Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Abteilung III

C-3268/2016

Urteil vom 2. November 2017

Richter Beat Weber (Vorsitz),

Besetzung Richterin Caroline Bissegger, Richter David Weiss,

Gerichtsschreiber Daniel Golta.

A._______, (Deutschland),

Parteien vertreten durch B._______ und C._______, (Deutschland),

Beschwerdeführer,

gegen

IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA,
Vorinstanz.

Gegenstand IV Invalidenrente; Verfügung der IVSTA vom 9. Mai 2016.

Sachverhalt:

A.
Der am (...) 1978 geborene A._______ (nachfolgend Versicherter oder Beschwerdeführer) ist deutscher Staatsbürger und lebt in Deutschland bei seinen Eltern. In den Jahren 2006 bis 2012 arbeitete er in der Schweiz (mit Unterbrüchen und zeitweisem Bezug von Arbeitslosentaggeldern) und leistete Beiträge an die Schweizerische Alters- und Hinterlassenen- und Invalidenversicherung (AHV/IV). Sein letzter effektiver Arbeitstag in der Schweiz (...) war der 16. Dezember 2011. Als Grund für die Arbeitsaufgabe bezeichnete der Beschwerdeführer Burn-out und Depression. Die letzte Arbeitgeberin kündigte das Arbeitsverhältnis (unter Erwähnung von für die Zeit vom 17. bis 31. März 2012 nicht eingereichte Krankheitszeugnisse) aus wirtschaftlichen Gründen per 31. Mai 2012. Am 30. September 2012 verliess der Beschwerdeführer die Schweiz und zog zu seinen Eltern in Deutschland (vgl. Akten der IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA [IV-act.] 2, 7, 8, 12, 18, 21, 22; IV-act. 33 S. 2 und 8).

B.

B.a Mit Formular vom 3. Januar 2013 meldete sich der Beschwerdeführer bei der IV-Stelle des Kantons D._______ zum Bezug schweizerischer IV-Leistungen (berufliche Integration/Rente) an. Die IV-Stelle bestätigte den Eingang der Anmeldung und überwies diese wegen des Wohnsitzes in Deutschland an die IVSTA (nachfolgend Vorinstanz; IV-act. 1).

B.b In der Folge korrespondierte die IVSTA mit dem Beschwerdeführer und der Deutschen Rentenversicherung (DRV) und nahm insbesondere einen Fragebogen für den Versicherten und einen Zusatzfragebogen zur Rentenanmeldung zu den Akten.

B.c Am 30. September 2013 beantragte der Beschwerdeführer über den deutschen Versicherungsträger die Ausrichtung einer schweizerischen Invalidenrente (vgl. IV- act. 23 f.).

B.d Im weiteren Verlauf des Verfahrens nahm die IVSTA verschiedene medizinische Unterlagen zu den Akten, holte bei ihrem medizinischen Dienst (MD) vier Stellungnahmen ein und korrespondierte mehrfach mit dem Beschwerdeführer, namentlich betreffend die von der IVSTA für notwendig erachtete psychiatrische Begutachtung in der Schweiz und den vom Beschwerdeführer dagegen erhobenen Einwand, dass eine entsprechende Reise für ihn nicht möglich sei bzw. ihm nicht zugemutet werden könne.

B.e Am 15. März 2016 führte Dr. E._______ (FMH Psychiatrie und Psychotherapie) in einer fünften Stellungnahme des medizinischen Dienstes der IVSTA (IV-act. 103) aus, dass er weiterhin der Ansicht sei, dass eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz durchgeführt werden müsse und der Beschwerdeführer reisefähig sei und ihm eine Reise zur Begutachtung (in Basel) zugemutet werden könne.

B.f Mit als "2. Mahnung" bezeichnetem Schreiben vom 22. März 2016 (IV-act. 104) teilte die IVSTA dem Beschwerdeführer mit, dass sie die - um neu eingegangene medizinische Unterlagen ergänzten - Akten erneut ihrem ärztlichen Dienst zur Stellungnahme unterbreitet habe. Dieser halte fest, dass eine Begutachtung in der Schweiz zur Beurteilung des Gesuchs unerlässlich und die Reisefähigkeit des Beschwerdeführers nach wie vor gegeben seien. Deshalb halte sie an der Durchführung einer psychiatrischen Untersuchung in der Schweiz fest. Des weiteren machte die IVSTA den Beschwerdeführer (erneut) darauf aufmerksam, dass sich der Versicherte gemäss Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG einer ärztlichen oder fachlichen Untersuchung unterziehen müsse, soweit diese notwendig und zumutbar sei. Komme der Versicherte der Auskunfts- oder Mitwirkungspflicht in unentschuldbarer Weise nicht nach, so könne der Versicherungsträger gemäss Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG und Art. 7b Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7b Sanctions - 1 Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
1    Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
2    En dérogation à l'art. 21, al. 4, LPGA, les prestations peuvent être réduites ou refusées sans mise en demeure et sans délai de réflexion si l'assuré:
a  ne s'est pas annoncé sans délai à l'AI malgré l'injonction donnée par l'office AI en vertu de l'art. 3c, al. 6, et que cette omission a prolongé ou aggravé l'incapacité de travail ou l'invalidité;
b  a manqué à son obligation de communiquer au sens de l'art. 31, al. 1, LPGA;
c  a obtenu ou tenté d'obtenir indûment des prestations de l'AI;
d  ne communique pas à un office AI les renseignements dont ce dernier a besoin pour remplir les tâches qui lui sont assignées par la loi.
3    La décision de réduire ou de refuser des prestations doit tenir compte de toutes les circonstances, en particulier de la gravité de la faute de l'assuré.68
4    En dérogation à l'art. 21, al. 1, LPGA, les allocations pour impotent ne peuvent être ni refusées, ni réduites.69
IVG unter Ansetzung einer angemessenen Frist auf Grund der Akten verfügen, allfällige Leistungen kürzen/verweigern (entsprechend Art. 21 Abs. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 21 - 1 Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
1    Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
2    Les prestations en espèces dues aux proches ou aux survivants de l'assuré ne sont réduites ou refusées que si ceux-ci ont provoqué la réalisation du risque intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit.
3    Dans la mesure où des assurances sociales ayant le caractère d'assurance de perte de gain ne prévoient aucune prestation en espèces pour les proches, les prestations en espèces ne peuvent être réduites en vertu de l'al. 1 que de moitié. Pour l'autre moitié, la réduction prévue à l'al. 2 est réservée.
4    Les prestations peuvent être réduites ou refusées temporairement ou définitivement si l'assuré se soustrait ou s'oppose, ou encore ne participe pas spontanément, dans les limites de ce qui peut être exigé de lui, à un traitement ou à une mesure de réinsertion professionnelle raisonnablement exigible et susceptible d'améliorer notablement sa capacité de travail ou d'offrir une nouvelle possibilité de gain. Une mise en demeure écrite l'avertissant des conséquences juridiques et lui impartissant un délai de réflexion convenable doit lui avoir été adressée. Les traitements et les mesures de réadaptation qui présentent un danger pour la vie ou pour la santé ne peuvent être exigés.
5    Si l'assuré exécute une peine ou une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain peut être partiellement ou totalement suspendu durant la durée de la peine. S'il se soustrait à l'exécution d'une peine ou d'une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain est suspendu à partir du moment où la peine ou la mesure aurait dû être exécutée. Les prestations destinées à l'entretien des proches visées à l'al. 3 sont exceptées.21
ATSG) oder die Erhebungen einstellen und ein Nichteintreten beschliessen. Dementsprechend setze die IVSTA dem Beschwerdeführer eine letzte Frist bis zum 6. Mai 2016, um schriftlich zu bestätigen, dass er an der notwendigen medizinischen Abklärung in der Schweiz teilnehmen werde. Ohne Antwort seinerseits werde die IVSTA nach Ablauf dieser Frist die Erhebungen einstellen und das Leistungsgesuch abweisen.

B.g Am 26. April 2016 erklärte der Beschwerdeführer, dass er die Untersuchung in der Schweiz nicht machen werde, da daraus eine nervliche Belastung resultieren würde und negative Auswirkungen auf seine Genesung und seine Gesundheit drohten (IV-act. 105). Ausserdem ersuchte er um Erlass einer anfechtbaren Verfügung betreffend sein Leistungsgesuch.

B.h Mit Verfügung vom 9. Mai 2016 (IV-act. 106 = Beschwerdebeilage 1) wies die IVSTA das Leistungsbegehren des Beschwerdeführers ab. Sie habe ihm am 22. März 2016 eine letzte Frist bis zum 6. Mai 2016 gesetzt, um schriftlich zu bestätigen, dass er sich einer Untersuchung in der Schweiz unterziehen werde. Mit Brief vom 26. April 2014 habe er mitgeteilt, dass er nicht an einer Untersuchung in der Schweiz teilnehmen werde. Die von ihm behauptete Reiseunfähigkeit sei aufgrund der Akten nicht belegt. Durch die Nichtteilnahme an der Untersuchung habe er seine Mitwirkungspflicht gemäss Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG verletzt, weshalb die IVSTA gemäss Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG auf Grund der Akten verfügen könne.

C.

C.a Gegen diese Verfügung erhob der Beschwerdeführer am 20. Mai 2016 Beschwerde an das Bundesverwaltungsgericht. Er beantragte die Aufhebung der angefochtenen Verfügung und die Gutheissung seines Leistungsgesuchs sowie die Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege (Verzicht auf die Erhebung von Verfahrenskosten).

Zur Begründung führte er im Wesentlichen aus, dass er keineswegs nicht an einer medizinischen Untersuchung teilgenommen habe. Vielmehr habe die DRV ihn im Auftrag der IVSTA am 1. September 2015 von Dr. med. F._______ (Facharzt für Neurologie und Psychiatrie, Neurologische Intensivmedizin, [...], Deutschland) sozialmedizinisch begutachten lassen. Ausserdem sei seine Reiseunfähigkeit keine Behauptung, sondern eine physische (recte wohl: psychische) Belastung für ihn, die er nicht ertragen könne. Er sei von seinem früheren Arbeitgeber in der Schweiz bedroht und gewarnt worden, nie wieder die Schweiz zu betreten, sonst würde er das bereuen. Er habe damals - in der Zeit, in der er noch in der Schweiz gelebt habe - sehr schlimme Anfeindungen ertragen müssen, die sein Leben total verändert hätten. Er traue sich nicht mehr ohne Begleitung auf die Strasse. Eine Fahrt in die Schweiz sei für ihn undenkbar und nicht zumutbar. Sein Leistungsgesuch sei auf Grund der Gutachten von Dr. F._______ und der sozialmedizinischen Stellungnahme von Dr. med. G._______ (Sozialmedizin, [...]) gutzuheissen.

C.b In ihrer Vernehmlassung vom 29. August 2016 (B-act. 5) beantragte die IVSTA die Abweisung der Beschwerde, respektive die Bestätigung der angefochtenen Verfügung. Zur Begründung führte sie insbesondere aus, gemäss Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG habe die versicherte Person sich ärztlichen Untersuchungen für die Beurteilung ihres Gesundheitszustandes zu unterziehen, soweit diese notwendig und zumutbar seien. Komme die versicherte Person den Auskunfts- oder Mitwirkungspflichten in unentschuldbarer Weise nicht nach, so könne der Versicherungsträger gemäss Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG auf Grund der Akten verfügen oder die Erhebungen einstellen und ein Nichteintreten beschliessen. Gegebenenfalls könne die IV-Stelle das Leistungsbegehren abweisen, wenn die Tatsachen, aus denen der Versicherte ein Recht abzuleiten beabsichtige, nicht bewiesen seien. Die üblichen Untersuchungen in einer Gutachterstelle seien ohne konkret entgegenstehende Umstände generell als zumutbar zu betrachten. Es obliege in erster Linie dem Versicherten, das Vorliegen einer Reiseunfähigkeit darzutun und zu begründen. Da die Reiseunfähigkeit des Versicherten für eine Begutachtung in der Schweiz trotz mehrmaliger Mahnungen nicht medizinisch nachgewiesen worden sei und letzterer eine Teilnahme an der in der Schweiz durchzuführenden, notwendigen und zumutbaren psychiatrischen Untersuchung verweigert habe, habe er seine Mitwirkungspflichten in unentschuldbarer Weise verletzt, und damit den Beweis der Tatsachen, aus denen er ein Recht auf eine IV-Rente ableitete, schuldhaft verhindert. Daher sei die Abweisung des Leistungsbegehrens zu Recht verfügt worden.

C.c Mit Zwischenverfügung vom 1. September 2016 hiess das Bundesverwaltungsgericht das Gesuch des Beschwerdeführers um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege gut.

C.d Mit Replik vom 26. September 2016 (B-act. 7) hielt der Beschwerdeführer an seinen Anträgen fest, ersuchte um Einsicht in seine Krankenakten und erklärte, dass er im Falle einer Gerichtsverhandlung durch seine Eltern vertreten würde. Er glaube, dass die IVSTA in seinem Dossier Akten von verschiedenen Versicherten führe. Gemäss Vernehmlassungsbeilage solle er nämlich einen Leistenbruch gehabt haben und mehrmals deswegen operiert worden sein. Er habe aber nie einen Leistenbruch gehabt und sei nie an der Leiste operiert worden.

C.e Am 28. September 2016 lud das Bundesverwaltungsgericht den Beschwerdeführer dazu ein, bis zum 28. Oktober 2016 am Sitz des Bundesverwaltungsgerichts Einsicht in seine Verfahrensakten (Beschwerdedossier und Vorakten) zu nehmen (B-act. 8).

C.f Am 6. Oktober 2016 zog der Beschwerdeführer seinen Antrag auf Krankenakteneinsicht zurück (B-act. 9).

C.g Mit Duplik vom 26. Oktober 2016 hielt die IVSTA an ihren Anträgen fest, zumal die Replik keine neuen (medizinischen) Elemente enthalte, die den vorliegenden Sachverhalt zu verändern vermöchten (B-act. 11). In Bezug auf die Vernehmlassungsbeilage betreffend Leistenbruch und entsprechende Operation führte die IVSTA aus, dass das Dokument aus einem anderen Versichertendossier stamme und versehentlich zwischen die Vernehmlassungsunterlagen geraten sei. Dieses Dokument habe somit keinen Einfluss auf die vorliegend umstrittene Verfügung.

