Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Abteilung II
B-623/2019
Urteil vom 6. August 2019
Richter Ronald Flury (Vorsitz),
Besetzung Richter Keita Mutombo, Richter Daniel Willisegger,
Gerichtsschreiber Thomas Ritter.
X._______,
Parteien
Beschwerdeführer,
gegen
Staatssekretariat für Bildung,
Forschung und Innovation SBFI,
Vorinstanz,
Prüfungskommission
der höheren Fachprüfung für Wirtschaftsprüfer,
Erstinstanz.
Gegenstand Höhere Fachprüfung für Wirtschaftsprüfer 2017.
Sachverhalt:
A.
X._______ legte im August/September 2017 die höhere Fachprüfung für Wirtschaftsprüfer ab. Am 12. September 2017 teilte ihm die zuständige Prüfungskommission (nachfolgend: Erstinstanz) mit, dass er die Prüfung nicht bestanden habe.
B.
Gegen diesen Bescheid erhob X._______ am 12. Oktober 2017 Beschwerde beim Staatssekretariat für Bildung, Forschung und Innovation SBFI (nachfolgend: Vorinstanz) mit dem Antrag, ihm das eidgenössische Diplom als Wirtschaftsprüfer zu erteilen. Die Note im Prüfungsteil «Professional Judgement (Fallstudie)» sei von 3.5 auf 4.0 anzuheben. Seine Leistungen seien unterbewertet worden.
C.
Mit Entscheid vom 21. Dezember 2018 (nachfolgend: angefochtener Entscheid) wies die Vorinstanz die Beschwerde ab. Im Wesentlichen führte sie aus, dass die Bewertung der Experten nicht zu beanstanden sei. Daraus ergebe sich, dass es bei der Note 3.5 im genannten Prüfungsteil sein Bewenden habe.
D.
Dagegen führt X._______ (nachfolgend: Beschwerdeführer) mit Eingabe vom 1. Februar 2019 Beschwerde beim Bundesverwaltungsgericht und beantragt, den Beschwerdeentscheid der Vorinstanz aufzuheben, die Prüfung als bestanden zu werten und ihm das Diplom zu verleihen. Im Wesentlichen bringt er vor, es sei keine unabhängige Überprüfung der Leistungsbewertung und eine Verletzung des rechtlichen Gehörs erfolgt. Der Prüfungsentscheid sei zudem materiell unvertretbar.
E.
Mit Eingabe vom 27. März 2019 verzichtet die Erstinstanz auf eine Vernehmlassung.
F.
Die Vorinstanz verweist mit Vernehmlassung vom 17. Mai 2019 im Wesentlichen auf den angefochtenen Entscheid.
Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:
1.
Der Beschwerdeentscheid der Vorinstanz vom 21. Dezember 2018 stellt eine Verfügung im Sinne von Art. 5 Abs. 2
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
|
1 | Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
a | de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations; |
b | de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations; |
c | de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations. |
2 | Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25 |
3 | Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision. |
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20. |
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions: |
|
a | du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale; |
b | du Conseil fédéral concernant: |
b1 | la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26, |
b10 | la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44; |
b2 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27, |
b3 | le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29, |
b4 | l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31, |
b4bis | l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens, |
b5 | la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34, |
b6 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36, |
b7 | la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38, |
b8 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40, |
b9 | la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42; |
c | du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel; |
cbis | du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel; |
cquater | du procureur général de la Confédération, en matière de rapports de travail des procureurs qu'il a nommés et du personnel du Ministère public de la Confédération; |
cquinquies | de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail de son secrétariat; |
cter | de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail des membres du Ministère public de la Confédération élus par l'Assemblée fédérale (Chambres réunies); |
d | de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées; |
e | des établissements et des entreprises de la Confédération; |
f | des commissions fédérales; |
g | des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises; |
h | des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées; |
i | d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral. |
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr) LFPr Art. 61 - 1 Les autorités de recours sont: |
|
1 | Les autorités de recours sont: |
a | une autorité cantonale désignée par le canton, pour les décisions prises par les autorités cantonales ou par les prestataires de la formation professionnelle ayant un mandat du canton; |
b | le SEFRI, pour les autres décisions prises par des organisations extérieures à l'administration fédérale. |
c | ... |
2 | Au surplus la procédure est régie par les dispositions générales du droit de la procédure administrative fédérale. |
1.1 Des Weiteren hat der Beschwerdeführer am vorinstanzlichen Verfahren teilgenommen, ist als Adressat der angefochtenen Verfügung besonders berührt und hat ein schutzwürdiges Interesse an deren Änderung oder Aufhebung (Art. 48 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
|
1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |
Eingabefrist sowie Anforderungen an Form und Inhalt der Beschwerdeschrift sind gewahrt (Art. 50 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 50 - 1 Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. |
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1 | Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. |
2 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
|
1 | Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
2 | Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours. |
3 | Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 44 - La décision est sujette à recours. |
1.2 Auf die Beschwerde ist somit einzutreten.
2.
