Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 138/2024
Urteil vom 1. Mai 2024
I. strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Denys,
Bundesrichter Rüedi,
Gerichtsschreiber Gross.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Advokatin Cinzia Fallegger-Santo,
Beschwerdeführer,
gegen
Staatsanwaltschaft des Kantons Basel-Stadt, Binningerstrasse 21, 4051 Basel,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Vereitelung von Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit; Hinderung einer Amtshandlung; Diensterschwerung,
Beschwerde gegen das Urteil des Appellationsgerichts des Kantons Basel-Stadt, Dreiergericht, vom 11. August 2023 (SB.2022.41).
Sachverhalt:
A.
A.________ wird vorgeworfen, am Abend des 19. Dezember 2020 die damals 24-jährige und stark alkoholisierte Privatklägerin auf seinen Motorroller geladen und zu seiner Wohnung gefahren zu haben, um sie sexuell zu missbrauchen. Ein Angestellter der Verkehrsbetriebe habe die Polizei verständigt und versucht, A.________ an der Wegfahrt zu hindern. Doch dieser sei ihm über den Fuss und davongefahren. Als die Polizei eingetroffen sei, habe ihr der Angestellte der Verkehrsbetriebe die zurückgelassene Handtasche der Privatklägerin übergeben und das Kennzeichen des Motorrollers genannt. A.________ sei mit der Privatklägerin zu seiner Wohnung gefahren. Dort habe er sie entkleidet, um sie für sexuelle Handlungen zu missbrauchen. Um ungefähr 21:00 Uhr seien drei Polizeibeamte vor seiner Wohnungstür gestanden, wo sie die Damenschuhe der Privatklägerin erblickt hätten. Da die Polizeibeamten die Anwesenheit einer gesuchten Person in der Wohnung vermutet und zudem hätten annehmen müssen, in der Wohnung werde eine Straftat begangen, hätten sie an die Tür geklopft und Einlass begehrt. Dadurch sei A.________ gestört worden, weshalb es beim Versuch der Schändung geblieben sei (vgl. angefochtenes Urteil S. 4 f. E. 2).
A.________ habe beabsichtigt, die Polizeibeamten zu vertreiben und am Betreten der Wohnung zu hindern, indem er den Eingang versperrt und einen Hausdurchsuchungsbefehl gefordert habe. Zudem habe er den Polizeibeamten gesagt, sie würden auf Video aufgezeichnet und die Aufnahme werde veröffentlicht. Die Polizeibeamten hätten die Jacke der Privatklägerin im Wohnzimmer gefunden und daraufhin das Schlafzimmer sehen wollen. A.________ habe ihnen den Eintritt verwehrt, sodass sie ihn hätten wegziehen müssen. Die eingetroffene Verstärkung habe ihn in der Folge mehrfach aufgefordert, sich auszuweisen und Angaben zu seiner Person zu machen, was er verweigert und den Beamten dadurch die Ausübung ihres Diensts erschwert habe. Schliesslich habe er sich heftig gegen das Anlegen der Handschellen gewehrt, wodurch er die beiden Beamten an einer Amtshandlung gehindert habe. Ausserdem habe er einen Atemalkoholtest und die angeordnete Urin- und Blutprobe verweigert. Die Blutprobe habe schliesslich unter Zwang entnommen werden müssen. Damit habe er die Feststellung der Fahrunfähigkeit zum Tatzeitpunkt verhindert (vgl. angefochtenes Urteil S. 5 E. 2).
B.
Das Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt verurteilte A.________ am 11. August 2023 zweitinstanzlich wegen Vereitelung von Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit, Hinderung einer Amtshandlung und Diensterschwerung zu einer bedingten Geldstrafe von 35 Tagessätzen zu Fr. 30.-- und einer Busse von Fr. 400.--. Es rechnete daran die Untersuchungshaft von 38 Tagen an. Vom Vorwurf der versuchten Schändung sprach es ihn aus Mangel an Beweisen frei.
C.