C.h Am 1. November 2016 liess das Bundesverwaltungsgericht dem Beschwerdeführer ein Doppel der Duplik zukommen und schloss den Schriftenwechsel ab (B-act. 12).

C.i Mit Eingabe vom 30. Juli 2017 (B-act. 14) erkundigten sich die Eltern des Beschwerdeführers (B._______ und C._______) unter Beilage einer Prozessvollmacht nach dem Verfahrensstand. Sie führten aus, dass sie als Eltern nur bestätigen könnten, dass sich der Gesundheitszustand ihres Sohnes in den letzten Monaten immer mehr verschlechtert habe. Die ungewisse Zukunft auch in finanzieller Hinsicht sei für ihn unerträglich. Allein die Mietrückstände der letzten sechs Jahre seien für ihn eine zusätzliche psychische Belastung.

C.j Am 7. August 2017 teilte das Bundesverwaltungsgericht den Eltern des Beschwerdeführers mit, dass es sich um eine beförderliche Behandlung des vorliegenden Beschwerdeverfahrens bemühen werde.

C.k Am 29. Juli 2017 stellten die Eltern des Beschwerdeführers ein Akteneinsichtsgesuch an die DRV, das von dieser am 10. August 2017 an die IVSTA weitergeleitet und von dieser am 25. August 2017 zur weiteren Veranlassung an das Bundesverwaltungsgericht überwiesen wurde (B-act. 16).

C.l Am 1. September 2017 liess das Bundesverwaltungsgericht den Eltern des Beschwerdeführers Kopien der im Schriftverkehr betreffend Akteneinsicht erwähnten Dokumente zukommen.

D.
Auf die weiteren Vorbringen der Parteien und die eingereichten Akten wird - soweit erforderlich - im Rahmen der nachfolgenden Erwägungen eingegangen.

Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:

1.

1.1 Gemäss Art. 69 Abs. 1 Bst. b
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 69 Particularités du contentieux - 1 En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA421:
1    En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA421:
a  les décisions des offices AI cantonaux peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le tribunal des assurances du domicile de l'office concerné;
b  les décisions de l'office AI pour les assurés résidant à l'étranger peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif fédéral.423
1bis    La procédure de recours en matière de contestations portant sur des prestations de l'AI devant le tribunal cantonal des assurances est soumise à des frais judiciaires.424 Le montant des frais est fixé en fonction de la charge liée à la procédure, indépendamment de la valeur litigieuse, et doit se situer entre 200 et 1000 francs.425
2    L'al. 1bis et l'art. 85bis, al. 3, LAVS426 s'appliquent par analogie à la procédure devant le Tribunal administratif fédéral.427
3    Les jugements des tribunaux arbitraux cantonaux rendus en vertu de l'art. 27quinquies peuvent faire l'objet d'un recours auprès du Tribunal fédéral, conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral428.429
IVG (SR 831.20) in Verbindung mit Art. 5
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet:
1    Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet:
a  de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations;
b  de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations;
c  de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations.
2    Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25
3    Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision.
VwVG beurteilt das Bundesverwaltungsgericht Beschwerden von Personen im Ausland gegen Verfügungen der IVSTA.

1.2 Nach Art. 37
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 37 Principe - La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la PA57, pour autant que la présente loi n'en dispose pas autrement.
VGG richtet sich das Verfahren vor dem Bundesverwaltungsgericht nach dem VwVG, soweit das VGG nichts anderes bestimmt. Indes findet das VwVG aufgrund von Art. 3
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 3 - Ne sont pas régies par la présente loi:
a  la procédure d'autorités au sens de l'art. 1, al. 2, let. e, en tant que le recours direct à une autorité fédérale n'est pas ouvert contre leurs décisions;
b  en matière de personnel fédéral, les procédures de première instance relatives à la création initiale des rapports de service, à la promotion, aux prescriptions de service16 et la procédure en autorisation d'engager la poursuite pénale d'un agent;
c  la procédure pénale administrative de première instance et celle des recherches de la police judiciaire;
d  la procédure de la justice militaire, y compris la procédure disciplinaire militaire, la procédure dans les affaires relevant du pouvoir de commandement militaire selon l'art. 37, ainsi que la procédure particulière selon les art. 38 et 39 de la loi du 3 février 199518 sur l'armée et l'administration militaire,19 ...20;
dbis  la procédure en matière d'assurances sociales, dans la mesure où la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales est applicable22;
e  la procédure de taxation douanière;
ebis  ...
f  la procédure de première instance dans d'autres affaires administratives dont la nature exige qu'elles soient tranchées sur-le-champ par décision immédiatement exécutoire.
Bst. dbis VwVG keine Anwendung in Sozialversicherungssachen, soweit das ATSG (SR 830.1) anwendbar ist, wie dies vorliegend der Fall ist (vgl. Art. 1 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 1 - 1 Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
1    Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
2    Les art. 32 et 33 LPGA s'appliquent également à l'encouragement de l'aide aux invalides (art. 71 à 76).
IVG).

1.3 Der Beschwerdeführer hat am vorinstanzlichen Verfahren teilgenommen; er ist durch die ihn betreffende Verfügung berührt und hat ein schutzwürdiges Interesse an deren Anfechtung (Art. 59
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 59 Qualité pour recourir - Quiconque est touché par la décision ou la décision sur opposition et a un intérêt digne d'être protégé à ce qu'elle soit annulée ou modifiée a qualité pour recourir.
ATSG). Da die Beschwerde im Übrigen frist- und formgerecht eingereicht worden ist, ist auf sie einzutreten (Art. 60
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 60 Délai de recours - 1 Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
1    Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
2    Les art. 38 à 41 sont applicables par analogie.
ATSG i.V.m. Art. 38
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 38 Calcul et suspension des délais - 1 Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
1    Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
2    S'il ne doit pas être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de l'événement qui le déclenche.
2bis    Une communication qui n'est remise que contre la signature du destinataire ou d'un tiers habilité est réputée reçue au plus tard sept jours après la première tentative infructueuse de distribution.31
3    Lorsque le délai échoit un samedi, un dimanche ou un jour férié selon le droit fédéral ou cantonal, son terme est reporté au premier jour ouvrable qui suit. Le droit cantonal déterminant est celui du canton où la partie ou son mandataire a son domicile ou son siège.32
4    Les délais en jours ou en mois fixés par la loi ou par l'autorité ne courent pas:
a  du 7e jour avant Pâques au 7e jour après Pâques inclusivement;
b  du 15 juillet au 15 août inclusivement;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclusivement.
ATSG, Art. 52
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
1    Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
2    Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours.
3    Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable.
VwVG).

1.4 Das Bundesverwaltungsgericht ist gemäss dem Grundsatz der Rechts-anwendung von Amtes wegen nicht an die Begründung der Begehren der Parteien gebunden (Art. 62 Abs. 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie.
1    L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie.
2    Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse.
3    Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer.
4    Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours.
VwVG). Es kann die Beschwerde auch aus anderen als den geltend gemachten Gründen (teilweise) gutheissen oder den angefochtenen Entscheid auch mit einer von der Vorinstanz abweichenden Begründung (teilweise) bestätigen (vgl. für viele: Urteil des BVGer C-4166/2014 vom 1. Oktober 2015 E. 1.6 m.w.H.).

2.

2.1 Der Beschwerdeführer ist deutscher Staatsangehöriger und wohnt in Deutschland, weshalb das am 1. Juni 2002 in Kraft getretene Abkommen vom 21. Juni 1999 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft einerseits und der Europäischen Gemeinschaft und ihrer Mitgliedsstaaten andererseits über die Freizügigkeit (FZA, SR 0.142.112.681) sowie die gemäss Anhang II des FZA anwendbaren Verordnungen (EG) des Europäischen Parlaments und des Rates Nr. 883/2004 vom 29. April 2004 sowie Nr. 987/2009 vom 16. September 2009, welche am 1. April 2012 die Verordnungen (EWG) des Rates Nr. 1408/71 vom 14. Juni 1971 sowie Nr. 574/72 vom 21. März 1972 abgelöst haben, anwendbar sind. Seit dem 1. Januar 2015 sind auch die durch die Verordnungen (EU) Nr. 1244/2010, Nr. 465/2012 und Nr. 1224/2012 erfolgten Änderungen in den Beziehungen zwischen der Schweiz und den EU-Mitgliedstaten anwendbar. Gemäss Art. 8 Bst. a
IR 0.142.112.681 Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse d'une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes (avec annexes, prot. et acte final)
ALCP Art. 8 Coordination des systèmes de sécurité sociale - Les parties contractantes règlent, conformément à l'annexe II, la coordination des systèmes de sécurité sociale dans le but d'assurer notamment:
a  l'égalité de traitement;
b  la détermination de la législation applicable;
c  la totalisation, pour l'ouverture et le maintien du droit aux prestations, ainsi que pour le calcul de celles-ci, de toutes périodes prises en considération par les différentes législations nationales;
d  le paiement des prestations aux personnes résidant sur le territoire des parties contractantes;
e  l'entraide et la coopération administratives entre les autorités et les institutions.
FZA werden die Systeme der sozialen Sicherheit koordiniert, um insbesondere die Gleichbehandlung aller Angehörigen der Vertrags-staaten zu gewährleisten. Soweit - wie vorliegend - weder das FZA und die gestützt darauf anwendbaren gemeinschaftsrechtlichen Rechtsakte ab-weichende Bestimmungen vorsehen noch allgemeine Rechtsgrundsätze dagegen sprechen, richtet sich die Ausgestaltung des Verfahrens und die Prüfung des Rentenanspruchs alleine nach der schweizerischen Rechts-ordnung (vgl. BGE 130 V 253 E. 2.4). Demnach bestimmen sich vorliegend die Ausgestaltung des Verfahrens und die Prüfung des Anspruch des Beschwerdeführers auf Leistungen der schweizerischen Invalidenversicherung alleine aufgrund der schweizerischen Rechtsvorschriften (vgl. zum Ganzen Urteil des BVGer C-1358/2016 vom 15. August 2017 E. 3.1).

2.2 In zeitlicher Hinsicht sind - vorbehältlich besonderer übergangsrechtlicher Regelungen - diejenigen materiellen Rechtssätze anzuwenden, die bei der Erfüllung des zu Rechtsfolgen führenden Tatbestandes Geltung hatten (BGE 132 V 215 E. 3.1.1). Ein allfälliger Leistungsanspruch ist für die Zeit vor einem Rechtswechsel aufgrund der bisherigen und ab diesem Zeitpunkt nach den neuen Normen zu prüfen (pro rata temporis; vgl. BGE 130 V 445). Rechts- und Sachverhaltsänderungen, die nach dem massgebenden Zeitpunkt des Erlasses der streitigen Verfügung (hier: 9. Mai 2016) eintraten, sind im vorliegenden Verfahren grundsätzlich nicht zu berücksichtigen (vgl. BGE 121 V 366 E. 1b, BGE 130 V 329, BGE 130 V 64 E. 5.2.5 sowie BGE 129 V 1 E. 1.2, je mit Hinweisen).

3.

3.1 Die Feststellung des rechtserheblichen Sachverhaltes hat nach dem Untersuchungsgrundsatz von Amtes wegen zu erfolgen (Art. 12
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 12 - L'autorité constate les faits d'office et procède s'il y a lieu à l'administration de preuves par les moyens ci-après:
a  documents;
b  renseignements des parties;
c  renseignements ou témoignages de tiers;
d  visite des lieux;
e  expertises.
VwVG). Auch das sozialversicherungsrechtliche Verfahren ist vom Untersuchungsgrundsatz beherrscht (Art. 43
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG). Danach hat die Verwaltung und im Beschwerdeverfahren das Gericht von Amtes wegen für die richtige und vollständige Abklärung des erheblichen Sachverhalts zu sorgen (vgl. BGE 136 V 376 E. 4.1.1). Der Untersuchungsgrundsatz gilt indessen nicht unbeschränkt; er findet sein Korrelat in den Mitwirkungspflichten der Parteien (BGE 125 V 195 E. 2; BGE 122 V 158 E. 1a, je mit weiteren Hinweisen; s. auch unten E. 4.5).

3.2 Im Sozialversicherungsprozess hat das Gericht seinen Entscheid, sofern das Gesetz nicht etwas Abweichendes vorsieht, nach dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit zu fällen. Die blosse Möglichkeit
eines bestimmten Sachverhalts genügt den Beweisanforderungen nicht. Das Gericht hat vielmehr jener Sachverhaltsdarstellung zu folgen, die es von allen möglichen Geschehensabläufen als die wahrscheinlichste würdigt (BGE 126 V 360 E. 5b; 125 V 195 E. 2, je mit Hinweisen).

Führen die von Amtes wegen vorzunehmenden Abklärungen die Verwaltung oder das Gericht bei pflichtgemässer Beweiswürdigung zur Überzeugung, ein bestimmter Sachverhalt sei als überwiegend wahrscheinlich zu betrachten und es könnten weitere Beweismassnahmen an diesem feststehenden Ergebnis nichts mehr ändern, so ist auf die Abnahme weiterer Beweise zu verzichten (antizipierte Beweiswürdigung; Ueli Kieser, Das Verwaltungsverfahren in der Sozialversicherung, 1999, S. 212, Rz. 450; vgl. auch BGE 122 V 157 E. 1d; 122 II 464 E. 4a; 120 Ib 224 E. 2b).

Die objektive Beweislast beurteilt sich nach dem materiellen Recht und damit unabhängig davon, ob der Untersuchungs- oder Verhandlungsgrundsatz gilt. Der vor der IV-Stelle geltende Untersuchungsgrundsatz ändert demnach nichts an der objektiven Beweislast: Ergibt die Beweiswürdigung, dass für eine rechtserhebliche Tatsache der Beweis nicht erbracht ist, trägt die beweisbelastete Partei die Folgen der Beweislosigkeit (vgl. BGE 115 V 44 E. 2b; BGE 117 V 264 E. 3b). Dies bedeutet, dass für rechtserzeugende oder anspruchsbegründende Tatsachen diejenige Person die Folgen der Beweislosigkeit trägt, die das Recht geltend macht. Dies ist im IV-Verfahren in der Regel die versicherte Person. Ergibt beispielsweise die Beweiswürdigung, dass keine Einschränkung der Arbeitsfähigkeit vorliegt, hat die versicherte Person, welche einen Rentenanspruch geltend gemacht hat, die Folgen der Beweislosigkeit zu tragen (vgl. Urs Müller, Das Verwaltungsverfahren in der Invalidenversicherung, Bern 2010, S. 292, Rz. 1536 ff.; vgl. zum Ganzen Urteil des BVGer C-4480/2015 vom 6. Februar 2017 E. 2.6).

