Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 848/2020
Urteil vom 3. Dezember 2020
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichter Muschietti,
Bundesrichterin van de Graaf,
Gerichtsschreiber Matt.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Staatsanwaltschaft des Kantons Basel-Landschaft, Erste Staatsanwältin, Grenzacherstrasse 8, 4132 Muttenz,
2. B.________,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Mehrfacher teilweise versuchter Betrug, Erpressung, Nötigung usw.; Strafzumessung,
Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Basel-Landschaft, Abteilung Strafrecht, vom 18. Februar 2020 (460 19 93).
Sachverhalt:
A.
Am 14. Februar 2019 verurteilte das Strafgericht Basel-Landschaft A.________ wegen mehrfachen, teilweise versuchten Betrugs, mehrfacher, teilweise versuchter Erpressung sowie Nötigung zu 28 Monaten Freiheitsstrafe, davon 6 Monate unbedingt. Von einer Landesverweisung sah das Strafgericht ab. Auf Berufung von A.________ und Anschlussberufung der Staatsanwaltschaft hin bestätigte das Kantonsgericht Basel-Landschaft am 18. Februar 2020 den erstinstanzlichen Entscheid.
B.
Mit Beschwerde in Strafsachen beantragt A.________ sinngemäss, er sei freizusprechen. Er ersucht um unentgeltliche Rechtspflege.
Die Staatsanwaltschaft und das Kantonsgericht Basel-Landschaft beantragen die Abweisung der Beschwerde, wobei das Kantonsgericht auf eine Stellungnahme verzichtet. A.________ hält replicando an der Beschwerde fest.
Erwägungen:
1.
1.1.
1.1.1. Gemäss Art. 146 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
Die Täuschung ist arglistig, wenn der Täter ein Lügengebäude errichtet oder sich besonderer Machenschaften bedient. Bei einfachen falschen Angaben wird Arglist bejaht, wenn deren Überprüfung nicht zumutbar oder nicht bzw. nur mit besonderer Mühe möglich ist und wenn der Täter das Opfer von der möglichen Überprüfung abhält oder nach den Umständen voraussieht, dass dieses die Überprüfung der Angaben aufgrund eines besonderen Vertrauensverhältnisses unterlassen werde. Massgebend ist, wie der Täter die dem Opfer zur Verfügung stehenden Möglichkeiten des Selbstschutzes einschätzt. Ob die Täuschung arglistig ist, hängt nicht davon ab, ob sie gelingt. Wenn das Opfer der Täuschung nicht erliegt, entfällt Arglist deswegen nicht notwendigerweise. Die Täuschung ist aber nicht arglistig, wenn das Opfer den Irrtum mit einem Mindestmass an Aufmerksamkeit hätte vermeiden können. Der Tatbestand erfordert aber nicht, dass das Opfer die grösstmögliche Sorgfalt walten lässt und alle erdenklichen Vorkehren trifft, um den Irrtum zu vermeiden. Arglist scheidet nur bei Leichtfertigkeit des Opfers aus, welche das betrügerische Verhalten des Täters in den Hintergrund treten lässt. Die zum Ausschluss der Strafbarkeit des Täuschenden führende
Opferverantwortung kann nur in Ausnahmefällen bejaht werden (BGE 143 IV 302 E. 1; 135 IV 76 E. 5.1 f.; 128 IV 18 E. 3a; 126 IV 165 E. 2a; zum Ganzen: Urteil 6B 587/2020 vom 12. Oktober 2020 E. 1.1.1).