A.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen, das appellationsgerichtliche Urteil sei teilweise aufzuheben. Er sei vollumfänglich freizusprechen. Für die ausgestandene Untersuchungshaft sei er mit Fr. 7'600.-- zu entschädigen und für den Erwerbsausfall mit mindestens Fr. 5'525.--. Eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an das Appellationsgericht zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde ist zu begründen, wobei anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids in gedrängter Form darzulegen ist, inwiefern dieser Recht verletzt (Art. 42 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
1.2. Die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung und Beweiswürdigung kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Kritik am angefochtenen Entscheid tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 148 IV 356 E. 2.1; 148 IV 205 E. 2.6; 146 IV 88 E. 1.3.1). Dem Grundsatz "in dubio pro reo" als Beweiswürdigungsregel kommt im Verfahren vor Bundesgericht keine über das Willkürverbot hinausgehende Bedeutung zu (BGE 148 IV 409 E. 2.2; 146 IV 88 E. 1.3.1).
2.
Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Verurteilungen wegen Hinderung einer Amtshandlung und Diensterschwerung.
2.1. Die Vorinstanz stellt auf die "durchwegs glaubhaften Angaben der Polizeibeamten" ab. Diese hätten sich nach der Meldung des Angestellten der Verkehrsbetriebe zum Wohnort des Beschwerdeführers begeben, dort dessen noch warmen Motorroller vorgefunden, vor dessen Wohnungstür Damenschuhe entdeckt und schliesslich mehrfach geklopft und geklingelt. Die Vorinstanz lässt offen, wie lange es dauerte, bis der Beschwerdeführer die Türe öffnete. Denn bereits die Erstinstanz sei davon ausgegangen, das verzögerte Öffnen der Türe erfülle den Tatbestand der Hinderung einer Amtshandlung nicht. In der Folge habe der Beschwerdeführer die Polizeibeamten aber abzuwimmeln versucht und dementiert, dass sich eine Frau in der Wohnung befinde. Dies habe der Beschwerdeführer selbst anerkannt. Die Polizeibeamten hätten aufgrund der Verdachtsmomente entschieden, die Wohnung gegen dessen Willen zu betreten. Es bestünden keine Zweifel, dass die Polizeibeamten im Wohnzimmer die Jacke der Privatklägerin gefunden hätten, worauf sich der Beschwerdeführer im Türrahmen zum Schlafzimmer aufgestellt habe. Zuerst hätten die Polizeibeamten ihn mündlich aufgefordert, den Weg zum Schlafzimmer freizugeben. Dann hätten sie ihn zur Seite geschoben. Gemäss Vorinstanz
hatte der Beschwerdeführer allen Grund, den Polizeibeamten den Zutritt zum Schlafzimmer zu verweigern. Denn darin habe sich die nur noch leicht bekleidete und bewusstlose Privatklägerin befunden, deren Anwesenheit er kurz zuvor noch dementiert habe. Er bestreite grundsätzlich nicht, dass er sich in der Folge gegen seine Verhaftung zur Wehr gesetzt habe. Tätlich sei er zwar nicht geworden, doch habe er sich derart stark zur Wehr gesetzt, dass der vor dem Haus postierte Polizeibeamte den Tumult vernommen habe und seinen beiden Kollegen zu Hilfe geeilt sei. Auch die Verletzungen an der linken Hand des Beschwerdeführers sprächen für eine gewisse Intensität des Widerstands. Weiter habe er sich geweigert, den Polizeibeamten seinen Ausweis zu zeigen. Seine Aussage, dass er den Ausweis nicht gefunden habe, wertet die Vorinstanz als Schutzbehauptung.
2.2. Was der Beschwerdeführer dagegen vorbringt, dringt nicht durch.
2.2.1. Zunächst macht er geltend, die Aussagen von Polizeibeamten seien nicht per se glaubhaft. Er bestreite sie und sei deswegen "in dubio pro reo" freizusprechen. Dabei übersieht er, dass der Unschuldsvermutung als Beweiswürdigungsregel im Verfahren vor Bundesgericht keine über das Willkürverbot hinausgehende Bedeutung zukommt (vgl. hiervor E. 1.2). Um die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung umzustossen, müsste er substanziiert dartun, dass die Vorinstanz die Aussagen der Polizeibeamten in geradezu unhaltbarer Weise gewürdigt hat. Dies gelingt ihm nicht. Vielmehr erschöpft sich sein Vorbringen weitgehend in einer unzulässigen appellatorischen Kritik. Dies ist beispielsweise der Fall, wenn er vorträgt, ihm sei wegen der engen Raumverhältnisse nichts anderes übrig geblieben, als vor der Türe des Schlafzimmers zu stehen, oder wenn er behauptet, nicht er, sondern die Privatklägerin habe den Tumult bei seiner Verhaftung verursacht.
