Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
1C 138/2014
Urteil vom 3. Oktober 2014
I. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Fonjallaz, Präsident,
Bundesrichter Aemisegger, Merkli,
Gerichtsschreiber Gelzer.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwältin Katharina Bossert,
gegen
1. Baukommission Rüschlikon,
vertreten durch Rechtsanwalt Markus Holenstein,
2. Baugenossenschaft Rüschlikon,
vertreten durch Rechtsanwalt Niklaus Schwendener,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Baubewilligung,
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Zürich, 1. Abteilung, vom 23. Januar 2014.
Sachverhalt:
A.
Mit Beschluss vom 5. Juli 2012 erteilte die Baukommission Rüschlikon der Baugenossenschaft Rüschlikon die baurechtliche Bewilligung für den Neubau von zwei Mehrfamilienhäusern mit 25 Wohnungen, vier Atelierräumen und einer Unterniveaugarage mit 30 Parkplätzen auf dem Grundstück Kat.-Nr. 5662 an der Bahnhofstrasse 29 in Rüschlikon. Die beiden projektierten, äusserlich nahezu identischen Flachdachgebäude weisen drei Vollgeschosse, ein Attikageschoss sowie ein anrechenbares Untergeschoss auf. Das gegenwärtig mit einer Reithalle überbaute Baugrundstück ist gemäss der Bau- und Zonenordnung der Gemeinde Rüschlikon vom 22. Juni 2000 (BZO) der dreigeschossigen Wohn- und Gewerbezone W3G zugeordnet. Es grenzt im Norden und Westen an die zweigeschossige Wohnzone W2B, die mit Einfamilienhäusern überstellt ist. A.________ ist Eigentümer solcher Häuser.
Das Bauvorhaben stellt die überarbeitete Version eines früheren Projekts dar, dessen Bewilligung vom Verwaltungsgericht mit Urteil vom 22. Februar 2012 in Gutheissung einer Beschwerde von A.________ aufgehoben wurde, weil das Projekt übergeschossig war, wenn Gebäudelängsseiten als hypothetische Traufseiten gewählt werden. Im vorliegenden Projekt wurde daher die hypothetische Traufseite neu ausgerichtet. Die Änderungen zum Vorgängerprojekt beschränkten sich im Wesentlichen auf die Dach- bzw. Attikageschosse.
B.
A.________ focht die Baubewilligung vom 5. Juli 2012 mit einem Rekurs beim Baurekursgericht des Kantons Zürich an. Dieses führte am 13. Dezember 2012 einen Augenschein durch und wies mit Entscheid vom 25. Juni 2013 den Rekurs ab, soweit es darauf eintrat. Eine dagegen von A.________ erhobene Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 23. Januar 2014 ab.
C.
A.________ (Beschwerdeführer) erhebt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten mit den Anträgen, den Entscheid des Verwaltungsgerichts vom 23. Januar 2014 und die baurechtliche Bewilligung vom 5. Juli 2012 aufzuheben. Eventuell sei die Angelegenheit an die Baugenossenschaft (recte: Baukommission) Rüschlikon zur Neubeurteilung im Sinne der Erwägungen zurückzuweisen. Subeventuell sei die Angelegenheit an das Verwaltungsgericht zur Erhebung des rechtserheblichen Sachverhalts und zur Neubeurteilung im Sinne der Erwägungen zurückzuweisen.
Mit Präsidialverfügung vom 7. April 2014 wurde der Beschwerde auf Antrag des Beschwerdeführers die aufschiebende Wirkung zuerkannt.
Das Verwaltungsgericht und die Baukommission Rüschlikon beantragen, die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf einzutreten sei. Die Baugenossenschaft Rüschlikon schliesst auf Abweisung der Beschwerde. In seiner Replik hält der Beschwerdeführer an seinen bisherigen Anträgen fest.
Erwägungen:
1.
1.1. Angefochten ist ein kantonal letztinstanzlicher Verwaltungsgerichtsentscheid, der eine baurechtliche Bewilligung bestätigt. Dagegen steht grundsätzlich die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten offen (Art. 82 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
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a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
1.2. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann die Verletzung von Bundesrecht, Völkerrecht und kantonalen verfassungsmässigen Rechten gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
1.3. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zu Grunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.4. Nach Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
2.