Der Nötigung gemäss Art. 181
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 156 - 1. Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, détermine une personne à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, en usant de violence ou en la menaçant d'un dommage sérieux, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, détermine une personne à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, en usant de violence ou en la menaçant d'un dommage sérieux, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'extorsion ou s'il a poursuivi à réitérées reprises ses agissements contre la victime, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | Si l'auteur exerce des violences sur une personne ou s'il la menace d'un danger imminent pour la vie ou l'intégrité corporelle, la peine est celle prévue à l'art. 140. |
4 | Si l'auteur menace de mettre en danger la vie ou l'intégrité corporelle d'un grand nombre de personnes ou de causer de graves dommages à des choses d'un intérêt public important, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
Hat der Täter sämtliche subjektiven Tatbestandsmerkmale erfüllt und seine Tatentschlossenheit manifestiert, ohne dass alle objektiven Tatbestandsmerkmale verwirklicht sind, liegt ein Versuch im Sinne von Art. 22 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 22 - 1 Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
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1 | Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
2 | L'auteur n'est pas punissable si, par grave défaut d'intelligence, il ne s'est pas rendu compte que la consommation de l'infraction était absolument impossible en raison de la nature de l'objet visé ou du moyen utilisé. |
1.1.2. Die Beschwerde ist zu begründen, wobei anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids in gedrängter Form darzulegen ist, inwiefern dieser Recht verletzt (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 145 IV 154 E. 1.1, 142 III 364 E. 2.4).
1.2. Die Vorinstanz begründet überzeugend, weshalb sie die Anklagesachverhalte als erwiesen erachtet und sie rechtlich im Sinne der Anklage würdigt.
1.2.1. Demnach sei erstellt, dass der Beschwerdeführer eine Kurzzeitbekanntschaft arglistig irregeführt und sie dadurch veranlasst habe, ihm am 12./13. Februar 2017 Fr. 50'000.-- als Darlehen zu übergeben. Er habe die Frau glauben gemacht, eine ernsthafte Beziehung eingehen zu wollen und verschwiegen, dass er bereits eine Familie habe. Als er der Geschädigten von Geldsorgen berichtet und angegeben habe, sich unter Lebensgefahr bei einem "Kredithai" verschulden zu wollen, habe sie aufgrund ihrer emotionalen Bindung und des vom Beschwerdeführer geschaffenen Vertrauens dessen geschickte Lügen nicht mehr kritisch hinterfragt. Er habe arglistig gehandelt, da er ein ganzes Lügengebäude errichtet und der Geschädigten Gefühle sowie einen Rückzahlungswillen und Rückzahlungsfähigkeit vorgetäuscht habe. Zudem habe er sie über seine gesamte Lebenssituation, seine Familien- und finanziellen Verhältnisse, seinen Wohnort, die Arbeitssituation und den Darlehenszweck getäuscht. Er habe der Geschädigten gar vorgespielt, eine Familie mit ihr gründen zu wollen. Gemäss seinen eigenen Angaben habe er das Geld wohl nur erhalten, weil die Geschädigte in ihn verliebt gewesen sei und ihm vertraut habe und weil sie eine feste Beziehung gewollt habe. Indes
habe es der Beschwerdeführer allein auf das Geld abgesehen gehabt. Hätte er tatsächlich nur eine Affäre gewollt, wie er behauptet, hätte er seine finanziellen Probleme kaum schon beim zweiten Treffen thematisiert. Zudem habe er die Geschädigte von Abklärungen über seine Situation abgehalten und aufkommende Zweifel durch weitere Lügen geschickt beseitigt. In Anbetracht der Verliebtheit und des aus ihrer Sicht bestehenden Vertrauensverhältnisses habe die Geschädigte trotz der Kürze der sehr intensiven Bekanntschaft nicht besonders leichtfertig gehandelt, zumal sie schriftliche Darlehensverträge verfasst und sich damit abgesichert habe.
Sodann habe der Beschwerdeführer am 13. Februar 2017 weitere Fr. 10'000.-- in bar von der Geschädigten erhalten. Dafür würden deren glaubhafte Aussagen, ein schriftlicher, vom Beschwerdeführer unterzeichneter Darlehensvertrag sowie ein entsprechender Zahlungseingang auf dessen Konto sprechen, so die Vorinstanz. Der verschuldete Beschwerdeführer vermöge denn auch keine nachvollziehbare, alternative Erklärung für den Zahlungseingang beizubringen. Soweit er geltend mache, es habe nur eine Zahlung gegeben, sei ihm entgegen zu halten, dass im Darlehensvertrag über Fr. 50'000.-- die Modalität "bar" durchgestrichen worden sei. Die Geschädigte habe ferner glaubhaft ausgesagt, die Fr. 10'000.-- zuhause in einem Tresor aufbewahrt zu haben. Für die Richtigkeit von deren Aussagen spreche schliesslich, dass ihr der Beschwerdeführer in einer Textnachricht vom 14. Februar 2017 angeboten habe, sich Fr. 20'000.-- von seiner Exfrau zu leihen und damit der Geschädigten die Fr. 10'000.-- zurückzubezahlen. Er habe zudem verschiedentlich angedeutet, die Beziehung zu ihr zu beenden, wenn sie ihn nicht weiter finanziell unterstütze. Er habe sie auch mehrfach unter Druck gesetzt, indem er angegeben habe, er müsse zum Zahnarzt, sei in Gefahr eines
"Kredithais" und seine Mutter habe Krebs. Auch mit Bezug auf diesen Sachverhalt erachtet die Vorinstanz den Tatbestand des Betrugs als erfüllt.