4.
Im Folgenden werden für die Beurteilung der vorliegenden Streitsache wesentliche Bestimmungen und von der Rechtsprechung dazu entwickelte Grundsätze dargestellt.

4.1 Gemäss Art. 8 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG in Verbindung mit Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
IVG ist Invalidität die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit als Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall. Erwerbsunfähigkeit ist gemäss Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
ATSG der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt. Arbeitsunfähigkeit ist die durch eine Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit bedingte, volle oder teilweise Unfähigkeit, im bisherigen Beruf oder Aufgabenbereich zumutbare Arbeit zu leisten. Bei langer Dauer wird auch die zumutbare Tätigkeit in einem anderen Beruf oder Aufgabenbereich berücksichtigt (Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité.
ATSG).

4.2 Anspruch auf eine Invalidenrente haben gemäss Art. 28 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA203) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.204
2    ...205
IVG Versicherte, die ihre Erwerbsfähigkeit oder die Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, nicht durch zumutbare Eingliederungsmassnahmen wieder herstellen, erhalten oder verbessern können (Bst. a), während eines Jahres ohne wesentlichen Unterbruch durchschnittlich zu mindestens 40 % arbeitsunfähig (Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité.
ATSG) gewesen sind (Bst. b) und nach Ablauf dieses Jahres zu mindestens 40 % invalid (Art. 8
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG) sind (Bst. c). Bei einem Invaliditätsgrad von mindestens 40 % besteht ein Anspruch auf eine Viertelsrente, bei mindestens 50 % auf eine halbe Rente, bei mindestens 60 % auf eine Dreiviertelsrente und bei mindestens 70 % auf eine ganze Rente (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA203) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.204
2    ...205
IVG).

4.3 Um den Invaliditätsgrad bemessen zu können, ist die Verwaltung (und im Beschwerdefall das Gericht) auf Unterlagen angewiesen, die ärztliche und gegebenenfalls andere Fachleute zur Verfügung zu stellen haben. Aufgabe des Arztes im schweizerischen Invalidenversicherungsverfahren ist es, den Gesundheitszustand zu beurteilen und dazu Stellung zu nehmen, in welchem Umfang und gegebenenfalls bezüglich welcher Tätigkeiten der Versicherte arbeitsunfähig ist. Die ärztlichen Auskünfte sind sodann eine wichtige Grundlage für die Beurteilung der Frage, welche Arbeitsleistungen dem Versicherten konkret noch zugemutet werden können (BGE 125 V 256 E. 4, 115 V 134 E. 2; AHI-Praxis 2002, S. 62, E. 4b/cc).

4.4

4.4.1 Das Bundesrecht schreibt nicht vor, wie die einzelnen Beweismittel zu würdigen sind. Für das gesamte Verwaltungs- und Beschwerdeverfahren gilt der Grundsatz der freien Beweiswürdigung. Danach haben Versicherungsträger und Sozialversicherungsgerichte die Beweise frei, das heisst ohne förmliche Beweisregeln, sowie umfassend und pflichtgemäss zu würdigen.

4.4.2 Für die Beurteilung des Rentenanspruchs sind Feststellungen ausländischer Versicherungsträger, Krankenkassen, Behörden und Ärzte bezüglich Invaliditätsgrad und Anspruchsbeginn für die rechtsanwendenden Behörden in der Schweiz nicht verbindlich (vgl. BGE 130 V 253 E. 2.4, AHI 1996, S. 179; vgl. auch ZAK 1989 S. 320 E. 2). Vielmehr unterstehen auch aus dem Ausland stammende Beweismittel der freien Beweiswürdigung des Gerichts (vgl. hierzu z.B. Urteil des BVGer C-5049/2013 vom 13. Februar 2015 E. 3.2 mit Hinweis auf den Entscheid des EVG vom 11. Dezember 1981 i.S. D.).

4.4.3 Hinsichtlich des Beweiswertes eines Arztberichtes ist entscheidend, ob der Bericht für die streitigen Belange umfassend ist, auf allseitigen Untersuchungen beruht, auch die geklagten Beschwerden berücksichtigt, in Kenntnis der Vorakten (Anamnese) abgegeben worden ist, in der Darlegung der medizinischen Zusammenhänge und in der Beurteilung der medizinischen Situation einleuchtet, ob die Schlussfolgerungen der Expertin oder des Experten begründet sind (BGE 134 V 231 E. 5.1; 125 V 351 E. 3a) und ob der Arzt über die notwendigen fachlichen Qualifikationen verfügt (Urteil des BGer 9C_736/2009 vom 26. Januar 2010 E. 2.1). Die Rechtsprechung erachtet es mit dem Grundsatz der freien Beweiswürdigung als vereinbar, Richtlinien für die Beweiswürdigung in Bezug auf bestimmte Formen medizinischer Berichte und Gutachten aufzustellen (vgl. hierzu BGE 125 V 352 E. 3b; AHI 2001 S. 114 E. 3b; Urteil des BGer I 128/98 vom 24. Januar 2000 E. 3b). Den im Rahmen des Verwaltungsverfahrens eingeholten Gutachten externer Spezialärzte, die aufgrund eingehender Beobachtungen und Untersuchungen sowie nach Einsicht in die Akten Bericht erstatten und bei der Erörterung der Befunde zu schlüssigen Ergebnissen gelangen, ist bei der Beweiswürdigung volle Beweiskraft zuzuerkennen, solange nicht konkrete Indizien gegen die Zuverlässigkeit der Expertise sprechen (BGE 125 V 353 E. 3b/bb, mit weiteren Hinweisen). Berichte behandelnder Ärzte sind aufgrund deren auftragsrechtlicher Vertrauensstellung zum Patienten mit Vorbehalt zu würdigen. Dies gilt für den allgemein praktizierenden Hausarzt ebenso wie für den behandelnden Spezialarzt (BGE 135 V 465 E. 4.5; Urteil des BGer 8C_56/2013 vom 16. Juli 2013 E. 2).

4.5

4.5.1 Im Rahmen der allgemeinen Mitwirkungspflicht im Verwaltungsverfahren haben die Versicherten und ihre Arbeitgeber beim Vollzug der Sozialversicherungsgesetze unentgeltlich mitzuwirken. Wer Versicherungsleistungen beansprucht, muss unentgeltlich alle Auskünfte erteilen, die zur Abklärung des Anspruchs und zur Festsetzung der Versicherungsleistungen erforderlich sind (Art. 28 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 28 Collaboration lors de la mise en oeuvre - 1 Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales.
1    Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales.
2    Quiconque fait valoir son droit à des prestations doit fournir gratuitement tous les renseignements nécessaires pour établir ce droit, fixer les prestations dues et faire valoir les prétentions récursoires.26
3    Le requérant est tenu d'autoriser dans le cas d'espèce les personnes et institutions concernées, notamment les employeurs, les médecins, les assurances et les organes officiels, à fournir les renseignements nécessaires pour établir le droit aux prestations et faire valoir les prétentions récursoires.27 Ces personnes et institutions sont tenues de donner les renseignements requis.
und 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 28 Collaboration lors de la mise en oeuvre - 1 Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales.
1    Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales.
2    Quiconque fait valoir son droit à des prestations doit fournir gratuitement tous les renseignements nécessaires pour établir ce droit, fixer les prestations dues et faire valoir les prétentions récursoires.26
3    Le requérant est tenu d'autoriser dans le cas d'espèce les personnes et institutions concernées, notamment les employeurs, les médecins, les assurances et les organes officiels, à fournir les renseignements nécessaires pour établir le droit aux prestations et faire valoir les prétentions récursoires.27 Ces personnes et institutions sont tenues de donner les renseignements requis.
ATSG).

4.5.2 Gemäss Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG prüft der Versicherungsträger die Begehren, nimmt die notwendigen Abklärungen von Amtes wegen vor und holt die erforderlichen Auskünfte ein. Mündlich erteilte Auskünfte sind schriftlich festzuhalten. Soweit ärztliche oder fachliche Untersuchungen für die Beurteilung notwendig und zumutbar sind, hat sich die versicherte Person diesen zu unterziehen (Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG). Kommen die versicherte Person oder andere Personen, die Leistungen beanspruchen, den Auskunfts- oder Mitwirkungspflichten in unentschuldbarer Weise nicht nach, so kann der Versicherungsträger aufgrund der Akten verfügen oder die Erhebungen einstellen und Nichteintreten beschliessen. Er muss diese Personen vorher schriftlich mahnen und auf die Rechtsfolgen hinweisen; ihnen ist eine angemessene Bedenkzeit einzuräumen (Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG).

4.5.3 Im Urteil 9C_28/2010 vom 12. März 2010 erwog das Bundesgericht, dass die medizinische Abklärung der objektiven Gesundheitsschäden eine unabdingbare gesetzlich verankerte Voraussetzung für die Zusprache einer Leistung der Invalidenversicherung (Art. 7 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
, Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
, Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG) sei. Der Versicherer befinde darüber, mit welchen Mitteln er den rechtserheblichen Sachverhalt abkläre. Im Rahmen der Verfahrensleitung habe er einen grossen Ermessensspielraum hinsichtlich Notwendigkeit, Umfang und Zweckmässigkeit von medizinischen Erhebungen. Was zu beweisen sei, ergebe sich aus der Sach- und Rechtslage. Gestützt auf den Untersuchungsgrundsatz habe der Versicherer den Sachverhalt soweit zu ermitteln, dass er über den Leistungsanspruch zumindest mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit entscheiden könne. Dabei komme Sachverständigengutachten eine massgebende Rolle zu. Der Untersuchungsgrundsatz werde ergänzt durch die Mitwirkungspflichten der versicherten Person. Danach habe sie sich den ärztlichen oder fachlichen Untersuchungen zu unterziehen, wenn sie zumutbar seien. Nach dem Wortlaut von Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
und Abs. 2 ATSG müssten jene Untersuchungen aber auch notwendig und somit von entscheidender Bedeutung für die Erstellung des rechtserheblichen Sachverhalts sein. Die versicherte Person habe sich somit jeglicher Untersuchung zu unterziehen, soweit sie sich nicht als unzumutbar erweise. In diesem Sinne liege die medizinische Begutachtung nicht im uneingeschränkten Ermessen der rechtsanwendenden Stellen. Diese würden sich von rechtsstaatlichen Grundsätzen leiten zu lassen haben, wozu die Verpflichtung zur Objektivität und Unvoreingenommenheit ebenso gehöre wie der Grundsatz der rationellen Verwaltung (Urteil des BGer 9C_28/2010 E. 4.1 m.w.H. auf Rechtsprechung und Lehre).

5.
In einem ersten Schritt ist vorliegend zu prüfen, ob eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz überhaupt notwendig ist (s. E. 5.1 ff., 6 hiernach). In einem zweiten Schritt ist zu klären, ob die Verwaltung das Mahn- und Bedenkzeitverfahren gemäss Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG korrekt durchgeführt hat (s. E. 7). Schliesslich ist zu beurteilen, ob der Beschwerdeführer sich für die Verweigerung der Untersuchung in der Schweiz erfolgreich auf Rechtfertigungsgründe berufen kann bzw. ob es ihm nicht zuzumuten war, in die Schweiz zu reisen, um sich hier einer Untersuchung zu unterziehen (s. E. 8).

5.1 Der Beschwerdeführer macht sinngemäss geltend, dass aus den vorliegenden medizinischen Unterlagen hervorgehe, dass er aufgrund seines psychischen Krankheitsbildes zu 100 % arbeitsunfähig sei und er dementsprechend Anspruch auf eine (volle) IV-Rente habe. Eine zusätzliche psychiatrische Begutachtung in der Schweiz sei nicht notwendig.

5.2 Die IVSTA stellt sich hingegen - gestützt auf die fünf MD-Stellungnahmen - sinngemäss auf den Standpunkt, dass eine rentenrelevante psychische Erkrankung nicht auszuschliessen sei, zu deren Beurteilung aber eine Begutachtung in der Schweiz notwendig sei.

5.3 Somit sind den fünf Stellungnahmen des medizinischen Dienstes (s. unten E. 5.5) die übrigen medizinischen Unterlagen (s. nachfolgend E. 5.4) gegenüberzustellen.

5.4 Für die Beurteilung des Gesundheitszustandes und einer damit allenfalls einhergehenden Beeinträchtigung der Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers ist in erster Linie auf die folgenden medizinischen Unterlagen einzugehen:

die fünf Arztberichte von Dr. H._______ (Psychiater-Psychotherapeut, Netzwerk I._______, Bereich für Erwachsenenpsychiatrie und -psychotherapie) vom 23. Januar 2012 (IV-act. 67), 19. Oktober 2012 (IV-act. 68), 12. April 2013 (IV-act. 63), 23. Mai 2013 (IV-act. 70) und 29. Mai 2013 (IV-act. 29 = IV-act. 69),

das psychiatrische Gutachten von Dr. J._______ (Dr. med. Dipl.-Psych./Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, [...]) vom 25. Mai 2012 (IV-act. 61),

die drei von Dr. F._______ erstellten "Gutachten" vom 8. August 2013 (IV-act. 26), 3. Juli 2014 (IV-act. 65) und 14. September 2015 (IV-act. 100),

den ärztlichen Bericht (E 213) von Dr. G._______ vom 28. September 2015 (IV-act. 101),

den undatierten Befundbericht der Psychologischen Psychotherapeutin K._______ (Dipl. Psych., Dipl. Soz.päd.; [...]; nachfolgend behandelnde Psychologin) von Anfang März 2015 (IV-88 S. 2).

