es handelt es sich hierbei um die Gründungsunterlagen der Beschwerdeführerinnen […], die Aktienzertifikate […], die (Arbeits-)Verträge zwischen der Beschwerdeführerin 2 und F. […], ein Trust Agreement zwischen H. und F. betreffend die Geschäftsführung der Beschwerdeführerin 1 […], die Vollmachten der Beschwerdeführerin 2 an H. vom April und Juni 2012 […], ein Untermietvertrag zwischen der Beschwerdeführerin 2 und H. […], die interne Korrespondenz zwischen F. und H. sowie Dokumente betreffend die Verwaltung und Geschäftsführung der Beschwerdeführerinnen […] bzw. zwischen H. und KK. betreffend das Arbeitsverhältnis von F. mit der JJ. SAGL […], die Honorar- und Spesenabrechnungen von H. […], die Notizen von H. betreffend die Geschäftsführung der Beschwerdeführerinnen […], dessen Rücktrittserklärung als Direktor der Beschwerdeführerin 2 […], eine Aktennotiz von MLaw LL. betreffend Rohwarenhandel der Beschwerdeführerin 1 […], ein Internetauszug der Ghana News […], alle Buchhaltungsdokumente der Beschwerdeführerinnen – wie Bankabrechnungen, Abrechnungen der Sozialleistungen, der MwSt., Steuerunterlagen – und die entsprechende Korrespondenz zwischen H., F., KK. und der für die Buchhaltung der Beschwerdeführerinnen zuständigen MM. AG […] sowie schliesslich der Beschluss des Verwaltungsrates der Beschwerdeführerin 1 vom 21. September 2011 mit Bezug auf die Emission eines Aktienzertifikats […]. Soweit die Beschwerdeführerinnen bezüglich des zuletzt genannten Dokuments geltend machen, dieses könne nicht herausgegeben werden, da es dem Schutz auf Privatsphäre unterliege (act. 1 S. 36), sind sie darauf hinzuweisen, dass im Bereich der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen der Anspruch auf Privatsphäre (Art. 13
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 13 Protection de la sphère privée - 1 Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile, de sa correspondance et des relations qu'elle établit par la poste et les télécommunications. |
|
1 | Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile, de sa correspondance et des relations qu'elle établit par la poste et les télécommunications. |
2 | Toute personne a le droit d'être protégée contre l'emploi abusif des données qui la concernent. |
4.5.4 Zahlreiche weitere Dokumente beziehen sich auf zwei im Januar 2012 abgeschlossene Consultancy Agreements zwischen den Beschwerdeführerinnen und der JJ. SAGL, WW. (Schweiz), als deren Direktor F. fungierte. Diese sahen unter anderem monatliche Zahlungen der Beschwerdeführerinnen von insgesamt CHF 15'000 an die JJ. SAGL vor. In diesem Zusammenhang stehen auch die im September 2011 abgeschlossenen Verträge zwischen F. und KK. bzw. der NN. SA betreffend den Sitz ("contratto di domiciliazione"), die Geschäftsführung ("contratto di gestione") und die Verwaltung ("contratto di amministrazione") der JJ. SAGL […]. Auch diese Unterlagen sind für die italienischen Strafverfolgungsbehörden von potentieller Erheblichkeit, darf doch als notorisch gelten, dass Consultingverträge häufig als Mittel zur Verschleierung bei Vermögensdelikten genutzt werden (vgl. Entscheid der II. Beschwerdekammer RR.2010.220 vom 14. Juni 2011, E. 6.3).
4.5.5 Die Handelsregisterauszüge und der Auszug aus dem Schweizerischen Handelsamtsblatt die Beschwerdeführerinnen betreffend […] sowie die Auszüge aus dem Geldwäschereigesetz (GwG), dem Obligationenrecht (OR) und dem Mehrwertsteuergesetz (MWSTG) bzw. die Kopien der Richtlinie 2006/70/EG der Kommission vom 1. August 2006, in: Amtsblatt der Europäischen Union, L214/29 vom 4. August 2006 sowie der Verordnung über Massnahmen gegenüber der Demokratischen Republik Kongo, SR.946.231.12 […], dürfen – da es sich hierbei um öffentlich zugängliche Dokumente handelt – ohne Weiteres dem ersuchenden Staat herausgegeben werden.
4.5.6 Schliesslich sind auch sämtliche Dokumente, die Rückschlüsse auf die Person von F. bzw. auf dessen persönliches und familiäres Umfeld zulassen, von potentieller Relevanz, damit sich die italienischen Behörden ein umfassendes Bild über den Kreis der in die mutmasslich deliktischen Tätigkeiten involvierten Personen machen können. Es handelt es sich dabei um folgende Unterlagen: Eine E-Mail zwischen den Eheleuten F. vom Mai 2012 betreffend den Familienstatus der "Familie OO." […], die Korrespondenz zwischen F. und H. vom Oktober 2011, Februar, Mai und Juni 2012 im Zusammenhang mit ausländischen Adressen von F., dessen Aufenthaltsbewilligung bzw. dem Familiennachzug der Familie von F. […], der Lebenslauf von F. […], ein Artikel aus der Zeitung "PP." (Kopie) vom 26. Mai 2005, der Bezug auf die Arbeit von F. nimmt […], sowie zwei E-Mails vom Oktober und November 2011 zwischen H. und F. bzw. KK. betreffend die Übergabe der Wohnung von F. in W. (Schweiz) und die Wohnsitznahme von F. in der Schweiz und dessen Führerausweis […].
