Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

2C 353/2022

Urteil vom 5. Januar 2023

II. öffentlich-rechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Aubry Girardin, Präsidentin,
Bundesrichter Beusch,
nebenamtlicher Bundesrichter Berger,
Gerichtsschreiberin Rupf.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,

gegen

Kantonales Steueramt Zürich, Dienstabteilung Recht,
Bändliweg 21, 8090 Zürich.

Gegenstand
Staats- und Gemeindesteuern des Kantons Zürich und
direkte Bundessteuer, Steuerperiode 2012,

Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts
des Kantons Zürich, 2. Abteilung, Einzelrichter, vom
21. Februar 2022 (SB.2021.00079 / SB.2021.00080).

Sachverhalt:

A.
A.________, wohnhaft im Kanton Zürich, wurde in der Steuerperiode 2012 wegen fehlender Niederlassungsbewilligung im Quellensteuerverfahren veranlagt. Er war 2012 wie folgt erwerbstätig:

tätig für Einsatzdauer
B.________ AG (unselbständige Erwerbstätigkeit) 16.1. bis 30.4.
C.________ durch Vermittlung der D.________ AG 29.5. bis 19.7.
E.________ AG (unselbständige Erwerbstätigkeit) 10.9. bis 31.12.

Zwischen den jeweiligen Tätigkeiten bezog er Leistungen der Arbeitslosenversicherung. Im Rahmen der nachträglichen ordentlichen Veranlagung deklarierte A.________ für die direkte Bundessteuer bzw. für die Staats- und Gemeindesteuern des Kantons Zürich ein steuerbares Einkommen von Fr. 70'000.-- bzw. Fr. 62'500.--. Am 20. April 2016 veranlagte ihn das Kantonale Steueramt Zürich für die direkte Bundessteuer 2012 mit einem steuerbaren Einkommen von Fr. 112'600.-- und schätzte ihn für die Staats- und Gemeindesteuern 2012 mit einem steuerbaren Einkommen von Fr. 105'200.-- ein. In Veranlagung und Einschätzung wurden die von A.________ als Einkünfte aus selbständigem Erwerb deklarierten Einkünfte aus seinem Einsatz bei der C.________ entgegen der Deklaration zu den Einkünften aus unselbständiger Erwerbstätigkeit geschlagen.

B.
Eine von A.________ gegen die Veranlagung und die Einschätzung erhobene Einsprache hiess das Kantonale Steueramt am 5. Oktober 2018 teilweise gut, hielt jedoch an der Qualifikation der Tätigkeit für die C.________ als unselbständige Erwerbstätigkeit fest. Zum gleichen Ergebnis gelangte auf Rekurs bzw. Beschwerde von A.________ hin die Einzelrichterin des Steuerrekursgerichts des Kantons Zürich in ihrem Entscheid vom 6. Mai 2021. Eine Beschwerde A.________s gegen diesen Entscheid blieb ebenfalls erfolglos. Am 21. Februar 2022 wies das Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 2. Abteilung, Einzelrichter, die Beschwerde, soweit sie nicht gegenstandslos geworden war, sowohl mit Bezug auf die direkte Bundessteuer 2012 als auch betreffend die Staats- und Gemeindesteuern 2012 ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 5. Mai 2022 beantragt A.________, den angefochtenen Entscheid aufzuheben und die Abzüge, welche wegen der Qualifizierung seiner Tätigkeit für die C.________ als unselbständig erwerbend nicht zugelassen worden seien (Kostenaufstellung selbständige Erwerbstätigkeit von Fr. 4'262.44 sowie Arbeitszimmer 2012 Fr. 3'383.--), zuzulassen; ausserdem sei die Gerichtsgebühr vor der Vorinstanz auf die Mindestgebühr zu reduzieren.
Die Vorinstanz und das Kantonale Steueramt Zürich schliessen auf Abweisung der Beschwerde, soweit darauf einzutreten sei; die Eidgenössische Steuerverwaltung stellt hinsichtlich der direkten Bundessteuer den gleichen Antrag und verzichtet mit Bezug auf die Staats- und Gemeindesteuern auf eine Antragstellung. Der Beschwerdeführer hat sich innert bis am 25. Juli 2022 erstreckter Frist zur Einreichung einer freiwilligen Antwort nicht mehr vernehmen lassen.

Erwägungen:

1.
Das Bundesgericht prüft seine Zuständigkeit und die weiteren Eintretensvoraussetzungen von Amtes wegen (Art. 29 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 29 Examen - 1 Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence.
1    Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence.
2    En cas de doute quant à sa propre compétence, il procède à un échange de vues avec l'autorité dont la compétence lui paraît entrer en ligne de compte.
BGG) und mit freier Kognition (BGE 146 II 276 E. 1; 141 II 114 E. 1).

1.1. Die Vorinstanz hat betreffend die Staats- und Gemeindesteuern des Kantons Zürich und die direkte Bundessteuer der Steuerperiode 2012 ein einziges Urteil gefällt, was zulässig ist, soweit die zu entscheidenden Rechtsfragen - wie vorliegend (vgl. E. 4 hiernach) - im Bundesrecht und im harmonisierten Recht gleich geregelt sind. Unter diesen Umständen hat der Beschwerdeführer zulässigerweise nur eine einzige Beschwerdeschrift eingereicht. Aus seiner Eingabe geht deutlich hervor, dass sie beide Steuerarten betrifft (vgl. BGE 142 II 293 E. 1.2; 135 II 260 E. 1.3.1 f.).

1.2. Die frist- (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
BGG) und formgerecht (Art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) eingereichte Eingabe betrifft eine Angelegenheit des öffentlichen Rechts (Art. 82 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
BGG) und richtet sich gegen das kantonal letztinstanzliche (Art. 86 Abs. 1 lit. d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
BGG), verfahrensabschliessende (Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG) Urteil eines oberen Gerichts (Art. 86 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
BGG). Das Rechtsmittel ist als Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten zulässig (Art. 83
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
BGG), zumal ein Beschwerderecht gemäss Art. 146
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 146 - La décision de la dernière instance cantonale peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral dans les limites de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral241. L'administration cantonale de l'impôt fédéral direct a également qualité pour recourir dans les causes de droit public.
des Bundesgesetzes vom 14. Dezember 1990 über die direkte Bundessteuer (DBG; SR 642.11) und Art. 73 des Bundesgesetzes vom 14. Dezember 1990 über die Harmonisierung der direkten Steuern der Kantone und Gemeinden (Steuerharmonisierungsgesetz, StHG; SR 642.14) vorgesehen ist.

1.3. Auf die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten ist einzutreten.

2.

2.1. Mit der Beschwerde kann namentlich die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG), wobei es - unter Berücksichtigung der allgemeinen Rüge- und Begründungspflicht (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) - grundsätzlich nur die geltend gemachten Vorbringen prüft, sofern allfällige weitere rechtliche Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 142 II 135 E. 1.5; 133 II 249 E. 1.4.1). Das Bundesgericht ist weder an die in der Beschwerde vorgebrachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann die Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann eine Beschwerde mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen (Motivsubstitution; BGE 141 V 234 E. 1; Urteil 2C 1012/2021 vom 13. September 2022 E. 1.3).
Der Verletzung von Grundrechten sowie von kantonalem Recht geht das Bundesgericht nur nach, falls eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und ausreichend begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 147 II 44 E. 1.2; 143 II 283 E. 1.2.2). Diese qualifizierte Rüge- und Begründungsobliegenheit nach Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG verlangt, dass in der Beschwerde klar und detailliert anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids dargelegt wird, inwiefern verfassungsmässige Rechte verletzt worden sein sollen (vgl. BGE 143 I 1 E. 1.4; 133 II 249 E. 1.4.2).

2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG; BGE 145 V 215 E. 1.2). Diese Sachverhaltsfeststellungen können von Amtes wegen oder auf Rüge hin berichtigt werden (BGE 145 II 282 E. 6.5), wenn sie offensichtlich unrichtig, unvollständig oder in Verletzung wesentlicher Verfahrensrechte ermittelt wurden und wenn die Behebung des Mangels für den Verfahrensausgang entscheidend sein kann (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
und Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG; BGE 145 V 215 E. 1.2; Urteil 1C 128/2019, 1C 134/2019 vom 25. August 2020 E. 1.4 nicht publiziert in: 147 II 209). Tatfrage ist auch die Beweiswürdigung (BGE 144 V 111 E. 3). Die Anfechtung der vorinstanzlichen Feststellungen unterliegt der qualifizierten Rüge- und Begründungsobliegenheit (BGE 144 V 50 E. 4.1). Wird die Beschwerde diesen Anforderungen nicht gerecht, bleibt es beim Sachverhalt, wie er von der Vorinstanz festgestellt wurde (BGE 140 III 16 E. 1.3.1).

3.
Der Streit dreht sich zur Hauptsache um die Frage, ob die Einkünfte, die der Beschwerdeführer im Rahmen seiner durch die D.________ AG vermittelten Tätigkeit für die C.________ (vom 29. Mai bis 19. Juli 2012) erzielt hat, aus einer selbständigen oder einer unselbständigen Erwerbstätigkeit stammen. Während der Beschwerdeführer die Auffassung vertritt, er habe seine Tätigkeit gestützt auf einen ihm von der D.________ AG erteilten Auftrag selbständig ausgeführt, gelangte die Vorinstanz - wie vor ihr schon das Kantonale Steueramt Zürich und das Steuerrekursgericht - zum Ergebnis, es handle sich, wie bei den übrigen vom Beschwerdeführer 2012 ausgeübten Tätigkeiten, um eine unselbständige Erwerbstätigkeit.

