Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 606/2022
Urteil vom 4. Mai 2023
IV. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, präsidierendes Mitglied,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiber Hochuli.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Dr. Barbara Wyler,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Rechtsabteilung, Fluhmattstrasse 1, 6002 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 19. August 2022 (UV.2021.00238).
Sachverhalt:
A.
A.a. A.________, geboren 1977, ist angelernter Automechaniker und verfügt neben seiner albanischen Muttersprache nur über geringe Deutschkenntnisse. Seit Januar 2006 arbeitete er mit einem Vollzeitpensum in der B.________ AG, und war in dieser Eigenschaft bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (fortan: Suva oder Beschwerdegegnerin) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Bei der Inventaraufnahme fiel ihm am 28. Dezember 2006 ein 17 Kilogramm schweres Fass auf seine rechte (dominante) Hand. Am 4. Januar 2007 begab er sich zur Erstbehandlung in die chirurgische Notfallstation des Spitals C.________. Neben der Feststellung einer Schwellung über dem Handrücken und einer schmerzhaften Bewegungseinschränkung am Mittelfinger der rechten Hand konnten röntgenologisch ossäre Läsionen ausgeschlossen werden. Zwei operative Eingriffe am rechten Mittelfinger vom 12. Februar und 12. Juli 2007 führten zu einem unbefriedigenden Ergebnis. Die Suva übernahm die Heilbehandlung und richtete ein Taggeld aus. Mit Verfügung vom 22. August 2008 sprach sie dem Versicherten für die ihm dauerhaft verbleibenden Unfallrestfolgen eine Integritätsentschädigung von 30 % sowie ab 1. Oktober 2008 eine Invalidenrente
auf Grund einer unfallbedingten Erwerbseinbusse von 22 % zu.
A.b. Nach Kenntnisnahme vom Auszug aus dem individuellen Konto (fortan: IK-Auszug) vom 25. Juli 2018 hob die Suva die Invalidenrente mit Verfügung vom 6. September 2018 rückwirkend per 1. Januar 2017 auf und forderte die vom 1. Januar 2017 bis 30. September 2018 unrechtmässig ausgerichteten Rentenbetreffnisse im Umfang von Fr. 13'230.- zurück. Die hiergegen erhobene Einsprache liess A.________ am 17. Dezember 2018 zurückziehen.
A.c. Seit April 2016 arbeitete A.________ mit einem Vollzeitpensum als Raumpfleger in der D.________ AG in E.________. Auch in dieser Eigenschaft war er bei der Suva gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 18. Mai 2019 klemmte er sich in einer Mulde die rechte Hand ein. Abgesehen von der ambulanten Erstversorgung im Spital C.________ vom 19. Mai 2019, welche als Folge dieses Unfalles anerkannt wurde, übernahm die Suva die weitere Heilbehandlung und Arbeitsunfähigkeit als Rückfall zum Unfall vom 28. Dezember 2006. Nach weiteren Abklärungen kündigte die Suva A.________ am 22. Januar 2021 den Fallabschluss und die Einstellung sämtlicher Versicherungsleistungen per 28. Februar 2021 an. Daran hielt sie mit Verfügung vom 18. März 2021 und Einspracheentscheid vom 10. November 2021 fest.
B.
Die hiergegen erhobene Beschwerde des A.________ hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich teilweise gut, indem es den Einspracheentscheid vom 10. November 2021 dahingehend abänderte, als es dem Versicherten ab 1. März 2021 einen Anspruch auf eine Invalidenrente basierend auf einer unfallbedingten Erwerbsunfähigkeit von 20 % zusprach (Urteil vom 19. August 2022).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, das angefochtene Urteil sei aufzuheben. Bis zum Fallabschluss habe ihm die Suva ab 1. März 2021 basierend auf einer 100%igen Arbeitsunfähigkeit wieder Taggelder auszurichten und die Heilbehandlung zu übernehmen. Eventualiter sei die Sache zur Festsetzung der Invalidenrente unter Berücksichtigung eines leidensbedingten Abzuges von 25 % an die Vorinstanz zurückzuweisen. Subeventualiter sei dem Beschwerdeführer eine Invalidenrente von 25 % auszurichten.
