Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 117/2023
Urteil vom 1. Mai 2023
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Rüedi,
Bundesrichter Hurni,
Gerichtsschreiber Brugger.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Fabian Williner,
Beschwerdeführer,
gegen
Staatsanwaltschaft des Kantons Wallis, Zentrales Amt, Postfach, 1950 Sitten 2,
B.________, vertreten durch
Rechtsanwältin Graziella Walker Salzmann,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Mehrfache Vergewaltigung,
Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts des Kantons Wallis, I. Strafrechtliche Abteilung, vom 6. Dezember 2022 (P1 22 45).
Sachverhalt:
A.
Das Kantonsgericht Wallis verurteilte A.________ am 6. Dezember 2022 zweitinstanzlich wegen mehrfacher Vergewaltigung, mehrfacher Nötigung, Drohung und mehrfacher einfacher Körperverletzung zum Nachteil von B.________ (Beschwerdegegnerin 2). Es belegte ihn mit einer Freiheitsstrafe von 36 Monaten, davon 24 Monate bedingt, und einer Geldstrafe von 180 Tagessätzen zu Fr. 90.--. Es erteilte ihm die Weisung, eine psychotherapeutische Behandlung durchzuführen, und ordnete eine Landesverweisung von 8 Jahren samt Ausschreibung im Schengener Informationssystem an. Der Beschwerdegegnerin 2 sprach es eine Genugtuung von Fr. 14'000.-- nebst Zins zu.
B.
A.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen zusammengefasst, er sei vom Vorwurf der mehrfachen Vergewaltigung freizusprechen. Er sei nur wegen mehrfacher Nötigung, Drohung und mehrfacher einfacher Körperverletzung zu einer Geldstrafe von 180 Tagessätzen zu Fr. 90.-- zu verurteilen. Für die Untersuchungshaft sei er mit Fr. 3'400.-- zu entschädigen. Von der Landesverweisung und der Ausschreibung im Schengener Informationssystem sei abzusehen. Die Genugtuung für die Beschwerdegegnerin 2 sei zu reduzieren und die kantonalen Kosten- und Entschädigungsfolgen seien abzuändern Eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
Der Beschwerdeführer wendet sich gegen seine Verurteilung wegen mehrfacher Vergewaltigung.
1.1.
1.1.1. Eine Vergewaltigung nach Art. 190 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 190 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
|
1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence à l'égard d'une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps, est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au moins. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 189 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel, est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
1.1.2. Art. 189
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 189 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel, est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 190 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence à l'égard d'une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps, est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au moins. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 189 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel, est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 190 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence à l'égard d'une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps, est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au moins. |
1.1.3. Gewalt im Sinne von Art. 189 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 189 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel, est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 190 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence à l'égard d'une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir l'acte sexuel ou un acte analogue qui implique une pénétration du corps, est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au moins. |
Widerstand verzichtet oder ihn nach anfänglicher Abwehr aufgibt (BGE 126 IV 124 E. 3c; 118 IV 52 E. 2b mit Hinweisen; Urteile 6B 479/2020 vom 19. Januar 2021 E. 4.3.3; 6B 1260/2019 vom 12. November 2020 E. 2.2.2; 6B 145/2019 vom 28. August 2019 E. 3.2.3; 6B 95/2015 vom 25. Januar 2016 E. 5.1; 6B 1149/2014 vom 16. Juli 2015 E. 5.1.3).
1.1.4. Die Tatbestandsvariante des Unter-Druck-Setzens stellt klar, dass sich die Ausweglosigkeit der Situation auch ergeben kann, ohne dass der Täter eigentliche Gewalt anwendet. Es kann vielmehr genügen, dass dem Opfer eine Widersetzung unter den gegebenen Umständen aus anderen Gründen nicht zuzumuten ist. Durch Art. 189 f
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 189 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel, est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
der Fall, wenn vom Opfer unter den gegebenen Umständen und in Anbetracht seiner persönlichen Verhältnisse verständlicherweise kein Widerstand erwartet werden kann bzw. ihm ein solcher nicht zuzumuten ist, der Täter mithin gegen den Willen des Opfers an sein Ziel gelangt, ohne dafür Gewalt oder Drohungen anwenden zu müssen (BGE 131 IV 167 E. 3.1 S. 170 f. mit Hinweisen). Die Auslegung der Art. 189 f
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 189 - 1 Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, contre la volonté d'une personne, commet sur elle ou lui fait commettre un acte d'ordre sexuel ou profite à cette fin d'un état de sidération d'une personne, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Quiconque, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister, la contraint à commettre ou à subir un acte d'ordre sexuel, est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3 | Si l'auteur au sens de l'al. 2 agit avec cruauté, s'il fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
1.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den von der Vorinstanz festgestellten Sachverhalt zugrunde, es sei denn, dieser ist offensichtlich unrichtig oder beruht auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Bundesgericht nicht ein (BGE 146 IV 88 E. 1.3.1; 144 V 50 E. 4.2; 143 IV 500 E. 1.1).