2.1. Das Verwaltungsgericht lehnte den Antrag des Beschwerdeführers auf Durchführung eines Augenscheins ab. Zur Begründung führte es aus, das Baurekursgericht habe am 13. Dezember 2012 in Bezug auf das vorliegende Projekt bereits einen Augenschein vorgenommen. Da sich der massgebende Sachverhalt aufgrund des entsprechenden Protokolls, der übrigen Akten und der Pläne mit ausreichender Deutlichkeit ergebe, bestehe kein Anlass für die Durchführung eines weiteren Augenscheins.
2.2. Der Beschwerdeführer rügt, das Verwaltungsgericht habe mit dem Verzicht auf die Durchführung eines Augenscheins sein rechtliches Gehör und den Grundsatz der Sachverhaltsermittlung von Amtes wegen gemäss § 7 des Zürcher Verwaltungsrechtspflegegesetzes verletzt. Es habe auf die vom Baurekursgericht vorgenommene Sachverhaltsermittlung abgestellt, obwohl der Beschwerdeführer gerügt habe, diese sei unrichtig. Somit seien wesentliche Sachverhaltselemente strittig geblieben. Dazu komme, dass die Vorinstanz Gebäude erwähne, die in den Akten nicht dokumentiert seien. Auch lägen keine gesicherten Sachverhaltsermittlungen zur Ausschöpfung der zulässigen Bauvolumen vor. Ohne Augenschein sei es nicht möglich, einzuschätzen, ob das projektierte Gebäude von der Liegenschaften des Beschwerdeführers als Wand erscheine. Das Bundesgericht habe daher die Angelegenheit zur Durchführung eines Augenscheins an die Vorinstanz zurückzuweisen, oder selber einen solchen vorzunehmen.
2.3. Vorliegend sind die Einordnung der projektierten Gebäude und der Flachdächer strittig. Diese Fragen können gestützt auf die Akten beantwortet werden, zumal diese neben den Plänen Fotos des Baugrundstücks und seiner Umgebung enthalten. Der Beschwerdeführer behauptet zwar, mangels Durchführung eines Augenscheins habe die Vorinstanz den optischen Bezug des Bauvorhabens zur denkmalgeschützten Kirche nicht zuverlässig einschätzen können. Dies trifft jedoch nicht zu, da auf der Foto Nr. 6 des Augenscheinprotokolls das ausgesteckte Bauvorhaben und die Kirche deutlich erkennbar sind. Zudem hat der Beschwerdeführer im kantonalen Verfahren als Beilage 4 eine Visualisierung des Bauprojekts eingereicht, welche die Kirche einbezieht. Zur Beurteilung der Dachlandschaft der umliegenden Gebäude hat der Beschwerdeführer in der Beilage 5 von Google Map erstellte Fotos eingereicht, die jedoch nur einen begrenzten Ausschnitt zeigen. Er wendet ein, die vom Verwaltungsgericht erwähnte Blöcke an der Bahnhofstrasse 30-34 seien bisher nirgends aktenkundig. Er bestreitet jedoch nicht, dass diese Gebäude gemäss der Feststellung des Verwaltungsgerichts Flachdächer haben, was durch die auf dem Internet abrufbaren Bilder von Google Map bestätigt wird.
Demnach erübrigt sich auch insoweit die Durchführung eines Augenscheins, zumal der Beschwerdeführer nicht darlegt, inwiefern dem Verwaltungsgericht der Zugriff auf die von ihm genannten einfach verfügbaren Internetdaten versagt sein soll (vgl. Urteil 1C 326/2011 vom 22. März 2012 E. 2.1). Er vermag gemäss den nachstehenden Erwägungen auch keine entscheiderheblichen offensichtlich falschen tatsächlichen Feststellungen nachzuweisen. Unter diesen Umständen hat das Verwaltungsgericht sein rechtliche Gehör nicht verletzt, wenn es auf die Durchführung eines Augenscheins verzichtete. Ein solcher ist auch vom Bundesgericht nicht vorzunehmen.
3.
