Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 779/2014
{T 0/2}
Urteil vom 6. Mai 2015
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Frésard, Maillard,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.
Verfahrensbeteiligte
AXA Versicherungen AG,
General Guisan-Strasse 40, 8400 Winterthur,
vertreten durch Rechtsanwältin Dr. Kathrin Hässig,
Beschwerdeführerin,
gegen
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Kaspar Gehring,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Unfallversicherung (Revision, Wiedererwägung),
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 29. August 2014.
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1965 geborene A.________ war seit 1. Juli 2001 bei der B.________ AG als Verkäufer angestellt und dadurch bei der AXA Versicherungen AG (vormals Winterthur Versicherungen; nachfolgend AXA) gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 9. August 2004 stürzte A.________ aus ca. drei Metern Höhe von einer Leiter und zog sich Vorderkanten-Impressionsfrakturen der Lendenwirbelkörper 1, 3 und 4 zu. Nach einer stationären Behandlung im Spital C.________ vom 9. bis 12. August 2004 nahm A.________ seine Arbeit am 21. September 2004 zu 50 % wieder auf. Die ab Oktober bzw. November 2004 versuchte Erhöhung des Pensums auf 80 % bzw. 100 % brach er im Januar 2005 ab und arbeitet seither in einem 50 %-Pensum. Die AXA erbrachte Heilkosten- und Taggeldleistungen. Sie klärte die erwerblichen und medizinischen Verhältnisse ab und holte namentlich eine interdisziplinäre (neuropsychiatrische und orthopädische) Begutachtung einschliesslich einer Evaluation der Funktionellen Leistungsfähigkeit des Schmerz- und Gutachtenszentrums der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008 ein. Mit unangefochten in Rechtskraft erwachsener Verfügung vom 29. Oktober 2008 sprach die AXA A.________ ab 1. September 2008 eine Invalidenrente basierend auf einem
Invaliditätsgrad von 52 % sowie eine Integritätsentschädigung von 15 % zu.
A.b. Im zwischenzeitlich eingeleiteten Verfahren betreffend Leistungen der Invalidenversicherung holte die IV-Stelle des Kantons Zürich ein Gutachten des Dr. med. E.________, FMH Orthopädische Chirurgie, vom 28. Mai 2009 ein. Gestützt darauf wies sie den Anspruch auf eine Invalidenrente mit Verfügung vom 10. Dezember 2009 ausgehend von einem Invaliditätsgrad von 20 % ab. Die dagegen eingereichten Rechtsmittel wurden mit Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 6. Juli 2011 und letztinstanzlich mit Urteil des Bundesgerichts vom 21. November 2011 abgewiesen. Nach Kenntnisnahme davon und Gewährung des rechtlichen Gehörs reduzierte die AXA mit Verfügung vom 9. Oktober 2012 die laufende Invalidenrente entsprechend einem Invaliditätsgrad von 33 % mit Wirkung ab 1. Oktober 2012. Die dagegen erhobene Einsprache hiess die AXA mit Entscheid vom 3. Mai 2013 teilweise gut und verschob die Rentenanpassung auf den 1. November 2012.
B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 29. August 2014 gut und hob den Einspracheentscheid der AXA vom 3. Mai 2013 auf.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt die AXA beantragen, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids vom 29. August 2014 sei ihr Einspracheentscheid vom 3. Mai 2013 zu bestätigen.
A.________ lässt auf Abweisung der Beschwerde schliessen. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1. Die Vorinstanz hat erwogen, dass die von der Beschwerdeführerin am 9. Oktober 2012 verfügte und mit Einspracheentscheid vom 3. Mai 2013 bestätigte Reduktion der laufenden Invalidenrente von 52 % auf 33 % weder unter dem Titel der Revision noch der Wiedererwägung zu schützen und daher der Einspracheentscheid vom 3. Mai 2013 aufzuheben sei. Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht durch die Verneinung der Möglichkeit einer Rentenreduktion Bundesrecht verletzt hat.
2.2. Die massgeblichen Bestimmungen und Grundsätze zur prozessualen Revision (Art. 53 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
3.
3.1. Das kantonale Gericht hat zunächst die Möglichkeit einer prozessualen Revision gemäss Art. 53 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
3.2. Die Beschwerdeführerin macht im Wesentlichen geltend, die Verfügung vom 29. Oktober 2008 habe in medizinischer Hinsicht einzig auf das Gutachten der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008 abgestellt, von welchem sich im IV-Verfahren im Nachhinein ergeben habe, dass es keine zuverlässige Entscheidgrundlage zur Beurteilung des somatischen Gesundheitsschadens sowie dessen Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit gewesen sei. Der Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 6. Juli 2011 und das Urteil des Bundesgerichts vom 21. November 2011 bildeten Beweis für die die Revision begründenden neuen erheblichen Tatsachen, wonach das Gutachten der Klinik D.________ einer rechtlichen Überprüfung nicht standhalte und bezüglich Sachverhalt gestützt auf die objektiven Befunde von einer 80%igen Arbeitsfähigkeit des Versicherten auszugehen sei.