Nach Art. 27 Bst. a
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr) LFPr Art. 27 Types - La formation professionnelle supérieure s'acquiert: |
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a | par un examen professionnel fédéral ou par un examen professionnel fédéral supérieur; |
b | par une formation reconnue par la Confédération et dispensée par une école supérieure. |
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr) LFPr Art. 28 Examens professionnels fédéraux et examens professionnels fédéraux supérieurs - 1 La personne qui souhaite se présenter aux examens professionnels fédéraux ou aux examens professionnels fédéraux supérieurs doit disposer d'une expérience professionnelle et de connaissances spécifiques dans le domaine concerné. |
|
1 | La personne qui souhaite se présenter aux examens professionnels fédéraux ou aux examens professionnels fédéraux supérieurs doit disposer d'une expérience professionnelle et de connaissances spécifiques dans le domaine concerné. |
2 | Les organisations du monde du travail compétentes définissent les conditions d'admission, le niveau exigé, les procédures de qualification, les certificats délivrés et les titres décernés. Elles tiennent compte des filières de formation qui font suite aux examens. Leurs prescriptions sont soumises à l'approbation du SEFRI. Elles sont publiées dans la Feuille fédérale sous la forme d'un renvoi au sens de l'art. 13, al. 1, let. g, et 3, de la loi du 18 juin 2004 sur les publications officielles9.10 |
3 | Le Conseil fédéral fixe les conditions d'obtention de l'approbation et la procédure à suivre. |
4 | Les cantons peuvent proposer des cours préparatoires. |
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr) LFPr Art. 28 Examens professionnels fédéraux et examens professionnels fédéraux supérieurs - 1 La personne qui souhaite se présenter aux examens professionnels fédéraux ou aux examens professionnels fédéraux supérieurs doit disposer d'une expérience professionnelle et de connaissances spécifiques dans le domaine concerné. |
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1 | La personne qui souhaite se présenter aux examens professionnels fédéraux ou aux examens professionnels fédéraux supérieurs doit disposer d'une expérience professionnelle et de connaissances spécifiques dans le domaine concerné. |
2 | Les organisations du monde du travail compétentes définissent les conditions d'admission, le niveau exigé, les procédures de qualification, les certificats délivrés et les titres décernés. Elles tiennent compte des filières de formation qui font suite aux examens. Leurs prescriptions sont soumises à l'approbation du SEFRI. Elles sont publiées dans la Feuille fédérale sous la forme d'un renvoi au sens de l'art. 13, al. 1, let. g, et 3, de la loi du 18 juin 2004 sur les publications officielles9.10 |
3 | Le Conseil fédéral fixe les conditions d'obtention de l'approbation et la procédure à suivre. |
4 | Les cantons peuvent proposer des cours préparatoires. |
Gemäss der gestützt auf Art. 28 Abs. 2
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr) LFPr Art. 28 Examens professionnels fédéraux et examens professionnels fédéraux supérieurs - 1 La personne qui souhaite se présenter aux examens professionnels fédéraux ou aux examens professionnels fédéraux supérieurs doit disposer d'une expérience professionnelle et de connaissances spécifiques dans le domaine concerné. |
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1 | La personne qui souhaite se présenter aux examens professionnels fédéraux ou aux examens professionnels fédéraux supérieurs doit disposer d'une expérience professionnelle et de connaissances spécifiques dans le domaine concerné. |
2 | Les organisations du monde du travail compétentes définissent les conditions d'admission, le niveau exigé, les procédures de qualification, les certificats délivrés et les titres décernés. Elles tiennent compte des filières de formation qui font suite aux examens. Leurs prescriptions sont soumises à l'approbation du SEFRI. Elles sont publiées dans la Feuille fédérale sous la forme d'un renvoi au sens de l'art. 13, al. 1, let. g, et 3, de la loi du 18 juin 2004 sur les publications officielles9.10 |
3 | Le Conseil fédéral fixe les conditions d'obtention de l'approbation et la procédure à suivre. |
4 | Les cantons peuvent proposer des cours préparatoires. |
3.
In verfahrensrechtlicher Hinsicht rügt der Beschwerdeführer insbesondere eine Verletzung des rechtlichen Gehörs. Es habe keine unabhängige und neutrale Überprüfung der Bewertung seiner Prüfungsleistung stattgefunden, da im vorinstanzlichen Verfahren ausschliesslich die Prüfungsexperten der Prüfungskommission die gerügte Bewertung nachgeprüft hätten und zu Handen der Vorinstanz Stellung genommen hätten. Somit habe er keine Möglichkeit gehabt, seinen Rügen Gehör zu verschaffen. Der Entscheid sei demnach ohne materielle und objektive Prüfung der Beschwerde, mithin ohne rechtsgenügsame Begründung und willkürlich erfolgt. Zudem habe sich die Prüfungskommission nicht mit allen seinen Argumenten auseinandergesetzt und die Vorinstanz habe es unterlassen, die fehlenden Informationen nachzufordern (Beschwerde, S. 3 f.).