3.1. Nach Art. 30 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
objektiv und unparteiisch behandelt, zumal er sich dabei an die Auffassung der Rechtsmittelinstanz zu halten hat (BGE 131 I 113 E. 3.6 S. 120 mit Hinweis). Auch die Mitwirkung eines Richters an einem Entscheid, der die unentgeltliche Rechtspflege wegen Aussichtslosigkeit verweigert, bildet für sich allein keinen Ausstandsgrund. Bei solchen systembedingten Vorbefassungen ist die Annahme, der betreffende Richter sei voreingenommen, nur begründet, wenn weitere Gründe hinzutreten. Es müssen konkrete Anhaltspunkte dafür vorliegen, dass sich der Richter bereits in einer Art festgelegt hat, dass er einer anderen Bewertung der Sach- und Rechtslage nicht mehr zugänglich und der Verfahrensausgang deswegen nicht mehr offen erscheint (BGE 131 I 113 E. 3.4 S. 116 und E. 3.7.3 S. 123 f.) Solche Anhaltspunkte bejaht das Bundesgericht, wenn eine Baukommission die Bauherrschaft bei ihrer Ausarbeitung des Baugesuchs in detaillierter Weise berät oder ihr vor Berücksichtigung allfälliger Drittinteressen die verbindliche Zusage macht, das Vorhaben in einer bestimmten Form bewilligen zu können (Urteil 1C 914/2013 vom 26. Juni 2014 E. 6.3, zur Publ. bestimmt).
3.2. Vor dem Verwaltungsgericht machte der Beschwerdeführer geltend, die Einordnung des Bauvorhabens sei vom Baurekursgericht nicht unbefangen beurteilt worden, weil es unbesehen auf seine früheren Ausführungen zum ersten Projekt sowie auf die Beurteilung der mit der Bauherrschaft verflochtenen Jury abgestellt habe.
3.3. Das Verwaltungsgericht erwog dazu, wenn es die Bewilligung für ein Bauprojekt aufhebe und in der Folge das Baurekursgericht die Rechtmässigkeit eines angepassten Projekts überprüfte, liege eine systembedingte Mehrfachbefassung vor, die - gleich wie bei einer Rückweisung einer Sache an das Baurekursgericht - grundsätzlich hinzunehmen sei. Das Baurekursgericht sei auch nicht deshalb befangen, weil es im angefochtenen Entscheid an seine Ausführungen im früheren Verfahren anknüpfe, zumal sich die beiden Projekte im Hinblick auf ihre Einordnung nur unwesentlich voneinander unterschieden und das Gericht sich über die Anpassungen im Klaren gewesen sei. Gegen eine unzulässige Vorbefassung spreche auch, dass das Baurekursgericht betreffend die Einordnung des leicht überarbeiteten Bauvorhabens einen neuen Augenschein vorgenommen habe. Daran ändere nichts, dass das Baurekursgericht massgeblich auf die Würdigung der Preisrichter abgestellt habe, da es dies nur zur Stützung seiner eigenen ästhetischen Beurteilung getan habe.