1.3.
1.3.1. Dem Beschwerdeführer wird eine erste Vergewaltigung im September 2016 vorgeworfen. Er sei in den frühen Morgenstunden vom Ausgang in die Wohnung seiner Eltern nach Hause gekommen. Die Beschwerdegegnerin 2 habe dort in seinem Zimmer geschlafen. Wegen seiner späten Rückkehr sei es zu Streit gekommen. Dabei habe er die Beschwerdegegnerin 2 mit beiden Händen an den Oberarmen gepackt und gewaltsam auf die am Boden liegende Matratze gezogen. Er habe sich und die Beschwerdegegnerin 2 ausgezogen und sich auf die Beschwerdegegnerin 2 gelegt, die sich auf dem Rücken befunden habe. Er sei mit dem Penis in ihre Vagina eingedrungen. Die Beschwerdegegnerin 2 habe ihm gesagt, dass sie das nicht wolle, und ihn mit den Händen wegzustossen versucht. Aufgrund seiner körperlichen Überlegenheit sei ihr dies nicht gelungen, weswegen sie die vaginale Penetration auch aus Angst vor weiterer Gewalt wehrlos habe über sich ergehen lassen. Vor dem Orgasmus habe er den Penis aus der Vagina gezogen und auf ihre Brust ejakuliert.
1.3.2. Eine zweite Vergewaltigung wird dem Beschwerdeführer am 3. März 2017 angelastet. Er habe um ca. 03.00 Uhr in der gemeinsamen Wohnung Geschlechtsverkehr mit der Beschwerdegegnerin 2 gewollt. Sie habe dies abgelehnt, das Bett verlassen und sich in das Badezimmer begeben. Der Beschwerdeführer sei ihr gefolgt und habe ihr Untreue vorgeworfen. Es sei zu einem lauten Streit gekommen. Plötzlich habe der Beschwerdeführer von oben mit der Faust auf Kopf, Schultern und Brust der Beschwerdegegnerin 2 eingeschlagen. Ihre Schreie habe er mit einem Badetuch erstickt, welches er über ihr Gesicht gelegt und hinter ihrem Kopf zusammengehalten habe. Dann habe er das Badetuch entfernt und sie erneut mit Faustschlägen gegen den Kopf traktiert. Er habe so hart geschlagen, dass sie ohnmächtig geworden sei. Er habe bei der Badewanne kaltes Wasser über ihren Kopf fliessen lassen, bis sie das Bewusstsein wieder erlangt habe. Danach habe er sie in das Schlafzimmer getragen und auf dem Bett ausgezogen. Die Beschwerdegegnerin 2 habe vergeblich versucht, ihn wegzustossen. Dann habe sie ihn wehrlos gewähren lassen. Er sei mit dem Penis in ihre Vagina eingedrungen und habe in ihr ejakuliert. Danach habe er ihr mit Gewalt gedroht, wenn sie im Fall einer
Schwangerschaft dem Kind etwas antun sollte.
1.3.3. Eine dritte Vergewaltigung wird dem Beschwerdeführer am 14. Juni 2017 vorgeworfen. Er habe darauf bestanden, die Beschwerdegegnerin 2 zu einem Termin bei der Frauenärztin zu begleiten. Nach der Rückkehr in die gemeinsame Wohnung habe er die Beschwerdegegnerin 2 zum Geschlechtsverkehr aufgefordert. Diese habe ihm gesagt, sie habe wegen der frauenärztlichen Untersuchung Schmerzen und wolle dies nicht. Der Beschwerdeführer habe sich nicht dafür interessiert und ihr gesagt, die Frau müsse sich dem Mann hingeben, wenn der Mann dies verlange. Aus Angst vor weiteren Schlägen und wegen ihrer körperlichen Unterlegenheit habe sich die Beschwerdegegnerin 2 ausgezogen und auf das Bett im Schlafzimmer gelegt. Der Beschwerdeführer sei an das Bett getreten und mit dem Penis in ihre Vagina eingedrungen, was die Beschwerdegegnerin 2 wehrlos über sich habe ergehen lassen. Vor dem Orgasmus habe er seinen Penis aus der Vagina gezogen und auf ihre Brust ejakuliert.
