Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
5A 731/2018
Urteil vom 1. April 2019
II. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Herrmann, Präsident,
Bundesrichterin Escher, Bundesrichter Bovey,
Gerichtsschreiber Levante.
Verfahrensbeteiligte
A.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Andreas Bänziger,
Beschwerdeführerin,
gegen
1. B.A.________,
2. C.________,
Beschwerdegegner,
Betreibungsamt Kreis Hochdorf,
Bezirksgericht Hochdorf.
Gegenstand
Bestimmung des Verwertungsmodus (einfache Gesellschaft),
Beschwerde gegen den Entscheid des Kantonsgerichts Luzern, 1. Abteilung als obere kantonale Aufsichtsbehörde über Schuldbetreibung und Konkurs, vom 16. August 2018 (2K 18 3).
Sachverhalt:
A.
A.a. Gegen B.A.________ sind beim Betreibungsamt Hochdorf verschiedene von C.________ eingeleitete Betreibungen hängig. Am 7. September 2017 pfändete das Betreibungsamt in der Pfändungsgruppe Nr. xxx unter anderem den Liquidationsanteil von B.A.________ am Grundstück D.________ yyy in U.________, welches sich im Gesamteigentum von ihm und A.A.________ befindet. Am 20. September 2017 erfolgte die Anzeige der Pfändung eines Anteilsrechts an einem Gemeinschaftsvermögen (Art. 104
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SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 104 - Lorsque la saisie porte sur un usufruit ou sur une part dans une succession indivise, société ou communauté, l'office donne avis de la saisie aux tiers intéressés. |
A.b. Das Betreibungsamt ersuchte das Bezirksgericht Hochdorf als untere Aufsichtsbehörde über Schuldbetreibung und Konkurs am 8. März 2018 den weiteren Verlauf des Verfahrens zu bestimmen. Das Bezirksgericht gab den Beteiligten Kenntnis von den eingereichten Anträgen und gab ihnen Gelegenheit zu Stellungnahme. Es stellte fest, dass keine konkreten Anträge zum Verwertungsmodus eingegangen waren. Alsdann ordnete es die Auflösung der einfachen Gesellschaft bezüglich des Grundstückes D.________ yyy in U.________ und die Liquidation des Gemeinschaftsvermögens durch das Betreibungsamt an.
B.
Das Kantonsgericht Luzern als obere kantonale Aufsichtsbehörde über Schuldbetreibung und Konkurs trat auf die von A.A.________ dagegen erhobene Beschwerde am 16. August 2018 nicht ein.
C.
Mit Eingabe vom 10. September 2018 ist A.A.________ an das Bundesgericht gelangt. Die Beschwerdeführerin beantragt die Aufhebung des kantonsgerichtlichen Entscheides und die Rückweisung der Angelegenheit an die Vorinstanz zur materiellen Beurteilung.
Mit Verfügung vom 8. Oktober 2018 ist der Beschwerde - entgegen den Anträgen von B.A.________ (Beschwerdegegner) und C.________ (Beschwerdegegnerin) - die aufschiebende Wirkung zuerkannt worden.
Es sind die kantonalen Akten, indes keine Vernehmlassungen in der Sache eingeholt worden.
Erwägungen:
1.