Ferner habe der Beschwerdeführer zwischen dem 13. und 16. Februar 2017 mehrfach versucht, weitere Fr. 10'000.-- erhältlich zu machen, namentlich am Abend des 13. Februar 2017 und an den nachfolgenden Tagen. Dafür sprechen nach Auffassung der Vorinstanz die glaubhaften Aussagen und Textnachrichten der Geschädigten. Entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers sei kein eigentlicher Wendepunkt in der vermeintlichen Liebesbeziehung zu erkennen, ab welchem Arglist ausscheiden würde, weil die Geschädigte seine Lügengeschichten mit gebührender Aufmerksamkeit hätte entlarven können und müssen.
1.2.2. Die Vorinstanz wirft dem Beschwerdeführer überdies versuchte Erpressung vor, indem er die Geschädigte am 16. Februar 2017 am Telefon mit dem Tod bedroht habe, um sie zur Zahlung weiterer Fr. 10'000.-- zu drängen. Gemäss deren als plausibel beurteilten Angaben habe der Beschwerdeführer zur Geschädigten gesagt, sie solle ihm den Betrag auszahlen, ansonsten es ihn Fr. 5'000.-- kosten würde, sie beseitigen zu lassen. Gleichentags habe sie ihm geschrieben, er solle ihr nicht nochmals mit einem Killer drohen. Zudem habe sie die Nacht aus Angst bei einem Bekannten verbracht und am 17. Februar 2017 Anzeige erstattet. Es ist schlüssig, wenn die Vorinstanz unter den genannten Umständen annimmt, dass etwas Gravierendes vorgefallen sein muss und die Vorwürfe der Geschädigten daher zutreffen. Diese habe zudem plausibel angegeben, sich in der Folge nur in Begleitung und an öffentlichen Orten mit dem Beschwerdeführer getroffen zu haben, bevor sie ihn noch einmal in der Hoffnung zu sich eingeladen habe, doch noch eine Rückzahlung zu erhalten.
Schliesslich habe der Beschwerdeführer am 20. Februar 2017 den Tatbestand der Erpressung sowie der Nötigung erfüllt. Dabei ging es offenbar um eine angebliche Rückzahlung seinerseits und einen neuen Darlehensvertrag über Fr. 50'000.-- sowie um ein Schreiben, womit die Geschädigte ihre Anzeige hätte zurückziehen sollen (vgl. Beschwerde S. 4). Die Vorinstanz verweist im Wesentlichen auf die Ausführungen des Erstgerichts und erwägt, der Beschwerdeführer habe zugegeben, mit dem Geld der Geschädigten Schulden bezahlt zu haben. Entgegen seiner Behauptung hätte er ihr daher am 20. Februar 2017 angesichts seines Kontostands keine Fr. 40'000.-- aushändigen können. Selbst wenn er dies getan haben sollte, würde es zudem keinen Sinn ergeben, dass ihm die Geschädigte das Geld kurz danach wieder überlassen hätte. Die Behauptung, wonach sie ihm durch eine Erklärung und einen neuen Vertrag hätte helfen wollen, sei lebensfremd, zumal die beiden zu diesem Zeitpunkt bereits zerstritten gewesen seien.