1.3.4. Weitere Vergewaltigungen werden dem Beschwerdeführer von Januar bis Juni 2017 vorgeworfen. Der arbeitslose Beschwerdeführer habe sich während dieser Zeit tagsüber zu Hause in der gemeinsamen Wohnung aufgehalten. Er habe die Beschwerdegegnerin 2 während deren Mittagspausen mindestens fünf Mal zu Geschlechtsverkehr gezwungen. Die Beschwerdegegnerin 2 habe ihm stets gesagt, sie wolle dies nicht. Doch ihm sei dies egal gewesen. Er habe ihr Geschlechtsverkehr mit anderen Männern vorgeworfen und gesagt, dass sie seine Frau sei und ihm gehorchen müsse. Bevor er zum Orgasmus gekommen sei, habe er jeweils den Penis aus ihrer Vagina gezogen und auf ihre Brust ejakuliert. Die Beschwerdegegnerin 2 habe bei den ersten sexuellen Übergriffen noch erfolglos versucht, sich zu wehren und ihn wegzustossen. Sie habe die Kraft für den Widerstand verloren und die übrigen sexuellen Übergriffe aus Angst vor weiterer Gewalt wehrlos über sich ergehen lassen. Einige Übergriffe hätten im Wohnzimmer stattgefunden.
1.4. Vor Vorinstanz waren neben der mehrfachen Vergewaltigung auch die Verurteilungen wegen mehrfacher Nötigung, Drohung und mehrfacher einfacher Körperverletzung angefochten. Die Vorinstanz hält fest, dass eine Vielzahl von Vorwürfen mit unterschiedlichen Beweisen vorliege, aber häufig Aussage gegen Aussage stehe. Daher würdigt sie zuerst die generell relevanten Beweise und das allgemeine Aussageverhalten der Beschwerdegegnerin 2 sowie des Beschwerdeführers. Sie berücksichtigt, dass beide Beteiligten mehrfach aussagten, und beurteilt die Konstanz der Aussagen. Die Äusserungen zu den konkreten Tatvorwürfen gliedert die Vorinstanz sodann je nach Vorhalt in chronologischer Reihenfolge.
1.5.
1.5.1. Was den Vorwurf der ersten Vergewaltigung vom September 2016 betrifft, würdigt die Vorinstanz ausführlich die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 an den Befragungen vom 21. August 2017, vom 3. Oktober 2017 und vom 16. April 2019. Sodann berücksichtigt die Vorinstanz die Aussagen der Mutter der Beschwerdegegnerin 2, des Vaters des Beschwerdeführers, der Mutter des Beschwerdeführers, der Schwester des Beschwerdeführers und einer Arbeitskollegin der Beschwerdegegnerin 2. Schliesslich prüft die Vorinstanz die Aussagen des Beschwerdeführers vom 29. September 2017 und vom 11. Oktober 2017.
Die Vorinstanz hat, wie bereits die Erstinstanz, keine relevanten Zweifel an den Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 und erachtet diese als erlebnisbasiert. Der Beschwerdeführer habe die Beschwerdegegnerin 2 mit hinreichendem Druck zum Geschlechtsverkehr genötigt, weshalb eine Vergewaltigung vorliege. Für die Vorinstanz spielt eine besondere Rolle, dass der Beschwerdeführer gegenüber der Beschwerdegegnerin 2 bereits physische Gewalt ausgeübt hatte, dass er ihr körperlich überlegen war, dass er sie ausgezogen und auf die Matratze gezogen hatte und dass sie in der Wohnung der Eltern des Beschwerdeführers unter besonderem Druck gestanden hatte.
1.5.2. Zur Prüfung des Vorwurfs der zweiten Vergewaltigung vom 3. März 2017 würdigt die Vorinstanz ausführlich die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 vom 21. August 2017 und vom 3. Oktober 2017. Die Vorinstanz stuft die ersten Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 wegen der Details und der beschriebenen Komplikationen als erlebnisbasiert ein. Es sei nachvollziehbar, dass sich die erste und zweite Aussage teilweise unterscheiden. Denn die Beschwerdegegnerin 2 wolle sich nicht mehr an den Vorfall erinnern. Dies entspreche den allgemeinen Ausführungen zu ihrem Aussageverhalten. Sodann wendet sich die Vorinstanz den Aussagen des Beschwerdeführers zu und verwirft dessen Version, wonach er die Beschwerdegegnerin 2 im Badezimmer nur getröstet habe.