3.1. In diesem Zusammenhang erhebt der Beschwerdeführer zunächst mit Bezug auf die Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts durch die Vorinstanz verschiedene Vorwürfe. Soweit er dabei eine Verletzung seines Anspruchs auf rechtliches Gehör beanstandet, ist dieser Vorwurf schon wegen der formellen Natur des Gehörsanspruchs vorweg zu behandeln (BGE 144 I 11 E. 5.3; Urteil 2C 35/2022 vom 23. September 2022 E. 2.2). Soweit der Beschwerdeführer eine unvollständige bzw. willkürliche Feststellung des massgeblichen Sachverhalts durch die Vorinstanz rügt, drängt sich die vorgängige Behandlung der entsprechenden Vorbringen ebenfalls auf, weil nur auf der Grundlage des massgeblichen Sachverhalts die weiteren Rügen des Beschwerdeführers betreffend die steuerrechtliche Einordnung seiner Erwerbstätigkeit als selbständig oder unselbständig geprüft werden können.

3.2.

3.2.1. Eine Verletzung seines Anspruchs auf rechtliches Gehör macht der Beschwerdeführer der Sache nach geltend, indem er vorbringt, die Vorinstanz habe einen von ihm gestellten Beweisantrag übergangen: Er habe im Verfahren vor der Vorinstanz die Befragung der Beklagten (gemeint ist das Kantonale Steueramt) zum massgeblichen Sachverhalt beantragt. Diesen Antrag habe die Vorinstanz «kommentarlos (ans Kantonale Steueramt) weitergereicht», welches ihn ignoriert habe, was wiederum die Vorinstanz «ohne weitere Rückfragen/Aktivitäten akzeptiert» habe [Beschwerdeschrift, S. 7 3. Absatz].
Abgesehen davon, dass dieser Vorwurf kaum den Anforderungen an eine Rüge der Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör als verfassungsmässiges Recht genügt (E. 2.1), erweist er sich auch als offensichtlich unbegründet. Aus der Eingabe des Beschwerdeführers ans Verwaltungsgericht geht keineswegs hervor, dass er damit einen Beweisantrag (auf Befragung des ihn veranlagenden Steuerkommissärs und/oder weiterer Mitarbeiter des Kantonalen Steueramts) hätte stellen wollen. Ein solcher, im Beschwerdeverfahren neuer Beweisantrag wäre zudem nach konstanter bundesrechtskonformer Praxis der Vorinstanz ohnehin als Novum unzulässig gewesen; dem Beschwerdeführer wäre unbenommen gewesen, einen entsprechenden Antrag bereits im Verfahren vor Steuerrekursgericht zu stellen (FELIX RICHNER/WALTER FREI/STEFAN KAUFMANN/TOBIAS F. ROHNER, Kommentar zum Zürcher Steuergesetz, 4. Aufl. 2021, § 153 N 46; BGE 131 II 548). Von einer Verletzung des Gehörsanspruchs kann somit insoweit keine Rede sein.

3.2.2. An verschiedenen Stellen der Beschwerdeschrift führt der Beschwerdeführer sodann aus, die Vorinstanzen hätten das zwischen ihm und der D.________ AG bestehende Vertragsverhältnis aufgrund dessen er Leistungen an die C.________ erbracht habe, nur pauschal «schemenhaft» gewürdigt und damit «nicht einzelfallspezifisch» und zudem «ohne notwendige (n) Faktenbasis» entschieden [vgl. etwa Beschwerdeschrift, S. 3, siehe auch S. 6, 23]. Auf den Vorwurf einer offensichtlich unvollständigen Sachverhaltsfeststellung laufen auch die Vorbringen des Beschwerdeführers im Zusammenhang mit der (angeblich) fehlenden Berücksichtigung der Vereinbarungen zwischen der D.________ AG und der C.________ hinaus [vgl. Beschwerdeschrift, S. 6].
Der Beschwerdeführer selbst bestreitet nicht, dass der Versuch des Kantonalen Steueramts, bei der D.________ AG die Vereinbarungen zwischen dieser und der C.________ erhältlich zu machen, erfolglos war. Damit blieb dem Kantonalen Steueramt aber nichts anderes übrig, als (allein) aufgrund der verfügbaren Unterlagen, namentlich der Vereinbarungen zwischen der D.________ AG und dem Beschwerdeführer dessen Erwerbstätigkeit steuerrechtlich zu qualifizieren. Damit wird überdies unmittelbar erkennbar, dass auch der zweite Vorwurf des Beschwerdeführers, die Vorinstanz habe ohne die notwendige Faktenbasis pauschal, ohne Berücksichtigung der einzelfallspezifischen Gegebenheiten seines Falls entschieden, ins Leere geht. Dieser Vorwurf betrifft nämlich bei genauerer Betrachtung nicht die - angeblich - unvollständige Feststellung des massgeblichen Sachverhalts, sondern dessen rechtliche Würdigung durch die Vorinstanz (vgl. dazu nachstehend E. 5).

4.

4.1. Nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung beurteilt sich die Frage, ob im Einzelfall selbständige oder unselbständige Erwerbstätigkeit vorliegt, nicht aufgrund der Rechtsnatur des Vertragsverhältnisses zwischen den Parteien. Entscheidend sind vielmehr die wirtschaftlichen Gegebenheiten. Die zivilrechtlichen Verhältnisse vermögen dabei Anhaltspunkte für die steuerrechtliche Qualifikation zu bieten, ohne jedoch ausschlaggebend zu sein. Als unselbständig erwerbstätig ist im Allgemeinen zu betrachten, wer von einem Arbeitgeber in betriebswirtschaftlicher bzw. arbeitsorganisatorischer Hinsicht abhängig ist und kein spezifisches Unternehmerrisiko trägt. Im Gegensatz dazu gelten diejenigen natürlichen Personen als selbständig erwerbend im Sinne von Art. 18 Abs. 1
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 18 Principe - 1 Sont imposables tous les revenus provenant de l'exploitation d'une entreprise commerciale, industrielle, artisanale, agricole ou sylvicole, de l'exercice d'une profession libérale ou de toute autre activité lucrative indépendante.
1    Sont imposables tous les revenus provenant de l'exploitation d'une entreprise commerciale, industrielle, artisanale, agricole ou sylvicole, de l'exercice d'une profession libérale ou de toute autre activité lucrative indépendante.
2    Tous les bénéfices en capital provenant de l'aliénation, de la réalisation ou de la réévaluation comptable d'éléments de la fortune commerciale font partie du produit de l'activité lucrative indépendante. Le transfert d'éléments de la fortune commerciale dans la fortune privée ou dans une entreprise ou un établissement stable sis à l'étranger est assimilé à une aliénation. La fortune commerciale comprend tous les éléments de fortune qui servent, entièrement ou de manière prépondérante, à l'exercice de l'activité lucrative indépendante; il en va de même pour les participations d'au moins 20 % au capital-actions ou au capital social d'une société de capitaux ou d'une société coopérative, dans la mesure où le détenteur les déclare comme fortune commerciale au moment de leur acquisition. L'art. 18b est réservé.30
3    L'art. 58 s'applique par analogie aux contribuables qui tiennent une comptabilité en bonne et due forme.
4    Les bénéfices provenant de l'aliénation d'immeubles agricoles ou sylvicoles ne sont ajoutés au revenu imposable que jusqu'à concurrence des dépenses d'investissement.
DBG bzw. Art. 7 Abs. 1
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 7 Principe - 1 L'impôt sur le revenu a pour objet tous les revenus du contribuable, qu'ils soient uniques ou périodiques, en particulier le produit d'une activité lucrative dépendante ou indépendante, le rendement de la fortune y compris la valeur locative de l'habitation du contribuable dans son propre immeuble, les prestations d'institutions de prévoyance professionnelle ainsi que les rentes viagères. Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue15 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des revenus imposables. Les dividendes, les parts de bénéfice, les excédents de liquidation et les avantages appréciables en argent provenant d'actions, de parts à des sociétés à responsabilité limitée, de parts à des sociétés coopératives et de bons de participation (y compris les actions gratuites, les augmentations gratuites de la valeur nominale, etc.) sont imposables à hauteur de 50 % lorsque ces droits de participation équivalent à 10 % au moins du capital-actions ou du capital social d'une société de capitaux ou d'une société coopérative.16 Les cantons peuvent prévoir une imposition plus élevée.17 18
1    L'impôt sur le revenu a pour objet tous les revenus du contribuable, qu'ils soient uniques ou périodiques, en particulier le produit d'une activité lucrative dépendante ou indépendante, le rendement de la fortune y compris la valeur locative de l'habitation du contribuable dans son propre immeuble, les prestations d'institutions de prévoyance professionnelle ainsi que les rentes viagères. Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue15 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des revenus imposables. Les dividendes, les parts de bénéfice, les excédents de liquidation et les avantages appréciables en argent provenant d'actions, de parts à des sociétés à responsabilité limitée, de parts à des sociétés coopératives et de bons de participation (y compris les actions gratuites, les augmentations gratuites de la valeur nominale, etc.) sont imposables à hauteur de 50 % lorsque ces droits de participatio
1bis    En cas de vente de droits de participation, au sens de l'art. 4a de la loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé19, à la société de capitaux ou à la société coopérative qui les a émis, le revenu de la fortune est considéré comme étant réalisé dans l'année pendant laquelle la créance d'impôt prend naissance (art. 12, al. 1 et 1bis, de la LF du 13 oct. 1965 sur l'impôt anticipé).20
1ter    Les rendements versés, en cas de vie ou de rachat, d'assurances de capitaux susceptibles de rachat et acquittées au moyen d'une prime unique sont imposables, sauf si ces assurances servent à la prévoyance. La prestation d'assurance est réputée servir à la prévoyance lorsqu'elle est versée à un assuré de 60 ans révolus, en vertu d'un contrat qui a duré au moins cinq ans et qui a été conclu avant le 66e anniversaire de ce dernier. Dans ce cas, la prestation est exonérée.21
2    Les rentes viagères et les revenus provenant de contrats d'entretien viager sont imposables à raison de 40 %.22
3    Chacun des investisseurs ajoute à ses propres éléments imposables sa part du revenu de placements collectifs au sens de la loi du 23 juin 2006 sur les placements collectifs (LPCC)23; le revenu des parts de placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe est uniquement imposable lorsque l'ensemble des revenus du placement excède le rendement de ces immeubles.24
4    Sont seuls exonérés de l'impôt:
a  le produit de l'aliénation des droits de souscription, lorsque les droits patrimoniaux font partie de la fortune privée du contribuable;
b  les gains en capital réalisés sur des éléments de la fortune privée du contribuable. L'art. 12, al. 2, let. a et d, est réservé;
c  les dévolutions de fortune ensuite d'une succession, d'un legs, d'une donation ou de la liquidation du régime matrimonial;
d  les versements provenant d'assurances de capitaux privées susceptibles de rachat, à l'exception des polices de libre-passage. L'al. 1ter est réservé;
e  les prestations en capital versées par l'employeur ou par une institution de prévoyance professionnelle lors d'un changement d'emploi, lorsque le bénéficiaire les réinvesti dans le délai d'un an dans une institution de prévoyance professionnelle ou les utilise pour acquérir une police de libre-passage;
f  les subsides provenant de fonds publics ou privés;
g  les prestations versées en exécution d'une obligation fondée sur le droit de la famille, à l'exception de la pension alimentaire que le conjoint divorcé, séparé judiciairement ou de fait obtient pour lui-même et des contributions d'entretien que l'un des parents reçoit pour les enfants sur lesquels il a l'autorité parentale;
h  la solde du service militaire et l'indemnité de fonction pour service de protection civile, ainsi que l'argent de poche des personnes astreintes au service civil;
hbis  la solde des sapeurs-pompiers de milice, jusqu'à concurrence d'un montant annuel déterminé par le droit cantonal, pour les activités liées à l'accomplissement de leurs tâches essentielles (exercices, services de piquet, cours, inspections et interventions, notamment pour le sauvetage, la lutte contre le feu, la lutte contre les sinistres en général et la lutte contre les sinistres causés par les éléments naturels); les indemnités supplémentaires forfaitaires pour les cadres, les indemnités supplémentaires de fonction, les indemnités pour les travaux administratifs et les indemnités pour les prestations fournies volontairement ne sont pas exonérées;
i  les versements à titre de réparation du tort moral;
k  les revenus perçus en vertu de la législation fédérale sur les prestations complémentaires à l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité;
l  les gains provenant des jeux de casino exploités dans les maisons de jeu et autorisés par la loi fédérale du 29 septembre 2017 sur les jeux d'argent (LJAr)29, pour autant que ces gains ne soient pas issus d'une activité lucrative indépendante;
lbis  les gains unitaires jusqu'à concurrence d'un montant d'un million de francs ou du montant supérieur fixé dans le droit cantonal provenant de la participation à un jeu de grande envergure autorisé par la LJAr et de la participation en ligne à des jeux de casino autorisés par la LJAr;
lter  les gains provenant d'un jeu de petite envergure autorisé par la LJAr;
m  les gains unitaires jusqu'au seuil fixé dans le droit cantonal provenant de jeux d'adresse ou de loteries destinés à promouvoir les ventes qui ne sont pas soumis à la LJAr selon l'art. 1, al. 2, let. d et e, de cette loi.
n  les revenus perçus en vertu de la loi fédérale du 19 juin 2020 sur les prestations transitoires pour les chômeurs âgés34.
StHG, die einer Tätigkeit nachgehen, mit der sie auf eigenes Risiko, unter Einsatz der Produktionsfaktoren Arbeit und Kapital, in einer von ihnen frei gewählten Arbeitsorganisation, dauernd oder vorübergehend, haupt- oder nebenberuflich, in jedem Fall aber mit der Absicht der Gewinnerzielung am Wirtschaftsverkehr teilnehmen. Untergeordnete Anhaltspunkte sind etwa die Beschäftigung von Personal, das Ausmass der Investitionen, ein vielfältiger,
wechselnder Kundenstamm und das Vorliegen eigener Geschäftsräumlichkeiten (BGE 138 II 251 E. 2.4.2; 134 V 250 E. 3.1; Urteile 2C 929/2019, 2C 930/2019 vom 17. Januar 2020 E. 2.2; 2C 873/2017 vom 15. November 2018 E. 3.1).