3.1 Aus dem in Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.2 Diesen verfassungsrechtlichen Anforderungen sind die Vorinstanzen nachgekommen. Die Experten der Prüfungskommission haben in ihren Stellungnahmen vom 9. Januar 2018 und vom 2. Mai 2018 an die Vorinstanz aufgezeigt, aufgrund welcher wesentlichen Gesichtspunkte die Fallstudie des Beschwerdeführers als ungenügend beurteilt wurde. Er erhielt im vorinstanzlichen Verfahren Gelegenheit, sich dazu zu äussern und sich mit den Bewertungen auseinanderzusetzen. Nach konstanter Rechtsprechung des Bundesverwaltungsgerichts ist die Vorinstanz zudem nicht verpflichtet, ihr Ermessen an die Stelle der Erstinstanz zu setzen und, gewissermassen als «Oberprüfungskommission», die Bewertung einzelner Aufgaben im Detail erneut vorzunehmen und die Prüfung gewissermassen zu wiederholen. Im Beschwerdeverfahren nehmen die Experten, deren Notenbewertung beanstandet wird, vielmehr im Rahmen der Vernehmlassung der Prüfungskommission Stellung. In der Regel überprüfen sie ihre Bewertung nochmals und geben bekannt, ob sie eine Korrektur als gerechtfertigt erachten oder nicht. Solange konkrete Hinweise auf eine Befangenheit fehlen und die Beurteilung nicht als fehlerhaft oder unangemessen erscheint, darf die Vorinstanz in materieller Hinsicht auf die Meinung der Experten abstellen, sofern deren Stellungnahme vollständig ist, d.h. darin die substantiierten Rügen des Beschwerdeführers beantwortet werden und die Auffassung der Experten, insbesondere soweit sie von derjenigen des Beschwerdeführers abweicht, nachvollziehbar und einleuchtend ist (BVGE 2010/10 E. 4 m.H.).
Die Vorinstanz hat in ihrem Beschwerdeentscheid (E. 4.2 ff.) kurz dargelegt, weshalb und gestützt auf welche Überlegungen sie die Einschätzung der Experten für nachvollziehbar erachtet, und dass sie diese für vollständig hält. Letztere sind, anders als gerügt (Beschwerde, S. 3 f., Rz. 1.2), auch nicht unvollständig ausgefallen, wie sich aus den nachfolgenden Erwägungen zu den einzelnen Aufgaben ergibt. Vielmehr äussern sie sich hinreichend zu den relevanten Fragen und den Rügen des Beschwerdeführers.
3.3 Angesichts dessen liegt keine Verletzung der Begründungspflicht seitens der Vorinstanzen, keine im gerügten Sinn willkürlich abgefasste Begründung und auch keine unvollständige Sachverhaltsermittlung vor. Die entsprechenden Rügen des Beschwerdeführers erweisen sich somit als unbegründet.
4.
In materieller Hinsicht streitig ist die Bewertung der Fallstudie des Beschwerdeführers.
4.1 Das Bundesverwaltungsgericht überprüft Entscheide über Ergebnisse von Prüfungen grundsätzlich mit uneingeschränkter Kognition (Art. 49
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
4.2 In Bezug auf die Beurteilung von Experten auferlegt sich das Bundesverwaltungsgericht somit eine gewisse Zurückhaltung, wenn die Experten zum Parteivorbringen Stellung genommen haben und ihre Auffassung nachvollziehbar und einleuchtend ist (vgl. BVGE 2010/11 E. 4.2 und BVGE 2008/14 E. 3.1 f. und 4.3.2, je m.w.H). Diese Zurückhaltung gilt nur für die materielle Bewertung der Prüfungsleistungen. Ist die Auslegung oder Anwendung von Rechtsvorschriften streitig oder werden Verfahrensmängel im Prüfungsablauf gerügt, so hat das Bundesverwaltungsgericht die erhobenen Einwendungen mit umfassender Kognition zu prüfen (vgl. BVGE 2008/14 E. 3.3 m.w.H.).
4.3 Der Beschwerdeführer macht geltend, der Prüfungsentscheid sei materiell nicht vertretbar. Die Bewertung der Prüfungskommission sei angesichts der gravierenden Korrekturmängel in offenkundiger Weise falsch.