5.4.1 Aus den fünf, weitgehend in sich stimmigen Arztberichten von Dr. H._______ geht hervor, dass der Beschwerdeführer von der Permanence L._______ wegen psychischer Probleme an das Netzwerk I._______ überwiesen wurde, wo Dr. H._______ am 23. Januar 2012 (IV-act. 67) mit einer ambulanten Therapierung und medikamentöser Behandlung (Sertralin 50 mg/Tag) des Beschwerdeführers begann. Zunächst diagnostizierte er ausgehend von der erstmals psychiatrisch erhobenen Anamnese eine etwa (mindestens) mittelgradige depressive Episode, welche am ehesten unter F33.1, mittelgradige depressive Episode bei rezidivierender depressiver Störung, einzuordnen sei. Als Differenzialdiagnose erwähnte Dr. H._______ F32.1, mittelgradige depressive Episode, zusammen mit einer Dysthymie. Der Beschwerdeführer habe anlässlich der ersten Konsultation phasenweise depressiv, traurig und perspektivlos gewirkt. Er kenne seit Jahren Suizidgedanken vorübergehender Natur. Im Vordergrund stünden (gemäss Dr. H._______) seine bedrückte Stimmung, Antriebsstörung, Schlafstörungen und stark verminderter Appetit mit deutlichem Gewichtsverlust. Hingegen fänden sich keine Hinweise auf psychotisches Erleben im Sinne von Wahn, Halluzinationen oder Ich-Störungen.

Gemäss Arztbericht vom 19. Oktober 2012 (IV-act. 68) waren auf der affektiven Ebene gewisse Verbesserungen festzustellen. Allerdings sei die Stimmung weiterhin wechselhaft, ebenso der Antrieb wie auch der Appetit. Daneben persistierten Schlafstörungen. In letzter Zeit habe sich aber mehr und mehr herauskristallisiert, dass zudem eine Wahnsymptomatik vorhanden sei. Diese müsse in latenter Art schon längere Zeit bestehend gewesen sein, habe sich jedoch in der Zwischenzeit verstärkt und sei nun manifest geworden. So fühle sich der Patient immer wieder verfolgt, beobachtet. Er denke, jemand könnte ein Überwachungsgerät, eine Kamera in seinen Fernseher oder in ein Audiogerät eingebaut haben, um ihn zu überwachen. Hinweise auf andere psychotische Symptome wie Halluzinationen oder Ich-Störungen fänden sich weiterhin nicht. Eine adäquate medikamentöse Behandlung des Störungsbilds sei erst möglich, seit der Beschwerdeführer in einem Gespräch mit der Mutter und Dr. H._______ von der Notwendigkeit einer medikamentösen Behandlung habe überzeugt werden können (Beginn mit Cipralex 10 mg/Tag und Zyprexa 10 mg/Tag).

Am 12. April 2013 bestätigte Dr. H._______, dass der Beschwerdeführer seit dem 23. Januar 2012 wegen einer ernstzunehmenden psychischen Störung bei ihm in ambulanter Behandlung sei (IV-act. 63). Im Verlauf von 2012 sei der Beschwerdeführer in (...) zusehends sozial isoliert gewesen, was sich negativ auf den Krankheitsverlauf ausgewirkt habe. Die Rückkehr 2012 zu seinen Eltern in Deutschland sei daher aus psychiatrischer Sicht sehr wichtig und unbedingt zu unterstützen. Seitdem habe sich der psychische Zustand allmählich verbessern können. Eine Genesung sei jedoch noch nicht eingetreten. Die psychiatrische inkl. psychopharmakologische Therapie sei unbedingt fortzuführen. Aktuell werde diese in (...) fortgesetzt, da der Beschwerdeführer in Deutschland, wo er auf der Warteliste sei, noch keine Therapie habe anfangen können.

In seinem Bericht vom 23. Mai 2013 (IV-act. 70) schilderte Dr. H._______ für das Jahr 2012 den Beginn der Therapie wegen symptomatisch im Vordergrund stehenden depressiven Symptomen, die allmähliche Verbesserung der Stimmungsproblematik und die Manifestation von in den Vordergrund tretenden wahnhaften Symptomen. Über die letzten Monate hinweg habe die Wahnsymptomatik sich schrittweise verbessert. Der Patient wohne mittlerweile wieder bei seinen Eltern und werde von der Familie unterstützt. Eine Heilung sei noch nicht eingetreten. Die depressive Symptomatik sei zwar nicht mehr festzustellen, doch sei die Wahnsymptomatik nur teilweise regredient. So fühle der Beschwerdeführer sich regelmässig immer noch beobachtet, habe regelmässig Beziehungsideen, habe sich stark sozial zurückgezogen. Wahrscheinlich sei die Wahnsymptomatik im Sinne einer paranoiden Schizophrenie, F20.0 gemäss ICD-10 einzuordnen. Daneben sei F33.4 festzuhalten: rezidivierende depressive Störung, gegenwärtig remittiert. Kurz- bis mittelfristig sei eine schlechte Prognose zu stellen. Langfristig sei die Prognose ungewiss. Eine intensivere Therapie, näher am aktuellen Aufenthaltsort, sowie eine bessere Tagesstrukturierung, eventuell mit Beschäftigung könnten förderlich sein. Aktuell nehme der Patient Olanzapin 15 mg/Tag und Cymbalta 60 mg/Tag.

Im Bericht vom 29. Mai 2013 (IV-act. 69) wiederholte Dr. H._______ im Wesentlichen die Feststellungen und Aussagen in seinem Bericht vom 23. Mai 2013. Erwähnt werden weiter namentlich ein beeinträchtigter zwischenmenschlicher Kontakt durch Beziehungsideen, Misstrauen, wahnhafte Interpretationen. Insgesamt habe sich der Befund in den letzten 12 Monaten verbessert. Weiter führte Dr. H._______ aus, dass die Gesprächstherapie aufgrund der grossen geographischen Distanz im Monatsrhythmus stattfinde. Eine intensivere Behandlung in der näheren Umgebung wäre indiziert. Ob sich dadurch die Arbeitsfähigkeit verbessern liesse, sei ungewiss.

Den genannten Arztberichten und den zusätzlich aktenkundigen ärztlichen Zeugnissen von Dr. H._______ (IV-act. 3 = IV-act. 27 S. 2; IV-act. 28, 33 S. 13-16; IV-act. 64) ist zu entnehmen, dass dieser den Beschwerdeführer (jedenfalls) ab 21. Januar 2012 bis (mindestens) zum 9. Januar 2014 als zu 100 % arbeitsunfähig beurteilte. Der letzte aktenkundige Gesprächstermin war der 21. November 2013 (vgl. IV-act. 64). Gemäss eigenen Angaben brach der Beschwerdeführer die Therapie bei Dr. H._______ Ende Dezember 2013 ab, weil die Anreise für ihn psychisch und finanziell zu belastend gewesen sei. Er habe die Therapie so lange in der Schweiz weitergeführt, weil es in Deutschland sehr lange Wartelisten für Gesprächstherapien gebe. Dr. H._______ habe ihm ein Rezept auf Vorrat für die Medikamente ausgestellt (vgl. IV-act. 52 f.; vgl. auch IV-act. 65 S. 2 f.).

5.4.2 In seinem Gutachten vom 25. Mai 2012 (IV-act. 61) stellte Dr. J._______ - gestützt auf die ihm zur Verfügung gestellten Unterlagen (ärztliches Zeugnis von Dr. H._______ vom 9. Februar 2012, Verlaufsausdruck M._______ Spital Notfallstation ambulant vom 1. März 2012, Arztbericht M._______ Spital Bereich für Erwachsenenpsychiatrie und -psychotherapie vom 8. März 2012) und seine "ausführliche" Exploration des Beschwerdeführers vom 22. Mai 2012 - die folgenden psychiatrischen Diagnosen mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit: Rezidivierend depressive Störung, zum Untersuchungszeitpunkt mittelgradig ausgeprägt mit somatischem Syndrom (F33.11 nach ICD-10) vor dem Hintergrund mindestens einer akzentuierten Persönlichkeit mit narzisstischen und emotional-instabilen Anteilen (Z73,1). Differenzialdiagnose: kombinierte Persönlichkeitsstörung (F61.0). Diagnosen ohne Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit stellte Dr. J._______ keine. Die Grundstimmung sei gedrückt-depressiv, ratlos-besorgt, nicht labil, nicht dysphorisch. Die affektive Modulationsfähigkeit sei deutlich vermindert, zum depressiven Pol verschoben. Der Antrieb sei leicht vermindert. Mimik und Gestik seien wenig mit dem Gesagten mitschwingend. Ein Morgentief und diverse Schlafstörungen seien berichtet worden. Die durchgeführten psychometrischen Untersuchungen (Hamilton Depressionsskala [HAMD] und Montgomery-Asberg Depression Rating Scale [MADRS]) hätten je Gesamtscores entsprechend einem mittelgradig depressiven Syndrom ergeben. Es lägen die Hauptsymptome einer Depression nach ICD-10 vor, nämlich eine depressive Verstimmung, Freudminderung, Interesseminderung sowie ein Antriebsmangel und eine erhöhte Ermüdbarkeit. Als sogenannte Zusatzsymptome seien eine verminderte Konzentration und Aufmerksamkeit, ein vermindertes Selbstwertgefühl und Selbstvertrauen, Insuffizienzgefühle, negative und pessimistische Zukunftsperspektiven und Schlafstörungen feststellbar. Die Diagnose akzentuierter Persönlichkeitsanteile ergebe sich aus einem gleichförmigen Muster deutlicher Unausgeglichenheit in mehreren Verhaltens- und Lebensbereichen (geringe Distanzierungsfähigkeit, konsekutive Überforderungssituation, geringe Frustrationstoleranz, Kritikschwäche, Kränkungsbereitschaft). Die akzentuierten Persönlichkeitsanteile triggerten die komorbide rezidivierend-depressive Störung. Im Zusammenhang mit den Persönlichkeitsanteilen sei die Fähigkeit, Stresssituationen konstruktiv zu bewältigen, reduziert. Dies führe dazu, dass der Versicherte in Konfliktsituationen wenig Durchsetzungsfähigkeit besitze, in Überforderungssituationen gerate und schliesslich depressiv-ängstlich dekompensiere. Weiter führte Dr. J._______ aus, dass der Beschwerdeführer täglich 1-2 Joints Cannabis
konsumiere. Hingegen ergäben sich namentlich keine Hinweise auf Sinnestäuschungen in Form von Halluzinationen oder illusionäre Verkennungen. Misstrauen sei nicht vorhanden. Inhaltliche Denkstörungen in Form von wahnhaften Gedanken, Wahnwahrnehmungen oder einer systematisch wahnhaften Denkstruktur zeigten sich nicht. Zum Untersuchungszeitpunkt (22. Mai 2012) bestehe aufgrund einer mittelgradig ausgeprägten depressiven Episode vor dem Hintergrund akzentuierter narzisstischer und emotional-instabiler Persönlichkeitsanteile eine Arbeitsunfähigkeit zu 100 % für jedwede Tätigkeit unter den Bedingungen der freien Wirtschaft. Die Prognose sei insgesamt aber als günstig zu beurteilen. Eine ambulante psychiatrisch-psychotherapeutische Behandlung sei etabliert (aktuell ca. alle 10-14 Tage ein Termin). Die medikamentöse Behandlung sollte angepasst, insbesondere die Etablierung eines synthetischen Antidepressivums angestrebt werden, da die frühere Behandlung mit einem Antidepressivum sistiert worden sei, weil der Beschwerdeführer gegen Medikamente eingenommen sei und aktuell Johanniskraut gegen die Depression nehme. Unter Intensivierung der Behandlungsmassnahmen, insbesondere der medikamentös-antidepressiven Therapie sei von einem weiterhin 2-3-monatigen Behandlungs- und Heilverlauf auszugehen und ein Rückgang der depressiven Symptomatik zu erwarten. Dann sei die Aufnahme einer Arbeitstätigkeit zumutbar.

5.4.3 Dr. F._______ erstellte drei "Gutachten": ein erstes am 8. August 2013 (IV-act. 26), ein zweites am 3. Juli 2014 (IV-act. 65) und ein drittes am 14. September 2015 (IV-act. 100).

5.4.3.1 In seinem ersten "psychiatrischen Fachgutachten" vom 8. August 2013 (IV-act. 26) diagnostizierte Dr. F._______ - gestützt auf den Arztbericht von Dr. H._______ vom 29. Mai 2013 und seine eigene Untersuchung vom 8. August 2013 - eine paranoide Schizophrenie (F20.0 + G) und psychische und Verhaltensstörungen durch Cannabinoide (F12.1 + V). Gemäss eigenen Angaben leide der Beschwerdeführer seit einigen Jahren an einem allgemeinen Verfolgungswahn. Vor ca. 1,5 Jahren seien die Verfolgungsgedanken wieder grösser geworden, er sei erkrankt und ihm sei nach drei Monaten gekündigt worden. Seither sei er bei Dr. H._______ in Behandlung. Im Januar 2012 sei (gemäss Dr. F._______) eine paranoide Schizophrenie diagnostiziert worden. Seither sei der Beschwerdeführer zu 100 % arbeitsunfähig in seiner bisherigen und einer angepassten Arbeit. Eine Besserung des Gesundheitszustandes und der Leistungsfähigkeit (zumindest zu einer Teilleistungsfähigkeit) könnten mittels Fortsetzung der psychiatrischen Therapie (aktuell: einmal im Monat), Psychopharmakatherapie (aktuell: Olanzapin 15 mg/Tag bzw. 45 mg/Tag, Duloxetin/Cymbalta 60 mg/Tag [IV-act. 26 S. 2, 9]), Soziotherapie erreicht werden bzw. seien bis August 2014 nicht unwahrscheinlich. Der Beschwerdeführer konsumiere keine Drogen mehr. Als Funktionseinschränkungen erwähnt Dr. F._______ eine deutliche Minderung von Antrieb und Konzentrationsfähigkeit, gedrückter Affekt, Minussymptomatik. Anlässlich der Untersuchung seien Antrieb, Psychomotorik und Mimik eingeschränkt bzw. gemindert gewesen. Die Grundstimmung sei gedrückt und die affektive Schwingungsfähigkeit deutlich gemindert. Der formale Gedankengang sei geordnet. Inhaltliche Denkstörungen im Sinne von Wahngedanken lägen nicht vor, ebenso wenig Sinnestäuschungen im Sinne von Halluzinationen oder illusionäre Verkennungen. Der Beschwerdeführer sei seit Januar 2012 wegen einer paranoiden Schizophrenie (F20.0 + G) und psychischen und Verhaltensstörungen durch Cannabinoide (F12.1 + V) zu 100 % arbeitsunfähig.