1.1. Angefochten ist der Entscheid der kantonalen Aufsichtsbehörde über die Art der Verwertung eines Anteils an Gemeinschaftsvermögen (Art. 132 Abs. 3
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SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 132 - 1 Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
|
1 | Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
2 | La même règle est valable pour la réalisation des inventions, des titres de protection des variétés, des dessins et modèles industriels, des marques de fabrique et de commerce et des droits d'auteur.273 |
3 | Après avoir consulté les intéressés, l'autorité peut ordonner la vente aux enchères, confier la réalisation à un gérant ou prendre toute autre mesure. |
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SR 281.41 Ordonnance du 17 janvier 1923 concernant la saisie et la réalisation de parts de communautés (OPC) OPC Art. 10 - 1 Si l'entente amiable recherchée a échoué, l'office des poursuites ou l'autorité qui a conduit les pourparlers invite les créanciers saisissants, le débiteur et les membres de la communauté à lui soumettre dans les dix jours leurs propositions en vue des mesures ultérieures de réalisation; après l'expiration du délai, le dossier complet de la poursuite est transmis à l'autorité de surveillance compétente aux termes de l'art. 132 LP. Celle-ci peut entamer à nouveau des pourparlers de conciliation. |
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1 | Si l'entente amiable recherchée a échoué, l'office des poursuites ou l'autorité qui a conduit les pourparlers invite les créanciers saisissants, le débiteur et les membres de la communauté à lui soumettre dans les dix jours leurs propositions en vue des mesures ultérieures de réalisation; après l'expiration du délai, le dossier complet de la poursuite est transmis à l'autorité de surveillance compétente aux termes de l'art. 132 LP. Celle-ci peut entamer à nouveau des pourparlers de conciliation. |
2 | L'autorité de surveillance décidera, en tenant compte autant que possible des propositions des intéressés, si la part de communauté saisie doit être vendue aux enchères comme telle ou s'il y a lieu de procéder à la dissolution de la communauté et à la liquidation du patrimoine commun conformément aux dispositions qui régissent la communauté dont il s'agit. |
3 | Dans la règle, la vente aux enchères ne doit être ordonnée que si la valeur de la part saisie peut être déterminée approximativement au moyen des renseignements obtenus lors de la saisie ou au cours des pourparlers amiables. L'autorité de surveillance a le droit d'ordonner de nouvelles enquêtes à ce sujet et notamment la prise d'inventaire du patrimoine commun. |
4 | Un délai doit être imparti aux créanciers qui requièrent la dissolution de la communauté pour effectuer l'avance des frais; ils seront avisés qu'à défaut de paiement de cette avance, la part de communauté sera vendue aux enchères comme telle.13 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
|
1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
1.2. Der Entscheid über den Verwertungsmodus wurde von der oberen Aufsichtsbehörde in ihrer Funktion als Beschwerdeinstanz über die untere Aufsichtsbehörde, die aufgrund einer bundesrechtlich eingeräumten Befugnis eine Verwertungsanordnung gefällt hat, behandelt. Der Nichteintretensentscheid beendet ein Verfahren und stellt daher einen Endentscheid dar (Art. 90
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
1.3. Die im kantonalen Verfahren unterlegene Beschwerdeführerin ist (mit dem Beschwerdegegner) Gesamteigentümerin der zur Verwertung anstehenden Liegenschaft. Sie ist daher vom angefochtenen Entscheid besonders berührt und hat ein schutzwürdiges Interesse an dessen Aufhebung oder Änderung. Insoweit ist sie zur Beschwerde berechtigt (Art. 76 Abs. 1 lit. b
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière civile quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification. |
2 | Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.42 |
1.4. Mit der vorliegenden Beschwerde kann insbesondere die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.5. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
2.
2.1. Die Vorinstanz ist auf die Beschwerde gegen die Anordnung der Verwertungsart nicht eingetreten. Sie kam zum Schluss, dass die Anträge der Beschwerdeführerin nicht zulässig seien, soweit sie andere Fragen aufwerfen als die Verwertungsart. Zudem erweise sich der Antrag, die Liquidation der einfachen Gesellschaft an den Scheidungsrichter zu übertragen, als ungenügend begründet.
2.2. Nach Ansicht der Beschwerdeführerin stellt der Nichteintretensentscheid eine Verletzung des rechtlichen Gehörs und eine Rechtsverweigerung dar. Die Vorinstanz hätte ihre Beweisofferten entgegennehmen und ihre Anträge materiell prüfen müssen.
3.
Anlass zum vorliegenden Verfahren gibt der Beschwerdeentscheid der oberen kantonalen Aufsichtsbehörde über die Anordnung der Verwertung eines Liquidationsanteils an Gesamteigentum durch die untere Aufsichtsbehörde.