2.2.2. Der Beschwerdeführer wirft der Vorinstanz vor, sie halte nicht fest, welche Amtshandlung er gehindert habe. Diese Rüge ist offensichtlich unbegründet. Die Vorinstanz legt lückenlos dar, dass die Polizeibeamten aufgrund konkreter Verdachtsmomente das Schlafzimmer hätten sehen wollen, wo sie denn auch die teilweise entkleidete und bewusstlose Privatklägerin vorgefunden hätten. Der Beschwerdeführer hinderte die Polizei am Betreten des Schlafzimmers, weigerte sich, seinen Ausweis zu zeigen, und widersetzte sich der anschliessenden Verhaftung. Vor diesem Hintergrund ist schwer verständlich, weshalb der anwaltlich vertretene Beschwerdeführer vorträgt, die Vorinstanz schreibe zwar über mehrere Seiten, wie glaubhaft und differenziert die Aussagen der Polizeibeamten seien, hingegen werde nicht konkretisiert, welche Amtshandlung er gehindert habe.
2.2.3. Der Beschwerdeführer behauptet, es hätten keine Anhaltspunkte dafür bestanden, dass die Privatklägerin bei ihm sei. Ebenso sei denkbar, dass er sie anderswo abgeladen habe. Es sei "eine einzige Mutmassung der Polizei", dass sich die Privatklägerin in seiner Wohnung befunden habe. Hier übergeht er, dass die Polizeibeamten vor seiner Wohnung Damenschuhe und in seinem Wohnzimmer die Jacke der Privatklägerin gefunden hätten. Entgegen dem Beschwerdeführer kann keine Rede davon sein, dass die Amtshandlungen der Polizeibeamten einer Grundlage entbehrt hätten.
2.2.4. Was den Tatbestand der Diensterschwerung betrifft, wiederholt der Beschwerdeführer im Wesentlichen bloss seine Behauptung, er habe seinen Ausweis zeigen wollen, aber im "Eifer des Gefechts" sein Portemonnaie nicht gefunden. Dabei übergeht er den vorinstanzlichen Hinweis, sein Portemonnaie habe (gemäss eigener Aussage) auf einem Tisch im Schlafzimmer gelegen. Es ist offensichtlich, dass der Beschwerdeführer die vorinstanzliche Feststellung, wonach er sich weigerte, den Ausweis zu zeigen, mit solchen Rügen nicht ansatzweise als willkürlich ausweisen kann.
2.3. Nach dem Gesagten sind die schlüssig begründeten Verurteilungen wegen Hinderung einer Amtshandlung und Diensterschwerung in keiner Weise zu beanstanden.
3.
Der Beschwerdeführer rügt den Schuldspruch wegen Vereitelung von Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit.
3.1. An der Berufungsverhandlung bestätigte der Beschwerdeführer, dass er am fraglichen Abend mit seinem Motorroller gefahren sei, er die Atemalkoholprobe verweigert habe und ihm schliesslich auf dem Polizeiposten unter Zwang Blut entnommen worden sei.