5.4.3.2 Am 3. Juli 2014 erstellte Dr. F._______ zuhanden der DRV ein (zweites) "Neuropsychiatrisches Fachgutachten" (IV-act. 65) - ausgehend von seinem (ersten) neuropsychiatrischen Gutachten vom 8. August 2013 und der darin erwähnten Aktenlage (neue Befunde seien nicht vorgelegt worden) sowie einer Untersuchung des Beschwerdeführers am 3. Juli 2014. Der Beschwerdeführer habe sich seit der Begutachtung im August 2013 bis Ende des Jahres monatlich bei seinem Psychiater in der Schweiz vorgestellt. Er habe dort die Medikamente verschrieben bekommen. Die Behandlung sei dann ausgelaufen, weil der Beschwerdeführer sich die Reise in die Schweiz nicht mehr habe leisten können. Er habe vor zwei bis drei Monaten von sich aus die Medikation abgesetzt, als seine medikamentösen Reserven am Ende gewesen seien. Er habe nicht gewusst, dass auch der Hausarzt die Medikamente verschreiben könne. Er habe sich um eine Psychotherapie bemüht, aber keinen Termin bekommen. Da der Beschwerdeführer sich nicht mehr in fachpsychiatrischer Behandlung befinde und keine Psychopharmaka mehr einnehme, sei eine Exazerbation der Erkrankung in nächster Zeit zu befürchten. Der Beschwerdeführer könne - gemäss eigenen Angaben - nicht arbeiten, weil er kein Vertrauen mehr zu den Menschen habe. Er fühle sich beobachtet. Das habe bereits in der Schweiz angefangen. Beim Telefonieren habe es immer wieder in der Leitung "klick" gemacht. Er habe das Gefühl, dass sich jemand in seinen Laptop eingehackt habe, weshalb er ihn seit mindestens drei Monaten nicht mehr angefasst habe. Mit seinen Eltern komme er recht gut zurecht. Er sei dort im Haushalt integriert. Cannabis habe er schon längere Zeit nicht mehr eingenommen. Anlässlich der Untersuchung sei die Grundstimmung leicht gedrückt gewesen und die affektive Schwingungsfähigkeit eingeengt. Antrieb und Psychomotorik seien eingeschränkt gewesen. Der formale Gedankengang erscheine geordnet, es werde aber ein deutliches Beeinflussungserleben geschildert. Im Sinne einer Zusammenfassung und Beurteilung diagnostizierte Dr. F._______ eine paranoide Psychose aus dem schizophrenen Formenkreis bzw. eine paranoide Schizophrenie mit Verfolgungswahn und dem Gefühl, abgehört zu werden, seit Anfang 2012, bei anamnestisch vorliegendem Cannabis-Abusus. Im Gegensatz zur Voruntersuchung konnten auch deutliche Wahninhalte festgestellt werden, in dem Sinne, dass er abgehört werde oder sich Fremde in seinen Computer eingehackt hätten. Vom Antrieb her sei der Proband gemindert und von der Stimmungslage her gleichmütig im Sinne von Minussymptomen. Wegen der Psychose sei der Beschwerdeführer (auch weiterhin) nicht in der Lage eine Tätigkeit von wirtschaftlichem Wert auszuführen. Mit grosser Wahrscheinlichkeit sei davon
auszugehen, dass die Erkrankung des Beschwerdeführers in eine chronifizierte Psychose einlaufe und mit Besserung in Zukunft kaum zu rechnen sei.

5.4.3.3 In seinem (dritten) "Neuropsychiatrischen Gutachten" vom 14. September 2015 (IV-act. 100) verweist Dr. F._______ - neben der Untersuchung des Beschwerdeführers am 1. September 2015 - auf die Aktenlage gemäss seinen neuropsychiatrischen Gutachten vom 8. August 2013 und 3. Juli 2014. Neue medizinische Befunde lägen ihm nicht vor. Dr. F._______ führt aus, der Beschwerdeführer sei seit Sommer 2014 regelmässig bei der behandelnden Psychologin in Behandlung. Alle 2-3 Wochen erfolge ein Gespräch von ca. 45-60 Min. Es würden keine Medikamente verordnet oder eingenommen. Der Beschwerdeführer habe Angst vor der Medikamenteneinnahme. Es sei wie eine innerliche Unruhe, die er immer wieder verspüre, wie ein Aufgewühltsein. Er lebe weiterhin zurückgezogen bei seinen Eltern. Er fühle sich weiterhin beobachtet und verfolgt. Es sei wie eine innere Eingebung, eher nichts Konkretes. Er höre keine Stimmen. Er habe den Eindruck, dass die Telefonleitungen abgehört würden, weshalb er fast nicht mehr telefoniere. Den Computer habe er seit neun Monaten nicht mehr benutzt, weil sich dort ohne sein Zutun Seiten aufgetan und geschlossen hätten. Er rauche Cannabis in unregelmässigen Abständen, was zu einer Beruhigung und auch zu einem Nachlassen seiner Rückenschmerzen führe. Anlässlich der Untersuchung seien Antrieb und Psychomotorik eingeschränkt gewesen. Die Grundstimmung sei leicht gedrückt und die affektive Schwingungsfähigkeit eingeengt gewesen. Der formale Gedankengang erscheine geordnet, es werde aber ein deutliches Beeinflussungserleben geschildert. Auch in der Untersuchung seien beim Probanden Wahnvorstellungen vorhanden. Zusammenfassend habe sich am seelischen Befinden des Beschwerdeführers nach seinen Angaben nichts geändert. Abgesehen vom Kontakt zur Primärfamilie und zu einem guten Freund bestünden so gut wie keine Aussenkontakte. Der Beschwerdeführers sei zudem vom Antrieb her gemindert und von der Stimmungslage her gleichmütig im Sinne einer schizophrenen Minus-Symptomatik. Der Beschwerdeführer leide seit Anfang 2012 an einer paranoiden Psychose mit wahnhaften Befürchtungen, abgehört und verfolgt zu werden. Im Weiteren liege nach Angaben des Beschwerdeführers ein Cannabisabusus vor. Aufgrund der floriden paranoid-halluzinatorischen Psychose aus dem schizophrenen Formenkreis sei der Beschwerdeführer dauerhaft zu einer Tätigkeit auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt von wirtschaftlichem Wert nicht in der Lage. Das heisse, seine tägliche Leistungsfähigkeit liege unter drei Stunden. Dr. F._______ erklärte, er gehe unter Würdigung des bisherigen Verlaufs der seelischen Erkrankung des Beschwerdeführers davon aus, dass es zu keiner Besserung mehr kommen werde.

5.4.4 Im Formular E 213 vom 28. September 2015 (IV-act. 101) attestierte, Dr. G._______ - basierend auf dem dritten "Gutachten" von Dr. F._______ vom 14. September 2015 - eine chronische psychische Erkrankung (paranoide Psychose aus dem schizophrenen Formenkreis), Cannabis-Abusus (F20 + G; Ziff. 7). Im Vergleich zur Voruntersuchung habe sich der Zustand nicht geändert (Ziff. 8). Das Leistungsvermögen des Beschwerdeführers auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt liege weiterhin unter drei Stunden täglich (Ziff. 6) bzw. er könne noch regelmässig leichte Tätigkeiten verrichten (Ziff. 9, 11.6) bzw. keine angepasste Arbeit verrichten (Ziff. 11.5). Eine Verbesserung des derzeitigen Gesundheitszustandes könne nicht erzielt werden.

5.4.5 In ihrem Befundbericht von März 2015 betreffend den Beschwerdeführer listete die behandelnde Psychologin als bei Therapiebeginn (11. Juli 2014) erstellte Eingangsdiagnosen eine Anpassungsstörung (F43.2), eine rezidivierende depressive Störung, gegenwärtig mittelgradige Episode (F33.1), eine Panikstörung (episodische paroxysmale Angst [F41.0]), und eine phobische Störung (F40.9) auf. Aufgrund dieser Diagnosen und vor dem Hintergrund des massiven, akuten Beschwerdebildes sei der Patient zurzeit nicht in der Lage, sich in engen Räumen, Autos, Eisenbahnen, Flugzeugen mit mehreren Personen aufzuhalten. Er erleide in solchen Situationen Panikattacken. Aus therapeutischer Sicht sei er zurzeit nicht reisefähig. Zur Arbeitsfähigkeit äusserte sich die Psychologin nicht.

5.5 Die Stellungnahmen des medizinischen Dienstes der IVSTA (MD) lassen sich wie folgt zusammenfassen: In der Stellungnahme MD vom 12. Januar 2014 (nachfolgend erste MD-Stellungnahme; IV-act. 37) kam Dr. med. N._______ (FMH Innere Medizin und Nephrologie) zum Schluss, dass keine somatischen Diagnosen von Relevanz vorlägen, der Fall jedoch zur weiteren Begutachtung einem Psychiater der IVSTA vorgelegt werden sollte. Sie würde eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz vorschlagen. In der zweiten MD-Stellungnahme vom 21. Juni 2014 (IV-act. 41) stellte Dr. E._______ keine Diagnosen. Er führte aus, dass es durchaus möglich sei, dass eine Schizophrenie erst mit 35 Jahren auftrete, doch sei es irgendwie nicht nachvollziehbar, dass - wenn keine psychotische Symptomatik bestehe - eine vollständige Arbeitsunfähigkeit attestiert werde. Dies werde mit einer Minussymptomatik begründet, deren Auftreten bereits nach so kurzer Zeit (allerdings) aussergewöhnlich wäre. Die Medikation mit 45 mg Olanzapin sei hingegen sehr hoch und könnte eine Sedation bewirken. Dr. E._______ kam zum Schluss, dass eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz (inkl. Medikamentenspiegelbestimmung) nötig sei. In der dritten MD-Stellungnahme vom 25. Januar 2015 (IV-act. 77) führte Dr. E._______ aus, dass die Dokumente im Dossier auf der einen Seite widersprüchlich, auf der anderen kaum nachvollziehbar und dann wiederum zu alt seien, sodass hier der Arzt des Regionalen Ärztlichen Dienstes (RAD) keine Stellungnahme abgeben könne. Es bestehe aber durchaus die Möglichkeit, dass eine schwerwiegende psychische Störung bestehe, die eventuell Anlass für eine lebenslängliche Berentung geben könnte. Aus diesem Grund müsse hier sorgfältig abgeklärt werden, wozu er eine Begutachtung in der Schweiz für nötig erachte. In der vierten MD-Stellungnahme vom 30. März 2015 (IV-act. 90) führte Dr. E._______ aus, der Beschwerdeführer sei reisefähig. Dazu gereiche der neu eingereichte Bericht der Psychologin geradezu als Beweis: Eine Anpassungsstörung gebe nicht einmal Anlass für eine langdauernde Arbeitsunfähigkeit. Eine Depression (ihrerseits) lasse die Aussage einer Reiseunfähigkeit nicht zu. Eine Panikstörung sei völlig unabhängig von den äusseren Umständen. Unklar sei, worauf sich die angeführte phobische Störung beziehe. Im Übrigen verlangten (gemäss Dr. E._______) schon allein die teils neuen Diagnosen eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz. In der fünften MD-Stellungnahme vom 15. März 2016 (IV-act. 103) führte Dr. E._______ aus, dass das Gutachten von Dr. F._______ vom 14. September 2015 die schweizerischen Qualitätsanforderungen bei weitem nicht erfülle. Die Diagnose einer floriden paranoid-halluzinatorischen Psychose ohne jegliche
Halluzinationen sei ein Unding. Er sei weiterhin der Ansicht, dass eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz durchgeführt werden müsse. Der Beschwerdeführer sei reisefähig, eine Reise zur Begutachtung (in [...]) sei zumutbar.

5.6 Eine Gegenüberstellung der medizinischen Berichte einerseits und der MD-Stellungnahmen andererseits ergibt folgendes Bild: Zusammengenommen indizieren die medizinischen Berichte von Dr. H._______, Dr. J._______, Dr. F._______ und Dr. G._______ - sich teilweise überschneidend, teilweise mit unterschiedlichen Diagnosen - seit 21. Januar 2012 bis auf weiteres eine möglicherweise schwerwiegende psychische Erkrankung des Beschwerdeführers und weitgehend eine vollständige Arbeitsunfähigkeit in jeder Arbeitstätigkeit. Die behandelnde Psychologin äussert sich in ihrem Bericht nicht zur Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers, indiziert aber ein massives, akutes Beschwerdebild in Bezug auf verschiedene bei Therapiebeginn erstellte Eingangsdiagnosen betreffend eine psychische Erkrankung des Beschwerdeführers. Dr. E._______ hielt in der dritten MD-Stellungnahme fest, es bestehe durchaus die Möglichkeit, dass eine schwerwiegende psychische Störung vorliege, die eventuell Anlass für eine lebenslängliche Berentung geben könnte. Die Dokumente im Dossier seien allerdings auf der einen Seite widersprüchlich, auf der anderen kaum nachvollziehbar und dann wiederum zu alt, sodass eine Begutachtung in der Schweiz notwendig sei. Soweit Dr. E._______ auch in seinen anderen MD-Stellungnahmen eine psychiatrische Begutachtung in der Schweiz für notwendig erklärte, schloss er auch in diesen Stellungnahme implizite eine mögliche, zumindest rentenrelevante psychische Störung nicht aus.

Demnach ist nachfolgend zu prüfen, ob eine entsprechende Beurteilung auf der Basis der vorliegenden medizinischen Unterlagen mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erfolgen kann oder dafür namentlich eine Begutachtung in der Schweiz notwendig wäre.

6.

6.1 Das Gutachten von Dr. J._______ vom 25. Mai 2012 (IV-act. 61) erfüllt grundsätzlich die in der Rechtsprechung festgelegten Voraussetzungen für eine volle Beweiskraft (s. oben E. 4.4.3). Allerdings liegen zwischen dem Verfassen des Gutachtens und dem Erlass der angefochtenen Verfügung (am 9. Mai 2016) fast vier Jahre. Da zudem Dr. H._______ im Zeitraum bis mindestens Mai 2013 eine Weiterentwicklung des psychischen Gesundheitszustandes des Beschwerdeführers dargelegt hat und Dr. F._______ und die behandelnde Psychologin weitere Diagnosen erstellt haben, kann dem Gutachten J._______ für die vorliegend strittige Beurteilung keine volle Beweiskraft zugesprochen werden.