3.1. Sind Anteile an einem Gemeinschaftsvermögen zu verwerten, so ersucht das Betreibungsamt die Aufsichtsbehörde um Bestimmung des Verfahrens (Art. 132 Abs. 1
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SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 132 - 1 Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
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1 | Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
2 | La même règle est valable pour la réalisation des inventions, des titres de protection des variétés, des dessins et modèles industriels, des marques de fabrique et de commerce et des droits d'auteur.273 |
3 | Après avoir consulté les intéressés, l'autorité peut ordonner la vente aux enchères, confier la réalisation à un gérant ou prendre toute autre mesure. |
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SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 132 - 1 Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
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1 | Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
2 | La même règle est valable pour la réalisation des inventions, des titres de protection des variétés, des dessins et modèles industriels, des marques de fabrique et de commerce et des droits d'auteur.273 |
3 | Après avoir consulté les intéressés, l'autorité peut ordonner la vente aux enchères, confier la réalisation à un gérant ou prendre toute autre mesure. |
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SR 281.41 Ordonnance du 17 janvier 1923 concernant la saisie et la réalisation de parts de communautés (OPC) OPC Art. 10 - 1 Si l'entente amiable recherchée a échoué, l'office des poursuites ou l'autorité qui a conduit les pourparlers invite les créanciers saisissants, le débiteur et les membres de la communauté à lui soumettre dans les dix jours leurs propositions en vue des mesures ultérieures de réalisation; après l'expiration du délai, le dossier complet de la poursuite est transmis à l'autorité de surveillance compétente aux termes de l'art. 132 LP. Celle-ci peut entamer à nouveau des pourparlers de conciliation. |
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1 | Si l'entente amiable recherchée a échoué, l'office des poursuites ou l'autorité qui a conduit les pourparlers invite les créanciers saisissants, le débiteur et les membres de la communauté à lui soumettre dans les dix jours leurs propositions en vue des mesures ultérieures de réalisation; après l'expiration du délai, le dossier complet de la poursuite est transmis à l'autorité de surveillance compétente aux termes de l'art. 132 LP. Celle-ci peut entamer à nouveau des pourparlers de conciliation. |
2 | L'autorité de surveillance décidera, en tenant compte autant que possible des propositions des intéressés, si la part de communauté saisie doit être vendue aux enchères comme telle ou s'il y a lieu de procéder à la dissolution de la communauté et à la liquidation du patrimoine commun conformément aux dispositions qui régissent la communauté dont il s'agit. |
3 | Dans la règle, la vente aux enchères ne doit être ordonnée que si la valeur de la part saisie peut être déterminée approximativement au moyen des renseignements obtenus lors de la saisie ou au cours des pourparlers amiables. L'autorité de surveillance a le droit d'ordonner de nouvelles enquêtes à ce sujet et notamment la prise d'inventaire du patrimoine commun. |
4 | Un délai doit être imparti aux créanciers qui requièrent la dissolution de la communauté pour effectuer l'avance des frais; ils seront avisés qu'à défaut de paiement de cette avance, la part de communauté sera vendue aux enchères comme telle.13 |
faillite, 2005, N. 10 zu Art. 132).
3.2. Im vorliegenden Fall lud das Betreibungsamt die am Verwertungsverfahren Beteiligten auf den 21. Februar 2018 zu einer Einigungsverhandlung ein. Die Sitzung führte zu keinem Ergebnis, zumal einzig die Beschwerdeführerin erschienen war. Im Anschluss daran reichten die Beteiligten ihre Anträge ein. Die Beschwerdeführerin verlangte die Überweisung der Streitsache an den Scheidungsrichter. Der Beschwerdegegner verlangte die Verwendung seines Liquidationsanteils zur Tilgung der gegen ihn in Betreibung gesetzten Forderungen. Die Beschwerdegegnerin verlangte die Verwertung der gepfändeten Liegenschaft, ohne sich zum Verwertungsmodus zu äussern. Auf Ersuchen des Betreibungsamtes legte das Bezirksgericht am 8. März 2018 den weiteren Verlauf fest. Vorerst setzte es die Beteiligten in Kenntnis über die eingereichten Anträge und gab ihnen Gelegenheit zu Stellungnahme. Dabei stellte es fest, dass keine konkreten Anträge zum Verwertungsmodus eingegangen waren. Alsdann ordnete es die Auflösung der einfachen Gesellschaft bezüglich des Grundstückes D.________ yyy in U.________ und die Liquidation des Gemeinschaftsvermögens durch das Betreibungsamt an.