4.4 Im Einzelnen rügt er zunächst eine Unterbewertung der Teilaufgabe 2.4.2, welche die Behandlung und Darstellung einer erfolgsabhängigen Kaufpreiskomponente bzw. Zahlung im IFRS-Konzernabschluss einer Gruppe betrifft. Der Beschwerdeführer fordert zwei zusätzliche Punkte, weil er bei Teilaufgabe a) zum einen auf den massgeblichen IFRS Standard (IFRS 3) verwiesen habe und zum andern als Lösung aufgezeigt habe, dass bedingte Schulden anzusetzen seien, soweit es sich um gegenwärtige Verpflichtungen als Ergebnis eines vergangenen Ereignisses handle (Beschwerde, S. 5 f.). Es gelingt ihm damit jedoch nicht darzulegen, weshalb die Beurteilung der Experten, wonach der Verweis auf den IFRS 3 Standard fehlgehe, weil es sich bei der betroffenen Zahlung um eine Entschädigung für zukünftige Arbeitsleistungen handle, nicht vertretbar sein sollte. Dasselbe trifft zu für ihre Stellungnahme, wonach die Antwort, bedingte Schulden anzusetzen, nicht die vollständige und korrekte Lösung, sondern nur einen kleinen Teil davon darstelle. Für einen nur kleinen Teil der Lösung keine Punkte zu erteilen, entspricht keiner offensichtlichen Unterbewertung. Daher ist die Stellungnahme der Experten vom 9. Januar 2018, abweichend von den Ausführungen des Beschwerdeführers, auch nicht deshalb unvollständig, weil sie im Laufe des Verfahrens nicht erneut zu dieser Aufgabe Stellung bezogen haben.
4.5 In Bezug auf die Teilaufgabe 1.4.5 (Frage nach sechs wesentlichen Kontrollschritten und zugehörigen Risiken durch die IT-Prüfung im Warenkreislauf) erachtet der Beschwerdeführer als nicht nachvollziehbar, dass er für seine Antworten keine Punkte erhalten hat. In der Stellungnahme der Experten vom 2. Mai 2018 wird jedoch klar bemängelt, dass die Kontrollschritte hinsichtlich Lagerbuchhaltung, Preis und Zahlung in der Prüfungsantwort unerwähnt geblieben sind. Aufgrund der Prüfungsantworten entsteht der Eindruck, dass der Beschwerdeführer die Frage nach Kontrollschritten nicht treffend beantwortet hat, indem er «Risiken» aufgelistet und unter «Kontrollen» eigentliche «Massnahmen» zur Eindämmung oder Verhinderung dieser Risiken aufgezählt hat. Des Weiteren liegt es im Bewertungsspielraum der Erstinstanz, dass sie die Antwort Nr. 2 («Bestellungen sind geschäftsmässig nicht begründet») hinsichtlich des genannten Risikos als zu ähnlich zur Antwort Nr. 5 («Rechnungen werden erfasst, obwohl Waren nicht bestellt wurden») eingestuft hat. Der Beschwerdeführer legt auch nicht näher und überzeugend dar, weshalb sich die Antworten hinreichend unterscheiden würden (vgl. Beschwerde, S. 9 ff.). In Bezug auf die ebenfalls ohne Punkte gebliebene Antwort Nr. 3 («falsche Waren») führt er ferner lediglich aus, dass es sich um eine korrekte Antwort handle, vermag jedoch nicht die Begründung der Experten zu widerlegen, wonach in der Lösung die Kontrolle des Kunden beschrieben werde, während nach den Kontrollschritten durch die IT-Prüfung gefragt gewesen sei (Stellungnahme vom 9. Januar 2018) und das genannte Risiko bereits bei Antwort Nr. 1 bewertet worden sei. Auch hinsichtlich der Antworten Nr. 4, 6, 7 und 8 stellt der Beschwerdeführer der Stellungnahme der Experten im Wesentlichen eine eigene Bewertung seiner Prüfungsantworten gegenüber, vermag jedoch nicht darzulegen, weshalb die Ausführungen der Experten als offensichtlich falsch bzw. seine Antworten als eindeutig korrekt betrachtet werden müssten. Namentlich verweist er zur Begründung der Richtigkeit seiner Antworten auf Stellen in der Literatur (Beschwerde, S. 10), während die Experten einräumen, dass die Antworten zwar mit diesen abstrakt übereinstimmten, sie aber nicht ohne konkrete Anpassung auf die Fragestellungen übernommen werden könnten. Aus Sicht der geforderten IT-Prüfung könnten sie nicht als wesentliche Argumente zählen. Die Anforderungen, wie konkret das erlernte Wissen auf die vorgelegte Aufgabenstellung angewandt werden muss, liegen im Bewertungsspielraum der Erstinstanz. Die Bewertung der Erstinstanz ist somit nachvollziehbar und nicht zu beanstanden.