4.2. Die verschiedenen Gesichtspunkte der selbständigen und unselbständigen Erwerbstätigkeit abschliessend zu umschreiben, erweist sich als problematisch. Ob eine selbständige Erwerbstätigkeit vorliegt, ist deshalb stets nach den gesamten Umständen des Einzelfalls zu beurteilen. Die einzelnen Gesichtspunkte dürfen dabei nicht isoliert betrachtet werden und können auch in unterschiedlicher Intensität auftreten (BGE 138 II 251 E. 2.4.2; 125 II 113 E. 5b; Urteile 2C 929/2019, 2C 930/2019 vom 17. Januar 2020 E. 2.2; 2C 873/2017 vom 15. November 2018 E. 3.1, je mit Hinweisen).

5.

5.1. Die Vorinstanz gelangte gestützt auf eine ausführliche Würdigung der zwischen der D.________ AG und dem Beschwerdeführer bestehenden Vereinbarungen (Rahmenvertrag für Subunternehmer-Leistungen und Projekteinzelvertrag) zum Ergebnis, dass die Anhaltspunkte für das Vorliegen eines Personalverleihs überwögen. So seien insbesondere die Elemente der Eingliederung des Beschwerdeführers in den Einsatzbetrieb in örtlicher und zeitlicher Sicht, der fremdbestimmten Arbeitsorganisation und - weitgehend - der Weisungsgebundenheit gegeben; und zwar, obwohl der Beschwerdeführer wegen seines Fachwissens und der Beschränkung der Weisungsbefugnisse bei der Ausübung über eine grössere Selbständigkeit verfügt habe, wobei allerdings die Rolle des «Projektleiters» bei der C.________ unklar bleibe. Ausserdem habe eine wirtschaftliche Abhängigkeit von der D.________ AG bestanden, indem andere Einkommensquellen faktisch ausgeschlossen gewesen seien. Der Beschwerdeführer habe durch die vertragliche Bindung die Dispositionsmöglichkeit über den Einsatz der eigenen Arbeitskraft verloren und sei während der Laufzeit des Vertrages ausschliesslich für ein einziges Unternehmen (nämlich die C.________) tätig gewesen. Zudem sei ihm im Rahmenvertrag mit der
D.________ AG unter Androhung einer Vertragsstrafe untersagt gewesen, während der Laufzeit des jeweiligen Projekteinzelvertrags «Aufträge, die das Interesse der D.________ AG oder von Vertragspartnern der D.________ AG [...] wesentlich berühren», anzunehmen. Überdies habe sich die Kostenbeteiligung des Beschwerdeführers auf seine eigenen «Spesen» sowie Reisekosten beschränkt. Ferner deuteten auch die Kündigungsregelungen, insbesondere diejenigen für die Projekteinzelverträge, auf eine arbeitsvertragliche Beziehung zwischen der D.________ AG und dem Beschwerdeführer hin; denn im Unterschied zum Arbeitsvertrag könne ein Auftrag von jeder Vertragspartei jederzeit gekündigt werden. Infolgedessen sei bei einer Gesamtbetrachtung die zwischen dem Beschwerdeführer und der D.________ AG bestehende Vertragsbeziehung angesichts des bestehenden Subordinationsverhältnisses als Personalleihverhältnis zu qualifizieren; auch einzelne atypische Elemente wie z.B. die vereinbarte Haftungsregelung vermöchten diese schon durch das Steuerrekursgericht zutreffend vorgenommene Qualifikation nicht umzustossen, zumal die entsprechenden Regeln, sollten sie gegen Arbeitsrecht verstossen, nicht durchsetzbar wären.

5.2. Der Beschwerdeführer bringt in seiner zum Teil weitschweifigen und wenig konzisen Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten gegenüber der einkommenssteuerrechtlichen Einordnung seiner Tätigkeit für die C.________ verschiedene Rügen vor, die sich wie folgt resümieren lassen:

- Gegen die Qualifikation des Verhältnisses zwischen ihm und der D.________ AG durch die Vorinstanz wendet der Beschwerdeführer zunächst ein, diese habe damit die zivilrechtliche Gestaltung von Rahmenvertrag und Projekteinzelvertrag, welche klar auf den Willen der Parteien zum Abschluss eines Auftrags hindeute, ohne nähere Begründung völlig unbeachtet gelassen [Beschwerdeschrift, S. 8 f.]. Die Umqualifizierung des rechtskonform vereinbarten Rechtsverhältnisses durch die Vorinstanz, in eine andere zivilrechtliche Vertragsbeziehung, stelle überdies einen unzulässigen Eingriff in die Vertragsfreiheit dar [Beschwerdeschrift, S. 17].
- Auch die Auslegung von Rahmenvertrag und Projekteinzelvertrag durch die Vorinstanz, welche darin das Bestehen arbeitsvertraglicher Weisungsbefugnisse entdecken wolle, überzeuge nicht. Auszugehen sei vielmehr von der klaren Formulierung im Projekteinzelvertrag, wonach der Auftragnehmer keinerlei Weisungen unterliege. Damit werde entgegen der Annahme der Vorinstanz nicht etwa ein arbeitsvertragliches Weisungsrecht eingeschränkt, sondern es bestehe eben - wie für das Auftragsrecht typisch - im Grundsatz kein Weisungsrecht. Diese grundsätzliche Weisungsfreiheit werde (umgekehrt) nur dadurch eingeschränkt, dass er, der Beschwerdeführer, naturgemäss fachliche und vor allem projektbezogene Anweisungen der D.________ AG und des Kunden zu beachten gehabt habe. Eine solche Vertragsgestaltung sei beim Beizug von externen Beratern in der EDV-Branche typisch, würden diese doch nicht engagiert, um die gleichen Aufgaben zu erledigen wie die internen Mitarbeiter, sondern um eine Beratung auf einem höheren technischen und konzeptionellen Level durchzuführen und entsprechende Vorschläge zu unterbreiten. Dass dabei das letzte Wort immer beim Kunden verbleibe, sei klar, ändere aber nichts. Nur deshalb hätten die Fachanweisungen und vom
Projektfortschritt abhängige Weisungen des Projektleiters im Vertrag vorbehalten werden müssen [Beschwerdeschrift, S. 11 ff., insbes. S. 13].
- Auch die monatlichen Statusberichte gemäss § 12 des Projekteinzelvertrags liessen sich nicht, wie die Vorinstanz dies tue, als Instrumente der Kontrolle der geleisteten Arbeit im Hinblick auf die Rechnungstellung interpretieren. § 12 des Projekteinzelvertrags sei immer eine «tote Klausel» gewesen; es sei kein einziger monatlicher Statusbericht abgegeben worden und dennoch seien mehrere Rechnungen gestellt und von der D.________ AG auch bezahlt worden; die von der Vorinstanz gewünschte Rapportierungspflicht/Kontrollbefugnis im arbeitsrechtlichen Sinn habe es einfach nicht gegeben [Beschwerdeschrift, S. 16].
- Entgegen der Vorinstanz habe auch keine Eingliederung in eine fremde Arbeitsorganisation stattgefunden. So sei er zwar in der Anfangsphase des Projekts täglich zum Kunden gefahren, dort aber keineswegs immer vor Ort geblieben, sondern nach einem halben Tag ins heimische Büro zurückgekehrt; es habe somit keine Pflicht zur Anwesenheit beim Kunden bestanden, sondern er habe seine Unabhängigkeit gewahrt. Aus dem Umstand allein, dass der Dienstleister von einem Mitarbeiter des Kunden signierte Timesheets erhalten habe, lasse sich ebenfalls keine weitgehende Eingliederung in die Arbeitsorganisation des Kunden ableiten. Er sei vielmehr bezüglich seiner Arbeitseinteilung unvergleichbar flexibler gewesen als ein Arbeitnehmer [Beschwerdeschrift, S. 17 f.]. Nichts anderes ergebe sich auch hinsichtlich des Arbeitens mit Material des Kunden, sei dies doch vorgekommen, gemäss Projekteinzelvertrag - im Sinne einer Ausnahme - jedoch nur dann vorgesehen gewesen, «soweit es für das Projekt erforderlich ist» [Beschwerdeschrift, S. 19].
- Typisch für einen Auftrag seien ausserdem die vereinbarten Regeln betreffend Abrechnung der Arbeitsstunden, sei doch eine bestimmte Anzahl an Manntagen vereinbart worden, wobei der Stundensatz etwa zwei bis zweieinhalb mal höher gelegen habe als das, was bei Angestellten bezahlt werde; zudem sei, wiederum entgegen der Vorinstanz nicht nur eine Arbeitsleistung, sondern ein Erfolg geschuldet gewesen, was sich schon darin zeige, dass der Projektleiter berechtigt gewesen sei, das Timesheet nicht zu bewilligen [Beschwerdeschrift, S. 19].
- Die Vorinstanz habe darüber hinaus die für einen Auftrag typischen Haftungs- und Gewährleistungsklauseln mit einer fadenscheinigen Argumentation beiseite geschoben [Beschwerdeschrift, S. 20].
- Eine besonders gravierende Fehlbeurteilung des Vertragsverhältnisses erblickt der Beschwerdeführer sodann in der von der Vorinstanz angenommenen Abhängigkeit von der D.________ AG. Dabei konzediert er, dass er während der Bearbeitung des Auftrags betreffend die C.________ neben dieser Tätigkeit keine weiteren Aufträge angenommen und ausgeführt habe. Ein Consultant sei aber nur in der Abhängigkeit eines Auftraggebers, wenn er keinen anderen finden könne. Eine solche Konstellation trete bei Selbständigen, die in wechselnden und nicht allzu langen Projekten arbeiteten und den Wechsel gewöhnt seien, nicht auf. In der besagten Veranlagungsperiode sei er denn auch in drei Projekten engagiert gewesen. Dementsprechend lasse sich entgegen der Vorinstanz auch aus der Vertragsklausel, wonach er während der Laufzeit des Rahmenvertrags keine Aufträge annehmen dürfe, die das Interesse der D.________ AG oder von deren Vertragspartnern wesentlich berührten, nichts für eine arbeitsvertragliche Qualifikation seiner Beziehung zur D.________ AG ableiten, enthalte die Vereinbarung mit dieser doch eine Ergänzung, welche präzisiere, dass der Auftragnehmer die Aufträge anderer Auftraggeber ohne Abstimmung mit der D.________ AG annehmen könne. Mithin
habe es allein ihm oblegen zu befinden, ob ein Interessenkonflikt vorliege und ob er den Auftrag annehmen wolle oder nicht [Beschwerdeschrift, S. 20 f.].
- Schliesslich deutet gemäss dem Beschwerdeführer auch das Bestehen einer Kündigungsregelung in der Vereinbarung mit der D.________ AG entgegen der Vorinstanz nicht auf das Vorliegen eines Arbeitsverhältnisses hin, wäre doch die entsprechende Klausel, die eine Kündigungsfrist von (nur) sieben Tagen vorsehe, für einen Arbeitsvertrag zu kurz und enthalte zudem eine Bestimmung, wonach die erbrachten Leistungen nur dann und in dem Umfang vergütet würden, wenn bzw. soweit die D.________ AG selbst ihre Ansprüche gegenüber dem Auftraggeber durchsetzen könne. Auch die Kündigungsregelung deute somit entgegen der Vorinstanz gerade nicht auf das Vorliegen eines Arbeitsvertrags, sondern eines Auftrags hin [Beschwerdeschrift, S. 21 f.].

5.3.

5.3.1. Der Beschwerdeführer thematisiert mit seinen Rügen - wie im Übrigen auch die Vorinstanz - vor allem die Frage nach dem Bestehen eines Auftrags oder eines Personalverleihs durch die D.________ AG. Ob seitens der D.________ AG ein Personalverleih, nämlich des Beschwerdeführers als deren Arbeitnehmer an die C.________, stattfand oder ob die D.________ AG einen Auftrag von der C.________ entgegennahm, im Hinblick auf dessen Erfüllung der Beschwerdeführer tätig wurde, braucht hier indes nicht beantwortet zu werden (vgl. zu den Abgrenzungskriterien BGE 148 II 203 E. 3.3.2 m.H.). Auch wenn das Vertragsverhältnis zwischen der D.________ AG und der C.________ als Auftrag zu qualifizieren wäre - die entsprechenden vertraglichen Vereinbarungen sind nicht bekannt - ist nämlich nicht auszuschliessen, dass die D.________ AG den Beschwerdeführer als ihren Arbeitnehmer (oder, wie der Beschwerdeführer geltend macht, als von ihr beauftragten Subunternehmer) zur Erfüllung eines ihr von der C.________ erteilten Auftrags einsetzte (vgl. dazu CHRISTOPH SENTI, Auftrag oder Personalverleih?, AJP 2013 S. 358 f.). Allein entscheidend für die einkommenssteuerrechtliche Qualifizierung der Erwerbstätigkeit, welche der Beschwerdeführer bei der
C.________ ausübte, ist daher sein Verhältnis zur D.________ AG (so auch schon Urteil 2C 603/2014 vom 21. August 2015 E. 3.4.3). Für dessen steuerrechtliche Qualifizierung liegen mit den zwischen dem Beschwerdeführer und der D.________ AG abgeschlossenen Verträgen (Rahmenvertrag und Projekteinzelvertrag), den Kenntnissen über seine Arbeit bei der C.________ und deren Entlöhnung sowie den Angaben in der Steuererklärung über die gesamte Erwerbstätigkeit des Beschwerdeführers im Jahr 2012 ausreichende Unterlagen vor, welche eine gesamthafte Beurteilung der Tätigkeit, ob in steuerlicher Hinsicht selbständig oder unselbständig, erlauben.