6.2 Dr. H._______ hat nie ein umfassendes Gutachten erstellt, welchem volle Beweiskraft zukommen könnte. Seine fünf Berichte scheinen allerdings grundsätzlich in sich stimmig und nachvollziehbar und werden vom medizinischen Dienst nicht substantiiert kritisiert. Da Dr. H._______ den Beschwerdeführer während fast zwei Jahren therapeutisch begleitet hat, können seine Beobachtungen und Beurteilungen nicht ignoriert werden, auch wenn er diese als behandelnder Spezialarzt erstellt hat und zwischen seinem letzten Bericht und dem Erlass der angefochtenen Verfügung fast drei Jahre vergangen sind.

6.3 In Bezug auf das erste "Gutachten" von Dr. F._______ ist namentlich auf folgende Defizite hinzuweisen:

Dr. F._______ erstellte sein Gutachten nur unter Berücksichtigung des Arztberichts von Dr. H._______ vom 29. Mai 2013 und insbesondere ohne Berücksichtigung des Gutachtens von Dr. J._______.

Ohne Begründung übergeht Dr. F._______ die im Bericht von Dr. H._______ im Januar 2012 in den Vordergrund gestellte depressive Symptomatik und die andauernde rezidivierende depressive Störung und diagnostiziert stattdessen bereits ab Januar 2012 (nur) eine paranoide Schizophrenie mit Verfolgungswahn plus psychische und Verhaltensstörungen durch Cannabinoide.

Betreffend letztere Diagnose besteht zumindest insofern Erklärungsbedarf, als der Beschwerdeführer gegenüber Dr. F._______ angegeben hat, keine Drogen mehr, insbesondere keinen Cannabis mehr zu konsumieren.

Die aktuelle Dosierung von Olanzapin wird widersprüchlich als 15 bzw. 45 mg pro Tag angegeben.

Aus der aktuellen Untersuchung des Beschwerdeführers flossen weitgehendst nur dessen Angaben ins Gutachten ein.

Das zweite und das dritte Gutachten von Dr. F._______ leiden weitgehend an analogen und/oder perpetuierten Defiziten. Insbesondere stützt Dr. F._______ sich jeweils nur auf sein früheres bzw. seine früheren Gutachten und auf die Aussagen des Beschwerdeführers anlässlich der aktuellen Untersuchung und nimmt als einziges zusätzliches medizinisches Aktenstück auf den Arztbericht von Dr. H._______ aus dem Jahr 2013 Bezug, wohingegen er z.B. keinen Bericht der behandelnden Psychologin in die dritte Begutachtung einbezog. Auch woraus Dr. F._______ im dritten Gutachten auf eine floride paranoid-halluzinatorische Psychose schliesst, ist - wie Dr. E._______ in der fünften MD-Stellungnahme zu Recht rügt - nicht ersichtlich. Unter diesen Umständen kann den "Gutachten" von Dr. F._______ nur ein erheblich reduzierter Beweiswert zugesprochen werden.

6.4 Schon weil sich der Bericht von Dr. G._______ einzig auf das nicht überzeugende dritte Gutachten von Dr. F._______ abstützt, kann ihm keine erhebliche Beweiskraft zukommen. Dass seine Angaben betreffend die verbleibende Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers teilweise widersprüchlich sind (s. oben E. 5.4.4), entkräftet den Bericht zusätzlich.

6.5 Der Bericht der behandelnden Psychologin enthält nur eine Auflistung der bereits rund acht Monate alten Eingangsdiagnosen und den Hinweis, dass das Beschwerdebild des Beschwerdeführers massiv und akut sei. Zur Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers äussert sie sich nicht. Diesbezüglich kommt dem Bericht somit keinerlei Beweiskraft zu. Die darin enthaltenen neuen Diagnosen (s. oben E. 5.4.5) sprechen hingegen - wie Dr. E._______ in der fünften MD-Stellungnahme ausführt - (zusätzlich) für eine weitere Abklärung mittels Begutachtung in der Schweiz.

6.6 Zusammenfassend ist somit festzuhalten, dass die aktenkundigen medizinischen Unterlagen nicht ausschliessen lassen, dass der Beschwerdeführer an einer schweren, seine Leistungsfähigkeit beeinträchtigenden psychischen Krankheit leidet. Sie lassen aber nicht mit überwiegender Wahrscheinlichkeit darauf schliessen, dass dem so ist. Dazu sind weitere Abklärungen vorzunehmen, wobei zu prüfen bleibt, ob diese in Deutschland vorgenommen werden könnten.

6.7 Die IVSTA hat bereits im Jahr 2013 versucht, über die DRV beweiskräftige medizinische Unterlagen zu bekommen und ersuchte die DRV dafür am 13. Februar 2013 um Zustellung eines ausführlichen ärztlichen Berichts (E 213; IV-act. 9; vgl. auch IV-19). Am 29. Juli 2013 teilte die DRV der IVSTA mit, dass noch die Durchführung einer psychiatrischen Begutachtung vorgesehen sei, und sie die benötigten Unterlagen der IVSTA zustellen werde, sobald das Gutachten vorliege (IV-act. 20). In der Folge stellte die DRV der IVSTA das erste Gutachten von Dr. F._______ vom 8. August 2013 zu (IV-act. 26).

Nachdem der Beschwerdeführer mehrfach insistiert hatte, dass eine Reise zur Begutachtung in der Schweiz ihm nicht zugemutet werden könne, versuchte die IVSTA ein in Deutschland erstelltes, rechtsprechungsgemäss beweiskräftiges Gutachten zu beschaffen und ersuchte die DRV am 22. Mai 2015 um Veranlassung einer neuen Untersuchung des Beschwerdeführers und Zustellung der folgenden Unterlagen (IV-act. 94):

- Genaue Angaben über die gegenwärtig eingenommenen Medikamente

- Blutuntersuchungen

- Urinuntersuchungen

- Psychiatrische Untersuchung, Anamnese, Krankheitsverlauf, heutiger Gesundheitszustand, Diagnose, Prognose, Therapiedauer, Frequenz der Konsultationen, Therapie, Medikation (chemische Bezeichnung; Dosis), Arbeitsfähigkeit (in %)

- Psychostatus: äussere, Verhalten; Bewusstsein: quantitativ/qualitativ; Orientierung: örtlich, zeitlich, situativ, zur Person; Konzentration / Gedächtnisfunktion; Auffassungs- und Wahrnehmungsfähigkeit

- Denken: formal/inhaltlich; Ich-Störungen; Affekt: Kontakt/Schwingungsfähigkeit/Inhalt/Suizidalität; zirkadiane Störungen; Psychomotorik/Sprache.

Trotz dieser detaillierten Aufforderung - insbesondere betreffend eine weit gefasste psychiatrische Beurteilung des Beschwerdeführers - wurden in der Folge lediglich das wenig aussagekräftige dritte "Gutachten" von Dr. F._______ und der noch weniger beweiskräftige Bericht von Dr. G._______ erstellt und der IVSTA zugestellt (vgl. IV-act. 95-101; s. oben E. 6.3 f.).

6.8 Unter diesen Umständen ist mit dem medizinischen Dienst und der IVSTA davon auszugehen, dass nur eine Begutachtung in der Schweiz den Sachverhalt ausreichend ergänzend abklären würde, um eine Beurteilung nach dem Beweismass der überwiegenden Wahrscheinlichkeit vornehmen zu können. Die Vorinstanz hat demnach zu Recht auf einer Begutachtung in der Schweiz beharrt, da diese Begutachtung vorliegend zur Prüfung des Rentenanspruchs als notwendig im Sinne von Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG zu qualifizieren ist.

7.

7.1 Nachdem die IVSTA zu Recht eine Begutachtung in der Schweiz als notwendig erachtet hat, ist zu prüfen, ob die IVSTA diesbezüglich ein rechtsgenügliches Mahn- und Bedenkzeitverfahren durchgeführt hat. Sinn und Zweck des Mahn- und Bedenkzeitverfahrens ist es, die versicherte Person auf die möglichen nachteiligen Folgen ihres Widerstandes gegen die vorgesehenen Massnahmen aufmerksam zu machen und sie so in die Lage zu versetzen, in Kenntnis aller wesentlichen Faktoren ihre Entscheidung zu treffen (vgl. BGE 122 V 218; Urteil des EVG I 605/04 vom 11. Januar 2005 E. 2.2 f.).

7.2 Zunächst hat die IVSTA mehrfach mit dem Beschwerdeführer betreffend die Notwendigkeit einer Begutachtung in der Schweiz und seinen dagegen erhobenen Einwand der Reiseunfähigkeit korrespondiert (vgl. insbesondere IV-act. 80, 83, 85, 88, 91, 92). Dabei hat sie ihn namentlich auf seine Mitwirkungspflichten hingewiesen, wozu auch gehöre, sich der als notwendig und zumutbar erachteten psychiatrischen Begutachtung in der Schweiz zu unterziehen (Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG). Ausserdem konfrontierte die IVSTA den Beschwerdeführer damit, dass sie im Falle seiner Verweigerung der Untersuchung (gemäss Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
Abs. 3 ATSG und Art. 7b Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7b Sanctions - 1 Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
1    Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
2    En dérogation à l'art. 21, al. 4, LPGA, les prestations peuvent être réduites ou refusées sans mise en demeure et sans délai de réflexion si l'assuré:
a  ne s'est pas annoncé sans délai à l'AI malgré l'injonction donnée par l'office AI en vertu de l'art. 3c, al. 6, et que cette omission a prolongé ou aggravé l'incapacité de travail ou l'invalidité;
b  a manqué à son obligation de communiquer au sens de l'art. 31, al. 1, LPGA;
c  a obtenu ou tenté d'obtenir indûment des prestations de l'AI;
d  ne communique pas à un office AI les renseignements dont ce dernier a besoin pour remplir les tâches qui lui sont assignées par la loi.
3    La décision de réduire ou de refuser des prestations doit tenir compte de toutes les circonstances, en particulier de la gravité de la faute de l'assuré.68
4    En dérogation à l'art. 21, al. 1, LPGA, les allocations pour impotent ne peuvent être ni refusées, ni réduites.69
IVG) unter Ansetzung einer angemessenen Frist auf Grund der Akten verfügen, allfällige Leistungen kürzen/verweigern oder die Erhebungen einstellen und ein Nichteintreten beschliessen könne. Auch hat die IVSTA den Beschwerdeführer spezifisch dazu aufgefordert, ihr medizinische Akten zum Beweis der geltend gemachten Reiseunfähigkeit einzureichen.

Vor allem aber hat die IVSTA dem Beschwerdeführer mit "2. Mahnung" vom 22. März 2016 mitgeteilt, dass sie - auch unter Berücksichtigung der neu eingegangenen medizinischen Unterlagen - eine Begutachtung in der Schweiz als unerlässlich und seine Reisefähigkeit nach wie vor als gegeben erachte, weshalb sie an der Durchführung einer psychiatrischen Untersuchung in der Schweiz festhalte. Sie räumte dem Beschwerdeführer unter Bezugnahme auf Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
und 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG, Art. 7b Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7b Sanctions - 1 Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
1    Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
2    En dérogation à l'art. 21, al. 4, LPGA, les prestations peuvent être réduites ou refusées sans mise en demeure et sans délai de réflexion si l'assuré:
a  ne s'est pas annoncé sans délai à l'AI malgré l'injonction donnée par l'office AI en vertu de l'art. 3c, al. 6, et que cette omission a prolongé ou aggravé l'incapacité de travail ou l'invalidité;
b  a manqué à son obligation de communiquer au sens de l'art. 31, al. 1, LPGA;
c  a obtenu ou tenté d'obtenir indûment des prestations de l'AI;
d  ne communique pas à un office AI les renseignements dont ce dernier a besoin pour remplir les tâches qui lui sont assignées par la loi.
3    La décision de réduire ou de refuser des prestations doit tenir compte de toutes les circonstances, en particulier de la gravité de la faute de l'assuré.68
4    En dérogation à l'art. 21, al. 1, LPGA, les allocations pour impotent ne peuvent être ni refusées, ni réduites.69
IVG und Art. 21 Abs. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 21 - 1 Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
1    Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
2    Les prestations en espèces dues aux proches ou aux survivants de l'assuré ne sont réduites ou refusées que si ceux-ci ont provoqué la réalisation du risque intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit.
3    Dans la mesure où des assurances sociales ayant le caractère d'assurance de perte de gain ne prévoient aucune prestation en espèces pour les proches, les prestations en espèces ne peuvent être réduites en vertu de l'al. 1 que de moitié. Pour l'autre moitié, la réduction prévue à l'al. 2 est réservée.
4    Les prestations peuvent être réduites ou refusées temporairement ou définitivement si l'assuré se soustrait ou s'oppose, ou encore ne participe pas spontanément, dans les limites de ce qui peut être exigé de lui, à un traitement ou à une mesure de réinsertion professionnelle raisonnablement exigible et susceptible d'améliorer notablement sa capacité de travail ou d'offrir une nouvelle possibilité de gain. Une mise en demeure écrite l'avertissant des conséquences juridiques et lui impartissant un délai de réflexion convenable doit lui avoir été adressée. Les traitements et les mesures de réadaptation qui présentent un danger pour la vie ou pour la santé ne peuvent être exigés.
5    Si l'assuré exécute une peine ou une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain peut être partiellement ou totalement suspendu durant la durée de la peine. S'il se soustrait à l'exécution d'une peine ou d'une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain est suspendu à partir du moment où la peine ou la mesure aurait dû être exécutée. Les prestations destinées à l'entretien des proches visées à l'al. 3 sont exceptées.21
ATSG eine letzte Frist bis zum 6. Mai ein, um ihr schriftlich zu bestätigen, dass er an der notwendigen medizinischen Abklärung in der Schweiz teilnehmen werde, ansonsten die IVSTA nach Ablauf dieser Frist die Erhebungen einstellen und das Leistungsgesuch abweisen werde (s. oben Sachverhalt Bst. B.f).

7.3 Damit hat die IVSTA den Beschwerdeführer rechtsgenüglich darüber informiert, welche Handlung von ihm erwartet wurde und welche nachteiligen Folgen bei Festhalten am Nichterscheinen an einer psychiatrischen Untersuchung in der Schweiz drohten und ihm eine ausreichend lange Bedenkzeit eingeräumt. Dass der Beschwerdeführer davon Kenntnis genommen und von der eingeräumten Bedenkzeit aktiv Gebrauch gemacht hat, ist daraus zu ersehen, dass er am 26. April 2016 erklärte, dass er die Untersuchung in der Schweiz nicht machen werde, und um Erlass einer anfechtbaren Verfügung betreffend sein Leistungsgesuch ersuchte (s. oben Sachverhalt Bst. B.g). Die IVSTA hat somit ein rechtskonformes Mahn- und Bedenkzeitverfahren gemäss Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG durchgeführt.