4.6 Bei der Teilaufgabe 1.4.2 (Frage nach drei automatischen oder halbautomatischen Schlüsselkontrollen und nach den Prüfungszielen) hat der Beschwerdeführer einen Punkt für das angegebene Prüfungsziel nicht erhalten. Die Erstinstanz begründet dies damit, dass er das Prüfungsziel in seiner Antwort («Richtige Erfassung / Berechnung der Provisionen / Personalaufwand») zu wenig genau umschrieben habe, was der Beschwerdeführer nicht nachvollziehen kann. Diese Wertung durften die Experten jedoch im Rahmen des ihnen zustehenden Spielraums treffen, wobei aus den Ausführungen des Beschwerdeführers nicht hervorgeht, dass sie eindeutig unvertretbar bzw. die Antwort hinreichend präzis wäre. Es gelingt ihm nicht darzulegen, dass das von ihm formulierte Ziel hinreichend auf die konkrete Ausgangslage eingeht. Es ist zudem nicht die Aufgabe des Gerichts, die Anforderungen an die Genauigkeit der erwarteten Antworten zu bestimmen. Dass geringere Anforderungen an die Umschreibung des Prüfungsziels zu stellen wären, kann sich insbesondere auch nicht aus den in der Beschwerde massgeblich zitierten Lehrmittel-Auszügen ergeben (vgl. Beschwerde, S. 17 ff.), zumal sie sich nicht auf die konkrete Aufgabenstellung beziehen. Somit dringt der Beschwerdeführer auch mit dieser Rüge nicht durch.
5.
Hinsichtlich der Teilaufgabe 2.2.1 (Bestimmung der Wesentlichkeit) haben die Prüfungsexperten bemängelt, dass die Antwort des Beschwerdeführers auf den bis anhin aufgelaufenen Jahresgewinn Bezug nehme statt auf das Eigenkapital und die Bilanzsumme, welche für die bei einer Fusion erstellte Zwischenbilanz entscheidend sei. Zudem finde auch keine Umrechnung von 9 auf 12 Monate statt, wie er sie vorgenommen habe.
Der Beschwerdeführer macht geltend, er habe in seiner Antwort angeführt, dass bei der Bestimmung der Wesentlichkeit die «qualitativen Faktoren auch zu berücksichtigen» seien, was unabhängig von den gewählten quantitativen Bezugsgrössen gelte. Es handle sich dabei um einen korrekten Aspekt der Antwort (Beschwerde, S. 21 ff.). Damit zeigt er jedoch noch nicht überzeugend auf, weshalb seine Lösung, insbesondere der vage Hinweis auf Qualitätsfaktoren, offensichtlich Punkte verdienen würde. Insbesondere vermag er nicht zu relativieren, dass er gemäss den plausiblen Erläuterungen der Experten in seiner Prüfungsantwort nicht auf die erwarteten Bezugsgrössen (Eigenkapital und Bilanzsumme) eingegangen ist. Auch bei dieser Teilaufgabe hat es somit bei der erteilten Punktzahl sein Bewenden.
5.1 Bei der Teilaufgabe 3.1.5 (Beurteilung der Aktivierungsfähigkeit jedes aufgezählten Postens) hat der Beschwerdeführer für drei zu beurteilende Posten den jeweiligen Punkt für die Begründung nicht erhalten. Bei zwei Posten habe er gemäss den Experten statt einer Begründung lediglich den Buchungssatz umformuliert und bei allen drei Posten den eigentlichen Grund für die (Nicht-)Aktivierung nicht genannt. Diese Darlegungen erscheinen vertretbar. Aus den Ausführungen des Beschwerdeführers geht nicht nachvollziehbar hervor, dass die Prüfungsantworten offensichtlich korrekt begründet worden wären (Beschwerde, S. 24 ff.). Dies gilt auch für den Posten «Creativ Web-Design SA: Diverse Besprechungen, Ideenentwicklung, Grob-Konzept für Web-Shop erstellen» (Datum: 15. April 2015). So ist weder ersichtlich noch schlüssig dargetan, weshalb die Antwort («Ideenentwicklung = Forschungsphase», daher als Aufwand zu verbuchen) der von den Experten erwarteten Begründung («Nicht aktivierbar, da bereits im Vorjahr verbucht») entsprechen bzw. ihr gleichwertig sein sollte. Solches geht insbesondere nicht aus dem in der Beschwerde (S. 26) abgedruckten und allgemeinen Literatur-Auszug hervor, der ausserdem im Unterschied zur Prüfungsantwort zwischen Kosten der Forschungsphase und solchen der Entwicklungsphase unterscheidet. Es besteht demnach kein hinreichender Anlass, von der Beurteilung durch die erstinstanzlichen Organe abzuweichen.
5.2 Weiter rügt der Beschwerdeführer eine Unterbewertung der Teilaufgabe 2.4.3.2 (Abbildung und Behandlung eines Sachverhalts in der Übernahmebilanz und der Jahresrechnung). Hier sei eine seiner Teillösungen («FV») auf dem Korrekturblatt mit einem «Richtigzeichen» versehen, aber irrtümlich nicht bepunktet worden, weshalb er einen zusätzlichen Punkt fordert (Beschwerde, S. 28). Die Erstinstanz hat in dieser Hinsicht auf Nachfrage der Vorinstanz vom 22. März 2018 ausgeführt, die einschlägigen Punkte seien dem Beschwerdeführer korrekt zugesprochen worden.