3.3. Wie das kantonale Gericht zutreffend ausgeführt hat, rechtfertigt ein revisionsweise vorgebrachtes Element, welches lediglich eine neue Würdigung einer bereits bekannten Tatsache beinhaltet, keine prozessuale Revision. Neue Beweismittel haben entweder dem Beweis der die Revision begründenden neuen erheblichen Tatsachen oder dem Beweis von Tatsachen zu dienen, die zwar bekannt gewesen, zum Nachteil des Gesuchstellers aber unbewiesen geblieben sind. Ausschlaggebend ist, dass das Beweismittel nicht bloss der Sachverhaltswürdigung, sondern der Sachverhaltsfeststellung dient. Es genügt daher nicht, dass ein neues Gutachten den Sachverhalt anders wertet; vielmehr bedarf es neuer Elemente tatsächlicher Natur, welche die Entscheidungsgrundlagen als objektiv mangelhaft erscheinen lassen (BGE 127 V 353 E. 5b S. 358; SVR 2012 UV Nr. 17 S. 63, 8C 434/2011 E. 7 mit Hinweisen). Betrifft der Revisionsgrund eine materielle Anspruchsvoraussetzung, deren Beurteilung massgeblich auf Schätzung oder Beweiswürdigung beruht, auf Elementen also, die notwendigerweise Ermessenszüge aufweisen, ist eine vorgebrachte neue Tatsache als solche in der Regel nicht erheblich. Namentlich bei der Festsetzung der Arbeitsunfähigkeit verfügt ein Gutachter über
einen beachtlichen Ermessensspielraum, basiert doch die Einschätzung der Arbeits (un) fähigkeit massgeblich auf Schätzung oder Würdigung der erfragten und entdeckten Symptome. Ein (prozessrechtlicher) Revisionsgrund fällt demnach überhaupt nur in Betracht, wenn bereits im ursprünglichen Verfahren der untersuchende Arzt und die entscheidende Behörde das Ermessen wegen eines neu erhobenen Befundes zwingend anders hätten ausüben und infolgedessen zu einem anderen Ergebnis hätten gelangen müssen (Urteile 8C 349/2014 vom 18. August 2014 E. 3.3.2 und 9C 955/2012 vom 13. Februar 2013 E. 3.3.1).
3.4. Nach Gesagtem stellen der Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 6. Juli 2011 und das Urteil des Bundesgerichts vom 21. November 2011, in welchen in der Beweiswürdigung im Rahmen des IV-Verfahrens das Gutachten des Dr. med. E.________ vom 28. Mai 2009 dem Gutachten der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008 vorgezogen wurde, weder neue Tatsachen noch neue Beweismittel dar, welche eine prozessuale Revision gemäss Art. 53 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
4.
4.1. Die Vorinstanz verneinte im Weiteren das Vorliegen eines Wiedererwägungsgrundes gemäss Art. 53 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
4.2. Die Beschwerdeführerin macht geltend, ihre Verfügung vom 29. Oktober 2008 habe sich infolge der rechtskräftigen gerichtlichen Feststellungen im IV-Verfahren als in rechtlicher Hinsicht zweifellos unrichtig erwiesen, da ihr eine schlüssige medizinische Grundlage gefehlt habe. Zudem sei deren Berichtigung von erheblicher Bedeutung.
4.3. Voraussetzung für eine Wiedererwägung gemäss Art. 53 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
(Invaliditätsbemessung, Arbeitsunfähigkeitsschätzung, Beweiswürdigung, Zumutbarkeitsfragen) vor dem Hintergrund der Sach- und Rechtslage, wie sie sich im Zeitpunkt der rechtskräftigen Leistungszusprechung darboten, als vertretbar, scheidet die Annahme zweifelloser Unrichtigkeit aus (Urteil 8C 469/2013 vom 24. Februar 2014 E. 3.2, nicht publ. in: BGE 140 V 70; Urteil 8C 73/2015 vom 15. April 2015 E. 2). Ansonsten würde die Wiedererwägung zum Instrument einer voraussetzungslosen Neuprüfung, was sich nicht mit dem Wesen der Rechtsbeständigkeit formell zugesprochener Dauerleistungen vertrüge (SVR 2012 IV Nr. 18 S. 81, 9C 418/2010 E. 3.2; vgl. auch Urteil 8C 918/2013 vom 19. März 2014 E. 2 mit Hinweisen).