8.
Es bleibt zu prüfen, ob auch die Zumutbarkeit der Begutachtung in der Schweiz nach Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG zu bejahen ist.

8.1 Nach dem Wortlaut von Art. 43 Abs. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG liegt eine Verletzung der Mitwirkungspflicht nur dann vor, wenn sie in unentschuldbarer und somit schuldhafter Weise erfolgt ist. Dies ist dann der Fall, wenn kein Rechtfertigungsgrund erkennbar ist oder sich das Verhalten der versicherten Person als völlig unverständlich erweist (Urteile des BGer 8C_396/2012 vom 16. Oktober 2012 E. 5 m.H. und I 166/06 vom 30. Januar 2007 E. 5.1 m.H.). Weigert sich die versicherte Person, an der Begutachtung teilzunehmen, trägt sie nur dann die Konsequenzen der Untersuchungsverweigerung (vgl. des BGer 8C_733/2010 vom 10. Dezember 2010 E. 3.2), wenn die Verweigerung der Mitwirkung nicht auf entschuldbaren Gründen beruht, etwa weil sie der versicherten Person nicht zugerechnet werden kann, da sie krankheitshalber oder aus anderen Gründen nicht in der Lage war, ihren Pflichten nachzukommen (vgl. Urteil 8C_733/2010 E. 5.3 m.w.H. auf Rechtsprechung und Literatur).

Bei der Beurteilung der Zumutbarkeit hat die Verwaltung (oder das Gericht) die gesamten (objektiven und subjektiven) Umstände des Einzelfalles zu berücksichtigen (Urteil des EVG I 214/01 vom 25. Oktober 2001 E. 2b, Urteil des BGer I 906/05 vom 23. Januar 2007 E. 6). Dabei ist die Frage der Zumutbarkeit ebenfalls objektiv zu klären. Es geht mithin nicht darum, ob die betreffende Person aus ihrer eigenen (subjektiven) Wahrnehmung heraus die Untersuchung zumutbar betrachtet oder nicht, sondern darum, dass die subjektiven Umstände (z.B. Gesundheitszustand) in einer objektiven Betrachtung dahingehend gewürdigt werden, ob diese Umstände die Untersuchung zulassen oder nicht. Die üblichen Untersuchungen in einer Gutachterstelle sind ohne konkret entgegenstehende Umstände generell als zumutbar zu betrachten (Ueli Kieser, ATSG-Kommentar, 3. Aufl. 2015, Art. 43 Rz. 82). Es obliegt in erster Linie dem Versicherten, das Vorliegen einer Reiseunfähigkeit darzutun und zu begründen. Nach dem in Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG verankerten Untersuchungsgrundsatz hat jedoch auch die Verwaltung eine Verpflichtung zu Abklärungen hinsichtlich der Beurteilung, ob eine Reisefähigkeit vorliegt oder nicht. Eine Untersuchung durch den ärztlichen Dienst ist dabei nicht zwingend erforderlich (vgl. Art. 49 Abs. 2
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 49 Tâches - 1 Les services médicaux régionaux évaluent les conditions médicales du droit aux prestations. Ils sont libres dans le choix de la méthode d'examen appropriée, dans le cadre de leurs compétences médicales et des directives spécialisées de portée générale de l'OFAS.
1    Les services médicaux régionaux évaluent les conditions médicales du droit aux prestations. Ils sont libres dans le choix de la méthode d'examen appropriée, dans le cadre de leurs compétences médicales et des directives spécialisées de portée générale de l'OFAS.
1bis    Lors de la détermination des capacités fonctionnelles (art. 54a, al. 3, LAI), la capacité de travail attestée médicalement pour l'activité exercée jusque-là et pour les activités adaptées est évaluée et justifiée en tenant compte, qualitativement et quantitativement, de toutes les ressources et limitations physiques, mentales ou psychiques.268
2    Les services médicaux régionaux peuvent au besoin procéder eux-mêmes à des examens médicaux sur la personne des assurés. Ils consignent les résultats de ces examens par écrit.
3    Les services médicaux régionaux se tiennent à la disposition des offices AI de leur région pour les conseiller.
IVV).

Die Anordnung einer Begutachtung in der Schweiz könnte sich dann als nicht erforderlich und daher unverhältnismässig erweisen, wenn die Abklärung ohne weiteres auch am Wohnort des Beschwerdeführers durchgeführt werden könnte (vgl. Urteil BGer I 166/06 vom 30. Januar 2007). Dies würde zumindest voraussetzen, dass die Abklärungsstelle mit den Grundsätzen der schweizerischen Versicherungsmedizin vertraut ist (vgl. dazu Urteil des BGer 9C_235/2013 vom 10. September 2013 E. 3.2). Im Übrigen besteht nach der Rechtsprechung kein Rechtsanspruch auf Begutachtung im Ausland (Urteil des EVG I 172/02 vom 7. Februar 2003 E. 4.5 mit Hinweisen).

8.2

8.2.1 in seinen Eingaben vom 10. Februar 2015 bis 26. April 2016 hielt der Beschwerdeführer der IVSTA entgegen, dass es ihm aus gesundheitlicher, psychischer, psychologischer Sicht nicht möglich sei, für eine Begutachtung in die Schweiz zu reisen. Auch im vorliegenden Beschwerdeverfahren macht er geltend, dass eine Reise in die Schweiz eine physische (recte wohl: psychische) Belastung wäre, die er nicht ertragen könnte. Zur Begründung führte er aus, dass er in der Schweiz sehr schlimme Anfeindungen habe ertragen müssen, die sein Leben total verändert hätten. Sein früherer Arbeitgeber in der Schweiz habe ihn bedroht und gewarnt, nie wieder die Schweiz zu betreten, ansonsten er das bereuen werde. Er traue sich ohne Begleitung nicht mehr auf die Strasse. Eine Fahrt in die Schweiz sei für ihn nicht zumutbar und undenkbar. Weiter verwies er auf den Befundbericht der behandelnden Psychologin, bei welcher das Gericht auch weitere Auskünfte über seinen Gesundheitszustand einholen könne. In der Replik wiederholte der Beschwerdeführer in Bezug auf die Zumutbarkeit einer Reise in die Schweiz die in der Beschwerde gemachten Ausführungen, stellt die physischen (recte wohl: psychischen) Befunde nun allerdings neben die Bedrohung durch den ehemaligen Arbeitgeber.

8.2.2 In ihrer Vernehmlassung hielt die IVSTA daran fest, dass die Reiseunfähigkeit des Beschwerdeführers für eine Begutachtung in der Schweiz trotz mehrmaliger Mahnungen nicht nachgewiesen worden sei.

8.2.3 Dr. E._______ hielt in der vierten MD-Stellungnahme (IV-act. 90) fest, dass der Bericht der behandelnden Psychologin gerade belege, dass der Beschwerdeführer reisefähig sei. Denn keine der von ihr aufgelisteten Diagnosen lasse auf eine Reiseunfähigkeit schliessen (s. oben E. 5.5). In der fünften MD-Stellungnahme hielt Dr. E._______ daran fest, dass der Beschwerdeführer reisefähig sei und eine Reise zur psychiatrischen Begutachtung in der Schweiz zumutbar sei.

8.3

8.3.1 Zum Beleg seiner Reiseunfähigkeit hat der Beschwerdeführer lediglich den Bericht der behandelnden Psychologin eingereicht. Der Bericht enthält keine Angaben zu den Befunden, zur Herleitung der Diagnosen und zur substantiierten Begründung der attestierten Reiseunfähigkeit (s. oben E. 5.4.5). Die blosse Auflistung der bei Therapiebeginn erstellten und damit bereits rund acht Monate alten Eingangsdiagnosen und der Hinweis, dass das Beschwerdebild des Beschwerdeführers massiv und akut sei, sind unter diesen Umständen wenig aussagekräftig (s. auch oben E. 6.5). Ausserdem schliessen selbst die aufgelisteten Situationen, in welchen der Beschwerdeführer Panikattacken erleide, eine Autofahrt mit nur einer Begleitperson nicht aus. Der Beschwerdeführer wird denn auch per Auto von seinem Vater zur psychologischen Therapie gefahren und abgeholt. Eine einmalige Autoreise in die Schweiz mit einer Begleitperson wird somit selbst durch den Wortlaut des Berichts der Psychologin nicht ausgeschlossen. Unter diesen Umständen braucht auf die von Dr. E._______ in der vierten MD-Stellungnahme gezogenen Umkehrschlüsse nicht weiter eingegangen zu werden.

8.3.2 Soweit die Eltern des Beschwerdeführers am 30. Juli 2017 gegenüber dem Gericht ausführten, dass sich sein Gesundheitszustand in den letzten Monaten immer mehr verschlechtert habe (s. oben Sachverhalt Bst. C.i), betrifft dies einen Zeitraum nach Erlass der angefochtenen Verfügung am 9. Mai 2016, welcher ausserhalb des vorliegenden Verfahrens liegt (s. oben E. 2.2)

8.3.3 Umso weniger vermögen die nicht substantiierten Behauptungen des Beschwerdeführers, dass ihm aus gesundheitlichen, psychischen oder psychologischen Gründen die Reise nicht möglich bzw. nicht zumutbar sei, nicht zu überzeugen.

8.4 Dafür, dass der Beschwerdeführer von seinem früheren Arbeitgeber für den Fall, dass er in die Schweiz zurückkehren werde, schwer bedroht worden ist, finden sich in den Akten keine Belege. Der Beschwerdeführer substantiiert diese Behauptung auch nicht ansatzweise. Obwohl das letzte Arbeitsverhältnis in der Schweiz per 31. Mai 2012 aufgelöst wurde, blieb er zudem bis Ende September 2012 in der Schweiz. Noch im Februar 2013 deklarierte er gegenüber der IVSTA, eine Wohnung in der Schweiz zu suchen (IV-act. 7), welche Absicht er dann im Juli 2014 nicht mehr zu haben deklarierte (vgl. IV-act. 52 f.). Ausserdem begab er sich bis Ende 2013 monatlich zur Therapie in die Schweiz. Unter diesen Umständen bleibt die angebliche Bedrohung ohne jegliche Grundlage.

8.5 Angesichts des gescheiterten Versuchs, ein ausreichend beweiskräftiges deutsches Gutachten zu erhalten (s. oben E. 6.7), erweist es sich unter der Optik von Art. 43 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
ATSG als notwendig und daher verhältnismässig (s. oben E. 8.1), dass die IVSTA auf einen (erneuten) Versuch verzichtete und stattdessen auf einer Begutachtung in der Schweiz beharrte.

8.6 Demnach ist darauf zu schliessen, dass der Beschwerdeführer nicht rechtsgenüglich nachgewiesen hat, dass ihm eine Reise zur Begutachtung in der Schweiz nicht möglich sei bzw. ihm nicht zugemutet werden könne (s. oben E. 8.3 f.) bzw. unverhältnismässig sei (s. oben E. 8.5) und daher seine Verweigerung der medizinischen Untersuchung gerechtfertigt und keine unentschuldbare/sanktionierbare Verletzung der Mitwirkungspflicht darstelle.

9.

9.1 Zusammenfassend ist festzuhalten, dass die psychiatrische Untersuchung in der Schweiz notwendig ist, der Beschwerdeführer seiner Mitwirkungspflicht in unentschuldbarer Weise nicht nachgekommen ist und die Vorinstanz ein rechtskonformes Mahn- und Bedenkzeitverfahren durchgeführt hat, sodass sie androhungsgemäss aufgrund der Akten entscheiden durfte.

9.2 Im Rahmen des Aktenentscheides darf die Beurteilung nicht einzig unter dem Blickwinkel der Mitwirkungspflichtverweigerung erfolgen, sondern es muss die gesamte aktuelle Aktenlage materiell berücksichtigt werden (vgl. Urteil des EVG I 90/04 vom 6. Mai 2004 E. 4 mit Hinweisen).

9.3 Wie bereits ausgeführt, kann die psychische Gesundheit und die Frage einer allfälligen dadurch verursachten Einschränkung der Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers ohne Durchführung einer psychiatrischen Begutachtung in der Schweiz nicht mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit beurteilt werden (s. oben E. 6). Da vorliegend lediglich eine Beeinträchtigung der psychischen Gesundheit in Frage steht, gilt dies insgesamt für die geltend gemachte Beeinträchtigung der Gesundheit und Arbeitsfähigkeit. Da der Beschwerdeführer diesbezüglich die Beweislast trägt (s. oben E. 3.2) fallen die Folgen der Beweislosigkeit zu seinen Ungunsten aus.

9.4 Zusammenfassend ist festzuhalten, dass die Vorinstanz mit Verfügung vom 9. Mai 2016 das Leistungsbegehren des Beschwerdeführers zu Recht abgewiesen hat. Die Beschwerde vom 20. Mai 2016 ist daher als unbegründet abzuweisen.

10.
Zu befinden bleibt über die Verfahrenskosten und eine allfällige Parteientschädigung.

10.1 Das Bundesverwaltungsgericht auferlegt gemäss Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG die Verfahrenskosten in der Regel der unterliegenden Partei. Mit Zwischenverfügung vom 1. September 2016 hat es das Gesuch um Gewährung der unentgeltlichen Prozessführung gutgeheissen, weshalb auf die Erhebung von Verfahrenskosten zulasten des unterliegenden Beschwerdeführers zu verzichten ist. Der Vorinstanz als obsiegende Partei werden keine Verfahrenskosten auferlegt (Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG e contrario).

10.2 Dem Beschwerdeführer ist bei diesem Ausgang des Verfahrens keine Parteientschädigung zuzusprechen (Art. 64
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés.
1    L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés.
2    Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué.
3    Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens.
4    La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables.
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110
VwVG und Art. 7 Abs. 1
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
1    La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
2    Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion.
3    Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens.
4    Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens.
5    L'art. 6a s'applique par analogie.7
des Reglements vom 21. Februar 2008 über die Kosten und Entschädigungen vor dem Bundesverwaltungsgericht [VGKE, SR 173.320.2] e contrario). Die Vorinstanz hat keinen Anspruch auf Parteientschädigung (Art. 7 Abs. 3
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
1    La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
2    Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion.
3    Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens.
4    Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens.
5    L'art. 6a s'applique par analogie.7
VGKE), weshalb auch ihr keine solche zuzusprechen ist.

Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Es werden keine Verfahrenskosten erhoben.

3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.

4.
Dieses Urteil geht an:

- den Beschwerdeführer (Einschreiben mit Rückschein)

- die Vorinstanz (Ref-Nr. [...]; Einschreiben)

- das Bundesamt für Sozialversicherungen (Einschreiben)

Der vorsitzende Richter: Der Gerichtsschreiber:

Beat Weber Daniel Golta

Rechtsmittelbelehrung:

Gegen diesen Entscheid kann innert 30 Tagen nach Eröffnung beim Bundesgericht, Schweizerhofquai 6, 6004 Luzern, Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten geführt werden (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
., 90 ff. und 100 BGG). Die Rechtsschrift hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. Der angefochtene Entscheid und die Beweismittel sind, soweit sie der Beschwerdeführer in Händen hat, beizulegen (Art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG).

Versand:
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : C-3268/2016
Date : 02 novembre 2017
Publié : 26 janvier 2018
Source : Tribunal administratif fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurances sociales
Objet : Nichteintreten BGer 8C_843/2017 vom 15.01.2018. IV Invalidenrente; Verfügung der IVSTA vom 9. Mai 2016


Répertoire des lois
CE: Ac libre circ.: 8
IR 0.142.112.681 Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse d'une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes (avec annexes, prot. et acte final)
ALCP Art. 8 Coordination des systèmes de sécurité sociale - Les parties contractantes règlent, conformément à l'annexe II, la coordination des systèmes de sécurité sociale dans le but d'assurer notamment:
a  l'égalité de traitement;
b  la détermination de la législation applicable;
c  la totalisation, pour l'ouverture et le maintien du droit aux prestations, ainsi que pour le calcul de celles-ci, de toutes périodes prises en considération par les différentes législations nationales;
d  le paiement des prestations aux personnes résidant sur le territoire des parties contractantes;
e  l'entraide et la coopération administratives entre les autorités et les institutions.
FITAF: 7
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
1    La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
2    Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion.
3    Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens.
4    Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens.
5    L'art. 6a s'applique par analogie.7
LAI: 1 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 1 - 1 Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
1    Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
2    Les art. 32 et 33 LPGA s'appliquent également à l'encouragement de l'aide aux invalides (art. 71 à 76).
4 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
7b 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7b Sanctions - 1 Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
1    Les prestations peuvent être réduites ou refusées conformément à l'art. 21, al. 4, LPGA67 si l'assuré a manqué aux obligations prévues à l'art. 7 de la présente loi ou à l'art. 43, al. 2, LPGA.
2    En dérogation à l'art. 21, al. 4, LPGA, les prestations peuvent être réduites ou refusées sans mise en demeure et sans délai de réflexion si l'assuré:
a  ne s'est pas annoncé sans délai à l'AI malgré l'injonction donnée par l'office AI en vertu de l'art. 3c, al. 6, et que cette omission a prolongé ou aggravé l'incapacité de travail ou l'invalidité;
b  a manqué à son obligation de communiquer au sens de l'art. 31, al. 1, LPGA;
c  a obtenu ou tenté d'obtenir indûment des prestations de l'AI;
d  ne communique pas à un office AI les renseignements dont ce dernier a besoin pour remplir les tâches qui lui sont assignées par la loi.
3    La décision de réduire ou de refuser des prestations doit tenir compte de toutes les circonstances, en particulier de la gravité de la faute de l'assuré.68
4    En dérogation à l'art. 21, al. 1, LPGA, les allocations pour impotent ne peuvent être ni refusées, ni réduites.69
28 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA203) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.204
2    ...205
69
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 69 Particularités du contentieux - 1 En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA421:
1    En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA421:
a  les décisions des offices AI cantonaux peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le tribunal des assurances du domicile de l'office concerné;
b  les décisions de l'office AI pour les assurés résidant à l'étranger peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif fédéral.423
1bis    La procédure de recours en matière de contestations portant sur des prestations de l'AI devant le tribunal cantonal des assurances est soumise à des frais judiciaires.424 Le montant des frais est fixé en fonction de la charge liée à la procédure, indépendamment de la valeur litigieuse, et doit se situer entre 200 et 1000 francs.425
2    L'al. 1bis et l'art. 85bis, al. 3, LAVS426 s'appliquent par analogie à la procédure devant le Tribunal administratif fédéral.427
3    Les jugements des tribunaux arbitraux cantonaux rendus en vertu de l'art. 27quinquies peuvent faire l'objet d'un recours auprès du Tribunal fédéral, conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral428.429
LPGA: 6 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité.
7 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
8 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
16 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
21 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 21 - 1 Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
1    Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
2    Les prestations en espèces dues aux proches ou aux survivants de l'assuré ne sont réduites ou refusées que si ceux-ci ont provoqué la réalisation du risque intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit.
3    Dans la mesure où des assurances sociales ayant le caractère d'assurance de perte de gain ne prévoient aucune prestation en espèces pour les proches, les prestations en espèces ne peuvent être réduites en vertu de l'al. 1 que de moitié. Pour l'autre moitié, la réduction prévue à l'al. 2 est réservée.
4    Les prestations peuvent être réduites ou refusées temporairement ou définitivement si l'assuré se soustrait ou s'oppose, ou encore ne participe pas spontanément, dans les limites de ce qui peut être exigé de lui, à un traitement ou à une mesure de réinsertion professionnelle raisonnablement exigible et susceptible d'améliorer notablement sa capacité de travail ou d'offrir une nouvelle possibilité de gain. Une mise en demeure écrite l'avertissant des conséquences juridiques et lui impartissant un délai de réflexion convenable doit lui avoir été adressée. Les traitements et les mesures de réadaptation qui présentent un danger pour la vie ou pour la santé ne peuvent être exigés.
5    Si l'assuré exécute une peine ou une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain peut être partiellement ou totalement suspendu durant la durée de la peine. S'il se soustrait à l'exécution d'une peine ou d'une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain est suspendu à partir du moment où la peine ou la mesure aurait dû être exécutée. Les prestations destinées à l'entretien des proches visées à l'al. 3 sont exceptées.21
28 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 28 Collaboration lors de la mise en oeuvre - 1 Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales.
1    Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales.
2    Quiconque fait valoir son droit à des prestations doit fournir gratuitement tous les renseignements nécessaires pour établir ce droit, fixer les prestations dues et faire valoir les prétentions récursoires.26
3    Le requérant est tenu d'autoriser dans le cas d'espèce les personnes et institutions concernées, notamment les employeurs, les médecins, les assurances et les organes officiels, à fournir les renseignements nécessaires pour établir le droit aux prestations et faire valoir les prétentions récursoires.27 Ces personnes et institutions sont tenues de donner les renseignements requis.
38 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 38 Calcul et suspension des délais - 1 Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
1    Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
2    S'il ne doit pas être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de l'événement qui le déclenche.
2bis    Une communication qui n'est remise que contre la signature du destinataire ou d'un tiers habilité est réputée reçue au plus tard sept jours après la première tentative infructueuse de distribution.31
3    Lorsque le délai échoit un samedi, un dimanche ou un jour férié selon le droit fédéral ou cantonal, son terme est reporté au premier jour ouvrable qui suit. Le droit cantonal déterminant est celui du canton où la partie ou son mandataire a son domicile ou son siège.32
4    Les délais en jours ou en mois fixés par la loi ou par l'autorité ne courent pas:
a  du 7e jour avant Pâques au 7e jour après Pâques inclusivement;
b  du 15 juillet au 15 août inclusivement;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclusivement.
43 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
59 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 59 Qualité pour recourir - Quiconque est touché par la décision ou la décision sur opposition et a un intérêt digne d'être protégé à ce qu'elle soit annulée ou modifiée a qualité pour recourir.
60
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 60 Délai de recours - 1 Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
1    Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
2    Les art. 38 à 41 sont applicables par analogie.
LTAF: 37
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 37 Principe - La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la PA57, pour autant que la présente loi n'en dispose pas autrement.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
82
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
PA: 3 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 3 - Ne sont pas régies par la présente loi:
a  la procédure d'autorités au sens de l'art. 1, al. 2, let. e, en tant que le recours direct à une autorité fédérale n'est pas ouvert contre leurs décisions;
b  en matière de personnel fédéral, les procédures de première instance relatives à la création initiale des rapports de service, à la promotion, aux prescriptions de service16 et la procédure en autorisation d'engager la poursuite pénale d'un agent;
c  la procédure pénale administrative de première instance et celle des recherches de la police judiciaire;
d  la procédure de la justice militaire, y compris la procédure disciplinaire militaire, la procédure dans les affaires relevant du pouvoir de commandement militaire selon l'art. 37, ainsi que la procédure particulière selon les art. 38 et 39 de la loi du 3 février 199518 sur l'armée et l'administration militaire,19 ...20;
dbis  la procédure en matière d'assurances sociales, dans la mesure où la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales est applicable22;
e  la procédure de taxation douanière;
ebis  ...
f  la procédure de première instance dans d'autres affaires administratives dont la nature exige qu'elles soient tranchées sur-le-champ par décision immédiatement exécutoire.
5 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet:
1    Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet:
a  de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations;
b  de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations;
c  de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations.
2    Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25
3    Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision.
12 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 12 - L'autorité constate les faits d'office et procède s'il y a lieu à l'administration de preuves par les moyens ci-après:
a  documents;
b  renseignements des parties;
c  renseignements ou témoignages de tiers;
d  visite des lieux;
e  expertises.
52 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
1    Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
2    Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours.
3    Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable.
62 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie.
1    L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie.
2    Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse.
3    Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer.
4    Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours.
63 
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
64
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés.
1    L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés.
2    Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué.
3    Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens.
4    La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables.
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110
RAI: 49
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 49 Tâches - 1 Les services médicaux régionaux évaluent les conditions médicales du droit aux prestations. Ils sont libres dans le choix de la méthode d'examen appropriée, dans le cadre de leurs compétences médicales et des directives spécialisées de portée générale de l'OFAS.
1    Les services médicaux régionaux évaluent les conditions médicales du droit aux prestations. Ils sont libres dans le choix de la méthode d'examen appropriée, dans le cadre de leurs compétences médicales et des directives spécialisées de portée générale de l'OFAS.
1bis    Lors de la détermination des capacités fonctionnelles (art. 54a, al. 3, LAI), la capacité de travail attestée médicalement pour l'activité exercée jusque-là et pour les activités adaptées est évaluée et justifiée en tenant compte, qualitativement et quantitativement, de toutes les ressources et limitations physiques, mentales ou psychiques.268
2    Les services médicaux régionaux peuvent au besoin procéder eux-mêmes à des examens médicaux sur la personne des assurés. Ils consignent les résultats de ces examens par écrit.
3    Les services médicaux régionaux se tiennent à la disposition des offices AI de leur région pour les conseiller.
Répertoire ATF
115-V-133 • 115-V-38 • 117-V-261 • 120-IB-224 • 121-V-362 • 122-II-464 • 122-V-157 • 122-V-218 • 125-V-193 • 125-V-256 • 125-V-351 • 126-V-353 • 129-V-1 • 130-V-253 • 130-V-329 • 130-V-445 • 130-V-64 • 132-V-215 • 134-V-231 • 135-V-465 • 136-V-376
Weitere Urteile ab 2000
8C_396/2012 • 8C_56/2013 • 8C_733/2010 • 9C_235/2013 • 9C_28/2010 • 9C_736/2009 • I_128/98 • I_166/06 • I_172/02 • I_214/01 • I_605/04 • I_90/04 • I_906/05
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
tribunal administratif fédéral • diagnostic • état de fait • mois • devoir de collaborer • état de santé • allemagne • riz • thérapie • jour • autorité inférieure • rapport médical • hameau • psychose • examen psychiatrique • frais de la procédure • office ai • délai • cannabis • psychothérapie • patient • d'office • dépression • employeur • moyen de preuve • connaissance • enquête médicale • question • pronostic • fardeau de la preuve • rente d'invalidité • médecin • réplique • force probante • médecin spécialiste • début • comportement • emploi • vie • psychiatrie • assistance judiciaire • tribunal fédéral • duplique • durée • ue • demande de prestation d'assurance • communication • greffier • délai raisonnable • valeur • assureur • terme • application du droit • concentration • décision • expertise • dossier • document écrit • demande adressée à l'autorité • incapacité de travail • degré de la preuve • assurance sociale • pouvoir d'appréciation • schizophrénie • travail convenable • distance • échange d'écritures • déclaration • annexe • stock • inscription • attestation • accord sur la libre circulation des personnes • droit à la prestation d'assurance • loi fédérale sur l'assurance-invalidité • rejet de la demande • effet • prescription médicale • jour déterminant • loi fédérale sur la partie générale du droit des assurances sociales • succession • prévisibilité • quote-part • information • forme et contenu • autorité judiciaire • examinateur • expert • motivation de la décision • autorisation ou approbation • recours en matière de droit public • recours au tribunal administratif fédéral • directive • appréciation du personnel • affection psychique • maladie mentale • perte • pratique judiciaire et administrative • incapacité de gain • fin • réponse • suppression • étiquetage • atteinte à la santé • examen • conduite du procès • parentèle • contrôle médical • étendue • dimensions de la construction • exécution • mère • copie • roue • littérature • service médical régional • expertise psychiatrique • dosage • médecine des assurances • directeur • indication des voies de droit • rencontre • médecine interne • exactitude • droit matériel • langue • constitution • hors • droit suisse • demi-rente • quart de rente • réponse au recours • sécurité sociale • lieu de séjour • trois-quarts de rente • marché équilibré du travail • rente entière • admission partielle • condition • consultation du dossier • pologne • parlement européen • norme • fréquence • intégration sociale • assigné • appréciation anticipée des preuves • pré • incombance • traitement ambulatoire • lettre • infirmité congénitale • famille • débat du tribunal • survivant • signature • office fédéral des assurances sociales • père • ménage • fumée • neurologie
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BVGer
C-1358/2016 • C-3268/2016 • C-4166/2014 • C-4480/2015 • C-5049/2013
VSI
2001 S.114