3.2. Der Vereitelung von Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit gemäss Art. 91a Abs. 1

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 91a - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, en qualité de conducteur d'un véhicule automobile, s'oppose ou se dérobe intentionnellement à une prise de sang, à un contrôle au moyen de l'éthylomètre ou à un autre examen préliminaire réglementé par le Conseil fédéral, qui a été ordonné ou dont le conducteur devait supposer qu'il le serait, ou quiconque s'oppose ou se dérobe intentionnellement à un examen médical complémentaire ou fait en sorte que des mesures de ce genre ne puissent atteindre leur but. |

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 91a - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, en qualité de conducteur d'un véhicule automobile, s'oppose ou se dérobe intentionnellement à une prise de sang, à un contrôle au moyen de l'éthylomètre ou à un autre examen préliminaire réglementé par le Conseil fédéral, qui a été ordonné ou dont le conducteur devait supposer qu'il le serait, ou quiconque s'oppose ou se dérobe intentionnellement à un examen médical complémentaire ou fait en sorte que des mesures de ce genre ne puissent atteindre leur but. |
Voraussetzungen kann auch ein verbaler Widerstand den Tatbestand erfüllen (Urteile 6B 723/2023 vom 24. Januar 2024 E. 2.3.3; 6B 1139/2020 vom 8. Juli 2021 E. 2.1; 6B 384/2015 vom 7. Dezember 2015 E. 5.3; 6B 229/2012 vom 5. November 2012 E. 4.1; je mit Hinweisen).
3.3. Wie die Vorinstanz zutreffend festhält, ist für die Frage der Zulässigkeit der angeordneten Massnahmen, entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers, ohne Belang, ob die Polizeibeamten hinreichende Verdachtsmomente für Verkehrsdelikte oder einen Verkehrsunfall hatten. Gemäss Art. 55 Abs. 1

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 55 - 1 Les conducteurs de véhicules, de même que les autres usagers de la route impliqués dans un accident, peuvent être soumis à un alcootest. |

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 55 - 1 Les conducteurs de véhicules, de même que les autres usagers de la route impliqués dans un accident, peuvent être soumis à un alcootest. |
nicht gefordert (vgl. Urteile 6B 723/2023 vom 24. Januar 2024 E. 2.3.3; 6B 1139/2020 vom 8. Juli 2021 E. 2.1; 6B 384/2015 vom 7. Dezember 2015 E. 5.3; 6B 229/2012 vom 5. November 2012 E. 4.1; je mit Hinweisen). Schliesslich erwägt die Vorinstanz zutreffend, eine Verurteilung des Beschwerdeführers setze nicht voraus, dass er den Vollzug der angeordneten Massnahme gänzlich verunmöglicht habe. Vielmehr genüge es, dass er deren Vollzug erschwert, verzögert und behindert habe (mit Verweis auf PHILIPPE WEISSENBERGER, Kommentar zum Strassenverkehrsgesetz und zum Ordnungsbussengesetz, 2. Auflage 2015, N. 15 zu Art. 91a

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 91a - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque, en qualité de conducteur d'un véhicule automobile, s'oppose ou se dérobe intentionnellement à une prise de sang, à un contrôle au moyen de l'éthylomètre ou à un autre examen préliminaire réglementé par le Conseil fédéral, qui a été ordonné ou dont le conducteur devait supposer qu'il le serait, ou quiconque s'oppose ou se dérobe intentionnellement à un examen médical complémentaire ou fait en sorte que des mesures de ce genre ne puissent atteindre leur but. |
3.4. Was der Beschwerdeführer dagegen vorbringt, dringt nicht durch. Soweit er seine rechtlichen Ausführungen auf einen Sachverhalt gründet, der von den willkürfreien Feststellungen der Vorinstanz abweicht, ist er nicht zu hören. So behauptet er beispielsweise, er habe durch das ganze Verfahren hinweg angegeben, dass er sich nicht gewehrt habe. Aus dem Polizeirapport leitet er ab, dass er sich nicht aktiv gegen die Massnahmen gesperrt habe. Er legt aber nicht dar, dass die Vorinstanz in Willkür verfallen wäre, indem sie ein Verhalten feststellte, das eine hinreichende Intensität des Widerstands beinhaltete. Der Beschwerdeführer wiederholt, er habe eine halbe Flasche Wein und Bier getrunken, nachdem er zu Hause angekommen sei. Es ist nicht willkürlich, wenn die Vorinstanz dies als Schutzbehauptung abtut, zumal beim Eintreffen der Polizeibeamten der Motorroller noch warm gewesen sei. Der Beschwerdeführer bringt bloss vor, es sei plausibel, dass er innert kurzer Zeit so viel Alkohol konsumiert habe. Damit übersieht er, dass es für die Annahme von Willkür ohnehin nicht genügen würde, wenn eine andere Lösung oder Würdigung ebenfalls vertretbar oder gar zutreffender erscheinen würde (vgl. hiervor E. 1.2).