3.3. Das Obergericht ist auf die dagegen erhobene Beschwerde nicht eingetreten. Die Beschwerdeführerin hatte nebst der Aufhebung des bezirksgerichtlichen Entscheides (Ziff. 1) insbesondere beantragt, die (näher bezeichneten) Betreibungen der Beschwerdegegnerin gegen den Beschwerdegegner aufzuheben bzw. einzustellen (Ziff. 2), sowie die Anträge des Beschwerdegegners und der Beschwerdegegnerin abzuweisen, soweit darauf einzutreten sei (Ziff. 3 und 4). Eventualiter hatte sie um die Überweisung der Streitsache an das Kantonsgericht Zug ersucht, zwecks betreibungsrechtlicher Durchführung der Auflösung und Liquidation des Gesamteigentums an der Liegenschaft in U.________ (Ziff. 5).
3.3.1. Mit der Beschwerde gegen den Nichteintretensentscheid verlangt die Beschwerdeführerin vor Bundesgericht zwar die vollumfängliche Rückweisung der Angelegenheit an die Vorinstanz zur materiellen Beurteilung. Indes geht sie auf den Vorwurf der Vorinstanz, es fehle neben dem Antrag auf Aufhebung des bezirksgerichtlichen Entscheides an einem konkreten Antrag zum Verwertungsmodus, nicht ein. Zudem befasst sie sich nicht mehr mit den im kantonalen Verfahren gestellten Anträgen Ziff. 3 und 4, nachdem ihr die Vorinstanz erläutert hat, dass die beiden Gegenparteien im Beschwerdeverfahren noch keine Gelegenheit zur Stellung von Anträgen erhalten hatten und es daher diesbezüglich an einem Verfahrensgegenstand fehle.
3.3.2. Im Wesentlichen geht es der Beschwerdeführerin denn auch um die materielle Beurteilung ihres Antrags auf Aufhebung der gegen den Beschwerdegegner gerichteten Betreibungen, die Anlass zur Pfändung und Verwertung des Anteils am Gemeinschaftsvermögen (Liegenschaft) führen, an welchem sie beteiligt ist. Gemäss ihrer Darstellung ist sie durch das Zusammenwirken der beiden Beschwerdegegner mit einer als existenzbedrohend bezeichneten Situation konfrontiert. Indem die Beschwerdegegnerin den Beschwerdeführer für nicht existierende Forderungen betreibe und sich dieser nicht zur Wehr setze, sei es zur Pfändung der Familienwohnung gekommen, welche sie mit dem Beschwerdeführer zu Gesamteigentum habe. Dabei handle es sich um den einzigen Vermögenswert, der ihr in der güterrechtlichen Auseinandersetzung verbleibe und den sie jetzt zu verlieren drohe. Die Vorinstanz hätte sich mit diesen Vorbringen befassen und die angebotenen Beweise würdigen müssen. Vor Bundesgericht erneuert sie ihr Begehren, beim Kantonsgericht Zug die Scheidungsakten zu edieren.