1.3. Der Beschwerdeführer bestreitet die Schuldsprüche. Er setzt sich indes nicht mit dem angefochtenen Entscheid auseinander und zeigt nicht auf, inwiefern dieser in tatsächlicher Hinsicht willkürlich oder sonst bundesrechtswidrig sein soll. Namentlich nennt er keine anderen als die von der Vorinstanz genannten Gründe, weshalb ihm die Geschädigte derart hohe Geldbeträge hätte geben sollen. Er bringt auch nichts vor, was deren Aussagen als unglaubhaft erscheinen liesse. Vielmehr beschränkt er sich darauf, die bereits vor der Vorinstanz erhobenen Einwände zu wiederholen.
1.3.1. Dies ist etwa der Fall, wenn der Beschwerdeführer wiederum geltend macht, er habe die Geschädigte zwar über seine Lebenssituation belogen, aber nicht, um an ihr Geld zu kommen, sondern weil er nur eine Affäre gewollt habe. Auch aus dem Einwand, wonach er beim Kennenlernen nicht habe wissen können, dass die Geschädigte vermögend sei, vermag der Beschwerdeführer nichts für sich abzuleiten. Die Vorinstanz begründet überzeugend, weshalb sie Arglist bejaht und trotz der relativ kurzen Bekanntschaft mit der Geschädigten annimmt, diese habe nicht leichtfertig gehandelt, indem sie dem Beschwerdeführer vertraut und seine geschickten Lügen nicht durchschaut habe. Wenn er vorbringt, die Geschädigte hätte seine Identität und Bonität prüfen können, scheint er zu verkennen, dass ihm die Vorinstanz auch zur Last legt, die Geschädigte teilweise aktiv von Nachforschungen abgehalten zu haben. Zudem entfällt Arglist praxisgemäss nur in Ausnahmefällen, weshalb die Vorinstanz die Arglist zu Recht bejaht. Entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers ist es nicht zu beanstanden, wenn sie annimmt, dass er ein ganzes Lügengebäude errichtete, sodass von einer plumpen Täuschung oder einfachen Lügen nicht gesprochen werden kann. Soweit der
Beschwerdeführer die Argumentation der Staatsanwaltschaft kritisiert, wonach ihm die Geschädigte in Kenntnis seiner Lage kein Geld geliehen hätte, sie gleichzeitig aber als erwiesen erachte, dass er schon beim zweiten Treffen über Geldsorgen gesprochen habe, geht die Rüge an der Sache vorbei. Ein allfälliger Widerspruch in der Argumentation der Staatsanwaltschaft beschlägt nicht die Schlüssigkeit der vorinstanzlichen Erwägungen.
Auch mit Bezug auf den Vorwurf, am 13. Februar 2017 weitere Fr. 10'000.-- unter falschem Vorwand erhalten zu haben, erschöpft sich der Beschwerdeführer in appellatorischer Kritik am angefochtenen Entscheid, indem er wiederum bestreitet, dass es um mehrere Zahlungen ging. Die Vorinstanz begründet indes, namentlich unter Verweis auf den vom Beschwerdeführer unterzeichneten Darlehensvertrag, überzeugend, weshalb sie von mehreren Zahlungen ausgeht. Dass sein Konto lediglich die zuvor überwiesenen Fr. 50'000.-- auswies, belegt, nicht zuletzt angesichts der Barzahlung von Fr. 10'000.--, nichts Gegenteiliges. Ebenso wenig die angestellten Zahlenspiele oder die Nachricht der Geschädigten, wonach sie Zahlungen grundsätzlich per Überweisung tätige. Wie die Vorinstanz überzeugend ausführt, hat die Geschädigte glaubhaft dargetan, die Zahlung in bar vorgenommen zu haben. Die vorinstanzlichen Schlussfolgerungen sind daher jedenfalls nicht willkürlich. Dies gilt ebenso für die als erwiesen erachteten Versuche des Beschwerdeführers, weiteres Geld erhältlich zu machen, wozu er sich in der Beschwerde nicht äussert.