3.4. Der Beschwerdeführer wendet ein, selbst wenn eine nochmalige Befassung mit derselben Angelegenheit praxisgemäss für sich allein den Anschein der Befangenheit nicht zu begründen vermöge, lägen durch den pauschalen Verweis des Baurekursgerichts auf seinen früheren Entscheid und die Beurteilung des Preisgerichts besondere Umständen vor, die Anschein der Voreingenommenheit erweckten. Aufgrund dieses Verweises sei offensichtlich, dass das Baurekursgericht den Augenschein nur pro forma vorgenommen und eine anschliessende inhaltliche Überprüfung und Beurteilung der sich stellenden Fragen unterlassen habe. So seien weder der Augenschein noch anderweitige neue Auseinandersetzungen zu den aufgeworfenen Fragen in das Urteil des Baurekursgerichts eingeflossen, was beweise, dass es nicht unbefangen gewesen sei. Die gegenteilige Auffassung der Vorinstanz sei unhaltbar, weshalb Art. 30 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
3.5. Vorliegend hat das Verwaltungsgericht den Entscheid des Baurekursgerichts betreffend das erste Bauprojekt aufgehoben. Danach hatte das Baurekursgericht ein zweites abgeändertes Baugesuch zu beurteilen. Diese mehrfache Befassung mit zwei ähnlichen Bauprojekten ist systembedingt und führt somit grundsätzlich nicht zum Anschein der Befangenheit. Das Baurekursgericht führte in den Erwägungen 5.1 bis 5.3 seines Entscheids vom vom 25. Juni 2013 unter Hinweis auf mehrere am Abteilungsaugenschein vom 13. Dezember 2012 erstellte Fotografien aus, es habe sich anlässlich dieses Augenscheins davon überzeugen können, dass zwischen dem Bauvorhaben und der evangelisch-reformierten Kirche Rüschlikon kein optischer Zusammenhang bestehe, dass sich die Einordnungsproblematik im Vergleich zum vorangegangenen Projekt kaum verändert habe und im betreffenden Quartier eine heterogene Dachlandschaft bestehe, in die sich die geplanten Flachdächer passend einordneten. Diese Ausführungen belegen, dass das Baurekursgericht den Augenschein bei der Beurteilung der Einordnungsfragen tatsächlich berücksichtigte und es diese Frage eingenständig beantwortete. Daran vermag nichts zu ändern, dass es in seinen Entscheiden Ausführungen der Preisrichter zur
Einordnungsfrage wiedergab, weil es diese Ausführungen gestützt auf eine vor Ort vorgenommene eigene Beurteilung des Bauprojekts als zutreffend erachtete. Dies vermag, unabhängig davon, ob die Preisrichter mit der Baukommission bzw. der Baugenossenschaft Rüschlikon personell verflochten waren, nicht den Eindruck der Befangenheit zu erwecken. Da sich die Einordnungsproblematik bei den beiden Bauprojekten kaum veränderte, kann daraus, dass Baurekursgericht bei seiner Beurteilung der Einordnung des zweiten Projekts an die einschlägigen Darlegungen im ersten Entscheid anknüpfte, nicht auf seine Befangenheit geschlossen werden, zumal der Beschwerdeführer bereits im ersten Verfahren beteiligt war und das Baurekursgericht bei der Ausarbeitung der Projekte keine beratende Funktion übernahm. Unter diesen Umständen erweist sich die Rüge, das Verwaltungsgericht hätte die Befangenheit des Baurekursgerichts bejahen müssen, als unbegründet.
4.
4.1. Aus dem Anspruch auf rechtliches Gehör gemäss Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
4.2. Das Verwaltungsgericht kam zum Ergebnis, das Baurekursgericht habe seine Begründungspflicht verletzt, weil es ungenügend auf Einwände des Beschwerdeführers bezüglich der Einordnung des Bauprojekts eingegangen sei. Das Verwaltungsgericht ging jedoch davon aus, dieser Begründungsmangel sei im Beschwerdeverfahren geheilt worden.
4.3. Der Beschwerdeführer bringt in seiner Beschwerde keine Einwände gegen die vom Verwaltungsgericht vorgenommene Heilung des Begründungsmangels vor. Die erst in der nach Ablauf der Beschwerdefrist eingereichten Replik erhobene Rüge, eine Heilung habe nicht stattfinden können, wurde offensichtlich verspätet erhoben (vgl. Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
4.4. In seiner Beschwerde wirft der Beschwerdeführer dem Verwaltungsgericht vor, seine Begründungspflicht und damit Art. 30
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
4.5. Diese Rüge ist unbegründet, weil das Verwaltungsgericht die Überlegungen, von denen es sich bezüglich der Einordnung des Bauprojekts hat leiten lassen, ausführlich dargelegte und es damit eine sachgerechte Anfechtung ermöglichte.
5.
5.1. Art. 20 BZO mit der Überschrift: "Dachform, Dachaufbauten und -einschnitte" bestimmt:
"1 Auf Hauptgebäuden sind in der Regel nur Schrägdächer mit einer Neigung von 25° - 45° alter Teilung zulässig.