3.5. Nach dem Gesagten ist auch der Schuldspruch wegen Vereitelung von Massnahmen zur Feststellung der Fahrunfähigkeit nicht zu beanstanden.
4.
Der Beschwerdeführer beanstandet die Strafzumessung. Er trägt vor, er sei zu einer bedingten Geldstrafe von 35 Tagessätzen und einer Busse von Fr. 400.-- verurteilt worden, wobei die Ersatzfreiheitsstrafe der Busse 4 Tage betrage. Es springe ins Auge, dass sich die resultierenden 39 Tagessätze "mehr als nahe" bei den 38 Tagen Untersuchungshaft befinden. Er habe den Verdacht, dass die Vorinstanz die Strafzumessung einzig in dieser Art und Weise vorgenommen habe, um ihn nicht für die Untersuchungshaft entschädigen zu müssen.
Damit legt er nicht ansatzweise dar, dass die Vorinstanz ihr Ermessen überschritten oder missbraucht und damit Bundesrecht verletzt hat. Insbesondere zeigt er nicht auf, inwieweit sie von rechtlich nicht massgebenden Kriterien ausgegangen sein sollte oder wesentliche Gesichtspunkte ausser Acht gelassen oder falsch gewichtet hätte. Ohnehin steht dem Sachgericht bei der Strafzumessung ein erheblicher Ermessensspielraum zu, in den das Bundesgericht nur mit Zurückhaltung eingreift (BGE 144 IV 313 E. 1.2; 141 IV 61 E. 6.1.1). Auch von einer Verletzung der Begründungspflicht kann keine Rede sein. Es kann auf die ausführlichen und sorgfältigen Erwägungen der Vorinstanz verwiesen werden (angefochtenes Urteil S. 39 ff. E. 7).
5.
Der Beschwerdeführer rügt die vorinstanzliche Beurteilung seiner Genugtuungs- und Entschädigungsforderung.
5.1. Der Beschwerdeführer brachte schon im Berufungsverfahren vor, die Untersuchungshaft sei im Zusammenhang mit dem Vorwurf der Schändung angeordnet worden, weshalb sich die Anordnung im Nachhinein als ungerechtfertigt erweise und ihm gestützt auf Art. 429 Abs. 1 lit. c

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 429 Prétentions - 1 Si le prévenu est acquitté totalement ou en partie ou s'il bénéficie d'une ordonnance de classement, il a droit à: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 431 - 1 Si le prévenu a, de manière illicite, fait l'objet de mesures de contrainte, l'autorité pénale lui alloue une juste indemnité et réparation du tort moral. |
5.2. Die Vorinstanz weist darauf hin, sie habe bereits mit Entscheid vom 11. Januar 2021 bestätigt, dass die Untersuchungshaft zum Zeitpunkt ihrer Anordnung gerechtfertigt war. Sie hält zutreffend fest, dass die Untersuchungshaft vorliegend keine rechtswidrige Zwangsmassnahme nach Art. 431 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 431 - 1 Si le prévenu a, de manière illicite, fait l'objet de mesures de contrainte, l'autorité pénale lui alloue une juste indemnité et réparation du tort moral. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 429 Prétentions - 1 Si le prévenu est acquitté totalement ou en partie ou s'il bénéficie d'une ordonnance de classement, il a droit à: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 431 - 1 Si le prévenu a, de manière illicite, fait l'objet de mesures de contrainte, l'autorité pénale lui alloue une juste indemnité et réparation du tort moral. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 431 - 1 Si le prévenu a, de manière illicite, fait l'objet de mesures de contrainte, l'autorité pénale lui alloue une juste indemnité et réparation du tort moral. |
FRANK, in: Basler Kommentar, Schweizerische Strafprozessordnung, 3. Auflage 2023, N. 26 zu Art. 429

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 429 Prétentions - 1 Si le prévenu est acquitté totalement ou en partie ou s'il bénéficie d'une ordonnance de classement, il a droit à: |
5.3. Art. 431 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 431 - 1 Si le prévenu a, de manière illicite, fait l'objet de mesures de contrainte, l'autorité pénale lui alloue une juste indemnité et réparation du tort moral. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 51 - Le juge impute sur la peine la détention avant jugement subie par l'auteur dans le cadre de l'affaire qui vient d'être jugée ou d'une autre procédure. Un jour de détention correspond à un jour-amende.40 |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 110 - 1 Les proches d'une personne sont son conjoint, son partenaire enregistré, ses parents en ligne directe, ses frères et soeurs germains, consanguins ou utérins ainsi que ses parents, frères et soeurs et enfants adoptifs.155 |