Die Vorinstanz hat diese Vorbringen - entgegen der Behauptung der Beschwerdeführerin - durchaus bewertet. Sie kam allerdings zum Schluss, dass einzig behauptet werde, jedoch nicht schlüssig ausgewiesen sei, dass die Forderungen der Beschwerdegegnerin fingiert und die Betreibungen gegen den Beschwerdegegner einzig in Schädigungsabsicht angehoben worden seien. Die Aufgabe der Aufsichtsbehörde bestehe zudem in der Festsetzung des Verwertungsmodus. Hingegen könnten die in Betreibung gesetzten Forderungen keiner materiellen Prüfung unterzogen werden. Da weder für die Nichtigkeit der Betreibungen noch der Pfändungsurkunde konkrete Hinweise bestünden, werde diesbezüglich auf die Beschwerde nicht eingetreten. Im Eintretensfalle wäre der Antrag auf Aufhebung der Betreibungen abzuweisen.
Mit dieser Begründung setzt sich die Beschwerdeführerin nicht auseinander. Die Ausführungen der Beschwerdeführerin beschränken sich auf die Schilderung der Auseinandersetzung um die finanziellen Folgen der noch hängigen Scheidung. Hingegen legt sie nicht dar, inwiefern sich die Vorinstanz in ihrer Funktion als Aufsichtsbehörde im Rahmen der Festlegung des Verwertungmodus - wovon die Beschwerdeführerin direkt betroffen ist - überhaupt mit der Rechtmässigkeit der in Betreibung gesetzten Forderungen zu befassen hatte. Damit erwächst der Vorinstanz kein Vorwurf, weil sie in der an sie gerichteten Beschwerde keine Anhaltspunkte für die Nichtigerklärung der Betreibungen und insbesondere der Pfändungsurkunde feststellen konnte und daher auf den entsprechenden Antrag formell nicht eingetreten ist. Ebensowenig bestand für die Vorinstanz ein Anlass zur Edition der Scheidungsakten.
3.3.3. Im Sinne eines Eventualantrags besteht die Beschwerdeführerin auch vor Bundesgericht darauf, dass die Streitsache zwecks Auflösung und Liquidation des Gesamteigentums an der Liegenschaft in U.________ an das Kantonsgericht Zug überwiesen werde. Im Rahmen des dort hängigen Scheidungsverfahrens sei bereits am 1. Februar 2017 ein solcher Antrag gestellt worden. Die Vorinstanz hätte diesen Eventualantrag materiell beurteilen müssen.
Die Vorinstanz hat der Beschwerdeführerin - im Wesentlichen unter Hinweis auf den bezirksgerichtlichen Entscheid - erläutert, welche Aufgaben dem Scheidungsrichter zukommen und welche Kompetenzen die Aufsichtsbehörde bei der Verwertung von Anteilen an einem Gemeinschaftsvermögen hat. Da von der Beschwerdeführerin nicht vorgetragen werde, dass der Scheidungsrichter im Zeitpunkt der Pfändung (am 7. September 2017) die einfache Gesellschaft bereits aufgelöst habe, habe die anschliessende Verwertung nach Eingang des Gesuchs ihren Fortgang nehmen müssen. Dies entspreche der bundesgerichtlichen Rechtsprechung, wonach die Verwertung eines Anteils am Gemeinschaftsvermögen nicht bis zum Abschluss der güterrechtlichen Auseinandersetzung aufzuschieben sei (BGE 113 III 40). Die Vorinstanz trat auf die Beschwerde in diesem Punkt nicht ein, da mit dem blossen Hinweis auf das hängige Scheidungsverfahren den Begründungsanforderungen an eine Beschwerde nicht Genüge getan sei.