Nach alledem kommt die Vorinstanz zum Schluss, dass der Beschwerdeführer Geschlechtsverkehr habe initiieren wollte. Die Beschwerdegegnerin 2 habe abgelehnt und sich deswegen in das Badezimmer begeben. Dort sei ein lautstarker Streit eskaliert. Zu dessen Beginn habe sich der Beschwerdeführer mit der Sexualität der Beschwerdegegnerin 2 beschäftigt, indem er ihr vorgeworfen habe, sie gehe fremd. Anschliessend sei er gewalttätig geworden, bis die Beschwerdegegnerin 2 bewusstlos gewesen sei. Dann habe er sie mit kaltem Wasser aufgeweckt, auf das Bett getragen, ausgezogen und penetriert. Die Vorinstanz geht in dubio pro reo davon aus, dass der Beschwerdeführer die Beschwerdegegnerin 2im Badezimmer nicht geschlagen hat, um sie für die sexuellen Handlungen gefügig zu machen. Die Beschwerdegegnerin 2, welcher bereits Gewalt widerfahren war, sei aber dadurch dermassen geschwächt gewesen, dass sie sich auf dem Bett kaum mehr habe wehren können. Daher liege auch hier eine Vergewaltigung vor.
1.5.3. Schliesslich wendet sich die Vorinstanz dem Vorwurf der Vergewaltigung vom 14. Juni 2017 zu. Hier berücksichtigt sie die Aussagen der Frauenärztin vom 16. Oktober 2017, wonach der Beschwerdeführer gefragt habe, ob er bei der gynäkologischen Untersuchung zuschauen könne, was die Frauenärztin irritiert habe. Sie habe den Beschwerdeführer aufgefordert, wieder Platz zu nehmen. Der Beschwerdeführer habe sie gefragt, ob die Infektion vom Fremdgehen kommen könne. Gemäss Vorinstanz bestätigen die Aussagen der Frauenärztin das aufdringliche Verhalten des Beschwerdeführers und die Äusserung der Beschwerdegegnerin 2, sie habe wegen der Infektion Schmerzen verspürt. Der Beschwerdeführer müsse gewusst haben, dass er nicht am gleichen Tag mit der Beschwerdegegnerin 2 Geschlechtsverkehr haben sollte.
Die Vorinstanz gibt die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 vom 21. August 2017 und vom 3. Oktober 2017 ausführlich wieder. Sie würdigt die Angaben des Beschwerdeführers vom 29. September 2017 und vom 11. Oktober 2017. Dabei schenkt sie insbesondere seiner Aussage keinen Glauben, wonach die Beschwerdegegnerin 2 nach dem Besuch der Frauenärztin den Geschlechtsverkehr initiiert habe. Der Beschwerdeführer habe bei der Befragung vom 29. September 2017 Geschlechtsverkehr verneint. Bei der Befragung vom 11. Oktober 2017 habe er Geschlechtsverkehr bejaht, aber angegeben, die Initiative sei von der Beschwerdegegnerin 2 ausgegangen. Nach der frauenärztlichen Untersuchung vom 14. Juni 2017 dürfte der Geschlechtsverkehr für die Beschwerdegegnerin 2 schmerzhaft gewesen sein, was die Frauenärztin bestätigt habe. Dies untermauere die glaubhaften Ausführungen der Beschwerdegegnerin 2, wonach sie an diesem Tag keinen Geschlechtsverkehr gewollt habe und vom Beschwerdeführer dazu gezwungen worden sei. Die Beschwerdegegnerin 2 habe wegen der häuslichen Gewalt und früheren Vergewaltigungen keine Kraft mehr gehabt, sich dem rücksichtslosen Verhalten des Beschwerdeführers zu widersetzen, zumal dieser ihr erklärt habe, er habe ein Recht auf
Geschlechtsverkehr.
1.5.4. Was die weiteren Vergewaltigungen von Januar bis Juni 2017 betrifft, verweist die Vorinstanz auf die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 vom 21. August 2017. Demnach hätten die sexuellen Übergriffe begonnen, als die Beziehung gewalttätiger geworden sei. Gehäuft hätten sie sich ab September 2016, nachdem sie die gemeinsame Wohnung bezogen hätten. Der Beschwerdeführer habe dann in der Mittagspause Sex erzwungen. Vor Erstinstanz habe die Beschwerdegegnerin 2 erklärt, es habe in den Mittagspausen auch einvernehmlichen Sex gegeben. Doch einige Male sei sie einfach nicht einverstanden gewesen. Wenn sie immer Lust gehabt hätte, dann hätte sie keine Strafanzeige deponiert. Gemäss Vorinstanz erklärte die Arbeitskollegin der Beschwerdegegnerin 2, diese habe ihr mindestens fünf Mal erzählt, der Beschwerdeführer habe sie in der Mittagspause zum Geschlechtsverkehr gezwungen.