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1 | Les proches d'une personne sont son conjoint, son partenaire enregistré, ses parents en ligne directe, ses frères et soeurs germains, consanguins ou utérins ainsi que ses parents, frères et soeurs et enfants adoptifs.155 |
2 | Les familiers d'une personne sont ceux qui font ménage commun avec elle. |
3 | Par fonctionnaires, on entend les fonctionnaires et les employés d'une administration publique et de la justice ainsi que les personnes qui occupent une fonction publique à titre provisoire, ou qui sont employés à titre provisoire par une administration publique ou la justice ou encore qui exercent une fonction publique temporaire. |
3bis | Lorsqu'une disposition fait référence à la notion de chose, elle s'applique également aux animaux.156 |
4 | Sont des titres tous les écrits destinés et propres à prouver un fait ayant une portée juridique et tous les signes destinés à prouver un tel fait. L'enregistrement sur des supports de données et sur des supports-images est assimilé à un écrit s'il a la même destination. |
5 | Sont des titres authentiques tous les titres émanant des membres d'une autorité, de fonctionnaires ou d'officiers publics agissant dans l'exercice de leurs fonctions. Sont exceptés les titres émanant de l'administration des entreprises économiques et des monopoles de l'État ou d'autres corporations ou établissements de droit public qui ont trait à des affaires de droit civil. |
6 | Le jour est compté à raison de vingt-quatre heures consécutives. Le mois et l'année sont comptés de quantième à quantième. |
7 | La détention avant jugement est toute détention ordonnée au cours d'un procès pénal pour les besoins de l'instruction, pour des motifs de sûreté ou en vue de l'extradition. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 51 - Le juge impute sur la peine la détention avant jugement subie par l'auteur dans le cadre de l'affaire qui vient d'être jugée ou d'une autre procédure. Un jour de détention correspond à un jour-amende.40 |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 51 - Le juge impute sur la peine la détention avant jugement subie par l'auteur dans le cadre de l'affaire qui vient d'être jugée ou d'une autre procédure. Un jour de détention correspond à un jour-amende.40 |
Ausgleich in Form einer Entschädigung ist subsidiär. Der Betroffene hat diesbezüglich kein Wahlrecht (BGE 141 IV 236 E. 3.3 mit diversen Hinweisen). Diese Rechtsprechung zur Anrechnung der Untersuchungshaft gilt auch bei Anwendung von Art. 429 Abs. 1 lit. c

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 429 Prétentions - 1 Si le prévenu est acquitté totalement ou en partie ou s'il bénéficie d'une ordonnance de classement, il a droit à: |
5.4. Es ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz die Untersuchungshaft von 38 Tagen an die verhängte Geldstrafe und Busse anrechnet und den Antrag des Beschwerdeführers auf eine Entschädigung abweist. Was die Erwerbsausfallsentschädigung betrifft, erwägt die Vorinstanz, der Beschwerdeführer weise nicht rechtsgenüglich nach, dass er ohne Untersuchungshaft gearbeitet hätte. Diese Feststellung weist er nicht als willkürlich aus.
5.5. Nach dem Gesagten wies die Vorinstanz die Genugtuungs- und Entschädigungsforderungen des Beschwerdeführers zu Recht ab.
6.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Ausgangsgemäss sind die Gerichtskosten dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt, Dreiergericht, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 1. Mai 2024
Im Namen der I. strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari
Der Gerichtsschreiber: Gross