5.3.2. Mit der Vorinstanz ist zunächst festzustellen, dass entgegen dem Beschwerdeführer nicht einfach auf den Wortlaut der mit der D.________ AG abgeschlossenen Vereinbarungen, genauer: auf die darin verwendete Terminologie - ganz überwiegend ist von einem Auftrag die Rede - abgestellt werden kann, sondern sowohl auf den Vertrag selbst als auch die übrigen bekannten Umstände der vom Beschwerdeführer im Rahmen der Verträge mit der D.________ AG für die C.________ erbrachten Arbeit abzustellen ist (vgl. BGE 144 V 111 E. 4.2; Urteil 9C 45/2020, 9C 46/2020 vom 1. Oktober 2020 E. 5.1).
Dabei kann mit der Vorinstanz zunächst offen bleiben, ob der Beschwerdeführer im Rahmen der von ihm erbrachten Arbeitsleistungen fachlich weisungsfrei war (wie dies z.B. bei hochqualifzierten Spezialisten wie Chefärzten, Künstlern o.ä. häufig der Fall ist). Auch wenn der Darstellung des Beschwerdeführers, wonach er als typischer externer Berater in der EDV-Branche für eine Beratung auf einem «höheren technischen und konzeptionellen Level» engagiert worden sei, gefolgt und er als fachlich weisungsfrei betrachtet wird, ändert dies doch nichts daran, dass gemäss den Vereinbarungen mit der D.________ AG die C.________ ihm gegenüber über erhebliche Weisungs- und Kontrollbefugnisse verfügte, die gegen eine Qualifikation der Tätigkeit für die C.________ als selbständige Erwerbstätigkeit sprechen. So ist entgegen dem Beschwerdeführer davon auszugehen, dass der Vorbehalt von «fachlichen und projektbezogenen Anweisungen» im Projekteinzelvertrag eine Weisungsbefugnis hinsichtlich des genauen Umfangs und einzelner Modalitäten der für die C.________ auszuführenden Arbeit einschloss. Zwar begegnen, wie die Vorinstanz zutreffend ausführt, auch beim Auftrag Konstellationen, bei denen sich während dessen Ausführung Modifikationen ergeben, indem
der Auftraggeber dessen Umfang und die Art der Ausführung gegenüber dem Auftragnehmer dauernd konkretisiert. Dies lässt sich jedoch nicht mit dem hier vereinbarten Recht zur Erteilung von Anweisungen vergleichen, welches nicht nur der D.________ AG, sondern vertragsgemäss vor allem der C.________ zustand. Dieses Weisungsrecht passt auch zu dem sehr geringen Detaillierungsgrad bei der vertraglichen Bestimmung der für die Basler Versicheung zu erbringenden Arbeiten (gemäss Projekteinzelvertrag «Unterstützung bei der Entwicklung und Betreuung von spezifischen Bereichen im DWH mit dem ETL-Power Center»). Auch wenn der Beschwerdeführer bei der Ausübung seiner Tätigkeit, wie er selbst geltend macht, über einen erheblichen Spielraum verfügt haben sollte, blieb jedenfalls das Letztentscheidungsrecht bei der C.________ und unterlag er den Weisungen des Projektleiters bei der C.________.
Entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers spricht auch die Vereinbarung eines Zeitlohns für eine Qualifikation seiner Tätigkeit als unselbständige Erwerbstätigkeit, dies zumal auch deshalb, weil der voraussichtliche gesamte Arbeitsaufwand in Manntagen bemessen wurde, gleichzeitig aber die auszuführenden Arbeiten, wie bereits dargelegt, vertraglich nur sehr grob umrissen wurden. Dazu passt denn auch, dass mit Bezug auf die Rechnungstellung des Beschwerdeführers für die von ihm geleistete Arbeit vertraglich nicht nur eine genaue Aufzeichnung seines Zeitaufwandes, sondern eine Unterzeichnung durch den Projektleiter vereinbart wurde. Selbst wenn, wie der Beschwerdeführer geltend macht, diese Bestimmung eine «tote Klausel» geblieben sein sollte, d.h. die D.________ AG die von ihm gestellten Rechnungen auch ohne Vorlage entsprechend unterzeichneter Rapporte bezahlt haben sollte, ändert das doch nichts daran, dass grundsätzlich eine entsprechende vertragliche Verpflichtung des Beschwerdeführers bestand, welche sich mit der von ihm vertretenen Qualifikation des Vertragsverhältnisses nur schwerlich verträgt. Insgesamt deuten damit die Vereinbarungen mit der D.________ AG darauf hin, dass das darin vereinbarte Weisungsrecht und die
Rechenschaftspflicht das bei einem Auftragsverhältnis übliche Mass erheblich überschritten (vgl. BGE 146 V 139 E. 6.2.2).
Entgegen dem Beschwerdeführer muss auch, jedenfalls in einem gewissen Ausmass, von dessen Eingliederung in eine fremde Arbeitsorganisation ausgegangen werden. Zum einen konzediert er nämlich selbst, jedenfalls anfänglich täglich zum Kunden gefahren zu sein. Zum anderen übersieht er, dass mit der Vereinbarung eines Einsatzumfangs von 133 Tagen à acht Stunden notwendigerweise eine nicht unerhebliche Verfügbarkeit für die C.________ gemäss den Weisungen deren Projektleiters einhergehen musste. Es ist zwar - im Einklang mit der Darstellung des Beschwerdeführers - durchaus vorstellbar, dass er über eine erhebliche Freiheit betreffend die Modalitäten der Ausführung seiner Arbeit (Arbeitsort, Arbeitszeit) verfügte. Ebenso klar ist aber aufgrund der vertraglichen Vereinbarungen, dass die Arbeit im Anschluss an den Abschluss des Projekteinzelvertrags in einem Zeitfenster von 133 Tagen ausgeführt werden musste und der Beschwerdeführer dabei an die Weisungen des Projektleiters der C.________ gebunden war. Wie die Vorinstanz zutreffend festgestellt hat, musste sich allein daraus jedenfalls faktisch eine gewisse Eingliederung des Beschwerdeführers in die Arbeitsorganisation der C.________ ergeben.

5.3.3. Deuten, wie dargelegt, schon die zwischen dem Beschwerdeführer und der D.________ AG getroffenen Vereinbarungen entgegen der darin mehrheitlich verwendeten auftragsrechtlichen Terminologie in erheblichem Ausmass auf eine unselbständige Erwerbstätigkeit, kann offen bleiben, ob weitere Elemente in diesen Vereinbarungen (so gemäss dem Beschwerdeführer das Vorhandensein von Haftungs- und Gewährleistungsklauseln sowie einer für einen Arbeitsvertrag untypischen, wenn nicht unzulässigen Kündigungsregelung) an dieser Beurteilung etwas zu ändern vermöchten. Bei einer Betrachtung der gesamten Erwerbstätigkeit des Beschwerdeführers im Jahr 2012 ergibt sich nämlich, dass auch noch andere Gesichtspunkte klar für eine Qualifikation als unselbständige Erwerbstätigkeit sprechen.
Die Tätigkeit des Beschwerdeführers für die C.________ schloss in zeitlicher Hinsicht an eine Periode unselbständiger Erwerbstätigkeit bzw. des Bezugs von Leistungen der Arbeitslosenversicherung an. Darauf folgten sodann Perioden des Leistungsbezugs von der Arbeitslosenversicherung sowie (ab 10. September bis 31. Dezember 2012) der unselbständigen Erwerbstätigkeit, d.h. die vom Beschwerdeführer vertretene selbständige Erwerbstätigkeit hätte von vornherein nur eine kurze Zeitspanne (vom 29. Mai bis 19. Juli 2012) abgedeckt. Zwar ist bei der gleichzeitigen Ausübung verschiedener Erwerbstätigkeiten die Qualifikation, ob eine selbständige oder eine unselbständige Erwerbstätigkeit vorliegt, nicht auf Grund einer Gesamtbeurteilung vorzunehmen, sondern jedes einzelne Erwerbseinkommen dahin zu prüfen, ob es aus selbständiger oder unselbständiger Erwerbstätigkeit stammt (vgl. BGE 144 V 111 E. 6.1, Urteil 9C 45/2020, 9C 46/2020 vom 1. Oktober 2020 E. 5.2). Hier wurden indessen nicht verschiedene Tätigkeiten nebeneinander, sondern nacheinander ausgeübt und bereits der nur vorübergehende Charakter der Tätigkeit für die C.________ (die wesentlich kürzer als die vereinbarten 133 Manntage dauerte) bzw. die Einbettung dieser Tätigkeit zwischen
andere, unselbständige Erwerbstätigkeiten und eine Phase des Bezugs von Leistungen von der Arbeitslosenversicherung spricht daher gegen die Annahme einer selbständigen Erwerbstätigkeit. Bestätigt wird dieser Befund vor allem aber auch, und zwar unabhängig von der rechtlichen Qualifikation des Vertragsverhältnisses zwischen dem Beschwerdeführer und der D.________ AG, dadurch, dass er während seiner Arbeit für die C.________ in zeitlicher Hinsicht vollständig von diesem Engagement absorbiert war und keine anderen Einkünfte erzielte (vgl. auch den vom Bundesgericht im Urteil 2C 873/2017 vom 15. November 2018 beurteilten Sachverhalt [Arbeit für nur einen Vertragspartner, wenn auch über einen längeren Zeitraum]). Zwar begegnen auch bei selbständigen Erwerbstätigkeiten Konstellationen des Bestehens eines Klumpenrisikos bei einem Kunden; überdies kann es durchaus vorkommen, dass ein selbständig Erwerbstätiger durch die Ausführung eines einzigen Grossauftrags für eine lange Zeit ausgefüllt ist. Solche Sachverhalte lassen sich indessen mit dem hier zu beurteilenden nicht vergleichen, bei dem die infrage stehende Tätigkeit den Beschwerdeführer völlig ausfüllte, an eine unselbständige Erwerbstätigkeit anschloss und nicht etwa in weitere,
selbständig ausgeführte Folgeaufträge, sondern in eine Phase der Arbeitslosigkeit und danach der unselbständigen Erwerbstätigkeit mündete.