Während die Suva auf Beschwerdeabweisung schliesst, verzichten die Vorinstanz und das Bundesamt für Gesundheit (BAG) auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1. Strittig ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie die vorinstanzliche Beschwerde - einzig, aber immerhin - insoweit teilweise guthiess, als sie dem Versicherten - entgegen der Suva - basierend auf einer unfallbedingten Erwerbseinbusse von 20 % ab 1. März 2021 eine Invalidenrente nach UVG zusprach.
2.2. Keine Einwände erhebt der Beschwerdeführer vor Bundesgericht gegen die vorinstanzliche Verneinung der Ansprüche auf eine Hilflosenentschädigung sowie auf eine Erhöhung der bereits mit unangefochtener Verfügung vom 22. August 2008 rechtskräftig zugesprochenen Integritätsentschädigung von 30 % (vgl. zur Teilrechtskraft: BGE 144 V 354 E. 4.3 mit Hinweisen).
3.
3.1. Das kantonale Gericht hat die rechtlichen Grundlagen betreffend den für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers (Art. 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
3.2.
3.2.1. Anzufügen ist des Weiteren, dass die Adäquanz als rechtliche Eingrenzung der sich aus dem natürlichen Kausalzusammenhang ergebenden Haftung des Unfallversicherers im Bereich organisch objektiv ausgewiesener Unfallfolgen praktisch keine Rolle spielt, da sich hier die adäquate weitgehend mit der natürlichen Kausalität deckt (BGE 134 V 109 E. 2; 127 V 102 E. 5b/bb; SVR 2020 UV Nr. 34 S. 136, 8C 627/2019 E. 3.2). Bei organisch objektiv nicht ausgewiesenen beziehungsweise bei psychischen Unfallfolgen ist die Adäquanz indessen gesondert zu prüfen, ausgehend vom augenfälligen Geschehensablauf und gegebenenfalls unter Einbezug weiterer unfallbezogener Kriterien. Dabei sind hier einzig die physischen Auswirkungen des Unfalls zu berücksichtigen (BGE 115 V 133 E. 6c/aa; 134 V 109 E. 2.1 und E. 6.1; vgl. auch SVR 2017 UV Nr. 8 S. 27, 8C 193/2016 E. 3.3; Urteil 8C 270/2022 vom 12. Oktober 2022 E. 4.2.2).
3.2.2. Letzteres gilt auch hinsichtlich des Fallabschlusses. Dieser erfolgt bei Vorliegen psychischer Unfallfolgen unter Einstellung von Heilbehandlung und Taggeld sowie Prüfung des Anspruchs auf Invalidenrente und Integritätsentschädigung, sobald von der Fortsetzung der auf die somatischen Leiden gerichteten ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann und allfällige Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung abgeschlossen sind (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
4.