4.5.7 Offensichtlich keinen Konnex zum Strafverfahren in Italien haben jedoch folgende Unterlagen: Eine E-Mail zwischen F. und H. vom Juni 2012 mit religiösem Inhalt […], Ostern- und Weihnachtsglückwünsche von F. an H. […], eine nicht lesbare E- Mail von H. vom Juni 2012 mit kryptischen Zeichen […], eine Broschüre der Fachmesse für Technologie und Handel von pflanzlichen Ölen und tierischen Fetten, München 5.-7. Oktober 2011 […], ein Ausschnitt aus der NZZ (Kopie), Nr. 127 vom 4. April 2012, S. 19, mit dem Titel "Rajoy will EU-Fiskalbehörde […], ein Seminarprogram einer wissenschaftlichen Tagung vom April 2012 […], eine E-Mail von H. an F. vom Januar 2012 hinsichtlich des Besuchs von Deutschlektionen […] und ein von F. verfasster Zeitungsartikel in spanischer Sprache (ohne Datum) mit gesellschaftskritischem Inhalt […].
In diesem Umfang ist die Beschwerde daher gutzuheissen.
5. Weitere Rechtshilfehindernisse werden weder genannt, noch sind solche ersichtlich. Die Beschwerde ist daher zu einem kleinen Teil, nämlich mit Bezug auf die Herausgabe der unter Ziffer 4.5.7 genannten Dokumente, gutzuheissen und im Übrigen abzuweisen.
6. Bei diesem Ausgang des Verfahrens hat die Beschwerdegegnerin die Beschwerdeführerinnen im Umfang des teilweisen Obsiegens für die ihr erwachsenen notwendigen und verhältnismässigen Parteikosten zu entschädigen (Art. 64 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
|
1 | L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
2 | Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué. |
3 | Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens. |
4 | La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110 |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
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1 | L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
2 | Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué. |
3 | Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens. |
4 | La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110 |
SR 173.71 Loi fédérale du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales de la Confédération (Loi sur l'organisation des autorités pénales, LOAP) - Loi sur l'organisation des autorités pénales LOAP Art. 39 Principe - 1 La procédure devant les cours du Tribunal pénal fédéral est régie par le CPP26 et par la présente loi. |
|
1 | La procédure devant les cours du Tribunal pénal fédéral est régie par le CPP26 et par la présente loi. |
2 | Sont réservés: |
a | les cas prévus aux art. 35, al. 2, et 37, al. 2, let. b, qui sont régis par la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif27; |
b | les cas prévus à l'art. 37, al. 2, let. a, qui sont régis par la loi du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative28 et les dispositions des lois d'entraide judiciaire pertinentes; |
c | les cas prévus à l'art. 37, al. 2, let. c, qui sont régis par la loi du 24 mars 2000 sur le personnel de la Confédération29 et par la loi fédérale sur la procédure administrative; |
d | les cas prévus à l'art. 37, al. 2, let. e à g, qui sont régis par la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative.30 |
SR 173.71 Loi fédérale du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales de la Confédération (Loi sur l'organisation des autorités pénales, LOAP) - Loi sur l'organisation des autorités pénales LOAP Art. 53 Cour plénière - 1 La Cour plénière se compose des juges ordinaires. |
|
1 | La Cour plénière se compose des juges ordinaires. |
2 | Elle est chargée: |
a | d'édicter les règlements relatifs à l'organisation et à l'administration du tribunal, à la répartition des affaires, à l'information, aux frais de procédure et aux dépens et indemnités prévus à l'art. 73; |
b | de faire une proposition à l'Assemblée fédérale pour l'élection des candidats à la présidence et à la vice-présidence; |
c | de statuer sur les demandes de modification du taux d'occupation des juges pendant leur période de fonction; |
d | d'adopter le rapport de gestion et de le transmettre à l'Assemblée fédérale; |
e | de constituer les cours des affaires pénales et les cours des plaintes ainsi que de nommer le président et le vice-président de chaque cour, sur proposition de la Commission administrative; |
f | d'affecter les juges suppléants aux cours des affaires pénales et aux cours des plaintes sur proposition de la Commission administrative; |
g | de nommer le secrétaire général et son suppléant sur proposition de la Commission administrative; |
h | de prendre position sur les projets d'actes normatifs; |
i | de statuer sur l'adhésion à des associations internationales; |
j | d'exercer les autres tâches que la loi lui attribue. |
3 | La Cour plénière ne peut siéger ou décider par voie de circulation qu'avec la participation de deux tiers au moins des juges. |
4 | Les juges exerçant leur fonction à temps partiel disposent d'une voix. |
SR 173.71 Loi fédérale du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales de la Confédération (Loi sur l'organisation des autorités pénales, LOAP) - Loi sur l'organisation des autorités pénales LOAP Art. 73 Frais et indemnités - 1 Le Tribunal pénal fédéral fixe dans un règlement: |
|