4.4. Wie das kantonale Gericht überzeugend dargelegt hat, kann - unabhängig davon, ob die medizinische Entscheidungsgrundlage der Verfügung vom 29. Oktober 2008 Bestandteil einer vergleichsweisen Einigung war oder nicht - von einer zweifellosen Unrichtigkeit der Verfügung vom 29. Oktober 2008 nicht gesprochen werden. Aus dem Umstand, dass bei der Beweiswürdigung im IV-Verfahren das Gutachten des Dr. med. E.________ vom 28. Mai 2009 dem Gutachten der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008, auf welchem die in Frage stehende Verfügung der Beschwerdeführerin beruhte, vorgezogen wurde, kann nicht geschlossen werden, dass kein vernünftiger Zweifel an der ursprünglichen Unrichtigkeit der Verfügung möglich ist. Wie bereits dargelegt, unterscheiden sich die beiden Gutachten im Wesentlichen nicht in der Diagnosestellung, sondern in der Einschätzung der daraus resultierenden Arbeitsunfähigkeit, was einen ermessensgeprägten Schritt der Anspruchsprüfung darstellt. Die Beschwerdeführerin war sich im Zeitpunkt des Verfügungserlasses bewusst, dass die Arbeitsfähigkeit des Versicherten bereits damals unterschiedlich eingeschätzt worden war. So lag ihr das Gutachten des Spital F.________, Klinik für Rheumatologie und Rehabilitation, vom 7.
September 2006 vor, in welchem ausgeführt wurde, die Einschätzung der Arbeitsfähigkeit des Versicherten sei aus rheumatologischer Sicht sehr schwierig. Arbiträr würden sie als Gutachter die Einschränkung der Arbeitsfähigkeit auf 10 % bis max. 30 % festlegen, wobei sie davon ausgingen, dass die Tätigkeit gesteigert werden könne und längerfristig keine Einschränkung der Arbeitsfähigkeit als Herrenmodeverkäufer bestehen werde. Demgegenüber wurde im Gutachten der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008 von einer aus somatischen Gründen bestehenden Arbeitsunfähigkeit von 50 % ausgegangen und nach Ablauf von mehr als drei Jahren keine wesentliche Veränderung der Symptomatik mehr erwartet. In der Stellungnahme vom 26. März 2008 hatte Dr. med. G.________, Facharzt für Neurologie FMH, als beratender Arzt der Beschwerdeführerin sodann ausgeführt, aus rein somatischer Sicht dürfte die Arbeitsfähigkeit zwischen 50 % und 100 % liegen, seines Erachtens näher bei 100 %. Das Gutachten der Klinik D.________ scheine ihm etwas kritiklos, das Gutachten des Spitals F.________ etwas zu hart. Wenn die Beschwerdeführerin bei dieser Ausgangslage auf das Gutachten der Klinik D.________ abgestellt hat, welches auf umfassenden Untersuchungen des Versicherten
beruhte, kann ihr Rentenentscheid nicht wegen einer in einem späteren Gutachten tiefer eingeschätzten Arbeitsunfähigkeit als zweifellos unrichtig qualifiziert werden. Dass ein anderer Entscheid allenfalls richtiger gewesen wäre, genügt nicht als Grund für eine Wiedererwägung.
5.
5.1. Die Beschwerdeführerin macht schliesslich im Sinne einer Eventualbegründung geltend, der Gesundheitszustand des Versicherten habe sich seit dem Gutachten der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008 erheblich verbessert, was sich in der Erhöhung der Arbeitsfähigkeit von 50 % auf 80 % zeige, weshalb eine Anpassung der Rente gemäss Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
5.2. Wie das kantonale Gericht dargelegt hat, veränderte sich der Gesundheitszustand des Versicherten im Zeitraum zwischen dem Gutachten der Klinik D.________ vom 26. Februar 2008 und demjenigen des Dr. med. E.________ vom 28. Mai 2009 nicht wesentlich. Wohl lassen - wie die Vorinstanz aufgezeigt hat - die von Dr. med. E.________ wiedergegebenen Befunde auf geringfügige Verbesserungen schliessen, doch vermögen diese nicht eine massgebliche Steigerung der Leistungs- und Arbeitsfähigkeit begründen. Vielmehr basiert die unterschiedliche Einschätzung der Arbeitsfähigkeit - wie bereits erwähnt - auf einer bloss abweichenden (medizinischen) Beurteilung eines im Wesentlichen gleich gebliebenen Sachverhaltes, was keine revisionsrechtlich relevante Tatsachenänderung im Sinne von Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
5.3.
Zusammenfassend erweist sich der vorinstanzliche Entscheid nicht als bundesrechtswidrig, was zur Abweisung der Beschwerde führt.
6.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdeführerin hat den Beschwerdegegner für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2800.- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 6. Mai 2015
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Leuzinger
Die Gerichtsschreiberin: Kopp Käch