Für ihren Standpunkt, dass die Aufsichtsbehörde ihren Überweisungsantrag hätte beurteilen müssen, bringt die Beschwerdeführerin vor allem vor, nur auf diesem Wege könne sie ihre Rechte in der güterrechtlichen Auseinandersetzung wahren. Weshalb der Aufsichtsbehörde bei der Festlegung des Verwertungsmodus nach Art. 132
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SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 132 - 1 Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
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1 | Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation. |
2 | La même règle est valable pour la réalisation des inventions, des titres de protection des variétés, des dessins et modèles industriels, des marques de fabrique et de commerce et des droits d'auteur.273 |
3 | Après avoir consulté les intéressés, l'autorité peut ordonner la vente aux enchères, confier la réalisation à un gérant ou prendre toute autre mesure. |
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SR 281.41 Ordonnance du 17 janvier 1923 concernant la saisie et la réalisation de parts de communautés (OPC) OPC Art. 10 - 1 Si l'entente amiable recherchée a échoué, l'office des poursuites ou l'autorité qui a conduit les pourparlers invite les créanciers saisissants, le débiteur et les membres de la communauté à lui soumettre dans les dix jours leurs propositions en vue des mesures ultérieures de réalisation; après l'expiration du délai, le dossier complet de la poursuite est transmis à l'autorité de surveillance compétente aux termes de l'art. 132 LP. Celle-ci peut entamer à nouveau des pourparlers de conciliation. |
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1 | Si l'entente amiable recherchée a échoué, l'office des poursuites ou l'autorité qui a conduit les pourparlers invite les créanciers saisissants, le débiteur et les membres de la communauté à lui soumettre dans les dix jours leurs propositions en vue des mesures ultérieures de réalisation; après l'expiration du délai, le dossier complet de la poursuite est transmis à l'autorité de surveillance compétente aux termes de l'art. 132 LP. Celle-ci peut entamer à nouveau des pourparlers de conciliation. |
2 | L'autorité de surveillance décidera, en tenant compte autant que possible des propositions des intéressés, si la part de communauté saisie doit être vendue aux enchères comme telle ou s'il y a lieu de procéder à la dissolution de la communauté et à la liquidation du patrimoine commun conformément aux dispositions qui régissent la communauté dont il s'agit. |
3 | Dans la règle, la vente aux enchères ne doit être ordonnée que si la valeur de la part saisie peut être déterminée approximativement au moyen des renseignements obtenus lors de la saisie ou au cours des pourparlers amiables. L'autorité de surveillance a le droit d'ordonner de nouvelles enquêtes à ce sujet et notamment la prise d'inventaire du patrimoine commun. |
4 | Un délai doit être imparti aux créanciers qui requièrent la dissolution de la communauté pour effectuer l'avance des frais; ils seront avisés qu'à défaut de paiement de cette avance, la part de communauté sera vendue aux enchères comme telle.13 |
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SR 281.41 Ordonnance du 17 janvier 1923 concernant la saisie et la réalisation de parts de communautés (OPC) OPC Art. 12 - Si l'autorité de surveillance ordonne la dissolution et la liquidation de la communauté, l'office des poursuites ou, en cas de désignation d'un administrateur par l'autorité de surveillance, cet administrateur prendra les mesures juridiques nécessaires pour procéder à la dissolution et à la liquidation et exercera à cet effet tous les droits appartenant au débiteur. S'il s'agit d'une communauté héréditaire, l'office requerra le partage, avec le concours de l'autorité compétente aux termes de l'art. 609 CC14. |
Zwangsverwertung von Anteilen an Gesamthandschaften, 1978, S. 193). Insgesamt wird nicht erkennbar, inwiefern die Vorinstanz rechtlich relevante Vorbringen und Bundesrecht verletzt haben sollte, als sie auf ihren Eventualantrag infolge mangelhafter Begründung nicht eingetreten ist.
4.
Nach dem Gesagten ist der Beschwerde kein Erfolg beschieden. Ausgangsgemäss trägt die Beschwerdeführerin die Verfahrenskosten (Art. 66 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Eine Parteientschädigung wird nicht zugesprochen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Betreibungsamt Kreis Hochdorf und dem Kantonsgericht Luzern, 1. Abteilung als oberer kantonaler Aufsichtsbehörde über Schuldbetreibung und Konkurs, sowie dem Bezirksgericht Hochdorf schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 1. April 2019
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Herrmann
Der Gerichtsschreiber: Levante