Entgegen den Bestreitungen des Beschwerdeführers stellt die Vorinstanz fest, dass er sich bewusst über den Willen der Beschwerdegegnerin 2 hinweggesetzt und sie zu Geschlechtsverkehr gezwungen habe. Die Taten ab Januar 2017 seien geschehen, nachdem die Beschwerdegegnerin 2 verschiedene Formen von Gewalt erfahren habe und auch schon sexuell missbraucht worden sei. Es habe ein genügender psychischer Druck bestanden, um von einer Vergewaltigung auszugehen.
1.6. Was der Beschwerdeführer gegen die vorinstanzlichen Erwägungen vorbringt, verfängt nicht.
1.6.1. Die Vorinstanz nimmt eine umfangreiche und sorgfältige Beweiswürdigung vor und legt nachvollziehbar dar, weshalb sie den Anklagesachverhalt der mehrfachen Vergewaltigung als erstellt erachtet. Der Beschwerdeführer bringt vor, die Vorinstanz habe seine Aussagen kaum gewürdigt. Sie schenke ihm keinen Glauben und stelle zu Unrecht auf die Angaben der Beschwerdegegnerin 2 ab. Damit beschränkt er sich auf eine unzulässige appellatorische Kritik an der vorinstanzlichen Beweiswürdigung, was zur Begründung von Willkür von vornherein nicht genügen kann.
1.6.2. Der Beschwerdeführer trägt vor, die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 seien "wenig substantiiert", zum Kerngeschehen mache sie nur karge Aussagen. Er weist darauf hin, dass andere Beweise wie Arztberichte fehlen. Weiter bringt er vor, die Beschwerdegegnerin 2 sei am 21. September 2017 auf dem Polizeiposten erschienen, um die Strafklage gegen ihn zurückzuziehen; nur aufgrund guter Überzeugungsarbeit der Polizei habe sie daran festgehalten. Es sei nicht verständlich, weshalb die Beschwerdegegnerin 2, welche "enorme Angst" vor dem Beschwerdeführer habe, die Strafklage habe zurückziehen wollen. Zudem habe sich die Beschwerdegegnerin 2 Ende September 2017 heimlich mit dem Beschwerdeführer getroffen. Auch nach der Entlassung aus der Untersuchungshaft habe sie mit ihm Kontakt aufgenommen. Es sei unvorstellbar, dass er die Beschwerdegegnerin 2 ungeschützt vergewaltigt habe, als sie an einer Infektion gelitten habe.
Mit solchen Ausführungen kritisiert der Beschwerdeführer in appellatorischer Weise die Beweiswürdigung der Vorinstanz. Er präsentiert seine eigene Version, ohne sich ansatzweise mit den Erwägungen im angefochtenen Urteil zu befassen. Damit ist er im bundesgerichtlichen Verfahren nicht zu hören. Das Bundesgericht als oberste rechtsprechende Behörde (Art. 1 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 1 Autorité judiciaire suprême - 1 Le Tribunal fédéral est l'autorité judiciaire suprême de la Confédération. |
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1 | Le Tribunal fédéral est l'autorité judiciaire suprême de la Confédération. |
2 | Il exerce la surveillance sur la gestion du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets.4 |
3 | Il se compose de 35 à 45 juges ordinaires. |
4 | Il se compose en outre de juges suppléants, dont le nombre n'excède pas les deux tiers de celui des juges ordinaires.5 |
5 | L'Assemblée fédérale fixe l'effectif des juges dans une ordonnance. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.6.3. Der Beschwerdeführer übersieht, dass dem Grundsatz "in dubio pro reo" als Beweiswürdigungsregel im Verfahren vor Bundesgericht keine über das Willkürverbot von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.7. Nach dem Gesagten hält die Verurteilung wegen mehrfacher Vergewaltigung vor Bundesrecht stand.
Seine Anträge zur Strafzumessung, zur Haftentschädigung, zur Landesverweisung, zur Ausschreibung im Schengener Informationssystem, zur Genugtuung für die Beschwerdegegnerin 2 und zur vorinstanzlichen Regelung der Kosten- und Entschädigungsfolgen begründet der Beschwerdeführer nicht. Nachdem es bei der Verurteilung wegen mehrfacher Vergewaltigung bleibt, hat es auch damit sein Bewenden.
2.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Die Gerichtskosten sind dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht des Kantons Wallis, I. Strafrechtliche Abteilung, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 1. Mai 2023
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari
Der Gerichtsschreiber: Brugger