Es trifft zwar zu, dass auf dem Korrekturblatt die Teilantwort «FV» mit einem «Häkchen» ( ) versehen ist. Indessen ist diese Passage im Kontext der ganzen Antwort zu würdigen. Der Beschwerdeführer und die Erstinstanz greifen offensichtlich zu unterschiedlichen Interpretationen hinsichtlich der Frage, für welche Elemente Punkte vergeben werden. Der Beschwerdeführer ist der Ansicht, ihm sei für die Angabe, es sei eine Verbindlichkeit zu erfassen, zutreffend ein Punkt erteilt worden, während dies für die Angabe «FV» bzw. für die zusätzliche Nennung einer Rückstellung zu Unrecht nicht der Fall sei (Beschwerde, S. 28 ff.). Dagegen führt die Erstinstanz zur Erklärung an, dass gemäss Korrekturraster entsprechende Punkte vorgesehen seien, wenn die «Verbindlichkeit (present obligation, 1 Punkt) zum Verkehrswert (FV) unter Berücksichtigung des erwarteten Mittelabflusses, Zeitpunkts und der Eintretenswahrscheinlichkeit nach IFRS 13 ermittelt und in der Übernahmebilanz erfasst (2 Punkte)» werde. Da nicht ersichtlich ist, dass und inwieweit der Beschwerdeführer diese Elemente korrekt angeführt und somit die geforderten Punkte verdient hätte, handelt es sich nicht um eine falsche Korrektur im Sinne eines versehentlich nicht erteilten Punktes. Es liegen vielmehr unterschiedliche Vorstellungen zu den im Ermessen der Erstinstanz liegenden Lösungsanforderungen der Aufgabe vor. Ausserdem hat die Erstinstanz detailliert aufgeführt, welche weiteren Antworten zu Punkten geführt hätten (Ausführungen zur Anpassung des Erstattungsanspruchs und derjenigen des bereits erfassten Betrags sowie solche betreffend Indemnification Asset und Erfolgsrechnung). Diese fehlen jedoch in der Prüfungsantwort. Auch aus der eingereichten Lösungsskizze zu Aufgabe 2.4.3.2 geht abweichend von den Ausführungen des Beschwerdeführers nicht nachvollziehbar hervor, weshalb seine Antwort falsch bewertet wäre. Unter diesen Umständen liegt keine Unterbewertung ausserhalb des Ermessensspielraums der Experten vor.
5.3 Bei der Teilaufgabe 1.4.1 (Nennung acht wesentlicher Risiken aus dem beschriebenen Sachverhalt) hat die Erstinstanz dem Beschwerdeführer für fünf der von ihm genannten acht Risiken keine Punkte erteilt mit der Begründung, es handle sich um Wiederholungen. Der Beschwerdeführer macht zwar ausführlich geltend, weshalb sich die aufgezählten Risiken aus seiner Sicht unterscheiden würden (Beschwerde, S. 32 ff.). Indessen hat der Beschwerdeführer in seiner Antwort, während in der Aufgabe explizit nach acht verschiedenen Risiken gefragt wird, acht Handlungen bzw. Gegebenheiten aufgeführt, die teilweise dasselbe Risiko verursachen (beispielsweise, «dass Provisionen/Personalaufwand falsch erfasst» würden). Entsprechend ist nachvollziehbar, dass die Erstinstanz wegen Wiederholung desselben Risikos keine zusätzlichen Punkte vergeben konnte. Eine Gegenüberstellung der Antworten Nr. 1 und 2 («Unterbewertung Vorräte» und «Falschbewertung von Vorräten») sowie der Vergleich der Antworten Nr. 3 («Risiko, dass Provision/Personalaufwand falsch erfasst»), Nr. 4 («Risiko, dass Provision/Personalaufwand falsch erfasst») und Nr. 5 («Risiko, dass Provisionen/Personalaufwand falsch berechnet») lässt die Einschätzung der Experten als einleuchtend erscheinen.
Hinsichtlich der Antworten Nr. 6 und 8 hat die Erstinstanz zudem mit Stellungnahme vom 9. Januar 2018 zwar eingeräumt, dass die Bezeichnung als Wiederholung im Korrekturblatt nicht korrekt sei. Die weitere Begründung der Experten, wonach hinsichtlich der Antwort Nr. 6 (Verbuchung der Provisionen erfolge automatisch) der Sachverhalt so nicht aus der Aufgabenstellung hervorgehe und bei Antwort Nr. 8 (Auszahlung der Provision erfolge zu einem späteren Zeitpunkt) kein wesentliches, im Punkteraster vorgesehenes Risiko genannt werde, ist angesichts der hier wenig substantiierten Rügen des Beschwerdeführers (vgl. Beschwerde, S. 34) jedoch vertretbar. Zudem haben die Experten in ihrer Stellungnahme vom 2. Mai 2018 im Detail die weiteren Risiken genannt, welche der Beschwerdeführer nicht erkannt habe. Daher ist nicht ohne Not von ihrer Bewertung abzuweichen.