Dass von einer Fortsetzung der Heilbehandlung in Bezug auf die somatischen Unfallrestfolgen über den verfügten Fallabschluss per 28. Februar 2021 hinaus mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit noch eine namhafte, prospektiv ins Gewicht fallende Besserung des Gesundheitszustandes (Urteil 8C 620/2019 vom 5. Februar 2020 E. 3.2 mit Hinweisen) zu erwarten gewesen wäre, vermag der Beschwerdeführer nicht darzulegen. Er selber hielt im Einspracheverfahren mit Blick auf das geltend gemachte massive Schmerzsyndrom ausdrücklich fest, bis heute sei es nicht gelungen, "diese Schmerzsituation mit herkömmlichen Mitteln, das heisst medikamentös und/oder manual-therapeutisch, in den Griff zu bekommen." Ebenso steht fest, dass die chirurgischen Massnahmen bei Fallabschluss ausgeschöpft waren. Auch dem Austrittsbericht vom 4. August 2020 zum zweiten stationären Aufenthalt in der Klinik F.________ vom 8. bis 31. Juli 2020 sind keine gegenteiligen Anhaltspunkte zu entnehmen. Zwar trifft zu, dass die psychiatrische Behandlung laut Bericht zum psychiatrischen Konsilium des Dr. med. G.________ fortzusetzen war. Gemäss zweitem Austrittsbericht der Klinik F.________ präsentierte der Beschwerdeführer jedoch eine erhebliche
Symptomausweitung. Seine Schmerzangaben waren wenig differenziert und das Schmerzverhalten nicht adäquat. "Ein Zugang zu einer gezielten Behandlung des betroffenen Dig. III oder zu einer Aktivitätssteigerung, [zum] Abbau der Schonhaltung und [zum Verzicht auf die] Handschiene konnte nicht erarbeitet werden." Fehlen konkrete Hinweise für eine überwiegend wahrscheinliche namhafte Besserung der somatischen Unfallrestfolgen durch eine Fortsetzung der ärztlichen Behandlung über den 28. Februar 2021 hinaus, hat die Beschwerdegegnerin zu Recht zu diesem Zeitpunkt den Fallabschluss geprüft und die Heilbehandlungsleistungen eingestellt (vgl. Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
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1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
5.
5.1. Das kantonale Gericht hat in Bezug auf die über den 28. Februar 2021 hinaus geklagten, organisch nicht objektiv ausgewiesenen Beschwerden den adäquaten Kausalzusammenhang anhand der praxisgemäss ausschlaggebenden Kriterien nach BGE 115 V 133 E. 6c/aa geprüft und verneint. Es nahm zu Gunsten des Beschwerdeführers an, das massgebende Ereignis vom 28. Dezember 2006 sei als mittelschwerer Unfall im Grenzbereich zu den leichten Unfällen einzustufen. Nach der einschlägigen Rechtsprechung müssten diesfalls für die Bejahung des adäquaten Kausalzusammenhanges ein Kriterium besonders ausgeprägt oder mindestens vier der sieben Kriterien in einfacher Form erfüllt sein, damit der adäquate Kausalzusammenhang bejaht werden könnte (vgl. SVR 2020 UV Nr. 1 S. 1, 8C 117/2019 E. 7.1 i.f. mit Hinweisen). Die Vorinstanz bejahte nach einlässlicher Würdigung der massgebenden Umstände einzig eine längere ärztliche Behandlung sowie körperliche Dauerschmerzen, jedoch nicht in besonders ausgeprägt erfüllter Form.
5.2. Darüber hinaus macht der Beschwerdeführer einen schwierigen Heilungsverlauf mit erheblichen Komplikationen sowie eine ärztliche Fehlbehandlung geltend. Zumindest von einer ärztlichen Fehlbehandlung, welche die Unfallfolgen erheblich verschlimmerte, kann jedoch mit der Vorinstanz und entgegen dem Beschwerdeführer keine Rede sein. Er vermag sich auf keinen einzigen medizinisch begründeten Bericht zu berufen, woraus Anhaltspunkte zu entnehmen wären, dass ein bestimmter behandelnder Arzt konkret nicht lege artis vorgegangen wäre, Sorgfaltspflichten verletzt oder einen Kunstfehler begangen hätte, welcher eine zivil- oder öffentlichrechtliche Haftung begründen würde (vgl. BGE 118 V 283 E. 2b i.f.; SVR 2014 UV Nr. 5 S. 13, 8C 99/2012 E. 4.1 mit Hinweisen). Allein aus der Tatsache, dass die im Juli 2007 am Mittelfinger der rechten Hand durchgeführte Beugesehnenrekonstruktion infolge eines insuffizienten Palmaris-longus-Transplantates zu einem Bowstringing führte, ist zwar auf ein unbefriedigendes Heilbehandlungsergebnis, jedoch nicht auf eine ärztliche Fehlbehandlung zu schliessen. Demgegenüber steht gemäss Austittsbericht der Klinik F.________ vom 21. April 2008 zum ersten stationären Aufenthalt vom 5. März bis 16. April 2008 fest,
dass der Beschwerdeführer schon damals nicht von seiner persönlichen Überzeugung abzubringen war, die Ärzte hätten "bei der zweiten Operation [im Juli 2007] einen Fehler gemacht". Dennoch ist unbestritten, dass der Beschwerdeführer trotz der - angeblichen - Fehlbehandlung im Sommer 2008 spätestens ab 2017 bei der neuen Arbeitgeberin D.________ AG (vgl. Sachverhalt lit. A.c) in Verwertung eines Vollzeitpensums wieder einen rentenausschliessenden Lohn ohne unfallbedingte Erwerbseinbusse zu erzielen vermochte.