2 Flachdächer können bei guter Einordnung in die Dachlandschaft und guter Gestaltung gestattet werden."
5.2. Das Verwaltungsgericht ging davon aus, die Zulässigkeit der geplanten Flachdächer gemäss Art. 20 Abs. 2
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 20 |
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 20 |
Attikageschosses zurückhaltend gestaltet und die beiden Aufbauten übersichtlich angeordnet.
5.3. Der Beschwerdeführer rügt, die Behauptung, Flachdächer seien in den letzten Jahren ortsüblich geworden, sei unzutreffend. Die vom Kantonsgericht genannten Gebäude an der Bahnhofstrasse 21, 23 und 27 seien zwar Flachdachbauten. Sie seien jedoch aufgrund ihrer Zweigeschossigkeit nicht mit den dominanten, projektierten Baukörpern vergleichbar. Das Gebäude an der Bahnhofstrasse 24 verfüge über ein Walmdach, also über ein Schrägdach. Die Blöcke an der Bahnhofstrasse 30-34 seien nicht aktenkundig. Die Gebäude am Pilgerweg 11, 13 und 15 seien mit Walmdächern versehen. Unter den Gebäuden an der Schlossstrasse 17-27 finde sich nur ein Flachdach. Die unzähligen Satteldächer in der Umgebung, welche auf der Beilage 5 der kantonalen Beschwerde abgebildet seien, würden vom Kantonsgericht nicht genannt. Zudem sei zu beachten, dass Art. 20 BZO zwischen Schräg- und Flachdächern unterscheide, weshalb die vom Verwaltungsgericht aufgezählten Dachformen wie Satteldächer mit diversen Neigungen, Walm-, Mansarden- und Tonnendächer gemäss der BZO erlaubte Schrägdächer seien, wobei Satteldächer klar dominierten. Angesichts des klaren Wortlauts von Art. 20 BZO dürften einige bestehende Flachdächer nicht zum entscheidenden Faktor werden. Inwiefern das
Verwaltungsgericht vor diesem Hintergrund von einer "Heterogenität der umliegenden Dächer" spreche, sei nicht nachvollziehbar.
5.4. Der Beschwerdeführer anerkennt, dass an der Bahnhofstrasse 21, 23 und 27 Flachdachbauten stehen. Diese drei Bauten befinden sich in der Zone W2B nördlich des Baugrundstücks. Die südlich davon gelegenen Blöcke an der Bahnhofstrasse 30-34 sind gemäss der unbestrittenen vorinstanzlichen Feststellung ebenfalls Flachdachbauten (vgl. E. 2.3 hiervor). Demnach erweist sich die vorinstanzliche Feststellung, Flachdächer seien in den letzten Jahren ortsüblich geworden, jedenfalls bezüglich der Umgebung des Baugrundstücks an der Bahnhofstrasse 29 in Rüschlikon als zutreffend. Zudem ist auf der Fotografie 9 des Augenscheinprotokolls erkennbar, dass das Dach des dominanten Gebäudes an der Bahnhofstrasse 24 gegenüber dem Baugrundstück eine sehr geringe Neigung aufweist, weshalb es von der Strasse aus betrachtet, weitgehend als Flachdach erscheint. Unter diesen Umständen ist das Verwaltungsgericht nicht in Willkür verfallen, wenn es die gemäss Art. 20 Abs. 2
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 20 |
sind und es vertretbar ist, an verschiedenen Strassen in verschiedenen Zonen unterschiedliche Dachlandschaften zuzulassen.
6.
6.1. Gemäss § 238 Abs. 1 des Züricher Planungs- und Baugesetzes vom 7. September 1975 (PBG) sind Bauten, Anlagen und Umschwung für sich und in ihrem Zusammenhang mit der baulichen und landschaftlichen Umgebung im ganzen und in ihren einzelnen Teilen so zu gestalten, dass eine befriedigende Gesamtwirkung erreicht wird; diese Anforderung gilt auch für Materialien und Farben.
6.2. Das Verwaltungsgericht kam zum Ergebnis, aus Art. 20 Abs. 2 BZO ergäbe sich nicht, dass Flachdachbauten bezüglich des Gebäudes höheren Einordnungsanforderungen zu entsprechen hätten, als nach § 238 Abs. 1 PBG.