5.3.4. Die umfassende Würdigung der Tätigkeit des Beschwerdeführers für die C.________ führt somit, wie die Vorinstanz im Ergebnis zutreffend erkannt hat, steuerrechtlich zu deren Qualifikation als unselbständige Erwerbstätigkeit gemäss Art. 17 Abs. 1
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 17 - 1 Sont imposables tous les revenus provenant d'une activité exercée dans le cadre de rapports de travail, qu'elle soit régie par le droit privé ou par le droit public, y compris les revenus accessoires, tels que les indemnités pour prestations spéciales, les commissions, les allocations, les primes pour ancienneté de service, les gratifications, les pourboires, les tantièmes, les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateur et les autres avantages appréciables en argent.23
1    Sont imposables tous les revenus provenant d'une activité exercée dans le cadre de rapports de travail, qu'elle soit régie par le droit privé ou par le droit public, y compris les revenus accessoires, tels que les indemnités pour prestations spéciales, les commissions, les allocations, les primes pour ancienneté de service, les gratifications, les pourboires, les tantièmes, les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateur et les autres avantages appréciables en argent.23
1bis    Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue24 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des avantages appréciables en argent au sens de l'al. 1.25
2    Les versements de capitaux provenant d'une institution de prévoyance en relation avec une activité dépendante et les versements de capitaux analogues versés par l'employeur sont imposables d'après les dispositions de l'art. 38.
DBG bzw. Art. 7 Abs. 1
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 7 Principe - 1 L'impôt sur le revenu a pour objet tous les revenus du contribuable, qu'ils soient uniques ou périodiques, en particulier le produit d'une activité lucrative dépendante ou indépendante, le rendement de la fortune y compris la valeur locative de l'habitation du contribuable dans son propre immeuble, les prestations d'institutions de prévoyance professionnelle ainsi que les rentes viagères. Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue15 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des revenus imposables. Les dividendes, les parts de bénéfice, les excédents de liquidation et les avantages appréciables en argent provenant d'actions, de parts à des sociétés à responsabilité limitée, de parts à des sociétés coopératives et de bons de participation (y compris les actions gratuites, les augmentations gratuites de la valeur nominale, etc.) sont imposables à hauteur de 50 % lorsque ces droits de participation équivalent à 10 % au moins du capital-actions ou du capital social d'une société de capitaux ou d'une société coopérative.16 Les cantons peuvent prévoir une imposition plus élevée.17 18
1    L'impôt sur le revenu a pour objet tous les revenus du contribuable, qu'ils soient uniques ou périodiques, en particulier le produit d'une activité lucrative dépendante ou indépendante, le rendement de la fortune y compris la valeur locative de l'habitation du contribuable dans son propre immeuble, les prestations d'institutions de prévoyance professionnelle ainsi que les rentes viagères. Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue15 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des revenus imposables. Les dividendes, les parts de bénéfice, les excédents de liquidation et les avantages appréciables en argent provenant d'actions, de parts à des sociétés à responsabilité limitée, de parts à des sociétés coopératives et de bons de participation (y compris les actions gratuites, les augmentations gratuites de la valeur nominale, etc.) sont imposables à hauteur de 50 % lorsque ces droits de participatio
1bis    En cas de vente de droits de participation, au sens de l'art. 4a de la loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé19, à la société de capitaux ou à la société coopérative qui les a émis, le revenu de la fortune est considéré comme étant réalisé dans l'année pendant laquelle la créance d'impôt prend naissance (art. 12, al. 1 et 1bis, de la LF du 13 oct. 1965 sur l'impôt anticipé).20
1ter    Les rendements versés, en cas de vie ou de rachat, d'assurances de capitaux susceptibles de rachat et acquittées au moyen d'une prime unique sont imposables, sauf si ces assurances servent à la prévoyance. La prestation d'assurance est réputée servir à la prévoyance lorsqu'elle est versée à un assuré de 60 ans révolus, en vertu d'un contrat qui a duré au moins cinq ans et qui a été conclu avant le 66e anniversaire de ce dernier. Dans ce cas, la prestation est exonérée.21
2    Les rentes viagères et les revenus provenant de contrats d'entretien viager sont imposables à raison de 40 %.22
3    Chacun des investisseurs ajoute à ses propres éléments imposables sa part du revenu de placements collectifs au sens de la loi du 23 juin 2006 sur les placements collectifs (LPCC)23; le revenu des parts de placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe est uniquement imposable lorsque l'ensemble des revenus du placement excède le rendement de ces immeubles.24
4    Sont seuls exonérés de l'impôt:
a  le produit de l'aliénation des droits de souscription, lorsque les droits patrimoniaux font partie de la fortune privée du contribuable;
b  les gains en capital réalisés sur des éléments de la fortune privée du contribuable. L'art. 12, al. 2, let. a et d, est réservé;
c  les dévolutions de fortune ensuite d'une succession, d'un legs, d'une donation ou de la liquidation du régime matrimonial;
d  les versements provenant d'assurances de capitaux privées susceptibles de rachat, à l'exception des polices de libre-passage. L'al. 1ter est réservé;
e  les prestations en capital versées par l'employeur ou par une institution de prévoyance professionnelle lors d'un changement d'emploi, lorsque le bénéficiaire les réinvesti dans le délai d'un an dans une institution de prévoyance professionnelle ou les utilise pour acquérir une police de libre-passage;
f  les subsides provenant de fonds publics ou privés;
g  les prestations versées en exécution d'une obligation fondée sur le droit de la famille, à l'exception de la pension alimentaire que le conjoint divorcé, séparé judiciairement ou de fait obtient pour lui-même et des contributions d'entretien que l'un des parents reçoit pour les enfants sur lesquels il a l'autorité parentale;
h  la solde du service militaire et l'indemnité de fonction pour service de protection civile, ainsi que l'argent de poche des personnes astreintes au service civil;
hbis  la solde des sapeurs-pompiers de milice, jusqu'à concurrence d'un montant annuel déterminé par le droit cantonal, pour les activités liées à l'accomplissement de leurs tâches essentielles (exercices, services de piquet, cours, inspections et interventions, notamment pour le sauvetage, la lutte contre le feu, la lutte contre les sinistres en général et la lutte contre les sinistres causés par les éléments naturels); les indemnités supplémentaires forfaitaires pour les cadres, les indemnités supplémentaires de fonction, les indemnités pour les travaux administratifs et les indemnités pour les prestations fournies volontairement ne sont pas exonérées;
i  les versements à titre de réparation du tort moral;
k  les revenus perçus en vertu de la législation fédérale sur les prestations complémentaires à l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité;
l  les gains provenant des jeux de casino exploités dans les maisons de jeu et autorisés par la loi fédérale du 29 septembre 2017 sur les jeux d'argent (LJAr)29, pour autant que ces gains ne soient pas issus d'une activité lucrative indépendante;
lbis  les gains unitaires jusqu'à concurrence d'un montant d'un million de francs ou du montant supérieur fixé dans le droit cantonal provenant de la participation à un jeu de grande envergure autorisé par la LJAr et de la participation en ligne à des jeux de casino autorisés par la LJAr;
lter  les gains provenant d'un jeu de petite envergure autorisé par la LJAr;
m  les gains unitaires jusqu'au seuil fixé dans le droit cantonal provenant de jeux d'adresse ou de loteries destinés à promouvoir les ventes qui ne sont pas soumis à la LJAr selon l'art. 1, al. 2, let. d et e, de cette loi.
n  les revenus perçus en vertu de la loi fédérale du 19 juin 2020 sur les prestations transitoires pour les chômeurs âgés34.
StHG.
An diesem Ergebnis ändert insbesondere auch nichts, dass die infrage stehende Tätigkeit von der zuständigen Ausgleichskasse beitragsrechtlich anders, nämlich als selbständige Erwerbstätigkeit behandelt wurde. Praxisgemäss gilt zwar der Grundsatz, dass die Begriffe der selbständigen und der unselbständigen Erwerbstätigkeit im Steuerrecht und im AHV-Recht gleich zu verstehen sind und im Sinne einer harmonisierenden Rechtsanwendung nicht ohne Not von der steuerrechtlichen Beurteilung abgewichen werden soll. Um der Einheit und Widerspruchslosigkeit der gesamten Rechtsordnung willen, ist eine verschiedene Betrachtungsweise der Steuerbehörde und der AHV-Verwaltung zu vermeiden, ausser wenn dafür ausschlaggebende Gründe vorliegen (BGE 134 V 297 E. 2.3; Urteil 2C 603/2014 vom 21. August 2015 E. 3.4.6). Solche ausschlaggebenden Gründe liegen im vorliegenden Fall, entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers, wie dargelegt vor: Mit Bezug auf die Einbettung der zu beurteilenden Tätigkeit in seine übrigen 2012 ausgeübten Erwerbstätigkeiten und seine starke wirtschaftliche Abhängigkeit von der D.________ AG, erzielte der Beschwerdeführer im Zeitraum von Ende Mai bis Mitte Juli nur diese Erwerbseinkünfte. Anschliessend war er rund eineinhalb
Monate arbeitslos und fand erst im September 2012 wieder eine Anstellung.

5.3.5. An der Sache vorbei geht schliesslich das Vorbringen des Beschwerdeführers, mit der von der Vorinstanz vorgenommenen Qualifikation seiner Tätigkeit als unselbständige Erwerbstätigkeit greife diese in unzulässiger Weise in seine auch durch die Verfassung garantierte Vertragsfreiheit ein. Unabhängig davon, ob und welche besondere verfassungsrechtliche Tragweite der Vertragsfreiheit zukommt (vgl. dazu FELIX UHLMANN, in: BERNHARD WALDMANN/EVA MARIA BELSER/ASTRID EPINEY [Hrsg.] Basler Kommentar Bundesverfassung, 2015, N 10 ff., insbes. N 13 zu Art. 27
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 27 Liberté économique - 1 La liberté économique est garantie.
1    La liberté économique est garantie.
2    Elle comprend notamment le libre choix de la profession, le libre accès à une activité économique lucrative privée et son libre exercice.
BV, mit Hinweisen auf die bundesgerichtliche Rechtsprechung), beschlägt nämlich der angefochtene Entscheid allein die Auslegung und steuerrechtliche Qualifikation der Vereinbarungen zwischen dem Beschwerdeführer und der D.________ AG; ein irgendwie gearteter Eingriff in ein verfassungsmässig garantiertes Recht liegt darin zum Vornherein nicht.

5.4. In der Hauptsache erweist sich damit die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten als unbegründet.

6.