5.4 Des Weiteren verlangt der Beschwerdeführer in Bezug auf Teilaufgabe 2.1.1 (Einfluss der vorhandenen Feststellungen auf die Prüfung) für mehrere seiner Teilantworten zusätzliche Punkte. Auch hier stellt er jedoch im Wesentlichen der Korrektur der Experten seine eigene Beurteilung gegenüber und führt aus, dass seine Antworten korrekt seien (Beschwerde, S. 36 ff.). Die Experten führen insbesondere aus, dass der Beschwerdeführer die Situation allgemein bzw. übergreifend für mehrere Feststellungen beantwortet habe und nicht auf die konkreten Sachverhalte bzw. Problemstellungen eingegangen sei. Dem Beschwerdeführer gelingt es mit seinen Argumenten nicht, die Angemessenheit der detaillierten Ausführungen in der Stellungnahme der Experten vom 2. Mai 2018 in Zweifel zu ziehen. Es entsteht nicht der Eindruck, dass seine Antworten hinreichend präzis ausgefallen sind und daher eindeutig mehr Punkte verdienen würden.
5.5 Hinsichtlich der Teilaufgabe 2.4.1 (Fragen betreffend Terminkontrakt) beruft sich der Beschwerdeführer namentlich auf abstrakte Passagen aus Publikationen und möchte daraus zusätzliche Punkte für seine Antworten ableiten (Beschwerde, S. 41 ff.). Angesichts der konkreten Aufgabenstellung hat die Erstinstanz jedoch plausibel erläutert, dass die Antworten zu Teilfrage a («Gewinne und Verluste aus dem Grund- und Absicherungsgeschäft werden gemeinsam behandelt» bzw. «Derivate mit Absicherungsgeschäft können mit dem Grundgeschäft bewertet werden») redundant und deshalb ohne Punkte geblieben seien.
Auch bei der Teilaufgabe b (Frage nach der richtigen Methode und den entsprechenden Anforderungen) führt der Beschwerdeführer wiederum lediglich mit Verweisen auf Literaturstellen, die seines Erachtens den von ihm genannten Aspekt erwähnen würden, aus, dass seine Prüfungsantwort «erfolgsneutral zum FV» korrekt sei und mehr als die erreichten zwei Punkte verdiene. Er legt aber nicht überzeugend dar, weshalb dies der Fall sein sollte, obgleich gemäss der nachvollziehbaren Beurteilung der Erstinstanz die fehlende Nennung «Anwendung Cash Flow Accounting» sowie die Absicherung des Risikos auf einem «Firm Commitment» zum Erwerb eines Unternehmens für weitere Punkte erwartet worden seien. Auch in Bezug auf die skizzierten Anforderungen an die Sicherheitsbeziehungen (vgl. Beschwerde, S. 41 f.) macht er lediglich geltend, diese seien nicht vollständig bewertet worden. Damit vermag er die Einschätzung der Erstinstanz, diese Aussagen seien bereits mit 2 Punkten belohnt und rechtfertigten keine Höherbewertung, nicht zu widerlegen. Auch aus dem Lösungsblatt des Beschwerdeführers ergibt sich nicht offensichtlich etwas Anderes.
Ebenso wenig zu beanstanden ist die Bewertung der Teilfrage d. Nach Auffassung des Beschwerdeführers sei der von ihm dargelegte Teilaspekt, wonach die Neubewertungsreserve («OCI») ausgebucht werden müsse, mit einem halben Punkt zu honorieren (Beschwerde, S. 42). Indessen räumt er zugleich ein, dass seine Lösung insgesamt nicht ganz korrekt sei. Angesichts dessen ist nicht unangemessen, dass die Erstinstanz die Prüfungsantwort für zu ungenau und eine höhere Bewertung deshalb nicht für gerechtfertigt hält. Sie bewegt sich dabei offensichtlich im Rahmen ihres Bewertungsspielraums.
5.6 Zu prüfen bleiben die Rügen des Beschwerdeführers in Bezug auf die Teilaufgabe 1.4.3 (Definition von drei Prüfungszielen im Zusammenhang mit dem beschriebenen Prozess und Beschreibung der geplanten Prüfungshandlungen). Er hat hier zwei von zehn möglichen Punkten erzielt. Die Erstinstanz begründet diese Punktzahl damit, dass die Aufgabe unter dem Titel «Beurteilung der IT-Prüfung» stehe, wobei die Thematik im Lösungsvorschlag des Beschwerdeführers weitgehend fehle. Verlangt seien Aspekte zum Datenexport, zu richtigen Formeln und Summierungen etc. gewesen. Weder aus der Prüfungsantwort des Beschwerdeführers noch aus seinen Ausführungen in der Beschwerde mit dem dort zitierten Lehrmittel-Auszug (Beschwerde, S. 45 f.) sind jedoch konkrete Bezüge zum vorgegebenen Thema ersichtlich. Dadurch bestätigt sich die Einschätzung der Experten, dass die Bewertung angesichts der allgemein formulierten Lösungsvorschläge relativ grosszügig ausgefallen sei. Somit besteht auch bei dieser Teilaufgabe keine Grundlage dafür, dem Beschwerdeführer mehr als die erlangten Punkte zu erteilen.