6.3. Der Beschwerdeführer gibt diese Auffassung als falsch aus. Er übt dabei jedoch bloss appellatorische Kritik am angefochtenen Urteil, auf welche nicht einzutreten ist (vgl. E. 1.4 hiervor).
7.
7.1. Das Verwaltungsgericht erwog, § 238 Abs. 2 PBG stelle an die Einordnung der Baute höhere Anforderungen, wenn sich ein Objekt des Heimatschutzes in ihrer Nähe befinde. Insoweit sei massgeblich, dass die Wahrnehmung von Schutzobjekten von Drittstandorten aus durch neu zu erstellende Bauten nicht beeinträchtigt werden dürfe. Damit diese Bestimmung zum Tragen käme, müsse aus der Sicht eines aussenstehenden Beobachters ein optischer Bezug zwischen der projektierten Baute und dem Schutzobjekt bestehen. Vorliegend sei ein solcher Zusammenhang nicht erkennbar. Die evangelisch-reformierte Kirche Rüschlikon befinde sich mindestens rund 130 m von der Bauparzelle entfernt und wende ihr die Rückseite zu. Der Pilgerweg und die Bahnhofstrasse würden im hier massgebenden Abschnitt von einer ganzen Reihe unprätentiöser Bauten gesäumt und zudem von zwei Querstrassen geschnitten.
7.2. Der Beschwerdeführer rügt, die vorinstanzliche Feststellung, dass zwischen der Kirche und dem Bauvorhaben kein optischer Bezug im Sinne von § 238 Abs. 2 PBG bestehe, sei offensichtlich unrichtig.
7.3. Die Rüge ist unbegründet, weil der Beschwerdeführer nicht darlegt, von welchen Drittstandorten aus, die Wahrnehmung der Kirche durch die geplante Bauten beeinträchtigt werden soll, was auch nicht ersichtlich ist. Damit ist vorinstanzliche Feststellung, die Kirche wende der Bauparzelle die Rückseite zu, nicht entscheidrelevant. Auf die dagegen gerichtete Sachverhaltsrüge ist daher nicht einzutreten.
8.
8.1. Bauten haben nicht nur die geltende Bau- und Zonenordnung einzuhalten, sondern auch allfällige ästhetische Schutzbestimmungen - wie vorliegend § 238 PBG (vgl. E. 6.1 hiervor) - zu erfüllen. Solche Vorschriften haben gemäss der Rechtsprechung eine eigenständige Bedeutung. Sie sind nicht von vornherein eingehalten, wenn die Bauvorschriften respektiert werden, denn die Schutzbereiche der Normen decken sich nicht zwingend. Die Anwendung einer positiven Ästhetikklausel darf jedoch nicht dazu führen, dass generell - etwa für die ganze Dorfkernzone - die Zonenordnung ausser Kraft gesetzt würde. Lässt diese eine bestimmte Geschosszahl zu, darf nicht generell nur ein Geschoss weniger bewilligt werden, um eine gute Gesamtwirkung zu erreichen (Urteil 1C 434/2012 vom 28. März 2013 E. 3.3 mit Hinweisen, in: ZBl 2014 S. 443).
8.2. Entsprechend führte das Verwaltungsgericht unangefochten aus, nach ständiger Rechtsprechung könne allein gestützt auf § 238 PBG keine generelle Herabsetzung des nach der Bau- und Zonenordnung zulässigen Bauvolumens verlangt werden. Ein Verzicht auf die Realisierung des auf dem betreffenden Grundstück zulässigen Volumens, könne nur in Ausnahmefällen durchgesetzt werden. Hierfür seien besonders triftige Gründe erforderlich, wie z.B. eine besondere Qualität der bestehenden Überbauung, die Rücksicht auf ein Schutzobjekt oder eine qualifizierte landschaftliche Empfindlichkeit.
8.3. Im kantonalen Verfahren machte der Beschwerdeführer geltend, die geplanten Mehrfamilienhäuser würden ihrem Zusammenhang mit der baulichen Umgebung keine befriedigende Gesamtwirkung erreichen, weil sie wegen der Ausschöpfung der massgebenden Baubegrenzungsvorschriften wuchtig und überdimensioniert seien. Sie nähmen keine Rücksicht auf Struktur der östlich des Pilgerwegs gelegenen Überbauung, sondern bildeten einen störenden Gegensatz zu den benachbarten Einfamilienhäusern.