6.1. Neben den gegen den Entscheid der Vorinstanz gerichteten materiellrechtlichen Rügen beanstandet der Beschwerdeführer die Höhe der durch die Vorinstanz - für das Verfahren betreffend die Kantons- und Gemeindesteuern und jenes betreffend die direkte Bundessteuer - auf je Fr. 750.--, d.h. gesamthaft Fr. 1'500.--, festgesetzte Gerichtsgebühr. Die Verfahren seien vereinigt worden, es habe sich um juristische Standardfragen gehandelt. So wie die Vorinstanzen den Fall bearbeitet hätten - «schemenhaft, simplifiziert, präjudizierend und mit viel 'copy and paste' und selektiver Wahrnehmung» - sei nicht nachvollziehbar, wieso es sich für die routinierten Richter um aufwendige Verfahren handeln sollte. Die Mindestgebühr scheine der Qualität der Arbeit zu entsprechen.

6.2. Mit seinem Vorbringen macht der Beschwerdeführer der Sache nach geltend, die Auflage einer Gerichtsgebühr von gesamthaft Fr. 1'500.-- durch die Vorinstanz verletze das Äquivalenzprinzip bzw. sei willkürlich.

6.2.1. Das Äquivalenzprinzip konkretisiert das Verhältnismässigkeitsprinzip und das Willkürverbot für den Bereich der Kausalabgaben und bestimmt, dass eine Gebühr nicht in einem offensichtlichen Missverhältnis zum objektiven Wert der abzugeltenden Leistung stehen darf und sich in vernünftigen Grenzen halten muss. Der Wert der Leistung bemisst sich nach dem wirtschaftlichen Nutzen, den sie dem Pflichtigen bringt, oder nach dem Kostenaufwand der konkreten Inanspruchnahme im Verhältnis zum gesamten Aufwand des betreffenden Verwaltungszweigs. Innerhalb dieser Grenzen verfügen die kantonalen Gerichte über einen grossen Ermessensspielraum (BGE 145 I 52 E. 5.2.3 und 5.2.4 m.H., Urteile 1C 480/2019, 1C 481/2019 vom 16. Juli 2020 E. 6.3; 1C 84/2019 vom 13. September 2019 E. 3.3).
Im Kanton Zürich besteht in § 65a des Verwaltungsrechtspflegegesetzes vom 24. Mai 1959 (VRG/ZH; LS 175.2) eine formellgesetzliche Grundlage für die Gerichtsgebühren. Dem Verwaltungsgericht steht bei der Gebührenbemessung im Einzelfall ein erheblicher Spielraum zu, wobei die Gerichtsgebühr gemäss § 2 der vom Verwaltungsgericht erlassenen Verordnung über Gebühren, Kosten und Entschädigungen im Verfahren vor Verwaltungsgericht vom 26. Juni 1997 (Gebührenverordnung des Verwaltungsgerichts; GebV VGr; LS 175.252) insbesondere den Zeitaufwand des Gerichts, die Schwierigkeit des Falles und das tatsächliche Streitinteresse berücksichtigt. Die Gerichtsgebühr ist gemäss § 3 Abs. 1 GebV VGr nach Streitwerten gestaffelt und beträgt bei Streitwerten bis Fr. 10'000.-- in der Regel Fr. 500.-- bis Fr. 1'000.--; in Steuersachen wird zur Bestimmung des Streitwerts der bei der einfachen Staatssteuer streitige Betrag mit dem Faktor 2,5 vervielfacht (§ 3 Abs. 2 GebV VGr).

6.2.2. Hier war mit Bezug auf die Staats- und Gemeindesteuern von einem Streitwert von knapp Fr. 1'500.-- und hinsichtlich der direkten Bundessteuer von einem solchen von rund Fr. 450.-- auszugehen.
Die Vereinigung der beiden Verfahren, welche insbesondere angesichts der gleichen Regelung der sich stellenden Rechtsfragen im Bundesrecht und im harmonisierten Recht zumindest nahe lag, führte insgesamt zu einer Minderung des Aufwands bei der Beurteilung der Angelegenheit durch die Vorinstanz. Andererseits ist nicht zu übersehen, dass die Aufgabe der steuerrechtlichen Einordnung der Erwerbstätigkeit des Beschwerdeführers für die C.________ im Rahmen einer Gesamtwürdigung aller relevanten Umstände rechtlich zumindest als durchschnittlich komplex einzustufen ist, wobei die Komplexität der Aufgabe hier noch durch die zum Teil fehlenden Unterlagen (Vertrag zwischen der D.________ AG und der C.________) und nachprüfbaren Angaben betreffend die Umstände der tatsächlichen Ausführung der Arbeiten für die C.________ erhöht wurde. Vor diesem Hintergrund verstösst die von der Vorinstanz erhobene Gerichtsgebühr von insgesamt Fr. 1'500.--, auch wenn damit der Rahmen von § 2 und 3 GebV VGr weitgehend ausgeschöpft wurde, nicht gegen das Äquivalenzprinzip geschweige denn erscheint sie als willkürlich. Die Vorinstanz hat sich - und zwar entgegen den unzutreffenden Vorwürfen des Beschwerdeführers - mit seinen Argumenten eingehend und gründlich
auseinandergesetzt. Es liegt auf der Hand, dass das vorinstanzliche Verfahren, auch wenn der Einzelrichter der 2. Abteilung des Verwaltungsgerichts den Entscheid gefällt hat, erheblichen Arbeitsaufwand verursacht hat. Dass das Bundesgericht die Erwerbstätigkeit des Beschwerdeführers zwar im Ergebnis gleich, aber teilweise mit einer von der Vorinstanz abweichenden Begründung als unselbständig einstuft, ändert nichts. Im Übrigen darf bei geringen Streitwerten die Höhe der erhobenen Gerichtsgebühren zwar nicht die Rechtsverfolgung vereiteln; indessen muss gerade bei geringen Streitwerten dem Rechtssuchenden klar sein, dass sein berechtigtes Rechtsschutzanliegen erheblichen Aufwand verursachen kann. Solange sich eine Gerichtsgebühr innerhalb vernünftiger Grenzen hält, widerspricht es daher nicht dem Äquivalenzprinzip den durch die Ergreifung von Rechtsmitteln verursachten Aufwand auf den unterliegenden Rechtssuchenden zu überwälzen. Von einer willkürlich überhöhten, dem Äquivalenzprinzip widersprechenden Kostenauflage durch die Vorinstanz kann hier nicht gesprochen werden.

7.
Zusammenfassend ist die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten abzuweisen.
Gemäss dem Verfahrensausgang sind die Kosten des bundesgerichtlichen Verfahrens dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Dabei ist dem mit der Beurteilung der Angelegenheit verbundenen Aufwand entsprechend die Gerichtsgebühr innerhalb des Tarifs über die Gerichtsgebühren im Verfahren vor Bundesgericht (SR 173.110.210.1) auf Fr. 2'000.-- festzusetzen. Dem Kanton Zürich als obsiegender Partei steht keine Parteientschädigung zu (Art. 68 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.

4.
Dieses Urteil wird dem Beschwerdeführer, dem Kantonalen Steueramt Zürich, dem Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 2. Abteilung, Einzelrichter, und der Eidgenössischen Steuerverwaltung mitgeteilt.

Lausanne, 5. Januar 2023

Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: F. Aubry Girardin

Die Gerichtsschreiberin: I. Rupf
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 2C_353/2022
Date : 05 janvier 2023
Publié : 14 février 2023
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Finances publiques et droit fiscal
Objet : Staats- und Gemeindesteuern des Kantons Zürich und direkte Bundessteuer, Steuerperiode 2012