1.3.2. Nicht zu beanstanden ist schliesslich, dass die Vorinstanz den Tatbestand der, teilweise versuchten, Erpressung sowie der Nötigung am 16. und 20. Februar 2017 als erfüllt erachtet. Es kann auf das in Erwägung 1.2.2 vorstehend Gesagte sowie die Ausführungen der Vorinstanz verwiesen werden. Dass der Beschwerdeführer bestreitet, die Geschädigte am 16. Februar 2017 mit dem Tod bedroht zu haben, begründet keine Willkür in der Beweiswürdigung. Dies gilt ebenso für den Umstand, dass sie ihn in der Folge noch einmal zu sich nach Hause einlud und, dass ihr Bekannter am Abend der Drohung keine Anzeichen von Angst bei der Geschädigten feststellte.
Auch mit Bezug auf die Vorwürfe vom 20. Februar 2017 (Erpressung und Nötigung) bringt der Beschwerdeführer nichts vor, was Anlass böte die - diesbezüglich knappen - vorinstanzlichen Ausführungen in Frage zu stellen. Dies gilt etwa für den Einwand, wonach es die Idee der Geschädigten gewesen sei, die fraglichen Dokumente aufzusetzen, was die Vorinstanz angesichts der Vorgeschichte nachvollziehbar als lebensfremd verwirft. Inwiefern es für den Beschwerdeführer unmöglich gewesen sein soll, die Geschädigte bei ihr zu Hause zur Unterzeichnung von Dokumenten zu drängen, begründet er nicht und ist unerfindlich. Entgegen seiner Darstellung ist die Motivation hierfür hingegen offensichtlich.
2.
Der Beschwerdeführer kritisiert die Strafzumessung.
2.1. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
2.2. Die Strafzumessung genügt der Begründungspflicht nach Art. 50
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 408 Nouveau jugement - 1 Si la juridiction d'appel entre en matière, elle rend un nouveau jugement qui remplace le jugement de première instance. |
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1 | Si la juridiction d'appel entre en matière, elle rend un nouveau jugement qui remplace le jugement de première instance. |
2 | La juridiction d'appel statue dans les douze mois.275 |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 81 Teneur des prononcés de clôture - 1 Les jugements et autres prononcés clôturant la procédure contiennent: |
|
1 | Les jugements et autres prononcés clôturant la procédure contiennent: |
a | une introduction; |
b | un exposé des motifs; |
c | un dispositif; |
d | s'ils sont sujets à recours, l'indication des voies de droit. |
2 | L'introduction contient: |
a | la désignation de l'autorité pénale et celle de ses membres qui ont concouru au prononcé; |
b | la date du prononcé; |
c | une désignation suffisante des parties et de leurs conseils juridiques; |
d | s'agissant d'un jugement, les conclusions finales des parties. |
3 | L'exposé des motifs contient: |
a | dans un jugement, l'appréciation en fait et en droit du comportement reproché au prévenu, ainsi que la motivation des sanctions, des effets accessoires ainsi que des frais et des indemnités; |
b | dans un autre prononcé de clôture, les motifs du règlement de la procédure tel qu'il est envisagé. |
4 | Le dispositif contient: |
a | la désignation des dispositions légales dont il a été fait application; |
b | dans un jugement, le prononcé relatif à la culpabilité et à la sanction, aux frais, aux indemnités et aux éventuelles conclusions civiles; |
c | dans un autre prononcé de clôture, l'ordonnance concernant le règlement de la procédure; |
d | les décisions judiciaires ultérieures; |
e | le prononcé relatif aux effets accessoires; |
f | la désignation des personnes et des autorités qui reçoivent copie du prononcé ou du dispositif. |
3.
Die Beschwerde ist teilweise gutzuheissen. Der angefochtene Entscheid ist aufzuheben und die Sache ist zu neuer Strafzumessung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Im Übrigen ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist.
Ausgangsgemäss hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten im Umfang seines Unterliegens zu tragen, zumal sich sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege insoweit als aussichtslos erweist. Der finanziellen Lage des Beschwerdeführers ist bei der Kostenfestsetzung Rechnung zu tragen. Im Übrigen sind die Kosten auf die Staatskasse zu nehmen (Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Der angefochtene Entscheid wird aufgehoben und die Sache zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen, soweit es nicht gegenstandslos geworden ist.
3.
Der Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten im Umfang von Fr. 800.--.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Basel-Landschaft, Abteilung Strafrecht, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 3. Dezember 2020
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Der Gerichtsschreiber: Matt