5.7 Demgemäss ist die Bewertung der Fallstudie mit der Note 3.5 nicht zu beanstanden. Sie bewegt sich im Sinne der Erwägungen innerhalb des Bewertungsspielraums der Erstinstanz. Der Beschwerdeführer könnte somit auch unter Berücksichtigung der Grenzfallregelung nicht die erforderlichen Punkte für die Note 4.0 erreichen.
6.
Soweit der Beschwerdeführer verlangt, die Fallstudie sei einer unabhängigen Korrektur durch einen weiteren, von der Prüfungskommission unabhängigen Experten zu unterziehen, besteht dazu kein Anlass. Wie erwähnt auferlegt sich das Bundesverwaltungsgericht hinsichtlich der materiellen Bewertung von Prüfungsleistungen eine gewisse Zurückhaltung, wenn die Experten zu den Parteivorbringen Stellung genommen haben und ihre Auffassung nachvollziehbar und einleuchtend ist. Da die Einwände des Beschwerdeführers vorliegend keine erheblichen Zweifel an ihrer ausführlichen Beurteilung zu wecken vermögen, kann von einer sachgerechten sowie willkürfreien Benotung ausgegangen werden und kann auf eine zusätzliche Beweismassnahme in Form eines Sachverständigengutachtens verzichtet werden (vgl. Urteile des BVGer B-5547/2013 vom 24. April 2014 E. 1.5 u. E. 9.1; B-2196/2006 vom 4. Mai 2007 E. 5.5, B-2213/2006 vom 2. Juli 2007 E. 6.5). Entsprechend ist seinem Antrag, infolge willkürlicher Bewertung eine weitere unabhängige Überprüfung der Prüfungsleistungen zu veranlassen, nicht stattzugegeben.
7.
Zusammenfassend erweist sich die Beschwerde als unbegründet, weshalb sie abzuweisen ist.
8.
Entsprechend dem Verfahrensausgang hat der Beschwerdeführer die Verfahrenskosten zu tragen (Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 1 Frais de procédure - 1 Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours. |
|
1 | Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours. |
2 | L'émolument judiciaire couvre les frais de photocopie des mémoires et les frais administratifs normaux, tels que les frais pour le personnel, les locaux et le matériel ainsi que les frais postaux, téléphoniques et de télécopie. |
3 | Les débours comprennent notamment les frais de traduction et les frais occasionnés par l'administration des preuves. Les frais de traduction ne sont pas facturés lorsqu'il s'agit de la traduction d'une langue officielle à une autre. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
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1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 2 Calcul de l'émolument judiciaire - 1 L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés. |
|
1 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés. |
2 | Le tribunal peut fixer un émolument judiciaire dépassant les montants maximaux visés aux art. 3 et 4, si des motifs particuliers le justifient, notamment une procédure téméraire ou nécessitant un travail exceptionnel.2 |
3 | S'agissant de décisions relatives à des mesures provisionnelles, à la récusation, à la restitution d'un délai, à la révision ou à l'interprétation d'une décision, ainsi que de recours formés contre des décisions incidentes, les frais peuvent être revus à la baisse compte tenu du travail réduit qui en découle. Les montants minimaux mentionnés aux art. 3 et 4 doivent être respectés. |
Ausgangsgemäss ist auch keine Parteientschädigung zuzusprechen (Art. 64 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
|
1 | L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
2 | Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué. |
3 | Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens. |
4 | La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
|
1 | La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
2 | Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion. |
3 | Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens. |
4 | Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens. |
5 | L'art. 6a s'applique par analogie.7 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
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1 | La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
2 | Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion. |
3 | Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens. |
4 | Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens. |
5 | L'art. 6a s'applique par analogie.7 |
9.
Dieser Entscheid kann nicht mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten an das Bundesgericht weitergezogen werden (Art. 83 Bst. t
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Verfahrenskosten von Fr. 1'500.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt. Der einbezahlte Kostenvorschuss in gleicher Höhe wird zur Bezahlung der Verfahrenskosten verwendet.
3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.
4.
Dieses Urteil geht an:
- den Beschwerdeführer (Einschreiben; Beschwerde-Beilagen zurück)
- die Vorinstanz (Ref-Nr. [...]; Einschreiben; Akten zurück)
- die Erstinstanz (Einschreiben; Akten zurück)
Der vorsitzende Richter: Der Gerichtsschreiber:
Ronald Flury Thomas Ritter
Versand: 20. August 2019