Répertoire des lois
Cst: 27
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 27 Liberté économique - 1 La liberté économique est garantie.
1    La liberté économique est garantie.
2    Elle comprend notamment le libre choix de la profession, le libre accès à une activité économique lucrative privée et son libre exercice.
LHID: 7
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 7 Principe - 1 L'impôt sur le revenu a pour objet tous les revenus du contribuable, qu'ils soient uniques ou périodiques, en particulier le produit d'une activité lucrative dépendante ou indépendante, le rendement de la fortune y compris la valeur locative de l'habitation du contribuable dans son propre immeuble, les prestations d'institutions de prévoyance professionnelle ainsi que les rentes viagères. Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue15 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des revenus imposables. Les dividendes, les parts de bénéfice, les excédents de liquidation et les avantages appréciables en argent provenant d'actions, de parts à des sociétés à responsabilité limitée, de parts à des sociétés coopératives et de bons de participation (y compris les actions gratuites, les augmentations gratuites de la valeur nominale, etc.) sont imposables à hauteur de 50 % lorsque ces droits de participation équivalent à 10 % au moins du capital-actions ou du capital social d'une société de capitaux ou d'une société coopérative.16 Les cantons peuvent prévoir une imposition plus élevée.17 18
1    L'impôt sur le revenu a pour objet tous les revenus du contribuable, qu'ils soient uniques ou périodiques, en particulier le produit d'une activité lucrative dépendante ou indépendante, le rendement de la fortune y compris la valeur locative de l'habitation du contribuable dans son propre immeuble, les prestations d'institutions de prévoyance professionnelle ainsi que les rentes viagères. Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue15 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des revenus imposables. Les dividendes, les parts de bénéfice, les excédents de liquidation et les avantages appréciables en argent provenant d'actions, de parts à des sociétés à responsabilité limitée, de parts à des sociétés coopératives et de bons de participation (y compris les actions gratuites, les augmentations gratuites de la valeur nominale, etc.) sont imposables à hauteur de 50 % lorsque ces droits de participatio
1bis    En cas de vente de droits de participation, au sens de l'art. 4a de la loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé19, à la société de capitaux ou à la société coopérative qui les a émis, le revenu de la fortune est considéré comme étant réalisé dans l'année pendant laquelle la créance d'impôt prend naissance (art. 12, al. 1 et 1bis, de la LF du 13 oct. 1965 sur l'impôt anticipé).20
1ter    Les rendements versés, en cas de vie ou de rachat, d'assurances de capitaux susceptibles de rachat et acquittées au moyen d'une prime unique sont imposables, sauf si ces assurances servent à la prévoyance. La prestation d'assurance est réputée servir à la prévoyance lorsqu'elle est versée à un assuré de 60 ans révolus, en vertu d'un contrat qui a duré au moins cinq ans et qui a été conclu avant le 66e anniversaire de ce dernier. Dans ce cas, la prestation est exonérée.21
2    Les rentes viagères et les revenus provenant de contrats d'entretien viager sont imposables à raison de 40 %.22
3    Chacun des investisseurs ajoute à ses propres éléments imposables sa part du revenu de placements collectifs au sens de la loi du 23 juin 2006 sur les placements collectifs (LPCC)23; le revenu des parts de placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe est uniquement imposable lorsque l'ensemble des revenus du placement excède le rendement de ces immeubles.24
4    Sont seuls exonérés de l'impôt:
a  le produit de l'aliénation des droits de souscription, lorsque les droits patrimoniaux font partie de la fortune privée du contribuable;
b  les gains en capital réalisés sur des éléments de la fortune privée du contribuable. L'art. 12, al. 2, let. a et d, est réservé;
c  les dévolutions de fortune ensuite d'une succession, d'un legs, d'une donation ou de la liquidation du régime matrimonial;
d  les versements provenant d'assurances de capitaux privées susceptibles de rachat, à l'exception des polices de libre-passage. L'al. 1ter est réservé;
e  les prestations en capital versées par l'employeur ou par une institution de prévoyance professionnelle lors d'un changement d'emploi, lorsque le bénéficiaire les réinvesti dans le délai d'un an dans une institution de prévoyance professionnelle ou les utilise pour acquérir une police de libre-passage;
f  les subsides provenant de fonds publics ou privés;
g  les prestations versées en exécution d'une obligation fondée sur le droit de la famille, à l'exception de la pension alimentaire que le conjoint divorcé, séparé judiciairement ou de fait obtient pour lui-même et des contributions d'entretien que l'un des parents reçoit pour les enfants sur lesquels il a l'autorité parentale;
h  la solde du service militaire et l'indemnité de fonction pour service de protection civile, ainsi que l'argent de poche des personnes astreintes au service civil;
hbis  la solde des sapeurs-pompiers de milice, jusqu'à concurrence d'un montant annuel déterminé par le droit cantonal, pour les activités liées à l'accomplissement de leurs tâches essentielles (exercices, services de piquet, cours, inspections et interventions, notamment pour le sauvetage, la lutte contre le feu, la lutte contre les sinistres en général et la lutte contre les sinistres causés par les éléments naturels); les indemnités supplémentaires forfaitaires pour les cadres, les indemnités supplémentaires de fonction, les indemnités pour les travaux administratifs et les indemnités pour les prestations fournies volontairement ne sont pas exonérées;
i  les versements à titre de réparation du tort moral;
k  les revenus perçus en vertu de la législation fédérale sur les prestations complémentaires à l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité;
l  les gains provenant des jeux de casino exploités dans les maisons de jeu et autorisés par la loi fédérale du 29 septembre 2017 sur les jeux d'argent (LJAr)29, pour autant que ces gains ne soient pas issus d'une activité lucrative indépendante;
lbis  les gains unitaires jusqu'à concurrence d'un montant d'un million de francs ou du montant supérieur fixé dans le droit cantonal provenant de la participation à un jeu de grande envergure autorisé par la LJAr et de la participation en ligne à des jeux de casino autorisés par la LJAr;
lter  les gains provenant d'un jeu de petite envergure autorisé par la LJAr;
m  les gains unitaires jusqu'au seuil fixé dans le droit cantonal provenant de jeux d'adresse ou de loteries destinés à promouvoir les ventes qui ne sont pas soumis à la LJAr selon l'art. 1, al. 2, let. d et e, de cette loi.
n  les revenus perçus en vertu de la loi fédérale du 19 juin 2020 sur les prestations transitoires pour les chômeurs âgés34.
LIFD: 17 
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 17 - 1 Sont imposables tous les revenus provenant d'une activité exercée dans le cadre de rapports de travail, qu'elle soit régie par le droit privé ou par le droit public, y compris les revenus accessoires, tels que les indemnités pour prestations spéciales, les commissions, les allocations, les primes pour ancienneté de service, les gratifications, les pourboires, les tantièmes, les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateur et les autres avantages appréciables en argent.23
1    Sont imposables tous les revenus provenant d'une activité exercée dans le cadre de rapports de travail, qu'elle soit régie par le droit privé ou par le droit public, y compris les revenus accessoires, tels que les indemnités pour prestations spéciales, les commissions, les allocations, les primes pour ancienneté de service, les gratifications, les pourboires, les tantièmes, les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateur et les autres avantages appréciables en argent.23
1bis    Quel que soit leur montant, les frais de formation et de formation continue24 à des fins professionnelles assumés par l'employeur, frais de reconversion compris, ne constituent pas des avantages appréciables en argent au sens de l'al. 1.25
2    Les versements de capitaux provenant d'une institution de prévoyance en relation avec une activité dépendante et les versements de capitaux analogues versés par l'employeur sont imposables d'après les dispositions de l'art. 38.
18 
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 18 Principe - 1 Sont imposables tous les revenus provenant de l'exploitation d'une entreprise commerciale, industrielle, artisanale, agricole ou sylvicole, de l'exercice d'une profession libérale ou de toute autre activité lucrative indépendante.
1    Sont imposables tous les revenus provenant de l'exploitation d'une entreprise commerciale, industrielle, artisanale, agricole ou sylvicole, de l'exercice d'une profession libérale ou de toute autre activité lucrative indépendante.
2    Tous les bénéfices en capital provenant de l'aliénation, de la réalisation ou de la réévaluation comptable d'éléments de la fortune commerciale font partie du produit de l'activité lucrative indépendante. Le transfert d'éléments de la fortune commerciale dans la fortune privée ou dans une entreprise ou un établissement stable sis à l'étranger est assimilé à une aliénation. La fortune commerciale comprend tous les éléments de fortune qui servent, entièrement ou de manière prépondérante, à l'exercice de l'activité lucrative indépendante; il en va de même pour les participations d'au moins 20 % au capital-actions ou au capital social d'une société de capitaux ou d'une société coopérative, dans la mesure où le détenteur les déclare comme fortune commerciale au moment de leur acquisition. L'art. 18b est réservé.30
3    L'art. 58 s'applique par analogie aux contribuables qui tiennent une comptabilité en bonne et due forme.
4    Les bénéfices provenant de l'aliénation d'immeubles agricoles ou sylvicoles ne sont ajoutés au revenu imposable que jusqu'à concurrence des dépenses d'investissement.
146
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 146 - La décision de la dernière instance cantonale peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral dans les limites de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral241. L'administration cantonale de l'impôt fédéral direct a également qualité pour recourir dans les causes de droit public.
LTF: 29 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 29 Examen - 1 Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence.
1    Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence.
2    En cas de doute quant à sa propre compétence, il procède à un échange de vues avec l'autorité dont la compétence lui paraît entrer en ligne de compte.
42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
82 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
83 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
86 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
90 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
100 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
125-II-113 • 131-II-548 • 133-II-249 • 134-V-250 • 134-V-297 • 135-II-260 • 138-II-251 • 140-III-16 • 141-II-113 • 141-V-234 • 142-II-128 • 142-II-293 • 143-I-1 • 143-II-283 • 144-I-11 • 144-V-111 • 144-V-50 • 145-I-52 • 145-II-282 • 145-V-215 • 146-II-276 • 146-V-139 • 147-II-209 • 147-II-44 • 148-II-203
Weitere Urteile ab 2000
1C_128/2019 • 1C_134/2019 • 1C_480/2019 • 1C_481/2019 • 1C_84/2019 • 2C_1012/2021 • 2C_35/2022 • 2C_353/2022 • 2C_603/2014 • 2C_873/2017 • 2C_929/2019 • 2C_930/2019 • 9C_45/2020 • 9C_46/2020
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • activité lucrative dépendante • acte de recours • tribunal fédéral • état de fait • impôt fédéral direct • activité lucrative indépendante • contrat de travail • directive • recours en matière de droit public • contrat-cadre • organisation du travail • valeur litigieuse • travailleur • juge unique • emploi • jour • offre de preuve • à l'intérieur • mois • liberté contractuelle • question • droit d'être entendu • d'office • autonomie • étendue • partie au contrat • délai • volonté • chose principale • valeur • sous-traitant • constatation des faits • hameau • droit du travail • décision • commerçant • nature juridique • impôt cantonal et communal • moyen de droit • durée • fin • dimensions de la construction • clause contractuelle • constitution fédérale • perception de prestation • calcul • nombre • activité accessoire • autorité fiscale • imposition dans le temps • lf sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes • traitement électronique des données • loi fédérale sur le tribunal fédéral • rejet de la demande • loi fédérale sur l'impôt fédéral direct • contrat • autorisation ou approbation • zurich • motivation de la décision • autorité judiciaire • motivation de la demande • frais de voyage • frais judiciaires • acceptation de l'offre • appréciation du personnel • pratique judiciaire et administrative • décompte • réprimande • application ratione materiae • charge • employeur • conflit d'intérêts • commune • question de fait • intéressé • peintre • constitution • application du droit • intermédiaire • lausanne • personne physique • pré • salaire fixé d'après le temps • autorisation d'établissement • droit constitutionnel • défendeur • tiré • mesure • caractère • détresse • durée et horaire de travail • revenu d'une activité lucrative • montagne • droit cantonal • contribution causale
... Ne pas tout montrer
PJA
2013 S.358