8.4. Das Verwaltungsgericht führte dazu aus, der Umstand, dass die geplanten Gebäude in eine Bebauungsstruktur mit den Zwischenräumen einer Streusiedlung erstellt werden sollen, rechtfertige noch keine Herabsetzung des in der betreffenden Zone zulässigen Bauvolumens. Von einer weitherum zurückhaltend ausgeschöpften Ausnutzung könne jedenfalls für die Zone W3G nicht gesprochen werden. Die benachbarte, mit Einfamilienhäusern überstelle Wohnzone W2B "Platte" sei grösstenteils von der Wohn- und Gewerbezone W3G sowie der Wohnzone W3 umgeben, in denen sich überwiegend Mehrfamilienhäuser und vereinzelte Gewerbebauten befänden. Der dörfliche Charakter der umschlossenen Einfamilienhaussiedlung werde durch die auf der gegenüberliegenden Seite des Pilgerwegs geplanten Mehrfamilienhäuser nicht gefährdet. Diese bildeten kein fremdartiges Element inmitten einer Einfamilienhaussiedlung, sondern betonten deren Abschluss nach Westen hin. Trotz des deutlichen Kontrasts zum benachbarten Quartier sei das vorliegende Bauprojekt im Zeitalter des verdichteten Bauens hinzunehmen, soweit es in seiner konkreten Ausgestaltung eine befriedigende Gesamtwirkung mit der Umgebung erziele. Dass die Gebäude unter Berücksichtigung der Attika- und teilweise
freiliegenden Untergeschosse auf einen aussenstehenden Betrachter als vier- bzw. fünfgeschossig wirken mögen, sei eine Folge der anwendbaren Zonenvorschriften. Diese würden sogar zwei anrechenbare Dachgeschosse zulassen. Triftige Gründe für eine höhenmässige Beschränkung des Gebäudes aufgrund der Einordnung ergäben sich auch nicht aus der Hanglage und der geringen Breite des Pilgerwegs. Die Gebäude seien gegenüber der Baulinie BRB 3265 um bis zu 4 m zurückversetzt und erschienen entgegen der Befürchtung des Beschwerdeführers nicht wie eine Wand. Die Baukörper wiesen eine horizontale und vertikale Gliederung auf und zeichneten sich durch schlichte, aber zugleich differenzierte Bauformen aus und träten nicht repetitiv in Erscheinung. Sie überzeugten durch ihre kompakte wie gut proportionierte Gebäudeform. Darüber hinaus beliessen die beiden jeweils 24,2 m langen Gebäude - zulässig wäre nach Art. 18 BZO eine Gebäudelänge von bis zu 50 m - dank dem 24 m breiten Zwischenraum die Durchsicht zum nahen Zürichsee.
8.5. Der Beschwerdeführer rügt, das Verwaltungsgericht habe § 238 PBG willkürlich angewendet, weil es dieser Bestimmung eine eigenständige Bedeutung abgesprochen habe. Zwar dürfe diese Ästhetikvorschrift die Bau- und Zonenordnung nicht aushebeln. Im Einzelfall sei aber denkbar, dass auch in zonenkonformes Bauvorhaben abgelehnt werde, weil es nicht zu einer genügenden Gesamtwirkung führe. Diese Möglichkeit habe das Verwaltungsgericht nicht ernsthaft in Betracht gezogen. Seine entsprechenden Schlüsse seien nicht nachvollziehbar und offensichtlich unhaltbar, da es in verschiedenen Punkten von falschen Annahmen ausgegangen sei. Die vorinstanzliche Aussage, in der Zone W3G sei die Ausnützung nicht weitherum zurückhaltend ausgeschöpft worden, entbehre jeglicher Grundlage und sei falsch, da die gegenüberliegenden Gebäude an der Bahnhofstrasse gemäss der Foto Nr. 6 des Augenscheinprotokolls drei- und nicht fünfgeschossig, wie das Bauvorhaben in Erscheinung treten würden. In unhaltbarer Weise habe das Verwaltungsgericht eine uneingeschränkte und gesamthafte Beurteilung der massgeblichen Gesichtspunkte unterlassen. Es habe missachtet, dass eine Vielzahl von Gründen vorlägen, die bei einer pflichtgemässen Beurteilung zumindest in ihrer
Gesamtheit zu einer Verneinung der Einordnung hätten führen müssen. Zu diesen Gründen zähle der Umgebungsschutz, die Ausgestaltung als Flachdachbaute, die undifferenzierten und wuchtigen Baukörper, die übermässige Höhe und der extreme Wechsel zwischen den Zonen. Aufgrund des Spannungsverhältnisses zwischen den geplanten massiven Baukörpern und den angrenzenden zweigeschossigen Häusern lägen besondere Verhältnisse vor, die eine angemessene Beschränkung der maximalen Ausnützung der Bauvorschriften unverzichtbar machten.