5.3. Haben Verwaltung und Vorinstanz nach dem Gesagten das Adäquanzkriterium der ärztlichen Fehlbehandlung - ohne Bundesrecht zu verletzen - zu Recht verneint, kann offen bleiben, ob mit dem Beschwerdeführer das Kriterium eines schwierigen Heilungsverlaufs mit erheblichen Komplikationen in einfacher Form erfüllt war. In jedem Fall fehlt es an einem hier praxisgemäss erforderlichen vierten, zu bejahenden Adäquanzkriterium (E. 5.1) und damit insgesamt an der Anspruchsvoraussetzung eines adäquaten Kausalzusammenhanges der über den 28. Februar 2021 hinaus geklagten und weiter behandelten, organisch nicht objektiv ausgewiesenen Beschwerden zum Unfall vom 28. Dezember 2006. Die Vorinstanz bestätigte daher den von der Suva per 28. Februar 2021 verfügten und mit Einspracheentscheid bestätigten Heilbehandlungsabschluss zu Recht.
6.
Was der Beschwerdeführer im Übrigen gegen die vorinstanzliche Ermittlung des Invaliditätsgrades von 20 % vorbringt, ist offensichtlich unbegründet.
6.1. Bleibt es - wie soeben (E. 5) ausgeführt - bei der fehlenden Unfalladäquanz der über den 28. Dezember 2021 hinaus geklagten Beschwerden, beanstandet der Beschwerdeführer im Weiteren einzig den leidensbedingten Tabellenlohnabzug. Er macht geltend, die Vorinstanz hätte diesen Abzug auf 25 %, statt nur auf 20 % bemessen müssen. Zwar anerkennt er ausdrücklich, dass die Festlegung des leidensbedingten Tabellenlohnabzuges nach der Rechtsprechung eine typische Ermessensfrage ist, die letztinstanzlich nur bei Ermessensüberschreitung, -missbrauch oder -unterschreitung seitens der Vorinstanz korrigierbar ist (BGE 146 V 16 E. 4.2). Er zeigt jedoch nicht auf, inwiefern das kantonale Gericht das ihm zustehende Ermessen rechtsfehlerhaft ausübte. Angesichts des praxisgemäss auf 20 - 25 % zu rechtfertigenden Abzuges bei infolge faktischer Einhändigkeit und Beschränkung der dominanten Hand als Zudienhand erschwerter Verwertbarkeit der Arbeitsfähigkeit auch auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt (SVR 2019 UV Nr. 7 S. 27, 8C 58/2018 E. 5.3 mit Hinweisen) legt der Beschwerdeführer nicht dar und ist nicht ersichtlich, inwiefern die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie den Abzug auf 20 % festlegte. Insbesondere hatte der zweite Unfall vom 18.
Mai 2019 keine neuen dauerhaften Gesundheitsschädigungen zur Folge. So steht vor Bundesgericht fest (E. 2.2), dass der zweite Unfall keinen Anspruch auf eine zusätzliche Erhöhung der bereits mit Verfügung vom 22. August 2008 zugesprochenen Integritätsentschädigung begründete.
6.2. Ist weder der von der Vorinstanz auf 20 % bemessene leidensbedingte Tabellenlohnabzug noch der entsprechende Invaliditätsgrad als bundesrechtswidrig zu beanstanden, hat es beim angefochtenen Urteil sein Bewenden.
7.
Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 4. Mai 2023
Im Namen der IV. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Das präsidierende Mitglied: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Hochuli