1 | Le Tribunal pénal fédéral fixe dans un règlement: |
a | le mode de calcul des frais de procédure; |
b | le tarif des émoluments; |
c | les dépens alloués aux parties et les indemnités allouées aux défenseurs d'office, aux conseils juridiques gratuits, aux experts et aux témoins. |
2 | Le montant de l'émolument est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties, de leur situation financière et des frais de chancellerie. |
3 | La fourchette des émoluments est de 200 à 100 000 francs pour chacune des procédures suivantes: |
a | la procédure préliminaire; |
b | la procédure de première instance; |
c | la procédure de recours. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
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1 | Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
2 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112 |
3 | Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4. |
4 | Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116 |
SR 173.713.162 Règlement du Tribunal pénal fédéral du 31 août 2010 sur les frais, émoluments, dépens et indemnités de la procédure pénale fédérale (RFPPF) RFPPF Art. 22 Dispositions finales et droit transitoire - 1 Le présent règlement entre en vigueur le 1er janvier 2011. |
|
1 | Le présent règlement entre en vigueur le 1er janvier 2011. |
2 | Le règlement du 26 septembre 2006 sur les dépens et indemnités alloués devant le Tribunal pénal fédéral24 et le règlement du 11 février 2004 fixant les émoluments judiciaires perçus par le Tribunal pénal fédéral25 sont abrogés. |
3 | Le présent règlement s'applique aussi aux affaires pendantes au moment de son entrée en vigueur. |
Demnach erkennt die Beschwerdekammer:
1. Die Beschwerde wird im Sinne von Erwägung 4.5.7 teilweise gutgeheissen.
2. Die Beschwerde wird im Übrigen abgewiesen.
3. Die Beschwerdegegnerin hat die Beschwerdeführerinnen im Umfang ihres teilweisen Obsiegens für das Verfahren vor dem Bundesstrafgericht mit Fr. 300.-- inkl. MwSt. zu entschädigen.
4. Die Gerichtsgebühr von Fr. 5'800.-- wird den Beschwerdeführerinnen unter solidarischer Haftung auferlegt, unter Anrechnung des entsprechenden Betrags am geleisteten Kostenvorschuss von Fr. 6'000.--. Die Bundesstrafgerichtskasse wird angewiesen, den Beschwerdeführerinnen den Restbestrag von Fr. 200.-- zurückzuerstatten.
Bellinzona, 6. November 2014
Im Namen der Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts
Der Präsident: Die Gerichtsschreiberin:
Zustellung an
- Rechtsanwalt Matteo Scotti
- Bundesanwaltschaft, Zweigstelle Zürich
- Bundesamt für Justiz, Fachbereich Rechtshilfe
Rechtsmittelbelehrung
Gegen Entscheide auf dem Gebiet der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen kann innert zehn Tagen nach der Eröffnung der vollständigen Ausfertigung beim Bundesgericht Beschwerde eingereicht werden (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
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1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
Gegen einen Entscheid auf dem Gebiet der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen ist die Beschwerde nur zulässig, wenn er eine Auslieferung, eine Beschlagnahme, eine Herausgabe von Gegenständen oder Vermögenswerten oder eine Übermittlung von Informationen aus dem Geheimbereich betrifft und es sich um einen besonders bedeutenden Fall handelt (Art. 84 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 84 Entraide pénale internationale - 1 Le recours n'est recevable contre une décision rendue en matière d'entraide pénale internationale que s'il a pour objet une extradition, une saisie, le transfert d'objets ou de valeurs ou la transmission de renseignements concernant le domaine secret et s'il concerne un cas particulièrement important. |
|
1 | Le recours n'est recevable contre une décision rendue en matière d'entraide pénale internationale que s'il a pour objet une extradition, une saisie, le transfert d'objets ou de valeurs ou la transmission de renseignements concernant le domaine secret et s'il concerne un cas particulièrement important. |
2 | Un cas est particulièrement important notamment lorsqu'il y a des raisons de supposer que la procédure à l'étranger viole des principes fondamentaux ou comporte d'autres vices graves. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 84 Entraide pénale internationale - 1 Le recours n'est recevable contre une décision rendue en matière d'entraide pénale internationale que s'il a pour objet une extradition, une saisie, le transfert d'objets ou de valeurs ou la transmission de renseignements concernant le domaine secret et s'il concerne un cas particulièrement important. |
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1 | Le recours n'est recevable contre une décision rendue en matière d'entraide pénale internationale que s'il a pour objet une extradition, une saisie, le transfert d'objets ou de valeurs ou la transmission de renseignements concernant le domaine secret et s'il concerne un cas particulièrement important. |
2 | Un cas est particulièrement important notamment lorsqu'il y a des raisons de supposer que la procédure à l'étranger viole des principes fondamentaux ou comporte d'autres vices graves. |