8.6. Die Frage, ob eine befriedigende Gesamtwirkung im Sinne von § 238 PBG erzielt wird, ist im Einzelfall anhand der konkreten Verhältnisse zu prüfen. Den kommunalen Behörden steht bei der Anwendung dieser Vorschrift ein Ermessensspielraum zu, der im Rechtsmittelverfahren zu beachten ist. Ist der Einordnungsentscheid einer kommunalen Behörde nachvollziehbar, beruht er mithin auf einer vertretbaren Würdigung der massgebenden Sachumstände, so haben die Rechtsmittelinstanzen diesen zu respektieren und dürfen das Ermessen der kommunalen Behörde nicht durch ihr eigenes ersetzen (Urteil 1C 434/2012 vom 28. März 2013 E. 3.3, in: ZBl 2014 S. 443 f.; mit Hinweisen).
8.7. Die vorliegend umstrittenen Gebäude sind in einer dreigeschossigen Wohn- und Gewerbezone am Rande einer zweigeschossigen Wohnzone geplant, weshalb an der Zonengrenze unterschiedliche Gebäudehöhen und -strukturen unumgänglich sind. Zudem ist wesentlich, dass die geplante Überbauung aufgrund ihrer Aufteilung in zwei kompakte Gebäude mit einem etwa ihrer Länge entsprechenden Zwischenraum erhebliche Durchblicke lässt, weshalb entgegen der Annahme des Beschwerdeführers keine besonders wuchtigen Baukörper bzw. "Riesenblöcke" geplant sind. Inwiefern die Gebäude trotz ihrer strukturierten Fassadengestaltung "undifferenziert" sein sollen, legt er nicht dar und ist auch unter Berücksichtigung der Flachdächer nicht ersichtlich. Zudem geht der Beschwerdeführer selber davon aus, die dem Bauprojekt an der Bahnhofstrasse gegenüberliegenden Gebäude seien dreigeschossig. Damit besteht der Unterschied zu den geplanten Bauten darin, dass diese anstatt eines Schrägdachs über dem dritten Geschoss ein zurückversetztes Attikageschoss aufweisen. Es ist vertretbar anzunehmen, dieser Unterschied führe nicht zu einer ungenügenden Einordnung, zumal nicht ersichtlich ist, inwiefern dadurch unter den vorliegenden Gegebenheiten eine schützenswerte
landschaftliche oder bauliche Umgebung gefährdet werden könnte. Damit erübrigen sich weitere Sachverhaltsermittlungen zur Ausschöpfung der Bauvolumen. Nach dem Gesagten durften die Baubehörde und das Verwaltungsgericht insbesondere aufgrund der Aufteilung der Überbauung in zwei kompakte Gebäude auch bei einer Gesamtbetrachtung willkürfrei eine befriedigende Gesamtwirkung des Bauprojekts im Sinne von § 238 Abs. 1 PBG bejahen und auf eine Reduktion der vorgesehenen zulässigen Ausnutzung verzichten.
9.
Gemäss den vorstehenden Erwägungen ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten dem unterliegenden Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 4'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegnerin 2 für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 3'000.-- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 1. Abteilung, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 3. Oktober 2014
Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Fonjallaz
Der Gerichtsschreiber: Gelzer